3,5 M$ pour des classes de qualité dès la prochaine rentrée scolaire


 Publié le 12 mars 2019

Le gouvernement du Québec accorde une somme de plus de 3,5 millions de dollars aux commissions scolaires Marguerite-Bourgeoys et de Laval pour que l’ensemble de leurs élèves aient accès à des classes de qualité dès la prochaine rentrée scolaire. L’aide financière accordée leur permettra d’aller de l’avant avec leur projet d’acquisition et d’installation de maisons-classes. Ces maisons-classes permettront aux écoles concernées d’accueillir tous les élèves de leur secteur et de poursuivre leur mission d’éducation dans des milieux de vie de qualité appréciés autant des enseignants que des élèves d’ici la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement d’écoles existantes dans ces régions.

Le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge, et le député de Sainte-Rose et adjoint parlementaire du premier ministre pour les relations avec les Québécois d’expression anglaise, M. Christopher Skeete, en ont fait l’annonce aujourd’hui lors de leur passage à l’école de l’Avenir de Laval.

« Les maisons-classes sont une solution innovante pour répondre, à court terme, au manque d’espace que connaissent certaines commissions scolaires et pour permettre à nos écoles d’accueillir tous les élèves de leur secteur. Ces maisons ont été appréciées au plus haut point des enseignants et des élèves qui ont eu la chance d’y passer du temps lors du projet-pilote de la Commission scolaire de Laval. Je suis convaincu que ces nouvelles classes feront le bonheur des élèves, qui y trouveront un environnement agréable et propice à leurs apprentissages. D’ici la construction de nouvelles écoles et l’agrandissement d’écoles existantes dans ces secteurs, ces espaces alternatifs de qualité viennent répondre à un besoin immédiat. », a déclaré Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur.

La Commission scolaire de Laval recevra une aide financière de 1 800 000 $ pour installer dix maisons-classes. Quatre d’entre elles seront reliées à l’école secondaire Saint-Martin, alors que les six autres seront destinées au secteur Chomedey, pendant la construction de deux écoles primaires. De son côté, la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys pourra compter sur un montant de 1 710 188 $ pour l’installation de six maisons-classes de deux étages reliées à l’école secondaire Mont-Royal.

« La population de Laval ne cesse de croître et nous devons faire preuve de créativité dans notre offre de services éducatifs. Les maisons-classes cadrent parfaitement avec cette orientation. Je me réjouis au plus haut point pour les familles et les élèves de Sainte-Rose, qui pourront profiter d’un milieu de vie scolaire à la hauteur de leurs attentes. Il s’agit aussi d’une bonne nouvelle pour les élèves de la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys qui auront accès à ces classes nouveau genre. », a souligné Christopher Skeete, député de Sainte-Rose et adjoint parlementaire du premier ministre pour les relations avec les Québécois d’expression anglaise.

Faits saillants

  • Le projet-pilote a été réalisé cette année à l’école primaire de l’Avenir, dans le quartier de Chomedey. Une aide financière de 600 000 $ avait alors été allouée à la Commission scolaire de Laval.
  • Les maisons-classes sont conçues pour bien s’intégrer à leur environnement et pour facilement être déplacées une fois leur mandat accompli.
  • Elles peuvent ainsi être utilisées par une autre école qui en aurait besoin.
  • Les maisons-classes permettent de répondre à des besoins à court terme en matière d’espace, en attendant la construction de nouvelles écoles ou l’agrandissement d’écoles existantes.

Plus de 515 M$ seront investis en Montérégie


 Publié le 11 mars 2019

Le gouvernement du Québec annonce la liste de tous les projets routiers et maritimes du ministère des Transports en Montérégie pour les années 2019-2021. Le ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel, et le ministre responsable de l’Administration gouvernementale, président du Conseil du trésor et ministre responsable de la région de la Montérégie, M. Christian Dubé, en ont fait l’annonce aujourd’hui.

Ces projets, qui visent à agir concrètement sur l’état des infrastructures, totalisent des investissements de 515 504 000 $ dans la région de la Montérégie. Contrairement aux années antérieures, le gouvernement du Québec opte pour la transparence en rendant public l’ensemble des projets pour lesquels :

  • des travaux sont prévus en 2019-2020;
  • des activités de préparation sont prévues en 2019-2020 dans l’objectif de démarrer des travaux en 2020-2021.

