75e anniversaire d’Hydro-Québec


 Publié le 15 avril 2019

Le premier ministre du Québec, M. François Legault, et le ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles, M. Jonatan Julien, ont souligné, en présence de deux anciens premiers ministres, MM. Lucien Bouchard et Jean Charest, le 75e anniversaire d’Hydro-Québec.

Le premier ministre a d’abord tenu à rendre hommage aux politiciens visionnaires qui ont permis le développement de cette énergie propre qu’est l’hydroélectricité.

M. Legault a rappelé les différentes étapes qui ont conduit à la création de la société d’État et à la nationalisation de l’hydroélectricité. Il a, de plus, souligné l’apport considérable d’Hydro‑Québec, depuis sa création, à l’essor économique du Québec.

Au cours des années à venir, l’hydroélectricité apparaît pour lui comme un outil exceptionnel de lutte contre les changements climatiques, contribuant ainsi au pouvoir d’attraction du Québec sur les investisseurs privés préoccupés de leur bilan environnemental et comme levier économique pour réduire notre écart de richesse avec nos voisins

Pour sa part, M. Julien a souligné l’importance du rôle qu’Hydro-Québec joue dans le développement d’une économie plus verte au Québec. Il a également insisté sur la fierté qu’engendre la société d’État chez les Québécois.

« Depuis les années 1950, une longue succession de premiers ministres du Québec ont contribué, chacun à leur façon, à faire d’Hydro-Québec ce qu’elle est devenue aujourd’hui. Il est totalement hors de question de rompre cette chaîne historique. Hydro-Québec s’impose, plus que jamais, comme une solution aux grands défis que le Québec doit relever. Je souhaite que d’ici au centième anniversaire de la société d’État, d’autres premiers ministres prennent le relais pour faire du Québec l’endroit le plus prospère et le plus vert des Amériques. », a annoncé François Legault, premier ministre du Québec.

« En 75 ans, Hydro-Québec est devenue plus qu’une société d’État. Elle est à la fois une source de grande fierté pour tout le Québec, mais aussi un véritable vaisseau amiral économique qui a permis l’éclosion d’une industrie électrique prospère et innovante proprement québécoise. Notre gouvernement place le développement économique du Québec au cœur de ses préoccupations et, pour nous, il est évident qu’Hydro-Québec sera appelée à jouer un rôle crucial, particulièrement dans la transition vers une nouvelle économie verte. », a déclaré Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles.

Prévention des déversements illégaux de sols contaminés


 Publié le 12 avril 2019

Afin de prévenir les déversements illégaux de sols contaminés, le nouveau gouvernement du Québec veut imposer le recours à la traçabilité à l’égard de tous les mouvements de sols contaminés excavés au Québec, du lieu d’excavation jusqu’au lieu de réception. Cette nouvelle obligation permettra de mieux connaître les mouvements de sols contaminés et, le cas échéant, d’identifier les fautifs et d’appliquer les sanctions prévues.

C’est ce qu’a expliqué vendredi le ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, M. Benoit Charette, en conférence de presse.

« Conjuguée à un resserrement de la réglementation, la traçabilité est apparue comme la solution optimale pour agir efficacement face aux nombreux déversements illégaux de sols contaminés observés au cours des dernières années. Il s’agit d’une excellente façon de fournir aux donneurs d’ouvrage, comme les municipalités et les promoteurs immobiliers, une garantie de leur exemplarité dans la gestion de leurs sols contaminés excavés. La population québécoise est préoccupée par toutes les histoires de déversements illégaux de sols contaminés parues dans les médias au cours des dernières années. Il était temps que le gouvernement agisse enfin. Nous sommes confiants de réussir à mieux protéger l’environnement et à réaliser une revitalisation durable du territoire. », a expliqué Benoit Charette, ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques.

Selon le projet de règlement concernant la traçabilité des sols contaminés excavés, qui sera soumis sous peu à la consultation publique, le système de traçabilité permettra un suivi en temps réel, par géolocalisation des camions, du déplacement des sols contaminés excavés jusqu’à la destination prévue, c’est-à-dire un lieu apte à les recevoir pour les traiter, les valoriser ou les enfouir. Le système sera administré par un organisme sans but lucratif indépendant de tout intervenant impliqué dans les travaux d’excavation et de gestion des sols contaminés. Il devra également garder une trace confidentielle et archivée des mouvements de sols, afin que leur propriétaire puisse aisément témoigner de la gestion écoresponsable qu’il en aura faite. Un appel d’offres permettra éventuellement de choisir le système qui sera autorisé par le ministre.

