Suzanne Blais est la candidate de la Coalition Avenir Québec dans Abitibi-Ouest


 Publié le 23 juillet 2018

De passage en Abitibi-Témiscamingue, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a annoncé que l’entrepreneure et femme d’affaires bien connue dans la région d’Amos, Suzanne Blais, sera sa candidate dans la circonscription d’Abitibi-Ouest en vue de l’élection générale d’octobre prochain.

Le chef de la CAQ, François Legault, s’est dit grandement impressionné par le parcours professionnel de sa candidate. Il ne fait aucun doute que Suzanne Blais dispose de toutes les qualités pour devenir une excellente députée, a-t-il souligné. Les citoyens d’Abitibi-Ouest qui veulent une députée qui fera plus et mieux pour le Québec seront amplement servis.

« Suzanne Blais est une femme d’affaires remarquable, qui apporte un mélange d’expérience, de dévouement et d’enthousiasme. Les Québécois ont soif de changement et c’est vrai partout, ici aussi en Abitibi. Évidemment, on a tous un très grand respect pour François Gendron, qui s’est dévoué pendant des décennies, mais il est temps de passer à autre chose. Après 15 ans de gouvernement libéral, ça prend une nouvelle équipe avec de nouvelles idées. Ça prend des femmes compétentes, ambitieuses, et ça, c’est Suzanne ! J’invite donc les électeurs d’Abitibi-Ouest à embarquer avec l’équipe du changement ! » a lancé François Legault.

La nouvelle candidate admet que les enjeux dans sa région sont nombreux. Que ce soit en économie, en santé, en éducation ou en environnement, Suzanne Blais présentera au cours des prochaines semaines les solutions qu’un gouvernement de la CAQ mettra de l’avant pour redonner des couleurs à l’Abitibi. « La mine de lithium soulève un problème d’acceptabilité sociale. Il faut protéger les eskers, la meilleure eau au monde. On ne peut pas se permettre de mettre en péril cette richesse. On a aussi besoin d’un grand effort collectif pour redonner un souffle à nos villages. On ne peut pas fermer nos écoles, tout en espérant convaincre les jeunes familles de revenir s’installer ici. On ne peut pas avoir un problème de services de santé, tout en espérant convaincre la main-d’œuvre de l’extérieur de venir chez-nous. La CAQ a un plan économique pour les régions, un plan ambitieux pour le Québec. Faire plus, faire mieux, je crois sincèrement que c’est possible », a mentionné Suzanne Blais.

Finalement, Mme Blais a tenu à remercier le député sortant, François Gendron, pour ses longues années de services. « Le départ de M. Gendron laisse un grand vide en Abitibi. Les souliers sont grands à chausser. Je retiens deux choses de sa longue carrière : le respect des électeurs et l’importance du travail de terrain. Je veux moi aussi mettre la politique au service des citoyens, poursuivre le travail et réaliser de nouveaux projets pour l’Abitibi », a-t-elle indiqué.

Suzanne Blais est une femme très impliquée dans sa communauté. Elle est propriétaire de la boutique de vêtements pour femmes et enfants Frèrot Soeurette depuis 1995. Auparavant, elle a été infirmière auxiliaire au Centre hospitalier Hôtel-Dieu d’Amos pendant presque 15 ans. Elle siège actuellement comme présidente de la Fabrique de la Cathédrale Sainte-Thérèse-d’Avila d’Amos et elle vient tout juste de terminer un mandat de 12 ans en tant qu’administratrice de la Société d’aide au développement des collectivités (SADC) Harricana. Elle fait d’ailleurs partie de la cellule de mentorat de la SADC Harricana et est chef-mentor depuis 2006. En 2016, elle a remporté le prix Personnalité Femme d’affaires du Gala Élite de la Chambre de commerce d’Amos, puis a été récipiendaire du Prix investissement de 500 000$ et moins lors du Gala de la Chambre de commerce d’Amos en 2017. Toujours en 2017, elle a été nommée ambassadrice à vie des femmes d’affaires d’Amos-région.

