18 M$ dans le Programme de renforcement collectif des compétences de la main-d’œuvre


 Publié le 20 août 2019

Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie, M. Jean Boulet, annonce des investissements totaux de 18 millions de dollars dans le Programme de renforcement collectif des compétences de la main-d’œuvre pour l’année 2019-2020. Ces investissements permettront à des entreprises de développer les compétences de leur main-d’œuvre.

L’objectif du Programme est de favoriser une meilleure adéquation entre la formation du personnel des entreprises, les compétences et l’emploi. Il comporte 3 volets : formation continue en entreprise, intégration professionnelle et maintien en emploi des personnes sous-représentées sur le marché du travail et développement des compétences du futur liées à la transformation technologique des entreprises.

Il est destiné à des promoteurs collectifs, c’est-à-dire des organismes dont les actions touchent plusieurs entreprises et personnes en emploi. Ce programme est financé par le Fonds de développement et de reconnaissance des compétences de la main-d’œuvre (FDRCMO), qui est sous la responsabilité de la Commission des partenaires du marché du travail.

Formation ‒ Intégration -Travail
Le ministre profite de son passage en Outaouais pour attirer l’attention sur le projet FIT (Formation ‒ Intégration – Travail), qui sera bientôt mis en œuvre dans la région. Orchestré par le Réseau des services spécialisés de main-d’œuvre (RSSMO), le projet FIT permet à des groupes sous-représentés sur le marché du travail de développer des compétences professionnelles.

Représentant un investissement de près de 900 000 $, ce projet de stages rémunérés en entreprise permettra de former 100 personnes dans différents secteurs d’activité, notamment le secteur manufacturier et les secteurs de la bureautique, du commerce de détail et des services et du transport et de la logistique, et ce, dans six régions du Québec, dont l’Outaouais.

Un 15e arrêt dans la tournée du Québec
Cette annonce a été faite à Gatineau, dans le cadre de la tournée du ministre. Rappelons que M. Boulet visite toutes les régions du Québec afin de rencontrer les partenaires du marché du travail. Il leur présente sa vision des actions à poser afin de soutenir les entreprises devant conjuguer leurs besoins avec la rareté de la main‑d’œuvre. Il a commencé sa tournée du Québec le 4 février dernier, à Trois-Rivières.

« Je me réjouis que nous soutenions, par le financement de projets de formation répondant aux besoins réels des entreprises, le développement des compétences des travailleuses et des travailleurs. Dans un contexte de rareté de la main-d’œuvre, il est essentiel que nous fassions valoir la force de travail de toutes les personnes qui souhaitent accéder à un emploi. C’est ainsi que nous pouvons assurer le développement économique du Québec. », a déclaré Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie.

Faits saillants :

  • Les programmes de subvention du FDRCMO sont structurés de façon à privilégier une approche de soutien à la résolution de problèmes axée sur l’atteinte des résultats recherchés par les promoteurs des projets.
  • Le Réseau des services spécialisés de main-d’œuvre est une association à but non lucratif créée en 1999. La mission première de ses membres est le développement de l’employabilité visant l’intégration et la réintégration professionnelle et le maintien en emploi de personnes ayant des difficultés particulières liées à l’insertion socioprofessionnelle.
  • Les entreprises qui souhaitent obtenir de l’information peuvent en tout temps joindre un conseiller aux entreprises du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale au bureau de Services Québec ou au centre local d’emploi le plus près.

Robotisation du secteur de la transformation alimentaire


 Publié le 20 août 2019

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, M. André Lamontagne, est heureux d’annoncer l’attribution d’une aide financière de 225 000 $ à l’entreprise d’embouteillage d’eau Eska dans le cadre du programme Transformation alimentaire : robotisation et systèmes de qualité. Ce programme vise à aider les entreprises à mieux s’adapter à l’intensification de la concurrence et à la rareté de la main-d’œuvre. L’aide financière est destinée à la réalisation de deux projets :

75 000 $ pour l’établissement d’un diagnostic relatif au remplacement du système de contrôle de l’entrepôt et des véhicules guides automatisés utilisés pour déplacer les palettes;
150 000 $ pour la mise en œuvre du projet de remplacement de ce système de contrôle et de ces véhicules automatisés.
Ces changements permettront à l’entreprise d’augmenter sa productivité et sa compétitivité sur les marchés tant québécois et canadiens qu’internationaux.

