Investissement pour favoriser le vieillissement actif


 Publié le 12 février 2019

La ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, madame Marguerite Blais, la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, madame Andrée Laforest, ainsi que le député de Lac-Saint-Jean, monsieur Éric Girard, annoncent qu’un montant de 88 160 $ est octroyé à la Municipalité de Saint-Ludger-de-Milot pour l’installation d’un monte-personne à l’intérieur de la bibliothèque municipale.

« Des initiatives comme celle-ci me touchent particulièrement. L’ajout d’un monte-personne à la bibliothèque municipale de Saint-Ludger-de-Milot permettra à davantage d’aînés de fréquenter ce lieu, de participer aux activités qui s’y déroulent et de s’adonner au plaisir de la lecture. Cette nouvelle infrastructure aura un impact positif sur le vieillissement actif des aînés de la communauté, et nous sommes heureux d’encourager la municipalité dans la mise en œuvre de ces travaux. », a annoncé Marguerite Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants.

Dans le cadre du Programme d’infrastructures Municipalité amie des aînés (PRIMADA), cette aide financière est versée par le gouvernement du Québec afin de soutenir les municipalités engagées dans la démarche Municipalité amie des aînés (MADA). L’objectif est d’encourager la réalisation de petits projets d’infrastructures ou d’aménagement urbain répondant aux besoins des aînés.

« Offrir des services publics de qualité aux citoyens de toutes les régions du Québec est au cœur de mes préoccupations. Je me réjouis que notre gouvernement passe à l’action, de concert avec ses partenaires municipaux, pour créer des milieux de vie agréables et prospères pour les citoyens de tous les âges. », a souligné Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean.

« Je tiens à remercier les équipes derrière ce projet et à saluer l’initiative de la Municipalité de Saint‑Ludger-de-Milot, qui vise à fournir à de nombreux aînés des installations sécuritaires et adaptées à leur réalité et à leurs besoins. Nous sommes fiers de soutenir la réalisation de ce projet et d’aider les personnes aînées de la communauté à profiter des services de leur bibliothèque. », a déclaré Éric Girard, député de Lac-Saint-Jean.

Faits saillants :

  • En plus de permettre aux personnes d’accéder à la bibliothèque, le nouvel élévateur donnera également un accès accru aux toilettes, à la salle communautaire, à la salle du conseil et aux bureaux municipaux.
  • Les travaux incluent la démolition et l’excavation de l’entrée actuelle de la bibliothèque municipale, l’aménagement de la nouvelle entrée pour intégrer le monte-personne ainsi que l’installation d’un nouveau revêtement extérieur et de nouvelles portes. Le projet comporte également l’aménagement du nouveau palier et de la nouvelle entrée ainsi que les travaux d’électricité. Le gouvernement verse 88 160 $, alors que la Municipalité de Saint-Ludger-de-Milot contribuera à hauteur de 22 040 $, pour un coût total du projet de 110 200 $.
  • La démarche MADA applique le concept du vieillissement actif préconisé par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Elle est fondée sur l’adaptation des politiques, des infrastructures et des services municipaux au vieillissement de la population, en vue d’optimiser les possibilités de bonne santé, de participation sociale et de sécurité contribuant à accroître la qualité de vie des aînés.
  • Les municipalités qui ont adopté une politique et un plan d’action s’inscrivant dans la démarche MADA sont admissibles au PRIMADA, qui remplace le Programme PIQM-MADA depuis juin dernier, mais qui poursuit les mêmes objectifs. L’aide financière accordée à la Municipalité de Saint-Ludger-de-Milot découle de l’appel de projets tenu en 2017.
  • Rappelons que, depuis 2009, plus de 900 municipalités et MRC se sont engagées dans une démarche MADA. Aujourd’hui, plus de 90 % de la population du Québec vit dans une municipalité ou une MRC amie des aînés.
  • Divers projets favorisant le vieillissement actif sont possibles : amélioration de l’accès aux édifices municipaux, notamment par l’installation de rampes d’accès et d’ascenseurs dans des centres communautaires, aménagement de parcs, de sentiers pédestres ou de passages piétonniers, amélioration de l’éclairage urbain, rénovation de locaux municipaux pour la tenue d’activités destinées aux personnes aînées, etc.