Parc éolien sur la Côte-Nord : Philippe Couillard essaie de passer un sapin de 1,5 milliard aux Québécois


 Publié le 19 juillet 2018

Le projet du gouvernement Couillard de construire un parc éolien sur la Côte-Nord est une décision injustifiable, coûteuse et inutile, a dénoncé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault. Philippe Couillard tente ni plus ni moins d’enfoncer ce projet dans la gorge d’Hydro-Québec, qui n’en a nullement besoin.

Alors que nous sommes dans une situation de surplus énergétiques, il ne fait aucun sens de lancer la construction d’un parc éolien, d’autant plus que la facture relayée aux consommateurs risque d’être salée, soit 1,5 milliard sur 25 ans d’après ce qui est évoqué publiquement, a souligné M. Legault, qui exige du gouvernement libéral de Philippe Couillard :

–      De ne rien signer avant le dénouement des élections d’octobre prochain, pour ne pas prendre en otage les Québécois ;

–      De dévoiler les termes généraux de l’entente avant toute signature, afin d’expliquer comment on peut arriver à un tel prix ;

–      De faire preuve de transparence, en disant aux Québécois combien il leur en coûtera.

Nancy Levesque portera les couleurs de la Coalition Avenir Québec dans la circonscription de Rimouski


 Publié le 17 juillet 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est fier d’annoncer que l’infirmière bachelière et gestionnaire en santé, Nancy Levesque, portera les couleurs de sa formation politique dans la circonscription de Rimouski pour l’élection du 1er octobre prochain. M. Legault se réjouit de pouvoir compter sur cette gestionnaire d’expérience, dotée d’un grand leadership, au sein de son équipe.

Selon François Legault, cette candidate aura un rôle-clé dans un éventuel gouvernement de la CAQ pour rendre enfin efficace un réseau de la santé qui tourne en rond depuis 15 ans avec le gouvernement libéral. « C’est une femme forte, avec du leadership et un sens de l’initiative qui promet d’apporter un vent de renouveau à Rimouski », déclare-t-il.

De son côté, Nancy Levesque se dit grandement préoccupée par le chemin entrepris par le Québec au cours des 15 dernières années.« Il y a tellement de travail à accomplir ici. Notre population vieillissante a besoin de soins. Il y a plus de retraités qu’avant et moins de gens disponibles à l’emploi. C’est un coin de pays magnifique, qui a tous les atouts pour accueillir des familles et de la main-d’œuvre qualifiée : l’UQAR, le cégep, l’Institut maritime et plus encore. Il faut s’en servir comme d’un levier économique pour créer de la richesse et amener la région plus loin. La CAQ a une vision constructive et positive du Québec. Avec un gouvernement de la CAQ, on pourra faire plus et faire mieux », a déclaré la nouvelle candidate de la CAQ dans Rimouski.

Nancy Levesque œuvre actuellement en tant que cadre pour le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) du Bas-Saint-Laurent, plus précisément à titre de chef de services régional des accueils cliniques sociaux et santé pour les huit installations couvertes par l’organisme. Très impliquée dans son milieu professionnel, elle occupe également la fonction de vice-présidente du comité éthique clinique et organisationnelle et a également été pendant plusieurs années chef de services du bloc opératoire et des quatre autres services impliqués dans le continuum chirurgical. Soucieuse de partager ses connaissances, elle a été, pendant deux ans, coordonnatrice du programme et enseignante en soins infirmiers au Centre d’études collégiales de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine.

L’injustice des taxes scolaires

François Legault dénonce la décision du gouvernement libéral d’imposer un nouveau régime de taxes scolaires qui pénalise les propriétaires du Bas-Saint-Laurent. « Ici, on paie trois fois plus de taxes scolaires que dans d’autres régions. Pour une maison moyenne, les taxes scolaires sont de 200 $ dans les Laurentides, mais, dans le Bas-St-Laurent, c’est 600 $, alors qu’on offre pourtant les mêmes services. Et le PLQ et le PQ, incluant le député péquiste de Rimouski, refusent de corriger cette injustice », déplore-t-il.

