Doug Ford et François Legault réitèrent la création d’un partenariat économique solide


 Publié le 11 juillet 2019

Aujourd’hui, Doug Ford, premier ministre de l’Ontario, et François Legault, premier ministre du Québec, publient la déclaration commune suivante :

« L’Ontario et le Québec partagent une longue histoire de collaboration visant à créer des possibilités et de la richesse pour les Ontariens et les Québécois. Ensemble, nos provinces comptent pour plus de la moitié du PIB du Canada et, l’une pour l’autre, constituent le plus important partenaire commercial au pays. Nous poursuivrons nos efforts communs pour soutenir la prospérité de notre secteur de l’innovation entre Toronto et Montréal.

Nos provinces créent des conditions pour favoriser la croissance et la prospérité des entreprises, tant au Canada qu’à l’étranger. Aujourd’hui, nous convenons de poursuivre nos efforts pour renforcer nos économies, réduire les formalités administratives, créer des emplois de qualité que nos citoyens méritent et réduire la pénurie de main-d’œuvre qui sévit en ce moment. Le premier ministre de l’Ontario et le premier ministre du Québec conviennent de la nécessité d’augmenter l’immigration économique à une cible minimale de 65 % des admissions annuelles de candidats, notamment des travailleurs qualifiés, des gens d’affaires et des entrepreneurs, afin de satisfaire adéquatement les besoins du marché du travail.

Nous sommes déterminés à protéger le travail et les revenus des entreprises et des travailleurs touchés par l’Accord Canada–États-Unis–Mexique ainsi que les tarifs imposés par les États-Unis. Nous renouvelons notre appel au gouvernement fédéral pour qu’il prenne des mesures immédiates afin que le Canada soit exempté de toute disposition du “Buy America”. Ces dispositions auraient des conséquences négatives sur les entreprises ontariennes et québécoises et nos travailleurs de plusieurs industries clés. Nous continuerons à nous tenir debout, aux côtés de notre secteur forestier, pour lutter contre les tarifs injustes imposés par les États-Unis sur le bois d’œuvre résineux.

Les deux premiers ministres ont réitéré la nécessité, pour le gouvernement fédéral, de respecter les compétences provinciales, notamment en ce qui concerne l’établissement de plans de lutte contre les changements climatiques reflétant les priorités et les besoins particuliers de chaque province. Nous demandons, en outre, au gouvernement fédéral de respecter véritablement le principe “un projet, une évaluation” en matière d’évaluation environnementale.

Le Québec et l’Ontario sont déterminés à unir leurs efforts pour tirer profit du potentiel économique du Canada. Nous continuerons de travailler ensemble pour réduire les barrières commerciales entre les provinces, notamment en améliorant l’harmonisation des règles dans le secteur du transport et en révisant les frais d’inscription des entreprises. Nous continuons aussi nos discussions en lien avec nos engagements d’assurer un accès à de l’électricité plus abordable et plus fiable pour nos familles et nos entreprises. Les ministres des deux provinces travaillent déjà activement en ce sens.

Nous continuerons de faire pression sur le gouvernement fédéral afin d’obtenir une pleine compensation pour les provinces touchées par l’afflux de migrants qui traversent la frontière illégalement. Nous continuons également à demander au gouvernement fédéral d’établir pour l’avenir un plan crédible de gestion à la frontière.

L’Ontario a également soulevé le problème des importants feux de forêt qui sévissent dans le nord-ouest de son territoire et de l’évacuation des collectivités touchées. Le Québec, qui a déjà déployé des équipes pour aider à combattre les incendies et faciliter les évacuations, maintient son engagement à collaborer avec l’Ontario pour veiller à ce que les personnes touchées soient mises hors de danger. La sécurité des personnes touchées par les incendies est notre principale priorité.

L’Ontario et le Québec ont toujours maintenu une relation solide. Nous continuerons donc d’entretenir cette relation avantageuse pour les citoyens de nos deux provinces. »

Aide financière pour l’installation de gicleurs dans les résidences privées pour aînés


 Publié le 10 juillet 2019

Afin de mieux soutenir les résidences privées pour aînés (RPA) du Québec dans leurs efforts d’offrir un milieu de vie sécuritaire à leurs résidents, le gouvernement procède à une bonification importante du programme existant d’aide financière pour l’installation d’un système de gicleurs. La ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, madame Marguerite Blais, ainsi que la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation, madame Andrée Laforest, en ont fait l’annonce aujourd’hui, accompagnées de la vice-première ministre, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, madame Geneviève Guilbault.

Il a notamment été révélé que, pour les propriétaires, la date limite pour se conformer au programme d’installation de gicleurs était repoussée de deux ans, soit jusqu’au 2 décembre 2022. Cette mesure permettra ainsi d’éviter les fermetures de RPA, particulièrement des petites résidences pour lesquelles la conformité est encore empreinte de trop d’irritants.

