Modernisation de l’industrie du transport de personnes


 Publié le 11 janvier 2019

Le ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel, annonce la modification du Projet pilote concernant des services de transport rémunéré de personnes demandés exclusivement par application mobile afin d’inclure la coopérative de solidarité québécoise Eva. Les services d’Eva seront offerts sur le même territoire que celui d’Uber, soit à Montréal, Québec et Gatineau.

« La modernisation de l’industrie du transport de personnes est une priorité pour le gouvernement du Québec. L’arrivée d’un nouveau joueur est dans l’intérêt des usagers de la route qui auront une option supplémentaire pour leurs déplacements. Avec cette annonce, nous permettons à une nouvelle entreprise québécoise de démarrer ses activités. De plus, le modèle coopératif d’Eva amènera une valeur ajoutée au projet pilote. », a annoncé François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie.

Créée en 2017, Eva est une coopérative québécoise qui offre une plateforme de liaison entre les membres conducteurs et les membres utilisateurs, permettant ainsi une mobilité connectée, locale et transparente.

Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale préoccupé par les répercussions du conflit de travail


 Publié le 11 janvier 2019

Un an après le début du lock-out à l’Aluminerie de Bécancour (ABI), le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie, M. Jean Boulet, espère toujours un règlement négocié entre les parties. Malgré le fait que le conflit soit de nature privée, le ministre entend offrir toute l’aide gouvernementale possible afin que les parties puissent arriver à un rapprochement et, ultimement, au règlement de ce conflit.

« Je suis grandement préoccupé par les répercussions de ce conflit de travail. ABI est un employeur important des régions du Centre-du-Québec et de la Mauricie et contribue à leur essor économique et social. Je suis malheureusement témoin des conséquences non négligeables pour de nombreuses familles et des difficultés vécues par plusieurs commerces en raison de ce conflit. J’invite les parties à poursuivre leurs échanges et à agir de manière diligente afin de convenir d’un règlement dans les meilleurs délais. Mon gouvernement sera toujours prêt à les soutenir. Nous en faisons une priorité. », a exprimé Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie.

Faits saillants :

  • Le ministre formera un groupe de travail composé de spécialistes de son ministère en vue d’accompagner les parties dans l’atteinte de leurs objectifs de négociation.
  • Pour aider les parties à en arriver à une entente, un Conseil de médiation a été mis sur pied dans le but de relancer les négociations. Ses travaux se sont échelonnés du 7 novembre au 21 décembre 2018.
  • La formation de ce Conseil faisait suite aux différentes rencontres qu’a effectuées le ministre Boulet avec la direction locale d’ABI, le syndicat des Métallos et, à Pittsburgh, les dirigeants d’ALCOA.
  • Rappelons que les trois conventions collectives sont échues depuis le 22 novembre 2017 et que, le 11 janvier 2018, l’employeur a décrété un lock-out, conformément aux dispositions du Code du travail.
  • L’aluminerie de Bécancour est l’employeur privé le plus important des régions du Centre‑du-Québec et de la Mauricie.

Ouverture de nouveaux locaux du CIUSSS


 Publié le 10 janvier 2019

Le député de Richmond, monsieur André Bachand, a annoncé aujourd’hui, au nom de la ministre de la Santé et des Services sociaux, madame Danielle McCann, l’ouverture des nouveaux locaux du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de l’Estrie-Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CIUSSS), dans un édifice acquis par l’établissement au 1095, rue Belvédère Sud.

« Je suis très heureux de constater le résultat des efforts des derniers mois. Ces nouveaux locaux permettront de réunir plusieurs services très importants pour la population, en un seul et même endroit, dans des espaces plus conviviaux et mieux adaptés aux besoins. Ces améliorations profiteront également au personnel qui œuvre auprès des usagers et favoriseront ainsi une meilleure qualité des soins offerts. Je tiens à remercier tous les partenaires qui se sont engagés dans la réalisation de ce beau projet. », a annoncé André Bachand, député de Richmond.

