Plus de 690 000 $ pour le développement régional au Saguenay-Lac-Saint-Jean


 Publié le 12 mai 2025

La ministre des Affaires municipales, ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean et députée de Chicoutimi, Mme Andrée Laforest, annonce qu’une somme de 690 375 $ est octroyée pour appuyer la réalisation du projet de mise à niveau au Camp musical du Saguenay-Lac-Saint-Jean. C’est ce qu’elle a déclaré aujourd’hui lors d’une conférence de presse qui s’est tenue dans les locaux de l’organisme, en compagnie d’Eric Girard, député de Lac-Saint-Jean.

Le projet du Camp musical vise à réaliser les travaux de reconstruction du pavillon Kirouac. Cette initiative permettra à l’organisation d’étendre son offre en dehors de la saison estivale, d’assurer la pérennité des camps musicaux et d’accueillir des événements culturels, communautaires et touristiques.

Citations :

« Le Camp musical est un lieu de formation, de divertissement et de culture important pour la jeunesse et pour les gens de chez nous. Mes enfants ont d’ailleurs pu en profiter et en gardent des souvenirs précieux. La reconstruction du pavillon Kirouac permettra aux citoyens et au personnel du Camp musical de bénéficier d’un édifice moderne et rassembleur. En plus, le projet bonifiera l’offre culturelle et touristique de la région, une fierté qui nous fait rayonner au Québec et à l’international. Je suis heureuse que notre gouvernement contribue à cette initiative qui aura assurément des retombées positives, rapidement et à long terme! »

Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales, ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean et députée de Chicoutimi

« Notre gouvernement est fier de soutenir les entreprises d’économie sociale qui souhaitent rénover, construire ou acquérir des installations pour favoriser le développement de leurs affaires et de leur offre de services. Le projet du Camp musical du Saguenay-Lac-Saint-Jean est un bel exemple des initiatives que nous avons pu appuyer par le biais du Programme d’immobilisation en entrepreneuriat collectif. Grâce à celui-ci, l’organisme pourra accroître ses activités, toujours en ayant un effet positif dans la communauté. »

Christopher Skeete, ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

« Le Camp musical est un acteur économique et touristique très important pour notre région, et son influence sur le plan culturel s’étend dans tout le Québec. Les travaux qui y sont prévus permettront aux amoureux de la musique de continuer à profiter des installations de même que de l’expertise et du talent de toute l’équipe, en plus de bonifier leur expérience. Je tiens à souligner l’engagement du conseil d’administration et à rappeler l’importance du soutien de toute une communauté. »

Eric Girard, député de Lac-Saint-Jean et adjoint parlementaire de la ministre des Affaires municipales

« Mes collègues préfets et moi-même sommes fiers de voir se concrétiser une autre étape dans l’évolution de cette institution d’exception. Elle pourra ainsi poursuivre sa mission en permettant à nos jeunes musiciens de s’épanouir et de rayonner. Cet investissement incarne notre engagement envers la culture, la diversité musicale et l’épanouissement de notre communauté. »

Julie Dufour, présidente du comité régional de sélection de projets du volet Soutien au rayonnement des régions du Fonds régions et ruralité et mairesse de Saguenay

« Le Camp musical du Saguenay-Lac-Saint-Jean, c’est un moteur culturel qui fait résonner toute la région. La MRC de Lac-Saint-Jean-Est est fière d’y contribuer avec une subvention de 40 000 $ visant la mise à niveau des infrastructures du site. Véritable tremplin pour nos jeunes talents, ce lieu vibrant réunit formation, création et prestations, et fait rayonner notre territoire bien au-delà de ses frontières. »

Louis Ouellet, préfet de la MRC de Lac-Saint-Jean-Est.

« Le Camp musical est bien plus qu’un camp d’été; c’est un véritable sanctuaire de l’enseignement musical, un lieu où la passion pour la musique prend racine et où émergent de nombreux talents. Son excellence résonne bien au-delà des frontières de Métabetchouan-Lac-à-la-Croix, rayonnant à travers notre région et étant reconnue dans tout le Québec. »

André Fortin, maire de Métabetchouan-Lac-à-la-Croix

« Le Camp musical du Saguenay-Lac-Saint-Jean constitue un pilier culturel important pour notre région. Développement Économique Alma Lac-Saint-Jean est fier de soutenir cette initiative, qui contribuera à renforcer l’attractivité de notre territoire et la pérennité de ce lieu phare. C’est en misant sur des projets rassembleurs comme celui-ci que nous réaffirmons notre engagement envers un développement économique durable, créatif et enraciné dans notre identité régionale. »

Sylvie Beaumont, mairesse d’Alma et présidente de Développement Économique Alma Lac-Saint-Jean

