6,6 M$ pour la rénovation et la mise à niveau du Musée des cultures du monde


 Publié le 19 mars 2025

Le ministre de la Culture et des Communications, ministre responsable de la Jeunesse et ministre responsable de la région de l’Outaouais, M. Mathieu Lacombe, ainsi que le député de Nicolet-Bécancour et adjoint parlementaire de la ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (volet zones d’innovation), M. Donald Martel, annoncent une contribution gouvernementale de 6 610 850 $ pour la rénovation et la mise à niveau du Musée des cultures du monde. Le projet permettra à l’institution muséale de poursuivre sa mission dans des conditions adéquates, tout en favorisant une meilleure accessibilité du bâtiment.

Plus précisément, les travaux visent à corriger certains problèmes touchant le revêtement extérieur, ainsi que les systèmes de chauffage, de ventilation et de climatisation. D’autres interventions sont également prévues, comme la reconfiguration de certains espaces, incluant un agrandissement de 52 m2, notamment pour des questions d’accessibilité universelle.

Créé en 1991, le Musée des cultures du monde est une institution muséale agréée consacrée au partage de la culture et du patrimoine de diverses sociétés, passées ou actuelles, à travers les fondements de leurs traditions, de leurs croyances, de leur histoire et de leurs enjeux afin de favoriser une meilleure compréhension et de développer une plus grande tolérance à la différence. Les sommes octroyées au Musée pour son projet de rénovation et de mise à niveau proviennent du volet 2 du programme Aide aux immobilisations.

Citations

« Les musées, partout au Québec, sont des acteurs importants pour le dynamisme culturel et touristique de nos régions. Je suis donc très fier que notre gouvernement soutienne les projets de rénovation du Musée des cultures du monde afin de lui permettre de poursuivre sa mission et ainsi contribuer pleinement à l’offre culturelle du Centre-du-Québec. »

Mathieu Lacombe, ministre de la Culture et des Communications, ministre responsable de la Jeunesse et ministre responsable de la région de l’Outaouais

« Je suis tellement fier de voir qu’une autre belle institution de Nicolet profitera d’un appui financier important du gouvernement, cette fois de la part du ministère de la Culture et des Communications! Je me réjouis également de ce soutien, parce qu’il vient confirmer la qualité du travail des gestionnaires actuels du Musée et de tous ceux et celles qui œuvrent, souvent bénévolement, à son essor. »

Donald Martel, député de Nicolet-Bécancour et adjoint parlementaire de la ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (volet zones d’innovation)

« Cet investissement majeur de 6,6 millions de dollars dans le Musée des cultures du monde témoigne de l’importance qu’accorde le gouvernement du Québec à la culture comme moteur économique et touristique. En valorisant notre patrimoine et en enrichissant notre offre culturelle, nous renforçons l’attractivité de Nicolet, de notre région et soutenons la vitalité de notre économie locale. Je suis convaincue que ce projet contribuera à faire rayonner davantage notre communauté, en attirant visiteurs et passionnés d’histoire de partout. Merci pour cette cure de rajeunissement qui est la bienvenue pour notre musée, qui rappelons-le, soufflera l’an prochain ses 40 bougies »

Geneviève Dubois, mairesse de Nicolet et préfète de la MRC de Nicolet-Yamaska

« La rénovation de notre bâtiment est plus qu’une nécessité! Les travaux permettront de mieux conserver nos collections, de mieux accueillir le public et d’offrir un meilleur environnement de travail à nos employés, en plus de faire des économies d’énergie. Nous remercions le ministre et son ministère pour cette généreuse contribution! »

Dominique Boucher, présidente du conseil d’administration du Musée des cultures du monde

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Le Québec fait des avancées importantes pour favoriser le commerce interprovincial


 Publié le 19 mars 2025

Le ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval, M. Christopher Skeete, souligne que, dans le contexte géopolitique actuel, le gouvernement du Québec est déterminé à prendre des mesures concrètes pour faciliter le commerce interprovincial et renforcer l’économie québécoise. À cette fin, il collabore étroitement avec l’ensemble des gouvernements des provinces et des territoires ainsi que le gouvernement canadien au sein du Comité du commerce intérieur responsable de mettre en œuvre l’Accord de libre-échange canadien (ALEC). Dans ce contexte, le Québec s’engage ambitieusement à améliorer l’environnement commercial local.

Assurer la libre circulation des biens
Le Québec participe aux négociations pour conclure une entente de reconnaissance mutuelle applicable à tous les biens de consommation (à l’exception des produits alimentaires, des boissons et du tabac). L’objectif consiste à ce qu’un bien légalement vendu dans une province ou un territoire puisse l’être partout au Canada, et ce, sans avoir à satisfaire à des exigences ou à des normes supplémentaires. Le Québec s’est également joint aux discussions visant à signer une entente de reconnaissance mutuelle dans le secteur du camionnage et à marier ces règles au niveau pancanadien.

Par ailleurs, il offrira une plus grande visibilité aux produits canadiens et québécois au sein de la Société des alcools du Québec. Il s’est aussi engagé à améliorer le commerce des alcools canadiens et québécois au moyen d’un système de vente directe aux consommateurs.

