Élaboration d’une politique d’hébergement et de soins de longue durée


 Publié le 14 mai 2019

La ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, madame Marguerite Blais, accompagnée du ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux, monsieur Lionel Carmant, et de l’adjointe parlementaire de la ministre de la Santé et des Services sociaux, madame Marilyne Picard, a annoncé aujourd’hui le lancement des travaux qui mèneront à l’élaboration de la toute première politique en matière d’hébergement et de soins de longue durée.

Cette démarche vise, à terme, à proposer une approche novatrice qui sera davantage adaptée aux besoins des différentes clientèles hébergées, basée sur les meilleures pratiques. La mise en place d’un comité d’experts, composé de personnes détenant une expertise complémentaire, est la première étape des travaux. Ce comité aura pour mandat de participer activement à l’élaboration de la politique et du plan d’action qui s’ensuivra.

Bien que plusieurs options d’hébergement de soins de longue durée soient disponibles au Québec, auparavant, aucun gouvernement ne s’était doté d’orientations générales pouvant s’appliquer à tous les types d’hébergement de soins de longue durée ainsi qu’à toutes les clientèles susceptibles d’y résider. Le nouveau gouvernement prend donc l’initiative de lancer les travaux de cette politique, au bénéfice des personnes aînées en perte d’autonomie, des personnes ayant un trouble neurocognitif majeur et des personnes vivant avec une déficience intellectuelle, physique, un trouble du spectre de l’autisme, un problème de santé mentale ou une dépendance.

« Les travaux qui s’amorcent nous permettront de développer une nouvelle approche pour l’hébergement et les soins de longue durée au Québec, plus centrée sur la personne et adaptée à ses besoins. Nous voulons que chaque personne puisse, dans son milieu de vie, se sentir comme à la maison et recevoir des soins et des services personnalisés dans un environnement accueillant, sécurisant et qui lui ressemble davantage. », a déclaré Marguerite Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants.

« Vous savez, à l’heure où on se parle, 10 % de la clientèle des CHSLD est composée d’adultes de moins de 65 ans. Ces personnes vivent généralement avec une déficience physique, intellectuelle ou un problème de santé mentale. Elles n’ont pas les mêmes besoins que les aînés en perte d’autonomie. Ce que nous proposons est un changement majeur dans la façon de traiter ces clientèles. Nous sommes déterminés à favoriser une approche qui permettra à chacun de s’épanouir dans son milieu de vie. Nous nous sommes engagés à travailler en équipe afin d’assurer le mieux-être de tous, et cette annonce en est une belle démonstration. », a souligné Lionel Carmant, ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux.

« Nous sommes en train de jeter les bases de beaux changements, de grands changements pour toutes les personnes qui ont besoin d’hébergement de longue durée, notamment les personnes vivant avec une déficience, un trouble du spectre de l’autisme ou ayant un trouble neurocognitif majeur. Je suis évidemment très sensible à ce que vivent ces personnes et leurs proches, et je suis fière que notre gouvernement se penche enfin sur cet enjeu des plus importants. », a déclaré Marilyne Picard, adjointe parlementaire de la ministre de la Santé et des Services sociaux.

Faits saillants :

  • La politique exposera des orientations et des principes directeurs sur lesquels devra se baser l’offre de service dans les milieux d’hébergement de longue durée.
  • Ces milieux de vie doivent favoriser la santé et le bien-être des personnes hébergées, l’inclusion et la participation sociales, de même que le développement, le maintien et le recouvrement des capacités des personnes.
  • Les orientations seront basées sur une vision novatrice centrée sur la qualité de vie, sur la reconnaissance et la personnalisation des besoins ainsi que sur la participation sociale de tous les résidents.
  • En plus du comité d’experts, un comité consultatif sera mis sur pied et ses travaux débuteront cet été. Le comité consultatif aura pour mandat de conseiller le ministère de la Santé et des Services sociaux dans l’élaboration de la politique et de son plan d’action, de commenter et de valider les travaux du comité d’experts et d’émettre des recommandations.
  • Le dépôt de la politique d’hébergement et de soins de longue durée est prévu au cours de l’année 2020. Un plan d’action sera ensuite présenté afin d’actualiser la mise en œuvre des orientations dans tous les milieux concernés.
  • Le comité d’experts sera composé de gestionnaires responsables de l’animation du comité, de conseillers, de chercheurs, d’experts et de gestionnaires stratégiques et tactiques de différents programmes-services.
  • En plus des représentants du ministère de la Santé et des Services sociaux, les chercheurs et experts qui formeront ce comité sont Philippe Voyer, chercheur en gérontologie, Normand Boucher, chercheur au niveau des politiques sociales, du handicap et de l’exercice des droits, Patrick Fougeyrollas, anthropologue au Département d’anthropologie de l’Université Laval, chercheur régulier du Centre interdisciplinaire de recherche en réadaptation et intégration sociale et fondateur du Réseau international sur le processus de production du handicap, Catherine P. Mulcair, experte des personnes en CHSLD auprès du CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, David Lussier, gériatre à l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal et directeur du programme Avantâge, Gina Bravo, chercheuse au Centre de recherche sur le vieillissement de Sherbrooke, Isabelle Matte, directrice adjointe à l’hébergement au CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, Anne-Élisabeth Viel, chef de services résidentiels non institutionnels DI-TSA-DP au CIUSSS de la Mauricie-et-du-Centre-du-Québec, Michèle Archambault, conseillère INESSS, Anne Hébert, directrice générale de l’Office des personnes handicapées du Québec, Terry Kaufman, président Handicap-Vie-Dignité, Line Perreault, conseillère en éthique clinique au CISSS de la Montérégie-Centre, Véronique Laverdière, spécialiste en activités cliniques au CIUSSS de la Capitale-Nationale, et Robert Tremblay, usager SAPA au CIUSSS du Nord-de-l’Île-de-Montréal.