« L’engagement substantiel des instances gouvernementales dans ce projet, à l’échelle tant régionale que provinciale, illustre une détermination et une volonté indéniables de soutenir la culture et l’éducation dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean. »

Éric Régnier, président du conseil d’administration du Camp musical du Saguenay-Lac-Saint-Jean

« Chez Desjardins, notre raison d’être est de travailler à enrichir la vie des personnes et des communautés. Nous avons à cœur de soutenir des initiatives innovatrices qui influencent positivement la vitalité de nos milieux. Le Camp musical du Saguenay-Lac-Saint-Jean étant l’une de nos principales institutions régionales d’enseignement de la musique, c’est une grande fierté pour Desjardins de pouvoir donner vie au projet de construction du nouveau bâtiment Kirouac. Grâce à la force du collectif, nous pouvons contribuer à un développement économique responsable, durable et humain. »

Annie Gaudreault, représentante de Desjardins et directrice générale de la Caisse Desjardins des Cinq-Cantons.

Faits saillants :

  • L’aide financière comprend une somme de 221 390 $ octroyée dans le cadre du volet Soutien au rayonnement des régions du Fonds régions et ruralité, qui a fait naître de nombreux projets phares aux quatre coins du Québec.
  • Elle inclut aussi une subvention de 468 985 $ du ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie accordée par l’entremise du Programme d’immobilisation en entrepreneuriat collectif, administré par Investissement Québec à titre de mandataire du gouvernement.
  • Le projet comprend également une subvention de 40 000 $ de la MRC de Lac-Saint-Jean-Est, une subvention de 20 000 $ de Développement Économique Alma Lac-Saint-Jean et une subvention de 50 000 $ de Desjardins.
  • Les investissements totaux sont de 937 970 $.

Liens connexes :

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Développer le plein potentiel de l’Est de Montréal – Une somme de 2,4 M$ pour améliorer les milieux de vie dans Montréal-Nord


 Publié le 9 mai 2025

La ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Mme Christine Fréchette, et la députée d’Anjou-Louis-Riel et adjointe gouvernementale de la ministre responsable de la Métropole, Mme Karine Boivin Roy, annoncent qu’une somme de 2,4 millions de dollars est consacrée à deux projets qui contribueront à la revitalisation de Montréal-Nord, dans l’Est de Montréal.

Ainsi, le gouvernement du Québec investit 1,4 million de dollars dans l’arrondissement de Montréal-Nord pour un projet sur la rue de Charleroi. Celui-ci comprend un nouvel aménagement pour la place publique située à l’intersection de l’avenue L’Archevêque, des installations artistiques ainsi que le déploiement d’une programmation culturelle. Par ailleurs, une somme de 1 million de dollars est allouée pour la place publique multifonctionnelle du boulevard Rolland. Réalisée sur l’artère du même nom, cette initiative comprendra des espaces de socialisation inspirés des plans conceptuels du regretté architecte paysagiste Claude Cormier.

Ces investissements proviennent de l’enveloppe de 23 millions de dollars réservée pour appuyer la réalisation de projets favorisant l’attractivité et la vitalité de l’Est de Montréal. Les initiatives soutenues contribuent à attirer des familles, de la main-d’œuvre, des entreprises et des investissements, tout en améliorant la qualité de vie de la population.

Citations :

« Le développement de l’Est passe entre autres par l’amélioration de ses milieux de vie et c’est ce qu’on soutient aujourd’hui. Je suis très fière de l’appui gouvernemental apporté à ces deux beaux projets de l’Arrondissement de Montréal-Nord. Ces initiatives s’inscrivent parmi de nombreuses actions structurantes menées par notre gouvernement pour revitaliser cette partie stratégique de la métropole. »

Christine Fréchette, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal

« Les initiatives du pôle culturel Charleroi et de la place publique Rolland viennent non seulement redynamiser le quartier, mais favorisent aussi une appropriation de l’espace public par les gens du secteur. Pour l’Est de Montréal, nous collaborons avec des personnes engagées, créatives et véritablement soucieuses du bien commun. L’annonce d’aujourd’hui le démontre bien. »

Karine Boivin Roy, adjointe gouvernementale de la ministre responsable de la Métropole et députée d’Anjou-Louis-Riel

« Dès l’annonce par le gouvernement du Québec d’une enveloppe consacrée au développement de l’Est, j’ai immédiatement veillé à ce que notre territoire puisse en bénéficier! Aujourd’hui, je suis fière de constater que les projets du pôle culturel Charleroi et de la place publique Rolland se concrétiseront grâce à ce soutien financier, et je me réjouis à l’avance du fait que les Nord-Montréalais pourront pleinement s’approprier ces espaces et y socialiser. »