« En investissant massivement comme nous le faisons aujourd’hui dans le réseau routier, notre gouvernement contribue à améliorer et à maintenir nos infrastructures. Contrairement à la pratique des anciens gouvernements, nous misons désormais sur la transparence dans les investissements routiers. Cela permettra aux citoyens d’avoir un regard complet sur la totalité des projets pour lesquels des travaux sont prévus au cours des deux prochaines années et d’obtenir une reddition de comptes du Ministère. », a souligné François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie.

« L’annonce d’aujourd’hui démontre l’importance qu’accorde le gouvernement du Québec au développement économique et à la vitalité de la Montérégie. Avec ces investissements, nous offrons aux gens d’ici des infrastructures qui, par leur efficacité et leur sécurité, rehaussent leur qualité de vie dans leurs déplacements de tous les jours. Notre gouvernement entend aussi continuer à être attentif aux besoins des municipalités de la région. », d’ajouter Christian Dubé, ministre responsable de l’Administration gouvernementale, président du Conseil du trésor et ministre responsable de la région de la Montérégie.

Faits saillants :

Pour la région de la Montérégie :

  • 204 009 000 $ seront investis dans la réalisation de projets routiers visant à assurer des chaussées en bon état;
  • 223 834 000 $ seront investis dans la réalisation de projets routiers visant à assurer des structures en bon état;
  • 75 126 000 $ seront investis dans la réalisation de projets routiers visant à assurer un réseau efficace et sécuritaire.
  • Parmi les projets, mentionnons :
  • l’asphaltage de l’autoroute 30, en direction est, entre la route 116 et l’autoroute 20, à Boucherville et à Saint‑Bruno‑de‑Montarville;
  • la reconstruction du pont au-dessus de la décharge des Vingt, sur la route 133, à Sainte-Anne-de-Sabrevois;
  • l’asphaltage de la route 139, entre la rue Pierrette à Saint-Alphonse-de-Granby et le boulevard Industriel à Granby;
  • le réaménagement de l’intersection de la route 139 et de la rue Brodeur à Saint-Alphonse-de-Granby.
  • Des investissements sont prévus pour la réalisation de 3 projets maritimes.
  • Près de 3,8 M$ seront investis afin d’assurer le maintien en bon état de ponceaux et structures situés sur des emprises ferroviaires abandonnées.
  • Notons que 63 771 000 $ du montant global investi en 2019-2021 dans la région proviennent des partenaires.

Plus de 160 M$ seront investis en Outaouais


 Publié le 11 mars 2019

Le gouvernement du Québec dévoile tous les projets routiers du ministère des Transports en Outaouais pour les années 2019-2021. Le ministre de la Famille et ministre responsable de la région de l’Outaouais, M. Mathieu Lacombe, en a fait l’annonce aujourd’hui au nom ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel.

« L’annonce d’aujourd’hui démontre l’importance qu’accorde le gouvernement du Québec au développement économique et à la vitalité de l’Outaouais. Avec ces investissements, nous offrons aux gens d’ici des infrastructures qui, par leur efficacité et leur sécurité, rehaussent leur qualité de vie dans leurs déplacements de tous les jours. Notre gouvernement entend aussi continuer à être attentif aux besoins des municipalités de la région. », a déclaré Mathieu Lacombe, ministre de la Famille et ministre responsable de la région de l’Outaouais.

« En investissant massivement comme nous le faisons aujourd’hui dans le réseau routier, notre gouvernement contribue à améliorer et à maintenir nos infrastructures. Contrairement à la pratique des anciens gouvernements, nous misons désormais sur la transparence dans nos investissements. Cela permettra aux citoyens de l’Outaouais et de partout au Québec d’avoir un regard complet sur la totalité des projets pour lesquels des travaux sont prévus au cours des deux prochaines années et d’obtenir une reddition de comptes du Ministère. », a annoncé François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie.