D’autres dispositions réglementaires seront également soumises à la consultation. Elles viennent notamment accroître et renforcer les moyens de contrôle dont dispose le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MELCC) pour faire respecter l’encadrement légal et réglementaire régissant la gestion des sols contaminés et la réhabilitation des terrains. Elles viennent aussi faciliter la valorisation des sols faiblement contaminés. Il s’agit des modifications proposées au Règlement sur la protection et la réhabilitation des terrains et au Règlement sur le stockage et les centres de transfert de sols contaminés.

Faits saillants :

  • Réseau Environnement, Wikinet et la Ville de Montréal ont mis en place deux projets pilotes de gestion de sols contaminés à Montréal comportant l’utilisation du système de traçabilité Traces Québec.
  • Ces projets pilotes ont aidé le MELCC à préciser les éléments d’encadrement réglementaire relatifs à la traçabilité des sols et à mettre en œuvre un plan d’action visant à mieux prévenir et sanctionner les infractions environnementales, dont les axes sont, notamment, le développement d’une traçabilité obligatoire et performante ainsi qu’une réglementation plus coercitive.
  • Le MELCC a publié, dans son site Web, un document présentant les bonnes pratiques en matière de traçabilité des sols contaminés excavés, à l’intention de tout intervenant qui entend utiliser ou concevoir un système de traçabilité.
  • Le MELCC a ajouté des clauses dans les cadres normatifs du programme d’aide financière ClimatSol-Plus et des deux ententes visant l’octroi de subventions totalisant 80 M$ à la Ville de Montréal pour la réhabilitation de terrains contaminés. Ces clauses exigent des bénéficiaires qu’ils utilisent le système de traçabilité des sols contaminés excavés autorisé par le ministre.

Liens connexes :

Pour visualiser les étapes de la traçabilité des sols contaminés excavés : www.environnement.gouv.qc.ca/sol/terrains/tracabilite/schema-etapes.pdf

Pour se familiariser avec les bonnes pratiques en matière de traçabilité des sols contaminés excavés : www.environnement.gouv.qc.ca/sol/terrains/tracabilite/index.htm.

Pour prendre connaissance du plan d’action visant à mieux prévenir et sanctionner les infractions environnementales : www.environnement.gouv.qc.ca/sol/terrains/tracabilite/feuillet-info.pdf.

La consultation publique sur les trois projets de règlement sera rendue publique sur le site Web du MELCC, à l’onglet « Consultations publiques » : www.environnement.gouv.qc.ca.

Inauguration de l’incubateur pour entreprises au Cégep de l’Outaouais


 Publié le 12 avril 2019

Plaque d’immatriculation unique pour les vétérans


 Publié le 12 avril 2019

Le ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel, et le ministre délégué à la Transformation numérique gouvernementale, M. Éric Caire, sont heureux de dévoiler une nouvelle plaque d’immatriculation commémorative pour les vétérans, donnant ainsi suite à un engagement formulé lors de la dernière campagne électorale. Cette annonce a eu lieu en présence de M. Kenneth R. Ouellet, président de la Direction provinciale du Québec de la Légion royale canadienne.

« Le gouvernement tient à souligner la contribution remarquable des vétérans qui ont accepté de servir et de défendre leur pays et les valeurs de la démocratie. Cette nouvelle plaque se veut non seulement une marque de reconnaissance, mais aussi un hommage à ces femmes et ces hommes pour leur engagement et leur sacrifice pour la défense de nos droits, de nos valeurs et de notre démocratie. », a annoncé François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie.

Comme c’est le cas dans les autres provinces canadiennes et au Yukon, les vétérans pourront être identifiés plus aisément grâce à la plaque d’immatriculation de leur véhicule. Ainsi, la nouvelle plaque se verra ornée d’un champ de coquelicots, de visages de soldats vus de profil (ceux d’une femme et d’un homme) et de la mention « vétérans ». L’actuel coquelicot viendra compléter le tableau. Ce nouveau visuel permettra de mettre davantage en lumière la contribution exceptionnelle des vétérans à notre histoire et à la défense de notre démocratie.