Retirer des exceptions inscrites à l’ALEC
Le Québec contribue à l’effort pancanadien pour réduire le nombre d’exceptions à l’ALEC. À ce jour, cinq exceptions ont été ciblées, et l’analyse se poursuit afin que d’autres soient retirées. Soulignons que la quantité d’exceptions inscrites par un gouvernement à l’ALEC n’est pas un indicateur fiable de son niveau d’ouverture au commerce intérieur. Néanmoins, le gouvernement du Québec révise la totalité de ses exceptions.

Promouvoir le commerce intérieur au Canada
Les services d’accompagnement offerts par Investissement Québec International et la force du réseau des bureaux du Québec au Canada représentent des atouts majeurs pour les entreprises québécoises qui souhaitent accroître leur présence sur le marché canadien. Le Québec s’est donc engagé à développer un plan pancanadien de missions commerciales et d’activités de réseautage, en collaboration avec les provinces et les territoires, dans le but de créer des collaborations bénéfiques pour l’économie.

Faciliter la mobilité de la main-d’œuvre
Le Québec poursuit ses efforts en vue de faciliter la mobilité de la main-d’œuvre, tout en veillant à ce que la reconnaissance des compétences s’effectue dans le respect de la protection du public et de la langue française.

Citation :
« Favoriser le commerce interprovincial est une priorité pour notre gouvernement, particulièrement en ces temps incertains. C’est pourquoi on négocie des ententes de reconnaissance mutuelle et on intensifie nos activités de maillage et de promotion des marchés canadiens. Nous travaillons avec le reste du Canada pour bâtir une économie québécoise encore plus résiliente et forte, toujours fidèle à notre identité. »

Christopher Skeete, ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

Faits saillants :

Ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie sur les réseaux sociaux :

Le ministre Drainville souligne le début de la Semaine de la prévention de la violence et de l’intimidation dans les écoles du Québec


 Publié le 17 mars 2025

Le ministre de l’Éducation, M. Bernard Drainville, a souligné aujourd’hui le début de la toute première Semaine de la prévention de la violence et de l’intimidation. Sur le thème Renforcer le respect et le civisme dans nos écoles, celle-ci s’amorce avec un temps d’arrêt dans toutes les écoles du Québec, invitant les élèves et le personnel à réfléchir à l’importance du respect et du vivre-ensemble. À cette occasion, le ministre en a profité pour faire le point sur les mesures déployées dans le réseau de l’éducation dans le cadre du Plan de prévention de la violence et de l’intimidation à l’école.

Tout au long de la Semaine, des thèmes particuliers seront abordés chaque jour afin de mobiliser tous les acteurs du milieu scolaire, soit les élèves, le personnel et les parents.

Pour l’occasion, de nombreuses activités seront offertes pour enrichir les discussions et la réflexion, notamment :

  • des ateliers en classe, clé en main pour favoriser les échanges sur le respect et le civisme;
  • des balados éducatifs destinés aux élèves, aux parents et au personnel scolaire;
  • des séances d’information adaptées à chaque groupe.

Dès aujourd’hui, une campagne de publicité vidéo est lancée pour sensibiliser les jeunes à l’impact de leurs gestes. Mettant en vedette un humoriste, elle sera présentée lors du temps d’arrêt dans les écoles et diffusée par la suite dans les médias sociaux. À compter de la semaine prochaine, une campagne destinée aux parents sera également diffusée dans les médias traditionnels.

Un plan de prévention qui se déploie

Rappelons que le 27 octobre 2023, le ministre de l’Éducation a annoncé le déploiement du Plan de prévention de la violence et de l’intimidation à l’école, visant à prévenir et à contrer la violence et l’intimidation sous toutes ses formes.

Depuis le lancement de ce plan, plusieurs mesures ont déjà été mises en œuvre :

  • un modèle de plan de lutte a été transmis au réseau le 24 février dernier;
  • la ligne Renfort est maintenant accessible dans toutes les régions du Québec;
  • une quatrième collecte de données a été entamée le 10 mars dernier dans le but de documenter plus précisément les cas de violence et d’intimidation dans les écoles. Elle nous permettra d’avoir un portrait très précis de la situation et sera rendue publique ultérieurement.

D’autres mesures du plan d’action annoncées par le ministre sont également en cours de déploiement :

  • désignation de responsables dans chaque CSS responsable des mesures du plan d’action, particulièrement pour la mise en œuvre du modèle de plan de lutte;
  • des contenus de formation destinés au personnel scolaire et aux élèves qui seront transmis aux partenaires du réseau dès cette semaine pour consultation, avant leur déploiement officiel dans les écoles;
  • des équipes d’intervention sont en train de se mettre en place. Pour le moment, certains milieux ayant manifesté des besoins sont accompagnés par le Ministère dans le cadre d’un projet-pilote pour permettre d’assurer que la structure de soutien prévue répond bien aux besoins.

Soulignons également que le déploiement d’une campagne de publicité et l’organisation d’une semaine annuelle pour la prévention de la violence et de l’intimidation étaient deux mesures du plan d’action annoncé à l’automne 2023. Ces mesures s’inscrivent aussi dans le cadre de la journée de mobilisation des acteurs du réseau scolaire en mai 2024.

Finalement, dans le même ordre d’idées, le ministre annoncera bientôt des mesures pour renforcer le civisme et le respect dans les écoles.