Cet appui financier s’inscrit dans la mise en œuvre de la Politique bioalimentaire 2018-2025 – Alimenter notre monde, qui vise, entre autres choses, à encourager le développement d’entreprises bioalimentaires prospères, durables et innovantes ainsi qu’à appuyer l’investissement dans les entreprises.

« L’eau est une ressource québécoise qui gagne à être mise en valeur et constitue la boisson de base pour une saine alimentation. Eska fournit des emplois à des gens d’ici et fait rouler l’économie de la région de l’Abitibi-Témiscamingue. En appuyant la modernisation de ses équipements, le gouvernement du Québec soutient l’essor et la compétitivité d’Eska, tout en investissant dans l’économie régionale. », a déclaré M. André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation.

« Je suis heureux que votre gouvernement investisse dans des entreprises comme Eska qui se distinguent par leur créativité et leur persévérance. C’est avec fierté que je constate que, jour après jour, cette entreprise fait rayonner l’Abitibi-Témiscamingue partout sur la planète. », a mentionné M. Pierre Dufour, ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec.

« La transformation alimentaire est un pilier de l’économie québécoise. Je suis fière que votre gouvernement soutienne des entreprises du secteur bioalimentaire de notre région qui sont prospères, durables et innovantes. », a souligné Mme Suzanne Blais, députée d’Abitibi-Ouest.

Faits saillants

  • Le programme Transformation alimentaire : Robotisation et systèmes de qualité est une action concrète qui s’inscrit au cœur de la Politique bioalimentaire. Il permettra de contribuer notamment à l’atteinte des objectifs suivants :
  • un investissement de 15 milliards de dollars par les entreprises dans les domaines de la production agricole, de la production aquacole, des pêches et de la transformation alimentaire;
  • une augmentation des exportations bioalimentaires internationales du Québec d’une valeur de 6 milliards de dollars;
  • un ajout de 10 milliards de dollars de contenu québécois dans les produits bioalimentaires achetés au Québec.
  • L’industrie de la transformation des aliments et des boissons est un pilier de l’économie québécoise. Elle compte plus de 2 400 établissements répartis dans toutes les régions du Québec et génère quelque 71 000 emplois.
  • Avec des livraisons annuelles de plus de 30 milliards de dollars, l’industrie de la transformation est la plus importante activité manufacturière au Québec.
  • Environ 70 % des produits issus des activités de l’agriculture et de la pêche au Québec sont achetés par les transformateurs alimentaires québécois.
  • La Politique bioalimentaire 2018-2025 – Alimenter notre monde repose sur plusieurs grandes orientations qui ont notamment trait à l’offre de produits bioalimentaires, à la prospérité des entreprises et au dynamisme des territoires.

Lien connexe

Pour plus d’information : www.mapaq.gouv.qc.ca/robotisation

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150 M$ pour mieux répondre aux besoins des étudiants


 Publié le 19 août 2019

Après plusieurs années d’inaction libérale, qui se sont traduites par un financement figé malgré des besoins toujours plus variés, les établissements collégiaux du Québec pourront profiter, dès la rentrée automnale, d’un budget additionnel de 68 millions de dollars à la suite de la révision du modèle d’allocation des ressources. Si l’on prend en considération les sommes visant à financer les coûts de système et les améliorations apportées à la rémunération des enseignants, il s’agit d’un investissement d’envergure de 150 millions de dollars pour l’année scolaire 2019-2020 dans les cégeps.

Le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge, en a fait l’annonce aujourd’hui au Cégep de Saint-Jérôme, qui reçoit une aide supplémentaire de 3,8 M$. Pour l’occasion, il était accompagné de son adjoint parlementaire pour le volet enseignement supérieur et député de Saint-Jérôme, M. Youri Chassin.

Rappelons que le modèle d’allocation des ressources aux cégeps a été implanté il y a plus de 25 ans. Bien que des améliorations y aient été apportées au fil du temps, une mise à jour était nécessaire pour simplifier le modèle, l’adapter aux nouvelles réalités démographiques et répondre aux besoins des étudiants, des établissements et de la société.

Le financement de base des établissements a notamment été rehaussé et le calcul de la portion de financement basé sur le nombre d’étudiants a été modifié pour permettre d’adopter une approche par paliers. Ces mesures profiteront particulièrement aux petits et moyens cégeps, souvent situés en région. Ceux-ci doivent faire face à une baisse de fréquentation qui, avec l’ancien modèle, mettait en péril la qualité des formations.

