En Outaouais pour parler éducation!


 Publié le 6 mai 2016

Le député Jean-François Roberge s’est rendu en Outaouais cette semaine afin de rencontrer divers acteurs du milieu de l’éducation et aussi pour faire part des propositions de la CAQ en cette matière.

Le critique caquiste en a aussi profité pour faire la visite de Centres de formation professionnelle. « J’ai rencontré des gens de la formation professionnelle et ce fut fort instructif. Ils nous ont parlé des difficultés, avec la coupure de 700 000$ qu’ils ont subi du gouvernement », a-t-il indiqué en entrevue à Info07.com.

Le député de Chambly a réitéré les propositions de sa formation politique en éducation, qui sont d’instaurer l’école de 4 à 18 ans, une tendance observée mondialement.

«Les jeunes ont des options, mais ils n’ont pas le support. Il faut fournir plus de conseillers en orientation dans les écoles pour rendre l’accès plus clair aux options qui s’offrent à eux », a expliqué Jean-François Roberge.

L’école de 4 à 18 ans : La CAQ veut votre avis


 Publié le 5 mai 2016

La Coalition Avenir Québec souhaite connaître l’opinion de la population sur sa proposition d’instaurer l’école de 4 à 18 ans, une tendance observée mondialement.

Il suffit seulement de se rendre au www.ecole4-18.com.

N’oublions pas qu’au Québec, douze mille jeunes décrochent chaque année sans avoir obtenu de diplôme.

Pour la CAQ, il s’agit d’un enjeu économique majeur, mais il s’agit surtout d’un drame humain.

C’est pourquoi la formation de François Legault croit qu’il faut investir dans des services spécialisés, mais surtout instaurer l’école de 4 à 18 ans.

D’ailleurs, cette proposition fait beaucoup réagir depuis quelques semaines. C’est le cas notamment de la chroniqueuse à La Presse, Lysiane Gagnon.

« Arrive enfin un parti politique – la Coalition Avenir Québec – qui se donne l’éducation comme première mission. Et que se passe-t-il? Les libéraux et les péquistes, qui n’ont jamais rien de novateur à proposer à ce chapitre, s’entendent comme larrons en foire pour ridiculiser cette initiative. Quel spectacle désolant que de voir les représentants en éducation des deux grands partis tomber à bras raccourcis sur le seul parti qui ait l’audace de vouloir remédier un tant soit peu au fléau du décrochage! », soutient-elle.

Prématernelle 4 ans : Philippe Couillard manque d’ambition pour nos enfants


 Publié le 28 avril 2016

Dépister très tôt les difficultés d’apprentissage et permettre une meilleure égalité des chances : la prématernelle 4 ans est essentielle pour notre société, mais le premier ministre Philippe Couillard a refusé une fois de plus de s’engager à l’instaurer pour tous les enfants du Québec au cours des 5 prochaines années.

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a invoqué l’urgence d’agir, puisque le taux de décrochage scolaire au Québec continue d’être plus élevé qu’ailleurs au pays. Selon lui, il est primordial qu’un enseignant ou un spécialiste identifie le plus tôt possible les jeunes qui ont des difficultés d’apprentissage afin de leur offrir des services professionnels le plus rapidement possible.

« La CAQ a analysé les différents modèles ailleurs dans le monde et a consulté des spécialistes. Un constat revient constamment : si on veut augmenter les taux de diplomation, il faut agir tôt. Le gouvernement nous répond qu’il fait des efforts, qu’il a mis en place des prématernelles 4 ans dans 90 classes et qu’il va en ajouter 70. Ce n’est pas sérieux : 160 classes, c’est 2 400 enfants. Or, on a 82 000 enfants de 4 ans au Québec. À ce rythme, la prématernelle 4 ans sera accessible à tous les enfants de 4 ans dans 60 ans! » a illustré François Legault. Pour lui, le gouvernement a le devoir d’offrir d’ici 5 ans à tous les parents d’enfants âgés de 4 ans le choix entre la fréquentation de la garderie ou la prématernelle.

Le chef caquiste a souligné que ce ne sont pas tous les services de garde actuellement qui permettent un suivi professionnel pour les jeunes qui ont des difficultés d’apprentissage. C’est justement en les envoyant dans des prématernelles 4 ans que les enseignants pourraient les détecter plus rapidement. « Les jeunes avec des difficultés d’apprentissage ne se retrouvent pas seulement dans les milieux défavorisés. La prématernelle 4 ans pour tous permettrait une meilleure égalité des chances pour les enfants ayant des difficultés d’apprentissage. Le premier ministre doit faire preuve d’un peu plus d’ambition lorsque l’on parle de l’avenir de nos enfants », a insisté François Legault.

Philippe Couillard accepte qu’un jeune d’âge mineur décroche avant 18 ans, déplore François Legault


 Publié le 27 avril 2016

Le premier ministre Philippe Couillard ne voit aucun inconvénient à ce qu’un jeune de 16 ans décroche de l’école et compromette le reste de sa vie par cette seule décision majeure, a dénoncé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault. À l’Assemblée nationale, le chef caquiste a indiqué qu’en 2016, soit 28 ans après avoir rendu l’école obligatoire jusqu’à 16 ans, le Québec est arrivé à l’étape suivante : celle de la rendre obligatoire jusqu’à 18 ans ou l’obtention d’un diplôme. François Legault a d’ailleurs rappelé que c’est la norme en Ontario, au Nouveau-Brunswick et dans 18 États américains.

« Je crois que le Québec doit rendre l’école obligatoire jusqu’à 18 ans ou jusqu’à l’obtention d’un diplôme. Évidemment, ça suppose de s’assurer qu’on soutienne nos jeunes jusqu’à 18 ans. C’est pour ça que la CAQ propose d’ajouter 120 conseillers en orientation dans les écoles et 200 conseillers dans les Carrefours jeunesse-emploi. Il faut aussi valoriser les diplômes de formation professionnelle. Il faut envoyer un signal clair, entre autres aux parents, que la place d’un jeune de 16 ou 17 ans sans diplôme, c’est à l’école! Au Québec, aujourd’hui, si on n’a pas 18 ans, il est interdit d’acheter de l’alcool, des cigarettes, ni même de voter. Par contre, il est actuellement possible au Québec d’abandonner l’école sans avoir 18 ans. Malgré cela, le premier ministre refuse de modifier la Loi sur l’instruction publique pour faire passer l’âge obligatoire pour fréquenter l’école de 16 à 18 ans », a déclaré François Legault, en ajoutant que chaque année, 12 000 de nos jeunes décrochent sans avoir obtenu un diplôme.

Le député de L’Assomption s’est dit conscient que de convaincre un adolescent de rester à l’école n’est pas une tâche facile, mais le gouvernement du Québec a le devoir de tout faire en son pouvoir pour offrir aux mineurs un parcours qui répond à ses intérêts et à ses capacités. « J’ai deux garçons et je sais que comme parent, on ne fait pas ce qu’on veut avec des gars de 17 ans! Mais on a la responsabilité d’envoyer un message fort sur l’importance d’obtenir un diplôme. On ne parle pas d’envoyer la police ou des huissiers! On parle de l’obligation de tout faire pour l’accompagner pour poursuivre ses études jusqu’à l’obtention d’un diplôme. Même le président des États-Unis, Barack Obama, a proposé que chaque État américain exige que les jeunes restent à l’école secondaire jusqu’à 18 ans. Le premier ministre refuse l’évidence », a conclu François Legault.

Prématernelle 4 ans universelle : Philippe Couillard refuse de s’engager


 Publié le 26 avril 2016

Malgré le consensus qui règne concernant la prématernelle dès l’âge de 4 ans, le premier ministre Philippe Couillard a refusé la main tendue par le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, qui souhaite instaurer sur cinq ans la prématernelle 4 ans à tous les enfants, dans toutes les écoles du Québec. Le premier ministre a préféré parler de « priorisation » des investissements.

Le chef caquiste a fait savoir que les enfants avec des difficultés d’apprentissage sont pris en charge trop tard par le système. Résultat : chaque année, 12 000 de nos jeunes décrochent de l’école sans avoir obtenu de diplôme. Toutes proportions gardées, c’est deux fois plus qu’en Ontario, a déploré François Legault.

« Tous les experts le disent : pour réduire le décrochage, il faut agir tôt. Tous les enfants devraient être évalués dès l’âge de 4 ans et des services éducatifs devraient commencer à être donnés immédiatement, en particulier aux enfants avec des difficultés d’apprentissage. En Ontario, aux États-Unis, en Europe, la majorité des enfants commencent l’école à 4 ans. Le Québec est en retard. Les acteurs du milieu de l’éducation et les parents attendent du leadership, de l’ambition et des mesures fortes de la part du premier ministre. Il doit s’engager à offrir la prématernelle 4 ans dans toutes les écoles du Québec, au cours des 5 prochaines années », a exigé le député de L’Assomption.

François Legault a rappelé que depuis l’arrivée au pouvoir de Philippe Couillard, l’éducation est le grand oublié de ce gouvernement. Or, lorsqu’il est question d’éducation, le premier réflexe du premier ministre ne devrait pas être celui d’hésiter. « Il est au pouvoir depuis 2 ans, il devrait avoir une idée de ce qu’il veut faire en éducation! Le Québec n’a pas les moyens de ne pas investir en éducation. Il faut mener une guerre sans merci contre le décrochage scolaire et la prématernelle 4 ans, c’est la meilleure façon de donner à tous nos jeunes la possibilité de réussir et d’aller au bout de leur potentiel. C’est une question de choix! C’est son choix! » a conclu le chef de la CAQ.

Qualité du français des futurs enseignants : Les libéraux refusent de rehausser les exigences


 Publié le 26 avril 2016

La ministre de l’Enseignement supérieur, Hélène David, s’est totalement opposée à l’idée de rehausser les exigences à l’entrée du baccalauréat en enseignement afin que nos futurs professeurs soient mieux sélectionnés, formés et accompagnés. Lors de la période des questions à l’Assemblée nationale, elle a rejeté du revers de la main la proposition du porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, de rehausser les exigences envers les futurs enseignants.

La qualité du français est une problématique croissante, alors qu’un jeune sur quatre échoue à son examen de français écrit de secondaire 5. Selon Jean-François Roberge, si l’on souhaite valoriser davantage notre langue, il faut d’abord s’attarder à la formation de nos enseignants, puisque c’est par eux que se transmet la maîtrise du français.

« À la CAQ, l’éducation et la maîtrise de la langue sont des priorités. Contrairement aux libéraux, on souhaite valoriser la profession enseignante. Oui, les enseignants se dévouent, mais ils ont besoin d’être mieux épaulés. Ils sont au réseau de l’éducation ce que sont les médecins au réseau de santé. Le ministre nous dit qu’il faut resserrer les critères de l’examen de français en fin de baccalauréat en enseignement. Ce n’est pas suffisant. Si on est pour être exigeants avec nos futurs enseignants, pourquoi le faire à la fin du baccalauréat, alors que c’est si simple de le faire à l’entrée du baccalauréat? Malheureusement, la ministre tient à admettre dans les facultés d’éducation des étudiants qui ne pourront pas réussir l’examen final », a déclaré le député de Chambly.

Le caquiste a précisé que pour les ingénieurs, les médecins, les avocats ou les pharmaciens, des critères spécifiques sont réclamés dès l’inscription au baccalauréat. Jean-François Roberge a tenté de savoir les raisons pour lesquelles les enseignants échappent à la règle. « La langue française n’est pas seulement une façon de communiquer. Elle fait partie intégrante de notre culture, elle définit ce que l’on est comme peuple. Malheureusement, à chaque fois qu’il est question de langue ou d’identité, le gouvernement est mal à l’aise et incapable de prendre une position ferme », a déploré M. Roberge.

Décrochage scolaire : François Legault à la défense d’un important programme qui donne des résultats


 Publié le 21 avril 2016

Le ministère de l’Éducation est à la dérive, a déclaré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, alors que le gouvernement libéral de Philippe Couillard tente de justifier tant bien que mal sa décision insensée de couper de 26 % le budget du programme Agir Autrement visant à lutter contre le décrochage scolaire.

Mis en place par M. Legault lorsqu’il était ministre de l’Éducation, Agir Autrement permet d’allouer un budget directement aux écoles en leur demandant de choisir elles-mêmes les moyens les plus appropriés pour lutter contre le décrochage dans leur milieu. Ce modèle de réussite est la marche à suivre pour enrayer ce fléau, a indiqué le chef caquiste. Or, le premier ministre a décidé de s’attaquer à un programme qui a fait ses preuves, a-t-il regretté.

« Lorsque j’étais ministre de l’Éducation, je me suis rendu compte que le choix des moyens pour lutter contre le décrochage scolaire était beaucoup trop centralisé. Le ministère de l’Éducation ignorait les réalités différentes de chacune de nos écoles. Ce sont nos écoles qui devraient choisir les moyens et le ministère devrait se contenter de mesurer les résultats. Le gouvernement libéral n’a pas encore les idées claires sur ce qu’il va faire avec les commissions scolaires, mais il est assez brillant pour couper dans un programme de lutte contre le décrochage qui marche », a ironisé François Legault.

Face à un Philippe Couillard évasif, refusant de s’engager à réinvestir dans le programme Agir Autrement, le député de L’Assomption a tenu à mentionner que le ministère de l’Éducation est le plus beau ministère qui soit. « Il s’agit surtout du ministère le plus important pour l’avenir du Québec. Malheureusement, l’éducation ne semble pas intéresser le premier ministre. Tout le monde reconnait sa culture générale, mais peut-il montrer un peu de passion pour l’éducation de nos enfants? » a lancé François Legault.

«Objectif réussite Québec» : un colloque sur l’avenir de l’éducation


 Publié le 20 avril 2016

Dimanche prochain à l’Université du Québec à Trois-Rivières, la Coalition Avenir Québec tiendra son colloque «Objectif réussite Québec» sur l’avenir de l’éducation.

Organisé et animé par le député et critique caquiste en matière d’éducation, Jean-François Roberge, l’événement réunira de nombreux experts et représentants du milieu de l’éducation au Québec.

Les participants pourront notamment entendre :
– Robert Gagné, directeur du Centre sur la productivité et la prospérité, HEC Montréal
– Égide Royer, professeur en adaptation scolaire à l’Université Laval
– Brigitte Dubé, porte-parole et membre fondatrice de la Coalition des parents d’enfants à besoin particuliers
– Pierre Gagnon, enseignant au primaire à l’École St-Gérard, Commission scolaire de Montréal
– Daniel McMahon, recteur de l’Université du Québec à Trois-Rivières
– Bernard Tremblay, président-directeur général de la Fédération des cégeps
– Martin Maltais, professeur au Département des sciences de l’éducation à l’Université du Québec à Rimouski

D’ailleurs, Jean-François Roberge a récemment lancé son livre «Et si on réinventait l’école?».

Pour prendre connaissance de l’horaire et des activités du colloque : www.objectifreussite.quebec/

Pour écouter en direct ce dimanche via webdiffusion, cliquez ici.

La CAQ dévoile des primes et bonis de 77,5 M$ dans les commissions scolaires


 Publié le 20 avril 2016

Les commissions scolaires du Québec ont versé des primes et des bonis de plus de 77,5 millions de dollars à leur personnel non-enseignant, a révélé la Coalition Avenir Québec, mercredi, à l’Assemblée nationale.

« C’est un scandale! L’année 2014-2015 a été une année plus que difficile pour le réseau de l’éducation. Les premières victimes des coupures du gouvernement libéral ont été les élèves, et pas n’importe lesquels. Ce sont les élèves en difficulté qui ont été frappés les premiers. Je me suis levé à de nombreuses reprises pour dénoncer les coupures. Je trouvais désolant que les commissions scolaires soient contraintes de faire un déficit de 44 millions pour essayer de sauver les services aux élèves. Aujourd’hui, tout est clair : au lieu de donner des services aux jeunes, 77,5 millions de dollars étaient versés en primes et bonis au personnel non-enseignant. Cette somme aurait pu permettre d’embaucher au moins 1 000 professionnels pour donner des services aux élèves. Or, 2014-2015, ce n’est pas là que l’argent est allé! C’est tout simplement ignoble », a dénoncé Jean-François Roberge, face à un ministre de l’Éducation complètement pris de court.

Le député de Chambly a indiqué avoir une pensée pour tous les parents qui ont des enfants en difficulté et qui ne reçoivent pas l’aide dont ils ont besoin. « Je pense aussi aux mamans des enfants en difficulté qui sont venues à trois reprises avec moi dénoncer le fait que leurs enfants ne reçoivent pas les services auxquels ils ont droit. Je pense à tous les Québécois qui travaillent fort, qui paient des impôts et qui apprennent que l’argent sert à donner 77,5 millions de primes et bonis dans les commissions scolaires, pendant que nos enfants n’arrivent pas à recevoir les services auxquels ils ont droit. Comment le ministre peut-il justifier un tel détournement de fonds? », a lancé Jean-François Roberge, sans obtenir de réponse.

Une tempête libérale parfaite en éducation


 Publié le 14 avril 2016

Aucune vision, promesses électorales brisées, quatre ministres, incertitude chronique : le gouvernement Couillard a provoqué une « tempête parfaite » en éducation dénonce le député Jean-François Roberge.

Le critique caquiste en éducation reproche particulièrement au gouvernement de reculer sur la question des élections scolaires après avoir promis de les abolir.

« Je vous le dis, une tempête libérale parfaite. Ça continue, pendant que le ministre de la contradiction fait un triple axel sur la question des élections scolaires à 20 millions, les élèves en difficulté n’ont pas les services auxquels ils ont droit », dénonce le député de Chambly. «L’important n’est pas ce qu’il dit, c’est ce qu’il fait. Il nous a dit qu’il investissait dans la réussite, on coupe des postes d’orthopédagogues. À la Commission scolaire de Montréal l’an prochain, il y aura entre 20 et 40 orthopédagogues de moins dans les classes pour aider les élèves les plus vulnérables. Ce qu’il dit et ce qu’il fait c’est deux choses, flip-flop… », poursuit Jean-François Roberge au Journal de Québec.

Le ministre de l’Éducation Sébastien Proulx a d’ailleurs reconnu avoir eu honte de l’état dans lequel se trouvent certaines écoles.