Citation :

« L’école existe pour nos enfants. Comme père de famille et ministre de l’Éducation, je suis très préoccupé par la violence et l’intimidation subies par nos élèves. Cette semaine est l’occasion de multiplier les moments où on discute de ces enjeux importants. Plus on va en parler, plus on va réussir à faire bouger les choses. Chaque élève et chaque membre du personnel mérite d’évoluer dans un environnement sécuritaire et respectueux. Depuis que j’ai annoncé le plan d’action en 2023, plusieurs mesures ont déjà été mises en place et d’autres le seront très bientôt. Cette semaine est justement un engagement que j’avais pris. J’invite tous les acteurs du milieu scolaire à se mobiliser pendant cette semaine et à participer activement aux activités proposées. »

Bernard Drainville, ministre de l’Éducation

Faits saillants :

Lien connexe :

Pour consulter la programmation de la Semaine de prévention de la violence et de l’intimidation dans les écoles :
https://www.quebec.ca/education/prescolaire-primaire-et-secondaire/ressources-outils-reseau-scolaire/sante-bien-etre-jeunes/prevention-violence-intimidation-ecoles/semaine.

Ministère de l’Éducation :

https://www.facebook.com/quebeceducation 
https://twitter.com/EducationQC 
https://www.linkedin.com/company/339645 
https://www.youtube.com/channel/UCgcPCv5VQhsAY3vNNoH6Zrw 
https://www.instagram.com/education_qc/ 

80 M$ pour la santé des puits et des fosses septiques à travers le Québec


 Publié le 14 mars 2025
Source : Crédit photo : Pat Lachance

La ministre des Affaires municipales, Mme Andrée Laforest, annonce le déploiement du nouveau Programme d’unités individuelles de traitement de l’eau (PUIT), doté d’une enveloppe de 80 millions de dollars, pour contribuer à assurer l’accès à une eau potable de qualité et à protéger les milieux naturels. Ce programme s’inscrit dans le cadre du Plan national de l’eau (PNE) : une richesse collective à préserver  et vise à soutenir financièrement les municipalités dans la mise en place ou la mise aux normes d’installations individuelles d’eau potable (puits) ainsi que de traitement des eaux usées (fosses septiques).

Les eaux usées des résidences isolées peuvent présenter des risques pour la santé humaine et l’environnement, notamment lorsque les systèmes de traitement sont défaillants ou désuets. Le programme vise également à assurer l’accès à de l’eau potable de qualité pour toutes et tous, en plus de protéger les lacs, les rivières et les eaux souterraines, qui sont nos sources d’eau potable à travers le Québec.

Citations :
« Nous nous étions engagés à soutenir la préservation de l’eau, notre or bleu, en finançant les installations individuelles, dans la Déclaration de réciprocité signée avec le milieu municipal. Je suis donc très fière de livrer aujourd’hui ce programme innovant, qui vient répondre à une problématique touchant autant la santé de la population que la qualité de nos milieux de vie. Encore une fois, notre gouvernement est à l’écoute des besoins des municipalités; avec le PUIT, nous les appuyons pour mettre en œuvre des projets qui apporteront des solutions structurantes et durables. »
Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales

« Lors du dévoilement de notre plan national de l’eau, nous avons pris l’engagement d’accompagner les Québécoises et Québécois afin de protéger nos ressources en eau sur l’ensemble de notre territoire. Le milieu municipal est donc un partenaire tout désigné pour appuyer les citoyens dans leurs démarches. »
Benoit Charette, ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs

« Cette mesure phare du Plan national de l’eau contribue à protéger nos lacs, nos rivières et nos eaux souterraines en veillant à soutenir l’implantation d’équipements individuels performants, comme des puits et des fosses septiques. Elle est attendue depuis longtemps par le milieu environnemental, notamment nos associations de lacs. Je suis très heureuse que notre gouvernement innove en ce sens! »
Agnès Grondin, adjointe parlementaire du ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (volets protection de l’eau et biodiversité)

« Les municipalités jouent un rôle clé dans l’aménagement du territoire, l’approvisionnement en eau potable et la protection de l’environnement. Fortes de leur connaissance des réalités locales, elles doivent être au cœur de la gestion, de la préservation et de la valorisation des ressources en eau du Québec. Le Programme d’unités individuelles de traitement de l’eau s’inscrit dans cette démarche essentielle et découle de la Déclaration de réciprocité, signée entre les municipalités et le gouvernement du Québec en décembre 2023. La gestion de l’eau doit être ancrée au niveau municipal, permettant ainsi de répondre aux réalités locales et d’assurer la qualité de l’eau pour toutes et tous. »
Martin Damphousse, président de l’Union des municipalités du Québec

« La ministre répond à une demande de la Fédération québécoise des municipalités et nous l’en remercions. En effet, les coûts rattachés aux puits et aux systèmes de traitement des eaux usées sont souvent plus importants pour les résidences isolées, et le risque environnemental est réel. Les municipalités locales et régionales mettent en place des mesures pour améliorer la situation, et ce programme permettra d’accélérer les projets partout sur le territoire. »
Jacques Demers, président de la Fédération québécoise des municipalités

Faits saillants :

  • Le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH) lancera un premier appel de projets dès le printemps prochain.
  • Pour en savoir davantage sur le PUIT et préparer les soumissions en vue du premier appel de projets, consultez la page Web.
  • Les aides financières accordées par le MAMH dans le cadre du PUIT sont financées par le Fonds bleu  en vertu du PNE , coordonné par le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs.
  • Ce programme s’inscrit en complémentarité des programmes existants en infrastructures municipales d’eau.