« Je suis très fier de présenter cette bonification du nouveau modèle de financement des cégeps, qui prend forme après plusieurs mois de travail et d’efforts. Je tiens à remercier le comité d’experts, les cégeps et la Fédération des cégeps de leur apport et de leur énergie. Après plusieurs années à composer avec une situation financière fragile, les cégeps auront dorénavant les coudées franches pour mettre en place les mesures qu’ils jugeront nécessaires et ainsi permettre aux étudiants de réussir, selon leurs priorités et leurs besoins, partout au Québec. », a déclaré Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur.

« Depuis plusieurs mois maintenant, je visite les cégeps du Québec et je rencontre les différents acteurs du réseau collégial. Ces investissements arrivent à point et permettront à nos établissements collégiaux de profiter d’une souplesse plus que bienvenue dans la gestion de leur budget. En répondant à leurs besoins, nous faisons en sorte qu’ils servent encore mieux leurs étudiants sur l’ensemble du territoire. Nous en sommes convaincus. », a indiqué Youri Chassin, député de Saint-Jérôme et adjoint parlementaire du ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (volet enseignement supérieur).

Faits saillants

Pour les cégeps, ces investissements permettront :

  • une amélioration de leur situation financière, notamment dans le cas des plus petits établissements, souvent situés en région, et le maintien du modèle d’allocation pour plusieurs années;
  • une plus grande équité entre les établissements;
  • une plus grande responsabilisation ainsi que plus de souplesse et d’autonomie dans le choix des moyens à privilégier pour organiser le déploiement régional de leurs activités scolaires et ainsi
  • mieux répondre aux besoins des étudiants;
  • une reconnaissance et un renforcement de l’importance des activités de recherche et des responsabilités des cégeps dans leurs collectivités;
  • un financement plus simple et plus prévisible pour mieux répondre au contexte actuel;
  • un meilleur financement du fonctionnement des bâtiments, permettant d’offrir un milieu plus accueillant et plus sécuritaire.

Pour les étudiants, ces investissements permettront :

un accès plus facile aux études collégiales dans toutes les régions du Québec;
une amélioration de la qualité des formations et des services qui leur sont offerts pour mieux les soutenir et favoriser leur réussite.

50 M$ dans un projet créateur d’emplois payants


 Publié le 16 août 2019

Le gouvernement du Québec porte à 80 millions de dollars sa contribution à un projet d’investissement global de 180 millions de dollars qui vise à actualiser les équipements de la Société ferroviaire et portuaire Pointe-Noire (SFP Pointe-Noire), afin que ceux-ci répondent mieux aux exigences environnementales, liées à la croissance de ses activités, de même qu’à la demande grandissante des sociétés minières.

Le premier ministre du Québec, M. François Legault, en a fait l’annonce, aujourd’hui, à la SFP Pointe-Noire, à Sept-Îles, en présence de M. Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, et du ministre des Transports du gouvernement du Canada, M. Marc Garneau. M. Legault s’est dit particulièrement heureux de participer à cette annonce, qui permettra la création et la consolidation d’environ 185 emplois payants dans la région.

En plus de cette prise de participation supplémentaire de 50 millions de dollars par le gouvernement du Québec, 50 millions de dollars ont aussi été accordés par l’entremise du Fonds national des corridors commerciaux du gouvernement du Canada. Enfin, un investissement privé de 50 millions de dollars de la SFP Pointe-Noire et ses partenaires, complète le montage financier.

Le projet d’optimisation permettra notamment à la SFP Pointe-Noire d’améliorer sa compétitivité en augmentant la capacité de traitement de ses installations et en maximisant l’efficacité de transbordement de minerai.

Ces investissements permettront à la SFP Pointe-Noire de moderniser ses activités. Concrètement, la SFP Pointe-Noire fiabilisera les infrastructures de la cour d’entreposage de minerai Wabush et procèdera à la construction d’un nouveau convoyeur afin de relier la cour au quai multiusager du port de Sept-Îles. Elle améliorera finalement les systèmes électriques, le chemin de fer et la gare de triage de son site ainsi que le système de gestion des eaux dans un contexte de forte croissance des activités.