Le ministre Pierre Dufour poursuit sa tournée dans les régions


 Publié le 14 mai 2019

Le ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec, M. Pierre Dufour, a rencontré aujourd’hui, à Sainte-Anne-des-Monts, les partenaires de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine afin d’échanger sur les différents enjeux à considérer dans l’élaboration de la Stratégie pour les caribous forestiers et montagnards.

Le 3 avril, le ministre avait fait connaître les territoires envisagés pour permettre la pérennité de l’espèce. Le ministre avait alors exprimé son souhait d’intensifier sa collaboration avec les partenaires afin de dégager des pistes de solutions pour répondre aux besoins des caribous forestiers et montagnards tout en limitant les impacts sur l’industrie forestière et ses travailleurs.

Le ministre est donc présentement en tournée afin d’échanger avec les intervenants régionaux et de déterminer les connaissances et les enjeux locaux à prendre considération dans le cadre de l’élaboration de la stratégie prévue pour 2022. Il poursuivra sa démarche de consultation dans plusieurs régions du Québec jusqu’au 18 juin.

« La région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine est la seule région au Québec où vivent encore des caribous montagnards au sud du Saint-Laurent. J’étais donc très enthousiaste d’être ici aujourd’hui pour entendre le point de vue des acteurs de la région qui sont concernés par la survie de ceux-ci mais qui sont également sensibles aux conséquences récréotouristiques et sociales de la mise en place d’éventuelles mesures de protection. Nous souhaitons être à leur écoute pour qu’ensemble, nous puissions dégager une vision globale et intégrée qui permettra de protéger cette espèce menacée tout en maintenant la vitalité économique du Québec et de ses régions »., a déclaré Pierre Dufour, ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec.

Faits saillants :

  • Les rencontres prévues dans les régions concernées par les caribous forestiers et montagnards interpellent les différents partenaires du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, notamment les représentants de l’industrie forestière, le milieu municipal, les syndicats, les groupes environnementaux et les nations autochtones ainsi que d’autres partenaires importants pour le Québec.
  • À l’occasion de sa tournée, le ministre visitera les villes suivantes :
  • Baie-Comeau 17 mai
  • La Malbaie 3 juin
  • Val-d’Or 10 juin
  • Roberval 17 juin
  • Chibougamau 18 juin

Liens connexes :

Pour suivre l’évolution des travaux sur la Stratégie pour les caribous forestiers et montagnards, consultez le mffp.gouv.qc.ca/caribou.
Pour obtenir des renseignements sur le Ministère et en savoir plus sur ses activités et ses réalisations, consultez le mffp.gouv.qc.ca et les réseaux sociaux :
https://www.facebook.com/ForetsFauneParcs
https://twitter.com/MFFP_Quebec

Première pelletée de terre pour l’usine de Produits Kruger S.E.C. à Sherbrooke


 Publié le 14 mai 2019

L’entreprise Produits Kruger S.E.C. a procédé aujourd’hui, en présence du ministre de l’Économie et de l’Innovation, M. Pierre Fitzgibbon, et de la députée de Saint‑François et whip adjointe du gouvernement, Mme Geneviève Hébert, à la pelletée de terre officielle annonçant la construction de son usine de fabrication de papiers sanitaires et domestiques dans l’arrondissement de Brompton, à Sherbrooke.

Rappelons que ce projet d’implantation, qui représente des investissements de 575 millions de dollars, permettra la création de près de 180 emplois dans la région de l’Estrie.

« C’est avec beaucoup d’enthousiasme que je salue l’implantation de cette usine. Grâce entre autres à l’intégration d’une technologie novatrice de séchage, celle-ci permettra à Kruger d’accroître sa productivité et de renforcer sa compétitivité sur le marché des papiers sanitaires et domestiques de qualité supérieure à l’échelle nord‑américaine. J’ai eu l’occasion de visiter de nombreuses entreprises qui, comme Produits Kruger, sont prêtes à réaliser des investissements stratégiques parce qu’elles savent que leur croissance et leur succès reposent sur l’innovation. Je félicite ces dernières d’avoir bien saisi l’importance d’adopter les nouvelles tendances propres à chacun des marchés qu’elles souhaitent conquérir. J’invite d’ailleurs les autres entreprises québécoises à suivre l’exemple de Produits Kruger et à miser sur l’innovation pour assurer leur développement ici comme à l’international. », a déclaré Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable de la région de Lanaudière.

