Lutte contre l’intimidation : La CAQ veut un Protecteur de l’élève national, accessible et indépendant


 Publié le 5 décembre 2017

 Alors que des histoires d’intimidation dans nos écoles refont malheureusement surface, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, demande au ministre Sébastien Proulx de donner enfin suite à une de ses propositions, soit celle d’instaurer un Protecteur de l’élève national, doté de bureaux régionaux accessibles et indépendants des commissions scolaires, dans le but d’assurer un traitement plus rapide, juste et équitable des plaintes.

Les parents du Québec doivent savoir qu’ils ont quelqu’un sur qui s’appuyer. Actuellement, les parents et leurs enfants victimes d’intimidation sont trop souvent laissés à eux-mêmes.

Le député caquiste a fait cette annonce en compagnie de trois mères de famille, dont les enfants ont été victimes d’intimidation. Selon elles, l’un des problèmes réside dans le fait que le ministère de l’Éducation n’a comme mandat que de vérifier si les écoles privées possèdent bel et bien un plan d’action, sans toutefois juger ni évaluer sa mise en œuvre, ni intervenir quand c’est nécessaire.

Compte tenu des réalités d’aujourd’hui, Jean-François Roberge affirme que cette manière de gérer les cas d’intimidation dans nos écoles est dépassée. La CAQ propose de remplacer les Protecteurs de l’élève des commissions scolaires par des bureaux régionaux, afin de renforcer le mécanisme de plainte et de résolution de conflit. Si on veut véritablement lutter contre l’intimidation au Québec, il faut poser des gestes concrets. Si l’on maintient des Protecteurs de l’élève soumis aux commissions scolaires d’un côté et absent des écoles privées de l’autre, nous n’atteindrons jamais cet objectif, avertit le député de Chambly.

Pré-maternelle 4 ans offerte à tous : Philippe Couillard manque de vision, déplore la CAQ


 Publié le 29 novembre 2017

Malgré le retard évident qu’accuse le Québec quant à son taux de diplomation, le premier ministre Philippe Couillard refuse toujours d’offrir la pré-maternelle 4 ans à tous les enfants du Québec, a déploré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Le déploiement de classes de pré-maternelle 4 ans est un des meilleurs investissements qu’on puisse faire au Québec, a martelé François Legault. L’Ontario l’a fait, d’autres pays en Europe aussi. Malheureusement, Philippe Couillard ne démontre aucun intérêt pour cette vision et se réfugie derrière l’idée de les ouvrir uniquement en milieux défavorisés. Le chef de la CAQ a rappelé que la Vérificatrice générale a démontré que ce ne sont même pas tous des enfants de milieux défavorisés qui en bénéficient actuellement.

Contrairement à la grande majorité des CPE, les classes de pré-maternelles permettront d’avoir des enseignants, des orthophonistes, des orthopédagogues et tous les professionnels pour aider les enfants qui ont des difficultés d’apprentissage. Puisque Philippe Couillard refuse de se fixer cet objectif ambitieux pour nos enfants, M. Legault fera de la pré-maternelle 4 ans pour tous un de ses grands projets en éducation d’ici 2018.

Taux de diplomation : Philippe Couillard incapable de se fixer un réel objectif


 Publié le 28 novembre 2017

Alors que l’Ontario a réussi au cours des 15 dernières années à faire grimper son taux de diplomation pour les élèves au secondaire à 86,5 %, le Québec ne parvient pas toujours pas à suivre la cadence, a déploré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault. Philippe Couillard a souhaité vouloir rattraper l’Ontario, mais refuse de dire quand il y parviendra, a-t-il dénoncé.

Quand le Parti libéral est arrivé au pouvoir en 2003, le taux de diplomation au secondaire était d’à peine 70 %, le même qu’en Ontario. Aujourd’hui, l’Ontario possède un taux de 86,5 %, alors que celui du Québec est de seulement 75 %. Pour François Legault, derrière ce chiffre se cachent des milliers d’enfants qui n’ont pas eu la chance d’aller au bout de leur potentiel.

Philippe Couillard a affirmé vouloir rattraper l’Ontario. Ce qu’il semble oublier, c’est que son gouvernement vise dans sa politique de la réussite éducative un taux de diplomation de 85 % en 2030, soit l’objectif atteint l’Ontario en 2015. Sous les libéraux, le Québec a voué à avoir au moins 15 ans de retard sur l’Ontario, a regretté François Legault.