Par ailleurs, plus tôt en journée, le premier ministre François Legault et le ministre Jonatan Julien ont échangé avec des élus nord-côtiers et des acteurs économiques au cours d’un déjeuner-rencontre à Sept-Îles. Cela a été l’occasion, pour le premier ministre, de réaffirmer l’engagement de son gouvernement de prolonger la route 138 dans des délais raisonnables, afin de faciliter l’accès au territoire. M. Legault a également réitéré sa volonté de créer des emplois payants dans toutes les régions du Québec et de soutenir le développement économique de la Côte-Nord.

« Je suis fier que mon gouvernement soutienne le développement de la Société ferroviaire et portuaire Pointe-Noire, puisque son projet permettra de maintenir et de créer des emplois payants dans la région. Le Québec doit créer de tels emplois de qualité s’il veut rattraper son écart de richesse avec le reste du Canada. De plus, les perspectives d’exploitation de la fosse du Labrador, notamment en ce qui a trait aux métaux stratégiques, sont encourageantes. Il s’agit du moment propice pour faire passer le site de Pointe-Noire au niveau supérieur et ainsi favoriser les retombées économiques pour la Côte-Nord et tout le Québec. », a déclaré François Legault, premier ministre du Québec.

« La Société ferroviaire et portuaire Pointe-Noire est une pièce-clé de notre vision pour le développement socioéconomique du Nord québécois. L’aide financière annoncée aujourd’hui lui permettra sans aucun doute de se positionner de manière stratégique afin de poursuivre ses avancées. Il s’agit d’une excellente nouvelle qui favorise la création et le maintien d’emplois sur la Côte-Nord. », a indiqué Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord.

Faits saillants :

Le projet global d’optimisation des équipements de la SFP Pointe-Noire totalise 180 millions de dollars. Avec cette contribution supplémentaire, le gouvernement du Québec financera une portion de 80 millions de dollars dans le projet, tandis que le gouvernement du Canada et la SFP Pointe-Noire ainsi que ses partenaires y ajouteront 50 millions de dollars chacun.

L’aide du ministère des Transports du Québec (30 M$), versée par le gouvernement actuel, provient du Programme de soutien aux investissements dans les infrastructures de transport maritime, pour améliorer l’accès et l’efficacité des installations de transbordement de la SFP Pointe-Noire.

La SFP Pointe-Noire a expédié un million de tonnes de minerai en 2017. Son volume d’expédition est passé à plus de huit millions de tonnes en 2018.

Avec ce projet, ce sont maintenant 185 emplois payants qui seront consolidés ou créés à la SFP Pointe-Noire. D’ici quelques années, des centaines d’autres seront ajoutés, grâce à l’émergence de projets miniers prometteurs au Québec, qui auront besoin des installations de transbordement modernisées de Sept-Îles.

15 M$ dans un programme de bourses pour les préposés aux bénéficiaires


 Publié le 14 août 2019

La ministre de la Santé et des Services sociaux, Danielle McCann, accompagnée de la ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, Marguerite Blais, et du ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Jean Boulet, a annoncé aujourd’hui la mise sur pied d’un nouveau programme de bourses destiné aux préposés aux bénéficiaires (PAB).

Cette initiative représente un investissement de 15 M$, qui se décline en 2 000 bourses de 7 500 $ chacune. Le gouvernement reconnaît le rôle essentiel des PAB et cette annonce s’inscrit dans une démarche comprenant une série de mesures concrètes visant à accroître l’attractivité du métier et l’amélioration de la rétention des nouveaux PAB.

« Les préposés aux bénéficiaires jouent un rôle crucial dans la prise en charge des usagers et sont assurément un maillon incontournable de l’équipe multidisciplinaire de soins. L’instauration de ce tout nouveau programme de bourses s’inscrit dans notre démarche afin de recruter des ressources compétentes, et en nombre suffisant, pour répondre aux besoins des usagers et s’assurer que ces derniers soient en mesure de recevoir les meilleurs soins et services. », a indiqué Danielle McCann, ministre de la Santé et des Services sociaux.

« Auprès des aînés, les préposés aux bénéficiaires assurent une présence bienveillante et rassurante. Notre gouvernement s’est engagé à valoriser cette profession, et l’annonce aujourd’hui de cette mesure incitative en est un bel exemple. Avec le vieillissement de la population et l’accroissement des besoins de celle-ci pour des soins d’assistance, le recrutement est au cœur de nos priorités. », a déclaré Marguerite Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants.