Le remplacement des plaques existantes sera entièrement pris en charge par la Société de l’assurance automobile du Québec et les plaques seront acheminées directement au domicile des vétérans qui souhaiteront se la procurer.

« Plusieurs anciens combattants ont demandé que leurs plaques d’immatriculation permettent de les identifier de façon plus marquée. Lors de la dernière campagne électorale, nous nous sommes engagés à reconnaître leur apport à la société québécoise avec une plaque d’immatriculation encore plus distinctive. Aujourd’hui, nous tenons parole et nous sommes fiers de leur proposer cette nouvelle plaque qui répond aux attentes qu’ils avaient exprimées. », a déclaré Éric Caire, ministre délégué à la Transformation numérique gouvernementale.

Détails sur l’offre de plaques d’immatriculation commémoratives pour vétérans :

Qui peut commander une plaque d’immatriculation pour vétérans?

La plaque commémorative est offerte aux vétérans (anciens combattants) qui en font la demande à la Légion royale canadienne pour un véhicule déjà immatriculé avec une plaque standard.

Véhicules admissibles :

  • Véhicules de promenade
  • Motocyclettes
  • Véhicules et motocyclettes électriques
  • Habitations motorisées (3 000 kg ou moins)
  • Frais de remplacement de la plaque d’immatriculation pour vétérans par le nouveau modèle :
  • Tous les frais seront assumés par la Société.
  • Le coût annuel de l’immatriculation du véhicule demeurera le même.

Comment commander une plaque du nouveau modèle?

Les vétérans qui ont déjà une plaque commémorative recevront par la poste, dans les prochaines semaines, une lettre explicative ainsi qu’un formulaire qu’ils devront retourner à la Société pour recevoir sans frais une plaque d’immatriculation du nouveau modèle. Ceux dont le véhicule n’est pas déjà immatriculé avec une plaque commémorative et qui font une première demande à la Légion royale canadienne recevront automatiquement une plaque du nouveau modèle.

Comment se procurer une plaque d’immatriculation commémorative pour vétérans lorsqu’on n’en possède pas?

Le vétéran qui ne possède pas de plaque d’immatriculation commémorative doit en faire la demande à la Légion royale canadienne en remplissant un formulaire d’admissibilité et en payant les 15 $ servant à couvrir les frais d’administration.

Lien connexe :

https://saaq.gouv.qc.ca/immatriculation/immatriculer-vehicule/plaque-veteran/

880 000 $ à la municipalité de Rivière-Bleue


 Publié le 12 avril 2019

La ministre des Affaires municipales et de l’Habitation, Mme Andrée Laforest, est heureuse d’annoncer une aide financière de 879 410 $ pour la réfection et l’agrandissement de la section communautaire du complexe Rosaire-Bélanger à Rivière-Bleue.

Le gouvernement du Québec est fier de contribuer à la réalisation de ces travaux par l’entremise de son Programme Réfection et construction des infrastructures municipales. La Municipalité complétera le financement pour un investissement gouvernemental-municipal totalisant plus de 1,2 M$.

« En soutenant financièrement la réalisation de travaux pour des infrastructures à vocation municipale ou communautaire, notre gouvernement contribue à assurer la pérennité des services offerts aux citoyens. Nous continuerons à travailler de concert avec nos partenaires pour répondre aux besoins de la population de toutes les régions du Québec. », a déclaré Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean.

« Les investissements dans les infrastructures municipales sont toujours de bonnes nouvelles, encore plus en région où ces espaces agissent comme de véritables catalyseurs du développement social et communautaire. Cette annonce démontre que notre gouvernement est à l’œuvre pour offrir des milieux de vie agréables aux résidents du Bas‑Saint‑Laurent. », a annoncé Marie-Eve Proulx, ministre déléguée au Développement économique régional et ministre responsable des régions de la Chaudière-Appalaches, du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie-Îles‑de-la-Madeleine.

