Plus d’un million de dollars pour poursuivre le développement du secteur biologique québécois


 Publié le 16 juillet 2025

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec, M. André Lamontagne, annonce 1 150 000 $ pour soutenir le développement du secteur biologique au Québec.

Cette aide, accordée à la Filière biologique du Québec, permettra de développer de nouveaux marchés et de faire augmenter la demande pour les produits biologiques d’ici sur le marché québécois.

Dans un contexte d’instabilité commerciale avec les États-Unis, principal marché d’exportation des produits biologiques québécois, le gouvernement vise ainsi à diversifier les marchés et à accroître l’autonomie alimentaire du Québec.

Ce nouveau soutien arrive alors que le secteur biologique québécois connaît une croissance exceptionnelle depuis les huit dernières années. Le Québec compte maintenant quelque 3 500 entreprises qui produisent et transforment des aliments biologiques, ce qui représente près de 50 % du nombre d’entreprises au pays.

Citations 

« Je suis heureux de ce nouvel appui qui permettra à la Filière biologique du Québec de tirer avantage de la croissance des dernières années et de voir encore plus grand! Avec cette annonce, votre gouvernement pose un geste concret afin de favoriser la production et la transformation d’aliments sains et locaux, pour une plus grande autonomie alimentaire. »

André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec

« Nous sommes convaincus que cet investissement sera bénéfique pour l’ensemble du secteur biologique québécois, car il permettra d’améliorer l’environnement commercial des entreprises et d’accroître la valorisation et la promotion des produits biologiques d’ici. »

Daniel Dubuc, président de la Filière biologique du Québec

Faits saillants

  • Depuis 2015, plus de 50 millions de dollars ont été investis par le gouvernement pour soutenir le développement du secteur biologique au Québec.
  • Le nombre d’entreprises de production et de transformation certifiées biologiques a plus que doublé au cours des huit dernières années.
  • La Filière biologique du Québec coordonne la mise en œuvre du plan stratégique du secteur, favorise la réalisation de projets collectifs et veille à la cohérence des interventions dans le domaine.
  • Les aliments biologiques québécois répondent aux attentes croissantes des consommateurs en matière de santé, de protection de l’environnement, de bien-être animal et d’économie locale.

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Plus de soutien pour les festivals et les événements touristiques, plus de retombées économiques pour le Québec


 Publié le 14 juillet 2025

La ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière, Mme Caroline Proulx, annonce avec enthousiasme de nouvelles modalités au programme Aide financière aux festivals et aux événements touristiques. Ces bonifications permettront de soutenir encore davantage ces moteurs de développement incontournables pour le tourisme et l’économie du Québec.

Ces ajustements, pensés en concertation avec des promoteurs, des organisateurs et des acteurs du milieu, témoignent de la volonté du gouvernement de répondre aux besoins concrets du terrain.

Parmi les changements importants et significatifs :

  • Pour le volet 1 – Festivals et événements touristiques majeurs, l’aide financière maximale passe de 1 million de dollars à 1,25 million.
  • Pour le volet 4 – Événements ponctuels, l’aide maximale pouvant être accordée bondit de 750 000 $ à 2 millions de dollars. En contrepartie, le seuil minimal des coûts admissibles pour présenter une demande dans le cadre de ce volet est porté à 2 millions de dollars, plutôt qu’à 1 million.
  • Enfin, pour assurer une prévisibilité optimale, les organisateurs pourront à nouveau bénéficier d’une aide triennale ou jusqu’à la fin du programme. Il sera également possible de réviser à la hausse une seule fois l’aide financière, si les coûts admissibles augmentent de plus de 20 %.

Les festivals et les événements touristiques sont de véritables locomotives économiques. À titre d’exemple, les six principaux événements touristiques majeurs génèrent à eux seuls des retombées moyennes de 30 millions de dollars chacun par année.

Grâce à ce programme important, le gouvernement a soutenu en 2024-2025 plus de 300 événements à travers le Québec, qui ont su maintenir, enrichir et renouveler l’offre événementielle.

Citation :

« Les festivals et les événements font partie de l’image de marque du Québec et sont une des clés de voûte de son offre touristique. Ces produits d’appel importants auprès des visiteurs de l’extérieur représentent de véritables locomotives économiques pour nos régions. Avec ce nouveau cadre normatif, on continue d’offrir au secteur événementiel le soutien et la prévisibilité dont il a besoin pour se développer, tout en se donnant des moyens supplémentaires pour faire face à la concurrence internationale et attirer et maintenir au Québec encore plus d’événements d’envergure. »

Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière

Faits saillants :