Liens connexes :
Pour en savoir plus sur les activités du MAMH, suivez-nous dans les médias sociaux :

Pour une meilleure découvrabilité des contenus culturels


 Publié le 14 mars 2025

Le ministre de la Culture et des Communications, ministre responsable de la Jeunesse et ministre responsable de la région de l’Outaouais, M. Mathieu Lacombe, annonce l’octroi de 1 518 000 $ pour soutenir 34 projets de standardisation de données, selon les normes reconnues en arts de la scène, en musique, en cinéma et dans le domaine du livre. Les initiatives soutenues permettront une collaboration accrue entre les secteurs, une optimisation du partage des données et une meilleure découvrabilité des contenus culturels.

Le Programme de soutien à la standardisation des données vise à favoriser une adoption plus large des normes de description des contenus culturels, telles qu’elles sont reconnues par les professionnels du milieu et le Ministère. Il permet aux organisations de se doter d’un outil de gestion de données afin de regrouper et de classer les données descriptives selon les normes reconnues ou d’améliorer une base de données existante en ajustant sa structure afin de la rendre compatible avec les normes reconnues.

Citation

« Grâce à ce programme, les acteurs du milieu harmonisent leurs pratiques de manière à avoir une gestion plus efficiente ce qui permet, au bout du compte, de favoriser la découvrabilité et le rayonnement des contenus culturels québécois et des artistes du Québec. Cela s’ajoute aux efforts déployés pour soutenir notre culture, en particulier le secteur des arts de la scène, dans ses transformations actuelles. »

Mathieu Lacombe, ministre de la Culture et des Communications, ministre responsable de la Jeunesse et ministre responsable de la région de l’Outaouais

Faits saillants

  • Ces projets ont été sélectionnés dans le cadre du deuxième appel de projets du Programme de soutien à la standardisation des données.
  • Le premier appel de projets du Programme de soutien à la standardisation des données couvrait les normes en arts de la scène, en musique et en cinéma.
  • Le secteur du livre a été inclus lors de la deuxième édition qui s’est tenue du 25 septembre au 13 novembre 2024.
  • Cet appel de projets s’inscrit dans l’objectif 2.1 du Plan stratégique 2023-2027 du ministère de la Culture et des Communications : encourager l’adoption des normes de description des contenus culturels reconnues par les secteurs.

Liens connexes

Près de 1 M$ pour former des travailleurs dans le secteur minier


 Publié le 13 mars 2025

Le député d’Abitibi-Est, Pierre Dufour, au nom de la ministre de l’Emploi et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, Mme Kateri Champagne Jourdain, annonce un investissement de 966 496 $ pour former des travailleurs en mécanique d’engin lourd.

Cet investissement répond aux enjeux de productivité pour la profession de mécanicien pour les engins miniers mobiles et permet de pourvoir les postes vacants, grâce à la formation en alternance travail-études.

Ces formations, tant théoriques que pratiques, mèneront à l’obtention d’une attestation d’études professionnelles en mécanique minière mobile et à un diplôme d’études professionnelles en mécanique d’engins de chantier.

Citations

« En Abitibi-Témiscamingue, le secteur minier est stratégique. Il est essentiel d’avoir accès à une main-d’œuvre qualifiée pour qu’il puisse jouer pleinement son rôle dans notre économie. Je suis très heureux d’avoir pu annoncer cet investissement de près de 1 million de dollars. »

Pierre Dufour, député d’Abitibi-Est

« Le développement des compétences est crucial pour répondre aux besoins du marché du travail. Pour soutenir notre économie et les entreprises, il faut offrir des formations qui permettent aux travailleurs de s’adapter à l’évolution des pratiques et aux entreprises d’assurer leur croissance. La formation est au cœur de nos efforts en matière d’emploi, notamment pour augmenter la productivité. »

Kateri Champagne Jourdain, ministre de l’Emploi et ministre responsable de la région de la Côte-Nord

« L’annonce d’aujourd’hui constitue une excellente nouvelle pour l’Abitibi-Témiscamingue alors que l’industrie des mines y est en pleine effervescence. C’est une excellente nouvelle et je tiens à féliciter tous les partenaires qui ont permis la réalisation de ce projet. »

Jean Boulet, ministre du Travail et ministre responsable de la région de la Mauricie, de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec

« Contribuer au développement des compétences dans le secteur minier à travers de beaux projets de partenariat comme celui-ci, avec agilité et innovation, demeure une des raisons d’être du Comité sectoriel de main-d’œuvre de l’industrie des mines. Avec le programme COUD d’attestation d’études professionnelles en mécanique minière mobile, nous franchissons un nouveau pas en ce sens en renouvelant ce programme avec le Centre de formation professionnelle Lac-Abitibi, tout en allant plus loin avec la possibilité pour les titulaires de l’attestation d’études professionnelles d’atteindre le niveau du diplôme d’études professionnelles. Une valeur ajoutée intéressante pour les entreprises de la région dont les besoins de main-d’œuvre dans ce domaine d’études sont parmi les plus importants du secteur minier. »

Suzie Therriault, directrice générale du Comité sectoriel de l’industrie des mines 

« Le programme COUD en mécanique minière mobile est grandement apprécié des entreprises de l’Abitibi. Il favorise une clientèle élargie d’étudiants qui contribuent de façon efficace à combler les importants besoins de main-d’œuvre du secteur en mécanique minière mobile. »

Yves Dubé, directeur général par intérim du Centre de formation professionnelle Lac‑Abitibi

Fait saillant

Les entreprises participantes sont Agnico Eagle division Laronde, Mine d’or Eldorado, Sandvik, Iamgold, Machines Roger Limitée, Maclean.

