Québec appuie la croissance du Groupe Océan


 Publié le 22 juillet 2025

La ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie et ministre responsable du Développement économique régional, Mme Christine Fréchette, le député de Charlesbourg, ministre responsable des Infrastructures et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, M. Jonatan Julien, la députée de Charlevoix-Côte-de-Beaupré et adjointe parlementaire du ministre des Finances, Mme Kariane Bourassa, et la présidente-directrice générale d’Investissement Québec, Mme Bicha Ngo, annoncent des investissements du gouvernement du Québec totalisant 145 millions de dollars dans le capital du Groupe Océan. Ce soutien permettra de favoriser la croissance et la pérennité de cette entreprise majeure du secteur maritime ainsi que de maintenir son siège social et des emplois bien rémunérés au Québec.

Ainsi, le gouvernement du Québec investit 75 millions de dollars sous forme d’actions privilégiées. À ce montant s’ajoutent des contributions de 34 millions de dollars provenant du Fonds pour la croissance des entreprises québécoises, administré par Investissement Québec en tant que mandataire du gouvernement, et de 36 millions de dollars issus des fonds propres d’Investissement Québec.

Grâce à cet appui, le Groupe Océan pourra participer encore davantage à la stratégie maritime du Québec en développant ses chantiers maritimes, dont ceux situés à Québec et à L’Isle-aux-Coudres, dans Charlevoix. L’entreprise entend ainsi augmenter sa capacité à tirer profit des occasions offertes par la Stratégie nationale de construction navale du gouvernement du Canada et consolider sa position dans ce marché.

Dans le contexte géopolitique actuel, il est plus que jamais nécessaire d’investir dans la croissance et la productivité des entreprises pour les rendre plus attrayantes et compétitives dans des secteurs stratégiques comme les industries maritimes et de la défense.

Citations :

« En soutenant le Groupe Océan, notre gouvernement s’assure de conserver son siège social ici, tout en favorisant l’essor de ce fleuron québécois sur le marché canadien comme à l’international. On consolide ainsi la position du Québec dans l’industrie de la défense, on encourage l’innovation et on renforce la chaîne d’approvisionnement québécoise dans le domaine maritime, un secteur stratégique de notre économie. »

Christine Fréchette, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie et ministre responsable du Développement économique régional

« Depuis plus de cinquante ans, le Groupe Océan génère des retombées substantielles et contribue à la vitalité de la Capitale-Nationale. Grâce à cet investissement, on maintient son centre décisionnel ici, au bénéfice de l’économie de toute la région et du Québec. »

Jonatan Julien, député de Charlesbourg, ministre responsable des Infrastructures et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale

« Notre gouvernement répond présent pour favoriser la prospérité des entreprises d’ici, comme le Groupe Océan, qui fait rayonner le savoir-faire québécois et de Charlevoix dans l’industrie navale. Je me réjouis de cette aide, qui permet de conserver de nombreux emplois spécialisés à L’Isle-aux-Coudres. »

Kariane Bourassa, députée de Charlevoix-Côte-de-Beaupré et adjointe parlementaire du ministre des Finances

« En prenant une participation dans le Groupe Océan, Investissement Québec soutient une entreprise unique, un véritable fleuron dont les activités génèrent d’importantes retombées économiques pour le Québec et ses régions. Cette intervention financière de la part de la société d’État s’inscrit parfaitement dans sa mission : préserver l’actionnariat québécois de l’entreprise tout en lui permettant de maintenir sa position stratégique dans l’industrie maritime, un secteur névralgique de notre économie. »

Bicha Ngo, présidente-directrice générale d’Investissement Québec

« La Caisse appuie le Groupe Océan dans sa croissance au Québec et à l’international depuis maintenant plus de dix ans. Ce nouvel investissement s’inscrit parfaitement dans sa stratégie visant à créer des champions nord-américains et mondiaux tout en générant des retombées au Québec. Après avoir accompagné le Groupe Océan dans la préparation de sa relève au cours des dernières années, nous poursuivons aujourd’hui notre engagement en soutenant l’essor de cette entreprise phare de l’économie maritime québécoise, qui est bien positionnée pour saisir les nombreuses occasions qu’offre ce secteur. »

Kim Thomassin, première vice-présidente et cheffe – Québec de La Caisse

« Cette étape représente l’aboutissement d’un travail rigoureux de planification de la croissance entrepris il y a plusieurs années. Nous sommes fiers de pouvoir compter sur des partenaires solides, ancrés au Québec, pour écrire le prochain chapitre de l’histoire du Groupe Océan. Nous le ferons entourés d’une équipe fabuleuse et de la réputation qui nous précède. »

Jacques Tanguay, président et chef de la direction du Groupe Océan

Faits saillants :

  • Fondé en 1972, le Groupe Océan se spécialise dans les services maritimes tels que le remorquage, la location d’équipement, le pilotage, la construction et la réparation navale ainsi que le dragage. Il exerce principalement ses activités dans le fleuve Saint-Laurent, les Grands Lacs et l’Ouest canadien, et en Jamaïque.
  • Au Québec, le Groupe Océan détient les chantiers maritimes de Québec, de L’Isle-aux-Coudres, dans Charlevoix, et des Méchins, dans le Bas-Saint-Laurent. L’entreprise compte environ 1 120 employés répartis à travers le Canada, dont quelque 1 050 au Québec.
  • Entre autres réalisations majeures dans la Capitale-Nationale, le Groupe Océan :
    • effectue depuis 2009, grâce aux améliorations apportées à sa rampe de halage de 5 000 tonnes, des entretiens en cale sèche pour la Société des traversiers du Québec, qui exploite notamment le traversier Félix-Antoine-Savard, reliant L’Isle-aux-Coudres à Saint-Joseph-de-la-Rive;
    • a construit le puissant remorqueur portuaire Ocean-Pierre-Julien pour la Côte-Nord, qui a nécessité 14 mois et quelque 160 travailleurs de la région de Charlevoix;
    • a assuré le transport de pièces hors norme pour le nouveau pont Champlain.
  • La Stratégie nationale de construction navale du gouvernement du Canada est dotée d’une enveloppe de plus de 100 milliards de dollars. Ce projet à long terme vise à renouveler la flotte fédérale de navires destinés à la Marine royale canadienne, à Transports Canada et à la Garde côtière canadienne.

Ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie sur les réseaux sociaux :

Investissement Québec sur les réseaux sociaux :

58 nouveaux logements sociaux et abordables au Monastère Sainte-Claire à Rivière-du-Loup 


 Publié le 18 juillet 2025

Le gouvernement du Québec, la Ville de Rivière-du-Loup et le Fonds de solidarité FTQ marquent le coup d’envoi des travaux visant à créer 58 nouveaux logements sociaux et abordables à Rivière-du-Loup. L’organisme Logements Populaires du Bas-Saint-Laurent, appuyé par le groupe de ressources techniques Habitations Populaires de l’Est, s’est donné pour mission de convertir le Monastère Sainte-Claire en milieu de vie sain et abordable. Cette initiative verra le jour rapidement grâce à la combinaison de plusieurs leviers financiers et techniques. 

Ce projet de près de 25 M$ est soutenu par le gouvernement du Québec avec une contribution d’environ 8 M$, dont 5,2 M$ proviennent de l’Entente Fonds de solidarité FTQ-Québec. La Ville de Rivière-du-Loup, quant à elle, accordera un crédit de taxes foncières à 100 % pendant 35 ans ainsi qu’un crédit de 50 % sur les taxes de services pour la même durée, en plus d’une contribution de 203 636 $ en vertu du programme Rénovation Québec. S’ils y sont admissibles, 46 ménages pourraient bénéficier du Programme de supplément au loyer Québec de la Société d’habitation du Québec (SHQ). Concrètement, cette aide financière permet au ménage de limiter sa contribution au paiement du loyer à un montant correspondant à 25 % de son revenu. 

Situé au 7, rue Pelletier, à Rivière-du-Loup, le monastère sera transformé en 28 logements. Simultanément, sur le terrain adjacent, une annexe de 30 logements modulaires, répartis sur 3 étages, sera érigée. Tous les appartements seront certifiés Novoclimat et respecteront les critères d’accessibilité pour être adaptés aux besoins des personnes à mobilité réduite. Les premiers locataires devraient emménager au début de 2027. 

Vers la création de 2 250 logements sociaux ou abordables 

Dans le cadre du partenariat innovant convenu entre le gouvernement du Québec et le Fonds de solidarité FTQ, 2 250 nouveaux logements sociaux ou abordables doivent être créés d’ici 2027. Les projets sont majoritairement de nouvelles constructions, auxquelles s’ajoutent, dans une moindre proportion, des acquisitions d’immeubles existants dans le but de les rénover et de pérenniser l’abordabilité des loyers. 

Citations 

« Je l’ai dit souvent : il faut innover pour construire plus et mieux, surtout en contexte de crise du logement. Ce projet en est une belle preuve : on combine des solutions financières et techniques pour livrer rapidement 58 logements sociaux et abordables, tout en préservant notre patrimoine bâti. Je me réjouis de pouvoir compter sur des partenaires solides, comme le Fonds de solidarité FTQ, pour financer cette initiative novatrice. Ensemble, avec les municipalités et les organismes d’habitation, on agit concrètement pour mieux loger les Québécoises et les Québécois à revenu faible ou modeste. » 

France-Élaine Duranceau, ministre responsable de l’Habitation 

« Le logement a toujours été l’une de mes grandes priorités, depuis le jour 1 de mon élection. Attendu depuis très longtemps, je me réjouis de voir que ce projet de logements abordables au Monastère Sainte-Claire verra enfin le jour grâce au financement et aux mesures concrètes de notre gouvernement. Réaliser des logements abordables en réaffectant un bâtiment patrimonial comme le Monastère représente un véritable exploit. Je tiens à remercier la grande contribution de ma collègue France-Élaine, qui a permis la réalisation de ce beau projet qui sera également bonifié de 30 unités. Je tiens également à remercier les Logements Populaires du Bas-Saint-Laurent pour ce magnifique projet, qui contribuera à bonifier de façon significative l’offre de logements abordables pour Rivière-du-Loup ! » 

Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup – Témiscouata – Les Basques 

« Nous avons un réel besoin de nouveaux logements à Rivière-du-Loup, rappelle la mairesse suppléante Chantal Amstad. L’économie de la ville vire à plein régime, propulsée par nos entreprises et nos commerçants; il est donc impératif de créer de nouveaux logis, toutes catégories confondues. Avec ce projet qui se concrétise enfin et auquel nous sommes très fiers de participer, le conseil municipal atteint deux objectifs phares, soit la création de logements et la protection du patrimoine bâti. Le fait qu’il s’agisse d’unités de logement abordable et que le site soit situé à proximité du centre-ville ajoute énormément de valeur aux investissements faits par la Ville dans ce complexe d’habitation au bénéfice de toute la communauté louperivoise. » 

Chantal Amstad, mairesse suppléante de la Ville de Rivière-du-Loup 

« Ce projet témoigne de notre engagement avec le gouvernement du Québec à accélérer la réalisation de plus de logements hors marché pour desservir les besoins de tous les types de ménages. Nous sommes fermement en action avec les organismes porteurs des projets dans plusieurs régions au Québec. Je salue l’organisme Logements Populaires du Bas-Saint-Laurent qui porte fièrement ce projet. » 

Martin Raymond, président-directeur général du Fonds immobilier de solidarité FTQ 

« Logements Populaires du Bas-Saint-Laurent est fier de contribuer à l’effort collectif en apportant des solutions novatrices et concrètes à la crise du logement sévissant actuellement. En donnant le coup d’envoi aux travaux de transformation et de construction pour le projet du Monastère Sainte-Claire, nous pourrons répondre rapidement à un besoin pressant en logements sociaux et abordables à Rivière-du-Loup. » 

Marie Duchesne, présidente de Logements Populaires du Bas-Saint-Laurent 

Faits saillants : 

·                L’architecte du projet est Alpha Architecture. 

·                Pour ce projet, l’organisme Logements Populaires du Bas-Saint-Laurent est accompagné par le groupe de ressources techniques Habitations Populaires de l’Est. 

·                Les travaux de construction devraient se terminer à la fin de 2026. 