  • Le nouveau cadre normatif du programme s’applique aux festivals et aux événements ayant lieu après le 1er avril 2026 (volet 4) et le 1er mai 2026 (autres volets).
  • Le premier appel de projets lié au nouveau cadre normatif sera annoncé ultérieurement. Il est possible de faire une demande dès maintenant pour le volet 4, pour un événement se déroulant après le 1er avril 2026.
  • Le programme Aide financière aux festivals et aux événements touristiques permet de soutenir des initiatives qui encouragent le développement d’une offre touristique diversifiée et attrayante partout au Québec.
  • Ses objectifs généraux sont les suivants :
    • renforcer la position de la destination québécoise sur la scène nationale et internationale;
    • favoriser le développement des festivals et des événements touristiques dans une approche responsable et durable, et ce, partout au Québec;
    • accroître les retombées économiques pour les régions et les communautés locales.
  • Dans le plus récent budget du gouvernement du Québec, les sommes prévues portent l’enveloppe du programme à 140,4 millions de dollars pour 2026-2027 à 2029-2030, soit une hausse de 5 millions annuellement par rapport à 2025-2026.
  • Pour les volets 1 et 2, les études (provenance et achalandage/retombées économiques) réalisées avant 2025 seront acceptées. Toutefois, pour le volet 1, tous les organisateurs d’événements soutenus devront en réaliser de nouvelles avant la fin de leur convention d’aide. Ceux appuyés au volet 2 devront faire de même si leur étude a été réalisée avant 2023.

Lien connexe :
Programme Aide financière aux festivals et aux événements touristiques 

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Près de 142 M$ pour renforcer l’économie sociale au Québec et soutenir les entreprises collectives


 Publié le 11 juillet 2025

Le ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval, M. Christopher Skeete, a dévoilé aujourd’hui le Plan d’action gouvernemental en économie sociale (PAGES) 2025-2030. Ce plan prévoit des interventions de 141,9 millions de dollars, qui contribueront à réaliser 4 000 activités d’accompagnement et de financement d’entreprises collectives. Ces dernières généreront des investissements totaux de 565 millions de dollars.

Le PAGES vise les objectifs suivants :

  • optimiser l’accompagnement et les outils financiers existants;
  • centrer les interventions sur les entreprises collectives et leur croissance;
  • assurer un cadre gouvernemental favorable à l’essor de ces entreprises;
  • renforcer l’action de l’économie sociale en réponse à des enjeux de société.

Dans le cadre du PAGES, le gouvernement annonce son soutien à des partenaires du domaine de l’économie sociale. Un montant de 13,44 millions de dollars est ainsi alloué au Conseil québécois de la coopération et de la mutualité (CQCM), jusqu’en 2027, en vue de renouveler le partenariat pour le développement des coopératives. Cette entente permet aux organismes de soutien d’accompagner les entreprises collectives et de contribuer au développement coopératif régional, national et sectoriel.

De plus, le gouvernement octroie 2,07 millions de dollars sur deux ans au Chantier de l’économie sociale afin d’appuyer ses activités de concertation, de promotion et de soutien au développement de l’économie sociale.

Dans le contexte économique actuel, il est plus important que jamais de renforcer l’écosystème d’économie sociale dans le but de proposer des solutions novatrices aux grands enjeux sociétaux et d’assurer ainsi le mieux-être des collectivités dans toutes les régions du Québec.

Citations :

« L’économie sociale est un moteur de changement et de croissance économique qui répond de manière durable aux défis de notre société. Notre gouvernement a à cœur d’améliorer l’environnement d’affaires pour que nos entreprises collectives puissent atteindre leur plein potentiel. Avec le PAGES et la collaboration des partenaires, on met tout en place pour favoriser l’essor de cette économie porteuse d’avenir pour le Québec. »

Christopher Skeete, ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

« Les coopératives et les mutuelles représentent des réponses aux grands défis actuels concrètes et enracinées dans les communautés. Pour amplifier leurs retombées, il est essentiel de poursuivre nos efforts en matière d’éducation à l’entrepreneuriat collectif, d’assurer une relève compétente en gestion et de valoriser ces emplois porteurs de sens auprès de la main-d’œuvre. Nous sommes fiers que le Québec soit reconnu comme un chef de file du développement coopératif à l’échelle internationale. Le renouvellement du PAGES vient soutenir cette force collective et continue d’ouvrir la voie à une économie plus humaine, résiliente et inclusive. »

Marie-Josée Paquette, directrice générale du CQCM

« Le Chantier de l’économie sociale se réjouit de l’annonce du PAGES 2025-2030. Le financement renouvelé pour notre organisme lui-même reflète la reconnaissance de l’importance de travailler de concert à l’identification de conditions pour la consolidation, l’expérimentation et la création de nouveaux créneaux et projets en économie sociale. Plus largement, c’est l’occasion de développer, au courant des prochains mois et années, des manières d’appuyer le travail essentiel des entreprises collectives partout sur le territoire. Inspirés par le récent Sommet de l’économie sociale, lors duquel des acteurs du développement territorial se sont dotés d’une vision et de moyens pour l’économie sociale au Québec, nous serons heureux de travailler avec le gouvernement dans le déploiement de ce plan d’action afin de concrétiser cette vision d’une économie qui travaille pour nous. »

Béatrice Alain, directrice générale du Chantier de l’économie sociale

Faits saillants :

  • Le CQCM a pour mission de participer au développement social et économique du Québec en favorisant le plein épanouissement du mouvement coopératif et mutualiste québécois, et ce, en accord avec les principes et les valeurs de l’Alliance coopérative internationale.
  • Le Chantier de l’économie sociale travaille en collaboration avec les principaux acteurs de soutien de ce secteur à l’échelle du Québec. Il vise à promouvoir l’économie sociale, à encourager la concertation et à assurer l’essor des entreprises collectives par le biais d’activités variées.
  • À l’occasion du lancement du PAGES 2025-2030, le gouvernement a également annoncé la publication, par l’Institut de la statistique du Québec, du tout dernier Portrait statistique de l’économie sociale au Québec. Cette enquête révèle que le Québec comptait 11 360 entreprises d’économie sociale en 2022, qui ont généré quelque 250 000 emplois de qualité dans nos régions et regroupé plus de 11 millions de membres.