Petits déjeuners offerts dans 15 services de garde en milieu défavorisé


 Publié le 11 février 2019

Pour favoriser l’égalité des chances de tous les enfants et promouvoir de saines habitudes de vie dès le plus jeune âge, le gouvernement du Québec annonce le déploiement du projet-pilote visant à offrir gratuitement des petits déjeuners aux enfants accueillis dans 15 services de garde éducatifs à l’enfance situés en milieu défavorisé.

« Notre gouvernement souhaite donner un bon départ à tous les enfants du Québec pour qu’ils puissent développer leur plein potentiel. Le petit déjeuner est un repas essentiel pour bien commencer la journée. Bien nourris le matin, les tout-petits sont dans un meilleur état d’esprit pour apprendre, découvrir et se développer de manière optimale, tant sur le plan physique que du point de vue cognitif. Je suis très heureux de pouvoir compter sur la collaboration du Club des petits déjeuners pour réaliser ce projet. Cet organisme possède une solide expertise ainsi qu’un vaste réseau de distribution. Il accompagnera de manière adéquate les services de garde participants pour qu’ils puissent offrir au quotidien des petits déjeuners nutritifs aux enfants qu’ils accueillent. », a annoncé Mathieu Lacombe, ministre de la Famille.

Le ministre de la Famille, M. Mathieu Lacombe, en a fait l’annonce aujourd’hui, en collaboration avec le Club des petits déjeuners. Ce projet-pilote permettra de vérifier s’il est possible de fournir quotidiennement des petits déjeuners dans des centres de la petite enfance (CPE) et des garderies subventionnées.

« L’équipe du Club des petits déjeuners se dévoue au bien-être des enfants et ce projet est en parfaite adéquation avec ses valeurs et ses objectifs. Non seulement la petite enfance est une période d’apprentissage cruciale, mais elle est aussi l’occasion pour l’enfant d’acquérir des habitudes qui influenceront ses choix alimentaires pour toute la vie. Je suis très fière que notre expertise, développée au cours de nos 24 années d’expérience en nutrition scolaire, soit maintenant mise au service des tout-petits. Le Club des petits déjeuners se considère comme privilégié d’accompagner les services de garde éducatifs à l’enfance dans cette aventure! », a souligné Marie-Claude Bienvenue, vice-présidente, Est du Canada, Club des petits déjeuners.

Faits saillants

Les installations de services de garde éducatifs à l’enfance qui participent au projet-pilote sont les suivantes :

Nom de l’installation

Région administrative

Municipalité

CPE Vision-Avenir

Outaouais

Gatineau

CPE Chapeaux ronds et bottillons

Laval

Laval

CPE « Kokom Tcitcatci »

Lanaudière

Manawan

CPE Notre-Dame inc.

Laurentides

Saint-Jérôme

Garderie Cafalaga

Montréal

Montréal

CPE Six saisons

Mauricie

Wemotaci

Garderie Le centre la bonté inc.

Montérégie

Longueuil

CPE Fardoche

Centre-du-Québec

Drummondville

CPE La licorne

Bas-Saint-Laurent

Rivière-du-Loup

CPE Les amis de la culbute

Saguenay-Lac-Saint-Jean

Roberval

CPE Pomme d’api inc.

Capitale-Nationale

Québec

CPE La marinière

Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine

Paspébiac

CPE La petite grenouille (1985)

Chaudière-Appalaches

Lévis

CPE Nuitsheuakan

Côte-Nord

Pessamit

CPE Uatikuss

Côte-Nord

Schefferville

Les installations participantes pourront recevoir les denrées du Club des petits déjeuners ou obtenir une allocation financière pour procéder aux achats localement.