« À terme, les investissements de Produits Kruger génèreront d’importantes retombées économiques pour la circonscription de Saint‑François, la région de l’Estrie et l’ensemble du Québec. C’est pourquoi je suis ravie pour tous les travailleurs de l’industrie québécoise des pâtes et papiers qui se joindront prochainement à l’équipe de Produits Kruger afin d’assurer la réussite de ce grand projet à Brompton, lequel contribuera au dynamisme de l’économie régionale. », a souligné Geneviève Hébert, députée de Saint‑François et whip adjointe du gouvernement.

Faits saillants :

  • En août 2018, le gouvernement du Québec a attribué un prêt de 105 millions de dollars sous forme d’obligation non garantie convertible à Produits Kruger S.E.C., une filiale de l’entreprise Kruger, pour soutenir l’implantation d’une usine de fabrication de papiers sanitaires et domestiques dans l’arrondissement de Brompton, à Sherbrooke.
  • Fondée en 1904, l’entreprise Kruger se spécialise notamment dans les secteurs des pâtes et papiers, de l’énergie renouvelable et du recyclage.
  • Elle possède de nombreuses filiales réparties au Québec, en Ontario, en Colombie‑Britannique, à Terre‑Neuve-et-Labrador et aux États-Unis.

Lien connexe :

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Semaine québécoise des familles


 Publié le 13 mai 2019

À l’occasion de la Semaine québécoise des familles qui s’amorce aujourd’hui, le ministre de la Famille, M. Mathieu Lacombe, réaffirme l’engagement du gouvernement à l’égard des familles du Québec. Il souligne sa volonté de les soutenir, par différentes initiatives, dans le respect de leur diversité.

Le ministre a d’ailleurs annoncé la mise en ligne d’une vitrine Web destinée aux familles sur le site Québec.ca. Elle présente la vision et les grands principes qui guident l’action gouvernementale en lien avec les familles ainsi que l’ensemble des mesures qui leur sont destinées. On y trouve aussi des données actuelles sur la situation démographique du Québec et sur l’évolution des réalités familiales.

« Les familles d’aujourd’hui doivent faire face à plusieurs défis et elles ont besoin d’être soutenues. C’est pourquoi une nouvelle vitrine Web a été mise en ligne sur le site Québec.ca. Elle regroupe, en un seul endroit, l’ensemble des mesures qui leur sont destinées et qui seront bonifiées par les nouveaux gestes que nous poserons dans les prochaines années. Nous avons donc rassemblé toute l’information pertinente pour que vous puissiez y avoir accès facilement et rapidement. Je vous invite à découvrir cette vitrine dès maintenant. Nous croyons que le mieux-être des familles passe notamment par la bonification de l’aide qui leur est offerte, par une réelle conciliation famille-travail-études et des moyens concrets pour agir tôt et de manière concertée auprès de nos enfants. La famille est au cœur des priorités de votre gouvernement et c’est pourquoi nous créons des conditions favorables à l’épanouissement de toutes les familles du Québec, quelles que soient leurs origines et leurs réalités. », a déclaré Mathieu Lacombe, ministre de la Famille.

Faits saillants

  • La Semaine québécoise des familles se déroule du 13 au 19 mai, sur le thème C’est le temps d’un vrai Québec Famille. Cet événement est organisé par le Réseau pour un Québec Famille.
  • Au cœur de cette semaine est célébrée, le 15 mai, la Journée internationale des familles.
  • Chaque année, ces événements rassembleurs soulignent l’importance de la famille dans notre société et la richesse de sa diversité.

Lien connexe

Pour découvrir la vitrine Web destinée aux familles :
http://quebec.ca/actionsfamilles

Le ministre Jean Boulet lance la Grande corvée 2.0


 Publié le 13 mai 2019

Pour répondre au phénomène de la rareté de la main-d’œuvre, qui est en constante progression, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie, M. Jean Boulet, entame aujourd’hui la deuxième phase de sa Grande corvée : la Grande corvée 2.0.

Alors que la première phase vise à aller au-devant des besoins de main-d’œuvre des entreprises, la Grande corvée 2.0 s’adresse directement aux travailleuses et aux travailleurs, en leur demandant de s’exprimer pour pouvoir développer leur employabilité, les rapprocher du marché du travail et mieux les accompagner dans leur parcours.

Pour débuter cette démarche, le ministre a lancé un appel important aux travailleurs expérimentés pour qu’ils considèrent un retour en emploi ou une prolongation de carrière. Il s’est aussi adressé aux entreprises pour qu’elles fassent appel à ce bassin de travailleurs pour répondre à leurs besoins de main-d’œuvre.

Alors que le taux de chômage de 4,9 % est le plus bas jamais enregistré, le ministre a partagé son plan d’action évolutif, dont le premier front consiste à intégrer et à rapprocher du marché du travail les groupes qui y sont sous-représentés, notamment les personnes handicapées, les immigrants, les Autochtones et les travailleurs expérimentés.

Il a réitéré que, conformément au budget 2019-2020, 892 M$ sur cinq ans sont prévus pour le maintien ou le retour en emploi des travailleurs expérimentés et pour soutenir financièrement les entreprises qui les embauchent.