·                Au total, 46 ménages pourraient bénéficier du Programme de supplément au loyer Québec de la Société d’habitation du Québec (SHQ). S’ils y sont admissibles, les locataires pourraient ainsi limiter leur contribution au paiement du loyer à un montant correspondant à 25 % de leur revenu. Cette aide additionnelle est assumée à 90 % par la SHQ et à 10 % par la Ville de Rivière-du-Loup. 

Lancement des travaux de 90 logements sociaux et abordables pour personnes aînées à Longueuil


 Publié le 18 juillet 2025

Le gouvernement du Québec, le gouvernement du Canada, la Ville de Longueuil, l’Office d’habitation de Longueuil et la Coopérative de solidarité en habitation Laure-Gaudreault soulignent aujourd’hui le début de deux chantiers totalisant 90 logements sociaux et abordables destinés à des personnes aînées à Longueuil. Ces deux projets représentent un investissement d’un peu plus de 36 M$.

RÉSUMÉ DU PROJET SAINT-ROCH PHASE II

Porteur du projet :                     Office d’habitation de Longueuil
Nombre de logements :            36
Clientèle :                                    personnes aînées
Coût total :                                  12,7 M$          

Répartition des investissements :

Gouvernement du Québec (par la Société d’habitation du Québec – SHQ) : 2,8 M$. La SHQ garantit également le prêt hypothécaire contracté par l’organisme.  

Gouvernement du Canada : 
3,8 M$

Ville de Longueuil : 
1,6 M$

Suppléments au loyer : 28 des 36 ménages auront la possibilité de bénéficier du Programme de supplément au loyer Québec de la SHQ, ce qui leur permettra de limiter leur contribution au paiement du loyer à un montant correspondant à 25 % de leur revenu. Cette aide additionnelle est assumée à 90 % par la SHQ et à 10 % par la Ville de Longueuil.

RÉSUMÉ DU PROJET LAURE-GAUDREAULT

Porteur du projet :                     Coopérative de solidarité en habitation Laure-Gaudreault
Nombre de logements :            54      
Clientèle :                                    personnes aînées                                          
Coût total :                                  24 M$                                                 

Répartition des investissements :

Gouvernement du Québec (par la SHQ) : 13,6 M$. Une entente tripartite entre le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation, la SHQ et la Ville de Longueuil de 8,8 M$ est comprise dans le financement. La SHQ garantit également le prêt hypothécaire contracté par l’organisme.  

Gouvernement du Canada : 4,8 M$

Ville de Longueuil : 
1,6 M$

Suppléments au loyer : Jusqu’à 43 des 54 ménages auront la possibilité de bénéficier du Programme de supplément au loyer Québec de la SHQ, ce qui leur permettra de limiter leur contribution au paiement du loyer à un montant correspondant à 25 % de leur revenu. Cette aide est assumée à 90 % par la SHQ et à 10 % par la Ville de Longueuil.

Citations :

« Tous les efforts sont déployés par notre gouvernement pour que tous les Québécois puissent avoir accès à un toit qui correspond à leurs besoins. La participation financière de notre gouvernement dans ces projets pour personnes aînées est primordiale. C’est encore une fois la preuve que nos investissements touchent toutes les régions du Québec et toutes les personnes qui ont besoin d’un logement social et abordable. »

France-Élaine Duranceau, ministre responsable de l’Habitation

« Notre gouvernement présente le plan sur le logement le plus ambitieux du Canada depuis la Seconde Guerre mondiale. Les mesures sur lesquelles nous travaillons permettront de doubler le taux de construction résidentielle à travers le pays. Notre collaboration avec nos partenaires nous permet de nous rapprocher de notre objectif, afin d’offrir aux Québécois et Québécoises des logements plus abordables. » 

L’honorable Gregor Robertson, ministre du Logement et de l’Infrastructure

« Je suis très fière de voir ces deux projets prendre forme à Longueuil, car ils témoignent de notre volonté d’offrir aux personnes aînées des milieux de vie sécuritaires et adaptés. Que ce soit par des logements sociaux et abordables ou par d’autres solutions, notre gouvernement passe à l’action pour offrir à cette population des environnements respectueux, sécuritaires et à la hauteur de leurs attentes, en plaçant leur bien-être et leur autonomie au cœur de nos priorités. »

Sonia Bélanger, ministre responsable des Aînés, ministre déléguée à la Santé, ministre responsable de la région des Laurentides et députée de Prévost

« Grâce à des projets de partenariat comme ceux annoncés aujourd’hui, nous innovons pour améliorer la vie de nos communautés. En construisant 90 nouveaux logements à Longueuil, on offre ainsi à davantage d’aînés un chez-soi chaleureux et sécuritaire pour mieux vieillir, et qu’ils peuvent se permettre. Ensemble, avec le gouvernement du Québec, la Ville de Longueuil, l’Office d’habitation de Longueuil et la Coopérative de solidarité en habitation Laure-Gaudreault, nous contribuons à bâtir une collectivité plus forte et un Canada plus fort pour tous. »

Sherry Romanado, députée de Longueuil-Charles-Lemoyne

« Je suis particulièrement heureuse de voir ces deux projets sortir de terre à Longueuil, ici, dans ma circonscription. Ils illustrent notre engagement envers nos personnes aînées à créer des milieux de vie qui sont à la fois sécuritaires et abordables. Je tiens à souligner le travail de l’Office d’habitation de Longueuil, de la Coopérative de solidarité en habitation Laure-Gaudreault ainsi que de tous les autres collaborateurs. »

Shirley Dorismond, députée de Marie-Victorin et adjointe parlementaire du ministre responsable des Services sociaux

« Je tiens à souligner la force de la collaboration entre les différents paliers de gouvernement, l’Office d’habitation de Longueuil, la Coopérative de solidarité en habitation Laure-Gaudreault ainsi que l’ensemble des partenaires mobilisés pour la réussite de ces projets. C’est grâce à ces efforts concertés que nous sommes parvenus à les transformer en actions concrètes, au bénéfice des Longueuilloises et des Longueuillois. Ces deux chantiers de logements sociaux et communautaires illustrent notre volonté commune d’améliorer la qualité de vie de nos aînés en favorisant une communauté inclusive, solidaire et bienveillante. »