Elles pourront également avoir droit à un appui financier du ministère de la Famille pour la préparation et la distribution des petits déjeuners.
Le projet-pilote a débuté à la fin de l’année 2018 et se terminera le 31 mars 2021.

Nouvel outil d’intervention pour faire face aux comportements inacceptables


 Publié le 11 février 2019

Dans le but d’outiller les différents intervenants qui sont confrontés à des situations jugées inacceptables dans le milieu du hockey mineur, un nouvel outil d’intervention a été lancé aujourd’hui par la ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine, Mme Isabelle Charest, en compagnie de M. Paul Ménard, directeur général de Hockey Québec, et de Mme Mélanie Bourque, intervenante pour Équijustice Arthabaska/Érable.

« La gestion des situations inadmissibles dans les arénas est un enjeu qui me préoccupe. Je souhaite que ce guide soit utilisé dans l’ensemble du réseau du hockey mineur au Québec. Les arénas sont des milieux de vie et il est essentiel que chacun y mette du sien pour que l’harmonie et la sécurité y règnent. La pratique d’un sport est une merveilleuse occasion de s’épanouir et les enfants méritent de pouvoir jouer au hockey dans un environnement sain, exempt de toute violence, quelle qu’elle soit. », a annoncé Isabelle Charest, ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine.

Le Guide de gestion de cas au hockey concernant les comportements inacceptables impliquant les parents aborde notamment la liste des comportements considérés inacceptables, les pratiques pour favoriser un bon climat et prévenir les débordements, les rôles et responsabilités de chacun ainsi que les outils disponibles pour mieux gérer les situations problématiques.

« Le Guide de gestion de cas est un outil qui cadre parfaitement avec l’une des orientations du plan stratégique de Hockey Québec, c’est-à-dire d’améliorer l’encadrement offert aux entraîneurs, aux bénévoles et aux parents du hockey mineur québécois. Il permettra certainement de sensibiliser le public aux comportements à adopter à l’aréna et je souhaite que nos associations de hockey mineur l’utilisent pour faire en sorte que les jeunes prennent plaisir à pratiquer leur sport favori. », a souligné Paul Ménard, directeur général, Hockey Québec.

« Nous désirons mobiliser les spectateurs et les inciter à aller chercher du soutien, entre autres par le biais du Service de médiation citoyenne. Nous souhaitons qu’il y ait une façon de faire, d’intervenir et de sanctionner facile à comprendre et uniforme pour que les matchs puissent se dérouler dans une ambiance positive. », a indiqué Mélanie Bourque, intervenante, Équijustice Arthabaska/Érable.

Faits saillants :

  • Le Guide est issu d’un partenariat entre le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur et Équijustice Arthabaska/Érable, auquel collabore Hockey Québec.
  • L’organisme Équijustice Arthabaska/Érable a été sélectionné en raison de son expertise en gestion de conflits et du projet de prévention de la violence au hockey mineur qu’il a réalisé dans sa région.
  • Un comité consultatif, auquel siégeaient huit membres représentant les principaux partenaires du hockey mineur, a participé à la réalisation du Guide.

Tournée des régions du Québec au Saguenay-Lac-Saint-Jean


 Publié le 11 février 2019

La ministre des Affaires municipales et de l’Habitation, ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean et députée de Chicoutimi, Mme Andrée Laforest, amorce officiellement sa tournée des régions du Québec au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Ce sera l’occasion pour elle de rencontrer des élus municipaux et régionaux afin de discuter des réalités et des priorités de leurs communautés.

« Il allait de soi que je commence ma tournée chez nous au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Les actions et les interventions du gouvernement s’inscriront dans une nouvelle vision de la régionalisation. Comme gouvernement, il nous faut développer un nouveau réflexe, un réflexe région! », a annoncé Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation, ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean et députée de Chicoutimi.