Le chef caquiste a également rappelé que le taux de décrochage scolaire au Québec est le double de celui de l’Ontario, un autre héritage laissé par les 15 années de gouvernement libéral. Il est grand temps pour Philippe Couillard de se doter d’une vraie vision pour faire de l’éducation un investissement à long terme pour le Québec.

Maternelle 4 ans : Sébastien Proulx contredit par la Vérificatrice générale


 Publié le 28 novembre 2017

 Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx s’est fait démasquer par la Vérificatrice générale : ce ne sont pas les enfants les plus défavorisés qui bénéficient des classes de prématernelle 4 ans. Pour le député de la Coalition Avenir Québec, Jean-François Roberge, cela démontre une fois de plus à quel point le bilan du gouvernement libéral en éducation ne repose que sur des annonces marketing qui ne se concrétisent pas sur le terrain.

Dans son rapport déposé il y a 5 jours, la Vérificatrice générale a dressé un constat choquant d’une des mesures phares du gouvernement Couillard : « La mesure pour la maternelle quatre ans à temps plein n’est accessible qu’aux écoles ayant des locaux disponibles (…). Ce n’est donc pas nécessairement les enfants les plus défavorisés qui en bénéficient ».

Pourtant, le gouvernement libéral prétend publiquement que le déploiement de la maternelle 4 ans se fait « pour les enfants en milieu défavorisé », a fait savoir M. Roberge. Le critique caquiste en éducation, Jean-François Roberge, a dénoncé le marketing politique libéral fait autour de l’éducation.

Formation préparatoire au travail : Sébastien Proulx défend les commissions scolaires


 Publié le 16 novembre 2017

Confronté à des témoignages et des cas précis d’élèves forcés de suivre le programme de formation préparatoire au travail (FPT), le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, refuse toujours d’envoyer une directive claire aux commissions scolaires pour que celles-ci cessent d’empêcher des jeunes d’accéder à un diplôme d’études secondaires.

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, a talonné le ministre Proulx à l’Assemblée nationale, réaffirmant qu’il est inacceptable que des jeunes soient exclus de la formation générale et placés en FPT sans leur consentement ni celui de leurs parents. Ce programme ne répond ni à leurs intérêts ni à leurs besoins, a affirmé M. Roberge, qui a accueilli à Québec cette semaine de nombreux étudiants concernés.

Tout comme le Regroupement des organismes communautaires autonomes jeunesse du Québec, le député de Chambly souligne que cette situation est intenable. Il a souligné avoir été surpris et déçu d’entendre le ministre de l’Éducation dire que le FPT, « parfois, c’est le seul programme ». Pour la CAQ, c’est simple : la formation générale doit demeurer accessible pour tout jeune qui souhaite poursuivre son parcours vers le diplôme d’études secondaires.

Formation préparatoire au travail : Une voie de garage forcée pour des jeunes en difficulté, dénonce la CAQ


 Publié le 13 novembre 2017

Accompagné de plusieurs jeunes venus jusqu’à Québec pour témoigner, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, demande au ministre Sébastien Proulx d’agir et de faire en sorte que plus aucun jeune ne puisse être placé dans un programme de Formation préparatoire au travail (FPT) contre sa volonté ou celle de ses parents.

Bien qu’il s’avère pertinent pour certains jeunes aux prises avec des difficultés, le programme FPT est actuellement imposé de force à des étudiants qui ne souhaitent pas s’y retrouver. Selon le caquiste Jean-François Roberge, la FPT est malheureusement devenue la voie de garage du réseau de l’éducation, alors que ces jeunes âgés entre 15 et 18 ans y voient un obstacle à leur avenir académique et professionnel.

Le député de Chambly a invité Sébastien Proulx à rappeler à l’ordre les commissions scolaires en émettant immédiatement une directive stipulant clairement qu’un jeune qui ne souhaite pas suivre une FPT ne devrait pas être contraint de le faire. M. Roberge a souligné que les conséquences sont trop importantes. En effet, une fois le programme entamé, il n’y a aucun retour possible vers le parcours régulier. De plus, un certificat en FPT n’a que très peu de valeur sur le marché du travail.

Il est temps de mettre fin à cette dérive du réseau de l’éducation et de faire respecter la Loi sur l’instruction publique, qui prévoit pourtant le libre choix aux étudiants.