Parmi les principaux changements apportés, mentionnons la façon d’effectuer les versements afin de faciliter l’accès au financement à court terme. Actuellement, la manière de procéder oblige l’exploitant à obtenir le financement de l’ensemble du projet et l’aide lui est versée sur une période de cinq ans, à raison de deux versements par année. Dorénavant, 25 % de l’aide sera versé à la signature du contrat avec l’entrepreneur et 75 % à la réception de l’attestation de conformité et des autres documents confirmant la fin des travaux.

Le montant maximum admissible à la subvention, par unité, sera rehaussé et passera de 3 300 $ à 5 000 $. Les RPA qui ont déjà bénéficié du programme seront admissibles à cette bonification. Également, pour les RPA de type « logement » exploitées par un organisme à but non lucratif (OBNL), le calcul se fera dorénavant par pièce, plutôt que par unité, et le montant maximum sera de 4 000 $ par pièce.

Constatant l’échec du programme de financement initial, adopté par le précédent gouvernement, le gouvernement actuel agit pour soulager les propriétaires de RPA dans leurs démarches pour se conformer à l’installation d’un système de gicleurs. Le gouvernement a ainsi trouvé l’équilibre qui réduira les irritants pour les propriétaires de RPA, tout en s’assurant de la sécurité des résidents et en favorisant le maintien à domicile de ces personnes dans leur communauté.

« Les propriétaires de résidences privées pour aînés nous ont partagé leurs préoccupations et nous les avons écoutés. En procédant à cette révision du programme, notre gouvernement réconforte tant les résidents que les propriétaires, qui obtiendront enfin l’accompagnement et le soutien dont ils ont besoin pour réaliser leurs travaux et offrir un milieu de vie sécuritaire aux aînés. », a déclaré Marguerite Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants.

« Il est essentiel pour notre gouvernement d’assurer la sécurité et le bien-être de nos aînés, ceux qui ont bâti le Québec dans lequel nous vivons aujourd’hui. L’installation de gicleurs dans les résidences privées pour aînés contribue à assurer la sécurité de nos aînés. Je tiens à remercier les propriétaires des résidences privées pour aînés et à leur réitérer notre volonté à leur donner les moyens de se conformer à ces mesures de sécurité. », a souligné Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation.

Faits saillants :

Au 31 mars 2019, sur 1791 RPA au Québec, 799 d’entre elles étaient giclées, 170 étaient partiellement giclées et 822 étaient toujours non giclées.

Avec cette bonification de 30 M$ du programme d’aide financière pour l’installation de gicleurs, l’estimation des montants à verser s’élève maintenant à 212,7 M$.

Les RPA qui opèrent également des places d’hébergement en ressources intermédiaires (RI) ou en OBNL qui étaient tenues d’être giclées par la Régie du bâtiment du Québec, sont maintenant admissibles au programme.

Lien connexe :

Pour en savoir plus sur les modifications apportées au Programme d’aide financière pour l’installation de gicleurs automatiques dans les résidences privées pour aînés : http://www.msss.gouv.qc.ca/rpa-gicleurs

265 000 $ pour améliorer l’accessibilité des établissements touristiques du Québec


 Publié le 10 juillet 2019

En vue de favoriser l’accessibilité des lieux et des établissements touristiques aux personnes ayant une incapacité, le gouvernement du Québec et l’organisme Kéroul sont heureux d’annoncer l’attribution d’une aide financière de 265 870 $ pour soutenir la réalisation de neuf projets et la bonification financière de deux autres, et ce, dans huit régions du Québec.

C’est ce qu’ont annoncé la ministre du Tourisme, Mme Caroline Proulx, et le président-directeur général et fondateur de Kéroul, M. André Leclerc.

Rappelons qu’en janvier dernier, la ministre du Tourisme a autorisé une augmentation du montant maximal de la subvention par projet. Auparavant établi à 20 000 $, il peut dorénavant atteindre 50 000 $. Le programme mettra à la disposition de l’industrie touristique 5 millions de dollars d’ici 2022.

« Votre gouvernement multiplie les efforts en vue de faire du Québec une destination reconnue pour son accessibilité, mais aussi afin que chacun puisse participer pleinement à la vie en société et apprécier au maximum ses expériences touristiques. Je salue le travail des promoteurs qui bonifient l’offre touristique accessible au Québec en faveur d’une clientèle en croissance et nécessitant des besoins particuliers. », a déclaré Caroline Proulx, ministre du Tourisme.

« Grâce à l’aide financière annoncée, c’est maintenant 27 établissements touristiques qui pourront améliorer leurs installations pour la clientèle ayant une incapacité. J’en profite pour inviter la population à découvrir ces endroits en explorant un Québec de plus en plus accessible! », a souligné André Leclerc, président-directeur général et fondateur de Kéroul.