Catherine Fournier, mairesse de Longueuil

« Ce projet est le fruit d’un travail de collaboration de longue date entre nos précieux partenaires municipaux, provinciaux et fédéraux, appuyé par notre équipe de professionnels. Il témoigne de notre engagement à bâtir des milieux de vie inclusifs et durables pour les aînés. Nous sommes très fiers de cette construction, qui accueillera de nouveaux locataires à l’été 2026. » 

Catherine Carré, directrice générale de l’Office d’habitation de Longueuil

« C’est un grand jour pour nous. Toutes ces dernières années, depuis 2016, nous avons persisté à croire en ce projet et à travailler à sa réalisation, soutenus par le Groupe de ressources techniques de la Fédération des coopératives d’habitation de la Montérégie. En mon nom et au nom des membres du conseil d’administration de la Coopérative de solidarité en habitation Laure-Gaudreault, je tiens à remercier le gouvernement du Canada (Société canadienne d’hypothèques et de logement), le gouvernement du Québec (ministère des Affaires municipales et de l’Habitation et SHQ) et la Ville de Longueuil de nous permettre d’y croire et de pouvoir habiter bientôt un logement de qualité, abordable et sécuritaire dans un milieu de vie qui nous permettra de créer des liens, de nous doter des services, de vivre des projets et d’en offrir à la communauté. »

Jeannine Marcotte, présidente du conseil d’administration de la Coopérative de solidarité en habitation Laure-Gaudreault

À propos de la Société d’habitation du Québec

En tant que référence en habitation, la SHQ a pour mission de répondre aux besoins en habitation des citoyens du Québec par son expertise et ses services aux citoyens. Pour ce faire, elle offre des logements abordables ou à loyer modique et elle propose un éventail de programmes d’aide favorisant la construction et la rénovation résidentielles, l’adaptation de domicile et l’accession à la propriété.

Pour en savoir plus sur ses activités, consultez le www.habitation.gouv.qc.ca.

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Nouveau projet de règlement pour améliorer l’accès des ménages aux logements à loyer modique


 Publié le 17 juillet 2025

Le gouvernement du Québec présente aujourd’hui un projet de règlement visant à modifier certaines règles encadrant l’attribution des logements à loyer modique, en réponse aux besoins évolutifs des ménages à faible revenu. Actuellement en prépublication dans la Gazette officielle du Québec, ce projet s’inscrit dans une volonté d’optimiser l’occupation des HLM et d’améliorer leur accessibilité.

Le Règlement sur l’attribution des logements à loyer modique (RLRQ, chapitre S-8, r. 1) encadre l’attribution de logements financés par les programmes suivants :

  • le Programme de logement sans but lucratif (PSBL), volets Public et Privé;
  • le Programme de supplément au loyer Québec (PSLQ) ;
  • le Programme de supplément au loyer (PSL), issu d’ententes Canada-Québec sur l’habitation sociale.

Ces programmes soutiennent actuellement plus de 114 320 ménages à faible revenu, leur permettant de bénéficier d’un logement dont le loyer correspond à 25 % de leur revenu (plus certaines charges).

Une mesure attendue pour mieux répondre aux réalités sociales

La principale modification proposée consiste à autoriser la colocation dans les logements à loyer modique destinés aux familles. La colocation est actuellement autorisée lorsque le ménage comprend un proche aidant, ainsi que dans les logements destinés aux personnes âgées de 65 ans et plus, aux personnes handicapées ayant des limitations d’accès ou de mobilité, ou encore aux personnes ayant des besoins particuliers nécessitant des installations spéciales ou des services d’assistance.

Cette mesure, attendue par plusieurs acteurs du milieu, permettra une meilleure adéquation entre la composition des ménages et la typologie des logements disponibles, tout en contribuant à une gestion plus efficiente du parc immobilier.

Autres modifications proposées

Le projet de règlement prévoit également :

  • Le remplacement de la notion de victime de violence conjugale par celle de victime de violence familiale, y compris conjugale ;
  • La possibilité pour les demandeurs de logements à loyer modique d’utiliser une attestation produite par un centre d’aide aux victimes d’infractions criminelles pour démontrer une situation de violence familiale, y compris conjugale ;
  • L’allongement à 30 jours du délai pour déposer une demande prioritaire à la suite d’un sinistre ou lorsqu’un logement est déclaré impropre à l’habitation par une municipalité.

Consultation publique

Conformément aux procédures en vigueur, une consultation publique de 45 jours est en cours à la suite de la prépublication dans la Gazette officielle du Québec. Elle permettra aux parties prenantes de faire valoir leurs points de vue et de contribuer à l’amélioration du cadre réglementaire.

La version définitive du règlement sera adoptée et publiée dans la Gazette après analyse des commentaires reçues.

À propos de la Société d’habitation du Québec

En tant que référence en habitation, la SHQ a pour mission de répondre aux besoins en habitation des citoyens du Québec par son expertise et ses services aux citoyens. Pour ce faire, elle offre des logements abordables ou à loyer modique et elle propose un éventail de programmes d’aide favorisant la construction et la rénovation résidentielles, l’adaptation de domicile et l’accession à la propriété.

Pour en savoir plus sur ses activités, consultez le www.habitation.gouv.qc.ca.

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Plus d’un million de dollars pour poursuivre le développement du secteur biologique québécois


 Publié le 16 juillet 2025

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec, M. André Lamontagne, annonce 1 150 000 $ pour soutenir le développement du secteur biologique au Québec.

Cette aide, accordée à la Filière biologique du Québec, permettra de développer de nouveaux marchés et de faire augmenter la demande pour les produits biologiques d’ici sur le marché québécois.

Dans un contexte d’instabilité commerciale avec les États-Unis, principal marché d’exportation des produits biologiques québécois, le gouvernement vise ainsi à diversifier les marchés et à accroître l’autonomie alimentaire du Québec.

Ce nouveau soutien arrive alors que le secteur biologique québécois connaît une croissance exceptionnelle depuis les huit dernières années. Le Québec compte maintenant quelque 3 500 entreprises qui produisent et transforment des aliments biologiques, ce qui représente près de 50 % du nombre d’entreprises au pays.