Le chef de la CAQ invite finalement les électeurs de Rimouski à tourner la page sur les 15 ans de gouvernement libéral. « Quand on regarde le bilan dans le dossier de nos aînés, en éducation, en économie ou en santé, on se rend compte qu’il est temps de changer de gouvernement. Il nous faut de nouvelles idées et une nouvelle équipe pour former un nouveau gouvernement. Dans cette équipe, j’ai besoin d’une femme d’expérience comme Nancy Levesque », a conclu le chef de la CAQ.

Denis Tardif portera les couleurs de la Coalition Avenir Québec dans la circonscription de Rivière-du-Loup-Témiscouata


 Publié le 16 juillet 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est fier d’annoncer que Denis Tardif portera les couleurs de sa formation politique dans la circonscription de Rivière-du-Loup-Témiscouata pour l’élection du 1er octobre prochain. M. Legault se réjouit de pouvoir compter sur cet homme d’expérience au sein de son équipe.

François Legault est très inspiré par le parcours de vie de son candidat dans Rivière-du-Loup-Témiscouata alors qu’il a une très longue liste de réalisations à son actif. Il a été entrepreneur, gestionnaire, professeur, conseiller municipal et il a œuvré dans les trois paliers de gouvernement. « Il nous faut de nouvelles idées et une nouvelle équipe pour former un nouveau gouvernement. Dans cette équipe, j’ai besoin d’un homme d’expérience comme Denis Tardif, a déclaré le chef de la CAQ. Avec son parcours, on voit tout de suite que Denis est très bien préparé à occuper la fonction de député à l’Assemblée nationale. Il sera efficace et prêt à livrer la marchandise dès le premier jour. Il a l’expérience pour jouer un rôle important au sein d’un éventuel gouvernement de la CAQ. »

De son côté, Denis Tardif a décidé de faire le saut en politique provinciale à cause de son désir d’être continuellement dans l’action. « Je souhaite continuer de travailler à améliorer la qualité de vie des gens d’ici. Je suis reconnu comme une personne de convictions et une personne efficace. Je veux faire une différence dans le comté. Je veux léguer un héritage à la génération suivante. La CAQ offre un discours réaliste qui me rejoint. Depuis 15 ans, les libéraux ont fait reculer le Québec. Leur manque d’éthique, leurs coupures dans les services, leur arrogance : les gens sont tannés ! Nous avons besoin de changement », a déclaré le nouveau candidat de la CAQ dans Rivière-du-Loup-Témiscouata

Denis Tardif a fondé sa propre boîte de communications en 1993, Scoop communication marketing, en plus d’avoir co-fondé Trafic création/marketing en 2003. Denis Tardif a également une longue feuille de route en politique, alors qu’il a été directeur des affaires régionales pour le Québec pour d’importants ministres au niveau fédéral de 2007 à 2013. Il a, de plus, été conseiller municipal pour la ville de Rivière-du-Loup de 2005 à 2011 et attaché politique de la députée de Kamouraska-Témiscouata à l’Assemblée nationale de 1988 à 1993. Très impliqué dans sa communauté, Denis Tardif a notamment été président de la Corporation de loisirs de Rivière-du-Loup de 2005 à 2011, président de l’Office de tourisme et des congrès de Rivière-du-Loup de 2004 à 2005 et président d’honneur de la campagne de financement du projet Parc École en 2003 et 2004. Denis Tardif est originaire de Trois Pistoles et père d’une jeune universitaire. Il a occupé le poste de directeur des communications à l’Institut de technologies agro-alimentaires de La Pocatière (ITA). Il a également enseigné les communications et la philosophie dans plusieurs établissements collégiaux réputés (ITA de La Pocatière, Cégep de Jonquière et Cégep de Rivière-du-Loup).

Une vision pour Rivière-du-Loup-Témiscouata et pour le Québec

Denis Tardif a choisi la CAQ parce qu’elle a une vision pour l’avenir du Québec, et pour la circonscription de Rivière-du-Loup-Témiscouata. « Je suis d’abord et avant tout un gars de régions qui croit au potentiel de ma circonscription. Je suis fier de me joindre à l’équipe de François Legault, qui a une vision pour le Québec, qui a un plan de développement économique pour les régions, notamment pour la forêt, l’agriculture et le tourisme, qui occupent une place majeure ici. Nous avons des atouts et c’est à nous de les exploiter. Le Projet Saint-Laurent réserve un rôle important aux cégeps pour créer de l’expertise et de la richesse. Il faut faire du cégep de Rivière-du-Loup un pôle de développement régional. En travaillant ensemble, nous continuerons d’aller plus loin et de bâtir un Québec fier de ce que nous sommes » a-t-il conclu.