Faits saillants :

Les neuf projets retenus dans le cadre du PAET sont détaillés dans le tableau ci-dessous.

Organisme

Région touristique

Aide accordée

Auberge Madeli

Îles-de-la-Madeleine

14 022 $

Office de tourisme de la MRC des Appalaches

Chaudière-Appalaches

50 000 $

Corporation du musée de la nation Huronne-Wendat

Québec

11 624 $

Corporation Philippe-Aubert-De Gaspé – Musée de la mémoire vivante

Chaudière-Appalaches

18 680 $

Domaine Kaaloo

Laurentides

35 528 $

Concept éco-plein air Le Baluchon

Mauricie

50 000 $

Hôtel Castel

Cantons-de-l’Est

50 000 $

Cidrerie verger Bilodeau

Québec

3 044 $

Auberge l’Ambassadeur

Gaspésie

12 510 $

Total

245 408 $

Par ailleurs, deux organisations se sont prévalues de leur droit de révision à la suite de l’augmentation de la subvention. Il s’agit du Club de golf de Victoriaville, dans le Centre-du-Québec, et des Amis des jardins de Métis, en Gaspésie, pour un montant totalisant 20 462 $. L’aide totale accordée s’élève donc à 265 870 $.

  • Le ministère du Tourisme a confié la gestion du PAET à Kéroul, partenaire privilégié en matière d’accessibilité depuis 1987. Ce programme a pour objectif de permettre aux entreprises touristiques d’obtenir un soutien financier pour la transformation ou l’amélioration de leurs infrastructures, et ce, afin de les rendre accessibles ou de bonifier leur offre déjà accessible.
  • Plus précisément, les objectifs poursuivis par le programme sont les suivants :
  • favoriser l’accessibilité des établissements touristiques du Québec aux personnes ayant une incapacité;
  • respecter les normes de conception sans obstacles du Code de construction du Québec en vigueur au moment de leur réalisation;
  • encourager le tourisme responsable dans une perspective de développement durable, conformément à la Stratégie gouvernementale de développement durable 2015-2020.
  • Kéroul accompagne chacun des promoteurs afin de relever les éléments à corriger pour atteindre la cote accessible.
  • Fondé en 1979, Kéroul est un organisme à but non lucratif dont la vocation est de favoriser le développement de l’accessibilité des établissements, des activités et des services touristiques et culturels au Québec.
  • Pour en savoir plus, consultez la page Web du PAET. Vous pouvez aussi visiter le site du ministère du Tourisme pour connaître les autres programmes d’aide financière destinés aux entreprises touristiques.

Ministère du Tourisme sur les médias sociaux :

https://twitter.com/tourisme_quebec/
https://www.facebook.com/TourismeQc/
https://www.linkedin.com/company/tourismequ%C3%A9bec/
https://www.youtube.com/channel/UC3ASu9yRbDiJH6pErSzeLrw

www.keroul.qc.ca

La ministre Chantal Rouleau à la rencontre des acteurs maritimes du milieu


 Publié le 9 juillet 2019

Plusieurs sujets importants concernant le développement du secteur maritime dans la région ont été soulevés aujourd’hui lors d’une séance de travail entre la ministre Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports du Québec, responsable de la mise en œuvre de la stratégie maritime du Québec, et les acteurs régionaux du monde maritime.

Lors de cette rencontrequia eu lieu au port de mer de Gros-Cacouna, les intervenants ont discuté de la difficulté de concilier, sur le terrain, les niveaux de juridiction fédéral et provincial pour faire avancer des projets économiques, de l’impact économique majeur de la présence des traversiers du Saint-Laurent etde l’importance d’une rampe ro-ro au port de Gros-Cacouna qui permettrait un chargement plus rapide des navires et des échanges commerciaux inter-rives.

D’autres questions ont aussi porté à l’attention de la ministre, notamment, la difficulté de concilier les différents usages du Saint-Laurent (touristique, environnemental, secteur privé, industriel), les problèmes de dragage pour les excursionnistes, unetarification incitative à mettre éventuellement en place pour le secteur privé, des mesures d’accompagnement fiscales, l’amélioration des connaissances environnementales sur les mammifères marins et l’impact des avis de précaution sur la navigation fluviale.

La ministre a rencontré une vingtaine d’interlocuteurs du monde maritime afin de l’aider à jeter les bases d’une stratégie maritime québécoise pour la période 2020-2035 dont les objectifs, sont de développer le corridor maritime intelligent sur lefleuve Saint-Laurent et l’économie bleue dans la foulée du Projet Saint-Laurent par le premier ministre François Legault.

Le plan d’action s’étalera sur quinze ans afin de mettre à contribution cette grande voie maritime dans le but d’augmenter le niveau de richesse des Québécois et des Québécoises et de faire prospérer les régions maritimes québécoises.