« Nous sommes persuadés que cette initiative permettra de soutenir et d’augmenter le nombre de préposés aux bénéficiaires qualifiés issus du programme de formation. Elle s’ajoute à notre offensive annoncée en mai dernier afin de valoriser la profession de préposé aux bénéficiaires et d’attirer davantage de travailleurs vers cette profession. Votre gouvernement prend ses responsabilités très au sérieux, et c’est pourquoi nous travaillons en équipe sur cet enjeu prioritaire. », a souligné Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale.

Faits saillants :

Plus spécifiquement, le programme vise à :

  • soutenir les établissements de santé et de services sociaux pour améliorer l’attraction, la rétention et la disponibilité de main-d’œuvre dans ce titre d’emploi;
  • soutenir financièrement les candidats sélectionnés pour leur formation de PAB;
  • favoriser l’ajout de candidats dans les cohortes de formation.
  • La formation à suivre est celle menant à l’obtention d’un diplôme d’études professionnelles (DEP) en Assistance à la personne en établissement et à domicile de 870 heures, qui est offerte par les centres de formation professionnelle (CFP) dans les différentes régions du Québec. Cette formation permet d’accéder au métier de PAB mais également à celui d’auxiliaire aux services de santé et sociaux (ASSS). L’ASSS est la personne qui fournit des soins et des services au domicile de l’usager.

Les bourses seront réparties entre les établissements de santé et de services sociaux en fonction de leur taux de représentativité des PAB. Les établissements devront procéder à la sélection des personnes qui suivront leur formation pour devenir PAB. Ces personnes bénéficieront de la bourse en échange de la réussite de la formation et d’un contrat d’engagement de deux ans auprès de l’établissement les ayant parrainées.

Le ministère de la Santé et des Services sociaux sera responsable du suivi du programme et il procédera à son évaluation.

Lien connexe :

Pour plus d’information sur le programme de bourses d’études, consultez la page Avenir en santé.

Congrès de la Relève


 Publié le 12 août 2019

Le Congrès de la Relève arrive à grands pas!

Inscrivez-vous en cliquant sur le lien: https://horizons2050.com/activites/congres-de-la-releve-17-et-18-aout-1275/

P.S. Cet événement est pour les 30 ans et moins.

1,5 M$ pour Place aux jeunes au Saguenay-Lac-Saint-Jean


 Publié le 8 août 2019

L’adjoint parlementaire du premier ministre pour le volet jeunesse, M. Samuel Poulin, ainsi que la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, Mme Andrée Laforest, ont procédé, aujourd’hui, à l’annonce du financement pour l’organisme Place aux jeunes en région (PAJR).

Ainsi, l’ensemble des équipes Place aux jeunes de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, qui passeront au nombre de cinq, recevra 1,5 million de dollars sur cinq ans.

Rappelons que le 21 juillet dernier, le gouvernement du Québec avait déclaré qu’il doublerait les investissements pour PAJR, le total se chiffrant maintenant à 35 millions de dollars, répartis sur cinq ans. Grâce à ces sommes, l’organisme pourra aider davantage les jeunes dans leurs démarches pour s’établir et travailler dans toutes les régions du Québec. Cette offre de service étendue vise également à freiner l’exode des jeunes Québécoises et Québécois hors des régions.

« À titre de député issu d’une région et d’adjoint parlementaire au premier ministre pour le volet jeunesse, je connais toute l’importance du retour de nos jeunes dans nos coins de pays. À la suite de rencontres avec mes collègues du caucus du Saguenay-Lac-Saint-Jean, je suis heureux d’annoncer un financement considérable de mon secrétariat pour Place aux jeunes dans cette belle région. Nous nous donnons, aujourd’hui, les outils afin de ramener le maximum de jeunes dans les MRC du territoire. Du même coup, nous prenons soin de la plus grande richesse naturelle au Québec : la jeunesse. », a déclaré Samuel Poulin, adjoint parlementaire du premier ministre pour le volet jeunesse.