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De la formation sur mesure pour soutenir la diversification des marchés


 Publié le 12 mars 2025

En marge de leur visite de l’entreprise manufacturière Altech 7-Îles inc., à Sept-Îles, la ministre de l’Emploi et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, Kateri Champagne Jourdain, et le ministre délégué à l’Économie, Christopher Skeete, annoncent une initiative visant à fournir des formations sur mesure aux entreprises qui souhaitent développer rapidement de nouveaux marchés. L’investissement total pourrait s’élever à 8 millions de dollars, en fonction du nombre d’entreprises participantes.

Les entreprises des secteurs manufacturier, du transport ainsi que celles du secteur primaire (ressources naturelles et agriculture) pourront ainsi avoir accès à un soutien financier pour la formation de leurs travailleurs et de leurs travailleuses. Les formations pourront, par exemple, mettre l’accent sur la logistique internationale, le financement et le taux de change, la fiscalité internationale et les accords commerciaux. Une aide financière sera accordée pour couvrir 75 % des dépenses admissibles liées à des activités de développement des compétences de la main-d’œuvre, y compris les salaires des employés. Les entreprises intéressées peuvent communiquer avec les conseillers travaillant dans les bureaux de Services Québec.

Rappelons que la ministre de l’Emploi a également annoncé un investissement de 20 millions de dollars le 27 février dernier pour soutenir l’augmentation de la productivité des entreprises à travers le développement des compétences des travailleurs. Ces deux annonces sont issues des pistes de solution identifiées par les partenaires du marché du travail lors du Forum sur l’emploi au Québec qui a eu lieu le 13 février dernier.

Citations

« Notre objectif est de soutenir les petites et moyennes entreprises dans leurs démarches de diversification de marché en s’assurant que les travailleurs possèdent toutes les compétences requises pour participer à cette diversification et à l’expansion de l’entreprise. Cette nouvelle initiative est une autre façon de protéger les emplois et d’aider les entreprises à découvrir tous les horizons à l’international. On sort des sentiers battus et on répond aux besoins exprimés par les partenaires du marché du travail lors du Forum sur l’emploi au Québec. »

Kateri Champagne Jourdain, ministre de l’Emploi et ministre responsable de la région de la Côte-Nord

« Notre gouvernement est présent pour aider les entreprises dans la diversification de leurs exportations et pour développer les compétences du personnel dans l’atteinte de marchés mondiaux. C’est une excellente nouvelle pour les entreprises, les travailleuses et les travailleurs, et pour l’économie de chaque région du Québec. »

Christopher Skeete, ministre délégué à l’Économie

Faits saillants

  • Les entreprises de 5 à 199 employés seront priorisées.
  • Pour profiter de l’initiative, les entreprises sont invitées à communiquer avec un conseiller aux entreprises de Services Québec en composant le 1 (877) 644-4545.
  • Notons que le gouvernement a un plan en plusieurs étapes pour faire face à la situation relative à l’imposition de tarifs douaniers américains, dont celle de protéger les emplois et celle de diversifier les marchés.
    • Pour protéger les emplois, la ministre Champagne Jourdain a notamment annoncé la Formation pour la résilience et la compétitivité en emploi (FORCE). Le programme FRONTIERE vise à soutenir les entreprises du secteur manufacturier ou d’un secteur primaire aux prises avec des besoins de liquidités
    • Pour diversifier les marchés, le gouvernement du Québec a annoncé une série de mesures complémentaires, en plus de celle annoncée aujourd’hui, comme Panorama pour la diversification des marchés.
  • Consultez le site Québec.ca/tarifs-douaniers pour connaître tous les détails des programmes mis en place pour protéger l’économie du Québec. 

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Québec offre un répit supplémentaire aux entreprises québécoises touchées par les tarifs douaniers


 Publié le 10 mars 2025

Le ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval, M. Christopher Skeete, annonce une mesure d’assouplissement pour le remboursement des aides financières accordées dans le cadre des Fonds locaux d’investissement (FLI) afin d’appuyer les entreprises touchées par les bouleversements liés aux tarifs douaniers.

Les municipalités régionales de comté (MRC), qui sont responsables de la gestion des FLI, pourront offrir aux entreprises un répit de six mois pour le remboursement de leur aide financière. Ce délai de paiement vient s’ajouter à ceux déjà autorisés par les politiques d’investissement des MRC. Précisons que certains projets sont financés de manière complémentaire par les FLI et les Fonds locaux de solidarité (FLS). Dans ces cas, le répit sera octroyé conjointement par les deux fonds.