L’injustice des taxes scolaires

François Legault dénonce la décision du gouvernement libéral d’imposer un nouveau régime de taxes scolaires qui pénalise les propriétaires du Bas-Saint-Laurent. « Ici, on paie trois fois plus de taxes scolaires que dans d’autres régions. Pour une maison moyenne, les taxes scolaires sont de 200 $ dans les Laurentides, mais, dans le Bas-St-Laurent, c’est 600 $, alors qu’on offre pourtant les mêmes services. Cependant, le PLQ refuse de corriger cette injustice », déplore-t-il.

Chantal Soucy participe à la 2e édition de l’Atelier de leadership pour femmes parlementaires francophones


 Publié le 11 juillet 2018

La semaine dernière, la députée Chantal Soucy a pris part à la 2e édition de l’Atelier de leadership pour femmes parlementaires francophones, organisé par l’Assemblée nationale, en partenariat avec la Chaire en leadership de l’École nationale d’administration publique et le Groupe Femmes, Politique et Démocratie. Réunies au parlement de Québec, plus d’une vingtaine d’élues provenant de près de 15 pays de la Francophonie ont participé à cet événement visant à les outiller dans le développement de leur leadership, ainsi qu’à favoriser la présence des femmes dans l’arène politique mondiale.

En tant que membre du Cercle des femmes parlementaires de l’Assemblée nationale, Chantal Soucy s’implique activement sein de cette cause depuis son élection : « Chaque fois, nos rencontres sont enrichissantes. J’en suis à mon premier mandat à titre de députée et c’est une chance incroyable de pouvoir bénéficier de l’expérience de mes collègues. On se rend vite compte que malgré les frontières, malgré nos divergences politiques, on est souvent confrontées aux mêmes réalités et c’est en s’unissant qu’on peut briser le fameux plafond de verre et paver la voie à nos filles pour qu’elles puissent accéder plus facilement aux postes de pouvoir », a-t-elle déclaré, au lendemain de l’atelier. « Heureusement, on sent un véritable vent de changement pour la cause des femmes, en ce moment. Mon chef, François Legault, s’est d’ailleurs récemment engagé à former un conseil des ministres paritaire si la CAQ était portée au pouvoir en octobre prochain. Parce que nous voulons qu’un gouvernement de la CAQ soit le gouvernement de tous les Québécois. Il n’y a pas un genre, pas une origine culturelle, ni un groupe d’âge qui ait le monopole de la compétence. La force réside dans la diversité et c’est ce vers quoi on s’enligne à l’heure actuelle. En tant que femme, c’est un véritable privilège de pouvoir être aux premières loges de ce changement historique. » a conclu la députée de Saint-Hyacinthe, le sourire aux lèvres.

Lise Lavallée trace un bilan positif de ses quatre années à titre de députée de la circonscription de Repentigny et sollicite un deuxième mandat


 Publié le 27 juin 2018

La dernière session parlementaire de l’Assemblée nationale du Québec a pris fin le 15 juin dernier. Lise Lavallée revient sur ses activités de son premier mandat à titre de députée de Repentigny. Élue en avril 2014, madame Lavallée s’est vue confier le rôle de porte-parole de la Coalition Avenir Québec pour la Famille, les Ainés et la Lutte à l’intimidation. Au cours des deux dernières années de son mandat, elle a été la porte-parole en Santé publique, de la Condition Féminine ainsi que de la Lutte à l’Intimidation.

Aux dires de la députée de Repentigny, deux dossiers ont mobilisé temps et énergie dans le dernier droit de la session parlementaire soient celui du cannabis et celui de la prostitution juvénile.