Tout d’abord, les échanges permettront de parler des enjeux propres à chaque région dans le but de mieux outiller les élus dans l’exercice de leurs compétences. Éventuellement, ces échanges contribueront à consolider les partenariats et à favoriser de nouvelles collaborations avec des acteurs de divers horizons. Plusieurs sujets seront abordés : l’habitation, l’urbanisme, le développement socioéconomique ainsi que l’aménagement l’occupation et la vitalité du territoire.

Ajout de 246 lits à Hôpital Pierre-Le Gardeur


 Publié le 11 février 2019

Le gouvernement du Québec annonce qu’il autorise un ajout de 246 lits à l’Hôpital Pierre-Le Gardeur de Terrebonne. Ces lits supplémentaires en soins de courte durée permettront notamment de réduire l’attente à l’urgence et d’améliorer les services offerts aux citoyens du sud de Lanaudière. Le premier ministre du Québec, M. François Legault, en a fait l’annonce, en compagnie de la ministre de la Santé et des Services sociaux, Mme Danielle McCann.

« Nous dénonçons la situation à l’Hôpital Pierre-Le Gardeur depuis longtemps, alors que nous étions dans l’opposition. Les gens d’ici doivent malheureusement faire face à l’un des pires temps d’attente aux urgences. Le gouvernement précédent était conscient de la situation, mais il s’est traîné les pieds pendant trop longtemps. Aujourd’hui, nous agissons pour réduire l’attente et nous le faisons pour améliorer les services par l’ajout de 246 nouveaux lits. C’est une annonce que les citoyens attendent depuis longtemps et qui va permettre de réduire l’encombrement aux urgences. », a annoncé François Legault, premier ministre.

Rappelons que le nouveau gouvernement s’était engagé à procéder rapidement à la bonification du projet d’agrandissement de l’Hôpital Pierre-Le Gardeur afin d’assurer la pérennité et la qualité des soins dans la région de Lanaudière, qui doit composer avec une forte croissance démographique et le vieillissement de sa population. Ainsi, le nombre total de lits sera de 246 lits, comparativement aux 150 annoncés par le gouvernement précédent, qui étaient nettement insuffisants.

« L’ajout que nous annonçons aujourd’hui offrira suffisamment de lits à courte durée pour assurer une gestion plus efficace des urgences. L’agrandissement permettra aussi d’éviter que les patients en fin de soins actifs accaparent des lits consacrés aux urgences. Concrètement, pour les gens d’ici, ça veut dire moins de temps d’attente aux urgences et de meilleurs soins. », a déclaré Danielle McCann, ministre de la Santé et des Services sociaux.

Faits saillants :

  • Une analyse des besoins de la population servie par le Centre intégré de santé et de services sociaux de Lanaudière a démontré la nécessité de rehausser le nombre de lits prévu au projet d’agrandissement de l’Hôpital Pierre-Le Gardeur. Cette analyse est fondée sur l’évolution démographique de la région par strates d’âge et sur des indicateurs de pertinence clinique hospitalière.
  • Rappelons que le projet d’agrandissement vise plusieurs secteurs névralgiques de l’Hôpital Pierre-Le Gardeur, notamment l’unité de soins en médecine et chirurgie, l’unité de soins obstétriques, de néonatalogie et de pédiatrie, l’unité de soins en psychiatrie, le bloc opératoire, l’inhalothérapie et la pneumologie, l’endoscopie ainsi que l’électrophysiologie médicale. La réalisation du dossier d’opportunité est en cours et devrait être terminée d’ici mai prochain.
  • La Société québécoise des infrastructures (SQI) agit comme gestionnaire de ce projet d’envergure.

En action pour faire de l’éducation une priorité collective


 Publié le 11 février 2019

Le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, M. Jean‑François Roberge, a profité du lancement des Journées de la persévérance scolaire pour réaffirmer que le gouvernement du Québec est en action pour faire de l’éducation une priorité collective et pour rappeler que chacun de nos gestes d’encouragement contribue à la réussite des jeunes.

