Plus de 6 M$ pour assurer la croissance du secteur québécois des sciences de la vie


 Publié le 18 juin 2025

Le ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval, M. Christopher Skeete, a profité de sa participation au congrès international de la Biotechnology Innovation Organization (congrès BIO) à Boston afin de confirmer des investissements de plus de 6 millions de dollars pour appuyer le secteur québécois des sciences de la vie.

Consortium québécois sur la découverte du médicament (CQDM)

Le gouvernement soutient deux projets innovants dans le domaine de l’ARN par l’entremise d’un financement de plus de 700 000 $ octroyé par le CQDM dans le cadre du programme SynergiQc.

Le premier est mené par le professeur Sébastien Tremblay de l’Université Laval en collaboration avec le CQDM, la Fondation Brain Canada et les entreprises ARN Technologies & Thérapeutiques et CereCura Nanotherapeutics. Il vise à développer une nouvelle technologie à base d’ARN pour induire la production de protéines thérapeutiques dans le cerveau. Le deuxième, réalisé par le professeur Frédéric Couture de TransBIOTech de concert avec l’entreprise Feldan Thérapeutiques, permettra de mettre au point et d’évaluer une nouvelle technologie pour le traitement des maladies respiratoires. La valeur de ces deux projets est estimée à plus de 2,5 millions de dollars.

L’ouverture du pavillon du Québec a aussi marqué le lancement d’un programme de financement pour soutenir l’innovation en thérapies à ARN. L’objectif est d’appuyer les entreprises québécoises dans le développement de technologies afin de renforcer la compétitivité dans ce secteur en pleine expansion. Le programme sera géré par le CQDM par l’entremise d’AReNA, le pôle ARN du Québec, avec un financement gouvernemental de 3 millions de dollars dans le cadre de l’initiative ARN annoncée l’an dernier.

Médicament Québec

Le gouvernement accorde aussi plus de 2,4 millions de dollars à deux projets de recherche par l’entremise de Médicament Québec.

Le premier, dirigé par le professeur Jorg Fritz de l’Université McGill en partenariat avec les entreprises NovoArc, MHL Consultation technique et recherche et ARN Technologies & Thérapeutiques, concerne la création d’une plateforme collaborative pour tester de nouveaux vaccins à ARN. Le deuxième, mené par Xavier Banquy de l’Université de Montréal en collaboration avec les entreprises Lipoid, Flowid et ARN Technologies & Thérapeutiques, vise le développement d’une nouvelle technologie de production biopharmaceutique.

Ces projets contribueront à la croissance de la filière ARN du Québec et à la formation de personnel hautement qualifié, renforçant ainsi les compétences et le savoir-faire au sein de l’écosystème québécois.

Partenariats et collaborations

Le gouvernement a aussi souligné la mise en place de nombreux partenariats prometteurs pour l’essor du secteur québécois des sciences de la vie. Tout d’abord, le centre collégial de transfert de technologies TransBIOTech et les Services experts Molecular Forecaster ont uni leur expertise pour accélérer la découverte de nouveaux médicaments au Québec et au-delà. 

L’entente de collaboration entre la grappe des sciences de la vie et des technologies de la santé du grand Montréal, Montréal InVivo, et Osaka Bio Headquarters, situé au Japon, est un autre partenariat stratégique qui a été soulevé. Elle viendra enrichir le secteur des sciences de la vie, tant au Québec qu’au Japon, grâce au partage de connaissances et d’initiatives.

Deux autres ententes, signées par BIOQuébec, ont aussi été mises en lumière. La première, en partenariat avec Life Sciences British Columbia, a pour but de renforcer le secteur des sciences de la vie au Canada. La deuxième s’est faite avec la Bioscience Association Manitoba, toujours dans le but de faire avancer ce créneau stratégique. Ces initiatives visent à bâtir un écosystème canadien plus connecté, en misant sur le partage de l’expertise, des ressources et des réseaux, au bénéfice des membres des deux organisations et du rayonnement de l’industrie.

Citations :

« Le Québec est à l’avant-garde dans le domaine des sciences de la vie, et c’est une fierté de soutenir toutes ces innovations et de développer une filière industrielle forte en ARN au Québec. Je félicite les entreprises, les équipes de recherche et les organismes qui contribuent au rayonnement de ce secteur stratégique pour notre économie. Leurs initiatives démontrent clairement l’excellence de notre écosystème. On l’a encore une fois constaté au congrès BIO 2025. »

Christopher Skeete, ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

« En soutenant, dès les premiers stades, les projets innovants dans le domaine prometteur des thérapies à ARN, nous contribuons activement à créer de la valeur pour le Québec, sur le plan tant scientifique qu’économique, tout en renforçant notre position dans un secteur stratégique pour l’avenir de la santé. De plus, le lancement du programme de financement destiné aux entreprises biopharmaceutiques québécoises témoigne de la vision du gouvernement du Québec, qui est résolument engagé à appuyer cette industrie et à stimuler son pouvoir d’innovation. En les accompagnant à chaque étape clé du développement de leurs innovations, cette initiative participera concrètement à la commercialisation de procédés, de produits et de services technologiques favorisant l’essor des thérapies à ARN au Québec et elle jouera un rôle structurant dans le renforcement de cette filière d’avenir. »

Véronique Dugas, présidente et directrice générale du CQDM

« Médicament Québec est fière d’unir ses forces avec celles des partenaires du collectif la CELLULE afin de contribuer au développement de la filière ARN du Québec. Les nouveaux vaccins et médicaments à ARN ont besoin de véhicules adaptés. Leur fabrication industrielle sera facilitée par les technologies de production innovantes appuyées par le numérique et mises au point par l’équipe du PBanquy. De plus, la plateforme du Pr Fritz permettra d’explorer des voies d’administration alternatives de vaccins sans avoir recours aux aiguilles, grâce à des formulations novatrices conférant une protection immunitaire plus longue contre les pathogènes émergents. »

Arianne Trudeau, directrice de Médicament Québec

« En intégrant les capacités des Services experts Molecular Forecaster à notre offre, nous renforçons notre soutien aux entreprises qui développent de nouveaux médicaments. Ce partenariat stratégique nous permettra de proposer une chaîne complète et intégrée de services allant de la modélisation moléculaire à la validation préclinique. »

Delphine Davan, directrice des partenariats et du développement des affaires de TransBIOTech

« Nous sommes ravis d’amorcer cette collaboration avec TransBIOTech, qui va nous permettre de relier efficacement les résultats issus de la modélisation computationnelle à des données expérimentales tangibles. En complément de nos autres partenariats pour les expériences biophysiques, comme celui avec Recherche et solutions NMX – une autre entreprise québécoise -, cette synergie va considérablement enrichir notre offre de services et accélérer les cycles de développement pour nos clients au Québec et au-delà. »

Joshua Pottel, fondateur et président-directeur général des Services experts Molecular Forecaster

« Montréal InVivo est fier de signer un protocole d’entente avec Osaka Bio Headquarters, un acteur clé du développement des sciences de la vie au Japon. Ce partenariat marque le début d’une collaboration stratégique entre deux régions à fort potentiel qui partagent une vision commune : faire de l’innovation un levier de croissance et de bien-être pour nos communautés. »