La légalisation du cannabis

«À l’été 2017, ma participation à un Forum d’experts de tous horizons m’a permis de circonscrire l’ampleur de la tâche qui nous attendait. Plusieurs groupes d’intervenants ont été consultés et dès septembre 2017, nous étions en mesure de présenter notre position et plusieurs amendements au projet de loi ont été soumis au gouvernement en place soient : l’âge légal de consommer à 21 ans, la distribution exclusive du cannabis par un réseau public  , l’utilisation des revenus et profits des ventes à la prévention, la  recherche, la sécurité et la santé publique, l’interdiction de consommer dans les lieux publics et l’interdiction de faire de la culture à domicile», précise madame Lavallée. La loi a été adoptée en juin dernier. Même si la CAQ n’a pas obtenu gain de cause sur tous les changements souhaités, un encadrement sera mis en place afin d’être prêt pour la légalisation prévue par le gouvernement fédéral en octobre prochain.

La prostitution juvénile

En ce qui concerne le dossier de la prostitution juvénile, la députée de Repentigny n’a pas ménagé ses efforts afin d’identifier des pistes de solutions viables pour nos jeunes aux prises avec ce fléau. «J’ai eu l’occasion de rencontrer beaucoup de groupes d’intervenants oeuvrant dans le milieu de la prostitution juvénile et me familiariser avec les problématiques vécues par ces adolescentes», de relater madame Lavallée. Selon la députée, la première étape d’une intervention concrète dans ce milieu par le gouvernement est d’établir un portrait global de la réalité de la prostitution juvénile à la grandeur du Québec. «Toutes mes interventions à ce sujet auprès du gouvernement libéral se sont avérées vaines. Ce dernier agit comme un capitaine qui navigue sans plan ni boussole. J’ai présenté cette année mon plan de lutte pour contrer la prostitution juvénile et ma formation politique promet d’agir», souligne madame Lavallée.

La députée de Repentigny a fait état de plusieurs dossiers locaux et régionaux ayant nécessité sa participation au cours des quatre dernières années tels la construction de l’école Valmont-sur-Parc, l’agrandissement de l’hôpital Pierre-Le Gardeur, l’acquisition d’un appareil d’imagerie médicale de type Tep Scan pour cet hôpital ainsi que le projet de salle de spectacle à Repentigny.

«C’est avec la satisfaction du devoir accompli que je termine ce premier mandat. Ce fut un privilège de représenter mes concitoyennes et concitoyens de la belle circonscription de Repentigny au cours des quatre dernières années et c’est avec beaucoup d’humilité et une grande fierté que je me porterai à nouveau candidate sous la bannière de la Coalition Avenir Québec aux prochaines élections provinciales du 1er octobre prochain», de conclure madame Lavallée.

 

 

 

Décès de Paul Gérin-Lajoie : La CAQ salue le départ d’un grand Québécois


 Publié le 25 juin 2018

La Coalition Avenir Québec et son chef, François Legault, tiennent à transmettre ses plus profondes sympathies aux enfants, à la famille et aux proches de monsieur Paul Gérin-Lajoie, qui s’est éteint à l’âge de 98 ans.

M. Gérin-Lajoie a marqué l’histoire du Québec de façon bien particulière, en ouvrant un nouveau chapitre sur l’éducation, en plein cœur de la Révolution tranquille. Outre sa doctrine Gérin-Lajoie, qui a fortement contribué à l’essor du Québec par le biais de l’éducation, qui lui a permis de prendre une place importante sur la scène internationale et de faire respecter ses compétences particulières, on lui reconnaît de nombreux legs, qui ont façonné le Québec moderne. Pendant de nombreuses années, il a exporté dans le monde entier l’expertise québécoise et a favorisé son développement, alors qu’il dirigeait l’Agence canadienne de développement international. Encore aujourd’hui, la dictée PGL de ce grand nationaliste continue de valoriser l’importance du français pour les jeunes Québécois, un legs important de son œuvre fondamentale pour le Québec.

Il a par ailleurs défendu et fait valoir de nombreux principes, encore chers aujourd’hui au peuple québécois, dont l’obligation à l’instruction jusqu’à l’âge de 16 ans et la gratuité de l’enseignement dans le réseau de l’éducation public.