Citations :

« Notre gouvernement a mis en place des outils flexibles, comme les FLI, pour appuyer les entreprises d’ici, qui jouent un rôle central dans la vitalité économique de nos régions. Cette mesure d’assouplissement fait partie des actions entreprises pour protéger nos PME et notre économie en ces temps incertains. On est présents pour les aider afin qu’elles continuent de créer de la richesse partout au Québec, et on demeure toujours à l’écoute de leurs besoins. »

Christopher Skeete, ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

« Les États-Unis nous ont plongés dans une période d’incertitude sans précédent. Les services de développement des MRC offrent un accompagnement personnalisé aux entrepreneurs, et cette mesure permettra de les soutenir via nos FLI et nos FLS. La force de notre économie repose sur la collaboration et la solidarité. »

Jacques Demers, président de la Fédération québécoise des municipalités, maire de Sainte-Catherine-de-Hatley et préfet de la MRC de Memphrémagog

« C’est en période de turbulence économique que le mandat du réseau du Fonds de solidarité FTQ prend tout son sens. C’est pourquoi nous travaillerons avec le gouvernement du Québec, la Fédération québécoise des municipalités, les MRC et les gestionnaires de FLS pour atténuer les répercussions des tarifs douaniers américains sur les PME partout au Québec. »

Éric Desaulniers, directeur général des Fonds locaux de solidarité FTQ

Faits saillants :

  • Les FLI , qui sont sous la responsabilité du ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, sont administrés par 101 MRC au Québec. Cet outil se veut suffisamment souple pour répondre aux besoins de financement des entreprises afin de favoriser la réalisation de leurs projets de démarrage, d’amélioration, de transformation, de croissance et d’expansion ainsi que de relève entrepreneuriale.
  • Depuis leur création, les FLI ont contribué au développement économique du Québec en générant les retombées évaluées suivantes :
    • près de 16 500 entreprises et entrepreneurs soutenus dans leur projet de démarrage, d’expansion et de relève entrepreneuriale;
    • plus de 170 000 emplois créés ou maintenus;
    • des investissements totalisant 644,1 millions de dollars.
  • Le réseau des FLS  a été instauré par le Fonds de solidarité FTQ et la Fédération québécoise des municipalités (FQM) en 1991. Les 98 FLS soutiennent notamment la réalisation de projets de démarrage, d’expansion et d’acquisition d’entreprises sur les territoires des MRC. Les entreprises ont ainsi accès à du financement par l’intermédiaire de spécialistes au service du développement économique local, soit dans les MRC ou les organismes délégués.
  • En 2017, le gouvernement du Québec a accordé 3,5 millions de dollars à la FQM pour faciliter et encourager l’implantation de FLS sur les territoires qui n’en disposaient pas. Depuis 2017, 26 FLS ont été créés et 25 d’entre eux ont bénéficié d’un apport financier de la FQM.

Ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie sur les réseaux sociaux :

Création du Comité d’étude sur le respect de la Loi sur la laïcité de l’État


 Publié le 10 mars 2025

Tel que mandaté par le premier ministre, le ministre responsable de la Laïcité, Jean-François Roberge, annonce la création du Comité d’étude sur le respect des principes de la Loi sur la laïcité de l’État et sur les influences religieuses. Ce comité a pour mandat de dresser un portrait du respect de la laïcité et de la neutralité religieuse au sein des institutions de l’État et de faire des recommandations au gouvernement afin de renforcer la laïcité au Québec. Le comité documentera également le phénomène d’infiltration d’influences religieuses au sein des institutions.

Le comité sera dirigé conjointement par deux spécialistes en matière de laïcité : Mme Christiane Pelchat, avocate et ancienne présidente du Conseil du statut de la femme, et M. Guillaume Rousseau, avocat et professeur à la Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke. Le comité bénéficiera du soutien du Secrétariat à la réforme des institutions démocratiques, à l’accès à l’information et à la laïcité pour la réalisation de son mandat.

Concrètement, le comité aura comme mandat :

  • de dresser un portrait du respect des principes de la Loi sur la laïcité de l’État et de la Loi sur la neutralité au sein de l’État;
  • d’analyser les phénomènes présentant des obstacles à l’application effective de la Loi sur la laïcité de l’État et de la Loi sur la neutralité, dont celui des influences religieuses;
  • d’analyser les mesures qui ont été mises en place ailleurs dans le monde afin de consolider l’application des normes et des principes sur lesquels repose la laïcité de l’État;
  • de formuler des recommandations afin de contrer ces obstacles et de renforcer la laïcité des institutions étatiques en plus de préserver le modèle de laïcité choisi par le Québec.

Le rapport du comité devra être remis au gouvernement du Québec au plus tard le 20 août 2025.

Citations :

« La laïcité est une valeur fondamentale au Québec. Elle s’inscrit dans notre histoire et fait maintenant partie de notre identité comme nation. Cinq ans après l’adoption de la Loi sur la laïcité de l’État, le gouvernement veut avoir le portrait juste sur son application dans nos institutions. Lorsque des courants religieux mettent en danger les bases de la laïcité québécoise, le gouvernement du Québec doit documenter la question pour pouvoir ensuite prendre les moyens pour contrer les influences religieuses et faire respecter ses choix sociétaux. Nous sommes déterminés à aller plus loin pour faire évoluer notre modèle et pour protéger nos valeurs. Je remercie Mme Pelchat et M. Rousseau pour leur implication et je leur accorde toute ma confiance. »

Jean-François Roberge, ministre responsable de la Laïcité

« Je remercie le ministre, M. Jean-François Roberge, de sa confiance. Il y a maintenant 20 ans que je me penche sur la laïcité comme vecteur de l’égalité entre les femmes et les hommes. Je suis encouragée par les progrès accomplis et heureuse de participer à la suite de l’évolution. »

Christiane Pelchat, avocate et ancienne présidente du Conseil du statut de la femme

« Je remercie le gouvernement pour sa confiance. J’ai l’intention de mettre mes connaissances et mes compétences de chercheur et de praticien à profit afin de faire un bilan le plus juste possible des lois 21 et 62 et de formuler des recommandations concrètes et réalistes pour renforcer notre laïcité. »

Guillaume Rousseau, avocat et professeur à la Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke

Faits saillants :

  • Le Québec a adopté la Loi sur la laïcité de l’État en 2019 et la Loi favorisant le respect de la neutralité religieuse de l’État et visant notamment à encadrer les demandes d’accommodements pour un motif religieux dans certains organismes en 2017.
  • La laïcité de l’État est le résultat de l’évolution du Québec en ce qui a trait à sa conception des relations entre l’État et les religions. Elle reflète son choix, légitime, à l’égard d’un modèle de laïcité qui lui correspond.