« C’est en prenant en compte, dans son analyse, les perspectives de développement d’un port de mer comme celui de Gros-Cacouna que le Québec se dotera d’une stratégie maritime qui dessinera le véritable Québec maritime du 21esiècle. Je suis très sensible à l’importance du trafic nord-sud qui est celui des traversiers du Saint-Laurent qui font partie de notre structure économique et touristique depuis des décennies. » a résumé Denis Tardif, député de Rivière-du-Loup-Témiscouata.

La cession éventuelle du port du gouvernement du Canada au gouvernement du Québec a aussi fait l’objet de commentaires pour soutenir que le port devrait demeurer une propriété publique, mais à caractère provincial après le transfert.

La ministre responsable, qui fera rapport d’ici la fin de l’année au conseil des ministres, poursuivra activement ses consultations au cours des prochaines semaines en plus de consultations sectorielles et des citoyens par internet.

Augmentation des logements sociaux et abordables au cours des prochaines années


 Publié le 9 juillet 2019

Le gouvernement du Québec remplit sa promesse en habitation et prend les moyens afin d’accélérer la réalisation de 15 000 nouveaux logements sociaux et abordables au cours des prochaines années.

Depuis les dernières années, le rythme de livraison des logements abordables était en diminution, en raison, entre autres, de subventions ne reflétant plus les coûts de réalisation. Dans l’objectif de relancer leur construction, le gouvernement a prévu dans son plus récent budget 260 M$ pour bonifier substantiellement le programme AccèsLogis Québec de la Société d’habitation du Québec (SHQ).

Les mesures annoncées entrent en vigueur dès maintenant et s’appliquent à tous les projets n’ayant pas encore franchi l’étape de l’engagement définitif. Une fois que toutes les unités déjà promises par le passé auront été livrées, cela portera leur nombre à 56 174 – comparativement à 40 703 au 31 décembre 2018.

« Grâce à notre investissement majeur de 260 M$ dans le programme AccèsLogis Québec, nous allons corriger l’inaction du passé en donnant une impulsion au domaine de l’habitation par la construction 15 000 nouveaux logements communautaires qui contribueront à stabiliser le marché locatif. C’est un vaste chantier d’avenir que nous entreprenons pour faciliter l’accès des familles et des aînés à un milieu de vie abordable. », a déclaré Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation.

Faits saillants :

Voici la teneur des changements apportés :

Majoration de l’aide financière

  • Le coût maximal de réalisation admissible est majoré de 25 % pour tous les projets n’ayant pas encore franchi l’étape de l’engagement définitif, sauf ceux réalisés sur le territoire de la Ville de Montréal, qui dispose de sa propre enveloppe d’aide financière.
  • Des aides financières supplémentaires seront octroyées selon certaines particularités, par exemple :
  • pour des familles, des personnes seules et des personnes âgées autonomes (volet I), à l’exception des projets réalisés dans la ville de Montréal;
  • pour des projets en région dans des municipalités où le loyer médian est trop bas pour rentabiliser le projet;
  • pour des projets visant la transformation-recyclage de bâtiments du patrimoine religieux;
  • pour les projets de démonstration qui pourront, entre autres, servir de modèles pour améliorer les techniques de construction.
  • Le prêt de démarrage est majoré de 4 200 $ à 5 800 $ par unité résidentielle, jusqu’à concurrence de 350 000 $ par projet. Pour les projets de moins de 10 unités résidentielles, le prêt de démarrage, actuellement plafonné à 40 000 $, pourrait atteindre 56 000 $. Enfin, pour les projets d’envergure, la SHQ pourrait accorder un prêt de démarrage de plus de 350 000 $.

Viabilité financière et qualité des projets

  • La contribution que les organismes devaient verser au Fonds québécois d’habitation communautaire est abolie. En revanche, les organismes devront contribuer davantage à leur fonds de réserve, ce qui favorisera leur autonomie et leur viabilité à long terme.
  • Les modifications apportées favoriseront la réalisation des projets par des organismes d’expérience, qui pourront accompagner les organismes qui en ont moins.
  • Dans le cas des projets de rénovation ou de transformation-recyclage, l’inspection des immeubles par un professionnel sera une exigence préalable à la réalisation du projet. Un bilan de santé de l’immeuble quinquennal sera aussi obligatoire.
  • La proportion minimale des unités de supplément au loyer sera augmentée selon la clientèle visée. Grâce à cette nouvelle mesure, davantage de ménages à faible revenu auront accès à un logement à loyer modique.

À propos de la Société d’habitation du Québec

La SHQ a pour mission de répondre aux besoins en habitation des citoyens du Québec. Pour ce faire, elle offre des logements abordables ou à loyer modique et elle propose un éventail de programmes d’aide favorisant la construction et la rénovation résidentielles, l’adaptation de domicile et l’accession à la propriété. En tant que chef de file en habitation, la SHQ stimule l’établissement de partenariats avec les collectivités, la concertation entre les acteurs du milieu et l’innovation. Pour en savoir plus sur ses activités, consultez le www.habitation.gouv.qc.ca.

