Des effets scolaires pour tous, une priorité pour François Legault


 Publié le 18 août 2016

Ce n’est pas la tournée estivale de François Legault qui allait l’empêcher de participer à la cueillette d’effets scolaires organisée par le Service Bénévole du Comté de l’Assomption, qui se tenait mardi dernier.

Depuis 14 ans, le Service Bénévole du Comté l’Assomption prépare de façon très méticuleuse des effets scolaires pour des parents dans le besoin.

Au total, plus de 430 demandes d’aide ont été comblées lors de cette journée.

Le chef de la CAQ se fait un devoir de participer à cette activité organisée dans sa circonscription.

« C’est important pour chaque jeune d’entreprendre l’année scolaire du bon pied. Avec l’aide du Service Bénévole du comté de l’Assomption, on peut dire que c’est mission accomplie. C’est quand même inquiétant de voir 434 personnes venir faire la file ici, aujourd’hui. Ça, il faut en tenir compte quand on parle de relance et des emplois payants pour remplacer ceux perdus à Electrolux notamment », a-t-il expliqué en entrevue au journal Hebdo Rive Nord.

Écoles à vocation particulière : La CAQ réclame que le ministre Proulx rétablisse le transport scolaire


 Publié le 22 juin 2016

La Coalition Avenir Québec demande à ce que les services de transport scolaire qui ont été coupés dans certaines écoles à vocation particulière de Montréal soient rétablis pour tous les parents, sans que la facture leur soit refilée, comme envisage de le faire la Commission scolaire de Montréal (CSDM).

Mercredi, le porte-parole de la CAQ en matière d’éducation, Jean-François Roberge, était accompagné de représentants des parents aux prises avec cette situation injustifiable. Il a lancé un appel à l’action au gouvernement libéral, alors que les 700 élèves de trois écoles montréalaises – Atelier, Fernand-Seguin et FACE – risquent fort bien d’être privés de transport scolaire dès la prochaine rentrée scolaire, à moins que leurs parents ne déboursent 600 $.

« Faute d’avoir une oreille attentive au gouvernement, la CSDM propose de faire payer près de 600 $ par famille pour transporter les élèves dans trois écoles à vocation particulière. Il est inadmissible que du jour au lendemain, un élève admis dans une école publique à vocation particulière ne puisse plus y aller, simplement parce que ses parents n’auraient pas les moyens de payer cette nouvelle taxe au transport scolaire. Je n’arrive pas à croire que le ministre Sébastien Proulx n’ait pas encore levé le petit doigt pour défendre le droit de ces enfants d’aller à l’école. Le gouvernement libéral est vraiment le champion de l’improvisation en éducation », a déclaré le caquiste Jean-François Roberge.

Pour le député de Chambly, tant le Parti libéral que le Parti québécois sont à blâmer pour la situation actuelle. Les deux vieux partis ont en effet imposé depuis 2012 des compressions de plusieurs millions de dollars au réseau de l’éducation, qui sont à l’origine de ce manque à gagner, a-t-il rappelé. Or, faire payer le transport aux parents d’enfants fréquentant ce type d’école est une mesure injuste, puisque les familles plus démunies ne pourront plus les y envoyer.

« C’est une question d’équité. Tout cela démontre une fois de plus à quel point les libéraux n’ont pas de vision pour assurer la réussite de nos enfants. Depuis deux ans, le gouvernement n’a même pas couvert l’inflation dans les budgets de l’éducation, mais plutôt coupé dans les services directs aux élèves. Qu’est-ce que ça va prendre au ministre Sébastien Proulx pour qu’il se réveille et réalise que l’éducation n’est pas une dépense comme les autres, mais le meilleur investissement pour notre avenir? » a conclu Jean-François-Roberge.

Prématernelle 4 ans : Philippe Couillard n’a toujours pas de plan ni de cible


 Publié le 7 juin 2016

On nage en pleine improvisation au gouvernement du Québec, alors que le premier ministre Philippe Couillard n’est toujours pas capable de dire combien d’enfants auront accès à la prématernelle 4 ans d’ici la fin de son mandat.

« Le premier ministre est en poste depuis 2 ans, mais de plus en plus de gens se demandent ce qu’il veut faire de son mandat. L’éducation devrait être la priorité au Québec. C’est l’avenir de notre société. Comme tous les spécialistes, on croit que la meilleure façon d’améliorer la réussite des jeunes est d’agir tôt. Les enfants qui ont des difficultés d’apprentissage ne sont pas seulement dans les milieux défavorisés. Au Québec, il y a 90 000 enfants de 4 ans. On aurait besoin de 5 000 classes. Or, pour la 3e année de son mandat, le PM annonce 100 classes, pour 1 800 enfants sur 90 000! À ce rythme, il faudrait plus de 50 ans au gouvernement libéral pour offrir la prématernelle 4 ans à tous les enfants du Québec. Ce n’est pas sérieux! », a déploré François Legault.

Le chef du deuxième groupe d’opposition a ajouté qu’il est triste de voir Philippe Couillard parler d’éducation seulement deux ans après son arrivée au pouvoir. Résultat : ses idées sont encore floues et il ne possède pas de plan précis. Or, s’il veut vraiment lutter contre le décrochage scolaire, M. Couillard devra nous faire part de sa vision et le plus tôt sera le mieux. « Faire des discours, c’est bien beau, mais ça prend un plan, des actions, des résultats. Pourquoi se contente-t-il d’ouvrir 100 classes pour 1 800 enfants de 4 ans, alors qu’il y en a 90 000? Le premier ministre ne répond pas à la question. Il est toujours dans le flou. En éducation, si ses idées étaient claires, ça permettrait d’avoir des réponses claires. Le premier ministre tourne en rond en éducation depuis 2 ans », a conclu François Legault.

Une autre participation anémique aux élections scolaires


 Publié le 6 juin 2016

2,5%. Voilà le taux de participation à l’élection partielle qui s’est déroulée dimanche dernier à la commission scolaire des Découvreurs, à Sainte-Foy.

Malgré tout, le gouvernement libéral renonce à abolir les élections scolaires rappelle le journal La Presse.

Pire encore, le premier ministre s’est récemment excusé pour avoir suscité des «chicanes stériles» en éducation en tentant de réformer les structures.

Cette élection partielle aura coûté 40 000$ aux contribuables québécois.

Rappelons que la CAQ demande l’abolition définitive des élections scolaire.

«Ce serait vraiment du gaspillage. Le coût de cette élection représente le salaire d’un technicien en éducation spécialisé pendant un an », déclarait le critique caquiste en éducation, Jean-François Roberge, avant la tenue de cette élection.

Prématernelle 4 ans : Des cibles peu ambitieuses


 Publié le 6 juin 2016

N’ouvrir que 100 classes de prématernelle 4 ans au cours de la prochaine année est un autre exemple flagrant du manque de vision du gouvernement libéral en éducation, a déclaré le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge. Compte tenu du fait qu’il y a déjà 86 classes de prématernelle et que le gouvernement en ajoute 100, ce sont un peu plus de 3 300 enfants de 4 ans qui auront eu accès à la prématernelle 4 ans en septembre prochain.

Contrairement au gouvernement de Philippe Couillard, la CAQ propose d’ouvrir encore 5 250 classes de prématernelle 4 ans gratuite d’ici 5 ans pour que tous les enfants du Québec puissent y avoir accès. Or, ce qu’a annoncé le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, lundi, c’est que seulement 3 300 enfants âgés de 4 ans sur 90 700 à l’échelle du Québec auront la possibilité d’aller à la prématernelle plus tôt. Au rythme libéral, il faudra plus de 50 ans avant qu’ils aient tous accès à la prématernelle 4 ans, a souligné Jean-François Roberge.

« Non seulement le gouvernement fait de l’improvisation en éducation depuis maintenant deux ans, mais en plus, il avance à pas de tortue! Le ministre Proulx se vante de l’ajout de 100 classes, mais en réalité, on parle d’un ajout de seulement 30 classes sur les 70 déjà annoncées. Le Québec doit faire preuve de plus d’ambition lorsqu’il est question de l’avenir de nos enfants. On ne détecte pas assez tôt nos jeunes qui ont des difficultés d’apprentissage. Résultat : on a un des pires taux de décrochage au Canada. Le fléau du décrochage frappe plus de 12 800 jeunes chaque année! Le gouvernement libéral a le devoir de tout mettre en œuvre et d’agir rapidement pour aider nos jeunes », a insisté le député de Chambly.

Actuellement, les enfants qui ont des difficultés d’apprentissage sont pris en charge trop tard, a ajouté M. Roberge. En envoyant tous nos jeunes dans des prématernelles 4 ans, comme le propose la CAQ, les enseignants seront ainsi en mesure de détecter ces problèmes plus tôt et d’offrir des services éducatifs immédiatement, en particulier auprès d’enfants handicapés ou en difficulté d’adaptation. « La majorité des pays de l’OCDE bénéficie d’une telle mesure. Pourquoi s’en priverait-on ici, au Québec? Je rappelle que tout au long de la session, Philippe Couillard a été incapable de dire au chef de la CAQ, François Legault, combien d’enfants auront accès à la prématernelle 4 ans d’ici la fin de son mandat. Il est urgent que le Québec ait plus d’ambition pour ses enfants », a conclu Jean-François Roberge.

Francisation des élèves allophones : Une décision gouvernementale irresponsable


 Publié le 31 mai 2016

La Coalition Avenir Québec dénonce haut et fort les coupes dans les services de francisation pour les élèves allophones.

Pour le critique en matière d’éducation, Jean-François Roberge, il s’agit d’une décision complètement irresponsable de la part du gouvernement Couillard.

Rappelons que Québec a réduit cette année le financement accordé pour la francisation dans le réseau scolaire. Pour la commission scolaire de Sainte-Hyacinthe par exemple, la réduction imposée est de 41%.

Pour Jean-François Roberge, la francisation est au cœur de l’intégration sociale et culturelle. « C’est déplorable. On touche à ce qui va permettre à des jeunes de prendre leur place le plus rapidement possible dans leur nouvelle société », explique-t-il au Journal de Montréal.

Le député de Chambly demande au gouvernement d’ajuster le financement de la francisation selon les besoins réels à chaque année, plutôt que de financer les commissions scolaires selon la moyenne des élèves allophones des dernières années.

Philippe Couillard fait preuve de nonchalance en éducation


 Publié le 26 mai 2016

Le lock-out d’une entreprise de transport scolaire dans la région de l’Estrie, laissant les parents de 700 élèves complètement abandonnés à eux-mêmes pour transporter leurs enfants à l’école, résume parfaitement le mandat de Philippe Couillard à titre de premier ministre jusqu’à maintenant : improvisation, résignation et nonchalance, a lancé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Alors que le conflit perdure depuis une semaine, François Legault a invité Philippe Couillard à prendre le dossier en main et à défendre le droit des enfants d’aller à l’école. M. Couillard a refusé l’appel du chef de la CAQ.

« Hier, la ministre du Travail nous a dit que ce lock-out se faisait dans les règles de l’art. Pire, le premier ministre nous a dit que la situation ne se réglait pas en 24 h malgré que le lock-out dure depuis une semaine! Après 2 ans, le premier ministre se cherche une raison d’être en politique. La réalité, c’est que les enfants n’ont pas de meilleurs services en éducation depuis 2 ans. Le premier ministre doit comprendre une chose : on ne s’autoproclame pas premier ministre de l’Éducation, on le devient par ses actions. Où est le leadership, où est le sentiment d’urgence, où est la passion? » a déclaré François Legault.

L’éducation aux adultes laissée-pour-compte

Le porte-parole de la CAQ en matière d’éducation, Jean-François Roberge, a de son côté accueilli jeudi à l’Assemblée nationale plusieurs intervenants victimes des coupures libérales dans la formation aux adultes. Le député de Chambly a cité l’exemple du Centre Odilon-Gauthier à Québec qui subira, dès septembre prochain, d’importantes abolitions de postes de techniciens en éducation spécialisée, d’orthopédagogues et de conseillers en orientation.

« Au secondaire, il y a environ 20 % des élèves qui sont handicapés ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage. Évidemment, leur parcours les amène, bien souvent, à quitter puis à s’inscrire en formation des adultes. Là, ils font un geste courageux, celui de s’inscrire à l’éducation aux adultes, et le gouvernement les laisse encore tomber. Les centres de formation permettent à des jeunes d’obtenir leur diplôme ou d’acquérir les qualifications qui leur permettront de s’orienter vers la formation professionnelle, mais ils n’ont pas les ressources adéquates pour encadrer leurs élèves en difficulté. La ministre doit s’engager immédiatement à rétablir le financement non seulement pour cette école, mais pour toutes les autres », a réclamé Jean-François Roberge.

Prématernelle 4 ans: Philippe Couillard n’a aucune cible d’ici la fin de son mandat


 Publié le 17 mai 2016

Décidément, Philippe Couillard maîtrise l’art de l’improvisation. Malgré sa nouvelle passion proclamée pour l’éducation et son intérêt soudain pour l’instauration de la prématernelle 4 ans pour tous les enfants du Québec, Philippe Couillard n’a même pas été en mesure de dire combien d’enfants âgés de 4 ans auront accès à la prématernelle d’ici la fin de son mandat, a constaté le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Qu’il le veuille ou non, M. Couillard ne peut pas s’autoproclamer « premier ministre de l’Éducation » après avoir ordonné des coupures dans les services aux élèves depuis son arrivée au pouvoir, a indiqué M. Legault. C’est bien beau les discours, mais encore faut-il avoir une véritable vision pour notre système d’éducation. Or, Philippe Couillard a prouvé qu’il n’en avait pas, lors de la période des questions à l’Assemblée nationale.

« La fin de semaine dernière, le premier ministre s’est trouvé une nouvelle vocation. Il a vu que le chapeau de premier ministre de l’Économie ne lui allait pas, il essaie donc le chapeau de l’éducation! Il y a 3 semaines, le premier ministre disait que l’efficacité de la prématernelle 4 ans n’était pas prouvée. En fin de semaine, il a retourné sa chemise et a adopté une résolution du Parti libéral pour offrir la prématernelle 4 ans à tous les enfants. Au Québec, il y a 90 000 enfants qui ont 4 ans. À mi-mandat, le gouvernement n’a ouvert des prématernelles 4 ans que pour seulement 1 000 enfants. Faire des discours, c’est bien beau, mais ça prend des objectifs, des actions et des résultats. 1 000 sur 90 000 enfants, ce n’est pas ambitieux », a déclaré François Legault.

Un virage incompréhensible du ministre Proulx

Le virage à 180 degrés du ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, concernant la tenue des élections scolaires trahit son passé politique. Si aujourd’hui il les tolère, il fut une époque où M. Proulx était prêt à tout pour s’en débarrasser, a rappelé le porte-parole de la CAQ en matière d’éducation, Jean-François Roberge.

« En 2007, alors leader de l’opposition officielle, Sébastien Proulx s’était offusqué du taux de participation de 8 % aux élections scolaires. Il avait même tenté de faire tomber le gouvernement libéral sur cette question! Traverser au Parti libéral, ça ne change pas le monde, certes, sauf qu’on se souvient tous de ses convictions de l’époque! Des élections scolaires, ça coûte 20 millions de dollars. Cet argent, on a en vraiment besoin dans le réseau, car ce gouvernement libéral a improvisé des coupes dans les services aux élèves pendant deux ans. Comment le ministre peut-il revenir sur sa parole et conserver les élections scolaires, alors que 95 % des gens ne vont pas voter? Le ministre continue de tourner en rond, encore et encore », a déploré le député de Chambly.

Report du nouveau cours d’histoire : Sébastien Proulx ne peut agir unilatéralement


 Publié le 13 mai 2016

La valse des ministres libéraux en éducation pose de sérieux problèmes dans la prise de décision gouvernementale, constate le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, alors que le ministre Sébastien Proulx a annoncé vendredi qu’il reporte une nouvelle fois l’instauration du nouveau cours d’histoire au secondaire. Par ailleurs, pour le député de la CAQ, l’histoire est une composante fondamentale de l’identité québécoise et il est impensable qu’un ministre libéral décide seul de ce qui sera enseigné aux jeunes Québécois.

Le député de Chambly peine à comprendre ce recul majeur du gouvernement libéral, puisque le contenu initial du cours avait reçu l’approbation, entre autres, de la Société des professeurs d’histoire du Québec, qui compte en son rang des historiens chevronnés. Or, ce n’est pas le seul appui de taille que cette réforme a reçu : les deux prédécesseurs de Sébastien Proulx, Yves Bolduc et François Blais, avaient donné leur aval, a souligné Jean-François Roberge.

« Nous sommes très inquiets de cette volte-face. Nous ne laisserons pas le gouvernement libéral changer unilatéralement le contenu du nouveau cours d’histoire dans nos écoles, surtout lorsqu’il faisait consensus. Sébastien Proulx doit être transparent et nous dire précisément ce qu’il a modifié dans le contenu et les raisons pour lesquelles il annonce ce matin un autre retard pour l’implantation de ce cours. Est-ce que le ministre Proulx a cédé aux différents lobbys et groupes de pression? La question se pose. Il doit s’expliquer », exige M. Roberge.

L’enseignement de l’histoire est un sujet sérieux et délicat, qui ne mérite pas l’improvisation libérale. L’histoire est une composante fondamentale de l’identité d’un peuple et en tant que nation, nous nous devons d’enseigner notre histoire à nos enfants de façon neutre et impartiale, souligne le caquiste. « Depuis l’élection des libéraux, c’est l’improvisation qui dicte la vision du gouvernement en éducation. Les libéraux n’ont pas les idées claires et sont incapables de mener à terme, dans les délais prescrits, les réformes nécessaires. Sébastien Proulx doit être transparent et répondre aux questions », somme Jean-François Roberge.

Donnons un nouveau souffle en éducation


 Publié le 11 mai 2016

Le premier ministre Philippe Couillard a prouvé une fois de plus qu’il n’a pas d’ambition en éducation, déplore le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault. Mercredi, M. Couillard a fait la démonstration qu’il ne voyait pas de problème à ce que des enfants aux prises avec des difficultés d’apprentissage soient identifiés seulement après l’âge de 4 ans.

Le chef de la CAQ est revenu à la charge avec sa proposition de mettre en place la prématernelle 4 ans pour tous les enfants du Québec d’ici 5 ans. Selon lui, l’avantage principal de cette mesure sera d’identifier et de s’occuper des enfants qui ont des difficultés d’apprentissage très tôt.

« Il est primordial pour leur succès que ces enfants aient des services le plus tôt possible. On suggère d’embaucher 400 spécialistes pour aider ces enfants. Toutes les semaines, je reçois des témoignages de parents d’enfants avec des difficultés d’apprentissage qui attendent des services pour leur enfant. Le premier ministre tolère qu’encore en 2016, il y ait des enfants avec des difficultés d’apprentissage qui ne sont pas détectées avant 5 ou 6 ans. Pourtant, même la commission politique du Parti libéral est d’accord avec la mise en place de la prématernelle 4 ans pour tous les enfants du Québec! » souligne François Legault.

Le député de L’Assomption rappelle que depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement de Philippe Couillard n’a même pas couvert l’inflation dans les budgets de l’éducation.

« L’éducation n’est pas une dépense comme les autres, c’est le meilleur investissement pour notre avenir. Le premier ministre ne comprend pas que les pays qui ont les meilleurs succès scolaires identifient les enfants qui ont des problèmes d’apprentissage dès l’âge de 4 ans. Est-ce que le premier ministre peut montrer qu’il a une vision en éducation pour assurer la réussite de nos enfants qui ont des difficultés d’apprentissage ? Quand va-t-il passer de la parole aux actes pour donner un nouveau souffle en éducation au Québec ? Ayons de l’ambition ! » conclut François Legault.