Aide additionnelle de près de 38 M$ pour soutenir les parents d’enfants handicapés


 Publié le 11 juin 2019

Pour offrir un soutien additionnel aux familles qui doivent assumer des responsabilités hors du commun en raison de la condition de leur enfant, le ministre de la Famille, M. Mathieu Lacombe, est heureux d’annoncer une bonification d’environ 30 M$ du supplément pour enfant handicapé nécessitant des soins exceptionnels (SEHNSE). La bonification de cette aide fiscale permettra la mise en place d’un deuxième palier au SEHNSE, afin de venir en aide à de nombreuses familles qui ne sont présentement pas admissibles à ce programme.

Rappelons qu’en octobre dernier, le gouvernement avait demandé que soit évaluée l’aide offerte aux familles d’un enfant dont l’état nécessite des soins exceptionnels. L’objectif était d’offrir aux parents un programme d’aide bonifié, plus flexible et moins restrictif. Ainsi, nous estimons que la création d’un second palier au SEHNSE permettra de soutenir entre 3000 et 4000 nouvelles familles.

Dans le but de simplifier la démarche des parents, Retraite Québec entamera une nouvelle analyse de toutes les demandes de SEHNSE reçues qui avaient été refusées en raison de la situation de handicap de l’enfant. Conséquemment, aucune démarche n’est à faire pour que débute l’analyse de leur dossier.

En lien avec cette annonce, le ministre des Finances a rendu publics les paramètres fiscaux du nouveau palier du SEHNSE : 652 $ par mois seront accordés en 2019, ce qui représente 7 824 $ annuellement.

Un montant de 7,8 M$ additionnel pour les proches aidants

De plus, sensible à l’importance de soutenir les familles qui vivent avec des réalités difficiles, la ministre des Aînés et des Proches aidants, Mme Marguerite Blais, annonce qu’un montant de 7,8 M$ sera consacré à l’amélioration de la qualité de vie des parents qui agissent comme proches aidants auprès de leurs enfants, pour leur permettre notamment de poursuivre leur vie active et de concilier leur vie professionnelle et leur vie personnelle.

L’aide financière récurrente de 7,8 M$ pour bonifier le Programme de soutien aux familles des personnes présentant une déficience permettra aux établissements du réseau de la santé et des services sociaux de donner des services à tous les usagers dont la famille est en attente d’un soutien et de bonifier de 100 $ le montant reçu par les usagers du programme dont la famille reçoit un soutien. Cette bonification s’appuiera sur une évaluation globale des besoins de la famille et prendra en considération les besoins évolutifs des usagers. Soulignons que cette aide financière fait partie d’un investissement total de 21 M$ qui sera consacré au soutien des proches aidants.

« L’annonce d’aujourd’hui démontre clairement la volonté de notre gouvernement de placer les familles au cœur de ses priorités. La bonification de 30 M$ du supplément pour enfant handicapé nécessitant des soins exceptionnels et la mise en place d’un nouveau palier dont les critères d’admissibilité sont moins restrictifs permettent d’offrir une aide financière beaucoup plus équitable pour les familles. Nous reconnaissons du même coup le dévouement extraordinaire de ces parents envers leurs enfants. », a déclaré Mathieu Lacombe, ministre de la Famille.

« Se reconnaître comme proche aidant peut être particulièrement difficile pour les parents d’enfants handicapés, car leur premier rôle est d’abord, et sera toujours, d’être un parent. Nous sommes très sensibles aux situations vécues par ces nombreuses familles et nous nous sommes engagés à mieux répondre à leurs besoins et à améliorer leur qualité de vie. Il s’agit d’un autre pas dans la bonne direction afin de leur offrir le soutien qu’elles méritent. », a souligné Marguerite Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants.

« Ces familles ont fait le choix de se consacrer entièrement aux soins de leur enfant, avec courage et détermination, en sachant très bien les exigences et les responsabilités incroyables que cela comporte. Nous avons entendu leur cri du cœur et nous sommes fiers de leur apporter un soutien financier supplémentaire et d’améliorer leur qualité de vie. », a indiqué Lionel Carmant, ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux.

« Cette annonce est celle que j’espérais depuis longtemps, et je sais qu’elle était également très attendue par des milliers de familles au Québec, dévouées et aimantes, qui avaient clairement exprimé avoir besoin de davantage de soutien. Je comprends ce que vivent les parents, et je me réjouis avec eux aujourd’hui. », s’est exprimée Marilyne Picard, adjointe parlementaire de la ministre de la Santé et des Services sociaux et députée de Soulanges.