SocietehabitationQuebec
HabitationSHQ

Bonification du soutien financier aux organismes communautaires de l’Abitibi-Témiscamingue


 Publié le 8 juillet 2019

À l’occasion de sa visite en Abitibi-Témiscamingue, la ministre de la Santé et des Services sociaux, madame Danielle McCann, a annoncé une hausse historique du financement accordé aux organismes communautaires de la région. Ainsi, dès 2019-2020, le milieu communautaire de la région de l’Abitibi-Témiscamingue se voit octroyer une aide financière récurrente de 1,3 M$ supplémentaire au montant de plus de 16 M$ qui était déjà alloué dans le cadre du Programme de soutien aux organismes communautaires (PSOC).

La ministre a également profité de son passage dans la région pour visiter l’organisme La Piaule de Val-d’Or et confirmer l’octroi d’un soutien financier ponctuel de 20 000 $. Ainsi, la ministre s’assure qu’il n’y aura pas de rupture de services pour les personnes vulnérables de la communauté, alors que l’organisme avait manifesté ses préoccupations quant à la possibilité de devoir cesser ses activités durant la période estivale.

« Les organismes communautaires accomplissent un travail exceptionnel, au quotidien, et notre gouvernement est résolu à en faire davantage pour mieux les soutenir. Le rehaussement important du financement du Programme de soutien aux organismes communautaires, du jamais‑vu, le démontre. De plus, j’ai bien entendu les préoccupations de l’organisme La Piaule de Val-d’Or. Sa mission m’interpelle et me touche beaucoup : je suis très heureuse d’octroyer ce soutien financier afin d’assurer la continuité des services offerts aux personnes en situation d’itinérance. », a déclaré Danielle McCann, ministre de la Santé et des Services sociaux.

« Cette annonce vient réitérer notre appréciation et notre reconnaissance envers les organismes communautaires de la région. La mobilisation d’organismes comme La Piaule est essentielle, et leur apport à la communauté est inestimable. Cet appui témoigne de l’importance que notre gouvernement accorde au mieux-être des personnes les plus vulnérables, et j’en suis très fier pour la région de l’Abitibi-Témiscamingue. », a souligné Pierre Dufour, ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs, ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec et député d’Abitibi-Est.

Faits saillants :

Le montant de 1,3 M$ annoncé, qui s’ajoute au montant initial de plus de 16 M$ déjà octroyé par le PSOC à la région de l’Abitibi-Témiscamingue, sera réparti régionalement pour tenir compte équitablement des besoins des organismes communautaires en santé et services sociaux de la région.

Rappelons que dans le cadre des mesures issues du budget 2019-2020, le gouvernement a annoncé un rehaussement significatif du PSOC qui vise à soutenir encore davantage la mission globale des organismes communautaires.

C’est donc un financement additionnel récurrent qui correspond, pour 2019-2020, à un ajout de 30 M$ à l’enveloppe globale du PSOC. Ce montant s’ajoute aux bonifications progressives s’échelonnant sur cinq ans annoncées en 2017-2018 qui représentent 5 M$ pour 2019‑2020. Le rehaussement total pour l’année en cours est donc de 35 M$. À ce montant s’ajoute une indexation annuelle de 1,8 % de l’enveloppe globale 2018-2019 du PSOC.

Cet ajout historique de ressources financières est une reconnaissance de l’importance qu’accorde le gouvernement à la contribution des organismes communautaires en santé et services sociaux pour l’amélioration de la santé et du bien-être des personnes qui ont des besoins.

Enfin, soulignons que le PSOC respecte l’autonomie des organismes communautaires de définir leurs orientations, leurs politiques et leurs approches. Le financement offert par le programme vient contribuer à la consolidation des actions de ces organismes, de manière complémentaire au soutien déjà fourni par la communauté.

70,3 M$ supplémentaires pour mieux franciser les personnes immigrantes


 Publié le 5 juillet 2019

Le ministre de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion, M. Simon Jolin-Barrette, annonce un investissement supplémentaire de 70,3 M$, pour un budget total atteignant plus de 170 M$, dès cette année, pour la francisation des personnes immigrantes.

Cet investissement majeur permettra au ministère de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion (MIDI) de mettre en place quatre nouvelles mesures :

  • l’élargissement des clientèles admissibles aux services de francisation et aux allocations de participation (40 M$) ;
  • la bonification de l’allocation de participation pour les cours de francisation à temps complet (12,8 M$) ;
  • la création d’une allocation de participation pour les cours à temps partiel (17 M$) ;
  • l’ajustement de l’allocation des frais de garde pour les personnes fréquentant les cours à temps partiel (0,5 M$).