Des gestes concrets pour nos entreprises agricoles


 Publié le 10 juillet 2025

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec, M. André Lamontagne, profite d’une tournée des entreprises agricoles estriennes en compagnie du député de Mégantic, M. François Jacques, et du ministre de la Cybersécurité et du Numérique et député d’Orford, M. Gilles Bélanger, pour rappeler des gestes concrets qui ont été posés par le gouvernement pour soutenir le secteur agricole québécois. Ces actions vont contribuer à l’essor de l’agriculture et à accroître l’autonomie alimentaire sur tout le territoire.

Parmi les engagements marquants du gouvernement, on compte l’adoption de la Loi visant à assurer la pérennité du territoire agricole et sa vitalité. Cette loi vise à protéger le garde-manger collectif et à favoriser le développement des activités agricoles de proximité et agrotouristiques qui permettent la mise en valeur des produits locaux et régionaux.

Afin de faciliter l’accès aux terres pour la nouvelle génération d’agriculteurs, une somme de 100 millions de dollars a été investie par le gouvernement ainsi que par le Fonds de solidarité FTQ et le Mouvement Desjardins pour la mise en place du nouveau Fonds d’investissement pour la relève agricole (FIRA II). Le FIRA II permet d’aider concrètement les jeunes entrepreneurs qui souhaitent réaliser leur rêve de se lancer en agriculture.

Parallèlement à cet appui à la relève, le gouvernement intensifie ses efforts pour répondre aux enjeux climatiques auxquels le secteur est confronté. C’est pourquoi 81 millions de dollars ont été ajoutés aux sommes déjà consenties pour porter le total à 188 millions de dollars pour les cinq prochaines années. Plus de 85 % de ce montant est destiné directement aux producteurs pour des projets de réduction des émissions de gaz à effet de serre et pour de l’adaptation aux changements climatiques.

Enfin, en collaboration avec La Financière agricole du Québec, le gouvernement a lancé la réforme la plus ambitieuse à ce jour du Programme d’assurance récolte. Le programme sera simplifié, l’accès aux entreprises de petite taille sera facilité et les délais de paiement seront réduits. Déjà en 2025, avec l’appui de l’Association des producteurs maraîchers du Québec, une nouvelle clause catastrophe a été ajoutée pour les cultures maraîchères, venant atténuer l’impact des pertes importantes sur la contribution des producteurs. L’élargissement de l’application de cette clause à d’autres productions se poursuivra en 2026.

Citation 

« Votre gouvernement est fier des initiatives mises en place pour soutenir le secteur agricole. Des actions ambitieuses ont été entreprises pour protéger les terres, pour renforcer la résilience des entreprises face aux aléas climatiques et pour appuyer les jeunes de la relève, au bénéfice d’une plus grande autonomie alimentaire. »

André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec

Faits saillants

  • D’autres mesures ont contribué à mieux épauler les entreprises agricoles :
    • L’ajout d’une somme de 42 millions de dollars au Programme Investissement Croissance Durable (PICD). Cette bonification porte le montant consacré au PICD à 92 millions de dollars pour soutenir la relève agricole et accroître la productivité et la croissance des entreprises agricoles, seulement pour l’année 2024-2025. Depuis 2020, ce sont 297 millions de dollars qui ont été consacrés au PICD.
    • Les éleveurs et les producteurs verront le soutien aux services vétérinaires bonifié grâce à un investissement de 51 millions de dollars provenant du Programme intégré de santé animale du Québec. De plus, 40 % de l’investissement annoncé est consacré aux clientèles établies en régions périphériques.
    • Le gouvernement du Québec a mis en place sept mesures qui permettront de réduire la paperasse pour les agricultrices et les agriculteurs du Québec. Ces allégements représentent des économies annuelles de près de 30 millions de dollars pour les entreprises agricoles.
    • Un soutien financier additionnel de 20 millions de dollars a également été investi pour accroître la productivité et la compétitivité des entreprises spécialisées en productions végétale et apicole. L’initiative ministérielle « Proximité végétale » prévoit une bonification pour les entreprises situées en régions périphériques.
    • Un soutien financier supplémentaire de 3 millions de dollars pour soutenir des projets d’agriculture de proximité ainsi que des projets horticoles et agrotouristiques grâce à l’initiative ministérielle Proximité 2024-2026 et à l’Initiative ministérielle pour le développement des serres et des grands tunnels.
    • Un appui financier de 7,5 millions de dollars, issu de l’Initiative ministérielle : relève agricole et entrepreneuriat, pour aider davantage de jeunes agriculteurs à s’établir sur le territoire québécois. Cette aide vise à soutenir la relève agricole qui démarre une nouvelle entreprise ou qui acquiert ou reprend une entreprise existante.
  • En 2024, le Québec comptait 28 237 exploitations agricoles. Ces entreprises ont généré des recettes monétaires agricoles totales évaluées à 13 milliards de dollars et ont réalisé des investissements de 1,7 milliard de dollars.