Faits saillants relatifs à la mise en place d’un deuxième palier au SEHNSE

  • En 2019, le montant correspondant au premier palier du SEHNSE est de 978 $ par mois, ce qui représente 11 736 $ annuellement. Le montant correspondant au deuxième palier sera de 652 $ par mois, ce qui représente 7 824 $ annuellement. Ces montants sont accordés sans égard au revenu familial et ils sont indexés en janvier de chaque année.
  • Pour être admissible au SEHNSE, un enfant doit d’abord être admissible au supplément pour enfant handicapé (SEH), dont le montant s’élève à 195 $ par mois en 2019, ce qui représente 2 340 $ annuellement. Ainsi, le montant accordé dans le cadre du SEHNSE, peu importe le palier, s’ajoute au SEH.
  • Les parents dont l’enfant sera admissible à cette nouvelle aide pourront la recevoir rétroactivement au 1er avril 2019 si leur enfant répondait aux critères d’admissibilité pour les mois visés par la rétroactivité. Les premières familles à être admises au deuxième palier du SEHNSE le seront au courant de l’automne 2019. Les admissions se poursuivront tout au long de l’année 2020, afin de permettre à Retraite Québec de traiter l’ensemble des demandes qui seront reçues.
  • Le SEHNSE, dont bénéficient actuellement plus de 2 000 enfants, est une composante du crédit d’impôt remboursable accordant une allocation aux familles.
  • Les critères d’admissibilité au SEHNSE ont été définis en collaboration avec des professionnels du milieu de la santé, et les demandes sont analysées par une équipe médicale de Retraite Québec.
  • Les parents qui n’avaient pas, par le passé, déposé de demande de SEHNSE et qui pourraient être admissibles à son deuxième palier devront faire parvenir leur demande à Retraite Québec.
  • Au besoin, Retraite Québec communiquera avec les parents ou effectuera elle-même les démarches auprès des professionnels de la santé et des services sociaux et de l’éducation qui suivent l’enfant, et ce, sans frais supplémentaires pour les parents.
  • Tous les parents dont l’enfant répond aux critères d’admissibilité auront droit au SEHNSE, puisqu’aucun budget maximal n’est associé à ce programme.

Liens connexes

  • Les détails de la mise en place du deuxième palier du SEHNSE ainsi que des modifications apportées aux critères d’admissibilité au premier palier du SEHNSE sont exposés dans le Bulletin d’information 2019-06, qui est disponible sur le site Web du ministère des Finances, à l’adresse www.finances.gouv.qc.ca.
  • Pour plus d’informations concernant le SEHNSE : www.retraitequebec.gouv.qc.ca

Mission au Maghreb avec une délégation économique pour la ministre Nadine Girault


 Publié le 11 juin 2019

La ministre des Relations internationales et de la Francophonie, Nadine Girault, dirige une délégation économique québécoise en Tunisie et au Maroc, à l’occasion de sa première mission en Afrique. Cette mission se déroulera jusqu’au 22 juin.

Québec-Tunisie : une relation de longue date appelée à se transformer

La ministre fera un premier arrêt en Tunisie, où elle amorcera le déploiement de sa « vision Afrique ». Le Québec et la Tunisie entretiennent une relation riche qui repose notamment sur l’éducation et la mobilité jeunesse. Tel qu’annoncé lors de la Conférence de Montréal, qui avait lieu du 10 au 13 juin derniers, le gouvernement du Québec adaptera son approche des relations internationales pour s’assurer de protéger les acquis qui émanent de l’historique de ces relations et pour les faire évoluer avec les États comme la Tunisie. À terme, la ministre vise à établir une passerelle multisectorielle de complicité et de partenariat entre le Québec et l’Afrique pour favoriser les échanges d’expertise et l’appui aux meilleures pratiques dans de nombreux domaines, dont le premier volet sera l’éducation et la formation professionnelle. Suivront la culture, la jeunesse, l’environnement, le numérique, l’innovation et le commerce.

Délégation d’entreprises québécoises et participation au SITIC Africa

Poursuivant l’objectif de rapprocher les entreprises québécoises au Maghreb, la ministre participera le 18 juin au 4e Salon international des technologies de l’information et de la communication (SITIC) dédié à l’Afrique, qui réunit plus de 200 décideurs publics et privés africains de l’Afrique francophone ainsi que des délégations d’affaires de nombreux pays, dont l’Allemagne, la Belgique et la France. Accompagnée d’une délégation de 13 entreprises québécoises, la ministre Nadine Girault y réaffirmera la volonté du Québec d’augmenter ses échanges économiques, de diversifier ses marchés d’exportation et de stimuler les investissements directs étrangers. Elle s’assurera du positionnement stratégique du Québec dans les échanges avec les participants. De plus, elle prendra part à la cérémonie d’ouverture et inaugurera le kiosque du Québec.

La Francophonie

La Francophonie sera également au cœur de cette mission. Accompagnée du représentant personnel du premier ministre pour la Francophonie, Michel Audet, la ministre effectuera plusieurs rencontres avec des chefs d’État. Ce sera une occasion pour la ministre de promouvoir les priorités du Québec en Francophonie, notamment l’éducation, la jeunesse et l’économie, en vue du XVIIIe Sommet de la Francophonie en 2020, qui aura lieu à Tunis. Après la visite de la secrétaire générale, Son Excellence Louise Mushikiwabo, le Québec est en bonne position pour mettre ses priorités sur la table pour le prochain sommet ainsi que pour porter le message que la Francophonie constitue un levier pour l’établissement de liens dans d’autres domaines, comme l’éducation et l’économie, entre les pays qui partagent notre langue.