Ses grandes réalisations resteront à jamais marquées dans le souvenir collectif des Québécois et des Québécoises, et tous doivent s’unir aujourd’hui pour saluer l’apport colossal de M. Gérin-Lajoie à la société Québécoise. Nous nous remémorerons longtemps des réalisations de ce grand bâtisseur pour les jeunes et nous nous souviendrons toujours de lui comme étant celui qui a doté le Québec d’un réseau d’éducation, une véritable richesse collective que nous devons promouvoir et protéger.

Rachel Bourdon sera la candidate de la CAQ dans Hull


 Publié le 23 juin 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est heureux d’annoncer la candidature de Rachel Bourdon dans la circonscription de Hull pour les prochaines élections générales. Mme Bourdon est une jeune professionnelle qui cumule déjà plusieurs réalisations dans le milieu médical.

À l’issue d’un baccalauréat en sciences infirmières, Rachel Bourdon a occupé le poste d’infirmière clinicienne en psychiatrie à l’urgence de l’hôpital de St-Mary tout en complétant un diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS) en gestion à l’École des hautes études commerciales (HEC) de Montréal. Elle a ensuite pratiqué au département d’obstétrique du même établissement, mettant à profit sa grande écoute des patients, son autonomie, ainsi que son jugement clinique pour prendre les bonnes décisions dans le feu de l’action. En 2016, elle a complété sa formation en électrophysiologie sur les produits Biosense Webster et leur utilisation, et est devenue associée clinique de cette division de la réputée entreprise Johnson & Johnson, chef de file mondial des technologies d’électrophysiologie pour le diagnostic et le traitement des arythmies cardiaques.

Une candidate à l’écoute des préoccupations des citoyens Hull

Mère d’une petite fille âgée d’un an, sa détermination et son grand intérêt pour la politique l’amènent à relever un nouveau défi, soit celui de représenter les citoyens de Hull sous les couleurs de la Coalition Avenir Québec. Les motivations qui expliquent son désir de s’impliquer en politique active sont nombreuses.

Gatinoise d’adoption, elle a rapidement remarqué les déficits dans les services de première ligne et d’obstétrique sans compter le personnel soignant à bout de souffle. Elle est aussi préoccupée par les problèmes de pauvreté, de même que les difficultés dans le réseau de l’éducation. Elle s’est cependant dite déterminée à assurer de meilleurs services à la population dans la région. « Je possède l’énergie et la détermination essentielles pour m’investir en politique active et promouvoir et défendre avec vigueur les intérêts de mes concitoyens. Je suis tombée en amour avec le secteur Hull et je m’y suis tout de suite sentie chez nous. De nombreux problèmes doivent cependant être résolus pour améliorer la qualité de vie des citoyens qui y habitent. C’est ce à quoi je m’engage, et j’y mettrai tous les efforts requis pour y arriver », a indiqué la nouvelle candidate caquiste.

Pour sa part, le chef de la CAQ, François Legault, s’est dit très fier d’accueillir Rachel Bourdon dans l’équipe du changement. « Rachel est une jeune femme inspirante. Son parcours dans le milieu de la santé lui a permis de constater les nombreuses failles dans le réseau et de s’impliquer pour faire une différence concrète. Nous sommes très fiers d’accueillir dans l’équipe du changement une candidate à l’écoute de leurs besoins et prête à se battre pour redonner le pouvoir de soigner aux professionnels du réseau de la santé, à lutter contre la pauvreté et à poursuivre la mission de la CAQ en matière d’éducation. Je suis convaincu que les jeunes familles de Hull se retrouveront en elle et lui témoigneront leur confiance, le 1er octobre prochain », a conclu le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Grève illégale des grutiers : Où est la ministre Vien?


 Publié le 21 juin 2018

La CAQ dénonce les gestes d’intimidation et la fermeture des chantiers en raison des moyens de pression inacceptables des grutiers. Le parti demande au gouvernement libéral et à la ministre du Travail, Dominique Vien, quasi invisible depuis lundi dernier, de prendre la situation rapidement en main et de faire preuve de leadership dans le dossier.