Citations 

« Je suis heureux de ce nouvel appui qui permettra à la Filière biologique du Québec de tirer avantage de la croissance des dernières années et de voir encore plus grand! Avec cette annonce, votre gouvernement pose un geste concret afin de favoriser la production et la transformation d’aliments sains et locaux, pour une plus grande autonomie alimentaire. »

André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec

« Nous sommes convaincus que cet investissement sera bénéfique pour l’ensemble du secteur biologique québécois, car il permettra d’améliorer l’environnement commercial des entreprises et d’accroître la valorisation et la promotion des produits biologiques d’ici. »

Daniel Dubuc, président de la Filière biologique du Québec

Faits saillants

  • Depuis 2015, plus de 50 millions de dollars ont été investis par le gouvernement pour soutenir le développement du secteur biologique au Québec.
  • Le nombre d’entreprises de production et de transformation certifiées biologiques a plus que doublé au cours des huit dernières années.
  • La Filière biologique du Québec coordonne la mise en œuvre du plan stratégique du secteur, favorise la réalisation de projets collectifs et veille à la cohérence des interventions dans le domaine.
  • Les aliments biologiques québécois répondent aux attentes croissantes des consommateurs en matière de santé, de protection de l’environnement, de bien-être animal et d’économie locale.

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Plus de soutien pour les festivals et les événements touristiques, plus de retombées économiques pour le Québec


 Publié le 14 juillet 2025

La ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière, Mme Caroline Proulx, annonce avec enthousiasme de nouvelles modalités au programme Aide financière aux festivals et aux événements touristiques. Ces bonifications permettront de soutenir encore davantage ces moteurs de développement incontournables pour le tourisme et l’économie du Québec.

Ces ajustements, pensés en concertation avec des promoteurs, des organisateurs et des acteurs du milieu, témoignent de la volonté du gouvernement de répondre aux besoins concrets du terrain.

Parmi les changements importants et significatifs :

  • Pour le volet 1 – Festivals et événements touristiques majeurs, l’aide financière maximale passe de 1 million de dollars à 1,25 million.
  • Pour le volet 4 – Événements ponctuels, l’aide maximale pouvant être accordée bondit de 750 000 $ à 2 millions de dollars. En contrepartie, le seuil minimal des coûts admissibles pour présenter une demande dans le cadre de ce volet est porté à 2 millions de dollars, plutôt qu’à 1 million.
  • Enfin, pour assurer une prévisibilité optimale, les organisateurs pourront à nouveau bénéficier d’une aide triennale ou jusqu’à la fin du programme. Il sera également possible de réviser à la hausse une seule fois l’aide financière, si les coûts admissibles augmentent de plus de 20 %.

Les festivals et les événements touristiques sont de véritables locomotives économiques. À titre d’exemple, les six principaux événements touristiques majeurs génèrent à eux seuls des retombées moyennes de 30 millions de dollars chacun par année.

Grâce à ce programme important, le gouvernement a soutenu en 2024-2025 plus de 300 événements à travers le Québec, qui ont su maintenir, enrichir et renouveler l’offre événementielle.

Citation :

« Les festivals et les événements font partie de l’image de marque du Québec et sont une des clés de voûte de son offre touristique. Ces produits d’appel importants auprès des visiteurs de l’extérieur représentent de véritables locomotives économiques pour nos régions. Avec ce nouveau cadre normatif, on continue d’offrir au secteur événementiel le soutien et la prévisibilité dont il a besoin pour se développer, tout en se donnant des moyens supplémentaires pour faire face à la concurrence internationale et attirer et maintenir au Québec encore plus d’événements d’envergure. »

Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière

Faits saillants :

  • Le nouveau cadre normatif du programme s’applique aux festivals et aux événements ayant lieu après le 1er avril 2026 (volet 4) et le 1er mai 2026 (autres volets).
  • Le premier appel de projets lié au nouveau cadre normatif sera annoncé ultérieurement. Il est possible de faire une demande dès maintenant pour le volet 4, pour un événement se déroulant après le 1er avril 2026.
  • Le programme Aide financière aux festivals et aux événements touristiques permet de soutenir des initiatives qui encouragent le développement d’une offre touristique diversifiée et attrayante partout au Québec.
  • Ses objectifs généraux sont les suivants :
    • renforcer la position de la destination québécoise sur la scène nationale et internationale;
    • favoriser le développement des festivals et des événements touristiques dans une approche responsable et durable, et ce, partout au Québec;
    • accroître les retombées économiques pour les régions et les communautés locales.
  • Dans le plus récent budget du gouvernement du Québec, les sommes prévues portent l’enveloppe du programme à 140,4 millions de dollars pour 2026-2027 à 2029-2030, soit une hausse de 5 millions annuellement par rapport à 2025-2026.
  • Pour les volets 1 et 2, les études (provenance et achalandage/retombées économiques) réalisées avant 2025 seront acceptées. Toutefois, pour le volet 1, tous les organisateurs d’événements soutenus devront en réaliser de nouvelles avant la fin de leur convention d’aide. Ceux appuyés au volet 2 devront faire de même si leur étude a été réalisée avant 2023.

Lien connexe :
Programme Aide financière aux festivals et aux événements touristiques 

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Près de 142 M$ pour renforcer l’économie sociale au Québec et soutenir les entreprises collectives


 Publié le 11 juillet 2025

Le ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval, M. Christopher Skeete, a dévoilé aujourd’hui le Plan d’action gouvernemental en économie sociale (PAGES) 2025-2030. Ce plan prévoit des interventions de 141,9 millions de dollars, qui contribueront à réaliser 4 000 activités d’accompagnement et de financement d’entreprises collectives. Ces dernières généreront des investissements totaux de 565 millions de dollars.

Le PAGES vise les objectifs suivants :

  • optimiser l’accompagnement et les outils financiers existants;
  • centrer les interventions sur les entreprises collectives et leur croissance;
  • assurer un cadre gouvernemental favorable à l’essor de ces entreprises;
  • renforcer l’action de l’économie sociale en réponse à des enjeux de société.

Dans le cadre du PAGES, le gouvernement annonce son soutien à des partenaires du domaine de l’économie sociale. Un montant de 13,44 millions de dollars est ainsi alloué au Conseil québécois de la coopération et de la mutualité (CQCM), jusqu’en 2027, en vue de renouveler le partenariat pour le développement des coopératives. Cette entente permet aux organismes de soutien d’accompagner les entreprises collectives et de contribuer au développement coopératif régional, national et sectoriel.

De plus, le gouvernement octroie 2,07 millions de dollars sur deux ans au Chantier de l’économie sociale afin d’appuyer ses activités de concertation, de promotion et de soutien au développement de l’économie sociale.

Dans le contexte économique actuel, il est plus important que jamais de renforcer l’écosystème d’économie sociale dans le but de proposer des solutions novatrices aux grands enjeux sociétaux et d’assurer ainsi le mieux-être des collectivités dans toutes les régions du Québec.

Citations :

« L’économie sociale est un moteur de changement et de croissance économique qui répond de manière durable aux défis de notre société. Notre gouvernement a à cœur d’améliorer l’environnement d’affaires pour que nos entreprises collectives puissent atteindre leur plein potentiel. Avec le PAGES et la collaboration des partenaires, on met tout en place pour favoriser l’essor de cette économie porteuse d’avenir pour le Québec. »

Christopher Skeete, ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

« Les coopératives et les mutuelles représentent des réponses aux grands défis actuels concrètes et enracinées dans les communautés. Pour amplifier leurs retombées, il est essentiel de poursuivre nos efforts en matière d’éducation à l’entrepreneuriat collectif, d’assurer une relève compétente en gestion et de valoriser ces emplois porteurs de sens auprès de la main-d’œuvre. Nous sommes fiers que le Québec soit reconnu comme un chef de file du développement coopératif à l’échelle internationale. Le renouvellement du PAGES vient soutenir cette force collective et continue d’ouvrir la voie à une économie plus humaine, résiliente et inclusive. »

Marie-Josée Paquette, directrice générale du CQCM

« Le Chantier de l’économie sociale se réjouit de l’annonce du PAGES 2025-2030. Le financement renouvelé pour notre organisme lui-même reflète la reconnaissance de l’importance de travailler de concert à l’identification de conditions pour la consolidation, l’expérimentation et la création de nouveaux créneaux et projets en économie sociale. Plus largement, c’est l’occasion de développer, au courant des prochains mois et années, des manières d’appuyer le travail essentiel des entreprises collectives partout sur le territoire. Inspirés par le récent Sommet de l’économie sociale, lors duquel des acteurs du développement territorial se sont dotés d’une vision et de moyens pour l’économie sociale au Québec, nous serons heureux de travailler avec le gouvernement dans le déploiement de ce plan d’action afin de concrétiser cette vision d’une économie qui travaille pour nous. »

Béatrice Alain, directrice générale du Chantier de l’économie sociale

Faits saillants :

  • Le CQCM a pour mission de participer au développement social et économique du Québec en favorisant le plein épanouissement du mouvement coopératif et mutualiste québécois, et ce, en accord avec les principes et les valeurs de l’Alliance coopérative internationale.
  • Le Chantier de l’économie sociale travaille en collaboration avec les principaux acteurs de soutien de ce secteur à l’échelle du Québec. Il vise à promouvoir l’économie sociale, à encourager la concertation et à assurer l’essor des entreprises collectives par le biais d’activités variées.
  • À l’occasion du lancement du PAGES 2025-2030, le gouvernement a également annoncé la publication, par l’Institut de la statistique du Québec, du tout dernier Portrait statistique de l’économie sociale au Québec. Cette enquête révèle que le Québec comptait 11 360 entreprises d’économie sociale en 2022, qui ont généré quelque 250 000 emplois de qualité dans nos régions et regroupé plus de 11 millions de membres.

Des gestes concrets pour nos entreprises agricoles


 Publié le 10 juillet 2025

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec, M. André Lamontagne, profite d’une tournée des entreprises agricoles estriennes en compagnie du député de Mégantic, M. François Jacques, et du ministre de la Cybersécurité et du Numérique et député d’Orford, M. Gilles Bélanger, pour rappeler des gestes concrets qui ont été posés par le gouvernement pour soutenir le secteur agricole québécois. Ces actions vont contribuer à l’essor de l’agriculture et à accroître l’autonomie alimentaire sur tout le territoire.

Parmi les engagements marquants du gouvernement, on compte l’adoption de la Loi visant à assurer la pérennité du territoire agricole et sa vitalité. Cette loi vise à protéger le garde-manger collectif et à favoriser le développement des activités agricoles de proximité et agrotouristiques qui permettent la mise en valeur des produits locaux et régionaux.

Afin de faciliter l’accès aux terres pour la nouvelle génération d’agriculteurs, une somme de 100 millions de dollars a été investie par le gouvernement ainsi que par le Fonds de solidarité FTQ et le Mouvement Desjardins pour la mise en place du nouveau Fonds d’investissement pour la relève agricole (FIRA II). Le FIRA II permet d’aider concrètement les jeunes entrepreneurs qui souhaitent réaliser leur rêve de se lancer en agriculture.

Parallèlement à cet appui à la relève, le gouvernement intensifie ses efforts pour répondre aux enjeux climatiques auxquels le secteur est confronté. C’est pourquoi 81 millions de dollars ont été ajoutés aux sommes déjà consenties pour porter le total à 188 millions de dollars pour les cinq prochaines années. Plus de 85 % de ce montant est destiné directement aux producteurs pour des projets de réduction des émissions de gaz à effet de serre et pour de l’adaptation aux changements climatiques.

Enfin, en collaboration avec La Financière agricole du Québec, le gouvernement a lancé la réforme la plus ambitieuse à ce jour du Programme d’assurance récolte. Le programme sera simplifié, l’accès aux entreprises de petite taille sera facilité et les délais de paiement seront réduits. Déjà en 2025, avec l’appui de l’Association des producteurs maraîchers du Québec, une nouvelle clause catastrophe a été ajoutée pour les cultures maraîchères, venant atténuer l’impact des pertes importantes sur la contribution des producteurs. L’élargissement de l’application de cette clause à d’autres productions se poursuivra en 2026.

Citation 

« Votre gouvernement est fier des initiatives mises en place pour soutenir le secteur agricole. Des actions ambitieuses ont été entreprises pour protéger les terres, pour renforcer la résilience des entreprises face aux aléas climatiques et pour appuyer les jeunes de la relève, au bénéfice d’une plus grande autonomie alimentaire. »

André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec

Faits saillants

  • D’autres mesures ont contribué à mieux épauler les entreprises agricoles :
    • L’ajout d’une somme de 42 millions de dollars au Programme Investissement Croissance Durable (PICD). Cette bonification porte le montant consacré au PICD à 92 millions de dollars pour soutenir la relève agricole et accroître la productivité et la croissance des entreprises agricoles, seulement pour l’année 2024-2025. Depuis 2020, ce sont 297 millions de dollars qui ont été consacrés au PICD.
    • Les éleveurs et les producteurs verront le soutien aux services vétérinaires bonifié grâce à un investissement de 51 millions de dollars provenant du Programme intégré de santé animale du Québec. De plus, 40 % de l’investissement annoncé est consacré aux clientèles établies en régions périphériques.
    • Le gouvernement du Québec a mis en place sept mesures qui permettront de réduire la paperasse pour les agricultrices et les agriculteurs du Québec. Ces allégements représentent des économies annuelles de près de 30 millions de dollars pour les entreprises agricoles.
    • Un soutien financier additionnel de 20 millions de dollars a également été investi pour accroître la productivité et la compétitivité des entreprises spécialisées en productions végétale et apicole. L’initiative ministérielle « Proximité végétale » prévoit une bonification pour les entreprises situées en régions périphériques.
    • Un soutien financier supplémentaire de 3 millions de dollars pour soutenir des projets d’agriculture de proximité ainsi que des projets horticoles et agrotouristiques grâce à l’initiative ministérielle Proximité 2024-2026 et à l’Initiative ministérielle pour le développement des serres et des grands tunnels.
    • Un appui financier de 7,5 millions de dollars, issu de l’Initiative ministérielle : relève agricole et entrepreneuriat, pour aider davantage de jeunes agriculteurs à s’établir sur le territoire québécois. Cette aide vise à soutenir la relève agricole qui démarre une nouvelle entreprise ou qui acquiert ou reprend une entreprise existante.
  • En 2024, le Québec comptait 28 237 exploitations agricoles. Ces entreprises ont généré des recettes monétaires agricoles totales évaluées à 13 milliards de dollars et ont réalisé des investissements de 1,7 milliard de dollars.

Un réseau électrique plus puissant pour une dizaine de producteurs acéricoles du Témiscouata 


 Publié le 9 juillet 2025

Le gouvernement du Québec attribue une aide financière de 250 000 $ à la Corporation du Réseau de la Grande Coulée, située à Lejeune, pour soutenir la conversion de son réseau électrique monophasé (une ligne) en réseau triphasé (trois lignes). Ce réseau privé de plus de 35 kilomètres alimente actuellement dix producteurs acéricoles du Témiscouata.  

C’est ce qu’a annoncé aujourd’hui la députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata – Les Basques, Mme Amélie Dionne, au nom du ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, M. Benoit Charette.  

Le manque de puissance du réseau actuel oblige certains producteurs desservis à utiliser des génératrices ou des évaporateurs au mazout. Grâce à cette subvention, le nouveau réseau triphasé sera plus fiable et plus performant, capable de répondre aux besoins énergétiques croissants des entreprises. Ce projet entraînera également une réduction annuelle des gaz à effet de serre (GES) estimée de 128,5 tonnes d’équivalent CO2, soit l’équivalent de 40 véhicules à essence retirés des routes. La mise à jour du réseau permettra également d’y raccorder trois nouvelles érablières, ce qui réduira davantage les GES.  

Citations : 

« Ce projet permettra non seulement de soutenir nos entreprises acéricoles de la région, mais également de réduire leurs GES. La transformation de secteurs stratégiques comme les secteurs agricole et agroalimentaire est essentielle pour atteindre nos objectifs climatiques et c’est en misant sur l’utilisation d’énergies propres que nous y parviendrons. » – Benoit Charette, ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs  

« Je suis fière de voir des entreprises de ma circonscription, comme celles regroupées au sein de la Corporation du Réseau de la Grande Coulée, s’engager concrètement dans la transition énergétique du Québec. En adaptant les infrastructures aux besoins réels des producteurs acéricoles, on leur donne les moyens de croître, d’investir et de réduire leur empreinte écologique. C’est une grande fierté pour notre région ! » – Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata – Les Basques 

« La MRC de Témiscouata est fière de soutenir ce projet structurant à la hauteur de 127 500 $. En plus répondre concrètement aux besoins de nos entreprises acéricoles, il s’inscrit parfaitement dans notre volonté de concilier développement économique et protection de l’environnement. Ce projet démontre toute la force de la collaboration entre les producteurs, les élus et les partenaires gouvernementaux, au service d’un avenir plus vert et prospère pour notre région. » – Serge Pelletier, préfet de la MRC de Témiscouata 

« Ce soutien financier représente une avancée majeure pour notre communauté acéricole. Grâce à la mise à niveau du réseau vers le triphasé, nos producteurs auront accès à une énergie plus fiable, plus performante et plus propre. Ce projet collectif, porté par et pour les producteurs, nous permettra de moderniser nos installations tout en réduisant notre empreinte environnementale. » – Louise Veilleux, présidente de la Corporation du Réseau de la Grande Coulée 

Faits saillants : 

·       L’aide financière est accordée dans le cadre du Programme d’accès au réseau triphasé (PART) qui découle du Plan pour une économie verte 2030.  

·       Doté d’un budget initial de 25,25 millions de dollars, ce programme offre une aide financière aux entreprises des secteurs agricole et agroalimentaire qui souhaitent réaliser un projet nécessitant une extension du réseau électrique triphasé ou un raccordement à ce réseau.  

·       Depuis son lancement en 2020, le PART a permis de financer plus de 270 projets d’environ 230 entreprises agroalimentaires et agricoles au Québec.  

·       Aujourd’hui, les nouvelles technologies requièrent l’accès à un réseau triphasé pour être efficaces. Sans ce réseau, les entreprises agroalimentaires et agricoles sont limitées dans leur expansion, la modernisation de leurs équipements ou le remplacement de leurs sources d’énergie fossile par de l’électricité propre. 

La zone d’innovation de la transition énergétique poursuit son évolution


 Publié le 9 juillet 2025

La ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie et ministre responsable du Développement économique régional, Mme Christine Fréchette, était de passage à Bécancour aujourd’hui pour rencontrer des intervenants de la Vallée de la transition énergétique (VTE) ainsi que de la Société du parc industriel et portuaire de Bécancour (SPIPB) afin de faire le point sur les investissements réalisés et les projets à venir au sein de la zone d’innovation.

Lancée en mai 2023, la VTE a été déployée au sein de trois pôles, à Trois-Rivières, à Shawinigan et à Bécancour, dans le but d’accélérer le développement de la transition énergétique, notamment dans des secteurs d’avenir comme la filière batterie, la décarbonation du secteur industrialo-portuaire ainsi que la production et l’utilisation de l’hydrogène vert dans la chaîne industrielle.

Annonces récentes
Le gouvernement du Québec est en action afin d’accélérer le développement de secteurs stratégiques d’avenir et d’outiller le Québec pour la décarbonation de son économie. Ainsi, il a accordé plus de 45 millions de dollars pour la construction du pavillon Pellerin-Marmen sur les technologies vertes à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). La nouvelle infrastructure regroupera des expertises de pointe dans les domaines de l’environnement, de l’énergie et du développement durable. Le pavillon, dont l’inauguration est prévue en 2026, favorisera les partenariats entre l’enseignement supérieur et les industries et permettra la formation de personnel hautement qualifié.

Québec a aussi appuyé la création de deux cellules intégrées de recherche, d’innovation et de formation (CIRIF), soit :

  • une plateforme sur l’hydrogène et la décarbonation, portée par l’UQTR, en partenariat avec le Cégep de Trois-Rivières, les centres collégiaux de transfert de technologie (CCTT), le Centre de métallurgie du Québec et INNOFIBRE;
  • une plateforme sur l’électrification des transports et le développement de composants, portée conjointement par l’Institut national de la recherche scientifique et l’UQTR, en partenariat avec le Cégep de Shawinigan, le Centre national en électrochimie et en technologies environnementales, le Cégep de Trois-Rivières ainsi que le Cégep de Saint-Jérôme et son Institut du véhicule innovant.

La mise sur pied des CIRIF est issue de la volonté d’accélérer la recherche, l’innovation et la formation dans la VTE.

Enfin, Québec a annoncé, le 18 mars dernier, un investissement de 75 millions de dollars pour assurer les travaux du Laboratoire industriel en transition énergétique, qui soutient les entreprises de la filière batterie en vue de favoriser l’accès à des talents de haut niveau, à des infrastructures de recherche de pointe et à de l’accompagnement de spécialistes dans le domaine.

Rappelons que la VTE vise notamment les objectifs suivants :

  • conserver la place du Québec comme leader de la transition énergétique;
  • poursuivre la recherche, la formation, le développement et l’industrialisation en innovation technologique dans des domaines d’avenir;
  • promouvoir le développement de technologies et ainsi créer de la richesse;
  • favoriser les projets collaboratifs et la mutualisation des ressources pour accroître, en région, les initiatives de même que la recherche et développement.

Citations :
« La création des zones d’innovation est un outil supplémentaire que notre gouvernement a mis en place pour transformer les défis de la lutte contre les changements climatiques en occasion de développement économique. Nous sommes en train de bâtir, en Mauricie et au Centre-du-Québec, un véritable écosystème d’innovation de calibre mondial en matière de transition énergétique. Je suis fière de constater la mobilisation qui s’opère présentement au sein de la VTE, qui nous servira à atteindre nos objectifs de décarbonation de l’économie québécoise. »

Christine Fréchette, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie et ministre responsable du Développement économique régional

« Le développement de la filière batterie se poursuit! Des acteurs majeurs de l’industrie continuent de s’installer dans le parc industriel et portuaire de Bécancour et de créer des emplois de qualité. L’implantation de cette filière stratégique nous permettra de fabriquer les batteries les plus vertes au monde, de l’extraction des matières premières jusqu’au produit fini. C’est un projet d’envergure, qui connaît son lot de défis, mais qui viendra transformer l’économie du Québec. »

Donald Martel, député de Nicolet-Bécancour et adjoint parlementaire de la ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (volet zones d’innovation)

« Au Québec, nous avons la chance de pouvoir compter la compétence de chercheurs qui sont le moteur de l’innovation. Les investissements récents au campus de l’UQTR et dans les CIRIF permettront de consolider et de regrouper les expertises dans la zone d’innovation et de pousser plus loin la formation de personnel hautement qualifié dans ces secteurs de pointe. Je suis convaincue que le rapprochement des acteurs de l’enseignement supérieur et de l’industrie, rendu possible grâce aux zones d’innovation, amènera des avancées technologiques dont nous pourrons être fiers. »

Pascale Déry, ministre de l’Enseignement supérieur

« Nous avons choisi de transformer les défis de la transition énergétique en occasion de développement économique, et notre région se trouve au cœur de cette révolution. C’est stimulant de constater le rôle des établissements de Trois-Rivières se définir au sein de la VTE. L’UQTR, le Cégep de Trois-Rivières et les CCTT agissent comme leaders dans des projets de recherche collaborative qui contribueront à bâtir un avenir plus vert et prospère. »

Jean Boulet, député de Trois-Rivières, ministre du Travail et ministre responsable de la région de la Mauricie, de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec

« Au fil des ans, Shawinigan s’est bâti une solide expertise en matière de recherche et développement sur la transition énergétique. La ville accueille des équipes de recherche reconnues mondialement dans ce domaine stratégique, que ce soit au Centre de recherche d’Hydro-Québec, au Centre national en électrochimie et en technologies environnementales ou encore sur le campus francophone de l’Université Concordia. La VTE confirme l’importance des recherches réalisées chez nous en lien avec l’énergie propre et viendra favoriser le développement de notre milieu. »

Marie-Louise Tardif, députée de Laviolette-Saint-Maurice et adjointe parlementaire de la ministre des Ressources naturelles et des Forêts

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