« Ces travaux au complexe Rosaire-Bélanger étaient attendus par les élus municipaux, par les Riveraines et les Riverains ainsi que par les organismes communautaires qui y tiennent bon nombre d’activités culturelles et sociales. Je suis très fier de cette annonce qui confirme le rôle proactif de notre gouvernement dans le développement de collectivités dynamiques et attrayantes. ». a souligné Denis Tardif, député de Rivière-du-Loup-Témiscouata.

« Nous sommes heureux de l’annonce du gouvernement du Québec concernant un projet qui permettra de mettre à niveau un bâtiment important pour la communauté de Rivière-Bleue. Il s’agissait pour nous d’un incontournable pour assurer le dynamisme et l’attractivité du milieu de vie. », a indiqué Claude H. Pelletier, maire de Rivière-Bleue.

Faits saillants :

L’agrandissement permettra d’aménager un hall d’entrée et de nouveaux blocs sanitaires. Les travaux comprennent également le réaménagement et la mise aux normes de la cuisine.
L’aide financière provient du Programme Réfection et construction des infrastructures municipales (RÉCIM) qui permet aux municipalités de réaliser des projets de construction, de mise aux normes, de réhabilitation, de conversion, d’agrandissement ou de réfection d’infrastructures municipales afin d’assurer la pérennité des services aux citoyens.
En vertu de ce programme, le coût maximal admissible du projet a été établi à 1 256 300 $. La contribution financière du gouvernement du Québec s’élève à 879 410 $.
Le Plan québécois des infrastructures 2019-2029 prévoit des investissements de près de 7,2 milliards de dollars dans le secteur des infrastructures municipales, sous la responsabilité du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH). En y ajoutant les contributions du gouvernement du Canada et des municipalités, ce sont plus de 16,7 milliards de dollars qui seront investis dans les infrastructures municipales au Québec au cours de cette période.

Liens connexes :

Pour en savoir plus sur les activités du MAMH, suivez-nous dans les médias sociaux :

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https://twitter.com/MAMhQC/

150 000$ pour des lits de soins palliatifs supplémentaires pour la Maison Albatros


 Publié le 11 avril 2019

La ministre de la Santé et des Services sociaux, Danielle McCann, a annoncé aujourd’hui qu’un budget récurrent de 150 000 $ est accordé à la Maison Albatros afin de financer deux des quatre lits supplémentaires qui s’ajouteront à son offre de service. Cette annonce s’inscrit dans le cadre du lancement de la campagne de financement visant à soutenir le projet de déménagement de l’organisme dans de nouveaux locaux rénovés.

« Nous sommes ravis de participer au financement de cet ajout de places de soins palliatifs dans la région, un soutien qui permettra de fournir des soins de fin de vie encore plus accessibles à la population, et de très grande qualité, en continuité avec ceux qui sont déjà offerts. Je tiens à souligner la participation de la communauté à ce projet, ce qui démontre un souci collectif d’assurer le mieux-être des personnes en fin de vie ainsi qu’un esprit de solidarité remarquable. », a annoncé Danielle McCann, ministre de la Santé et des Services sociaux.

D’ici 2020, la Maison Albatros disposera de nouveaux locaux dans l’ancienne infirmerie des Filles de Jésus, après un projet de rénovation représentant un coût total de 3 M$, financé par la communauté. Dans ces nouveaux locaux, la population pourra bénéficier de 10 lits de soins palliatifs, c’est-à-dire quatre de plus que dans les locaux actuels. De ces quatre lits, deux seront financés par le ministère de la Santé et des Services sociaux, les deux autres étant financés à même le budget global du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de la Mauricie-et-du-Centre-du-Québec.

« Le projet de la Maison Albatros vient consolider l’offre de service de notre établissement en matière de soins palliatifs, et c’est pourquoi nous sommes fiers de cet appui de la part du Ministère. Dans une région tout particulièrement concernée par le défi que représente le phénomène du vieillissement démographique, un tel projet constitue un véritable gain pour l’ensemble de la population, notamment sur le plan de l’accessibilité des services. », a déclaré Carol Fillion, président-directeur général par intérim du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de la Mauricie-et-du-Centre-du-Québec.

Faits saillants :

Outre les 10 lits de soins palliatifs, la nouvelle Maison Albatros, d’une superficie de 20 000 pieds carrés, accueillera :

  • un bain thérapeutique
  • une grande cuisine fonctionnelle
  • une cour extérieure
  • une salle de recueillement pour les familles
  • des bureaux
  • une salle réunion.

Rappelons que la Maison Albatros, qui existe depuis 1985, a pour mission d’offrir aux personnes atteintes d’une maladie grave et irréversible l’occasion de vivre leurs derniers instants dans la dignité, dans un cadre chaleureux et entourées de leurs proches, tout en bénéficiant de soins palliatifs et de fin de vie empreints de respect et de compassion.

Elle est disponible pour les résidents de Trois-Rivières ainsi que pour ceux des MRC des Chenaux, de Maskinongé, de Bécancour et de Nicolet-Yamaska.

158,5 M$ versés aux producteurs de porcs en 2018


 Publié le 11 avril 2019

La Financière agricole du Québec versera aux producteurs de porcs un montant de 27 millions de dollars dans le cadre du paiement final de l’année 2018 au Programme d’assurance stabilisation des revenus agricoles (ASRA). Cette somme représente 29,43 dollars par truie et 0,0294 dollar par kilogramme de porc. Ce paiement porte à 158,5 millions de dollars le montant total versé au secteur porcin en 2018, dont 111,6 millions de dollars proviennent du gouvernement et 46,9 millions de dollars des éleveurs.

Programme d’assurance stabilisation des revenus agricoles : 158,5 millions de dollars versés aux producteurs de porcs en 2018 (Groupe CNW/La Financière agricole du Québec)

Ces sommes sont versées pour soutenir les producteurs de porcs qui ont dû composer en 2018 avec une augmentation des coûts d’alimentation et une diminution des prix découlant de l’incertitude occasionnée par les tensions commerciales sur les marchés internationaux.

« Le secteur porcin a connu en 2018 un contexte économique difficile et nous sommes heureux de constater que la Financière agricole du Québec a contribué à la poursuite des activités de nos producteurs de porcs à la hauteur d’un versement total de 158,5 millions de dollars, dont 111,6 millions de dollars du gouvernement. », a déclaré M. André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.

« La Financière agricole du Québec soutient le développement du secteur agricole avec ses programmes adaptés aux besoins des producteurs québécois. Les sommes versées dans le cadre de l’ASRA permettront aux producteurs de porcs de passer à travers cette conjoncture. », a souligné M. Ernest Desrosiers, président-directeur général de La Financière agricole du Québec.

La Financière agricole du Québec

Offre des produits et des services de qualité en matière de financement, d’assurance et de protection du revenu
Favorise le développement et la stabilité de plus de 24 000 entreprises agricoles et forestières québécoises
Place la relève agricole au cœur de ses priorités en lui offrant une aide financière directe et adaptée à sa réalité
Participe activement à l’essor économique du Québec et de ses régions : des valeurs assurées s’élevant à 3,9 milliards de dollars et un portefeuille de garanties de prêts atteignant 5,3 milliards de dollars

Faits saillants

Programme d’assurance stabilisation des revenus agricoles

Programme de type collectif qui protège contre la fluctuation des prix et des coûts de production
Paiements versés lorsque le prix de vente moyen d’un produit est inférieur au revenu stabilisé ajusté, lequel est basé sur le coût moyen de production des entreprises spécialisées
Programme financé aux deux tiers par La Financière agricole et au tiers par les adhérents. Les montants nets versés excluent les contributions des adhérents
Productions couvertes : agneaux, bouvillons et bovins d’abattage, céréales (avoine, blé, orge) et canola, pommes, porcelets, porcs, veaux d’embouche, veaux de grain
Lien connexe

Site Web de la FADQ

Invitation à la population à contribuer à la transformation numérique gouvernementale


 Publié le 11 avril 2019

Une semaine après le dépôt du projet de loi favorisant la transformation numérique de l’administration publique, le gouvernement lance une consultation publique pour prendre le pouls de la population à l’égard du virage numérique qu’il entreprend. Les citoyens sont invités à exprimer leur vision quant aux services gouvernementaux offerts en ligne ainsi qu’à cibler les actions qu’ils croient nécessaires au succès du virage numérique. Les personnes souhaitant prendre part à la consultation peuvent le faire sur le Web jusqu’au 25 avril.