« La mission économique que j’effectue ici, en Tunisie, puis au Maroc, a pour objectif de positionner le Québec dans les domaines économiques porteurs de l’Afrique du Nord. C’est pourquoi je serai de passage avec une délégation d’entreprises au SITIC Africa. De plus, je rencontrerai les autorités politiques pour faire la promotion du Québec, mais aussi afin d’ouvrir un dialogue sur l’avenir de nos relations bilatérales et sur la manière dont nous voulons les faire évoluer vers un véritable partenariat. C’est la “vision Afrique” du gouvernement qui se déploie à travers ces conversations ainsi qu’en promouvant les priorités du Québec en Francophonie, notamment l’éducation, la jeunesse et l’économie, auprès des partenaires en vue du prochain sommet à Tunis. », a déclaré Nadine Girault, ministre des Relations internationales et de la Francophonie.

Faits saillants :

  • Rappelons que la ministre des Relations internationales et de la Francophonie travaille présentement sur deux chantiers importants : le premier est la mise à jour de la Politique internationale du Québec et le second consiste à préparer une stratégie internationale de développement des marchés étrangers. Le gouvernement du Québec est déterminé à augmenter sa force de frappe économique à l’international et posera des gestes concrets dans ce sens.

Liens connexes :

Pour en savoir plus sur les activités du ministère des Relations internationales et de la Francophonie et de ses 32 représentations dans 18 pays, suivez-nous dans les médias sociaux :

https://www.facebook.com/MRIQuebec

https://www.linkedin.com/company/mriquebec

40 M$ pour le développement touristique du Québec


 Publié le 10 juin 2019

La ministre du Tourisme, Mme Caroline Proulx, annonce le lancement d’un appel de projets qui sera assorti d’une enveloppe de 40 millions de dollars dans le cadre du Programme de soutien aux stratégies de développement touristique (PSSDT). Les promoteurs qui souhaitent présenter une initiative à saveur touristique sont invités à soumettre leurs projets à compter d’aujourd’hui, et ce, jusqu’au 8 juillet 2019, par l’entremise du site Web Québec.ca.

Cet appel de projets, qui touche les volets 1 à 4 du programme, vise à soutenir la réalisation de projets touristiques liés aux secteurs d’activité stratégiques présentant des avantages concurrentiels pour le Québec, soit le tourisme hivernal, événementiel, de nature et d’aventure et de mise en valeur du fleuve Saint-Laurent. Ces nouvelles sommes, qui découlent du tout premier budget du gouvernement Legault présenté en mars dernier, visent à répondre à la forte demande des entreprises qui souhaitent développer les attraits touristiques de leur région, et ce, partout au Québec.

De plus, afin de maximiser les retombées économiques générées par ses investissements, le ministère du Tourisme accordera une priorité aux projets répondant à au moins un des objectifs suivants :

  • Répondre à la demande des marchés ciblés par le Ministère, plus particulièrement en ce qui concerne les clientèles hors Québec.
  • Stimuler l’économie de sa région en prolongeant la saison touristique (augmentation d’au moins un mois).
  • Contribuer à la mise en valeur du tourisme gourmand.
  • Accroître la capacité d’accueil.
  • Diversifier l’offre d’activités.

« Le tourisme est l’un des moteurs de développement économique les plus puissants au monde. Afin que le Québec prenne la place qu’il mérite au sein des destinations les plus visitées, nous devons investir dans ce que nous avons de mieux à offrir. C’est d’ailleurs pour cette raison que le budget 2019-2020 de votre gouvernement ajoutait 40 millions de dollars dans ce programme, afin de soutenir notre industrie touristique. Le Québec possède des atouts incomparables et c’est à nous de les faire découvrir au plus grand nombre. J’invite les acteurs de l’industrie à soumettre dès maintenant leurs projets pour faire fièrement rayonner notre destination aux quatre coins du monde! », a déclaré Caroline Proulx, ministre du Tourisme.

Faits saillants :

Un premier bilan positif pour la Grande corvée


 Publié le 10 juin 2019

Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie, M. Jean Boulet, a dressé aujourd’hui un premier bilan positif de la Grande corvée et a poursuivi ses actions pour la main-d’œuvre en annonçant une bonification du Programme de formation de courte durée, auquel 45 millions $ de plus seront consacrés sur quatre ans.

Financé par le Fonds de développement et de reconnaissance des compétences de la main-d’œuvre, ce programme prévoit une formule d’alternance études-travail pour des travailleurs déjà à l’emploi d’une entreprise ou nouvellement embauchés. Les participants reçoivent un salaire pendant toute la durée de leur formation, jusqu’à concurrence de 15 $ l’heure. La bonification du Programme de formation de courte durée permettra à des milliers de travailleurs supplémentaires de développer leurs compétences.