Ces projets, qui visent à agir concrètement sur l’état des infrastructures du Ministère, totalisent des investissements de 160 245 000 $ dans la région de l’Outaouais. Contrairement aux années antérieures, le gouvernement du Québec opte pour la transparence en rendant public l’ensemble des projets pour lesquels :

des travaux sont prévus en 2019-2020;
des activités de préparation sont prévues en 2019-2020 dans l’objectif de démarrer des travaux en 2020-2021.

Faits saillants :

Pour la région de l’Outaouais

  • 79 541 000 $ seront investis dans la réalisation de projets routiers visant à assurer des chaussées en bon état;
  • 48 327 000 $ seront investis dans la réalisation de projets routiers visant à assurer des structures en bon état;
  • 31 264 000 $ seront investis dans la réalisation de projets routiers visant à assurer un réseau efficace et sécuritaire.
  • Parmi les projets, mentionnons :
  • l’asphaltage et la réfection de ponceaux sur l’autoroute 50, entre le boulevard Lorrain et la montée Mineault. Il s’agit de travaux d’asphaltage dans les deux directions de l’autoroute 50 sur un distance de 13 kilomètres, et de la reconstruction et du remplacement de 3 ponceaux;
  • la réfection de chaussées et de ponceaux du chemin Baskatong à Grand‑Remous. Ce projet consiste à asphalter 16 kilomètres de route et à effectuer la réfection de 7 ponceaux;
  • l’asphaltage de la route 148, de la rue Alphé-Patry jusqu’à la limite municipale de Lochaber-Partie-Ouest. Ces travaux seront effectués sur 4,5 kilomètres.
  • 1 113 000 $ seront investis afin d’assurer le maintien en bon état de ponceaux et structures situés sur des emprises ferroviaires abandonnées.
  • Notons que 4 407 000 $ du montant global investi en 2019-2021 dans la région proviennent des partenaires.

Près de 190 M$ investis en Estrie


 Publié le 11 mars 2019

Le gouvernement du Québec annonce la liste de tous les projets routiers du ministère des Transports en Estrie pour les années 2019-2021. Le ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel, en a fait l’annonce aujourd’hui.

« En investissant massivement comme nous le faisons aujourd’hui dans le réseau routier, notre gouvernement contribue à améliorer et à maintenir nos infrastructures. Contrairement à la pratique des anciens gouvernements, nous misons désormais sur la transparence dans les investissements routiers. Cela permettra aux citoyens de l’Estrie et de partout au Québec d’avoir un regard complet sur la totalité des projets pour lesquels des travaux sont prévus au cours des deux prochaines années et d’obtenir une reddition de comptes du Ministère. », a déclaré François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie.

Ces projets, qui visent à agir concrètement sur l’état des infrastructures, totalisent des investissements de 189 808 000 $ dans la région de l’Estrie. Contrairement aux années antérieures, le gouvernement du Québec opte pour la transparence en rendant public l’ensemble des projets pour lesquels :

  • des travaux sont prévus en 2019-2020;
  • des activités de préparation sont prévues en 2019-2020 dans l’objectif de démarrer des travaux en 2020-2021.

Faits saillants :

Pour la région de l’Estrie :

  • 78 061 000 $ seront investis dans la réalisation de projets routiers visant à assurer des chaussées en bon état;
  • 39 721 000 $ seront investis dans la réalisation de projets routiers visant à assurer des structures en bon état;
  • 72 026 000 $ seront investis dans la réalisation de projets routiers visant à assurer un réseau efficace et sécuritaire, notamment en donnant suite à des recommandations du bureau du coroner.
  • Parmi les projets, mentionnons :
  • la dernière étape de la Phase II du prolongement de l’autoroute 410 à Sherbrooke, soit la construction du nouveau tronçon d’autoroute entre l’échangeur de la route 108-143 et la route 108;
  • l’asphaltage de l’autoroute 610 en direction est à Sherbrooke, entre l’autoroute 10-55 et la route 112;
  • la reconstruction du pont de fer à Lambton, sur la route 253 au-dessus du grand lac Saint-François.
  • Notons que 25 985 000 $ du montant global investi en 2019-2021 dans la région proviennent des partenaires.

Présence des femmes et des jeunes dans les lieux décisionnels et consultatifs de plusieurs territoires


 Publié le 11 mars 2019

Le Conseil du statut de la femme publie la mise à jour de sa compilation statistique qui met en valeur la représentation des femmes et des jeunes dans différents lieux décisionnels ou consultatifs du territoire d’Eeyou Istchee de la région du Nord-du-Québec.