Ces mesures en francisation annoncées aujourd’hui s’inscrivent dans la réforme et la modernisation du système d’immigration amorcées par le gouvernement. Elles permettront à la fois d’inciter davantage de personnes immigrantes à apprendre le français et de s’assurer qu’elles aient à leur portée les meilleurs outils possible pour les soutenir dans la réussite de leur démarche de francisation.

Citation :

« La connaissance du français est un facteur essentiel pour une intégration réussie des personnes immigrantes. Par ces nouvelles mesures et ces bonifications des services en francisation, le gouvernement respecte ses engagements et agit concrètement pour que toutes les personnes immigrantes puissent avoir accès facilement à des cours de français de qualité favorisant, par le fait même, leur intégration au travail et à la société québécoise. »

Simon Jolin-Barrette, ministre de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion

Faits saillants :

  • Élargissement de l’accès aux services de francisation à temps complet et à temps partiel ainsi qu’aux aides financières afférentes aux personnes immigrantes admises au Québec depuis plus de 5 ans ;
  • Élargissement de l’accès aux services de francisation à temps complet et à temps partiel ainsi qu’aux aides financières afférentes aux travailleurs et aux étudiants étrangers temporaires ainsi qu’à leur conjoint ou conjointe ;
  • Bonification de l’allocation de participation pour les cours à temps complet de 141 $ à 185 $ par semaine ;
  • Création d’une allocation de participation pour les cours à temps partiel de 15 $ par jour ;
  • Bonification du montant de l’allocation de frais de garde, pour les cours à temps partiel, de 7 $ à 9 $ par jour par enfant ou personne handicapée à charge ;
  • L’embauche de l’équivalent à temps complet de 80 nouveaux professeurs et professeures de français, ce qui représente une augmentation de 17 % ;
  • Capacité de 300 nouvelles classes en francisation.

Liens connexes :

Pour plus de détails sur l’offre de cours de français du MIDI : www.LeSuccesParleFrancais.gouv.qc.ca

Annexe

NOUVELLES MESURES
POUR UNE FRANCISATION RÉUSSIE
DES PERSONNES IMMIGRANTES AU QUÉBEC

Tableau comparatif des changements et des bonifications

Bonifications des conditions d’admissibilité aux services de francisation
et à l’aide financière incitative du MIDI

AVANT

APRÈS

TEMPS COMPLET

Accessibilité

Personnes ayant obtenu la résidence permanente, arrivées au Québec depuis 5 ans et moins

  • Personnes ayant obtenu la
    résidence permanente
  • Les travailleurs et les étudiants étrangers temporaires ainsi que leur conjointe ou conjoint

Allocation de participation

141 $ par semaine

185 $ par semaine

Allocation de frais
de garde

Maximum de 25 $ par jour par enfant ou personne handicapée à charge

TEMPS PARTIEL

Accessibilité

Personnes ayant obtenu la résidence permanente, arrivées au Québec depuis 5 ans et moins

  • Personnes ayant obtenu la résidence permanente
  • Les travailleurs et les étudiants étrangers temporaires ainsi que leur conjointe ou conjoint

Allocation de participation

Aucune

15 $ par jour

Allocation de frais
de garde

7 $ par jour par enfant ou personne handicapée à charge

9 $ par jour par enfant ou personne handicapée à charge

En vigueur depuis le 1er juillet 2019

Plus de 28 M$ pour six nouveaux projets d’agrandissement d’écoles dans la région de l’Estrie


 Publié le 5 juillet 2019

Le ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel, se réjouit de l’annonce historique de 128 nouveaux projets d’agrandissement et de construction d’écoles à travers le Québec faite par le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge. Des centaines d’élèves de la région pourront ainsi profiter de six projets d’ajout d’espace grâce à un investissement
de 28 683 619 $.

Le ministre responsable de la région a annoncé ces projets à l’école des Deux-Soleils de Magog en compagnie du député d’Orford et adjoint parlementaire du ministre de l’Économie et de l’Innovation (volet économie et Internet haute vitesse), M. Gilles Bélanger, ainsi que les autres membres du caucus gouvernemental en Estrie, soit le député de Richmond, président de la commission des institutions et président du caucus régional, M. André Bachand, la députée de Saint-François et whip adjointe du gouvernement, Mme Geneviève Hébert, et le député de Mégantic, M. François Jacques.

Le démarrage de l’ensemble des projets pourra débuter dès cet été grâce à la modernisation des règles du ministère. Afin de mieux répondre aux demandes des commissions scolaires, le MEES adopte une planification pluriannuelle pour la première fois de son histoire. En effet, 29 projets pourront profiter d’une part de financement approximative de 10 % de leur coût total estimé, qui permettra leur démarrage dès maintenant et accélérera ainsi les démarches associées à leur réalisation. Leur financement sera complété dès qu’ils seront prêts à franchir les autres étapes de réalisation de leur projet et que les investissements nécessaires à leur poursuite seront prévus au Plan québécois des infrastructures.