En action pour la main d’œuvre
Cette annonce a été faite alors que le ministre présentait les données détaillées de la Grande corvée, une vaste initiative qui vise à répondre au phénomène de la rareté de la main-d’œuvre en allant au-devant des besoins des entreprises. Un peu plus de quatre mois après le début de cette opération d’envergure, 8 564 entreprises ont été contactées à travers le Québec. Le personnel du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale a pu échanger avec 4 514 d’entre elles quant à leurs besoins en matière de main-d’œuvre et 1 335 ont été rencontrées par un conseiller aux entreprises.

À la suite d’un suivi réalisé 12 semaines après les premières rencontres avec les conseillers aux entreprises, les trois quart des entreprises se considèrent comme mieux outillées face à la rareté de la main-d’œuvre. La plupart se disent aussi prêtes à revoir leur façon de faire en matière de ressources humaines.

Les activités réalisées dans le cadre de la Grande corvée se poursuivent. Elles se combinent aux quelque 13 500 interventions réalisées annuellement par le Ministère auprès d’entreprises ayant besoin de soutien pour la gestion de leurs ressources humaines, le recrutement ou le développement des compétences de leur main-d’œuvre.

Le ministre a aussi profité de son passage dans la Capitale-Nationale, dans le cadre de sa tournée En action pour la main-d’œuvre, pour dévoiler une nouvelle section du site Internet du Ministère dans laquelle sont répertoriées toutes les nouvelles mesures annoncées depuis le début de la Grande corvée. Un plan d’action complet sur la main-d’œuvre sera dévoilé à l’automne prochain.

« Ma tournée du Québec m’a permis de constater les besoins spécifiques en main-d’œuvre de chacune des régions et d’aller à la rencontre des entreprises. Je suis fier du premier bilan de mon plan de match, qui inclut la Grande corvée. Afin d’aller plus loin, j’ai aussi lancé ce printemps la Grande corvée 2.0, qui s’adresse aux personnes issues de groupes sous-représentés sur le marché du travail. Je vais continuer mes actions pour accompagner et soutenir les employeurs et nos travailleurs. Et j’ai hâte de vous présenter mon plan d’action sur la main-d’œuvre cet automne. », a déclaré Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale
et ministre responsable de la région de la Mauricie.

Faits saillants :

  • Le ministre a visité 11 régions dans le cadre de sa tournée En action pour la main-d’œuvre.
  • Parmi les mesures les plus récentes annoncées pour lutter contre la rareté, le ministre a lancé le 5 juin dernier la Stratégie nationale pour l’intégration et le maintien en emploi des personnes handicapées 2019-2024, qui prévoit des investissements supplémentaires de 238,5 millions $ sur cinq ans.
  • Il a également pris part aux Journées du Québec à Paris les 1er et 2 juin derniers pour accompagner 115 entreprises québécoises à cet important événement de recrutement.
  • Les entreprises qui souhaitent obtenir de l’information peuvent en tout temps joindre un conseiller aux entreprises du Ministère au bureau de Services Québec ou au centre local d’emploi le plus près.

Lancement d’un appel de projets pour favoriser la coparentalité


 Publié le 10 juin 2019

À l’occasion de la Semaine québécoise de la paternité, le ministre de la Famille, M. Mathieu Lacombe, tient à saluer l’engagement des pères du Québec envers leurs enfants dès qu’il s’agit d’assurer leur bien-être et leur développement. Il souligne aussi la volonté du gouvernement du Québec d’appuyer les pères au quotidien pour qu’ils occupent pleinement leur place, tant au sein de leur famille que dans la société.

C’est pourquoi le ministre lance, aujourd’hui, un nouvel appel de projets dans le cadre du Programme de soutien financier aux activités favorisant l’exercice de la coparentalité. Les projets retenus devront viser à développer des initiatives favorisant l’engagement des deux parents et le partage de leurs rôles parentaux, notamment en ce qui a trait à la répartition des tâches familiales et des soins aux enfants. Ce programme a également pour objectif de soutenir la création d’activités et de services qui permettent de renforcer l’engagement des pères auprès de leurs enfants. Les demandeurs ont jusqu’au 13 septembre inclusivement pour faire parvenir leur projet au ministère de la Famille.

« Les pères du Québec veulent s’impliquer dans les soins et l’éducation de leurs enfants. Ayant moi-même des enfants, je sais combien ce rôle est essentiel et j’en suis fier. C’est pourquoi notre gouvernement propose des programmes qui valorisent le rôle des deux parents et leur offrent des moyens de participer, de façon égalitaire, au développement de leurs enfants. Nous poursuivrons nos actions en ce sens de concert avec nos partenaires, dont le Regroupement pour la valorisation de la paternité. Je tiens d’ailleurs à le remercier pour sa grande contribution à l’affirmation des pères et à l’épanouissement des familles au Québec. », a déclaré Mathieu Lacombe, ministre de la Famille.