Ainsi, le crédit d’impôt pour la prolongation de carrière, auparavant appelé « crédit d’impôt pour travailleur d’expérience », a été bonifié et comprendra des investissements de 533,2 M$ sur cinq ans, soit plus de 104 M$ par année.

Pour appuyer les petites et moyennes entreprises (PME) dans leurs efforts pour recruter et maintenir en emploi des travailleurs expérimentés, le ministre rappelle qu’un crédit d’impôt est aussi offert pour réduire les charges québécoises sur la masse salariale liées aux travailleurs âgés de 60 ans ou plus. On estime que plus de 34 000 PME bénéficieront de cet allègement fiscal, qui représente des investissements de 338,8 M$ sur cinq ans.

« Alors que la population vieillit et que le nombre de départs à la retraite est une des causes de la rareté de la main-d’œuvre, nous croyons que le Québec peut bénéficier grandement du savoir-faire des travailleurs expérimentés. Nous agissons concrètement en permettant aux travailleurs expérimentés d’avoir davantage d’argent dans leurs poches et aux PME qui les embauchent de bénéficier d’une aide financière. Ces mesures contribueront à ce que les travailleurs expérimentés puissent continuer de mettre à profit leur expertise au bénéfice de toute la société. », a souligné Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie.Un montant supplémentaire de 20 M$ sur cinq ans est également prévu pour adapter les services publics d’emploi, dans le but de maintenir et d’attirer davantage de travailleurs expérimentés sur le marché du travail.

Alors que le taux d’emploi des travailleurs expérimentés québécois est nettement inférieur à la moyenne canadienne, dont celui de l’Ontario, le ministre a expliqué qu’un rattrapage permettrait de bénéficier de la présence de 89 000 travailleurs supplémentaires sur le marché du travail québécois pour combler les postes disponibles.

Faits saillants :

En 2018, le taux d’emploi des 60 à 64 ans était de 48,5 % au Québec versus
54,8 % en Ontario. Chez les 65 ans et plus, il était de 10,3 % au Québec et de 13,7 % en Ontario.
Afin de permettre à davantage de personnes d’en bénéficier, l’âge d’éligibilité au crédit d’impôt pour la prolongation de carrière est abaissé de 61 à 60 ans.
Pour les travailleurs de 60 à 64 ans, le montant maximal du crédit d’impôt peut atteindre 1 500 $. Globalement, cette bonification profitera à près de 158 000 travailleurs de 60 à 64 ans.
Pour les travailleurs de 65 ans et plus, le crédit d’impôt existant continue de s’appliquer et peut atteindre 1 650 $.
Grâce aux réductions des charges sur la masse salariale des petites et moyennes entreprises, 50 % des cotisations québécoises payées par l’entreprise seront remboursées sous forme de crédit d’impôt pour chaque travailleur âgé de 60 à 64 ans jusqu’à concurrence de 1 250 $. Également, 75 % de ces cotisations seront remboursées pour chaque travailleur de 65 ans et plus jusqu’à concurrence de 1 875 $.
Le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale peut également soutenir les travailleurs expérimentés, notamment par l’intermédiaire de la Subvention salariale pour personnes expérimentées, qui soutient l’intégration en emploi des personnes âgées de 55 ans et plus et celles âgées de 50 à 54 ans qui sont prestataires d’une aide financière de dernier recours.
Les entreprises qui souhaitent obtenir de l’information peuvent en tout temps joindre un conseiller aux entreprises du Ministère au bureau de Services Québec ou au centre local d’emploi le plus près.

Appui aux entreprises touchées par les crues printanières


 Publié le 10 mai 2019

À la suite des crues printanières de 2019, le ministère de l’Économie et de l’Innovation (MEI) contribue aux efforts de rétablissement des milieux inondés. Plus précisément, le MEI offre des services aux entreprises touchées sous forme d’accompagnement-conseil et de soutien au développement de leurs affaires.

En ce qui concerne les programmes particuliers d’indemnisation, le MEI est en mesure d’évaluer les besoins des entreprises sinistrées et de les diriger vers les services ou les partenaires appropriés en fonction de leur situation.

Le MEI compte 17 directions régionales visant à répondre aux besoins des entrepreneurs sur tout le territoire québécois1.

« Lorsqu’un événement climatique majeur survient, il est de notre devoir d’être présents et d’aider les citoyens touchés. Parmi les sinistrés des inondations printanières, nous comptons plusieurs entreprises et commerces de détail. Afin de les accompagner le mieux possible, nous avons mis en place le Programme d’indemnisation et d’aide financière pour entreprises et propriétaires de bâtiments locatifs. Votre gouvernement s’active et vous soutiendra jusqu’au bout. », a déclaré Geneviève Guilbault, vice-première ministre, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale.

« En ces moments difficiles, plusieurs ressources sont mises en place par le gouvernement du Québec en vue de permettre aux sinistrés de se relever le plus rapidement possible. Les employés des bureaux régionaux du MEI sont présents et proactifs pour aider les entrepreneurs touchés par les inondations. Ils peuvent aussi les guider à travers les différents programmes offerts par le Ministère. », a souligné Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable de la région de Lanaudière.