Stéphanie Doyle, présidente-directrice générale de Montréal InVivo 

« Ces partenariats interviennent à un moment où il est plus important que jamais de renforcer les liens qui existent déjà au sein de l’écosystème des sciences de la vie au Canada. Nos membres, souvent actifs dans tout le pays, s’attendent à ce que les associations industrielles qui les représentent montrent l’exemple et qu’elles travaillent ensemble pour maximiser les retombées de ces collaborations. En réunissant nos forces avec celles de la Colombie-Britannique et du Manitoba, nous jetons les bases d’une fondation plus solide pour l’innovation dans le domaine des sciences de la vie à l’échelle du Canada. »

Benoît Larose, président-directeur général de BIOQuébec

« La capacité du Canada à être compétitif sur la scène mondiale dans le domaine des sciences de la vie dépend d’une collaboration solide et stratégique entre les provinces. Ce protocole d’entente reflète un engagement commun à bâtir un écosystème mieux connecté qui favorise l’innovation, soutient le développement économique et contribue à faire progresser nos priorités en matière de soins de santé. »

Wendy Hurlburt, présidente-directrice générale de Life Sciences British Columbia

« Une approche pancanadienne est essentielle pour l’avenir de notre industrie. Ce nouveau protocole d’entente avec BIOQuébec reflète un engagement commun à soutenir l’innovation, à renforcer les écosystèmes des sciences de la vie du Manitoba et du Québec et à créer de nouvelles occasions. En unissant nos efforts, nous pouvons mieux harmoniser nos ressources, amplifier notre effet et bâtir un avenir plus fort pour les sciences de la vie au Canada. »

Andrea Ladouceur, présidente-directrice générale de Bioscience Association Manitoba

Faits saillants :

  • L’industrie québécoise des sciences de la vie regroupe 753 entreprises, qui emploient plus de 39 000 personnes, et plusieurs grandes multinationales dans les secteurs biopharmaceutique et du matériel médical.
  • La délégation québécoise présente au congrès BIO compte plus d’une cinquantaine d’entreprises, d’organismes de recherche et de partenaires de l’industrie, totalisant une centaine de participants. La mission est organisée par Investissement Québec International en collaboration avec la Délégation du Québec à Boston et le ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie. Cet événement est le plus important rendez-vous annuel international du secteur biopharmaceutique.

Le gouvernement du Québec renouvelle son engagement pour la réalisation de travaux en infrastructures municipales


 Publié le 18 juin 2025

La ministre des Affaires municipales, Mme Andrée Laforest, est fière d’annoncer qu’une somme de 360 millions de dollars sera investie à travers le Québec pour financer des travaux de construction, d’amélioration, de remplacement ou de maintien de bâtiments municipaux. C’est ce qu’elle a dévoilé aujourd’hui en présence de la Fédération québécoise des municipalités et de l’Union des municipalités du Québec.

Avec le renouvellement du Programme d’amélioration et de construction d’infrastructures municipales (PRACIM) pour la période 2025-2028, le gouvernement du Québec soutiendra les municipalités de 100 000 habitants et moins, les MRC et les régies intermunicipales dans la réalisation de projets concernant leurs bâtiments à vocation municipale ou communautaire. Pensons par exemple à un hôtel de ville, à une caserne de pompiers, à un garage municipal ou encore à un centre communautaire.

Comme nouveauté, le PRACIM favorise et priorise les projets de mise en commun de bâtiments ou de services entre municipalités afin de maximiser la portée des investissements publics et d’améliorer la qualité des services aux citoyennes et citoyens.

Citations :

« Quand notre gouvernement investit dans les infrastructures municipales collectives, ça permet non seulement de bâtir des lieux qui profitent à toute la population, mais aussi de stimuler directement notre économie. Chaque chantier lancé soutient des emplois bien rémunérés et stimule les entreprises locales. C’est un programme tellement apprécié des municipalités; il a mené à la réalisation de plus de 300 projets depuis qu’on l’a lancé, en 2022! Avec ces aides financières, on vient réduire les déficits d’entretien et de maintien d’actifs des municipalités, et assurer la pérennité des infrastructures municipales, et ce, partout au Québec. »

Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean

« Le renouvellement du PRACIM est une bonne nouvelle pour nos municipalités. Cet engagement du gouvernement constitue une contribution positive au défi important que représentent le maintien et la mise à niveau des infrastructures municipales. En soutenant les projets de mise en commun, le programme encourage la collaboration intermunicipale, une approche que la Fédération québécoise des municipalités valorise également. Les besoins en investissements sont immenses et ce programme permettra la réalisation de projets dans les régions. »

Jacques Demers, président de la Fédération québécoise des municipalités, maire de Sainte-Catherine-de-Hatley et préfet de la MRC de Memphrémagog

« Le PRACIM est un programme clé pour assurer la durabilité de nos infrastructures municipales, telles que les casernes de pompiers, les salles communautaires et les garages municipaux. Nous nous réjouissons particulièrement de constater que la nouvelle mouture du programme renforce le soutien financier aux projets favorisant la mutualisation des services et le partage d’infrastructures entre municipalités. Alors que plusieurs bâtiments atteignent la fin de leur vie utile, cet appui devient indispensable, car les municipalités ne peuvent assumer seules un tel fardeau financier. »

Guillaume Tremblay, président de l’Union des municipalités du Québec et maire de Mascouche

Faits saillants :

  • Le nouveau PRACIM succède au programme mis en place en 2022. Il offre du financement dans deux volets :
    • Volet 1 : projets de bâtiments de base avec ou sans mise en commun;
    • Volet 2 : projets de casernes de pompiers avec mise en commun et, sous certaines conditions, projets sans mise en commun.
  • S’inscrivant dans la Politique nationale de l’architecture et de l’aménagement du territoire, le PRACIM est le seul programme gouvernemental permettant de réaliser ces travaux d’envergure.
  • Les investissements du PRACIM proviennent du Plan québécois des infrastructures 2025-2035. Celui-ci prévoit des investissements de plus 7 milliards de dollars dans le secteur des infrastructures municipales, sous la responsabilité du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH).

Liens connexes :

Pour en savoir plus sur les activités du MAMH, suivez-nous dans les médias sociaux :

Le premier ministre du Québec fier d’avoir pavé la voie à de nouveaux partenariats d’affaires en aéronautique et en défense


 Publié le 18 juin 2025

Le premier ministre du Québec, François Legault, s’est rendu à Paris-Le Bourget, du 13 au 16 juin, pour participer au Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace (SIAE), le plus grand salon du monde de l’industrie aérospatiale. Cette mission lui a permis de promouvoir les forces du Québec dans le secteur de l’aérospatiale et de la défense afin de favoriser la conclusion de nouveaux contrats avec de grands donneurs d’ordre français ainsi que leur intégration à de grandes chaînes de valeur européennes.

Le premier ministre du Québec a d’abord été reçu à Matignon par le nouveau premier ministre français, M. François Bayrou. L’entretien s’est conclu par la signature d’une déclaration commune qui vise entre autres à affirmer la nécessité de resserrer les liens économiques entre les deux nations dans des secteurs clés de l’avenir, notamment l’aéronautique, les minéraux critiques et stratégiques ainsi que l’intelligence artificielle. La déclaration prévoit également l’organisation d’un forum d’affaires France-Québec pour faciliter le maillage des entreprises dans ces secteurs stratégiques. Les premiers ministres ont ainsi réitéré la relation d’amitié unique, directe et privilégiée qui unit les deux nations.

M. Legault a eu le plaisir d’assister à la signature d’une lettre d’intention entre le géant français Safran et le fleuron québécois Bombardier, qui exprime leur désir de collaborer au développement de technologies innovantes, performantes et fiables dans le domaine de la défense. Il était aussi présent à l’annonce d’Airbus concernant une commande ferme de 40 avions A220, fabriqués à Mirabel, de la part de la compagnie nationale polonaise LOT Polish Airlines.

Lors de cette mission s’est aussi concrétisée la signature d’un contrat pour l’entreprise québécoise Cambli établie à Saint-Jean-sur-Richelieu, qui se spécialise dans la fabrication de véhicules blindés. En juin 2024, Cambli avait signé un partenariat commercial avec la française Soframe, basée à Strasbourg, et reconnue internationalement dans le domaine des véhicules militaires. Ce premier contrat, qui s’élève à plusieurs dizaines de millions de dollars, vise l’assemblage par Cambli de plus de 1000 plateformes destinées à être intégrées dans des véhicules de la défense canadienne. Un projet qui générera 30 nouveaux emplois au Québec en plus d’assurer le maintien de plusieurs autres.

Ces excellentes nouvelles témoignent des retombées concrètes pour le Québec que peuvent amener les secteurs de l’aéronautique et de la défense.

Moins d’une semaine après l’annonce de l’augmentation des budgets en défense du gouvernement fédéral canadien, le premier ministre du Québec a également organisé une rencontre avec le major-général des Forces armées canadiennes chargé de la force aérienne et spatiale du Canada, M. Jeff Smyth, en compagnie des représentants de Bombardier, CAE et Bell Textron afin de discuter des projets que peuvent rapidement déployer ces entreprises pour répondre aux besoins de l’armée canadienne.

Parallèlement, M. Legault a tenu plusieurs rencontres stratégiques avec de grandes entreprises européennes, telles que Dassault systèmes, Dassault Aviation, SAAB et SAFRAN pour promouvoir l’expertise et le savoir-faire québécois. Il a également rencontré de nombreuses jeunes pousses en technologie lors de son passage au salon VivaTech.

Finalement, le premier ministre a notamment pu s’entretenir avec des personnalités politiques de haut niveau, dont la présidente de la Région Île-de-France, Mme Valérie Pécresse, et le ministre délégué chargé du Commerce extérieur et des Français de l’Étranger, M. Laurent Saint-Martin, dans l’objectif de consolider les liens diplomatiques et économiques. C’était également la première fois qu’un premier ministre du Québec visitait le siège de la Fondation Charles de Gaulle, lieu historique de l’action du Général, afin de rendre hommage à cette figure centrale dans l’instauration de la relation directe et privilégiée entre nos deux nations.

Citation :

« Dans le contexte de guerre commerciale injustifiée déclenchée par le président Trump, le Québec doit continuer ses efforts pour diversifier ses marchés d’exportations et réduire sa dépendance envers les États-Unis. Nous avons la chance d’avoir une relation très spéciale avec la France, qui peut aussi nous ouvrir d’autres portes dans l’Union européenne. Je veux que nous misions encore plus sur cette relation très forte pour augmenter nos échanges économiques, qui devraient être aussi importants que nos liens politiques et culturels. Pour continuer de créer de la richesse et assurer sa prospérité, le Québec devra miser sur des partenaires fiables qui permettront à nos entreprises de trouver de nouveaux débouchés pour leurs produits, particulièrement dans les domaines de l’aéronautique, de la défense, des minéraux critiques et stratégiques et de l’intelligence artificielle. »

François Legault, premier ministre du Québec

Faits saillants :

  • Le Québec est le troisième pôle mondial en aérospatiale, après Toulouse et Seattle. C’est le seul endroit où l’on retrouve les trois géants, Bombardier, Boeing et la française Airbus. L’écosystème québécois regroupe plus de 235 entreprises, qui emploient plus de 41 000 personnes, générant des ventes de plus de 20 milliards de dollars. C’est le plus gros secteur d’exportations au Québec.
  • L’Union européenne a déjà annoncé un plan de dépense de plus de 800 milliards d’euros en réarmement. Le Canada, pour sa part, s’est engagé à atteindre, dès l’an prochain, la cible de 2 % fixée par l’OTAN concernant le budget consacré à la défense.
  • Au total, plus de 175 gens d’affaires québécois dans les domaines de l’aérospatiale et de la défense ont participé au SAIE. Le premier ministre a visité les entreprises québécoises exposantes afin de rappeler que le gouvernement du Québec est présent pour les appuyer dans leurs projets internationaux.

Près de 8,5 M$ à Cotech pour agrandir et automatiser son usine à L’Isle-Verte


 Publié le 17 juin 2025

La députée de Rivière-du-Loup-Témiscouata-Les Basques, Mme Amélie Dionne, au nom de la ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie et ministre responsable du Développement économique régional, Mme Christine Fréchette, la ministre de l’Industrie et ministre responsable de Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC), l’honorable Mélanie Joly, ainsi qu’Investissement Québec annoncent que des investissements de 8 440 000 $ ont été réalisés dans Cotech, une entreprise manufacturière se spécialisant en équipements agricoles, de déneigement et d’excavation. Ces aides financières ont permis à l’entreprise d’agrandir son usine, située à L’Isle-Verte, et d’acquérir des équipements automatisés, qui augmenteront sa productivité. 

En plus de créer des emplois, ce projet, évalué à quelque 18 millions de dollars, aidera Cotech à gagner en efficacité et à poursuivre son essor. Dans le contexte géopolitique actuel, il est plus que jamais nécessaire d’investir dans la croissance et la productivité des entreprises pour les rendre plus attrayantes et compétitives dans des secteurs stratégiques comme le manufacturier.

Citations :

« Grâce à ses produits innovants, Cotech est reconnue comme une entreprise chef de file dans son domaine depuis plus de vingt-cinq ans. Je suis fière qu’elle soit établie à L’Isle-Verte, ici même dans notre circonscription de Rivière-du-Loup-Témiscouata, créant ainsi de la richesse et des emplois au bénéfice de toute notre collectivité. Félicitations à l’équipe pour ce projet d’expansion visionnaire, qui contribuera à dynamiser encore davantage notre région! »

Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup-Témiscouata-Les Basques

« L’une des priorités du gouvernement du Canada est d’assurer la prospérité des collectivités et dans cet esprit, les PME sont essentielles à la croissance économique du pays. C’est pourquoi DEC est fier d’investir dans ce projet, qui contribuera à augmenter la productivité et la capacité de production de Cotech et qui aura des retombées positives sur toute la région du Bas-Saint-Laurent. » 

L’honorable Mélanie Joly, ministre de l’Industrie et ministre responsable de DEC

« Encourager la productivité, c’est une façon efficace de protéger nos PME et notre économie. Ces investissements permettront à Cotech d’accélérer son virage vers l’automatisation pour être encore plus performante dans son secteur d’activité. C’est avec de tels projets d’avenir qu’on peut consolider la présence de nos PME et de tout le Québec sur le marché nord-américain. »

Christine Fréchette, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie et ministre responsable du Développement économique régional

« En plaçant l’automatisation au cœur de ses priorités stratégiques, Cotech est en mesure de poursuivre sa croissance et d’approfondir son ancrage dans le Bas-Saint-Laurent. Investissement Québec, en tant qu’acteur de premier plan dans le soutien de ce type d’initiative, salue ce nouveau jalon, qui permettra à l’entreprise d’augmenter sa capacité de production tout en demeurant à la fine pointe de la technologie. »

Bicha Ngo, présidente-directrice générale d’Investissement Québec

 « Ce projet est une réponse directe à la croissance soutenue de la demande pour nos produits, et reflète notre volonté de mieux servir nos clients tout en maintenant les plus hautes normes de qualité. Cet investissement assure notre compétitivité sur le marché nord-américain. C’est aussi un geste fort qui témoigne de notre engagement à long terme envers notre région, nos employés et l’avenir de notre secteur. »

Etienne Côté, président de Cotech


Faits saillants :

  • Depuis plus de vingt-cinq ans, Cotech est un manufacturier d’équipements agricoles ainsi que de déneigement et d’excavation. L’entreprise conçoit et fabrique des accessoires innovants, de qualité supérieure, adaptés aux équipements de petite et moyenne capacité tels que des grattes à neige, des godets d’excavatrices et de chargeuses à roues ainsi que des fourches à palettes et agricoles.
  • L’appui financier comprend un prêt de 4 500 000 $ provenant du programme ESSOR, administré par Investissement Québec à titre de mandataire du gouvernement, un prêt de 2 440 000 $ accordé à même les fonds propres d’Investissement Québec ainsi qu’une contribution remboursable de 1 500 000 $ de DEC attribuée en vertu du programme Croissance économique régionale par l’innovation.
  • Le programme ESSOR a pour but d’appuyer, dans une perspective d’accroissement de la compétitivité et de la productivité, de création d’emplois et de développement durable, les projets d’investissement réalisés au Québec.
  • Le programme Croissance économique régionale par l’innovation de DEC s’adresse aux entrepreneurs qui misent sur l’innovation pour faire croître leur entreprise et la rendre plus compétitive de même qu’aux acteurs économiques régionaux qui contribuent à créer un environnement entrepreneurial propice à l’innovation et à une croissance pour tous, dans toutes les régions.

Ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie sur les réseaux sociaux :

Investissement Québec sur les réseaux sociaux :

Suivez DEC sur les réseaux sociaux
Consultez les nouvelles de DEC

1,4 M$ pour augmenter la productivité d’une PME des Laurentides


 Publié le 17 juin 2025

Le député de Blainville et whip en chef du gouvernement, M. Mario Laframboise, ainsi qu’Investissement Québec annoncent un financement de 1,4 million de dollars au Groupe pharmaceutique Duchesnay (GPD). Accordé dans le cadre de l’initiative grand V, notamment, celui-ci vise à augmenter la capacité de production de l’entreprise et à soutenir sa croissance à l’international.

Grâce à cet appui, le GPD a installé, à même son usine, située à Blainville, une nouvelle imprimante qui permet de produire 150 000 comprimés pharmaceutiques à l’heure, ce qui s’ajoute à la capacité actuelle de 110 000 comprimés. De plus, cette machine à la fine pointe intègre une technologie innovante qui assure l’impression des logos destinés à la protection des femmes enceintes sur les deux côtés des comprimés et réduit les rejets en ciblant plus précisément les unités défectueuses.

Dans le contexte actuel, il est plus que jamais nécessaire d’investir dans la productivité des entreprises québécoises pour les rendre plus attrayantes et compétitives sur les différents marchés.

Citations :

« Le GPD est un bel exemple du dynamisme de la communauté d’affaires des Laurentides. Cette entreprise visionnaire développe et fabrique chez nous, à Blainville, des produits qui favorisent le bien-être de la population. Je salue cette annonce des plus positives pour la croissance du groupe, lequel contribue activement à l’économie de notre région et de tout le Québec. »

Mario Laframboise, député de Blainville et whip en chef du gouvernement

« Notre gouvernement est fier de soutenir les secteurs stratégiques de notre économie, comme celui des sciences de la vie. En appuyant le GPD à hauteur de 1,4 million de dollars, nous augmentons davantage la productivité d’une multinationale innovante de chez nous, qui fait rayonner le savoir-faire québécois et améliore la santé et la qualité de vie de la population et de nombreuses femmes au Québec et partout dans le monde. »

Christine Fréchette, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie et ministre responsable du Développement économique régional

« Appuyé par l’initiative grand V d’Investissement Québec, le GPD a pris le virage de la productivité en faisant l’acquisition d’une imprimante de pointe. Ce nouvel équipement permettra à l’entreprise d’accroître considérablement sa capacité de production et soutiendra sa croissance dans le secteur pharmaceutique. »

Bicha Ngo, présidente-directrice générale d’Investissement Québec

« Cette acquisition appuyant notre croissance globale nous permettra de répondre à la demande grandissante pour notre produit phare pour la santé des femmes, tout en assurant le rayonnement du savoir-faire québécois à travers le monde. »

Mélanie Therrien, vice-présidente – Finances et affaires du GPD

Faits saillants :

  • Le GPD offre des traitements innovants dans les domaines de la santé des femmes, de l’urologie, de l’oncologie et des maladies rares et invalidantes. L’entreprise exporte ses produits dans plus de 50 pays.
  • L’aide financière comprend deux prêts provenant en parts égales du programme ESSOR, administré par Investissement Québec à titre de mandataire du gouvernement, et de l’initiative grand V d’Investissement Québec.
  • L’initiative grand V vise à stimuler les investissements et à accélérer le virage vers l’innovation et la productivité durable en vue de propulser la croissance des entreprises.

Ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie sur les réseaux sociaux :

Investissement Québec sur les réseaux sociaux :

Près de 35 M$ pour soutenir l’adaptation climatique du milieu municipal partout au Québec


 Publié le 17 juin 2025

De passage à Longueuil aujourd’hui, la ministre des Affaires municipales, Mme Andrée Laforest, a annoncé un investissement de 34 798 624 $ pour soutenir des projets qui permettront de lutter contre les changements climatiques dans plusieurs régions du Québec. Accompagnée de la mairesse de Longueuil, Mme Catherine Fournier, la ministre a précisé que 10 010 400 $ sont octroyés pour financer les initiatives qui seront réalisées sur le territoire de la ville de Longueuil.

Rappelons qu’en février 2024, le gouvernement du Québec a annoncé une aide financière de 500 millions de dollars issue du programme Accélérer la transition climatique locale (ATCL) pour appuyer le milieu municipal dans la planification et la mise en œuvre de projets programmés dans les plans climat.

Avec les sommes accordées, divers projets d’adaptation aux impacts des changements climatiques, de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) ou de soutien à la transition climatique pourront être mis en place par les organismes municipaux bénéficiaires.

Pensons par exemple au verdissement d’infrastructures et à l’utilisation d’un revêtement perméable dans les rues et les espaces publics (comme des espaces de stationnement) permettant une meilleure protection contre les pluies abondantes et la chaleur, ou à la mise en place d’un service de vélopartage.

À Longueuil, ce sont précisément 16 projets qui seront mis en œuvre, notamment pour réduire les émissions de GES provenant des matières résiduelles sur le territoire, réaliser des projets de mobilité active ou encore cibler des solutions favorisant la résilience des bâtiments.

Citations :

« Grâce à cet investissement, notre gouvernement donne aux municipalités des moyens concrets pour protéger durablement leur territoire. Ces projets variés auront un effet direct sur la qualité de vie des citoyens, tout en renforçant la capacité d’adaptation de nos milieux de vie. C’est ainsi qu’en collaboration avec nos partenaires municipaux, nous réussirons à bâtir des collectivités plus résilientes, plus vertes et mieux préparées aux événements climatiques d’aujourd’hui et de demain. » 

Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean

« Je suis fier du soutien offert par notre gouvernement à ces organismes municipaux engagés dans la transition climatique et énergétique du Québec. La participation du milieu municipal est essentielle pour lutter efficacement contre les changements climatiques. Grâce à cette collaboration, nous contribuons à bâtir des communautés plus vertes et plus résilientes. »

Benoit Charette, ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs

« Les villes sont en première ligne de la crise climatique et, collectivement, nous devons y faire face avec une réponse concertée et ambitieuse de tous les paliers de gouvernement. Depuis notre arrivée, en novembre 2021, mon équipe et moi avons travaillé sans relâche à l’élaboration de plans structurants fondés sur une vision claire : placer l’action climatique au cœur des décisions urbaines. Le soutien financier annoncé aujourd’hui donnera un élan au déploiement de notre plan climat en nous permettant de réduire nos émissions de GES et d’adapter nos infrastructures et notre territoire aux effets des changements climatiques. »

Catherine Fournier, mairesse de Longueuil

Faits saillants :

  • Cet investissement provient du premier appel de projets du volet 2 du programme ATCL. Pour connaître les détails de ce programme, consultez la page Web qui lui est consacrée.
  • Un second appel de programmations sera prochainement annoncé pour les organismes municipaux qui souhaitent soumettre des projets issus d’un plan climat préalablement approuvé par le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs. Restez à l’affût!
  • Le programme ATCL répond à une mesure du Plan pour une économie verte 2030 ainsi qu’à l’objectif 4 du Plan de mise en œuvre 2023-2027 de la Politique nationale de l’architecture et de l’aménagement du territoire.
  • Pour en savoir plus sur le Plan climat de Longueuil, consultez cet article.

Liens connexes :

Pour connaître les différents programmes gouvernementaux d’aide financière visant à soutenir l’action climatique et la transition énergétique des communautés offerts aux organismes municipaux, visitez la page Agir localement sur Québec.ca.

Pour en savoir plus sur les activités du MAMH, suivez-nous dans les médias sociaux :

Premier bilan de la Trajectoire : une mesure à faire connaître partout au Québec


 Publié le 17 juin 2025

Le ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel, et le ministre de la Santé, M. Christian Dubé, dévoilent le bilan de la première année de mise en œuvre de la trajectoire de détection et de signalement pour les personnes intoxiquées à leur insu. Cette mesure avait été annoncée en décembre 2023, et visait à s’attaquer à ce fléau et à permettre de documenter le phénomène inquiétant.

Bilan de la trajectoire de détection et de signalement des intoxications (Groupe CNW/Cabinet du ministre de la Sécurité publique)
Bilan de la trajectoire de détection et de signalement des intoxications (Groupe CNW/Cabinet du ministre de la Sécurité publique)

Droguer une personne à son insu constitue un crime, qu’il y ait agression sexuelle ou non. Que ce soit avec la trajectoire de détection et de signalement ou avec la mise en place d’une cellule de coordination au Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale (LSJML), le gouvernement du Québec déploie des moyens importants pour lutter contre les individus qui commettent ce crime et accompagner les personnes victimes.

Au total, entre le 1er décembre 2023 et le 30 novembre 2024, 404 trousses ont été reçues et 344 ont été traitées par le LSJML au moment d’écrire le bilan. Dans les 344 trousses traitées :

  • près des trois quarts (72 %) des intoxications présumées seraient survenues dans des lieux publics, et le quart (24 %), dans des lieux privés;
  • les intoxications sont rapportées majoritairement par des femmes (84 %), de même que par de jeunes adultes et des adolescents (51 % de personnes de 24 ans et moins);
  • parmi les 59 différentes substances détectées, l’éthanol (alcool) est celle qui l’a été le plus souvent (61 %);
  • le GHB a été détecté dans trois cas (0,9 %);
  • parmi les 530 dossiers ouverts chez les corps de police du Québec, 286 ont été fermés sans accusation et 8 ont été soumis au Directeur des poursuites criminelles et pénales. Les autres dossiers sont toujours en cours.

Rappelons que depuis le 1er décembre 2023, toute personne soupçonnant avoir été victime d’une telle intoxication peut se présenter, dans un délai de 48 heures, aux services d’urgence pour obtenir un test de détection réalisé au moyen d’une trousse urinaire légale. Celle-ci est ensuite remise à un corps de police local pour qu’il puisse demander au LSJML d’analyser l’échantillon et obtenir les résultats aux fins de l’enquête policière.

Citations :

« Face aux intoxications à l’insu d’une personne, notre gouvernement a déployé ces trousses urinaires légales ainsi qu’une cellule de coordination pour aider les victimes et les policiers dans la lutte contre ce fléau. En plus d’offrir des réponses aux victimes, il permet également d’aider grandement les policiers dans leur travail si la victime souhaite porter plainte. Les informations contenues dans le bilan présenté aujourd’hui nous confirme que nous sommes dans la bonne direction pour mieux protéger les Québécois et les Québécoises face à la problématique de l’intoxication à l’insu. »

François Bonnardel, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de l’Estrie

« Nous souhaitons nous assurer que les personnes pouvant être victimes d’intoxication à leur insu puissent avoir accès rapidement aux trousses permettant de la détecter. Nous continuerons donc, avec la collaboration de nos partenaires, à faire connaître la trajectoire et à sensibiliser la population à l’importance de se rendre à l’urgence dans les 48 heures, puisqu’il s’agit d’un délai critique. Depuis décembre 2023, l’ensemble des urgences du réseau de la santé du Québec sont maintenant munies de trousses afin de détecter les traces d’intoxication aux substances psychoactives, dont le GHB, dans l’urine. Nous veillons à offrir aux Québécois les outils dont ils ont besoin rapidement dans des situations de crise. »

Christian Dubé, ministre de la Santé

« Grâce aux analyses toxicologiques effectuées à partir des trousses urinaires légales reçues au Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale, nous sommes dorénavant en mesure de documenter ce phénomène et de dresser un bilan complet comprenant les profils des victimes, les lieux où les événements se sont produits ainsi que les substances détectées. Le Laboratoire est fier de mettre son expertise à contribution afin d’appuyer les enquêtes policières du point de vue scientifique. »

Suzanne Marchand, directrice générale principale du Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale

Faits saillants :

  • La trajectoire de détection et de signalement pour les victimes présumées d’intoxication à leur insu s’adresse aux personnes qui n’ont pas lieu de croire qu’elles ont subi une agression sexuelle.
  • Du 1er décembre 2023 au 30 novembre 2024, le LSJML a reçu 404 trousses, dont 344 ont été traitées et 60 était encore en cours d’analyse lors de la rédaction du bilan.
  • La trousse ne requérant pas d’ordonnance médicale, elle est traitée par les infirmières du triage ou de l’ambulatoire, ce qui permet d’agir rapidement. Le bilan démontre qu’en moyenne, plus de 14 heures se sont écoulées entre le moment de l’intoxication présumée de la victime et le prélèvement de la trousse au service d’urgence.
  • Le dépistage effectué sur les trousses urinaires légales permet la recherche et la détection de plus de 200 substances.
  • La cellule de coordination du LSJML, annoncée par le gouvernement du Québec en avril 2024, vise à la fois à documenter le phénomène des intoxications sur l’ensemble du territoire québécois, mais également à assurer une vigie de ces crimes et à produire des avis de concordance lorsqu’ils se déroulent dans un même endroit, ce qui contribuera à orienter les enquêtes criminelles.
  • Cette trajectoire compte parmi les 11 mesures clés annoncées par le gouvernement du Québec en juin 2023 pour prévenir et contrer l’intoxication d’une personne à son insu.

Liens connexes :

Bilan de la Trajectoire
Intoxication d’une personne à son insu
Annonce du gouvernement du Québec lors du lancement de la trajectoire – déc. 2023

Pour en savoir plus sur nos activités ministérielles, suivez-nous dans les médias sociaux :

www.facebook.com/securitepublique/

twitter.com/secpubliqueqc

instagram.com/securitepubliqueqc

SOURCE Cabinet du ministre de la Sécurité publique

Amélie Dionne dresse un 6e bilan de session marqué par des résultats concrets pour la région


 Publié le 17 juin 2025

La députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata–Les Basques, Amélie Dionne, dresse un bilan positif de sa dernière session parlementaire. Plusieurs dossiers majeurs ont connu des avancées importantes, avec des retombées concrètes pour les citoyens de la circonscription.

Depuis son élection en 2022, la députée demeure pleinement engagée à défendre les priorités locales, autant à l’Assemblée nationale que sur le terrain. Sa détermination à atteindre ses objectifs reste intacte, comme en témoigne le progrès dans plusieurs secteurs clés et l’engagement de la députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata–Les Basques :

Économie locale : présence, écoute et action

Le début d’année a été marqué par une incertitude économique liée à l’élection présidentielle américaine et aux risques tarifaires. La députée a rapidement mobilisé plus de 20 entreprises des trois MRC lors d’une rencontre virtuelle avec la ministre de l’Économie, Christine Fréchette, qui a aussi visité la circonscription pour rencontrer plusieurs entreprises, élus et partenaires régionaux, dont l’Alliance de l’énergie de l’Est. Face à la fragilité du secteur forestier, pilier économique régional, la députée et sa collègue ministre Maïté Blanchette-Vézina ont annoncé des investissements financiers majeurs et tenu plusieurs rencontres avec les acteurs de cette industrie.

Habitation

Le développement de l’offre en logements abordables demeure un besoin criant dans la région et la députée en fait une priorité. Les efforts portent leurs fruits : des projets concrets sortent de terre et prennent forme. À Lac-des-Aigles, le projet de la Maison sur le lac, comptant 18 logements sociaux et abordables, a officiellement été lancé le 14 avril 2025, grâce à un financement gouvernemental de 3,4 millions de dollars. À Rivière-du-Loup, la conversion de l’ancien monastère Sainte-Claire en logements sociaux progresse. Grâce à la mobilisation de la députée dans ce dossier, ainsi qu’à la grande écoute et à la collaboration de la ministre de l’Habitation, une solution durable semble à portée de main.

Par ailleurs, le projet de 60 logements modulaires, porté par la MRC de Témiscouata, avance également, illustrant la volonté collective d’agir pour répondre aux besoins urgents en matière d’habitation.

Santé : assurer l’accès aux soins de proximité

Parmi les avancées notables en matière de services de santé, soulignons la signature de l’entente entre le CISSS du Bas-Saint-Laurent et la Coopérative de santé de Saint-Hubert-de-Rivière-du-Loup pour l’embauche d’une infirmière praticienne spécialisée (IPS). Ce type d’entente, encore rare au Québec, est une première dans la région. La députée s’est investie activement afin que la coopérative puisse obtenir cette ressource essentielle pour maintenir l’offre de soins de proximité.

Un pas important a également été franchi pour le renforcement de la couverture ambulancière dans la région. Pour le secteur de Notre-Dame-du-Lac, une transformation du mode de fonctionnement permettra de passer d’un horaire de faction à un horaire à l’heure, en service 24 heures sur 24, 7 jours
sur 7. Une demande attendue depuis longtemps par les paramédics, afin de mieux desservir la population.

Au niveau des urgences de l’hôpital de Trois-Pistoles et du CLSC de Pohénégamook, elle demeure pleinement mobilisée. Plusieurs rencontres ont eu lieu avec le ministre de la Santé, Christian Dubé, ainsi qu’avec Santé Québec, afin de faire valoir les besoins du territoire, dans l’attente d’une décision.

Accès à la nature et protection des cours d’eau

Engagée depuis le jour 1 dans la poursuite du développement de la phase 2 du Parc national du Lac-Témiscouata, elle est fière de la nouvelle étape franchie en février dernier : la poursuite de la piste cyclable autour du lac, sur une distance de 16,5 km financée à hauteur de 2,2 millions de dollars par le gouvernement. Ce projet bonifie l’offre touristique tout en favorisant un accès durable au territoire.

Dynamisation des milieux ruraux

Le développement rural demeure une priorité. Rappelons qu’en 2024, elle et son équipe ont initié la consultation « Comité d’action sur la ruralité » auprès d’élus municipaux, afin de cibler les besoins des communautés rurales et formuler des recommandations concrètes à la ministre des Affaires municipales. À la suite de cette initiative, le programme Commerces de proximité du Fonds régions et ruralité a été lancé. Quatre projets de revitalisation de la circonscription ont été retenus, contribuant à accroître l’attractivité des milieux ruraux, signifiant un investissement de plus de 500 000 $.

Travaux parlementaires

À l’Assemblée nationale, la session a été marquée par son rôle de présidente de la Commission spéciale sur les impacts des écrans et des réseaux sociaux sur la santé et le développement des jeunes (CSESJ), avec le dépôt du rapport final le 29 mai. Un legs important pour les jeunes de la circonscription et de l’ensemble du Québec. Par ailleurs, la députée a concrétisé l’adoption du projet de loi officialisant l’ajout de « Les Basques » dans la dénomination de la circonscription. Cette démarche, attendue depuis plus de 10 ans par la population, permet désormais de nommer la circonscription en toute représentativité des trois MRC qui la composent : Rivière-du-Loup–Témiscouata–Les Basques.

« Cette session parlementaire a été marquée par des avancées attendues depuis longtemps, mais surtout par des gestes concrets qui répondent aux besoins des gens de chez nous. Mon équipe et moi demeurons pleinement mobilisés pour porter leur voix et défendre les priorités de notre comté. »  Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata–Les Basques.

Maintenant la session d’hiver 2025 terminée, la députée Amélie Dionne restera présente sur le terrain tout au long de l’été, afin de poursuivre son travail et aller à la rencontre des citoyennes et citoyens. Elle reprendra ensuite ses travaux parlementaires à l’Assemblée nationale dès la rentrée de septembre.

Annexe — Liste des réalisations de janvier à juin 2025

Santé :

  • Signature d’une entente pour l’embauche d’une infirmière praticienne spécialisée (IPS) entre le CISSS du Bas-Saint-Laurent et la Coopérative de santé de Saint-Hubert-de-Rivière-du-Loup.
  • Modification des horaires du service des paramédics à Témiscouata-sur-le-Lac : passage d’un horaire de faction à un horaire à l’heure, assurant une couverture 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Places en garderie : des progrès :

  • Depuis 2022, 336 nouvelles places en garderie ont été créées dans la circonscription.
  • Mises en chantier de la construction : du CPE au 1, rue des Fougères à Saint-Antonin (50 places) et bientôt du CPE au 84, chemin des Raymond à Rivière-du-Loup (84 places).
  • Lancement des appels d’offres, pour la construction du CPE dans la Maison des ainés de Rivière-du-Loup
  • Ouverture de l’agrandissement du CPE de la Baleine Bricoleuse à Trois-Pistoles (21 places).

Habitation :

  • Construction de 18 nouveaux logements – Lac-des-Aigles – investissement de 3,4 M $
  • Ouverture de la Maison l’Autnid – 9 chambres destinées à des personnes ayant un trouble du spectre de l’autisme à Rivière-du-Loup – investissement de 2 M $
  • Avancées significatives du projet du Monastère Sainte-Claire et de 60 logements modulaires, porté par la MRC de Témiscouata.

Soutien à l’innovation et à la croissance de l’industrie du bois

  • Investissement de 1,4 M $ pour soutenir l’innovation et la croissance de l’entreprise Groupe NBG
  • Investissement de 1,1 M $ pour soutenir l’innovation et la croissance de l’entreprise Tremtech

Accès à la nature et protection des cours d’eau

  • Développement de la phase 2 du Parc national du Lac-Témiscouata – investissement de 2,7 M $ afin de prolonger le parcours cyclable de 16,5 km autour du lac Témiscouata.
  • 3 nouvelles stations de lavage dans la MRC de Témiscouata – investissement de 77 813 $ : pour freiner la propagation des espèces exotiques envahissantes et préserver la qualité de nos écosystèmes aquatiques.

Dynamisation du territoire

  • Lancement des appels d’offres pour la rénovation du poste de la Sûreté du Québec de Témiscouata-sur-le-Lac, un projet attendu depuis 10 ans par les élus de la MRC du Témiscouata.
  • Investissement de 468 750 $ pour 4 projets de commerces de proximité soutenus dans la circonscription, dans le cadre du 1er appel d’offres du volet Commerces de proximité du Fonds régions et ruralité :
  • Station d’essence autonome – Lac-des-Aigles
  • Marché des Îles – L’Isle-Verte
  • Marché Desbiens et Filles – Cacouna
  • Unoria coopérative – Saint-Jean-de-Dieu

Des investissements significatifs ont été annoncés pour améliorer les infrastructures routières

  • (Sécurisation de la route 132 entre Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski ; réfection du pont d’Escourt sur la route 289 ; réfection du pont D’Amours à Rivière-du-Loup. Le projet de réfection de la 293 a été annoncé dans le cadre de la programmation pour 2026 et le financement a été consolidé.)

Travaux parlementaires :

Grand Prix de Formule 1 du Canada : un engagement renouvelé jusqu’en 2035 


 Publié le 17 juin 2025

Dans la foulée du succès de l’édition 2025 du Formula 1 Pirelli Grand Prix du Canada, tous les acteurs se sont mobilisés pour assurer l’avenir de cet événement d’envergure pour Montréal, le Québec et le Canada. La Ville de Montréal, le gouvernement du Québec, le gouvernement du Canada, Tourisme Montréal, la Société du Parc Jean-Drapeau, ainsi que les partenaires privés du Grand Prix sont heureux d’annoncer qu’une entente a été conclue pour la tenue de l’événement jusqu’en 2035.

Un Grand Prix à Montréal avec une portée renforcée, pour quatre éditions supplémentaires

Une nouvelle entente avec Formula One a été conclue pour prolonger la tenue du Grand Prix du Canada jusqu’en 2035. Elle résulte d’un important travail collectif visant à consolider cet événement et à en pérenniser la tenue à Montréal grâce à l’appui financier de Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC), du ministère du Tourisme du gouvernement du Québec, de Tourisme Montréal, de la Société du Parc Jean-Drapeau et de la Ville de Montréal. Cet engagement renouvelé permet de continuer à faire bénéficier Montréal, le Québec et le Canada des retombées significatives du Grand Prix, qui contribuent au dynamisme et à l’attractivité de notre métropole.

Dès 2026, la course se tiendra plus tôt, à la fin mai. Ce changement permet de lancer la saison touristique estivale en force, d’offrir plus de prévisibilité aux acteurs touristiques et économiques et de mieux harmoniser le calendrier avec les autres courses en Amérique du Nord et en Europe. Cela contribuera aussi à l’atteinte des objectifs de carboneutralité de Formula One World Championship d’ici 2030. 

« Alors que la Formule 1 célèbre son 75e anniversaire, il est tout à fait approprié que nous ayons annoncé une prolongation avec le Grand Prix du Canada, une course qui a une histoire incroyable dans notre sport et qui porte le nom d’une véritable légende en la personne de Gilles Villeneuve. Montréal est une ville incroyable, pleine d’énergie et de fans passionnés, et je suis ravi de confirmer que nous continuerons à courir ici jusqu’à la saison 2035. Je tiens à remercier le promoteur, Groupe de course Octane, et la Société du Parc Jean-Drapeau pour leurs efforts soutenus en vue de moderniser ce site emblématique au cours des dernières années, ainsi que tous les intervenants politiques locaux, régionaux et nationaux qui ont travaillé en étroite collaboration pour faire de cet événement ce qu’il est aujourd’hui. J’aimerais également remercier nos incroyables fans canadiens ; j’ai hâte de créer d’autres moments inoubliables à Montréal avec vous au cours des dix prochaines années », a déclaré Stefano Domenicali, président-directeur général de la Formule 1.

« Le Grand Prix du Canada à Montréal est là pour rester. Attendue année après année, la F1 donne le coup d’envoi de la saison estivale et incarne l’effervescence qui définit si bien notre ville. La prolongation de cette entente témoigne de la capacité de Montréal à accueillir de grands événements de calibre international et de notre engagement à offrir aux visiteurs comme aux Montréalais une expérience exceptionnelle, tout en renforçant le rayonnement de notre métropole. Grâce à notre savoir-faire et à notre capacité à innover, nous continuerons à faire de Montréal une destination incontournable pour les amateurs de sport et de grands rassemblements », a indiqué Valérie Plante, mairesse de Montréal. 

« Il y a quelque chose d’unique dans l’ambiance du Grand Prix au Québec. Cette connexion entre les pilotes et le public, cette ferveur qu’on ressent sur le circuit comme en ville et chez ceux qui, portés par cette énergie, choisissent ensuite de découvrir d’autres régions. En prolongeant cette entente, on mise sur un événement qui nous rassemble, qui fait rayonner le Québec et qui génère des retombées bien concrètes. Ma mission comme ministre du Tourisme, c’est d’en faire un levier durable pour notre économie et de placer le Québec parmi les grandes destinations événementielles du monde. Mission accomplie pour cette édition et cap sur les prochaines, avec la même ambition de faire toujours mieux », a déclaré Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière.

 « Le Grand Prix F1 du Canada est le plus grand événement touristique du pays. Il était important pour le Canada de le pérenniser pour continuer de profiter de ses importantes retombées économiques et touristiques. Sa prolongation jusqu’en 2035 est une excellente nouvelle, tant pour Montréal et le Québec que pour le Canada tout entier. Le gouvernement du Canada est fier de contribuer à cet événement prestigieux, qui fait rayonner la ville de Montréal et les attraits touristiques de niveau mondial que le Canada a à offrir! », a déclaré Carlos Leitão, secrétaire parlementaire de la ministre de l’Industrie, au nom de l’honorable Mélanie Joly, ministre de l’Industrie et ministre responsable de Développement économique Canada pour les régions du Québec.

« Nous étions confiants que les atouts de Montréal attirent et séduisent, et c’est avec beaucoup de fierté que nous accueillons la prolongation du Grand Prix de Formule 1 à Montréal jusqu’en 2035. La F1 adore Montréal, et Montréal adore la F1. C’est une relation exceptionnelle, qui dure depuis 58 ans, dont 47 au parc Jean-Drapeau, faisant de Montréal un partenaire historique de la F1. Le déplacement de l’événement en mai, dès 2026, contribuera à lancer encore plus tôt notre magnifique saison estivale ! », a indiqué Yves Lalumière, président-directeur général de Tourisme Montréal.

Un nouveau fonds pour améliorer le site du Grand Prix et du parc Jean-Drapeau

Pour continuer d’améliorer l’expérience sur le site du Grand Prix, la Société du Parc Jean-Drapeau met en place un nouveau fonds qui sera alimenté par les redevances versées grâce à la tenue du Grand Prix. Ce fonds permettra notamment d’accélérer le déploiement d’aménagements durables, modernes et encore plus adaptés aux besoins d’aujourd’hui et aux besoins futurs. Ce dernier contribuera non seulement à offrir une expérience de premier ordre, mais aussi de continuer à innover, et à faire évoluer le parc Jean-Drapeau comme un espace public majeur au service de la communauté 

« Le parc Jean-Drapeau a toujours été le théâtre de grands événements signature ayant marqué l’histoire de notre société. Ce partenariat renouvelé nous donne dix ans pour poursuivre la démonstration de notre savoir-faire et la mobilisation toujours plus grande des institutions publiques et de l’écosystème montréalais. Le Parc devient le lieu naturel pour amener ce patrimoine collectif plus loin, continuer de générer des millions de souvenirs précieux et une expérience de qualité à ses visiteurs », a déclaré Véronique Doucet, directrice générale de la Société du Parc Jean-Drapeau.

Une entente stratégique avec le Groupe de course Octane

Enfin, un nouveau partenariat a été conclu avec le promoteur Octane. Cette entente vise à renforcer l’agilité, l’efficacité et la cohérence des opérations logistiques entourant l’organisation du Grand Prix. Elle prévoit une planification renforcée et des mécanismes de coordination optimisés. L’objectif : maximiser l’impact des investissements publics et privés, tout en offrant une expérience toujours plus fluide et performante, tant pour les équipes professionnelles que pour les visiteurs. 

« Nous sommes incroyablement fiers de vous annoncer que le Formula 1 Grand Prix du Canada continuera sa ronde annuelle à Montréal pour une autre décennie, jusqu’en 2035. Cette entente renouvelée reflète le statut d’icône de notre course, avec son riche héritage, une atmosphère unique dans une ville où la F1 prend possession du centre-ville, et sa place sur la scène internationale. Nous sommes ravis d’offrir aux fans, aux communautés et au monde entier dix années supplémentaires de course de calibre mondiale, alors que nous travaillons à la construction d’un Grand Prix de premier ordre qui met en valeur le Canada, le Québec et Montréal sous leur meilleur visage. Avec un objectif clair de réunir le meilleur du sport, du divertissement et de la technologie, nous tenons à remercier nos incroyables partenaires : les gouvernements du Canada et du Québec, la Ville de Montréal, Tourisme Montréal et la Société du Parc Jean-Drapeau pour leur support réitéré, ainsi que la Formula 1 pour sa confiance soutenue. Un grand merci très spécial à notre formidable équipe, dont la passion donne vie à cet événement chaque année », a déclaré le Jean-Philippe Paradis, Premier Vice-Président, Ventes Bell Marchés Affaires et Services de gros et Président de Formula 1 Grand Prix du Canada.

Une mobilisation marquée pour l’avenir du Formula 1 Pirelli Grand Prix du Canada

Toutes ces annonces s’inscrivent dans une volonté claire de faire évoluer le Grand Prix du Canada et d’en garantir le succès pour les années à venir. Elles montrent à quel point les partenaires sont mobilisés pour accueillir à Montréal un événement de calibre mondial. Le Grand Prix du Canada, c’est le plus grand événement au pays et l’un des plus appréciés au monde. Il fait rayonner notre métropole, tout en générant des retombées concrètes pour les acteurs économiques d’ici.

Plus de 2,8 M$ à neuf projets collectifs en tourisme


 Publié le 16 juin 2025

La ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière, Mme Caroline Proulx, annonce l’octroi de 2 881 595 $ pour la réalisation de neuf projets collectifs en tourisme.

Ces initiatives (voir annexe) ont été sélectionnées dans le cadre de l’Entente de partenariat régional et de transformation numérique en tourisme (EPRTNT) 2022-2025 – Soutien aux projets collectifs, lancée le 25 septembre 2023 et dotée d’une enveloppe de 5 millions de dollars.

Cette entente visait à appuyer financièrement la réalisation de projets collectifs en vue de stimuler le développement, le renouvellement et la structuration de l’offre touristique des régions du Québec. Le ministère du Tourisme en avait délégué la gestion à Tourisme Saguenay-Lac-Saint-Jean. Au total, elle aura permis de soutenir 19 projets collectifs en tourisme.

Citation :

« En soutenant des initiatives collectives, on contribue à bâtir une industrie touristique plus résiliente et capable de faire face aux défis et d’engendrer des retombées économiques encore plus importantes pour le Québec. Je salue nos partenaires qui ont proposé des projets dans le cadre de cette entente et la mobilisation du secteur pour assurer une croissance durable du tourisme. Je remercie Tourisme Saguenay-Lac-Saint-Jean d’avoir accepté la gestion de l’enveloppe ainsi que tous les partenaires impliqués dans le comité de gestion responsable de l’analyse et de la sélection des projets. C’est un travail d’équipe qui permettra à des projets porteurs de voir le jour, au bénéfice de notre destination et de nos communautés. » 

Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière

« C’est un immense privilège pour Tourisme Saguenay-Lac-Saint-Jean de piloter cette entente provinciale. Nous sommes fermement convaincus que c’est par l’effort collectif et la convergence de nos objectifs communs que nous bâtissons l’avenir de notre industrie. La créativité et l’innovation dont ont fait preuve nos partenaires des associations touristiques dans le déploiement de leurs projets sont tout simplement remarquables, et nous sommes impatients de voir les résultats qui prouveront, sans aucun doute, la pertinence de ces initiatives. » 

Julie Dubord, directrice générale, Tourisme SaguenayLac-Saint-Jean

Faits saillants :

  • Les projets choisis dans le cadre de l’EPRTNT 2022-2025 – Soutien aux projets collectifs devaient exclusivement être pilotés par une association touristique (régionale ou sectorielle) ou un mandataire reconnu par le ministère du Tourisme et engendrer des répercussions pour les entreprises de plusieurs régions ou secteurs. L’industrie touristique fait face à des enjeux transversaux pour lesquels des solutions doivent être élaborées de façon concertée.
  • En plus de répondre aux objectifs de l’entente, les projets admissibles devaient proposer des solutions concrètes aux défis auxquels font face les entreprises touristiques, notamment en matière de main-d’œuvre, d’expérience client, d’accueil à destination, de développement durable et responsable, de transformation numérique ou de diversification économique. L’entente permettait de soutenir tant l’idéation que la mise en œuvre de solutions.