« Les jeunes et les régions sont deux forces indéniables pour le Québec. Le Saguenay-Lac-Saint-Jean a tant à offrir : des emplois spécialisés et des paysages à couper le souffle, sans oublier l’accueil chaleureux de ses citoyennes et citoyens. Je suis très fière que notre gouvernement s’assure, jour après jour, de l’épanouissement de nos jeunes et des régions par l’entremise d’organismes comme Place aux jeunes en région. », a noté Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean.

« Voici une autre belle annonce pour notre région, qui se démarque, encore une fois, comme un pôle majeur d’activité commerciale et industrielle. Je tiens à remercier l’organisme qui permet à des jeunes diplômées et diplômés de venir travailler et s’établir ici. », a indiqué Nancy Guillemette, députée de Roberval.

« Cet investissement est un engagement clair à l’égard des régions éloignées des grands centres urbains, comme la nôtre, qui ont décidé de se donner des stratégies d’attraction d’envergure. À titre d’exemple, cette année, les agentes de Place aux jeunes de la circonscription de Roberval se sont jointes à l’équipe de Portes ouvertes sur le Lac, un organisme porteur de la stratégie de main-d’œuvre Ose le pays des bleuets. Ces sommes supplémentaires nous permettront de peaufiner notre action sur le terrain. », a souligné Josée Bouchard, directrice générale de Portes ouvertes sur le Lac.

À propos de Place aux jeunes en région

Favorisant la migration ainsi que l’établissement et le maintien des diplômés de 18 à 35 ans en région, PAJR est la référence québécoise pour les jeunes et les régions. PAJR est un partenaire du Secrétariat à la jeunesse dans le déploiement de la Stratégie d’action jeunesse 2016-2021 du gouvernement du Québec.

Lien connexe

Place aux jeunes en région : https://www.placeauxjeunes.qc.ca

6,5 M$ au Centre national de cyclisme de Bromont


 Publié le 6 août 2019

La ministre du Tourisme, Mme Caroline Proulx, est fière d’annoncer l’octroi d’une aide financière de près de 2 millions de dollars au Centre national de cyclisme de Bromont pour la construction d’un bâtiment qui permettra de convertir son vélodrome extérieur en vélodrome intérieur, afin d’en faire un espace multifonctionnel ouvert à l’année. Grâce à ce projet, la région touristique des Cantons-de-l’Est et le Québec pourront se distinguer en tant que destination incontournable du cyclisme international.

La ministre Proulx en a fait l’annonce aujourd’hui en compagnie de la ministre déléguée à l’Éducation, ministre responsable de la Condition féminine et députée de Brome-Missisquoi, Mme Isabelle Charest, et en présence de nombreux partenaires de ce projet.

Cet investissement s’ajoute à celui déjà annoncé de 4,5 millions de dollars du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, ce qui porte l’aide gouvernementale à près de 6,5 millions de dollars pour ce projet évalué à environ 12,5 millions de dollars.

« En plus de venir diversifier l’offre touristique du Québec, ce projet va permettre au seul et unique vélodrome du Québec de se positionner à l’échelle internationale comme un incontournable en matière de tourisme sportif, grâce à des infrastructures et des équipements dernier cri qui sauront répondre aux standards les plus élevés pour la tenue de championnats canadiens et d’événements internationaux d’envergure, et ce, toute l’année. Ce nouveau vélodrome intérieur promet ainsi d’attirer de nombreux visiteurs dans la région, tout en contribuant au rayonnement du Québec. Votre gouvernement est donc très fier de soutenir ce projet porteur et rassembleur, qui participera activement à la prospérité économique des Cantons-de-l’Est et du Québec. », a déclaré Caroline Proulx, ministre du Tourisme.

« Depuis mon arrivée en poste, l’accessibilité aux sports pour tous les citoyens et citoyennes, peu importe leur âge ou leur niveau, occupe une place prépondérante dans mon engagement politique. Le projet de complexe multisports du Centre national de cyclisme de Bromont donnera accès à tous, été comme hiver, à des installations modernes, sécuritaires et agréables à fréquenter. C’est pourquoi l’annonce de cet investissement, qui permet enfin la concrétisation d’un projet soutenu depuis plusieurs mois par l’ensemble de la communauté, me rend très heureuse aujourd’hui. », a souligné Isabelle Charest, ministre déléguée à l’Éducation, ministre responsable de la Condition féminine et députée de Brome-Missisquoi.

