Hôpitaux du Suroît et de Vaudreuil : Le gouvernement libéral a abandonné les patients de Beauharnois, Huntingdon, Châteauguay, Vaudreuil et Soulanges


 Publié le 26 mars 2018

Au terme d’une rencontre avec le comité tripartite pour la construction de l’hôpital de Vaudreuil-Soulanges, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a annoncé qu’un gouvernement de la CAQ lancera les travaux de construction du futur hôpital de Vaudreuil d’ici 2022, tout en assurant un contrôle serré des coûts. D’ici l’ouverture du nouvel hôpital, M. Legault appliquera deux mesures pour désengorger l’hôpital du Suroît : d’abord, ouvrir de nouveaux lits en dehors de l’hôpital pour libérer l’urgence, notamment en CHSLD, en résidence privée ou dans une ressource intermédiaire ; ensuite, ouvrir un centre de consultations sans rendez-vous au CLSC de Vaudreuil.

Le Parti libéral de Philippe Couillard a abandonné les patients de Beauharnois, Huntingdon, Châteauguay, Vaudreuil et Soulanges, a vivement critiqué François Legault. De passage dans la région, lundi, le chef caquiste a dénoncé l’improvisation des libéraux au cours des 15 dernières années, qui n’ont pas amélioré l’accès des Québécois de la région aux soins de santé. Pour preuve : 51 000 patients sont encore orphelins d’un médecin de famille dans Vaudreuil-Dorion et les taux d’attente à l’urgence et sur civière dans la région explosent. La CAQ appuie donc le nouveau projet du futur hôpital de Vaudreuil et fera tout ce qui est possible pour accélérer les travaux.

Accompagné de Louise Craig, porte-parole pour la communauté anglophone, et de Denis Lapointe, porte-parole pour les citoyens francophones, François Legault a souligné l’incompétence du tandem Lucie Charlebois-Gaétan Barrette, qui a promis d’ouvrir l’hôpital en 2021 alors que le terrain de l’hôpital n’est même pas encore acheté. En 2016, ils ont même dit que le projet coûterait 800 millions de dollars alors qu’en réalité, ils n’avaient aucune idée des coûts.

Il est temps pour les citoyens de la grande région de Vaudreuil-Soulanges de se donner un nouveau gouvernement qui leur garantira des résultats concrets.

Annonce des candidats dans Sainte-Rose et Chomedey : La CAQ présente Christopher Skeete et Alice Khalil


 Publié le 23 mars 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est très fier d’annoncer que le gestionnaire et entrepreneur dans le domaine de la santé, Christopher Skeete, et l’informaticienne séniore, Alice Khalil, porteront les couleurs de sa formation politique lors de la prochaine élection générale, respectivement dans Sainte-Rose et dans Chomedey, à Laval.

M. Legault considère que ces deux nouveaux candidats caquistes partagent avec de plus en plus de Lavallois et Lavalloises une soif de changement. « Les gens de Laval sont de plus en plus nombreux à en avoir assez de ce gouvernement libéral usé, au pouvoir depuis trop longtemps. En plus, les libéraux sont satisfaits de leur bilan. Mais comment peut-on être satisfait quand nos familles attendent des heures pour faire soigner leurs enfants? Comment peut-on être satisfait quand le taux de décrochage scolaire de nos jeunes est si élevé? Moi, je ne suis vraiment pas satisfait. Je suis absolument convaincu qu’on peut faire mieux », a expliqué le chef de la CAQ.

Être proche des gens

Pour le candidat de la CAQ dans Sainte-Rose, Christopher Skeete, la CAQ est un parti proche des gens, qui propose des solutions pragmatiques pour des problématiques concrètes. Il ne regrette d’ailleurs pas de s’être impliqué à la CAQ dès la fondation du parti. Il aspire maintenant à être le représentant des citoyens de Sainte-Rose. « Dans Sainte-Rose, trois dossiers me semblent prioritaires. Premièrement, il faut absolument améliorer la fluidité du transport. Il faut que les familles de Sainte-Rose puissent se déplacer sur le territoire aisément, mais qu’elles puissent aussi sortir et rentrer sur l’île de Laval dans des temps respectables. Deuxièmement, je souhaite travailler à améliorer les soins à domicile pour les aînés afin de leur permettre de rester le plus longtemps possible chez eux. Et il y a aussi le dossier de la protection du Vieux Sainte-Rose, une vraie fierté locale, qui est un enjeu très important pour moi et pour les gens d’ici », a-t-il soutenu.

Une meilleure intégration des immigrants

De son côté, Alice Khalil souhaite s’attaquer à la problématique des tarifs de stationnements dans les hôpitaux et les CHSLD de Laval. « Ce n’est pas normal que ça coûte aussi cher. Il faut que les patients et leurs proches puissent s’y rendre sans se ruiner! », fait valoir cette mère de deux enfants pour qui la famille est sacrée. Elle veut également travailler à améliorer l’accueil que le Québec offre aux nouveaux arrivants. « Étant moi-même issue de l’immigration, je veux qu’on facilite l’intégration de tous ces gens qui souhaitent venir s’installer au Québec. Que ce soit par des cours de français ou une meilleure reconnaissance des diplômes. Le travail d’un bon gouvernement, ça devrait être de faciliter la vie des gens, pas de la compliquer », a ajouté la candidate caquiste.

François Legault en a profité pour lancer un message aux Québécois anglophones et allophones. « Les anglophones et les allophones sont les bienvenus à la CAQ, un parti qui veut renforcer la position du Québec dans le Canada. Je suis très content de voir se joindre à la CAQ Christopher et Alice aujourd’hui. Ce sont deux grands Québécois, issus de l’immigration. Ça montre bien qu’il y a de la place pour tous les Québécois à la CAQ », a conclu le chef de la CAQ.

Frais abusifs facturés par les commissions scolaires : La CAQ dépose un projet de loi pour mettre fin au bar ouvert


 Publié le 22 mars 2018

Pour que les pères et les mères de famille n’aient plus aucune surprise à chaque rentrée scolaire, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, a déposé jeudi le projet de loi 1093 qui vise à abolir une fois pour toutes les frais abusifs imposés par les commissions scolaires, en plus d’encadrer et de limiter l’ensemble des frais facturés aux parents.

Depuis trop longtemps, cette situation est tolérée par le gouvernement libéral. Ça va faire 15 ans que les libéraux sont au pouvoir et ils n’ont rien fait pour mettre fin à ces frais, a pesté Jean-François Roberge. Le ministre de l’Éducation a lui-même reconnu le problème et la nécessité de modifier la Loi sur l’instruction publique afin de protéger les familles. Devant l’inaction du gouvernement, la CAQ passe à l’action.

Le projet de loi déposé par la CAQ prévoit les mesures suivantes :

–       Interdire explicitement tout frais d’ordre administratif ;

–       Prévoir une uniformisation des coûts reliés au transport scolaire et aux services de garde en milieu scolaire. Il reviendra ainsi au gouvernement de fixer le montant maximal pouvant être réclamé aux parents afin de limiter la marge de manœuvre des commissions scolaires ;

–       Déterminer un mécanisme de plainte pour les parents qui se verraient facturer des frais ;

–       Obliger les commissions scolaires à rendre disponibles gratuitement les places disponibles dans le transport scolaire quand toutes les places ne sont pas occupées ;

–       Permettre aux parents d’instituer un « comité de parents du service de garde » au sein de leur école.

Rappelons qu’au cours des derniers mois, plusieurs parents d’élèves ont témoigné des frais abusifs que les commissions scolaires leur ont imposés, par exemple pour l’utilisation d’un micro-onde, l’ouverture d’un dossier, la surveillance des élèves du secondaire le midi et même pour les places libres dans les autobus. Le député de Chambly vient donc mettre un terme à ces absurdités grâce à son projet de loi.

Jean-François Roberge a dit souhaiter que son projet de loi soit adopté d’ici la fin de la présente session parlementaire, afin que les commissions scolaires soient mises au pas dès la rentrée de septembre 2018.

Violences et inconduites sexuelles : La CAQ réclame un processus de traitement des plaintes équitable et transparent à l’Université de Montréal


 Publié le 21 mars 2018

La violence et les inconduites sexuelles sur les campus universitaires sont un enjeu sérieux et préoccupant qui exige des gestes concrets du gouvernement libéral, estiment les députés de la Coalition Avenir Québec, Jean-François Roberge et Lise Lavallée. Ils accusent la ministre Hélène David de retarder inutilement l’adoption d’un projet de loi qui vise à doter l’Université de Montréal d’un processus de traitement des plaintes en matière de harcèlement et de violences à caractère sexuel plus équitable et transparent pour les victimes.

Accompagnés de Simon Forest, Jessica Bérard et Pascal Lebel, représentants de la Fédération des associations étudiantes du campus de l’Université de Montréal (FAÉCUM), M.Roberge et Mme Lavallée exhortent la ministre Hélène David à appeler rapidement le projet de loi 234 modifiant la Charte de l’Université de Montréal.

À l’heure actuelle, le traitement d’une plainte liée à un cas de harcèlement et d’agression à caractère sexuel à l’Université de Montréal est inéquitable, opaque et n’encourage pas les victimes à dénoncer leurs agresseurs, souligne le porte-parole en matière d’éducation, Jean-François Roberge. En effet, si une plainte vise un professeur, ce sont les collègues du présumé agresseur, soit d’autres professeurs, qui jugent à huis clos de la plainte reçue, en présence de l’étudiant. Hélène David doit répondre aux inquiétudes des étudiants de l’Université de Montréal et permettre à l’institution de se doter d’un mécanisme de traitement équitable et transparent, notamment lorsque des plaintes sont déposées contre des membres du corps enseignant.

La critique en matière de condition féminine, Lise Lavallée, dénonce pour sa part le discours incohérent du gouvernement libéral. Alors qu’il a tout fait pour adopter rapidement un projet de loi pour lutter contre les violences sexuelles sur tous les campus universitaires, il refuse maintenant de répondre à une demande légitime de la communauté étudiante de Montréal. Pour Mme Lavallée, rien ne justifie cet immobilisme de la ministre David.

Saguenay-Lac-Saint-Jean : Philippe Couillard impose la taxe scolaire la plus élevée au Québec


 Publié le 21 mars 2018

 Philippe Couillard est complètement déconnecté de la réalité des familles du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Qu’ils le veuillent ou non, les citoyens du Saguenay-Lac-Saint-Jean vont payer un taux de taxe scolaire 3 fois plus élevé qu’ailleurs au Québec sous un gouvernement libéral, a dénoncé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Philippe Couillard a tout tenté pour faire passer sa proposition injuste. Il a d’abord justifié les écarts de taux par les écarts de prix des maisons ; ça ne tient pas debout. Il a ensuite essayé de les justifier par des écarts dans les coûts du transport scolaire ; encore là, c’est faux, puisqu’il n’y a pas de disparité régionale dans les services éducatifs offerts.

À l’Assemblée nationale, François Legault a ajouté que dans la région, les taxes scolaires ont explosé au cours des 5 dernières années :

  • de 46 % à la Commission scolaire du Pays-des-Bleuets,
  •  de 67 % à la Commission scolaire du Lac-Saint-Jean,
  • de 71 % à la Commission scolaire de la Jonquière,
  • de 81 % à la Commission scolaire des Rives-du Saguenay.

Les familles du Saguenay-Lac-Saint-Jean méritent plus de respect de leur premier ministre Philippe Couillard, aussi député de leur région. Un gouvernement de la CAQ fixera un taux de taxe scolaire unique, uniforme partout au Québec, soit le taux le plus bas. Cela signifie qu’à terme, une famille de la région paierait 520 $ de moins pour une maison d’une valeur de 280 000 $ si un gouvernement de la CAQ était élu le 1er octobre prochain.

Chantal Soucy décerne une médaille de l’Assemblée nationale à cinq Maskoutains d’origine


 Publié le 21 mars 2018

Le 20 mars dernier, la députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, a rendu hommage à cinq Maskoutains d’origine, au salon bleu du parlement, avant de leur décerner une médaille de l’Assemblée nationale dans le cadre d’une cérémonie officielle au salon du président.

La députée de Saint-Hyacinthe a tenu à expliquer l’objectif de sa démarche : « Je constate que, trop souvent, les personnes qui contribuent à la richesse de notre communauté sont méconnues. Certaines d’entre elles ont fait leur chemin à l’ombre des projecteurs et, avec cette cérémonie, je voulais mettre en lumière leurs réalisations, afin d’encourager la relève maskoutaine à suivre leurs traces ». Elle a donc dressé un portrait des réalisations de chacun des récipiendaires.

 

Jean Bédard, président –directeur général du Groupe Sportscene

Comptable agréé au leadership indiscutable, Jean Bédard est un exemple de succès pour les entrepreneurs maskoutains, ainsi que pour les membres de la communauté d’affaires à travers la province.

Président-directeur général du Groupe Sportscène, Jean Bédard s’est impliqué activement dans la promotion du sport en acceptant la présidence des Jeux du Québec à Saint-Hyacinthe, en 2005. Il a également œuvré à titre de président du groupe Interbox, qui est demeuré durant de nombreuses années un incontournable de la boxe sur la scène locale et internationale. D’ailleurs, après dix ans et 46 galas de boxe, Jean Bédard s’est vu positionné au 25e rang du palmarès des meilleurs promoteurs par BoxingTonight.

Homme d’affaires passionné et reconnu pour son expertise, Jean Bédard a cumulé plusieurs fonctions de premier plan au sein du Conseil des chaînes de restaurants du Québec et de l’Association canadienne des restaurateurs et des services alimentaires.

Aujourd’hui, le Groupe Sportscene, dont le chiffre d’affaires dépasse les 120 millions de dollars, compte près de 3 000 employés et plus d’une cinquantaine de restaurants à travers la province.

Il se situe au 59e rang du palmarès des 500 plus grandes sociétés au Québec et fait également partie, depuis 2006, du groupe sélect des Sociétés les mieux gérées au Canada, à titre de membre platine.

Mais si Jean Bédard est un modèle de réussite en affaires, il est également un modèle de responsabilité sociale. Président du conseil d’administration de l’équipe de hockey des Gaulois de Saint-Hyacinthe, il s’est aussi impliqué au sein du Club Optimiste Douville et dans l’organisation des Méchants Mardis de Gars, au profit de la Société canadienne du cancer. Cet engagement indéniable a d’ailleurs valu à La Cage – Brasserie sportive de Saint-Hyacinthe le Prix du bénévolat en loisir et en sport Dollard-Morin, en 2015.

 

Chantal Fontaine, comédienne, actrice et femme d’affaires

Comédienne, actrice, animatrice et restauratrice, Chantal Fontaine a fait sa marque au cœur du paysage télévisuel québécois. Formée en théâtre au Cégep de Saint-Hyacinthe, cette Maskoutaine d’origine s’est méritée, au fil du temps, de nombreuses nominations aux Métrostar, aux Prix Gémeaux et au Gala Artis, à titre de « meilleure interprète » et de « personnalité de l’année », notamment pour ses rôles dans les téléromans Virginie  et Yamaska.

En plus de figurer dans la distribution de nombreuses séries télévisées, dont Scoop, Réseaux, Urgence et 1007, elle s’est également illustrée à titre d’animatrice au sein de plusieurs émissions, dont Les Chefs la Brigade, Par-dessus le marché, Oser une autre vie et Livraison d’artistes, en plus d’être le visage de nombreuses publicités.

Passionnée de cuisine et de produits du terroir, Chantal Fontaine se lance, en 2010, dans la restauration en ouvrant, avec Guy A. Lepage et Jean-Pierre Des Rosiers, le restaurant Accords bar à vin, dans le Vieux-Montréal, puis Accords le bistro, en 2014. Chantal Fontaine gère donc à présent près d’une centaine d’employés et mène de main de maître son entreprise.

Femme très engagée, elle prend à cœur la reconnaissance des produits d’ici et est très active dans la promotion des Aliments du Québec. Depuis près de 25 ans, elle est également marraine du Regroupement pour la Trisomie 21, qui offre soutien et écoute aux personnes atteintes de trisomie, ainsi qu’à leur famille. Elle siège aussi à de nombreux conseils d’administration visant à promouvoir le tourisme et le commerce local.

 

Roger Cantin, réalisateur, scénariste et producteur

Cinéaste chevronné, Roger Cantin a écrit, réalisé et produit de nombreux long-métrages marquants de la cinématographie québécoise. Son premier grand succès, La guerre des tuques, a été encensé par la critique et a fait l’objet de plusieurs adaptations. Présentée dans 125 pays et traduite en de nombreuses langues, La Guerre des tuques  s’est vue décerner plus de 14 prix internationaux, dont le « premier prix » au Festival de Moscou et celui du « meilleur film » au Festival de Laon, en France.

Pour son long-métrage L’assassin qui jouait du trombone, Roger Cantin s’est également vu décerner  la « prime à la qualité » de la SODEC et a remporté le titre de « meilleur scénario » au Festival de Laon, en France. Son téléfilm Le Grand Zèle s’est également mérité cinq nominations aux Prix Gémeaux, en 1993.

Le scénariste et réalisateur maskoutain est aussi à l’origine du long-métrage à succès La Forteresse suspendue, qui a été honoré à travers le monde. Son oeuvre Un cargo pour l’Afrique a également reçu de nombreuses distinctions, dont le prix du public pour le « meilleur film canadien » au Festival des Films du Monde de Montréal, le prix du « meilleur scénario » au Festival d’Olympie et au Bénin, ainsi que le « Grand Prix du Jury » au Festival international du film du Caire, en Égypte. L’année suivante, le long-métrage Les mains noires – procès de l’esclave incendiaire, qu’il a produit, a gagné le prix du « meilleur documentaire » au Festival International du Film PanAfricain de Cannes.

Prolifique, Roger Cantin a réalisé au cours de sa carrière plus d’une trentaine de courts-métrages se méritant de nombreuses distinctions, tant au Québec qu’à l’international. Il a également consacré une quinzaine d’années à l’enseignement de son art, à l’Université de Concordia.

 

Guy Brodeur, karatéka émérite

Champion du monde en karaté en 1985 et premier canadien à obtenir un 7e dan de l’Association nationale de karaté, Guy Brodeur a consacré sa vie à promouvoir le karaté Shotokan au Canada et à transmettre sa passion des arts martiaux aux jeunes Maskoutains. Il est d’ailleurs le fondateur de l’Association Shotokan Canada, reconnue par Karaté Canada et par la Fédération internationale de karaté.

Premier Québécois à récolter une médaille d’or en kata aux Championnats canadiens de 1986, 1987, 1988, 1992 et 1994, Guy Brodeur a cumulé les médailles d’argent en kata et en kumite, en plus de remporter la médaille de bronze en kata, en 1983, avec l’équipe du Québec. Décoré « athlète de l’année », en 1990, par l’Association nationale de Karaté pour ses performances,  Guy Brodeur a également été médaillé d’or en kata et en kumite lors de la World Kubota Cup, à Toronto.

Grand pédagogue, Guy Brodeur a assuré, de 1998 à 2001, le poste d’entraîneur de l’équipe canadienne de karaté qui, sous sa direction, a cumulé les victoires et fracassé tous ses records. Le karatéka maskoutain a également remporté, en 2003, la médaille d’argent en kata au Championnat canadien. Depuis un an, Guy Brodeur est représentant en chef du style Shotokan pour Karaté Canada.

 

Luc Brodeur-Jourdain, joueur des Alouettes de Montréal

Athlète au talent incontesté et équipier apprécié par ses pairs, Luc Brodeur-Jourdain joue pour les Alouettes de Montréal depuis plusieurs années. Ce Maskoutain d’origine a fait ses débuts au football avec les Géants du Cégep de Saint-Jean, puis, avec le Rouge et Or de l’Université Laval, avec lequel il a remporté trois championnats de la Coupe Vanier.

Figurant en 2007 et 2008 sur la première équipe d’étoiles du Sport interuniversitaire canadien, il a également fait partie de l’équipe d’étoiles de la conférence Québec en 2006, 2007 et 2008, avant d’intégrer l’équipe des Alouettes de Montréal, avec qui il a remporté deux coupes Grey consécutives. Luc Brodeur-Jourdain a également été sélectionné à plusieurs reprises au sein de l’équipe  d’étoiles de la Ligue canadienne de football et de la division Est.

Sa détermination et son perfectionnisme lui ont d’ailleurs valu le titre de « joueur de ligne par excellence des Alouettes de Montréal », en 2013 et « Joueur canadien par excellence », en 2015. Son éthique de travail, son engagement et sa détermination ont également été récompensés en novembre dernier, lors du gala de la Ligue canadienne de football, où il a remporté le Trophée des anciens combattants Jake-Gaudar pour sa force, sa persévérance, son courage, sa camaraderie et son implication communautaire.

Son charisme, son leadership et son esprit d’équipe marquent ceux qui croisent le chemin de Luc Brodeur-Jourdain. Son engagement, tant au sein de la communauté maskoutaine que du programme Ensemble à l’école des Alouettes de Montréal, fait de lui un modèle pour les jeunes sportifs.

 

Une journée chargée au Parlement
Les invités et leurs proches ont assisté à la période de questions et réponses orales, au salon bleu, où ils ont pu entendre la déclaration de la députée Chantal Soucy. Ils ont ensuite participé à une visite guidée du parlement, avant de prendre part à la cérémonie de remise de médailles, où ils ont pu rencontrer le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, et discuter avec les députés présents.

La CAQ appuie les demandes de la Coalition A-30


 Publié le 21 mars 2018

Plusieurs députés et candidats de la Coalition Avenir Québec (CAQ) en Montérégie tiennent à donner leur appui à la Coalition A-30 et aux demandes formulées par ce regroupement mercredi.

Les députés Benoit Charette (porte-parole de la CAQ en transports et député de Deux-Montagnes), Nathalie Roy (députée de Montarville), Jean-François Roberge (député de Chambly) et Simon Jolin-Barrette (député de Borduas), ainsi que les candidats Suzanne Dansereau (Verchères) et Jean-Bernard Émond (Richelieu) soutiennent appuyer les deux principales demandes faites par le regroupement pour améliorer la fluidité de l’A30 dès maintenant :
1. Travailler dès maintenant à la mise en place d’une voie d’accotement réservée aux
autobus et au covoiturage;
2. Création d’un comité pour trouver des solutions permanentes reliées au transport de personnes et de marchandise.
À plus long terme, les députés et candidats de la CAQ en Montérégie voient également d’un bon œil l’élargissement de l’A30 entre l’A10 et l’A20, tel que demandé par plusieurs maires et mairesses de la région. Cette proposition doit cependant s’inscrire dans un plan plus global de décongestion routière dans la région métropolitaine de Montréal.

Clauses orphelin : Le gouvernement libéral manque de courage


 Publié le 21 mars 2018

Le gouvernement libéral de Philippe Couillard vient de tourner le dos à des milliers de jeunes travailleurs au Québec et de reléguer l’équité intergénérationnelle aux oubliettes, a vivement déploré le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de travail, Marc Picard.

Le projet de loi libéral sur la réforme des normes du travail comporte des idées intéressantes, notamment celle de donner plus de temps aux familles et d’améliorer leur qualité de vie, mais il laisse tomber un élément essentiel : l’abandon complet et total des clauses orphelin. La ministre Dominique Vien n’a fait que la moitié du chemin, a dénoncé le caquiste Marc Picard, en abolissant les clauses seulement pour les futurs travailleurs. Selon lui, le gouvernement libéral doit prévoir dans son projet de loi un règlement visant à ce que lors des prochaines négociations de conventions collectives entre employeurs et employés, aucune clause de ce type ne pourra être incluse.

C’est une solution responsable que la ministre Vien a aussitôt rejetée du revers de la main. Le choix que fait son gouvernement, c’est de sacrifier une génération de 150 000 travailleurs, a souligné le député de Chutes-des-Chaudières.

La CAQ fait deux demandes prébudgétaires


 Publié le 20 mars 2018

(QUÉBEC) – Alors que les libéraux de Philippe Couillard ont commencé depuis plusieurs mois à distribuer des cadeaux électoralistes, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a formulé deux demandes formelles aux libéraux en vue du prochain budget Leitão :

 

  1. Un taux de taxe scolaire égal pour toutes les régions du Québec, d’ici quatre ans ;
  2. Un engagement à revoir la rémunération des médecins spécialistes.

Il ne faut pas se le cacher : le budget libéral s’annonce totalement électoraliste, a souligné François Legault. Bien qu’il s’attende à ce que les dépenses augmentent exponentiellement et que les surplus budgétaires seront redistribués en cadeaux préélectoraux, M. Legault a exhorté Philippe Couillard à corriger l’iniquité qu’il vient de créer dans la taxation scolaire et à ne pas financer les hausses de salaire consenties aux médecins spécialistes. Le chef caquiste a rappelé que le gouvernement libéral a prévu une clause dans l’entente qui le lie jusqu’en 2023, et ce, même si l’étude commandée devait démontrer que les médecins du Québec sont plus payés que ceux de l’Ontario.

Legault a rappelé que ce sont les familles du Québec qui ont fait les frais de l’équilibre budgétaire libéral. Depuis l’arrivée de Philippe Couillard, ces dernières ont été frappées de plein fouet par de multiples hausses de taxes et de tarifs, tout en voyant leurs services diminuer. Les libéraux feraient mieux d’utiliser les surplus pour corriger leurs mauvaises décisions plutôt que de se lancer dans toutes sortes de dépenses électoralistes.

Conflit à l’ABI : Le député Donald Martel veut restaurer un climat de confiance entre les parties


 Publié le 20 mars 2018

Alors que le conflit à l’Aluminerie de Bécancour (ABI) persiste toujours après plusieurs semaines de lock-out, affectant les régions de la Mauricie et du Centre-du-Québec, le député de Nicolet-Bécancour, Donald Martel, souhaite tout faire en son possible pour rapprocher l’entreprise et les employés syndiqués et rétablir un climat de confiance, essentiel pour la reprise des négociations.

Donald Martel a indiqué s’être entretenu avec tant le syndicat des employés de l’ABI que les représentants de la compagnie. À la lumière de ses discussions, le caquiste a bon espoir qu’une nouvelle offre sera présentée par l’entreprise d’ici quelques semaines. M. Martel, qui souhaite voir le conflit se résoudre, a souligné qu’il faut que les parties travaillent ensemble, dans un climat de confiance.

Finalement, le député de Nicolet-Bécancour a critiqué l’approche du gouvernement libéral et de la ministre du Travail, Dominique Vien, qui avait nommé un conciliateur dans le dossier. En forçant le syndicat et l’entreprise à se rencontrer alors qu’ils n’étaient pas prêts, la ministre a favorisé l’éloignement des deux parties.

Martel réitère donc sa sincère volonté de faire avancer le dossier et demeure disponible pour toute contribution qu’il pourrait faire, pour les deux parties en litige.