Un réseau électrique plus puissant pour une dizaine de producteurs acéricoles du Témiscouata 


 Publié le 9 juillet 2025

Le gouvernement du Québec attribue une aide financière de 250 000 $ à la Corporation du Réseau de la Grande Coulée, située à Lejeune, pour soutenir la conversion de son réseau électrique monophasé (une ligne) en réseau triphasé (trois lignes). Ce réseau privé de plus de 35 kilomètres alimente actuellement dix producteurs acéricoles du Témiscouata.  

C’est ce qu’a annoncé aujourd’hui la députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata – Les Basques, Mme Amélie Dionne, au nom du ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, M. Benoit Charette.  

Le manque de puissance du réseau actuel oblige certains producteurs desservis à utiliser des génératrices ou des évaporateurs au mazout. Grâce à cette subvention, le nouveau réseau triphasé sera plus fiable et plus performant, capable de répondre aux besoins énergétiques croissants des entreprises. Ce projet entraînera également une réduction annuelle des gaz à effet de serre (GES) estimée de 128,5 tonnes d’équivalent CO2, soit l’équivalent de 40 véhicules à essence retirés des routes. La mise à jour du réseau permettra également d’y raccorder trois nouvelles érablières, ce qui réduira davantage les GES.  

Citations : 

« Ce projet permettra non seulement de soutenir nos entreprises acéricoles de la région, mais également de réduire leurs GES. La transformation de secteurs stratégiques comme les secteurs agricole et agroalimentaire est essentielle pour atteindre nos objectifs climatiques et c’est en misant sur l’utilisation d’énergies propres que nous y parviendrons. » – Benoit Charette, ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs  

« Je suis fière de voir des entreprises de ma circonscription, comme celles regroupées au sein de la Corporation du Réseau de la Grande Coulée, s’engager concrètement dans la transition énergétique du Québec. En adaptant les infrastructures aux besoins réels des producteurs acéricoles, on leur donne les moyens de croître, d’investir et de réduire leur empreinte écologique. C’est une grande fierté pour notre région ! » – Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata – Les Basques 

« La MRC de Témiscouata est fière de soutenir ce projet structurant à la hauteur de 127 500 $. En plus répondre concrètement aux besoins de nos entreprises acéricoles, il s’inscrit parfaitement dans notre volonté de concilier développement économique et protection de l’environnement. Ce projet démontre toute la force de la collaboration entre les producteurs, les élus et les partenaires gouvernementaux, au service d’un avenir plus vert et prospère pour notre région. » – Serge Pelletier, préfet de la MRC de Témiscouata 

« Ce soutien financier représente une avancée majeure pour notre communauté acéricole. Grâce à la mise à niveau du réseau vers le triphasé, nos producteurs auront accès à une énergie plus fiable, plus performante et plus propre. Ce projet collectif, porté par et pour les producteurs, nous permettra de moderniser nos installations tout en réduisant notre empreinte environnementale. » – Louise Veilleux, présidente de la Corporation du Réseau de la Grande Coulée 

Faits saillants : 

·       L’aide financière est accordée dans le cadre du Programme d’accès au réseau triphasé (PART) qui découle du Plan pour une économie verte 2030.  

·       Doté d’un budget initial de 25,25 millions de dollars, ce programme offre une aide financière aux entreprises des secteurs agricole et agroalimentaire qui souhaitent réaliser un projet nécessitant une extension du réseau électrique triphasé ou un raccordement à ce réseau.  

·       Depuis son lancement en 2020, le PART a permis de financer plus de 270 projets d’environ 230 entreprises agroalimentaires et agricoles au Québec.  

·       Aujourd’hui, les nouvelles technologies requièrent l’accès à un réseau triphasé pour être efficaces. Sans ce réseau, les entreprises agroalimentaires et agricoles sont limitées dans leur expansion, la modernisation de leurs équipements ou le remplacement de leurs sources d’énergie fossile par de l’électricité propre. 

La zone d’innovation de la transition énergétique poursuit son évolution


 Publié le 9 juillet 2025

La ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie et ministre responsable du Développement économique régional, Mme Christine Fréchette, était de passage à Bécancour aujourd’hui pour rencontrer des intervenants de la Vallée de la transition énergétique (VTE) ainsi que de la Société du parc industriel et portuaire de Bécancour (SPIPB) afin de faire le point sur les investissements réalisés et les projets à venir au sein de la zone d’innovation.

Lancée en mai 2023, la VTE a été déployée au sein de trois pôles, à Trois-Rivières, à Shawinigan et à Bécancour, dans le but d’accélérer le développement de la transition énergétique, notamment dans des secteurs d’avenir comme la filière batterie, la décarbonation du secteur industrialo-portuaire ainsi que la production et l’utilisation de l’hydrogène vert dans la chaîne industrielle.

Annonces récentes
Le gouvernement du Québec est en action afin d’accélérer le développement de secteurs stratégiques d’avenir et d’outiller le Québec pour la décarbonation de son économie. Ainsi, il a accordé plus de 45 millions de dollars pour la construction du pavillon Pellerin-Marmen sur les technologies vertes à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). La nouvelle infrastructure regroupera des expertises de pointe dans les domaines de l’environnement, de l’énergie et du développement durable. Le pavillon, dont l’inauguration est prévue en 2026, favorisera les partenariats entre l’enseignement supérieur et les industries et permettra la formation de personnel hautement qualifié.

Québec a aussi appuyé la création de deux cellules intégrées de recherche, d’innovation et de formation (CIRIF), soit :

  • une plateforme sur l’hydrogène et la décarbonation, portée par l’UQTR, en partenariat avec le Cégep de Trois-Rivières, les centres collégiaux de transfert de technologie (CCTT), le Centre de métallurgie du Québec et INNOFIBRE;
  • une plateforme sur l’électrification des transports et le développement de composants, portée conjointement par l’Institut national de la recherche scientifique et l’UQTR, en partenariat avec le Cégep de Shawinigan, le Centre national en électrochimie et en technologies environnementales, le Cégep de Trois-Rivières ainsi que le Cégep de Saint-Jérôme et son Institut du véhicule innovant.

La mise sur pied des CIRIF est issue de la volonté d’accélérer la recherche, l’innovation et la formation dans la VTE.

Enfin, Québec a annoncé, le 18 mars dernier, un investissement de 75 millions de dollars pour assurer les travaux du Laboratoire industriel en transition énergétique, qui soutient les entreprises de la filière batterie en vue de favoriser l’accès à des talents de haut niveau, à des infrastructures de recherche de pointe et à de l’accompagnement de spécialistes dans le domaine.

Rappelons que la VTE vise notamment les objectifs suivants :

  • conserver la place du Québec comme leader de la transition énergétique;
  • poursuivre la recherche, la formation, le développement et l’industrialisation en innovation technologique dans des domaines d’avenir;
  • promouvoir le développement de technologies et ainsi créer de la richesse;
  • favoriser les projets collaboratifs et la mutualisation des ressources pour accroître, en région, les initiatives de même que la recherche et développement.

Citations :
« La création des zones d’innovation est un outil supplémentaire que notre gouvernement a mis en place pour transformer les défis de la lutte contre les changements climatiques en occasion de développement économique. Nous sommes en train de bâtir, en Mauricie et au Centre-du-Québec, un véritable écosystème d’innovation de calibre mondial en matière de transition énergétique. Je suis fière de constater la mobilisation qui s’opère présentement au sein de la VTE, qui nous servira à atteindre nos objectifs de décarbonation de l’économie québécoise. »

Christine Fréchette, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie et ministre responsable du Développement économique régional

« Le développement de la filière batterie se poursuit! Des acteurs majeurs de l’industrie continuent de s’installer dans le parc industriel et portuaire de Bécancour et de créer des emplois de qualité. L’implantation de cette filière stratégique nous permettra de fabriquer les batteries les plus vertes au monde, de l’extraction des matières premières jusqu’au produit fini. C’est un projet d’envergure, qui connaît son lot de défis, mais qui viendra transformer l’économie du Québec. »

Donald Martel, député de Nicolet-Bécancour et adjoint parlementaire de la ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (volet zones d’innovation)

« Au Québec, nous avons la chance de pouvoir compter la compétence de chercheurs qui sont le moteur de l’innovation. Les investissements récents au campus de l’UQTR et dans les CIRIF permettront de consolider et de regrouper les expertises dans la zone d’innovation et de pousser plus loin la formation de personnel hautement qualifié dans ces secteurs de pointe. Je suis convaincue que le rapprochement des acteurs de l’enseignement supérieur et de l’industrie, rendu possible grâce aux zones d’innovation, amènera des avancées technologiques dont nous pourrons être fiers. »

Pascale Déry, ministre de l’Enseignement supérieur

« Nous avons choisi de transformer les défis de la transition énergétique en occasion de développement économique, et notre région se trouve au cœur de cette révolution. C’est stimulant de constater le rôle des établissements de Trois-Rivières se définir au sein de la VTE. L’UQTR, le Cégep de Trois-Rivières et les CCTT agissent comme leaders dans des projets de recherche collaborative qui contribueront à bâtir un avenir plus vert et prospère. »

Jean Boulet, député de Trois-Rivières, ministre du Travail et ministre responsable de la région de la Mauricie, de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec

« Au fil des ans, Shawinigan s’est bâti une solide expertise en matière de recherche et développement sur la transition énergétique. La ville accueille des équipes de recherche reconnues mondialement dans ce domaine stratégique, que ce soit au Centre de recherche d’Hydro-Québec, au Centre national en électrochimie et en technologies environnementales ou encore sur le campus francophone de l’Université Concordia. La VTE confirme l’importance des recherches réalisées chez nous en lien avec l’énergie propre et viendra favoriser le développement de notre milieu. »

Marie-Louise Tardif, députée de Laviolette-Saint-Maurice et adjointe parlementaire de la ministre des Ressources naturelles et des Forêts

Ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie sur les réseaux sociaux :

675 000 $ pour accroître la productivité des Engrenages spécialisés


 Publié le 9 juillet 2025

La ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie et ministre responsable du Développement économique régional, Mme Christine Fréchette, le député de Richmond, M. André Bachand, ainsi qu’Investissement Québec annoncent un investissement de 675 000 $ pour soutenir l’entreprise Engrenages spécialisés dans l’achat d’équipements plus performants qui amélioreront davantage sa productivité.

Évalué à plus de 1,3 million de dollars, le projet vise plus précisément l’acquisition de trois machines installées en cellules qui contribueront à augmenter la capacité de production de pièces nécessaires à la confection d’arbres de transmission. Grâce à ces nouveaux équipements, l’entreprise prévoit réduire de 25 % le temps de fabrication et de montage, ce qui lui permettra de répondre encore plus efficacement à la demande de sa clientèle.

Dans le contexte actuel, il est plus que jamais nécessaire d’investir dans la croissance et la productivité des PME québécoises pour les rendre plus attrayantes et compétitives dans des domaines stratégiques comme le secteur manufacturier.

Citations

« Pour que nos entreprises soient toujours plus productives et compétitives sur leurs marchés, il est essentiel de les aider à gagner en productivité. Cet investissement de 675 000 $ permettra aux Engrenages spécialisés d’optimiser leurs activités et de renforcer leur rôle stratégique auprès de nombreux équipementiers du Québec qui sont actifs dans des secteurs clés de notre économie, incluant l’énergie. »

Christine Fréchette, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie et ministre responsable du Développement économique régional

« L’entreprise Engrenages spécialisés fait partie des PME manufacturières qui participent pleinement à la vitalité économique de l’Estrie. Depuis plus de vingt-cinq ans déjà, elle développe une expertise reconnue dans la production et l’assemblage d’engrenages de haute qualité et qui fait la fierté de Richmond! Nous sommes donc heureux de l’appuyer aujourd’hui dans cette nouvelle étape de son parcours. »

André Bachand, député de Richmond

« Le projet d’acquisition d’équipements mené par les Engrenages spécialisés permettra de réduire considérablement le temps requis pour leurs activités. Il s’agit d’un excellent rappel que des gains de productivité importants peuvent être réalisés par les PME québécoises avec des actions concrètes et le soutien d’Investissement Québec. »

Bicha Ngo, présidente-directrice générale d’Investissement Québec

« Dans un contexte où l’agilité est devenue une condition de succès et où la rareté de la main-d’œuvre spécialisée représente un enjeu stratégique, l’appui du gouvernement du Québec constitue un levier essentiel pour notre croissance. Cet investissement nous permettra d’améliorer notre productivité, de mieux répondre aux exigences de nos clients et de contribuer plus activement à l’intégration des PME québécoises dans les chaînes d’approvisionnement des grandes entreprises québécoises. Nous saluons cette vision économique structurante et sommes fiers d’en faire partie. »

Christian Noël, président des Engrenages spécialisés

Faits saillants

  • Fondée en 1999, l’entreprise Engrenages spécialisés fabrique des engrenages, des arbres de transmission à cannelures et des pièces usinées de précision. Elle assemble des pièces mécaniques pour les équipementiers des secteurs industriels, agricoles, de l’énergie et des transports.
  • Le soutien financier comprend un prêt de 337 500 $ issu du programme ESSOR, administré par Investissement Québec à titre de mandataire du gouvernement, ainsi qu’un prêt équivalent accordé à même les fonds propres d’Investissement Québec.
  • Le programme ESSOR a pour but d’appuyer, dans une perspective d’accroissement de la compétitivité et de la productivité, de création d’emplois et de développement durable, les projets d’investissement réalisés au Québec.

Un nouveau palais de justice agrandi et rénové à Roberval!


 Publié le 9 juillet 2025

Le ministre de la Justice et procureur général du Québec, M. Simon Jolin-Barrette, en compagnie de la ministre des Affaires municipales et ministre responsable de la région du SaguenayLac-Saint-Jean, Mme Andrée Laforest et de la députée de Roberval, Mme Nancy Guillemette, a inauguré aujourd’hui le tout nouveau palais de justice de Roberval, agrandi et rénové. Ces travaux représentent un investissement de 115,7 millions de dollars.

Le palais de justice de Roberval, situé au 750, boulevard Saint-Joseph, occupe désormais une surface de 8 200 m2, ce qui signifie que le bâtiment a triplé de superficie grâce aux rénovations. Le palais offre maintenant à la population :

  • quatre salles d’audience à la fine pointe de la technologie, soit une de plus que dans l’ancien palais;
  • une salle réservée aux personnes victimes d’actes criminels;
  • une salle de télétémoignage pour les victimes d’actes criminels;
  • neuf salles d’entrevue pour les avocats et leurs clients;
  • une salle de conciliation à l’amiable;
  • un pied-à-terre pour les travailleurs sociaux;
  • un secteur jeunesse.

Des arches de sécurité ont également été installées à l’entrée du palais pour assurer un environnement encore plus sécuritaire pour la population et les intervenants du milieu.

Rappelons que des travaux d’agrandissement et de rénovation du palais de justice étaient en cours lorsqu’un incendie a ravagé le bâtiment en mai 2021. Dans ces circonstances, des audiences avaient dû être déménagées dans différents palais et points de service de la région. Un palais de justice temporaire avait également été mis en service rapidement, à Roberval, pour offrir des services à la population et assurer la tenue d’activités judiciaires.

Capsule temporelle

Lors des travaux de rénovation, des maçons qui s’affairaient à démanteler une partie de la façade ont découvert une capsule temporelle, dissimulée par les bâtisseurs du palais en 1909. Cette capsule renfermait quelques documents d’époque : une lettre écrite par le maire de Roberval, M. L.-P. Bilodeau, un exemplaire de la Gazette officielle du Québec de 1883 qui mentionne la constitution du village de Roberval, et le rapport annuel de la Chambre de commerce du Saguenay pour l’année 1908. Pour rendre la pareille aux futures générations, on a caché une nouvelle capsule temporelle dans le palais, mais son contenu et son lieu demeureront secrets jusqu’à sa découverte éventuelle, nous ne savons quand!

Citations

« Aujourd’hui, le palais de justice de Roberval renaît de ses cendres. Nous avons tous eu le cœur gros lorsque les flammes ont ravagé le palais, il y a quelques années. L’inauguration d’aujourd’hui nous permet de tourner la page sur ce triste événement et d’en écrire une nouvelle dans la mémoire collective de Roberval. Nous sommes fiers du chemin accompli, malgré les défis dans la rénovation, l’agrandissement et la reconstruction du palais. Nous tenons à remercier les acteurs du milieu de la justice de la région d’avoir permis la poursuite des activités judiciaires dans l’attente de ce nouvel édifice. »

Simon Jolin-Barrette, ministre de la Justice et procureur général du Québec

« En livrant le nouveau palais de justice de Roberval, le gouvernement dote la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean d’une infrastructure moderne qui offrira un lieu de qualité pour l’exercice de la justice pour de nombreuses années à venir. La rénovation et l’agrandissement du palais ont eu des retombées positives pour la région, notamment en matière d’emploi et d’économie. Nous pouvons être fières et fiers du travail accompli! »

Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean

« La population de Roberval attendait impatiemment son nouveau palais de justice et, aujourd’hui, c’est chose faite! Je me réjouis pour mes concitoyennes et concitoyens qui peuvent maintenant profiter d’un bâtiment plus grand, à la fine pointe de la technologie et mieux adapté à leurs besoins. C’est véritablement une belle journée pour Roberval! »

Nancy Guillemette, députée de Roberval

« Je souhaite exprimer ma reconnaissance envers les membres de mon équipe et nos partenaires pour leur résilience et leur engagement à maintenir les activités judiciaires pendant les travaux de construction du nouveau palais, notamment à la suite de l’incendie. Force est de constater que toutes et tous se sont mobilisés pour offrir à la population des services de qualité malgré la zone de turbulence que nous traversions. Aujourd’hui, nous pouvons dire mission accomplie, et nous sommes fébriles à l’idée de servir la population dans ce nouvel édifice! »

Céline Claveau, directrice des palais de justice d’Alma et de Roberval

Liens connexes

Québec poursuit ses actions pour stimuler le commerce interprovincial


 Publié le 8 juillet 2025

 À l’aube de la rencontre du Comité du commerce intérieur qui se déroule à Québec, le ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval, M. Christopher Skeete, confirme que le Québec poursuit ses avancées pour favoriser le commerce interprovincial et stimuler davantage l’économie québécoise.

Le gouvernement est fier d’accueillir à Québec, pour la première fois depuis l’entrée en vigueur de l’Accord de libre-échange canadien (ALEC) en 2017, ses homologues du gouvernement fédéral et des autres provinces et territoires pour la tenue de cette rencontre.

Il réitère sa volonté de contribuer à éliminer les obstacles au commerce intérieur. À ce jour, neuf exceptions ont été ciblées, et l’analyse se poursuit afin que d’autres soient retirées ou modifiées. Soulignons qu’ensemble, le Québec, le gouvernement fédéral ainsi que les provinces et les territoires ont réussi jusqu’à maintenant à retrancher 30 % des exceptions, ce qui facilite davantage le libre-échange pour les entreprises du Québec et de partout au pays.

Il est important de rappeler que le Québec a déposé, le 30 mai dernier, le projet de loi no 112 favorisant le commerce des produits et la mobilité de la main-d’œuvre en provenance des autres provinces et des territoires du Canada afin de stimuler davantage le commerce interprovincial.

Le Québec s’est aussi engagé à participer activement aux négociations pour promouvoir la reconnaissance mutuelle des biens de consommation (à l’exception des produits alimentaires, des boissons et du tabac). Les discussions se poursuivront sur ce sujet ainsi que sur celui entourant la reconnaissance mutuelle dans le secteur du camionnage dans le but d’harmoniser les normes réglementaires et de réduire le fardeau administratif de ce secteur clé. Le Québec continue également ses efforts pour faciliter la mobilité de la main-d’œuvre et améliorer le commerce des alcools canadiens et québécois au moyen d’un système de vente directe aux consommateurs.

Citation :

« Réduire les barrières liées au commerce interprovincial, c’est ouvrir la voie à la croissance de nos entreprises et de notre économie. Nous sommes tous gagnants à bâtir un environnement d’affaires qui soit toujours plus compétitif et propice à leur réussite, tout en demeurant fidèle à nos valeurs. Nous continuons donc nos avancées, en collaboration avec le reste du Canada, pour rendre cet environnement encore plus efficace et favorable à l’essor de nos marchés. »

Christopher Skeete, ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

Faits saillants :

  • Rappelons qu’il s’agit de la 7e rencontre, depuis le début de l’année 2025, du Comité du commerce intérieur, qui est responsable de mettre en œuvre l’ALEC. Cela témoigne de l’engagement des différents ministres représentant le gouvernement fédéral, les provinces et les territoires à mettre en commun leurs efforts pour accélérer le commerce interprovincial et bâtir ainsi une économie plus intégrée et résiliente.
  • La Déclaration des premiers ministres sur l’élimination des obstacles au commerce intérieur au Canada a été élaborée en février 2025 à la suite de rencontres du Comité du commerce intérieur.
  • L’ALEC, en vigueur depuis 2017, vise à réduire les obstacles à la libre circulation des personnes, des biens, des services et des investissements à l’intérieur du Canada.
  • Le 19 mars 2025, le gouvernement du Québec avait annoncé des avancées importantes pour faciliter le commerce interprovincial et renforcer l’économie québécoise.

Ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie sur les réseaux sociaux :

Québec ouvre deux nouvelles cliniques d’infirmières praticiennes spécialisées au Centre-du-Québec


 Publié le 7 juillet 2025

Dans l’objectif du gouvernement d’améliorer l’accès aux services de première ligne, le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, ministre responsable de la région du Centre-du-Québec et député de Johnson, André Lamontagne, accompagné du député de Drummond-Bois-Francs, Sébastien Schneeberger, a souligné aujourd’hui, au nom du ministre de la Santé, Christian Dubé, l’ouverture de deux nouvelles cliniques d’infirmières praticiennes spécialisées (IPS) dans la région du Centre-du-Québec. Cette annonce s’inscrit dans le cadre de l’engagement du gouvernement d’ouvrir 23 cliniques publiques d’IPS d’ici 2028. Elle est rendue possible grâce aux efforts déployés par les équipes de Santé Québec dans la région.

Ces cliniques, situées à Drummondville et à Plessisville, visent à offrir un meilleur accès aux services de première ligne aux personnes de la région, et notamment à celles qui n’ont pas de médecin de famille. Rappelons que depuis le 15 avril 2024, les IPS en première ligne qui travaillent dans les cliniques IPS peuvent prendre en charge les patients qui n’ont pas de médecin de famille. Dorénavant, elles peuvent assurer le suivi à long terme de patients, en plus des problèmes de santé ponctuels. Le gouvernement allège ainsi la pression sur les urgences et contribue à libérer davantage de temps aux médecins afin qu’ils se consacrent à des personnes ayant des problèmes de santé plus lourds.

Plusieurs professionnels mis à contribution

Trois IPS travaillent actuellement à la clinique IPS de Drummondville, située dans le Centre multiservice de santé et de services sociaux Saint-Jean. Des médecins de l’urgence de l’Hôpital Sainte-Croix y collaborent aussi en offrant des disponibilités. Une équipe multidisciplinaire, composée de personnel en soins infirmiers et d’un travailleur social, est également présente. L’équipe de la clinique IPS de Plessisville, située au CLSC de l’Érable, est quant à elle actuellement composée de deux IPS qui travaillent en collaboration étroite avec une équipe d’infirmières.

Citations :

« L’ouverture de ces deux nouvelles cliniques d’IPS à Drummondville et à Plessisville est une excellente nouvelle pour la population du Centre-du-Québec. Grâce à l’expertise des infirmières praticiennes spécialisées et au travail d’équipes sur le terrain, on améliore concrètement l’accès aux soins pour les gens qui n’ont pas de médecin de famille. C’est exactement le type d’initiative qui permet de désengorger nos urgences tout en assurant un meilleur suivi de santé pour la population, tel que nous nous y sommes engagés dans le Plan santé. »

Christian Dubé, ministre de la Santé

« L’ouverture de ces deux cliniques d’infirmières praticiennes spécialisées constitue une excellente nouvelle pour le Centre-du-Québec. Grâce aux installations de Drummondville et de Plessisville, des soins de santé professionnels deviennent plus accessibles d’un bout à l’autre de la région. Je remercie chaleureusement toutes les équipes impliquées dans la concrétisation de ce projet qui témoigne d’un engagement indéfectible envers l’amélioration de services centrés sur les besoins réels de la population. »

André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, ministre responsable de la région du Centre-du-Québec et député de Johnson

« Je me réjouis de l’ouverture de ces deux cliniques, en plein cœur de notre région, sur un territoire où les besoins sont croissants en matière de santé. Les cliniques IPS viennent concrètement améliorer l’accessibilité et la qualité des soins offerts aux gens d’ici. J’en remercie M. Dubé et ses équipes. »

Sébastien Schneebergerdéputé de Drummond-Bois-Francs

Faits saillants :