Depuis 2003, le Conseil du statut de la femme collige des données régionales sur la présence des femmes et des jeunes dans ces lieux, et ce, en partenariat avec Citoyenneté jeunesse. Ces données permettent de suivre l’évolution de la situation au fil des ans pour chaque région comme pour l’ensemble du Québec.

En 2018, sur le territoire d’Eeyou Istchee, une progression de la représentation des femmes est constatée dans plusieurs secteurs d’activité. Bien que les femmes occupent au moins 40 % des sièges dans bon nombre d’instances, elles demeurent sous-représentées dans d’autres.

À la lumière des faits saillants régionaux, mentionnons que :

  • Dans le secteur d’Eeyou Istchee de la région du Nord-du-Québec, en 2018, la proportion de femmes atteint ou dépasse légèrement la zone paritaire (entre 40 et 60 %) au Conseil régional des partenaires du marché du travail (50 %), au Conseil des jeunes de la nation crie (52 %), au conseil des commissaires (60 %) et au Conseil cri de la santé et des services sociaux de la Baie-James (62 %).
  • Les femmes de ce territoire demeurent, en 2018, sous-représentées au conseil exécutif (20 %) et au conseil d’administration (25 %) du Gouvernement de la nation crie, au conseil du Gouvernement régional d’Eeyou Istchee Baie-James (partie crie) (36 %), de même qu’au conseil d’administration de l’Association crie de pourvoirie et de tourisme et de Tourisme Eeyou Istchee (17 %).
  • Les jeunes de 35 ans et moins sont peu présents, sinon absents, des instances du territoire en 2018, sauf au Conseil des jeunes de la nation crie (100 %) et au conseil d’administration du Conseil cri de la santé et des services sociaux de la Baie-James (15 %).

Le Conseil du statut de la femme a pour mission de conseiller le gouvernement du Québec et d’informer la population sur les questions d’égalité entre les femmes et les hommes.

(suite…)

Lutte contre la problématique du sextage chez les jeunes


 Publié le 8 mars 2019

La vice-première ministre, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, Mme Geneviève Guilbault, ainsi que le député de Saint-Jérôme et adjoint parlementaire du ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, M. Youri Chassin, ont annoncé aujourd’hui une subvention de 75 000 $ à la Ville de Saint-Jérôme pour lutter contre la problématique du sextage chez les jeunes.

« Le sextage est un problème qui prend de plus en plus d’ampleur dans notre société. Les actions entreprises par le Service de police de la Ville de Saint-Jérôme, en partenariat avec le Bureau des affaires de la jeunesse du Directeur des poursuites criminelles et pénales, cadrent en tous points avec l’approche privilégiée par notre gouvernement afin de sensibiliser les jeunes à ce fléau. C’est pourquoi je tiens à féliciter les responsables pour leur initiative aussi efficace qu’humaine. », a déclaré Geneviève Guilbault, vice-première ministre, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de Capitale-Nationale.

Découlant du Programme de prévention et d’intervention en matière d’exploitation sexuelle des jeunes (PPI) du ministère de la Sécurité publique (MSP), ce montant permettra d’implanter la trousse d’intervention Sexto au sein des corps de police et des écoles secondaires de Terrebonne, de Joliette et de Laval.

« Je suis fier de constater que la trousse d’intervention Sexto, qui a vu le jour dans notre région, fera l’objet d’un déploiement dans les corps de police et les écoles secondaires de Terrebonne, de Joliette et de Laval. L’approche collaborative proposée constitue un exemple à suivre pour les autres corps de police aux prises avec ce phénomène. », a souligné Youri Chassin, député de Saint-Jérôme et adjoint parlementaire du ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur.

Faits saillants :

  • Le PPI du MSP s’inscrit dans le cadre de la Stratégie gouvernementale pour prévenir et contrer les violences sexuelles 2016-2021.
  • Il vise à favoriser la mise en œuvre d’actions préventives destinées à réduire l’exploitation sexuelle des jeunes.
  • Les projets financés s’appuient sur un diagnostic local, sont élaborés en concertation avec les partenaires et les intervenants du milieu, et présentent une démarche structurée et cohérente de prévention et d’intervention.
  • Les subventions accordées aux organisations peuvent être renouvelables pour la durée du programme, soit jusqu’en 2020-2021.