Faits saillants

  • La Semaine québécoise de la paternité se déroule du 10 au 16 juin 2019, sur le thème Fier d’être père. Cet événement est organisé par le Regroupement pour la valorisation de la paternité.
  • Elle a pour objectif de valoriser la paternité au Québec et de mettre en lumière l’importance de l’engagement paternel dans la famille.
  • Le Programme de soutien financier aux activités favorisant l’exercice de la coparentalité découle de la Stratégie gouvernementale pour l’égalité entre les femmes et les hommes vers 2021 qui est coordonnée par le Secrétariat à la condition féminine.

Lien connexe

Programme de soutien financier aux activités favorisant l’exercice de la coparentalité :
https://www.mfa.gouv.qc.ca/fr/Famille/CFTE/soutien-financier/PSF-coparentalite/Pages/index.aspx

Le premier ministre à la 25e Conférence de Montréal


 Publié le 10 juin 2019

Alors qu’il agissait en tant que président d’honneur du dîner d’ouverture de la 25e Conférence de Montréal, le premier ministre, M. François Legault, a exposé sa vision d’un Québec en excellente position de se démarquer, sur le plan économique, pour les années à venir, parmi les autres nations d’Amérique du Nord. Conscient des défis et inquiétudes que peuvent causer le protectionnisme économique, de même que les changements climatiques, il s’est dit très optimiste de parvenir à créer de la richesse pour tous les Québécois. Cette allocution avait lieu devant un auditoire composé de gens d’affaires de partout à travers le monde, principalement d’Amérique du Nord.

Des atouts qui placent le Québec à l’avant-garde du changement et de l’économie
M. Legault a souligné les principales forces qui font du Québec un terreau fertile pour les entreprises d’ici et d’ailleurs. Il a d’abord présenté la saine gestion des finances publiques et la cote de crédit élevée du Québec comme des gages de stabilité pour l’économie et pour un climat d’affaires profitable. Par ailleurs, la position enviable du Québec comme plaque tournante du commerce international, que lui confère sa participation à trois des plus grands accords commerciaux à l’échelle mondiale, est un autre de ses avantages.

M. Legault a également mis de l’avant l’esprit d’innovation présent au Québec dans plusieurs domaines, qui se démontre par une concentration de scientifiques, d’universités de haut calibre et d’entreprises spécialisées dans l’intelligence artificielle. Ensuite, il a réaffirmé le potentiel du Québec d’être la batterie du nord-est de l’Amérique, en raison des immenses réserves d’énergie propre que lui fournit l’hydroélectricité. Finalement, il a vanté la démocratie stable du Québec, qui repose sur des institutions solides et connectées aux réalités de la population; de quoi rassurer les investisseurs potentiels.

Des défis à relever; des occasions à saisir
Dans la deuxième partie de son discours, M. Legault a présenté les deux grands enjeux que laisse entrevoir l’économie de demain pour le Québec : le retard économique à combler, par rapport à l’Ontario et aux États-Unis, ainsi que les changements climatiques. Selon lui, le Québec a non seulement ce qu’il faut pour relever ces défis, mais il peut également s’en servir comme leviers pour générer plus de richesse.

D’une part, le premier ministre s’est dit déterminé à faire exploser les investissements privés au Québec et à créer des emplois de qualité partout sur le territoire. Pour ce faire, il entend miser notamment sur une réforme d’Investissement Québec et sur un virage économique des délégations du Québec à l’étranger. Ces changements devraient entraîner une hausse des exportations, ce qui représente un excellent facteur d’enrichissement.

D’autre part, M. Legault a désigné l’électrification du Québec à la fois comme arme de lutte contre les changements climatiques et comme moteur économique à haut potentiel, en raison de la diminution des GES et de la croissance du nombre d’exportations d’hydroélectricité que promet ce chantier.

« Le Québec est en changement et est aujourd’hui dans une position enviable qui nous permet d’être audacieux, de voir grand. Ce changement, on veut le mener avec les entrepreneurs, les gens d’affaires, les investisseurs. Pendant longtemps, les Québécois ne se sont pas beaucoup impliqués en affaires et ont eu peur des mots ambition et richesse. Mais la richesse, ce n’est pas une fin en soi, c’est nécessaire pour avoir les moyens de nos ambitions. Et des grandes ambitions, j’en ai pour tous les Québécois! », a souligné François Legault, premier ministre du Québec.

À propos de la Conférence de Montréal
Organisée à l’initiative du Forum économique international des Amériques, la Conférence de Montréal rassemble des acteurs des milieux des affaires et universitaires, des chefs d’État et des membres de gouvernement. Elle a pour but de favoriser le partage des connaissances quant aux grandes questions de la mobilisation des marchés ainsi que sur les relations entre les Amériques et le reste du monde. Elle permet également aux acteurs en provenance de partout sur la planète d’échanger sur des occasions d’affaires et sur les enjeux qui touchent le monde des affaires à l’échelle internationale.