Le coup d’envoi de cette 14e édition à l’école primaire Lévis-Sauvé de Verdun a donné l’occasion au ministre Roberge d’inviter la population à participer aux nombreuses activités qui se dérouleront jusqu’au 15 février dans les écoles et les municipalités du Québec sur le thème Nos gestes, un + pour leur réussite. Le ministre a également tenu à remercier les instigateurs de ces journées ainsi que leur porte-parole, M. Laurent Duvernay-Tardif, pour leur implication pour cette cause.

Initiative des Instances régionales de concertation pour la persévérance scolaire et la réussite éducative du Québec (IRC), ces journées visent à sensibiliser les différents acteurs de la société à l’importance d’agir ensemble pour favoriser la persévérance scolaire chez les jeunes de façon qu’ils obtiennent un diplôme ou une qualification.

« Les Journées de la persévérance scolaire nous rappellent que la réussite scolaire des jeunes repose sur la contribution de tous. Nous pouvons, par nos paroles et nos actes quotidiens, susciter l’intérêt des jeunes et des moins jeunes envers l’école. Chaque geste les rapproche de la réussite. Je suis convaincu que nous sommes sur la bonne voie en prenant les moyens pour soutenir les personnes qui ont des retards de développement ou des défis particuliers, et ce, dès leur plus jeune âge, parce qu’il est plus facile de persévérer quand les barrières sont levées et que nous sommes motivés. », a déclaré Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur.

« La persévérance scolaire est un sujet universel. Elle touche tout le monde. Nous avons tous dû, à différentes périodes de notre vie, relever des défis, nous retrousser les manches ou affronter nos peurs. Nous avons une responsabilité collective face aux défis liés à l’éducation et à l’apprentissage. Chacun a un rôle à jouer pour aider les élèves et les étudiants en difficulté et leur donner le goût de poursuivre leurs études.”, a ajouté Isabelle Charest, ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine.
Faits saillants :

En 2018-2019, le gouvernement du Québec a accordé 13,3 millions de dollars aux IRC pour soutenir leurs activités.
Les IRC du Québec ont pour mandat de soutenir des organismes œuvrant auprès des jeunes, de mobiliser des acteurs régionaux, de développer des partenariats locaux et d’offrir des services aux écoles, aux organismes scolaires, aux entreprises et à la population pour contribuer à l’atteinte des objectifs de persévérance scolaire et de réussite éducative.

Journées de la persévérance scolaire : http://www.journeesperseverancescolaire.com/

Prévenir et contrer les violences sexuelles et lutter contre l’homophobie et la transphobie


 Publié le 8 février 2019

Le gouvernement du Québec est fier de soutenir la tenue du Forum LEXIC², portant sur la lutte contre les violences sexuelles vécues par les personnes des communautés lesbienne, gaie, bisexuelle, trans et queer (LGBTQ+).

Cet événement s’inscrit dans la mise en œuvre de la Stratégie gouvernementale pour prévenir et contrer les violences sexuelles 2016-2021 et du Plan d’action gouvernemental de lutte contre l’homophobie et la transphobie 2017-2022 en contribuant notamment à l’échange et au transfert d’expertise sur les violences sexuelles entre les intervenantes et intervenants de différents milieux, ainsi qu’en soutenant des actions visant la création de milieux sécuritaires et inclusifs pour les personnes LGBTQ+.

« En tant que ministre responsable de la Lutte contre l’homophobie, la thématique du Forum LEXIC2 m’interpelle. La lutte contre les violences sexuelles chez les personnes LGBTQ+ est une priorité pour notre gouvernement. Je suis convaincue que les échanges qui se tiendront lors de ce forum permettront de jeter un meilleur éclairage sur cette problématique et qu’ils contribueront à définir des pistes d’action pertinentes pour l’avenir ainsi que des solutions adaptées aux réalités des personnes LGBTQ+. Je remercie les organisateurs du Forum pour cette initiative importante. », a souligné Sonia LeBel, ministre de la Justice, procureure générale du Québec et ministre responsable de la lutte contre l’homophobie.