Parité femmes-hommes pour les représentants du Québec à l’étranger


 Publié le 8 mars 2019

En cette Journée internationale des femmes, la ministre des Relations internationales et de la Francophonie, Nadine Girault, s’est engagée à viser constamment la parité femmes-hommes pour les chefs de poste des représentations du Québec à l’étranger. Il est important pour la ministre de souligner l’atteinte de l’égalité de droit des femmes, mais également de poursuivre les efforts pour accéder à l’égalité dans les faits et poser des gestes toujours favorables à l’ascension des femmes. La ministre en a aussi profité pour encourager les femmes à s’engager dans la vie publique.

La ministre a fait cette déclaration dans une courte vidéo diffusée ce 8 mars pour saluer l’engagement des Québécoises dans toutes les sphères de la société. Pour visionner la vidéo : https://youtu.be/NqpoPWKs9ks

« Que ce soit en politique, dans l’administration publique ou les entreprises, il est de notre responsabilité à toutes, et à moi, au premier chef, de contribuer à l’avancement de la cause des femmes et de poser des gestes déterminants à cette fin. Il faut poursuivre nos efforts qui s’inscrivent dans le même esprit que des pionnières comme Thérèse Casgrain, Marie-Claire Kirkland, Lise Payette, et toutes les autres. C’est pourquoi je suis heureuse d’annoncer aujourd’hui que je vais viser la parité chez nos chefs de poste. », a déclaré Nadine Girault, ministre des Relations internationales et de la Francophonie.

Faits saillants :

  • Le 1er octobre dernier, un nombre record de femmes ont été élues à l’Assemblée nationale, avec 52 députées. C’est le taux le plus élevé au Canada.
  • Le Conseil des ministres est composé de 12 femmes sur 27. C’est près de la moitié, soit 44 %.
  • Rappelons que la ministre des Relations internationales et de la Francophonie travaille présentement sur deux chantiers importants : le premier est la mise à jour de la Politique internationale du Québec, prévue pour le printemps 2019, et le second consiste à préparer une stratégie de conquête des marchés étrangers. Le gouvernement du Québec est déterminé à augmenter sa force de frappe économique à l’international et posera des gestes concrets dans ce sens.

1 750 000 $ pour soutenir les victimes d’actes criminels


 Publié le 8 mars 2019

La ministre de la Justice et procureure générale du Québec, Mme Sonia LeBel, annonce l’octroi d’une subvention de 1 750 000 $ pour la réalisation de 26 projets, dans le cadre du Programme de subvention pour favoriser la recherche, l’information, la sensibilisation et la formation en matière d’aide aux victimes d’actes criminels pour l’année 2018-2019.

« Il n’est jamais facile de reprendre le cours normal de sa vie après avoir été victime d’un acte criminel. Il est donc du devoir du gouvernement de mettre en place diverses mesures pour venir en aide aux victimes. Nous sommes fiers de soutenir des organismes venant en aide aux victimes en leur octroyant une somme de 1 750 000 $ dans le cadre du Programme. Je suis convaincue que ces projets auront des retombées positives partout au Québec, et ce, tant auprès des victimes que de leurs proches. », a déclaré Sonia LeBel, ministre de la Justice et procureure générale du Québec.

Dans le cadre du Programme pour 2018-2019, une priorité particulière a été accordée aux projets destinés aux victimes de violences sexuelles et conjugales, ainsi qu’aux projets leur facilitant l’accès à des services d’aide.

Complément d’information

  • Les sommes octroyées proviennent du Fonds d’aide aux victimes d’actes criminels (FAVAC). Ce fonds spécial, notamment destiné au financement de tels projets, a été institué au ministère de la Justice du Québec en 1988.
  • Ses revenus proviennent principalement de sommes perçues à la suite d’infractions aux lois pénales québécoises et au Code criminel, ainsi que de sommes liées au partage des produits de la criminalité.