Madwa-Nika Cadet, députée de Bourassa-Sauvé

« Ces investissements du gouvernement du Québec sont d’excellentes nouvelles pour Montréal-Nord. Ils sont en lien direct avec notre volonté, exprimée notamment dans le Plan d’aménagement du Nord-Est, d’offrir aux citoyens et citoyennes des quartiers attrayants, inclusifs et sécuritaires. »

Christine Black, mairesse de l’Arrondissement de Montréal-Nord

Pour un meilleur accès – Un projet de loi pour garantir un accès à 100 % de la population


 Publié le 8 mai 2025

Afin d’améliorer l’accès aux services pour les Québécois, le ministre de la Santé, Christian Dubé, a déposé aujourd’hui le Projet de loi visant principalement à instaurer la responsabilité collective et l’imputabilité des médecins quant à l’amélioration de l’accès aux services médicaux. Ce projet de loi représente un fondement majeur de la transformation du système de santé québécois. Il se veut complémentaire aux négociations qui se poursuivent actuellement avec les médecins.

Contexte

Depuis le dépôt du Plan santé en mars 2022, le ministre de la Santé a mis en place une série d’initiatives visant à améliorer l’accès aux soins pour les Québécois, comme élargir le champ de compétence et d’intervention de différents professionnels de la santé, par exemple les IPS et les pharmaciens, la création de cliniques IPS et la mise en place du GAP. 

Cependant, malgré les efforts déployés, l’accès aux soins demeure insuffisant. La mise en place du GAP a permis de prendre en charge près de 85 % de la population, mais la prise en charge des patients stagne désormais. En parallèle, l’inscription individuelle à un médecin de famille est en baisse. Il est donc nécessaire d’aller encore plus loin afin que chaque Québécois soit pris en charge. De plus, du côté des soins en spécialités, les listes d’attente en chirurgies ou en consultations tardent à baisser à des niveaux acceptables. Ainsi, le projet de loi vise à poser les bases d’une nouvelle organisation des services de première ligne et une meilleure collaboration avec les autres professionnels

Prise en charge de 100 % des Québécois

Pour ce faire, le gouvernement souhaite instaurer un nouveau mode de rémunération et un principe de responsabilité collective des médecins envers la population.

En résumé, pour les médecins de famille :

  • Les patients actuellement inscrits auprès d’un médecin de famille conserveront leur médecin.
  • Les inscriptions collectives existantes seront également maintenues.
  • Pour les nouvelles inscriptions, un modèle sera mis en place pour favoriser l’accès. Comme proposé, chaque patient sera affilié à un milieu de soins (GMF, CLSC, etc.) et à un médecin de référence ou à un groupe de professionnels.

En résumé, pour les spécialistes :

  • Un plan de couverture territoriale sera établi pour chaque spécialité avec des objectifs, par exemple, de réduire les délais d’attente, notamment pour les chirurgies et les consultations.

Modifier le mode de rémunération

Pour les médecins de famille :

La rémunération des médecins au Québec a depuis longtemps été basée principalement sur le paiement à l’acte, avec en plus des forfaits et des primes destinés à inciter certains comportements. Comme indiqué au Plan santé, ce mode de rémunération, bien qu’efficace pour certaines pratiques, a démontré ses limites en termes d’accès aux soins.

Ainsi, le projet de loi propose de simplifier considérablement le mode de rémunération des médecins de famille pratiquant en première ligne. Cette nouvelle rémunération favorisera une meilleure collaboration entre les professionnels de la santé afin d’améliorer l’accès pour les Québécois.

Ce nouveau mode de rémunération simplifié reposera sur trois composantes :

  1. Capitation : montant fixe auquel ont collectivement droit les médecins d’un milieu de pratique en fonction du nombre de patients pris en charge et de leur complexité;
  2. Acte : montant additionnel versé pour certains services, dont les visites;
  3. Tarif horaire : montant versé par heure de travail.  

Concrètement cela permettra de :

    • Réduire le nombre d’actes, passant de plusieurs milliers à une dizaine, ce qui réduira la paperasse et libérera du temps précieux aux médecins pour voir leurs patients;
    • Passer à une rémunération fondée notamment sur la prise en charge des patients, ce qui fera en sorte de rémunérer les médecins en fonction du nombre de personnes suivies et de leur disponibilité envers leurs patients lorsqu’ils en ont besoin;
    • Reconnaître les heures passées pour les cas nécessitant plus de temps ou pour faire de l’administration et des tâches indirectes associées à la pratique médicale, tout en continuant de réduire la charge administrative.