« Les milieux de vie que fréquentent nos enfants ont certainement une incidence sur leur développement, leur estime de soi, leur réussite et leur bonheur. Tout le monde souhaite que les élèves aient le goût de se rendre à leur école, qu’ils s’y sentent bien et qu’ils réussissent à la hauteur de leur capacité. C’est pourquoi je me réjouis de voir notre gouvernement investir si massivement dans les écoles en Estrie. C’est aussi toute notre population qui en bénéficie. », a souligné François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie.

« Investir massivement dans nos écoles, c’est aussi investir dans la collectivité puisque nos établissements scolaires sont au centre de nos communautés. Ils permettent non seulement aux élèves de s’instruire, mais aussi aux gens de se rencontrer et de socialiser. Je suis très heureux pour tous les usagers de ces lieux nouveaux et améliorés. Ils auront de magnifiques espaces à occuper! », a indiqué Gilles Bélanger, député d’Orford et adjoint parlementaire du ministre de l’Économie et de l’Innovation (volet économie et internet haute vitesse).

« Ce que nous souhaitons pour les élèves du Québec, ce sont de belles écoles qui favorisent leur plein épanouissement. Avec ce nombre record de projets d’agrandissement et de construction, nous venons offrir des environnements d’apprentissage modernes et combler le manque de locaux, un problème qui remonte aux gouvernements précédents. Notre gouvernement n’a pas peur d’investir en éducation et il remet l’élève au cœur de ses actions, que ce soit sur le plan des services professionnels offerts aux élèves, des sorties culturelles, des activités parascolaires ou de l’amélioration des écoles. Comme ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, comme enseignant et comme père, j’en suis fier. », a déclaré Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur.

Faits saillants

La mesure Ajout d’espace vise les projets de construction, d’agrandissement et de réaménagement d’écoles ainsi que l’acquisition de bâtiments par les commissions scolaires.
L’ensemble des projets pour lesquels un besoin d’espace est reconnu par le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur vont démarrer cette année. Ces investissements sont prévus au Plan québécois des infrastructures 2019-2029.
Voici la répartition de l’aide financière par commission scolaire dans la région :

 

Commission scolaire des Hauts-Cantons

Montant

Agrandissement et réaménagement de l’école Notre-Dame-du-Paradis
à Dudswell

4 275 840 $

Commission scolaire de la Région-de-Sherbrooke

Agrandissement et réaménagement de l’école Sylvestre à Sherbrooke

3 917 620 $

Agrandissement et réaménagement des écoles Laporte et Sainte-Famille à
Sherbrooke

3 959 012 $

Agrandissement de l’école du Jardin-des-Lacs à Saint-Denis-de-Brompton

7 641 664 $

Commission scolaire des Sommets

Agrandissement de l’école des Deux-Soleils à Magog

4 019 865 $

Agrandissement de l’école de l’Arc-en-Ciel à Saint-François-Xavier-de-
Brompton

4 869 618 $

Total

28 683 619 $

Plus de 340 000 $ pour le mont Rigaud


 Publié le 5 juillet 2019

Au nom de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation, Mme Andrée Laforest, le ministre responsable de la région de la Montérégie, M. Christian Dubé, annonce que 341 228 $ sont consentis à la MRC de Vaudreuil-Soulanges pour l’acquisition de terrains à haute valeur écologique en vue de la création d’un parc régional au mont Rigaud.

L’aide financière, accordée dans le cadre du Fonds d’appui au rayonnement des régions (FARR), contribuera au développement de l’écotourisme sur le mont Rigaud. De plus, elle permettra de préserver les écosystèmes forestiers et les espèces fauniques et végétales qui s’y trouvent.

Ce projet répond aux priorités de la Montérégie, qui visent à protéger et à mettre en valeur les ressources naturelles ainsi qu’à promouvoir et à développer le tourisme.

Citations :

« Ce développement écoresponsable et durable du mont Rigaud s’appuie sur des orientations environnementales tournées vers l’avenir. Les générations futures en profiteront assurément. Voilà un autre projet du FARR inspirant pour le Québec. »
– Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation

« En mettant en valeur ce patrimoine naturel et en le préservant, nous faisons rayonner la Montérégie partout au Québec. L’aménagement des espaces naturels permettra de bonifier l’offre écotouristique et récréotouristique, ce qui générera des retombées économiques importantes. »
– Christian Dubé, ministre responsable de la région de la Montérégie

« L’aide financière annoncée aujourd’hui représente un pas de plus vers la création du parc régional. Ce projet prend en considération les préoccupations des citoyens par rapport à la montagne en prévoyant des mesures de conservation et de réglementation. »
– Marilyne Picard, députée de Soulanges