La formation politique de François Legault exige que la ministre du Travail réunisse rapidement les acteurs concernés et trouve une solution à la présente crise, alors que la convention collective qui lie les associations patronales et les syndicats est pourtant en vigueur jusqu’en 2021.

Selon la CAQ, il est légitime pour les grutiers de se questionner sur la décision du gouvernement concernant la formation des travailleurs, notamment en lien avec les enjeux de sécurité. Mais les moyens de pression actuels dépassent la limite de l’acceptable. Il est déplorable que la ministre Vien soit autant absente.

Christine Mitton sera la candidate de la CAQ dans Laval-des-Rapides


 Publié le 19 juin 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est très fier d’annoncer que Christine Mitton sera la candidate de sa formation politique en vue de l’élection du 1er octobre prochain dans la circonscription de Laval-des-Rapides.

Diplômée de l’Université de Montréal en communications, Christine Mitton est une gestionnaire chevronnée qui compte plus de 25 ans d’expérience. Œuvrant dans le secteur public comme privé depuis plusieurs années, elle est avant tout guidée par son amour pour la culture québécoise. En effet, avec l’équipe Spectra, Christine Mitton a contribué au rayonnement de plusieurs grands festivals québécois, comme le Festival de Jazz de Montréal, les FrancoFolies, le Festival Montréal en Lumière et l’International des Feux Loto-Québec. Avec l’équipe de la CAQ, Mme Mitton souhaite travailler à faire rayonner notre culture.

Christine Mitton est également membre du conseil d’administration de la Ligue nationale d’improvisation (LNI), depuis 1995, ambassadrice de la Petite maison de la Miséricorde, depuis 2007, et membre du jury de la Jeune chambre de commerce haïtienne de Montréal.

Une Lavalloise pour Laval

 Lorsqu’est venu le temps d’officialiser sa candidature, Christine Mitton n’avait qu’un comté en tête : Laval-des-Rapides. Et les raisons de ce choix sont évidentes. « J’ai murement réfléchi avant de me lancer dans cette course. Je le fais pour continuer à défendre ce Québec que j’aime tant, et surtout parce que Laval-des-Rapides c’est chez moi ! Je suis née dans ce quartier, j’y ai grandi et c’est ici que je vis. C’est avec beaucoup de fierté, de détermination et une grande fébrilité que je veux représenter et défendre les intérêts des gens que je connais et qui me connaissent, puisqu’ils m’ont vu grandir. Je lance une invitation à tous les nationalistes de Laval-des-Rapides, à tous ceux qui ont le Québec à cœur et qui sont désabusés des libéraux : offrons-nous enfin le changement positif que nous souhaitons tant et faisons entrer la CAQ à Laval ! », a déclaré Christine Mitton, qui fait du développement économique, de la mobilité urbaine et du transport collectif ses grandes priorités pour Laval-des-Rapides.

La candidate idéale pour Laval-des-Rapides

 Le chef de la CAQ, François Legault, est très impressionné par la feuille de route professionnelle de sa nouvelle candidate. Elle connaît bien la politique québécoise puisqu’elle a travaillé au bureau du premier ministre dans les années 90 et dans des cabinets ministériels, a-t-il souligné. De plus, elle connaît la réalité des entrepreneurs et des dirigeants de petites entreprises, puisqu’elle a cofondé et dirigé sa propre entreprise de 2007 à 2015.

 

« Christine Mitton, c’est une fille de la place, qui a grandi à Laval-des-Rapides et qui connaît les gens, les enjeux et les aspirations des Lavallois. Elle a géré de grosses équipes dans ses fonctions, en plus d’être très impliquée socialement. C’est difficile d’imaginer quelqu’un de mieux préparé que Christine pour occuper les fonctions de députée », s’est réjoui François Legault.

Legault a appelé les citoyens de Laval à s’offrir un gouvernement intègre et proche de leurs préoccupations en octobre prochain. Après 15 ans de gouvernement libéral, les Québécois, Lavallois inclus, ont soif de changement. « On a besoin de nouvelles idées, d’un nouveau gouvernement avec une nouvelle équipe. Christine incarne ce changement voulu par la population. Christine : bienvenue parmi nous, dans l’équipe du changement », a lancé le chef caquiste.