Faits saillants :

  • Le Programme d’indemnisation et d’aide financière pour entreprises et propriétaires de bâtiments locatifs a été adopté par le gouvernement du Québec le 10 avril 2019. Il s’adresse aux entreprises et aux propriétaires de bâtiments locatifs ayant déclaré un revenu annuel inférieur à 500 000 $ pour les deux années précédant l’année du sinistre.
  • Le ministère de la Sécurité publique offre, dans les régions touchées par les inondations, des séances d’information, auxquelles participent des représentants des bureaux régionaux du MEI.
  • Les citoyens ainsi que les entreprises directement concernés par les inondations sont invités à communiquer avec Services Québec au 1 877 644-4545 pour se renseigner sur les programmes et services du gouvernement du Québec, de 8 h à 18 h, du lundi au vendredi, et de 8 h 30 à 16 h 30, les samedis et dimanches.
  • Les sinistrés peuvent aussi obtenir du soutien psychosocial en composant le 811 et en choisissant l’option Info-Social (option 2). Le service est gratuit, confidentiel et offert en tout temps.

Lien connexe :
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1 Les coordonnées des directions régionales du MEI se trouvent en annexe du communiqué.

Annexe – Coordonnées des directions régionales du MEI

 

Direction régionale de l’Abitibi-Témiscamingue 

170, avenue Principale, bureau 202
Rouyn-Noranda (Québec)  J9X 4P7

Téléphone : 819 763-3561
Télécopieur : 819 763-3462
Sans frais : 1 866 463-6642

 

Direction régionale du Bas-Saint-Laurent 

337, rue Moreault, RC 04
Rimouski (Québec)  G5L 1P4

Téléphone : 418 727-3577
Télécopieur : 418 727-3640
Sans frais : 1 866 463-6642

 

Direction régionale de la Capitale-Nationale 

710, place D’Youville, 8e étage
Québec (Québec)  G1R 4Y4

Téléphone : 418 691-5824
Télécopieur : 418 643-4099
Sans frais : 1 866 463-6642

 

Direction régionale du Centre-du-Québec 

Centre administratif
62, rue Saint-Jean-Baptiste, bureau 1.03
Victoriaville (Québec)  G6P 4E3

Téléphone : 819 752-9781
Télécopieur : 819 758-4306
Sans frais : 1 866 463-6642

 

Direction régionale de la Chaudière-Appalaches à Sainte-Marie 

1055, boulevard Vachon Nord, bureau 1
Sainte-Marie (Québec)  G6E 1M4

Téléphone : 418 386-8677
Télécopieur : 418 386-8037
Sans frais : 1 866 463-6642

 

 

Direction régionale de la Chaudière-Appalaches à Montmagny
Centre de services
 

116, rue Saint-Jean-Baptiste Ouest
Montmagny (Québec)  G5V 3B9

Téléphone : 418 248-3331
Télécopieur : 418 248-4098
Sans frais : 1 866 463-6642

 

Direction régionale de la Côte-Nord à Baie-Comeau 

625, boulevard Laflèche, RC 711
Baie-Comeau (Québec)  G5C 1C5

Téléphone : 418 589-4349
Télécopieur : 418 295-4199
Sans frais : 1 866 463-6642

 

 

Le Centre d’affaires regroupé de Sept-Îles 

454, rue Arnaud
Sept-Îles (Québec)  G4R 3A9

Téléphone : 418 964-8160
Télécopieur : 418 964-8164
Sans frais : 1 866 463-6642

 

Direction régionale de l’Estrie 

200, rue Belvédère Nord, bureau 4.05
Sherbrooke (Québec)  J1H 4A9

Téléphone : 819 820-3731
Télécopieur : 819 820-3929
Sans frais : 1 866 463-6642

 

Direction régionale des Laurentides 

275, rue Latour, bureau RC 1
Saint-Jérôme (Québec)  J7Z 0J7

Téléphone : 450 569-3031
Télécopieur : 450 569-3039
Sans frais : 1 866 463-6642

 

Direction régionale de Lanaudière 

40, rue Gauthier Sud, bureau 3300
Joliette (Québec)  J6E 4J4

Téléphone : 450 752-8050
Télécopieur : 450 752-8064
Sans frais : 1 866 463-6642

Direction régionale de la Mauricie 

Édifice Capitanal
100, rue Laviolette, bureau 114
Trois-Rivières (Québec)  G9A 5S9

Téléphone : 819 371-6617
Télécopieur : 819 371-6960
Sans frais : 1 866 463-6642

Direction régionale de Laval 

1700, boulevard Laval, bureau 450
Laval (Québec)  H7S 2J2

Téléphone : 450 680-6175
Télécopieur : 450 972-3090
Sans frais : 1 866 463-6642

Direction régionale de Montréal 

380, rue Saint-Antoine Ouest, 5e étage
Montréal (Québec)  H2Y 3X7

Téléphone : 514 499-2550
Télécopieur : 514 873-9913
Sans frais : 1 866 463-6642

Direction régionale de la Montérégie 

201, place Charles-Le Moyne, bureau 101
Longueuil (Québec)  J4K 2T5

Téléphone : 450 928-7645
Télécopieur : 450 928-7465
Sans frais : 1 866 463-6642

Direction régionale de l’Outaouais 

170, rue de l’Hôtel-de-Ville, bureau 7.200
Gatineau (Québec)  J8X 4C2

Téléphone : 819 772-3219
Télécopieur : 819 772-3968
Sans frais : 1 866 463-6642

Direction régionale du Nord-du-Québec 

333, 3e Rue
Chibougamau (Québec)  G8P 1N4

Téléphone : 418 748-6681
Télécopieur : 418 748-6698
Sans frais : 1 866 463-6642

Direction régionale de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine à Chandler 