Ces nouveaux locaux ont fait l’objet de travaux consistant en un réaménagement et en un agrandissement du bâtiment, en vue d’y accueillir plusieurs activités cliniques qui y seront déménagées au cours des prochains jours, à partir du 14 janvier. Le projet s’inscrit dans le cadre du plan d’optimisation des espaces locatifs du CIUSSS. Son coût s’élève à 6 777 870 $, somme assumée par le plan de conservation et de fonctionnalités immobilières (PCFI) de l’établissement.

« Je me réjouis de constater que cet établissement a à cœur d’optimiser la gestion de ses locaux cliniques, et que de tels efforts de réorganisation auront un effet positif concret et durable sur la qualité et l’accessibilité des services fournis à la population de son territoire. C’est avec de telles initiatives que nous parviendrons ensemble à revoir nos façons de faire pour en faire bénéficier encore davantage les citoyens, contribuant non seulement à leur fournir les soins nécessaires en temps opportun, mais également à améliorer de manière notable leur qualité de vie et leur mieux-être. », a exprimé Danielle McCann, ministre de la Santé et des Services sociaux.

Faits saillants :

Les nouveaux locaux accueilleront plusieurs services, soit :

  • les soins infirmiers courants et les services de vaccination pour la clientèle adulte, actuellement offerts au 50, rue Camirand et au 1200, rue King Est (14 janvier);
  • le Groupe de médecine de famille (GMF) des Grandes-Fourches, auquel se joindra la Clinique médicale du Vieux-Nord (15 janvier);
  • les activités de la Clinique de planification des naissances, située au 213, 13e Avenue Nord (21 janvier).

L’offre de soins et de services sera davantage adaptée aux besoins, notamment grâce à :

  • une technologie bonifiée pour la téléassistance en soins de plaie;
  • un rehaussement de 4 à 10 chaises lors des traitements intraveineux;
  • un aménagement ergonomique des bureaux et des espaces plus adaptés;
  • une capacité d’accueillir 70 rendez-vous de plus par jour pour les soins infirmiers courants;
  • un environnement de travail plus adéquat pour les médecins, l’équipe des infirmières et autres professionnels du GMF des Grandes-Fourches, dont la clientèle inscrite est passée de 13 700 à plus de 18 000 personnes depuis 2010.

Le ministre des Finances invite les gens à s’exprimer sur les orientations budgétaires du gouvernement


 Publié le 10 janvier 2019

Le ministre des Finances, M. Eric Girard, a lancé aujourd’hui les consultations prébudgétaires 2019-2020, qui se dérouleront en deux volets principaux. Le premier volet, en ligne, permettra aux citoyens de s’exprimer sur les orientations budgétaires du gouvernement. De plus, le ministre tiendra ses traditionnelles consultations privées au cours desquelles il rencontrera des représentants de différentes organisations provenant de plusieurs sphères de la société québécoise.

Les consultations prébudgétaires en ligne seront accessibles à compter du 14 janvier. Jusqu’au 15 février, la population est invitée à répondre à un bref questionnaire touchant de grands enjeux liés à la préparation du budget et pourra même soumettre ses idées au ministre des Finances.

Également, pour la première fois cette année, la liste des personnes et des organisations rencontrées ainsi que les mémoires soumis seront disponibles dans la page des consultations du site Internet du ministère des Finances.

« La préparation d’un premier budget est une étape importante pour un gouvernement, et nous abordons ces consultations dans un esprit d’ouverture. Nous voulons donner aux citoyennes et aux citoyens un Québec qui leur ressemble, dans lequel ils pourront s’épanouir pleinement. Un Québec moderne et plus riche, qui se donne les moyens de s’occuper de tous. », souligné Eric Girard, ministre des Finances.

Les citoyens et les organisations sont invités à participer en grand nombre à ces consultations afin d’alimenter le gouvernement sur les grands thèmes suivants : Comment accroître le potentiel économique du Québec en favorisant la productivité et l’offre de travail? Comment assurer un financement stable et prévisible des missions de l’État? Comment favoriser le développement des entreprises et la création d’emplois bien rémunérés? Comment réduire le fardeau fiscal des particuliers et des familles? Comment favoriser l’équité intergénérationnelle sur les plans économique et environnemental?

 

Mise en marché des produits bioalimentaires québécois


 Publié le 9 janvier 2019

À la suite du renouvellement du Programme Proximité jusqu’en 2022, M. Jean-Claude Poissant, secrétaire parlementaire du ministre fédéral de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, M. Lawrence MacAulay, et M. André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, annoncent un premier appel de projets. En vertu du Partenariat canadien pour l’agriculture, ce programme, doté d’une enveloppe de huit millions de dollars sur cinq ans, vise à rapprocher les producteurs agricoles et les transformateurs artisans des consommateurs. Il permet notamment de soutenir le développement et la consolidation d’initiatives collectives de mise en marché de proximité et aussi d’appuyer les entreprises qui désirent mieux se positionner sur ces marchés.

« Le gouvernement encourage la mise en marché de proximité parce que cette approche permet de répondre à l’intérêt croissant des consommateurs qui veulent connaître l’origine des aliments qu’ils achètent et soutenir l’économie locale. Ce faisant, les initiatives en ce sens favorisent le rapprochement du consommateur et du producteur, tout en ouvrant une belle vitrine pour les produits bioalimentaires du Québec de même que pour les artisans du secteur. Cette stratégie favorise aussi le développement d’une diversité de modèles d’affaires innovants et prospères qui sont des atouts pour la vitalité des territoires. », a annoncé M. André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation.

Le Programme Proximité vient soutenir la mise en œuvre de la Politique bioalimentaire 2018-2025 ‑ Alimenter notre monde en contribuant au développement de l’attractivité des territoires. Il correspond notamment à l’une des pistes de travail mises en avant dans la Politique qui consiste à « appuyer le développement d’initiatives liées à la mise en marché de proximité et au tourisme gourmand ». De plus, la Politique bioalimentaire reconnaît les marchés de proximité comme l’un des vecteurs de croissance sur lesquels doit miser le Québec.

« Le gouvernement du Canada est fier d’encourager le développement d’initiatives favorisant un rapprochement entre les producteurs, les transformateurs et les consommateurs. Cette proximité permet de rendre accessibles et de mettre en valeur les produits québécois, tout en appuyant le développement de l’économie locale et le maintien d’emplois de qualité pour les familles de la classe moyenne dans les régions du Québec. », a souligné M. Jean-Claude Poissant, secrétaire parlementaire du ministre fédéral de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire.

Faits saillants

Le Programme Proximité comporte deux volets :

  • Le volet 1 vise à développer ou à consolider des initiatives collectives de mise en marché de proximité. L’aide accordée s’élève à 50 000 $ par projet pour la durée du programme.
  • Le volet 2 vise à développer une offre de produits et de services qui répond aux besoins des consommateurs dans la perspective d’une mise en marché de proximité. L’aide accordée s’élève à 25 000 $ par projet pour la durée du programme.
  • La première période pour le dépôt de demandes d’aide financière relatives au volet 1 « Appui aux initiatives collectives » s’étend du 8 janvier au 8 février 2019. En ce qui a trait aux demandes d’aide pour le volet 2 « Appui aux initiatives individuelles », elles peuvent être déposées en continu à compter du 8 janvier.
  • Le programme appuie autant des initiatives collectives (marchés publics, circuits agrotouristiques, etc.) que des entreprises qui désirent développer une offre de produits ou de services en vue de mieux se positionner dans les marchés de proximité.
  • Environ une entreprise agricole sur cinq est active dans les marchés de proximité. On trouve au Québec :
    plus de 175 marchés publics;
  • environ 880 producteurs agricoles qui pratiquent l’agrotourisme et plus de 1000 entreprises qui mènent des activités liées au tourisme gourmand;
  • une vingtaine de marchés virtuels sur le Web;
  • près de 300 fermes offrant des paniers de produits frais selon la formule de l’agriculture soutenue par la communauté;
  • plus de 5000 entreprises qui font de la vente à la ferme.

Bilan des cent jours du gouvernement


 Publié le 9 janvier 2019

Sylvie D’Amours, ministre responsable des Affaires autochtones et ministre responsable de la région des Laurentides, est fière de souligner qu’aujourd’hui marquera les cent premiers jours du nouveau gouvernement du Québec. Ces premiers mois ont été caractérisés par la réalisation de plusieurs engagements électoraux. Après un discours d’ouverture bien accueilli, le nouveau gouvernement a livré la marchandise et a assuré une transition dans l’ordre, au bénéfice des Québécoises et Québécois.

« Je suis fière du bilan des cent premiers jours de notre gouvernement. C’est un honneur pour moi de faire partie de l’équipe du changement. Plusieurs de nos promesses sont déjà réalisées. Notre gouvernement est près des gens, et nous nous sommes rapidement retroussé les manches pour agir concrètement. Vous m’avez fait confiance; les Québécoises et Québécois ont fait confiance à l’équipe du changement, et notre gouvernement livre la marchandise. L’année 2019 est prometteuse! », a expliqué Sylvie D’Amours, ministre responsable des Affaires autochtones.

Avec l’éducation, l’économie et la santé comme priorités, le premier ministre, François Legault, et les 74 députées et députés de l’équipe ont l’intention de rester près des gens et d’être à l’écoute de la population afin de former un gouvernement à l’image des citoyennes et citoyens.

Promesses tenues

Le nouveau gouvernement a un bilan enviable en matière de promesses tenues. En effet, la ministre responsable de la région des Laurentides rappelle que, déjà, trois projets de loi majeurs ont été déposés à l’Assemblée nationale. Ces projets de loi permettront notamment de modifier le processus de nomination au DPCP, à la SQ et à l’UPAC, de resserrer l’encadrement sur le cannabis et de baisser les taxes scolaires. Un plan a également été déposé pour réduire les cibles d’immigration.

En seulement cent jours, de grands chantiers ont été entrepris pour le Québec. Les premiers pas vers une politique nationale des proches aidants ont été réalisés, alors qu’une grande journée de consultations a réuni des proches aidants et des organismes des quatre coins du Québec. Les travaux de revitalisation de l’Est de Montréal sont également enclenchés, dans la foulée de la signature d’une déclaration commune du Gouvernement du Québec et de la Ville de Montréal.

Venir en aide aux plus vulnérables

Le nouveau gouvernement a également annoncé des mesures pour remettre de l’argent dans les poches des contribuables, notamment à l’occasion de la mise à jour économique qui a permis la création de l’Allocation famille et d’un nouveau crédit d’impôt pour les aînés.

Un vent de changement souffle à l’Assemblée nationale

La ministre rappelle qu’après avoir réussi l’exploit de faire élire un parti qui n’avait jamais gouverné, le nouveau gouvernement se distingue par l’ouverture dont il a fait preuve en reconnaissant le Parti québécois et Québec solidaire comme groupes parlementaires. Un nombre record de femmes ont également été élues sous la bannière de la Coalition Avenir Québec.

« Notre gouvernement a bien fait les choses en peu de temps et nous comptons continuer à faire avancer nos dossiers à cette cadence. La population d’Abitibi-Est peut compter sur mon équipe et moi pour bien représenter leurs intérêts. Nous sommes fiers du bilan des cent jours et c’est avec un grand enthousiasme que j’entame cette nouvelle année. », a souligné Pierre Dufour, ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec.

Investissement de 300 000 $ pour promouvoir la région d’Eeyou Istchee Baie-James


 Publié le 8 janvier 2019

Le gouvernement du Québec est fier d’accorder une aide financière de 300 000 $ à Tourisme Baie-James pour la réalisation d’activités de promotion et de marketing visant à faire connaître la région d’Eeyou Istchee Baie-James sur les marchés touristiques hors Québec.

C’est ce qu’a annoncé aujourd’hui la ministre du Tourisme, Mme Caroline Proulx.

« L’investissement annoncé aujourd’hui contribuera sans aucun doute à vitaliser la magnifique région d’Eeyou Istchee Baie-James. La promotion de cette destination touristique à l’extérieur du Québec permettra l’accroissement du nombre de visiteurs, et ce, en harmonie avec la nature et dans le respect de son environnement. », a mentionné Caroline Proulx, ministre du Tourisme.

L’aide financière provient du Programme de soutien aux stratégies de développement touristique, volet 5 ‒ Appui à la Stratégie touristique québécoise au nord du 49e parallèle du ministère du Tourisme.

« La région d’Eeyou Istchee Baie-James gagne à être découverte, que ce soit pour ses grands espaces, ses forêts grandioses, sa faune diversifiée ou ses paysages à couper le souffle. Le soutien financier accordé par le gouvernement du Québec pour faire la promotion de la région sur une plus grande échelle permettra de mettre en valeur trois caractéristiques distinctes du territoire : la nature, la culture et le terroir. », a expliqué Pierre Dufour, ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec.

Faits saillants :

Tourisme Baie-James vise à mettre sur pied des campagnes promotionnelles ayant pour objectifs d’augmenter la notoriété d’Eeyou Istchee Baie-James et de contribuer à la reconnaissance de la région sur les marchés hors Québec, et ce, par le biais :

  • de relations de presse;
  • de promotions, de placements Web et médias, d’achat de mots-clés et réseaux sociaux;
  • de bourses;
  • de salons promotionnels et de foires;
  • d’alliances et de partenariats.
  • L’investissement du gouvernement du Québec permettra entre autres de stimuler la création d’emplois, l’augmentation du nombre de visiteurs et l’accroissement des dépenses touristiques dans la région.
  • La Stratégie touristique québécoise au nord du 49e parallèle vise à renouveler l’offre touristique québécoise en développant de nouveaux produits et attraits ainsi qu’en stimulant la croissance de petites et moyennes entreprises, permettant ainsi de diversifier l’économie des régions nordiques.

Nouveau programme d’études Intervention en gestion parasitaire


 Publié le 8 janvier 2019

Dans le but de répondre à un besoin de main-d’œuvre qualifiée en gestion parasitaire, le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge, a approuvé un nouveau programme d’études menant à une attestation d’études professionnelles. Cette formation, élaborée par la Commission scolaire des Premières-Seigneuries, pourra être offerte dès janvier 2019 par l’ensemble des commissions scolaires. Le député de Montmorency, M. Jean-François Simard, en a fait l’annonce aujourd’hui, au nom du ministre Roberge.

« Notre gouvernement est à l’écoute des besoins du marché du travail. L’approbation du nouveau programme d’études Intervention en gestion parasitaire, élaboré par la Commission scolaire des Premières-Seigneuries, en est d’ailleurs un excellent exemple. Je suis heureux pour les élèves qui pourront le suivre, mais également pour les entreprises de la région, qui pourront bénéficier d’une main-d’œuvre qualifiée. », a annoncé Jean-François Simard, député de Montmorency.

Depuis quelques années, certaines problématiques relatives à la présence d’animaux et d’insectes nuisibles, notamment les punaises de lit, sont en croissance. Ce nouveau programme d’études permettra de former davantage de techniciennes et techniciens en gestion parasitaire.

« Avec ce nouveau programme d’études, le réseau des commissions scolaires, notamment la Commission scolaire des Premières-Seigneuries, élargit son offre de services, au plus grand bénéfice des élèves, qui pourront assurément y trouver leur compte. C’est en posant des gestes concrets comme celui-ci que nous pourrons répondre aux besoins grandissants de main‑d’œuvre dans ce secteur d’activité. », a expliqué Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur.

Faits saillants

Au Québec, près de 800 personnes occupent un emploi de fumigateur ou fumigatrice ou de préposé ou préposée au contrôle de la vermine. Avec un taux de roulement de 6,6 %, le besoin en main-d’œuvre est d’une cinquantaine de personnes à former par année pour cette classe d’emploi.

Des cliniques d’hiver pour désengorger les urgences


 Publié le 8 janvier 2019

Tous les ministres de la Santé doivent réfléchir durant leur mandat à des solutions pour désengorger les urgences. Danielle McCann a dû rapidement se pencher sur cet enjeu et elle croit que l’implantation de cliniques d’hiver pourrait contribuer à désengorger le système.

La suite de l’article, ici.

Mission économique à Las Vegas


 Publié le 7 janvier 2019

À l’occasion d’une mission économique qui se déroulera du 8 au 11 janvier prochains à Las Vegas, le ministre de l’Économie et de l’Innovation, M. Pierre Fitzgibbon, participera à l’événement international Consumer Electronics Show (CES) afin de faire connaître et de mettre en valeur l’expertise du Québec dans des secteurs innovants, notamment celui des technologies de l’information et des communications.

Le ministre Fitzgibbon accompagnera la délégation du Québec, composée de plus de 75 participants, dont une cinquantaine d’entreprises et d’organismes. Ces organisations proviennent de différents domaines d’activité, tels que la réalité virtuelle, l’Internet des objets, les technologies de l’information et des communications, le transport et la culture.

« Dans une économie aussi ouverte que celle du Québec, la croissance des exportations et l’internationalisation des activités commerciales sont essentielles pour assurer notre prospérité et la création d’emplois. En organisant des missions économiques, le gouvernement confirme un soutien continu aux entreprises québécoises dans leur développement sur les marchés extérieurs en leur offrant la possibilité de mieux les connaître et d’y renforcer leur présence. Reconnu comme un chef de file en technologies innovantes, le Québec a beaucoup à offrir aux entreprises étrangères : une main-d’œuvre hautement qualifiée; des infrastructures de recherche privées et publiques importantes; divers centres de recherche et de transfert spécialisés; des universités de premier plan dans divers créneaux de pointe; un régime fiscal compétitif; et des sources de financement diversifiées. Sans contredit, la participation des entreprises québécoises au Consumer Electronics Show est une occasion incontournable de maillage international. », a souligné Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation.

Organisée par Export Québec, la mission au CES vise à soutenir les efforts déployés par les entreprises québécoises pour accéder aux marchés américains et internationaux des produits innovants en leur permettant de rencontrer les acheteurs sur place. Elle est réalisée en collaboration avec :

Les missions commerciales ont principalement pour objectif de favoriser les ventes et l’établissement de partenariats commerciaux, industriels et technologiques. Elles permettent également de renforcer les chaînes de valeur en liant les fournisseurs québécois aux grandes entreprises, en accélérant la commercialisation des idées et en élargissant l’accès aux marchés.

Faits saillants :

  • Le salon CES, qui se déroulera cette année du 8 au 11 janvier à Las Vegas, est l’un des événements les plus prisés au monde en matière d’innovation et de nouvelles technologies. Il ouvre la porte à de nombreuses occasions d’affaires pour les entreprises qui y participent.
  • Plus de 5 000 entreprises exposent annuellement leurs nouvelles technologies au salon CES. En 2018, il a accueilli quelque 180 000 personnes, parmi lesquelles se trouvaient près de 25 000 acheteurs. Cet événement, lors duquel se tiennent des kiosques d’exposition et plus de 300 conférences, représente sans contredit un incontournable pour les intervenants des secteurs de l’innovation technologique.