Le ministre Pierre Dufour poursuit sa tournée en Abitibi-Témiscamingue


 Publié le 10 juin 2019

Le ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec, M. Pierre Dufour, a rencontré aujourd’hui, à Val-d’Or, les partenaires de la région de l’Abitibi-Témiscamingue, afin d’échanger sur les différents enjeux à considérer dans l’élaboration de la Stratégie pour les caribous forestiers et montagnards.

Le 3 avril dernier, le ministre avait fait connaître les territoires envisagés pour permettre la pérennité de l’espèce. Il avait alors exprimé son souhait d’intensifier sa collaboration avec les partenaires afin de dégager des pistes de solutions pour répondre aux besoins des caribous forestiers et montagnards, tout en limitant les impacts sur l’industrie forestière et ses travailleurs.

Le ministre est actuellement en tournée afin d’échanger avec les intervenants régionaux et de déterminer les connaissances et les enjeux locaux à prendre en considération dans le cadre de l’élaboration de la stratégie prévue pour 2022. Il poursuivra sa démarche de consultation dans plusieurs régions du Québec jusqu’au 19 juin.

« La région de l’Abitibi-Témiscamingue abrite une population isolée de caribou forestier qui évolue en milieu habité et dont l’habitat est utilisé par une grande diversité d’usagers. Il était donc essentiel pour moi d’être ici aujourd’hui pour entendre le point de vue des acteurs de notre région qui sont concernés par la survie des caribous, mais qui sont également sensibles aux conséquences économiques et sociales de la mise en place d’éventuelles mesures de protection. Nous sommes à leur écoute pour qu’ensemble, nous puissions dégager une vision globale et intégrée qui permettra de protéger l’espèce, tout en maintenant la vitalité économique du Québec et de ses régions », a souligné Pierre Dufour, ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec.

Faits saillants :

L’initiative du ministre Dufour d’entreprendre cette tournée interpelle l’ensemble des différents partenaires du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, notamment les représentants de l’industrie forestière, le milieu municipal, les syndicats, les groupes environnementaux et les nations autochtones ainsi que d’autres partenaires importants pour le Québec.
Dans le cadre de sa tournée, le ministre visitera les villes suivantes :
Mistissini 17 juin
Chibougamau 18 juin
Roberval 19 juin

Une heure d’activités parascolaires gratuite par jour pour des milliers d’élèves du secondaire


 Publié le 10 juin 2019

Dès la prochaine rentrée scolaire, des milliers d’élèves fréquentant une école secondaire publique pourront bouger, s’épanouir davantage et développer leur sentiment d’appartenance en profitant, s’ils le désirent, d’une heure d’activités parascolaires gratuites par jour.

La ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine, Mme Isabelle Charest, en a fait l’annonce aujourd’hui.

Un investissement gouvernemental de 32,3 millions de dollars (376 $ par élève) permettra à 26,5 % des élèves du secondaire du Québec de bénéficier de cette mesure dès l’année scolaire 2019-2020. Cette nouvelle offre, inspirée de l’expérience positive d’écoles secondaires ayant déjà une grande variété d’activités parascolaires, sera par la suite mise en place graduellement au cours des prochaines années pour finalement toucher tous les élèves du Québec à la rentrée 2021-2022.

Cette mesure, qui aura un effet déterminant sur le sentiment d’appartenance, la motivation, la persévérance et la réussite scolaire, tout en renforçant l’attraction du réseau scolaire public, est rendue possible grâce à un investissement totalisant 455 millions de dollars sur cinq ans. Le Ministère assistera évidemment les établissements dans la mise en œuvre de cette mesure.

En plus de l’aide aux devoirs qui est largement répandue, les élèves pourront choisir différentes activités dans au moins quatre des six champs que les écoles devront proposés à tous les groupes d’âge (activités physiques et de plein air; activités sportives; activités artistiques et culturelles; activités scientifiques; activités socioéducatives; et engagement communautaire). Il est également prévu qu’un transport soit offert gratuitement, lorsque celui-ci est organisé pour les activités parascolaires.

« À l’adolescence, la découverte d’une passion et l’appartenance à un groupe peuvent grandement influencer le parcours scolaire. C’est pourquoi une grande diversité d’activités sera offerte, pour atteindre le plus d’élèves possible. Les effets positifs de la pratique régulière d’activités physiques et de plein air, de sports et de loisirs sont largement connus. Nous devons saisir chaque occasion d’encourager les jeunes à bouger, en leur permettant de pratiquer des activités de leur choix. Nous l’avons fait une première fois en annonçant les deux récréations de vingt minutes dans toutes les écoles primaires dès la prochaine rentrée et nous sommes fiers de récidiver aujourd’hui avec les activités parascolaires gratuites. Évidemment, cela constitue un changement important et nous prendrons le temps de faire les choses de façon graduelle avec le réseau scolaire. », a souligné Isabelle Charest, ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine.