500, avenue Daignault, bureau 113, RC
Case postale 1360
Chandler (Québec)  G0C 1K0

Téléphone : 418 689-1200
Télécopieur : 418 689-4108
Sans frais : 1 866 463-6642

Direction régionale du Saguenay-Lac-Saint-Jean 

3950, boulevard Harvey, bureau 2.05
Saguenay, arrondissement Jonquière (Québec)  G7X 8L6

Téléphone : 418 695-7971
Télécopieur : 418 695-7870
Sans frais : 1 866 463-6642

Direction régionale de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine à Gaspé
Centre de services
 

167, rue de la Reine
Case postale 8
Gaspé (Québec)  G4X 2W6

Téléphone : 418 361-3815
Télécopieur : 418 368-3104
Sans frais : 1 866 463-6642

 

Direction régionale de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine à New Carlisle
Centre de services
 

224, boulevard Gérard-D.-Lévesque
Case postale 579
New Carlisle (Québec)  G0C 1Z0

Téléphone : 418 752-2220
Télécopieur : 418 752-2902
Sans frais : 1 866 463-6642

2,9 M$ pour des initiatives au bénéfice des aînés du Nord-du-Québec


 Publié le 10 mai 2019

La ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, Marguerite Blais, a annoncé aujourd’hui un octroi totalisant 2 880 360 $ au gouvernement de la Nation crie, à l’Administration régionale Baie-James et à l’Administration régionale Kativik pour des initiatives au bénéfice des aînés du Nord-du-Québec.

« Je suis fière de constater la mobilisation des communautés du Nord-du-Québec, qui multiplient leurs initiatives pour soutenir l’engagement de leurs concitoyens plus âgés. Je suis persuadée que la conclusion de ces nouvelles ententes saura appuyer leurs efforts afin de favoriser le plein épanouissement des aînés et de valoriser leur contribution auprès des plus jeunes générations. », a indiqué Marguerite Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants.

L’octroi assure la mise en œuvre d’ententes spécifiques de cinq ans conclues entre le gouvernement du Québec et chacune de ces instances. Ces ententes, aussi signées par le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation, permettent de soutenir des projets émanant du milieu et visant l’amélioration des conditions de vie des aînés. Ces instances recevront 827 670 $ à cette fin d’ici 2023.

La somme annoncée inclut également le versement de 76 350 $ par année (indexation annuelle de 2 %) à l’Administration régionale Kativik pendant la même période pour le financement des activités de la Table régionale des aînéEs du Nunavik. Ce lieu d’échanges, de concertation et de partenariat joue un rôle important pour identifier les besoins des aînés sur le plan régional et contribuer à la prise de décision les concernant. Le gouvernement traduit ainsi sa volonté de favoriser le mieux-être des aînés, et ce, dans toutes les régions et tous les territoires du Québec.

« Je salue l’engagement du gouvernement de la Nation crie, de l’Administration régionale Baie-James et de l’Administration régionale Kativik d’améliorer les conditions de vie des personnes âgées qui résident sur leur territoire. Par la signature de ces ententes spécifiques, notre gouvernement démontre sa volonté de placer les acteurs locaux au cœur des décisions relatives au développement des régions. Il s’agit d’une excellente nouvelle, alors que ce sont les aînés qui en bénéficieront directement. », a souligné Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation.

« Notre gouvernement s’est engagé à tout mettre en œuvre afin d’améliorer les conditions de vie des aînés, partout au Québec, et je suis très heureux que les Inuits du comté d’Ungava reçoivent cette aide particulière. Alors que le Nunavik est confronté à la réalité du vieillissement de sa population et à l’augmentation des besoins de ses aînés, les projets qui seront développés permettront de favoriser encore davantage le mieux-être des nôtres. », a déclaré Denis Lamothe, député d’Ungava.

Faits saillants :

  • Ces montants sont versés dans le cadre d’ententes spécifiques quinquennales 2018‑2023 relevant du volet Soutien aux actions des administrations régionales du Nord‑du-Québec du programme Québec ami des aînés. Les projets financés se feront selon une approche concertée et intégrée, afin de répondre de manière optimale aux besoins des personnes aînées du Nord-du-Québec.
  • L’amélioration du soutien aux organismes locaux et régionaux favorisant la participation sociale des aînés et contribuant à l’amélioration de leur qualité de vie compte au nombre des priorités gouvernementales inscrites au plan d’action 2018-2023 Un Québec pour tous les âges, deuxième plan d’action issu de la politique gouvernementale Vieillir et vivre ensemble, chez soi, dans sa communauté, au Québec, lancée en 2012 par la ministre Marguerite Blais.

138 M$ pour aider les régions à lutter contre la pauvreté


 Publié le 10 mai 2019

Afin d’aider les régions à surmonter les défis posés en matière de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie, M. Jean Boulet, annonce qu’une somme de 138,8 millions de dollars sera distribuée dans l’ensemble des régions jusqu’en 2023 pour soutenir des projets novateurs initiés par les acteurs locaux et régionaux.

Chaque région disposera d’une enveloppe provenant du Fonds québécois d’initiatives sociales destinée au soutien à la mobilisation et aux projets. Celles-ci sont attribuées en vertu des Alliances pour la solidarité, une entente conclue entre le ministère et un organisme désigné par les élus locaux. Grâce à ces sommes, les régions pourront soutenir des initiatives locales visant à répondre aux besoins identifiés dans leur milieu respectif.

« La lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale est un enjeu d’importance pour notre gouvernement. Aujourd’hui, nous annonçons des sommes significatives qui permettront aux intervenants régionaux de mettre en œuvre, à partir d’un plan d’action régional concerté, des projets concrets qui répondent aux réalités locales. À travers les Alliances pour la solidarité, nous réitérons notre confiance envers les acteurs locaux et régionaux, parce qu’ils connaissent leur milieu et pourront proposer des projets au bénéfice des personnes les plus vulnérables.», a souligné Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie.armi les initiatives admissibles, on compte notamment les projets d’intervention en matière de développement social et communautaire, de prévention de la pauvreté, d’aide à l’intégration à un emploi des personnes éloignées du marché du travail, d’insertion sociale et d’amélioration des conditions de vie des personnes en situation de pauvreté dans les territoires où se concentre la pauvreté.

5,7 millions de dollars pour la Mauricie

Le ministre a profité de l’occasion pour annoncer qu’une somme de 5,7 millions de dollars sera versée d’ici 2023 à l’Alliance pour la solidarité en Mauricie placée sous la responsabilité de Centraide Mauricie-Région Centre Ouest, qui agit à titre de fiduciaire pour le Consortium en développement social de la Mauricie.

« Avec l’Alliance pour la solidarité, le gouvernement du Québec est partenaire de la région pour lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale de nos concitoyens. Nous sommes très heureux que le gouvernement renouvelle sa confiance aux décideurs du milieu parce que nous sommes les mieux placés pour identifier les besoins de nos communautés. », de mentionner Jean-Yves St-Arnaud, maire de St-Sévère et président du Consortium en développement social de la Mauricie.

Faits saillants :

La répartition régionale du Fonds est établie en tenant compte de l’utilisation d’indices captant de façon optimale les réalités de chacune des régions et des milieux en matière de pauvreté et d’exclusion sociale.
En date du 1er mars 2019, tous les protocoles des Alliances pour la solidarité (21) ont été signés entre la Table désignée ou créée, les élus et le ministre, et ce, jusqu’au 31 mars 2023.
La mesure permet de conclure des Alliances pour la solidarité avec l’ensemble des régions, la Ville de Montréal et des organisations autochtones. Elle permet aussi d’impliquer des personnes en sit

50 000 $ à Collaboration Santé Internationale


 Publié le 9 mai 2019

La ministre des Relations internationales et de la Francophonie, Nadine Girault, annonce l’octroi de 50 000 $ à l’organisme québécois de coopération internationale Collaboration Santé Internationale (CSI).

Ce montant servira à l’envoi d’équipements médicaux vers des pays de l’Afrique francophone sous la responsabilité et l’attention de Collaboration Santé Internationale. Ces équipements serviront à soutenir l’autonomisation locale.

Rappelons que Collaboration Santé Internationale est le seul organisme accrédité par le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) pour récupérer les surplus du réseau de la santé du Québec à des fins d’aide humanitaire. L’organisme possède plus de 50 années d’expérience dans l’envoi de médicaments, d’équipements, de fournitures médicales et de matériel scolaire dans les pays en développement.

« La solidarité, le développement durable, l’égalité des chances et le soutien aux femmes et à la jeunesse sont des valeurs fondamentales pour les Québécoises et Québécois. Collaboration Santé Internationale contribue à l’action solidaire du Québec notamment auprès des partenaires de la Francophonie. Cet organisme, basé au cœur même de la ville de Québec, est au centre de cette action de solidarité et nous avons de quoi être fier de cette contribution. », a déclaré Nadine Girault, ministre des Relations internationales et de la Francophonie.

« Collaboration Santé Internationale est fière de recevoir de nouveau toute la confiance du ministère des Relations internationales et de la Francophonie. Cette confiance et cette reconnaissance contribuent autant à encourager le travail de notre équipe, y compris 68 bénévoles, qu’à soutenir concrètement l’action de nos partenaires, notamment en Afrique. CSI et ses partenaires remercient chaleureusement le Ministère. », a souligné Madame Pierrette Defoy-Dolbec, directrice générale de CSI.

Faits saillants :

  • Depuis 20 ans, le gouvernement du Québec a soutenu une cinquantaine d’initiatives de CSI dans différents pays, pour un total de 1,9 million de dollars.

À propos de CSI :

Depuis 1968, CSI vise à répondre aux besoins des centres de santé des pays en développement en leur procurant des équipements médicaux, des fournitures et des médicaments de qualité.

Pour acheminer ces envois, CSI assure à la fois :

  • la collecte d’équipements médicaux fonctionnels, de fournitures médicales et de médicaments du Québec;
  • la redistribution de ces matériels essentiels aux professionnels de la santé intervenant auprès de populations défavorisées.

Au fil des années, CSI a structuré ses services dans deux programmes, soit l’envoi de matériel médical par transport maritime et l’envoi de médicaments par valises.

Parallèlement, CSI garde à cœur la qualité des relations entretenues avec les professionnels de la santé qui la sollicitent. Ces relations sont basées sur la confiance, la transparence et la solidarité. Ainsi, l’attribution du matériel et des médicaments répond à un service personnalisé visant à envoyer ce qui sera le plus utile dans un contexte précis.

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Le premier ministre s’adresse aux municipalités


 Publié le 9 mai 2019

Alors qu’il prenait part à l’ouverture officielle des Assises annuelles de l’Union des municipalités du Québec (UMQ), le premier ministre, M. François Legault, a annoncé que les sommes supplémentaires du Fonds de la taxe sur l’essence fédéral seront mises à la disposition des municipalités. Ainsi, une somme additionnelle de 500 millions de dollars pourra être investie par ces dernières pour la réalisation de leurs priorités locales, par l’entremise du Programme de la taxe sur l’essence et de la contribution du Québec (TECQ). Avec cet ajout, l’enveloppe de la TECQ 2019-2023 destinée aux municipalités totalisera 3,41 milliards de dollars. Les modalités de ce programme seront annoncées prochainement.

M. Legault a profité de l’occasion pour souligner les cent ans d’existence de l’UMQ et pour rappeler l’importance du rôle des municipalités dans la prestation de services de qualité aux Québécois. Il a réitéré sa volonté de travailler main dans la main avec les villes pour relever les grands défis actuels et futurs du Québec, soulignant au passage le caractère essentiel de la collaboration entre les différents ordres de gouvernement.

« On veut travailler avec les municipalités pour réaliser les grandes ambitions qu’on a pour le Québec et pour relever les défis qui se présentent. On veut faire avancer les choses, partout au Québec, faire débloquer les projets qui trainent depuis trop longtemps et recommencer à se montrer audacieux. On veut également travailler avec les municipalités pour augmenter la richesse partout au Québec. On veut faire avancer les chantiers qui s’annoncent les plus porteurs pour nos municipalités et nos régions. En tant que gouvernement, on doit se montrer encore plus audacieux et faire en sorte d’encourager la performance des entreprises, pallier le manque de main-d’œuvre et investir dans notre priorité nationale, soit la réussite éducative de nos jeunes pour enrichir le Québec. », a déclaré François Legault, premier ministre du Québec.

Retour sur les inondations et sur les changements climatiques
M. Legault a félicité l’ensemble des acteurs de toutes les municipalités touchées par les inondations des dernières semaines. La collaboration entre le gouvernement du Québec, les ressources municipales et les Forces armées canadiennes a mené à une gestion efficace de la situation, tout en garantissant la sécurité des personnes sinistrées. M. Legault a rappelé que son gouvernement était déterminé à mettre en place des solutions à long terme pour se préparer aux crues qui pourraient sévir au cours des années à venir.

Le premier ministre a aussi affirmé qu’il fallait que le gouvernement et les municipalités travaillent ensemble pour lutter contre les changements climatiques. Il a mentionné, à titre d’exemple de solutions, l’optimisation des différentes initiatives de mobilité durable et l’amélioration de certaines artères du réseau routier. Il a également vanté les multiples avantages que présente l’exportation de l’hydroélectricité québécoise, qui contribuera à réduire les émissions de gaz à effet de serre de nos voisins, tout en étant bénéfique pour notre économie.

Les villes et le gouvernement unis pour augmenter la richesse au Québec
Par ailleurs, le premier ministre a rappelé sa grande motivation à enrichir toutes les régions du Québec. Pour ce faire, il compte appuyer les villes pour les aider à tirer davantage profit de la croissance économique en veillant au transfert d’un point de TVQ

Toujours pour augmenter la richesse, le premier ministre a mentionné que le meilleur atout dont disposait le Québec était la réussite éducative et scolaire des enfants, dans l’optique de créer des emplois mieux payés et de pallier le manque de main-d’œuvre. Il a également souligné l’importance de favoriser les investissements privés et de soutenir les entreprises, par exemple en misant sur une plus grande proactivité et une meilleure performance d’Investissement Québec en région.

Finalement, M. Legault a abordé le sujet de la rareté de main-d’œuvre, qui se fait sentir partout au Québec, rappelant les investissements de son gouvernement lors du dernier budget. Il s’est également dit déterminé à miser sur l’immigration et sur la rétention ou le retour au travail des personnes de 60 ans ou plus, de même que sur l’offre de formations professionnelles adaptées aux besoins du marché du travail et sur une lutte constante contre le décrochage scolaire.