Hommage à Maude Abbott, pionnière de la médecine au Québec


 Publié le 8 mars 2019

À l’occasion de la Journée internationale des femmes, la Commission de toponymie annonce l’attribution du nom de Maude Abbott à une île située sur le cours de la rivière du Nord, au cœur du village de Saint-André-Est, dans les Laurentides.

« Véritable pionnière dans son domaine, Maude Abbott est source d’inspiration et de fierté pour nombre de femmes au Québec. Avec courage et audace, elle a su se démarquer dans un milieu médical, scientifique et universitaire où les femmes devaient à l’époque démontrer une grande détermination pour faire leur place. L’île qui porte aujourd’hui son nom est située près de l’endroit où elle est née et a grandi. En cette Journée internationale des femmes, ce lieu est tout indiqué pour rappeler le souvenir de Maude Abbott dans la toponymie du Québec. C’est là un honneur amplement mérité pour cette précurseure qui a fait sa place dans l’histoire de notre nation ! », a déclaré Nathalie Roy, ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Langue française.

Sommité mondiale dans le domaine des maladies cardiaques, Maude Abbott est l’une des premières femmes médecins au Québec. Elle est également la première femme à enseigner la médecine au Québec. En 1924, elle fonde, avec cinq autres femmes médecins, la Fédération des femmes médecins du Canada.

L’Université McGill lui a décerné en 1936 un doctorat honorifique, reconnaissant qu’elle était « une professeure stimulante, une chercheuse infatigable et une championne des études supérieures pour les femmes ». Parmi les dix premiers lauréats admis au Temple de la renommée médicale canadienne en 1994, elle fut la seule femme.

Faits saillants :

  • Créée en 1912, la Commission de toponymie procède à l’inventaire et à la conservation des noms de lieux. Elle les officialise, les diffuse et donne son avis au gouvernement sur toute question touchant la toponymie.
  • La Commission de toponymie vise chaque année à enrichir la nomenclature officielle en rendant hommage à des personnes issues de groupes peu représentés dans la toponymie.

Des gestes pour un Québec plus égalitaire


 Publié le 8 mars 2019

En cette Journée internationale des femmes, la ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine, Mme Isabelle Charest, s’est donné comme mission de mettre en valeur le rôle qu’ont joué les femmes dans notre histoire et d’inspirer les nouvelles générations à poursuivre le travail pour atteindre l’égalité entre les femmes et les hommes.

« Je suis fière des actions annoncées aujourd’hui puisqu’elles contribueront à l’atteinte de l’égalité de fait. C’est en étant toutes et tous des alliés que nous arriverons à bâtir un Québec où chaque personne peut choisir la place qui lui convient. Je profite de cette journée du 8 mars pour remercier les groupes de femmes et les organismes qui s’impliquent dans le but de mettre en valeur le rôle des femmes, défendre leurs droits et faire avancer l’égalité. », a déclaré Isabelle Charest, ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine.

HUIT GRANDES FEMMES HONORÉES

La ministre Charest annonce que la ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Langue française, Mme Nathalie Roy, désigne huit pionnières québécoises comme personnages historiques en vertu de la Loi sur le patrimoine culturel. Il s’agit de Mmes Marie Lacoste-Gérin-Lajoie, Idola Saint-Jean, Thérèse Casgrain, Marie-Aveline Bengle, Irma LeVasseur, Maude Abbott, Laure Gaudreault et Elizabeth Carmichael Monk.

Les actions que ces femmes ont menées ont eu une incidence majeure sur l’amélioration des droits collectifs des femmes, tant sur le plan politique, juridique et médical qu’éducatif. Ces femmes ont été au cœur des premières grandes revendications pour l’égalité des droits civils et pour la reconnaissance sociale. Elles se sont engagées et ont lutté pour le droit de vote et d’éligibilité, l’accès à l’éducation supérieure, la syndicalisation et l’accès aux professions libérales.

« Les femmes que nous désignons aujourd’hui sont de véritables modèles pour notre nation, en particulier pour la jeunesse québécoise. Ce geste revêt une grande valeur puisque notre gouvernement a à cœur de redonner à ces femmes marquantes la place qui leur revient dans notre mémoire collective et de les faire connaître aux nouvelles générations. », a souligné Nathalie Roy, ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Langue française.