Deux façons de participer s’offrent à elles : par l’entremise d’un court questionnaire, qui peut être rempli en quelques minutes seulement, ou par une série de propositions qu’ils peuvent commenter, en plus d’avoir la possibilité d’en soumettre de nouvelles.

Rappelons que le gouvernement entend en proposer davantage aux citoyens en matière de services numériques. La consultation vise justement à s’assurer non seulement de bien répondre à leurs besoins, mais également à prioriser les actions composant la transformation numérique gouvernementale.

« Comme la transformation numérique gouvernementale sera d’abord axée sur les citoyens, il nous apparaît essentiel qu’ils puissent y contribuer. La consultation que nous lançons aujourd’hui vise à nous aider à prioriser, selon les besoins et les habitudes de la population, les actions liées à la stratégie de transformation numérique gouvernementale que nous déposerons prochainement. J’invite donc dès maintenant le plus grand nombre de citoyens à participer à cet exercice et à contribuer aux échanges sur le virage numérique de l’État. », a annoncé Éric Caire, ministre délégué à la Transformation numérique gouvernementale.

Pour prendre part à la consultation et pour en savoir plus : Quebec.ca/transformationnumerique

Bilan de l’assurance récolte 2018 : région de la Montérégie


 Publié le 11 avril 2019

La Financière agricole du Québec dresse le portrait de la saison de végétation et des interventions du Programme d’assurance récolte de la dernière année pour la région de la Montérégie. Ainsi, en 2018, 3 070 entreprises agricoles de cette région étaient assurées pour des valeurs représentant plus de 565 millions de dollars. De ce nombre, 989 entreprises ayant subi des pertes indemnisables ont reçu des sommes totalisant plus de 12,2 millions de dollars, dont plus de 4,5 millions de dollars pour le foin et les pâturages et plus de 3,6 millions de dollars pour les cultures maraîchères.

Bilan de fin de saison en assurance récolte (Groupe CNW/La Financière agricole du Québec)

Portrait 2018

Hiver

Bonnes conditions hivernales pour la survie des luzernières, des céréales d’automne et des pommiers, mais dommages observés dans plusieurs fraisières et dans les jeunes vergers en implantation
Survie des abeilles difficile et pertes hivernales dans les ruches

Printemps

Sirop d’érable : rendement et qualité supérieurs à la moyenne
Printemps tardif avec températures fraîches et précipitations abondantes en avril et début mai
Belle période de semis en mai dans de très bonnes conditions de terrain, et conditions climatiques propices à l’émergence et au développement des cultures en juin

Été

Saison estivale caractérisée par des températures très chaudes et peu de précipitations surtout en juillet et août
Fraises : rendements et qualité inférieurs à la moyenne, plusieurs champs affectés par le gel hivernal, le manque d’eau et l’excès de chaleur du début juillet
Foin : rendements inférieurs à la moyenne dus au manque de précipitations
Pommes : récolte globale légèrement sous la normale, qualité moyenne malgré le manque de coloration et petit calibre des fruits dans plusieurs vergers
Cultures maraîchères et légumes de transformation : sécheresse ayant affecté le calibre des légumes et les rendements des cultures, et excès de chaleur ayant accéléré le mûrissement de plusieurs légumes

Automne

Automne frais et très pluvieux, suivi de neige hâtive causant du retard dans les récoltes et les travaux aux champs de fin de saison.
Céréales et maïs-grain : rendements très variables, inférieurs à supérieurs à la moyenne selon les secteurs. Rendements de soya, en général supérieurs à la moyenne
Globalement, les rendements ont été très variables selon les cultures, les secteurs et le moment des récoltes
De façon générale, l’ouest de la Montérégie a été plus affecté que l’est de la Montérégie

« L’agriculture est un secteur important de notre économie, principalement pour les régions du Québec. La Financière agricole assure un soutien important aux agriculteurs, permettant ainsi de maintenir leur secteur compétitif et durable lorsque des aléas climatiques se présentent. », a annoncé M. André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.