« Je me réjouis que notre gouvernement adopte cette mesure, qui permettra assurément à de nombreux jeunes de poursuivre leurs apprentissages avec succès. Les activités parascolaires, par leur effet stimulant et leur capacité exceptionnelle à rassembler, sont des leviers puissants qui favorisent la persévérance scolaire et l’atteinte de meilleurs résultats. Je suis fier que notre gouvernement ose poser des gestes concrets pour améliorer l’attractivité de nos écoles publiques et contribuer à la mixité sociale. Plusieurs écoles sont des modèles à suivre en matière d’activités parascolaires et elles ont inspiré cette mesure qui favorisera les chances de réussite de nos jeunes. », d’indiquer Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur.

Faits saillants :

La participation des élèves à ces activités n’est pas obligatoire et le temps prévu pour les services éducatifs demeure inchangé. Les activités peuvent être offertes avant ou après les heures de classe ainsi qu’à l’heure du dîner.
Les différents acteurs des milieux associatif, scolaire, municipal et communautaire seront interpellés pour proposer une offre de services complète et diversifiée d’activités parascolaires. Cependant, il n’est pas question d’imposer un fardeau supplémentaire au personnel enseignant.
L’allocation qui sera accordée à chaque établissement d’enseignement secondaire en 2019-2020 comprend :
une allocation maximale de base de 30 000 $ pour la coordination de l’ensemble des activités;
une allocation pour la réalisation des activités, utilisée pour :
l’embauche de ressources ainsi que la coordination et l’animation des activités parascolaires (à l’exception des activités interscolaires);
la location de locaux ou de plateaux à l’extérieur de l’école;
les frais de transport, s’il y a lieu;
l’achat d’équipement et de matériel;
le paiement des frais supplémentaires occasionnés par la prolongation des heures d’ouverture (ex. : surveillants, concierge).
Les dépenses d’investissement sont exclues, car elles sont couvertes par les règles budgétaires d’investissement des commissions scolaires.

Lancement de consultation publique sur la planification de l’immigration pour la période 2020-2022


 Publié le 7 juin 2019

Le ministre de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion, M. Simon Jolin-Barrette, lance l’invitation à prendre part à la consultation publique sur la planification de l’immigration pour la période 2020-2022. Dirigée par la Commission des relations avec les citoyens, la consultation publique offre l’occasion aux personnes et groupes intéressés par l’immigration de discuter des nouvelles orientations proposées par le gouvernement du Québec en ce qui a trait notamment aux objectifs de sélection et d’admission des personnes immigrantes au Québec pour les trois prochaines années.

Cet exercice de consultation est particulièrement important pour élaborer une planification pluriannuelle de l’immigration qui constitue une richesse pour la société québécoise. La planification pluriannuelle s’inscrit dans la continuité de la réforme entreprise par le gouvernement du Québec afin de moderniser le système d’immigration.

Parmi les orientations proposées, le ministère de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion propose d’augmenter graduellement les niveaux d’immigration dans les prochaines années. Cette hausse progressive s’accompagnera du déploiement d’une série de mesures pour améliorer l’intégration et la francisation des personnes immigrantes.

Les orientations proposées serviront également à améliorer la sélection des personnes immigrantes pour qu’elles répondent davantage aux besoins du marché du travail du Québec et pour que les personnes immigrantes puissent participer pleinement à la société québécoise, et ce, et à la hauteur de leurs compétences.

« Les orientations que nous proposons pour la période 2020-2022 s’inscrivent dans la réforme que nous avons entreprise pour réussir l’immigration, tant pour la personne immigrante que pour la société québécoise. La hausse progressive du nombre de personnes immigrantes que le Québec souhaite accueillir s’accompagnera du déploiement d’une série de mesures destinées à améliorer l’intégration et la francisation des personnes immigrantes. », a déclaré Simon Jolin-Barrette, ministre de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion.

Faits saillants :

La population québécoise et les organismes qui le désirent peuvent participer à la consultation sur la planification de l’immigration au Québec pour la période 2020-2022 en soumettant au plus tard le 22 juillet un mémoire à la Commission des relations avec les citoyens de l’Assemblée nationale ou en répondant au questionnaire qui est accessible dans le site Internet de l’Assemblée nationale.
Des auditions publiques en commission parlementaire se tiendront à compter du 12 août 2019 concernant le cahier de consultation intitulé « La planification de l’immigration au Québec pour la période 2020-2022 ».

Liens connexes :

Site Internet du ministère de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion
Site Internet de l’Assemblée nationale

17 M$ pour un projet hautement stratégique en cybersécurité


 Publié le 7 juin 2019

Le nouveau gouvernement du Québec verse une contribution financière de 17 M$ à Prompt pour la réalisation d’un projet hautement stratégique en cybersécurité. Créé par l’organisme en partenariat avec des organisations consacrées à la promotion de la cybersécurité telles que In-Sec-M et CyberEco, ce projet vise à rassembler l’écosystème québécois autour de projets de développement technologique.

Cette initiative permettra de saisir des occasions mondiales et de relever des défis considérables en favorisant la réalisation de partenariats entre les grandes entreprises, les PME, les universités et les centres de recherche et de transfert technologique. Avec des investissements totaux de 68 M$, le projet pourrait mener, au cours des cinq prochaines années, à la création de près de 400 emplois très qualifiés et bien rémunérés avec un salaire annuel estimé d’environ 90 000 $. Le premier ministre du Québec, M. François Legault, accompagné du ministre de la Famille et ministre responsable de la région de l’Outaouais, M. Mathieu Lacombe, en a fait l’annonce aujourd’hui à Gatineau.

Le projet a pour objectif de faire croître, de créer ou de retenir des PME qui développent des solutions en cybersécurité, tout en favorisant l’attraction de grandes entreprises. Ce bassin de chercheurs en cybersécurité de classe mondiale profite aux établissements universitaires québécois en renforçant des partenariats avec les industriels. Ainsi, le projet contribuera à maintenir des initiatives innovantes en cybersécurité avec les deux principaux centres d’activité en la matière de Gatineau et de Montréal.

Le projet regroupe cinquante sous-projets présentés par Prompt, quatre grandes entreprises (Deloitte, Desjardins, la Banque Nationale du Canada et Groupe RHEA), onze PME, la Ville de Gatineau, huit universités et centres de recherche publics, un collège ainsi que l’incubateur Galilei, affilié à l’Université Concordia.

Parmi ces initiatives, notons la création d’un service permettant aux entreprises d’assurer la fiabilité des identités numériques de leurs interlocuteurs, la création d’une boîte à outils permettant aux forces de l’ordre d’identifier les cybercriminels à l’aide de l’intelligence artificielle ainsi que des technologies protégeant les citoyens contre les cyberattaques croissantes.

« Aujourd’hui, on est là pour annoncer un investissement important dans un nouveau projet qui va créer de nombreux emplois payants dans plusieurs régions du Québec, dont ici, en Outaouais. On parle d’une aide de 17 millions de dollars qui devrait créer jusqu’à 400 emplois avec des salaires moyens de 90 000 $ par année. Le projet de Prompt va permettre d’appuyer nos chercheurs et nos entrepreneurs pour développer de nouvelles solutions en cybersécurité. On sait que les gouvernements et les entreprises de partout dans le monde ont de plus en plus de besoins en cybersécurité, donc je suis fier de voir qu’on développe une expertise dans ce domaine-là au Québec. », a déclaré François Legault, premier ministre du Québec.

« Comme ministre responsable de la région, je suis heureux que notre gouvernement facilite la réalisation d’un projet stratégique comme celui de Prompt. L’implantation de l’écosystème de la cybersécurité en Outaouais permet de mettre en place des initiatives d’envergure pour stimuler l’innovation et la croissance économique de notre région. Je salue la participation de la Ville de Gatineau à ce projet. Je rappelle que le Cégep de l’Outaouais a mis sur pied un centre collégial de transfert de technologie spécialisé en cybersécurité, qui lui permet non seulement de faire de la recherche et de l’innovation dans ce domaine, mais également d’offrir un service d’aide technique et d’information. », a souligné Mathieu Lacombe, ministre de la Famille et ministre responsable de la région de l’Outaouais.

Faits saillants :

· Prompt vise à faciliter la création de partenariats et le financement de projets de recherche et développement en technologies de l’information et des communications (TIC), en numérique et en intelligence artificielle entre les entreprises et le milieu public de la recherche. En tant que regroupement sectoriel en recherche industrielle (RSRI) du secteur des TIC et du numérique, Prompt est l’organisme d’intermédiation désigné par le gouvernement du Québec dans ces secteurs stratégiques.

· La grappe In-Sec-M regroupe les innovateurs de l’industrie de la cybersécurité déterminés à relever les défis les plus complexes par leurs solutions performantes et à former un écosystème compétitif et reconnu nationalement et internationalement. In-Sec-M constitue l’un des neuf centres d’excellence numérique financés par le gouvernement du Québec pour favoriser le développement et la commercialisation de solutions d’affaires numériques et accélérer la croissance de PME en TIC.

· CyberEco est une organisation multisectorielle nationale de référence consacrée à la cybersécurité dont la mission est d’accélérer le développement d’une main-d’œuvre de calibre mondial et d’assurer la réalisation mutualisée de projets ambitieux pour une économie prospère et sécuritaire. Fondée à l’initiative du Mouvement Desjardins, de la Banque Nationale du Canada, de Deloitte et du Groupe RHEA, CyberEco rallie des membres de différentes industries actifs sur des projets de collaboration dans ce domaine de pointe.