PLUS DE FEMMES QUE JAMAIS DANS LES CONSEILS D’ADMINISTRATION DES SOCIÉTÉS D’ÉTAT

Le gouvernement du Québec dévoile également que les femmes sont de plus en plus nombreuses à siéger au sein des conseils d’administration de l’ensemble des sociétés d’État, selon les données du dernier rapport annuel du Secrétariat aux emplois supérieurs (SES). Les statistiques mentionnées dans le rapport indiquent que la représentation des femmes est passée de 27 % en décembre 2005 à 55,6 % en décembre 2018. Rappelons que le SES est mandaté pour produire ce rapport en vertu de la Politique concernant la parité entre les femmes et les hommes au sein des conseils d’administration des sociétés d’État, adoptée par décret en décembre 2007.

VERS UNE PLUS GRANDE REPRÉSENTATION FÉMININE SUR LA SCÈNE MUNICIPALE

La ministre Charest participe aujourd’hui au lancement de la Politique d’égalité et de parité entre les femmes et les hommes de la Fédération québécoise des municipalités (FQM). Cette politique a été élaborée dans le cadre de la Stratégie gouvernementale pour l’égalité entre les femmes et les hommes vers 2021. La FQM a reçu une aide financière de 400 000 $ du gouvernement pour l’élaboration de cette politique et pour la réalisation d’autres projets en matière d’égalité entre les femmes et les hommes.

Faits saillants :

Le gouvernement du Québec poursuit le déploiement des mesures prévues à la Stratégie gouvernementale pour l’égalité entre les femmes et les hommes vers 2021 (Stratégie Égalité), dont les objectifs sont les suivants :

  • réduire les inégalités persistantes et préoccupantes;
  • agir en ayant la préoccupation de considérer l’ensemble des femmes, notamment les aînées, les femmes handicapées et celles issues des communautés ethnoculturelles ou LGBTQ;
  • mobiliser les femmes et les hommes pour qu’ils fassent progresser ensemble l’égalité de fait, et ce, dans tous les milieux et dans toutes les régions.

Les huit femmes désignées comme personnages historiques :

  • Considérée comme l’une des pionnières du mouvement féministe, Marie Lacoste-Gérin-Lajoie a cofondé la Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste (1907) et le Comité provincial pour le suffrage féminin (1922). C’est en grande partie grâce à elle que l’Assemblée législative modifie, en 1931, le Code civil du Québec pour donner à la femme mariée le plein contrôle de ses avoirs et de son salaire.
  • Idola Saint-Jean est une des figures importantes de la lutte pour l’obtention du droit de vote pour les femmes québécoises. Elle est la fondatrice de l’Alliance canadienne pour le vote des femmes du Québec (1927) et la première Québécoise à s’être présentée à des élections fédérales (1930).
  • Thérèse Casgrain est la plus connue des suffragettes québécoises. Elle est reconnue comme l’une des principales artisanes de l’obtention du droit de vote et d’éligibilité par les femmes québécoises (1940). Elle est à l’origine de la création de la Fédération des femmes du Québec (1966).
  • À une époque où les jeunes filles n’avaient pas accès aux études supérieures, Marie-Aveline Bengle, dite mère Sainte-Anne-Marie, a joué un rôle clé dans la lutte pour le droit à l’instruction en fondant le premier collège classique féminin au Québec (1908).
  • Première Canadienne française à exercer la médecine au Québec et pionnière de la pédiatrie québécoise, Irma LeVasseur est à l’origine de la fondation des deux premiers hôpitaux pour enfants au Québec, soit les hôpitaux Sainte-Justine (1907) et de L’Enfant-Jésus (1923).
  • Deuxième femme diplômée en médecine au Québec (1894), Maude Abbott est reconnue comme la première femme à avoir enseigné la médecine au Québec. Elle a aussi contribué à la fondation de la Fédération des femmes médecins du Canada (1924).
  • Laure Gaudreault est une pionnière du syndicalisme dans le monde de l’éducation. Elle a joué un rôle déterminant dans la mise sur pied des syndicats d’enseignants au cours des décennies 1930 et 1940.
  • Elizabeth Carmichael Monk est une pionnière de l’accession des femmes québécoises à la profession juridique. Elle est l’une des premières femmes admises au Barreau du Québec (1942).