Un montant de 64 700 $ a été octroyé par le gouvernement du Québec à l’Association étudiante du Cégep de Sherbrooke pour l’organisation de cet événement.

Projet d’investissement d’Agropur de 55,8 M$


 Publié le 8 février 2019

Le gouvernement du Québec est fier d’accorder 26,4 millions de dollars à la coopérative laitière Agropur pour son projet d’investissement de 55,8 M$. Ce projet permettra d’importantes retombées économiques pour la Beauce, notamment en améliorant la productivité et la compétitivité de l’usine de Beauceville et en générant la création de 26 emplois payants, dont 15 dès la première phase de modernisation.

C’est le premier ministre du Québec, M. François Legault, en compagnie de la ministre déléguée au Développement économique régional et ministre responsable des régions de Chaudière-Appalaches, du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Mme Marie-Eve Proulx, qui en a fait l’annonce aujourd’hui.

« En matière d’économie, la réduction de l’écart de richesse du Québec avec le reste du Canada est un objectif fondamental de mon gouvernement. Pour créer plus de richesse chez nous, il faut améliorer la productivité et la compétitivité des entreprises dans toutes les régions du Québec, en plus de créer des emplois payants qui tireront le salaire moyen du Québec vers le haut. C’est exactement ce que vise le projet d’Agropur. Cette entreprise fait partie de notre quotidien à table depuis plus de quatre-vingts ans et compte 8 800 employés. C’est avec une grande fierté que nous appuyons la croissance d’Agropur en Chaudière-Appalaches. », a annoncé François Legault, premier ministre du Québec.

Cette initiative vise l’automatisation et la robotisation des activités de conditionnement de fromage de l’usine ainsi que l’ajout de nouvelles chaînes pour la découpe et le râpage, notamment. Elle lui permettra d’augmenter sa capacité de production, d’améliorer sa productivité et de maintenir ainsi sa compétitivité.

« Par sa participation au projet d’Agropur, le gouvernement du Québec favorise l’attraction d’investissements majeurs dans Chaudière-Appalaches et met en place les conditions gagnantes pour assurer le développement de la région à long terme. C’est une façon concrète d’investir à la fois dans l’économie régionale et dans la communauté de Beauceville afin de la rendre toujours plus attrayante pour les générations d’aujourd’hui et de demain. », a déclaré Marie-Eve Proulx, ministre déléguée au Développement économique régional et ministre responsable des régions de Chaudière-Appalaches, du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine.

« Dans un contexte de marché très concurrentiel, nous devons accélérer notre développement en investissant dans notre compétitivité, tout en contribuant à la vitalité de nos régions. Cet investissement visant la modernisation de notre usine de Beauceville s’inscrit dans la stratégie de long terme pour notre entreprise. Nous sommes fiers de notre modèle d’affaires coopératif qui place au cœur de sa mission le partage de la richesse. Nous continuerons d’offrir au consommateur, à chaque achat d’un produit Agropur, une façon pour lui de contribuer à l’économie d’ici. », a souligné René Moreau, président d’Agropur.

« Cet investissement viendra soutenir la croissance d’Agropur en nous permettant de nous positionner encore davantage comme un partenaire de choix dans un marché en pleine consolidation à l’échelle nord-américaine. La première phase permettra d’implanter une technologie de pointe dans notre usine de Beauceville qui contribuera à augmenter le volume de production et développera la capacité de découpe et de conditionnement de cette installation, ce qui est stratégique pour notre entreprise. », a indiqué Robert Coallier, chef de la direction d’Agropur.