Lien connexe :

Comité d’étude sur le respect des principes de la Loi sur la laïcité de l’État et sur les influences religieuses

Chantier Davie à Lévis: 2 000 nouveaux emplois!


 Publié le 8 mars 2025

La Stratégie nationale de construction navale (SNCN) est un engagement à long terme visant à renouveler les flottes de navires de la Marine royale canadienne (MRC) et de la Garde côtière canadienne (GCC), à créer un secteur de la construction navale durable et à générer des retombées économiques pour la population canadienne.

L’honorable Jean-Yves Duclos, ministre des Services publics et de l’Approvisionnement et lieutenant du Québec, a annoncé aujourd’hui que le gouvernement du Canada a attribué un contrat de 3,25 milliards de dollars (taxes en sus) à Chantier Davie Canada Inc. (CDCI) pour la construction de l’un des futurs brise-glaces polaires de la GCC dans le cadre de la SNCN. Il s’agit d’un jalon important dans le renforcement de la souveraineté et de la sécurité du Canada dans l’Arctique. 

Dans le cadre de son plan de renouvellement de la flotte, la GCC fait l’acquisition de 2 brise-glaces polaires. L’autre brise-glace polaire est en cours de construction par Vancouver Shipyards de Seaspan. Ces navires renforceront la présence de la GCC dans l’Arctique et disposeront de capacités plus importantes et plus avancées que les 2 brise-glaces actuels les plus performants de la GCC.

Ces brise-glaces polaires plus grands et plus puissants assureront le maintien des opérations de la GCC à des latitudes plus nordiques pendant de plus longues périodes et permettront à sa flotte de mieux soutenir les peuples autochtones, de renforcer la sécurité dans l’Arctique, de faire progresser la science dans l’Extrême-Arctique et de mieux répondre aux urgences maritimes.

Chantier Davie construira ce navire à Lévis, au Québec. Pour en accélérer la production, Chantier Davie mettra également à contribution son chantier naval Helsinki Shipyard, en Finlande, détenu par des intérêts canadiens. L’expertise unique de la Finlande et son expérience dans la construction de brise-glaces polaires permettront une livraison plus rapide et moins coûteuse des navires canadiens; ainsi, ils seront plus rapidement prêts à fendre la glace. Ces investissements dynamisent l’industrie de la construction navale au Canada, par la création d’emplois bien rémunérés partout au pays ainsi qu’en améliorant nos partenariats à l’étranger en matière de défense et de sécurité.

L’annonce d’aujourd’hui a également permis au ministre Duclos de marquer officiellement le 15e anniversaire de la SNCN, qui joue un rôle majeur dans le renforcement de l’économie canadienne, ayant créé ou maintenu plus de 20 400 emplois de qualité pour la classe moyenne annuellement. Depuis 2010, les chantiers navals canadiens ont livré 8 grands navires et 34 petits navires à la MRC et à la GCC, tout en soutenant les flottes fédérales grâce à des travaux essentiels de réparation, de radoub et d’entretien.

L’Arctique fait partie intégrante du Canada, où vivent 150 000 Canadiennes et Canadiens et des générations de peuples autochtones. Grâce à des accords transformateurs comme le Pacte de collaboration sur les brise-glaces, signé en novembre dernier avec les États-Unis et la Finlande, et dans le cadre de la vision renouvelée pour la défense du Canada, Notre Nord, fort et libre, le Canada investit dans notre défense et sécurité collectives.

Le Canada continuera de travailler avec ses alliés pour protéger notre pays, notre continent et nos valeurs démocratiques.

Citations

« Aujourd’hui marque un jalon important dans notre engagement à renforcer les capacités maritimes de notre pays. Le contrat attribué à Chantier Davie Canada Inc. pour la construction d’un nouveau brise-glace polaire met en lumière notre volonté d’assurer une navigation sécuritaire et efficace dans les régions arctiques. Ce navire ultramoderne viendra non seulement renforcer notre flotte de brise-glaces, mais il soutiendra également la recherche scientifique essentielle ainsi que les efforts de protection de l’environnement, en plus de garantir la sécurité nationale dans l’Arctique. Nous sommes fiers de faire ce pas en avant dans le renforcement de notre infrastructure maritime pour protéger la souveraineté du Canada dans l’Arctique. »

L’honorable Jean-Yves Duclos
Ministre des Services publics et de l’Approvisionnement et lieutenant du Québec

« L’annonce d’aujourd’hui est un jalon important dans le cadre de la Stratégie nationale de construction navale. Avec les brise-glaces de programme construits ici par Chantier Davie, les brise-glaces polaires renforceront la capacité de la Garde côtière canadienne dans l’Arctique et garantiront à nos membres des navires efficaces et modernes pour effectuer leur travail. »

L’honorable Diane Lebouthillier
Ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne

« Le partenariat que nous venons de conclure avec Davie, au Québec, pour la construction de ce brise-glace polaire illustre bien l’engagement qu’a pris notre gouvernement de tout mettre en œuvre pour que la Garde côtière canadienne puisse continuer de protéger la souveraineté et les intérêts du Canada. Nous demeurons également déterminés à revitaliser l’industrie de la construction navale au Canada, à créer des emplois hautement rémunérés et à maximiser les retombées économiques dans l’ensemble du pays. »

L’honorable François-Philippe Champagne
Ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie

« Le chantier Davie continue de prendre de l’expansion! Ce sont 1 000 nouveaux emplois à Lévis, et autant chez nos fournisseurs partout au Québec. On parle d’un projet majeur qui va non seulement créer des emplois payants, mais aussi renforcer notre expertise en construction navale. Avec l’incertitude économique actuelle et les craintes concernant la protection de l’Arctique, on a besoin de projets comme celui-là pour solidifier notre avenir. Je tiens à remercier le gouvernement fédéral d’avoir agi rapidement dans ce dossier. »

François Legault
Premier ministre du Québec

« C’est un grand jour pour les travailleurs de la Davie et pour les gens de Lévis. On va fabriquer chez nous le brise-glace polaire le plus avancé au monde : le PolarMax! Comme député de Lévis, c’est la concrétisation de plusieurs mois de travail acharné. Créer des emplois (et de la richesse) chez nous est encore plus important avec l’incertitude économique actuelle. Avec le PolarMax, on va créer de beaux emplois et de la prospérité pour Lévis, la région de Chaudière-Appalaches et tout le Québec! »

Bernard Drainville
Ministre de l’Éducation, ministre responsable de la région de Chaudière-Appalaches et député de Lévis

« L’annonce d’aujourd’hui représente une véritable transformation. Le Canada mérite d’être félicité pour son partenariat avec Davie dans le cadre de ce projet novateur. Il est dans l’intérêt de tous les Canadiens de livrer un navire aussi unique dans les meilleurs délais. Les retombées économiques pour les Québécois s’en trouveront accélérées et les compétences de nos talentueux constructeurs de Lévis s’en trouveront renforcées. Dans un monde instable, nous pouvons et nous devons établir des collaborations en matière de construction navale avec des alliés de confiance comme la Finlande, afin de protéger nos intérêts communs. Si on ne le fait pas maintenant, alors quand le ferons-nous? »

James Davies
Président et chef de la direction, Chantier Davie Canada Inc.

Les faits en bref

  • La SNCN est un programme à long terme de plusieurs milliards de dollars qui vise à renouveler les flottes de la GCC et de la MRC afin que les organismes maritimes du Canada disposent des navires modernes dont ils ont besoin pour remplir leurs missions, tout en revitalisant l’industrie de la construction navale canadienne, en créant des emplois pour la classe moyenne et en maximisant les retombées économiques dans tout le pays.
  • Les chantiers navals et les entreprises du Québec jouent un rôle important pour répondre aux besoins du gouvernement fédéral en matière de construction navale.
  • Des contrats évalués à environ 4,5 milliards de dollars ont été attribués à des entreprises québécoises dans le cadre de la SNCN. Cela représente plus de 12 % de la valeur totale des contrats attribués dans le cadre de la stratégie. Ces contrats ont offert des possibilités considérables à long terme pour les travailleurs qualifiés de toute la province.
  • La GCC dispose actuellement de 18 brise-glaces de tailles et de capacités diverses, ce qui en fait la deuxième flotte de brise-glaces au monde.
  • Cette stratégie permet non seulement de faire progresser le partenariat entre le Canada et la Finlande dans le cadre de l’effort de collaboration en matière de brise-glaces (le Pacte de collaboration sur les brise-glaces), mais aussi de tirer parti de l’expertise finlandaise pour renforcer la capacité de construction navale au Canada.
  • En mai 2021, le Canada a annoncé l’acquisition de 2 nouveaux brise-glaces polaires dans le cadre de la SNCN.
  • Chantier Davie joue déjà un rôle essentiel dans le soutien des flottes canadiennes, ayant obtenu des contrats d’une valeur de plus de 2,8 milliards de dollars entre 2012 et 2023 pour divers types de travaux visant des navires pour la GCC, la MRC et Transports Canada.
  • Le 13 novembre 2024, le Canada a signé le Pacte de collaboration sur les brise-glaces avec les États-Unis et la Finlande afin d’intensifier la collaboration actuelle, de renforcer leurs industries de la construction navale et de permettre la production plus rapide de nouveaux équipements et de nouvelles capacités. Ces 3 pays clés de l’Arctique collaboreront plus étroitement pour inciter nos alliés et partenaires à répondre à la future demande mondiale de navires arctiques et polaires.
  • La Politique des retombées industrielles et technologiques du Canada s’applique au projet de brise-glaces polaires. Cette politique exige des entreprises qu’elles réalisent des investissements et exercent des activités commerciales au Canada d’une valeur équivalente à celle des contrats connexes.
  • La proposition de valeur de la SNCN s’applique au projet de brise-glaces polaires. Cette proposition exige que CDCI réinvestisse l’équivalent de 0,5 % de ses contrats liés aux brise-glaces dans 3 domaines prioritaires au profit de l’ensemble de l’industrie maritime canadienne : le développement des ressources humaines, l’investissement technologique et le développement industriel.

Liens connexes