« Ce projet de développement est un bel exemple de projet écoresponsable et durable qui se veut rassembleur pour nos citoyens et pour tous ceux qui viendront profiter de ses atouts. Je remercie le gouvernement du Québec de reconnaître le mont Rigaud comme un joyau régional. »
– Patrick Bousez, président de la Table de concertation des préfets de la Montérégie et membre du comité régional de sélection de projets du Fonds d’appui au rayonnement des régions

Faits saillants :

  • Le FARR a été créé en complément du Fonds de développement des territoires afin de permettre aux élus municipaux et régionaux d’élaborer et de soutenir des projets structurants qui contribueront à maximiser le développement des communautés. L’objectif est d’appuyer la stratégie gouvernementale pour assurer l’occupation et la vitalité des territoires.
  • Depuis le début du FARR, une aide financière totalisant plus de 12,7 M$ a déjà été annoncée pour la réalisation de 82 projets en Montérégie.

Liens connexes :

Fonds d’appui au rayonnement des régions : www.mamh.gouv.qc.ca/developpement-territorial/programmes/fonds-dappui-au-rayonnement-des-regions-farr.

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Investissement de plus de 2 M$ pour une installation sportive au Patro de Jonquière


 Publié le 4 juillet 2019

La ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac‑Saint-Jean, Mme Andrée Laforest, et la ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine, Mme Isabelle Charest, ont confirmé aujourd’hui un investissement pouvant atteindre 2 016 209 $ pour la construction d’un gymnase au Patro de Jonquière.

Cette annonce confirme une fois de plus que le gouvernement respecte ses engagements. À cette occasion, les ministres Laforest et Charest se sont faites les porte-paroles du premier ministre, qui s’était engagé à respecter rapidement cette promesse concernant le Patro de Jonquière. Le projet consiste essentiellement à construire un gymnase d’une superficie de 891 m2 comprenant des vestiaires et des douches pour les utilisateurs, annexés au bâtiment actuel.

Citations :

« Nous nous sommes engagés à aider le Patro de Jonquière, et c’est fait. Mes collègues Nancy Guillemette, Éric Girard et François Tremblay ainsi que moi-même nous réjouissons donc pour les citoyennes et les citoyens du Saguenay-Lac-Saint-Jean, qui pourront profiter pleinement de ces nouvelles installations. Toutes mes félicitations au Patro de Jonquière pour ce projet significatif! En encourageant ainsi l’activité physique, vous favorisez le bien-être général de toute la population. »
– Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean

« Notre gouvernement n’hésite pas à mettre en œuvre diverses actions pour donner à chacun le goût de bouger dès le plus jeune âge, et ce, tout au long de la vie. Les investissements que nous faisons dans les infrastructures sportives et récréatives sont une démonstration concrète de l’importance que nous accordons au bien-être et à la qualité de vie des familles et de la population. »
– Isabelle Charest, ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine

« La construction d’un gymnase au Patro de Jonquière est rapidement devenue un projet de société, qui a connu une mobilisation citoyenne des plus importantes et la Ville de Saguenay est fière d’être partenaire de cette aventure en accordant une aide financière de 800 000 $. Cet investissement s’inscrit à merveille dans notre volonté de faire de Saguenay une ville au cube, dotée d’infrastructures de qualité et accessibles à tous et où les saines habitudes de vie sont au cœur de nos préoccupations. Longue vie au Patro de Jonquière! »
– Josée Néron, mairesse de Saguenay

« Le Patro est privilégié d’avoir bénéficié de la mobilisation de la population, des entreprises et de la Ville de Saguenay, qui l’ont appuyé depuis le début de cette belle aventure. Aujourd’hui, grâce au soutien de notre gouvernement, le partenariat est maintenant complet, et nous allons enfin pouvoir nous mettre en route vers notre nouveau gymnase. C’est vraiment un grand jour pour le Patro et sa communauté.
– Lucie Gagnon, présidente du Patro de Jonquière

Faits saillants :

  • Les projets ont été sélectionnés en fonction de critères d’admissibilité et d’évaluation établis dans les règles et les normes du PSISR – Phase IV.
  • Les clientèles visées par le PSISR – Phase IV sont les coopératives, les organismes à but non lucratif, les organismes municipaux ainsi que les organismes scolaires.
  • 728 demandes ont été reçues dans le cadre de cet appel de projets.

Rappelons que le PSISR – Phase IV poursuit plusieurs objectifs, soit :

  • assurer la pérennité, la fonctionnalité et la qualité des installations existantes ainsi que leur conformité avec les normes;
  • mieux répondre aux besoins de la population québécoise en ce qui concerne la pratique d’activités physiques, sportives et de plein air;
  • participer à l’enrichissement du parc d’installations sportives, récréatives et de plein air.

Lien connexe :

http://www.education.gouv.qc.ca/organismes-a-but-non-lucratif/aide-financiere/fonds-pour-le-developpement-du-sport-et-de-lactivite-physique/installations-sportives-et-recreatives/