Faits saillants :

  • Fondée en 1938, l’entreprise Agropur fait partie des 20 plus grands transformateurs laitiers au monde. Elle compte 28 usines au Canada, dont 13 au Québec, et 11 usines aux États-Unis. Propriété de 3161 membres la Coopérative emploie en tout 8 800 personnes, dont 3 600 au Québec.
  • Son usine de Beauceville, en activité depuis 1973, se spécialise dans la production de produits de beurre et d’ingrédients laitiers ainsi que dans le conditionnement de fromage.
  • Le programme ESSOR du ministère de l’Économie et de l’Innovation vise à appuyer, dans une perspective d’accroissement de la compétitivité et de la productivité, de création d’emplois et de développement durable, les projets d’investissement réalisés au Québec. La contribution gouvernementale consentie pour la réalisation du projet d’investissement de 55,8 M$ totalise 26,4 M$ sous la forme d’un prêt de 21,7 millions de dollars et d’une contribution financière non remboursable de 4,7 millions de dollars.
  • La première phase de modernisation, qui prévoit la création de 15 emplois, est de 23,5 millions de dollars et comprend un appui de 11,1 millions de dollars de la part du gouvernement du Québec.

Inauguration d’un nouveau centre de jour pour aînés à Saint-Jean-Port-Joli


 Publié le 8 février 2019

La ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, madame Marguerite Blais, souligne aujourd’hui l’inauguration d’un nouveau centre de jour pour les aînés de la MRC de L’Islet. Ce projet, qui représente un investissement total de 920 000 $, permettra d’améliorer l’accessibilité des services offerts aux aînés en perte d’autonomie de la région.

« L’ouverture de ces nouveaux locaux représente un gain considérable de qualité de vie pour de nombreux aînés de la région. Nous avons à cœur de soutenir des initiatives comme celles-ci, qui font une réelle différence dans le quotidien des aînés en perte d’autonomie. Ce centre de jour, en plus d’être un lieu de socialisation important pour ces personnes, contribuera également à les garder en santé le plus longtemps possible, en plein cœur de leur milieu de vie, entourées de leurs proches. Il s’agit d’une mesure concrète visant à briser l’isolement des aînés en perte d’autonomie de la région. Nous en sommes fiers et ravis. », a annoncé Marguerite Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants.

Ce centre de jour a ouvert ses portes le 15 novembre dernier, après des travaux qui avaient débuté en mai 2018. Le projet, qui a consisté à aménager une partie des locaux du Centre d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD) de Saint-Jean-Port-Joli et à acheter l’équipement nécessaire, a aussi bénéficié du soutien de la communauté. En effet, la Fondation des services santé de la MRC de L’Islet a contribué à une partie du financement total du projet, à hauteur de 30 000 $.

L’emplacement stratégique de ce centre de jour contribuera à l’amélioration de la qualité de vie de la clientèle. D’une part, ce lieu évitera aux usagers des déplacements allant de 30 minutes à 1 h 15, et d’autre part, le centre sera davantage à proximité des équipes de soutien à domicile du CLSC de Saint-Jean-Port-Joli.

Faits saillants :

C’est à la suite de la fermeture du CHSLD de Saint-Eugène, en 2008, que le centre de jour de la MRC de L’Islet Nord avait dû être déménagé au CHSLD de Cap-Saint-Ignace, dans la MRC de Montmagny. L’ouverture de ce nouveau centre de jour s’inscrit à la suite des travaux réalisés dans le cadre de l’agrandissement du CHSLD de Saint-Jean-Port-Joli.

Rappelons que le centre de jour est un maillon important du programme-services de soutien à l’autonomie des personnes âgées (SAPA). Il fournit des services spécifiques dans une modalité ambulatoire, et permet de répondre aux besoins des personnes âgées en perte d’autonomie dans le cadre d’activités structurées. Il vise notamment à promouvoir la santé globale et à prévenir la détérioration de l’état de santé, à maintenir et à améliorer des acquis fonctionnels et cognitifs et à favoriser l’intégration sociale, en plus d’offrir du répit aux proches aidants.