« Ce bilan présente un portrait de l’état des cultures au Québec et des impacts climatiques sur celles-ci. Dans un contexte où les conditions peuvent se montrer défavorables, La Financière agricole procure une stabilité aux entreprises agricoles avec les différents outils de gestion des risques qu’elle met à leur disposition. », a déclaré M. Ernest Desrosiers, président-directeur général de La Financière agricole du Québec.

« La Financière agricole joue un rôle important quant à la pérennité des entreprises agricoles. Grâce à l’intervention du Programme d’assurance récolte, les agriculteurs de notre région peuvent protéger leurs productions. », a souligné Mme Sonia Simard, directrice territoriale.

La Financière agricole du Québec

Offre des produits et des services de qualité en matière de financement, d’assurance et de protection du revenu
Favorise le développement et la stabilité de plus de 24 000 entreprises agricoles et forestières québécoises
Place la relève agricole au cœur de ses priorités en lui offrant une aide financière directe et adaptée à sa réalité
Participe activement à l’essor économique du Québec et de ses régions : des valeurs assurées s’élevant à 3,9 milliards de dollars et un portefeuille de garanties de prêts atteignant 5,3 milliards de dollars

Liens connexes

Bilan de l’assurance récolte pour l’année 2018
Site Web de la FADQ

Autres liens connexes:

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2704110414

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2704118510

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2704110914

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2704110023

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2704114788

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2704115396

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2704111845

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2704111995

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2704112953

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2704116766

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2704110620

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2704119190

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2704115956

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2704113077

115,8 M $ pour réduire le coût de la vie au Nunavik


 Publié le 11 avril 2019

La ministre responsable des Affaires autochtones, Mme Sylvie D’Amours, profite de sa visite au Nunavik pour annoncer le renouvellement de l’Entente sur le financement de mesures visant la réduction du coût de la vie au Nunavik liant le gouvernement du Québec à l’Administration régionale Kativik et à la Société Makivik.

« Le Nunavik est situé complètement à l’extérieur des grands réseaux de distribution alimentaire ou commerciale. L’absence de routes et la rigueur du climat entraînent une hausse considérable du coût des biens et des services, ce qui accroit grandement le fardeau des familles du Nunavik. L’aide financière accordée par le gouvernement est donc essentielle au maintien et à l’amélioration des conditions de vie au Nunavik. Je suis très heureuse de m’associer à cette annonce. », a annoncé Sylvie D’Amours, ministre responsable des Affaires autochtones.

En vertu de cette entente, le gouvernement versera à l’Administration régionale Kativik une somme de 115,8 millions de dollars sur six ans pour permettre la mise en œuvre d’une série de mesures qui viseront à réduire le coût de la vie pour les résidents du Nunavik, améliorer les conditions socio-économiques des plus défavorisés, et promouvoir un mode de vie sain qui prend en considération la culture et les traditions des Inuits en encourageant la pratique d’activités de subsistance.

Selon une étude réalisée par l’Université Laval, l’indice comparatif du coût de la vie entre le Nunavik et la ville de Québec indique que, globalement, le coût de la vie est 28,7 % plus élevé au Nunavik.

«Voici un bel exemple de la collaboration qui est possible entre le territoire inuit du Nunavik et le gouvernement du Québec pour rendre la vie dans le nord plus abordable. Nous devons consacrer beaucoup plus d’efforts pour rendre la vie ici plus équitable par rapport au reste du Québec. La situation actuelle est inacceptable dans la société contemporaine, puisqu’il y a des familles qui souffrent de faim tous les jours. Les mesures que nous avons mises en œuvre en collaboration avec le Québec nous mettent sur la bonne voie pour réduire l’écart entre le niveau de vie dans la partie nord de la province et celui de la partie sud.», a souligné Charlie Watt, Président de la Société Makivik.

« Ce programme est essentiel au bien-être des Nunavimmiuts qui dans certaines communautés n’arrivent pas à s’alimenter convenablement. En partenenariat avec le gouvernement du Québec et la Société Makivik, l’Administration régionale Kativik continue de jouer un rôle de premier plan pour aider les familles du Nunavik. Ce programme contribue à réduire le prix d’aliments et de biens essentiels, diminuer les coûts de transport, encourager la consommation d’aliments traditionnels et aider à réduire le fardeau financier des personnes âgées. », a déclaré Jennifer Munick, présidente Administration régional Kativik.