« Le vélodrome intérieur permettra d’attirer une clientèle hors Québec importante et un large rayonnement pour les Cantons-de-l’Est. Ce projet s’inscrit parfaitement dans le plan de développement du cyclotourisme pour faire de la région une destination vélo, en plus de contribuer à une offre quatre saisons grâce à ses activités se prolongeant toute l’année. L’unicité et les atouts de ce bâtiment en feront sans aucun doute un incontournable du sport en Amérique du Nord et amèneront des retombées sur de nombreuses années. », a indiqué Jean-Michel Ryan, président de Tourisme Cantons-de-l’Est.

Faits saillants :

  • Outre le vélodrome de 250 mètres, les installations comprendront notamment un espace omnisport (piste d’athlétisme et gymnases multisports), des espaces multifonctionnels et une variété d’équipements permettant la réalisation de nombreuses activités. L’exploitation de l’infrastructure sur une base annuelle permettra, notamment, la tenue de compétitions de calibre national et international sur quatre saisons. L’espace omnisport accueillera des événements commerciaux, culturels et sportifs variés (foires, congrès, spectacles, compétitions diverses). La salle pourra accueillir jusqu’à 660 personnes assises et 2 000 personnes debout.
  • Une aide financière de 1 850 000 $ est issue du Programme de soutien aux stratégies de développement touristique – Volet 2 : Appui à la Stratégie de mise en valeur du tourisme événementiel du ministère du Tourisme et un montant 80 000 $ est accordé dans le cadre de l’Entente de partenariat régional en tourisme (EPRT), en collaboration avec Tourisme Cantons-de-l’Est.
  • La Stratégie de mise en valeur du tourisme événementiel vise à développer et à renforcer les produits du Québec qui permettront de se démarquer d’une concurrence internationale sans cesse croissante.
  • Les EPRT ont pour but de conjuguer les actions du ministère du Tourisme, des associations touristiques régionales et d’autres partenaires régionaux pour permettre la réalisation de projets de développement de l’offre touristique régionale qui contribueront à l’atteinte des cibles de performance touristique du Plan de développement de l’industrie touristique 2012-2020 et de son Plan d’action 2016-2020. Elles visent la concertation des investissements de l’industrie touristique en fonction des priorités régionales et le renforcement de la synergie de tous les partenaires régionaux.
  • L’aide financière de 4,5 millions de dollars du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur provient du Programme de soutien aux installations sportives et récréatives – phase IV du Fonds pour le développement du sport et de l’activité physique.
  • L’investissement du gouvernement du Québec permettra, entre autres, de stimuler l’économie régionale, d’augmenter le nombre de visiteurs et d’accroître les recettes touristiques dans la région des Cantons-de-l’Est.

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3,3 M$ à la Société des arts technologiques


 Publié le 24 juillet 2019

Le gouvernement du Québec accorde une aide financière de 3,3 millions de dollars à la Société des arts technologiques (SAT) afin que son laboratoire de recherche et développement, le Metalab, poursuive la réalisation d’un projet en immersion et mette en œuvre un projet en simulation d’acoustiques.

Le ministre de l’Économie et de l’Innovation, M. Pierre Fitzgibbon, en a fait l’annonce aujourd’hui. L’appui gouvernemental provient du Programme de soutien aux organismes de recherche et d’innovation.

Le projet d’immersion, intitulé Immersion collective spontanée et adaptative (ICSA), se base sur les acquis obtenus par les travaux du Metalab depuis trois ans. Il vise l’utilisation d’environnements immersifs dans des lieux non conçus à cet effet pour des disciplines variées comme la scénographie de spectacles et l’architecture d’intérieur ou de paysage. À terme, l’objectif consiste à dépasser les usages actuels qui font de l’immersion une fin en soi, en assouplissant les contraintes techniques et les besoins en expertise pour mettre en œuvre un espace immersif.

Le deuxième projet de recherche, SAV+R, porte sur la simulation d’acoustiques en réalité virtuelle ou en réalité augmentée. Il permettra d’explorer de nouveaux types de captations sonores et visuelles afin de mettre au point des expériences audio avant‑gardistes.

Totalisant des investissements de 5 192 965 $, les deux projets sont soutenus par plusieurs partenaires, dont le Centre national de la recherche scientifique, l’Université McGill, HEC Montréal, le Centre hospitalier universitaire de Montréal, l’École de technologie supérieure, l’École nationale de cirque, l’Orchestre symphonique de Montréal, ainsi que plusieurs entreprises privées.