Dépistage des difficultés visuelles offert gratuitement à l’école


 Publié le 8 février 2019

Toujours dans l’objectif d’identifier les difficultés qui pourraient nuire à l’apprentissage et les éliminer, le gouvernement du Québec accorde une aide financière de plus de 15 millions de dollars sur trois ans à la Fondation des maladies de l’œil pour assurer le dépistage des difficultés visuelles chez les enfants de l’éducation préscolaire.

Le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge, a fait cette annonce aujourd’hui.

« L’identification et la correction des difficultés visuelles constituent un outil de prévention de difficultés d’apprentissage. Par cet investissement, nous démontrons notre engagement à prévenir les problèmes que peuvent avoir les enfants et à favoriser leur réussite. Aujourd’hui, nous donnons suite à une promesse pertinente, mais jamais livrée, du précédent gouvernement. », a annoncé Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur.

Dès maintenant, des examens sommaires de la vue, faits par des optométristes, seront offerts gratuitement dans les écoles à tous les élèves de l’éducation préscolaire, et ce, dans l’ensemble des régions du Québec. À la suite du dépistage révélant un trouble de la vue, les parents seront avisés de manière à ce qu’ils consultent un optométriste en clinique pour un examen visuel complet sans frais et que des mesures soient prises pour corriger le problème, le cas échéant.

« Le Plan national d’examens sommaires de la vue est sans conteste un projet de société. Chaque année, depuis plusieurs années, près de 90 000 enfants de 4 et 5 ans entrent dans le réseau scolaire. À leur entrée, 72 000 d’entre eux n’ont jamais fait examiner leurs yeux par un optométriste. Quand on sait que 80 % de l’apprentissage passe par la vision, offrir systématiquement un examen sommaire de la vue dans les écoles primaires, c’est agir de façon responsable pour l’avenir des enfants du Québec. », a souligné Steeve Lachance, directeur général de la Fondation des maladies de l’œil.

Des programmes de sensibilisation s’adressant aux parents d’enfants de 3 à 5 ans seront élaborés par la Fondation des maladies de l’œil pour souligner l’importance d’un examen de la vue avant l’entrée à la maternelle.

Faits saillants :

  • L’aide financière accordée servira à couvrir les frais liés à l’organisation des examens sommaires de la vue à l’école et à l’élaboration de campagnes de sensibilisation pour une période de trois années consécutives, soit de 2018‑2019 à 2020-2021.
  • La Fondation des maladies de l’œil est un organisme sans but lucratif qui a pour mission de promouvoir la santé visuelle. Depuis 13 ans, elle développe une expertise dans l’organisation de dépistages visuels à l’école.
  • Rappelons que les examens oculovisuels de base sont couverts par la Régie de l’assurance maladie du Québec pour les personnes de moins de18 ans et pour celles de 65 ans et plus, et ce, une fois par année.
  • Un comité de vigie sera mis sur pied pour orienter la mise en œuvre du projet, en plus de veiller aux dispositions relatives à l’assurance qualité du programme de dépistage, incluant le consentement éclairé des parents. La Fondation des maladies de l’œil travaillera en étroite collaboration avec les partenaires siégeant au comité de vigie.
  • Voici les membres du comité de vigie :
  • Fondation des maladies de l’œil;
  • Ordre des optométristes du Québec;
  • Association des optométristes du Québec;
  • École d’optométrie de l’Université de Montréal;
  • Association des directeurs généraux des commissions scolaires;
  • Association des directeurs généraux des commissions scolaires anglophones du Québec;
  • Ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur;
  • Ministère de la Santé et des Services sociaux;
  • Services régionaux de soutien et d’expertise en adaptation scolaire (déficience visuelle);
  • Ministère de la Famille, à titre d’observateur.