Projet de loi 144 : Les libéraux en voie de légaliser les écoles religieuses illégales


 Publié le 8 novembre 2017

Philippe Couillard persiste et signe : les enfants scolarisés à la maison, notamment pour des raisons religieuses, n’auront pas à suivre le programme ni à passer les examens du ministère de l’Éducation. Pour François Legault, chef de la Coalition Avenir Québec, le gouvernement libéral manque à son devoir de protéger des milliers d’enfants en leur assurant une éducation de qualité et digne de ce nom.

Le projet de loi 144 ouvre une brèche dangereuse, s’est inquiété M. Legault, puisque les parents qui choisissent de faire l’école à la maison pour leur enfant, entre autres pour des raisons religieuses, pourront le faire sans enseigner des matières essentielles comme l’histoire et la science. Pire : Philippe Couillard ouvre la porte aux écoles religieuses qui jusqu’à hier étaient illégales et clandestines.

Le chef caquiste a ajouté que le gouvernement libéral ne peut fermer les yeux face à cette situation, puisque l’école à la maison est un phénomène grandissant au Québec, alors que depuis 5 ans, le nombre de parents qui scolarisent leur enfant chez eux a doublé.

Projet de loi 144 : Sébastien Proulx trace la voie pour l’accès aux écoles religieuses illégales


 Publié le 26 octobre 2017

Sébastien Proulx propose dans son projet de loi un mode d’emploi pour avoir accès aux écoles religieuses illégales

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, n’en revient tout simplement pas que Sébastien Proulx permettra à des enfants de fréquenter une école religieuse sans suivre un programme scolaire digne de ce nom. La scolarisation à la maison, selon la vision du Parti libéral, ne comprend ni cours d’histoire, niscience, ni examens ministériels.

Le député de Chambly a déposé plusieurs amendements pour qu’un enfant scolarisé à la maison soit exposé à l’ensemble du programme du ministère, passe des examens ministériels et voit minimalement quelques notions de science et d’histoire. Ils ont tous été refusés par le ministre Proulx. Avec le projet de loi 144, le ministre ouvre une voie légale aux écoles religieuses qui jusqu’à hier étaient illégales et clandestines.

Deux poids deux mesures : Sébastien Proulx laisse tomber les enfants scolarisés à la maison


 Publié le 4 octobre 2017

Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, refuse d’inscrire dans son projet de loi 144 sur l’instruction publique l’obligation pour tous les enfants scolarisés à la maison de :

  • Suivre le cursus scolaire et les programmes d’études établis par le Ministère ;
  • Passer les examens ministériels nécessaires pour l’obtention d’un diplôme.

Le député de Chambly pour la Coalition Avenir Québec, Jean-François Roberge, a talonné Sébastien Proulx lors de la période des questions, puis en commission parlementaire, mais celui-ci persiste dans son entêtement.

Les parents ont le droit de faire le choix de l’école à la maison, mais le gouvernement a le devoir de l’encadrer sérieusement, estime M. Roberge. La vision actuellement défendue par le ministre Proulx est inacceptable : pas de programme, pas d’examen, pas de diplôme. En somme, le ministre propose de laisser à eux-mêmes des enfants scolarisés à la maison, sans suivre de cursus et ultimement, sans diplôme. Pour le caquiste Jean-François Roberge, c’est non négociable : l’éducation à domicile doit conduire à un diplôme.

Il est au courant depuis 10 ans : Le gouvernement libéral tolère les frais abusifs dans les écoles


 Publié le 21 septembre 2017

Lors de la période des questions à l’Assemblée nationale, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec, Jean-François Roberge, a dévoilé un rapport de la Commission des droits de la personne confirmant que les commissions scolaires imposent des « pratiques et frais illégaux ou non conformes » relativement aux matériel et transport scolaire et recommande même « de les abolir immédiatement ». Le hic : c’est un rapport qui date de 2007!

Le député de Chambly n’en revient pas que les libéraux sont au courant de cette pratique depuis maintenant dix ans et ont refusé de s’y attaquer. Jean-François Roberge a indiqué qu’à la CAQ, c’est clair : un gouvernement en 2018 versera 100 $ par élève à toutes les écoles du Québec pour qu’elles achètent les fournitures scolaires. Il est impératif de libérer les parents du fardeau qui leur est imposé chaque rentrée scolaire.