« Les projets de recherche du Metalab favorisent les partenariats et le transfert de connaissances entre les milieux artistique, scientifique et technologique. Je suis fier de voir autant de partenaires issus de différents domaines appuyer ces deux projets de recherche appliquée. L’innovation est l’une des clés d’une économie forte, et je suis convaincu que ces initiatives engendreront rapidement d’importantes retombées économiques pour tout le Québec. », a déclaré Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable de la région de Lanaudière.

Faits saillants :

  • La SAT est une organisation à but non lucratif ayant une triple mission de centre d’artistes, de recherche et de formation en arts numériques. Fondée pour soutenir une nouvelle génération de créateurs et de chercheurs à l’ère du numérique, elle est reconnue internationalement pour son rôle actif et précurseur dans le développement de technologies immersives, de réalité virtuelle et d’utilisation créative des réseaux à très haut débit.
  • Le Programme de soutien aux organismes de recherche et d’innovation a pour but de consolider le système d’innovation québécois et ses composantes, d’augmenter la compétitivité des entreprises et de la société par l’innovation ainsi que de favoriser l’utilisation optimale ou concertée des résultats de la recherche sur les plans économique, social, environnemental et culturel.

Lien connexe :

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Agir tôt – Plus de 900 000 $ en Abitibi-Témiscamingue


 Publié le 23 juillet 2019

Dans le cadre de sa tournée aux quatre coins du Québec afin de présenter le programme Agir tôt, le ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux, monsieur Lionel Carmant, a visité aujourd’hui la région de l’Abitibi-Témiscamingue.

À cette occasion, il a annoncé l’octroi d’un montant de 903 500 $ afin de rehausser les équipes d’intervention auprès des jeunes enfants présentant un retard de développement, une déficience physique, une déficience intellectuelle ou un trouble du spectre de l’autisme et d’améliorer les services de dépistage dans la région de l’Abitibi-Témiscamingue.

Agir tôt est un engagement phare du gouvernement et des investissements de 48 M$ ont été annoncés dès 2019-2020 pour son déploiement, investissements qui atteindront progressivement 88 M$ annuellement d’ici 2023-2024.

Agir tôt vise à identifier le plus tôt possible les difficultés chez l’enfant, à évaluer son profil de développement et à l’orienter vers le bon service et, enfin, à lui offrir le soutien dont lui et sa famille ont besoin.

« Avec Agir tôt, nous nous donnons les moyens d’influencer positivement la trajectoire de vie de nos enfants et de leur permettre de développer leur plein potentiel. Le déploiement de ce projet emballant et prometteur permettra de rejoindre les familles aux quatre coins du Québec et de donner des services dès la visite en première ligne pour tous nos enfants. », a déclaré Lionel Carmant, ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux.

« Agir tôt est un programme formidable, réalisé au bénéfice de ce que nous avons de plus précieux dans notre société : nos enfants. J’ai l’intention de suivre de près l’évolution de cette initiative partout en Abitibi-Témiscamingue et dans le Nord-du-Québec, et de m’assurer de lui accorder mon soutien tant au cours de son implantation que lors des années à venir. », a souligné Pierre Dufour, ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec.

Faits saillants :

Le programme Agir tôt repose sur le rehaussement des équipes d’intervention précoce à l’échelle du Québec et sur le déploiement graduel d’une plateforme informatique à laquelle la population aura accès et qui regroupe des questionnaires de dépistage sur le développement de l’enfant 0-5 ans.

Parmi ses nombreux avantages, notons :

  • une meilleure orientation de l’enfant vers les services requis, grâce à un portrait plus précis de son développement;
  • de plus courts délais d’orientation;
  • la participation de la famille dès le début du processus;
  • la possibilité d’offrir à l’enfant les services de stimulation précoce dont il a besoin avant même la confirmation d’un éventuel diagnostic;
  • et la possibilité d’élaborer un plan d’intervention précoce et plus précis.
  • Différentes stratégies pour améliorer le dépistage précoce sont également prévues et mettront à contribution les partenaires du réseau de la santé et des services sociaux et ceux du réseau des services de garde et de l’éducation.

Agir tôt s’inscrit à l’intérieur d’une initiative gouvernementale concertée regroupant le ministère de la Santé et des Services sociaux, le ministère de la Famille et le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur.