Rapport de la Vérificatrice générale : une parfaite illustration du copinage de la clique libérale


 Publié le 13 juin 2018

Deux motions déposées par la CAQ auront permis à ce que la Vérificatrice générale (VG) enquête sur les baux et les contrats conclus entre le gouvernement libéral et les entreprises de Marc Bibeau et de George Gantcheff, deux grands argentiers libéraux.

Le rapport de la VG est accablant et conclut que les avantages conférés à ces deux libéraux notoires sont avérés, qu’ils ont effectivement fait l’objet de favoritisme de la part du gouvernement libéral et que celui-ci a signé des contrats truffés d’anomalies, de gré à gré, sans faire appel à la concurrence. La Vérificatrice générale dénonce également le renouvellement d’un bail de la CSST en 2007, qui avait d’ailleurs fait l’objet d’un reportage de l’émission Enquête, qui révélait que des collecteurs de fonds libéraux, soit Franco Fava, Charles Rondeau et William Bartlett, auraient obtenu d’importantes commissions pour la signature de ce bail, qui a été renouvelé pour 22 ans, sans aucune justification, et bien avant son échéance.

Il y a quelques mois encore, le gouvernement signait à nouveau un bail avec Marc Bibeau, alors qu’il faisait l’objet d’une vérification. Bien que le président du Conseil du trésor affirme qu’un grand ménage aurait été fait, les argentiers et collecteurs de fonds libéraux ont déjà profité à souhait de cette mauvaise gestion libérale et de ce favoritisme. La CAQ déplore que ce soient les Québécois qui en paient le prix encore aujourd’hui et qu’ils ne puissent avoir l’assurance que le gouvernement libéral dépense leurs taxes et leurs impôts légitimement, sans en mettre dans les poches des amis du parti.

Joëlle Boutin sera la candidate de la CAQ dans Jean-Talon


 Publié le 11 juin 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est très fier, aujourd’hui, d’annoncer la candidature de l’entrepreneure et stratège numérique, Joëlle Boutin, qui portera les couleurs de sa formation politique en vue de l’élection du 1eroctobre prochain dans la circonscription de Jean-Talon. M. Legault s’est dit enthousiaste de pouvoir compter sur cette jeune femme d’action dans son équipe du changement.

 

Une feuille de route exceptionnelle 

Joëlle Boutin déploie présentement ses talents en communications, relations publiques et réseaux sociaux pour le cabinet de relations publiques National. Elle est également cofondatrice et éditrice en chef de Femmes Alpha, qui vise à développer et promouvoir l’entrepreneuriat au féminin, en plus d’avoir cofondé Atelier Ëdele, une entreprise d’import/export spécialisée dans la production de literies en coton biologique pour enfants. Bien qu’elle soit une jeune maman de deux enfants, elle a déjà une longue feuille de route professionnelle, qui a débuté en tant que pilote d’avion chez Pascan et Propair. En plus de sa licence de pilote, Joëlle Boutin a complété un baccalauréat intégré en économie et politique à l’Université Concordia, avant de parfaire sa formation académique en décrochant une maîtrise en administration et politiques publiques. « Tout ça et elle n’a même pas quarante ans! Joëlle, c’est une véritable femme forte, une dynamo, enthousiaste, déterminée et positive. Elle incarne parfaitement le changement positif que les Québécois veulent en politique. Elle se joint à une équipe de plus en plus impressionnante, qui compte un nombre sans précédent de femmes fortes et compétentes. Joëlle est non seulement une femme de cœur, mais aussi une femme de tête », s’est réjoui François Legault.

  

 Une vraie « fille de Québec »

Joëlle Boutin s’est dite fière d’avoir l’occasion de représenter la CAQ dans la circonscription de Jean-Talon lors de la prochaine élection provinciale : « J’ai étudié dans Jean-Talon, organisé des événements dans Jean-Talon, survolé des centaines de fois Jean-Talon, rencontré l’homme de ma vie dans Jean-Talon et j’ai même fait baptiser mon fils dans Jean-Talon. J’ai le Québec tatoué sur le cœur et je suis extrêmement fière d’être une fille de Québec » a déclaré la nouvelle candidate caquiste.

 

Joëlle Boutin a, par ailleurs, évoqué la diversité présente dans la circonscription de Jean-Talon : « Jean-Talon est une circonscription où la jeunesse côtoie la sagesse, où les Québécois de souche côtoient ceux d’adoption, où des étudiants rêvent d’un Québec innovant, qui rayonne à l’international, où des aînés ne désirent que d’être traités avec dignité et respect, et où des familles se préoccupent de l’éducation de leurs enfants » a-t-elle expliqué. Joëlle Boutin s’est dite convaincue que les préoccupations de chacun des citoyens du comté seront répondues à travers le programme que leur propose la Coalition Avenir Québec. Elle a par ailleurs assuré qu’elle serait une partenaire de premier plan pour les projets et enjeux chers à Québec, tel qu’un projet de transport en commun structurant, un troisième lien et la nécessité d’améliorer la croissance économique.

 

Finalement, Joëlle Boutin est impatiente d’aller à la rencontre des citoyens de Jean-Talon, d’entendre leurs histoires et de les servir. « Je me suis toujours impliquée sur le terrain de façon concrète. Je suis une femme d’action, pragmatique, avec des valeurs et des convictions fortes. Je crois sincèrement qu’on peut faire les choses de manière positive en collaborant avec les différents acteurs du milieu. C’est ce à quoi je m’engage envers vous » a conclu la nouvelle candidate caquiste.

Lutte contre la prostitution juvénile : Les libéraux naviguent à vue, sans plan, ni destination


 Publié le 11 juin 2018

L’année 2018 a été marquée par une prise de conscience collective concernant la triste réalité de la prostitution juvénile. Or, de l’avis de tous les intervenants, il n’existe aucun portrait réel de l’ampleur du problème au Québec. Plus d’un an et demi après l’annonce de la Stratégie pour prévenir et contrer les violences sexuelles du gouvernement libéral, l’état de situation sur le proxénétisme, la traite de personnes et les autres formes d’exploitation sexuelle à des fins commerciale, pourtant prévu à la stratégie, n’a toujours pas été réalisé.

Bien que les libéraux se disent préoccupés par l’exploitation sexuelle et le sort des victimes, ils ont rejeté en bloc les propositions de la Coalition Avenir Québec au cours des derniers mois, sans jamais mettre de réelle stratégie en application. Encore récemment, la député de Repentigny et porte-parole de la CAQ en matière de condition féminine, Lise Lavallée, a déposé un projet de loi tenant en un seul et unique article, afin de faciliter son adoption, pour permettre aux survivantes d’exploitation sexuelle d’avoir accès au régime de l’IVAC. Ce projet de loi a été rejeté par les libéraux.

La CAQ déplore que tout le Québec ait fait une prise de conscience sur cette triste réalité, pendant que les libéraux, eux, sont demeurés lymphatiques devant cette situation pourtant intolérable et alarmante. La Coalition Avenir Québec exige que le gouvernement dresse un portrait décrivant l’ampleur de la problématique et qu’il fasse de ce dossier une priorité.

Projet de parc éolien à Port-Cartier : Les libéraux utilisent l’argent des contribuables pour acheter des votes, déplore la CAQ


 Publié le 6 juin 2018

À la veille des élections, Hydro-Québec risque de se voir contrainte de signer le contrat du projet de parc éolien à Port-Cartier par le gouvernement libéral, ce qui fera perdre 1,5 milliard de dollars aux Québécois. La société d’État, qui baigne actuellement dans les surplus d’électricité et qui prévoit le demeurer jusqu’en 2026, serait alors forcée d’acheter 200 MW d’électricité dont elle n’a pas besoin, et ce, à un coût presque deux fois plus élevé que celui des projets d’éolien conclus précédemment.

La CAQ a d’ailleurs déposé une motion, mercredi, afin que le gouvernement n’oblige pas Hydro-Québec à signer ce contrat d’ici le 1er octobre prochain. Cette motion a été bloquée par le gouvernement Couillard.

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, soutient que la production d’électricité d’Hydro-Québec doit effectivement être relancée, mais qu’on doit d’abord avoir signé des ententes d’exportation avec des états américains et d’autres provinces canadiennes, pour écouler nos surplus afin que la facture ne soit pas refilée aux Québécois. Il faut être beaucoup plus proactif pour conclure de tels partenariats et c’est précisément ce que prévoit le projet d’Alliance énergétique de la CAQ.

Projet de parc éolien à Port-Cartier: Chantal Soucy se lève en chambre pour défendre les contribuables


 Publié le 6 juin 2018

À la veille des élections, les libéraux veulent contraindre Hydro-Québec à signer un contrat avec le parc éolien de Port-Cartier, ce qui représenterait une perte de 1,5 milliard de dollars pour les Québécois. Ce contrat forcerait Hydro-Québec, qui baigne actuellement dans les surplus d’électricité et qui prévoit le demeurer jusqu’en 2026, à acheter 200 MW d’électricité dont elle n’a pas besoin, et ce, à un coût presque deux fois plus élevé que celui des projets éoliens conclus précédemment.

C’est ce qu’a dénoncé, hier, au salon bleu, la députée de Saint-Hyacinthe et porte-parole de la CAQ en matière d’Énergie, Chantal Soucy. Selon elle, cette stratégie électoraliste affectera durement les familles québécoises, qui ont déjà chèrement payé le prix des décisions libérales au cours des quatre dernières années. « Pour acheter des votes sur la Côte-Nord, le gouvernement de Philippe Couillard est prêt à dilapider l’argent des Québécois. C’est la méthode libérale. D’ailleurs, la Vérificatrice générale révélait dans son dernier rapport que les achats inutiles imposés par le gouvernement ont fait grimper la facture d’électricité des Québécois de 2,5 milliards de dollars en huit ans », a-t-elle déploré.

La députée de Saint-Hyacinthe a renchéri, aujourd’hui, en déposant une motion à l’Assemblée nationale, exigeant que le gouvernement du Québec fasse marche arrière et renonce à sa volonté d’obliger Hydro-Québec à signer un contrat avec le parc éolien de Port-Cartier, d’ici le 1er octobre prochain. Cette motion s’est vue rejetée par les libéraux.

« La production d’électricité d’Hydro-Québec doit être relancée, mais on doit d’abord avoir signé des ententes d’exportation avec des états américains et d’autres provinces canadiennes, pour écouler nos surplus afin que la facture ne soit pas refilée aux Québécois. Il faut être beaucoup plus proactif pour conclure de tels partenariats et c’est précisément ce que prévoit le projet d’Alliance énergétique de la CAQ », a, pour sa part, déclaré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

TÉMOIGNAGES COURAGEUX DE QUATRE VICTIMES DE L’EX-ENTRAÎNEUR DE SKI BERTRAND CHAREST


 Publié le 5 juin 2018

Hier, quatre victimes de l’ex-entraineur de ski Bertrand Charest sont sorties de l’ombre, à visage découvert, et ont livré de troublants témoignages sur les abus qu’elles ont subis dans le cadre de la pratique de leur sport, de leur passion. La Coalition Avenir Québec appuie les demandes de ces femmes, et exige que le gouvernement agisse rapidement pour encadrer la pratique du sport chez les jeunes athlètes, notamment pour rendre les formations des entraineurs obligatoires et pour établir des politiques afin de faire en sorte que plus jamais de tels abus ne se reproduisent dans les milieux sportifs.

En mon nom et en celui de toute ma formation politique, nous espérons que l’issu de votre démarche judiciaire, qui a certes été empreinte de souvenirs douloureux, vous amène paix et sérénité. Je suis convaincue que le courage dont vous avez fait preuve, hier, saura inciter d’autres victimes d’abus à dénoncer elles aussi. Pour cela, je vous félicite et vous remercie sincèrement. Les jeunes athlètes qui vous ont admirées pendant toute votre carrière sportive ont désormais une autre raison d’applaudir votre détermination, et j’ai l’intime conviction que vos épreuves respectives ne seront pas vaines.

Sachez que vous avez toute notre gratitude et notre reconnaissance, et que nos meilleures pensées vous accompagnent.

 

Exploitation sexuelle : Un projet de loi pour faire reconnaître les victimes


 Publié le 31 mai 2018

La porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de condition féminine, Lise Lavallée, a déposé le projet de loi 1194, jeudi, et demandé formellement à la ministre Stéphanie Vallée de le faire adopter avant la fin de la session parlementaire. Ce projet de loi vise à faire reconnaître les victimes d’exploitation sexuelle et de traite de personnes dans la loi actuelle sur l’indemnisation des victimes d’actes criminels.

Madame Lavallée a notamment fait valoir à la ministre libérale que la liste des séquelles chez ces femmes victimes d’exploitation sexuelle est longue : stérilité chez les jeunes filles d’âge mineur, troubles de santé mentale, état de stress post-traumatique, toxicomanie, un taux de mortalité nettement plus élevé que la moyenne nationale, et plus encore.

Le projet de loi de la députée de Repentigny ne tient qu’en un seul et unique article. Pourtant, la ministre Vallée ne s’est pas engagée à l’adopter, lors de la période de questions, alors que cet article fait consensus non seulement auprès de l’Assemblée nationale, mais également auprès de tous les organismes qui travaillent aux côtés des victimes, de même que les victimes elles-mêmes. Ce seul article peut changer des vies.

Formule E : La CAQ veut savoir qui a fait pression sur les libéraux


 Publié le 30 mai 2018

Le ministre des Affaires municipales et responsable de la région de Montréal, Martin Coiteux, a été incapable de justifier aux Québécois les raisons pour lesquelles il a autorisé l’octroi d’une subvention additionnelle de 1 million de dollars à l’organisme Montréal c’est électrique pour l’organisation de la Formule E. Surtout, M. Coiteux a refusé de dire qui l’a appelé pour obtenir cette fameuse subvention : l’ex-maire Denis Coderre ou l’actuel président de la campagne du Parti libéral, Alexandre Taillefer, qui agissait à l’époque comme président d’honneur de l’événement ?

Le député de Blainville pour la Coalition Avenir Québec et porte-parole pour la Métropole, Mario Laframboise, a exigé une reddition de compte au gouvernement libéral, au lendemain du dépôt du rapport accablant du Bureau de l’inspecteur général (BIG) de la Ville de Montréal sur la gestion douteuse de la Formule E. M. Laframboise a rappelé que les contribuables québécois ont dépensé 1,5 M$ dans cet événement, dont 1 M$ qui a été versé par les libéraux après la tenue de la Formule E.

Compte tenu des minces retombées de l’événement et des graves allégations du BIG, le ministre Martin Coiteux doit enfin sortir de son mutisme : qui, de Denis Coderre et d’Alexandre Tailler, a demandé à ce que le gouvernement libéral ajoute 1 M$ pour la Formule E, et ce, sans aucune évaluation ?

Le Parti libéral a une fois de plus préféré cacher la vérité aux Québécois, a dénoncé le caquiste Mario Laframboise.

Congrès national de la CAQ : Il faut faire plus et mieux pour le Québec, dit François Legault


 Publié le 27 mai 2018

C’est par un discours teinté de la volonté de voir le Québec changer et se reconnecter sur les préoccupations des Québécois que François Legault a clôturé le Congrès national de la CAQ qui a réuni environ 1 200 militants dimanche, à Lévis. Le chef caquiste y a notamment martelé qu’un gouvernement de la CAQ voudra « faire plus et faire mieux » pour tous les Québécois.

François Legault a rappelé que des efforts considérables ont été faits par son parti pour bâtir une équipe solide, constituée de femmes et d’hommes de talent, issus de tous les milieux et de toutes les générations, au cours des derniers mois. Ces candidats, qui étaient réunis sur la scène derrière lui, ont un but en commun : changer et faire évoluer le Québec en reconnectant le gouvernement sur les citoyens et leurs préoccupations.

Dans son discours, le chef de la CAQ a misé sur l’importance de faire plus avec l’argent durement gagné des contribuables. Il a notamment nommé la nécessité de diminuer la taxe scolaire, d’améliorer les services destinés à nos aînés et à nos proches aidants, de mieux encadrer l’immigration et de réinvestir en éducation. Il a également fait un vibrant plaidoyer en faveur d’un gouvernement plus intègre et a déclaré, devant ses militants, qu’une carte de membre de la CAQ ne sera jamais synonyme d’une nomination politique. À ce titre, il a réitéré que sous un gouvernement de la CAQ, ces nominations se feront uniquement selon la compétence des individus.

Pour un réseau de la santé plus accessible, plus efficace et plus décentralisé


 Publié le 26 mai 2018

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