Réorganisation de l’offre de soins

Pour que l’offre de soins puisse répondre à la demande, la réorganisation du travail s’appuie sur une responsabilité collective des médecins qui permet de mieux répartir la charge de travail entre les professionnels et d’utiliser de nouveaux outils pour assurer la pertinence des soins offerts. 

Par ailleurs, la nouvelle rémunération permet d’être plus équitable pour ceux qui ont déjà une charge de travail importante. Elle offre des incitatifs pour ceux qui veulent le faire et augmente la disponibilité au bon moment. 

Instaurer des cibles de performance visant l’amélioration de l’accès

Le projet de loi vise à mettre en place une rémunération basée sur l’atteinte d’objectifs déterminés par le gouvernement. Une portion allant jusqu’à un maximum de 25 % de la rémunération médicale sera donc versée à condition que les médecins remplissent les attentes définies par les cibles, notamment en matière d’accès et de fluidité. L’objectif est de lier la rémunération à un meilleur accès à un médecin. Les enjeux d’accès se retrouvant tant en médecine de famille qu’en médecine spécialisée, des cibles de performance seront attribuées à tous les médecins.

Citation :

« Nous nous donnons les moyens pour que chaque Québécois ait accès aux soins dont il a besoin, au bon moment et par le bon professionnel. Nous posons un ensemble de gestes qui permettront d’améliorer l’accès à notre réseau de santé pour que tous les Québécois soient pris en charge d’ici l’été 2026. Nous reconnaissons pleinement qu’il s’agit d’un changement de culture important. Il faudra s’assurer d’une gestion du changement soutenue. Mais nous devons faire ce virage pour assurer une meilleure prise en charge des patients et une utilisation plus efficace des ressources disponibles pour réussir la transformation du réseau de la santé et des services sociaux. »

Christian Dubé, ministre de la Santé

Plus de 3 500 formations suivies pour outiller nos professionnels du milieu sportif et récréatif


 Publié le 8 mai 2025

La ministre responsable du Sport, du Loisir et du Plein air, Mme Isabelle Charest, se réjouit du bilan actuel des formations gratuites offertes aux professionnels, aux administrateurs et aux dirigeants des organismes de sport et de loisir. Jusqu’à maintenant, on compte plus de 3 500 demandes d’accès à ces formations et à leurs différents outils offerts gratuitement par certaines de nos universités québécoises.

L’objectif de ces formations est de professionnaliser les divers acteurs qui encadrent la pratique sportive et récréative au Québec en les outillant et en les aidant à développer de bonnes pratiques de gestion. Elles portent notamment sur la gouvernance, l’éthique organisationnelle, la gestion et le leadership au féminin.

Le Pôle sports HEC Montréal, le Collège des administrateurs de sociétés de l’Université Laval et l’Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques (IGOPP) sont les partenaires associés à ces formations pour lesquelles des investissements de 3,3 millions de dollars ont été annoncés par la ministre Charest en février 2024.

Le Québec a une vision et pose des actions concrètes pour le développement du sport et du loisir. Cette offre de formations répond à un besoin clairement exprimé par le milieu sportif québécois. En effet, selon une étude menée par HEC Montréal en 2021, la grande majorité des organisations de ce milieu font face à d’importants défis en matière de professionnalisation.

Citations :

« Nous avons écouté les dirigeants sportifs concernant leurs besoins en matière de gouvernance et de capital humain et, avec le soutien de nos partenaires, nous avons proposé des solutions concrètes pour rendre le milieu sportif québécois plus sécuritaire, plus équitable, plus inclusif et plus innovant. Je tiens à féliciter tous les participants qui ont suivi l’une de ces formations ainsi qu’à remercier nos partenaires pour leur expertise et leur leadership dans ce dossier. »

Isabelle Charest, ministre responsable du Sport, du Loisir et du Plein air

« La professionnalisation du milieu sportif passe entre autres par l’accès à de la formation de qualité et adaptée à la réalité du milieu. Grâce au soutien du gouvernement du Québec, les dirigeants, la relève féminine et les entraîneurs peuvent désormais compter sur des programmes concrets et structurants pour encourager le développement des talents. En misant sur une approche globale, nous contribuons activement au changement durable de l’ensemble de notre écosystème sportif. C’est une grande source de fierté pour l’équipe du Pôle sports HEC Montréal de contribuer concrètement à cette transformation. »

Eric Brunelle, directeur du Pôle sports HEC Montréal et professeur titulaire au Département de management à HEC Montréal

« Le Collège des administrateurs de sociétés est fier de contribuer à cette mesure structurante qui renforce la gouvernance et le leadership dans les milieux du sport et du loisir. Ces initiatives essentielles ont un impact direct et immédiat sur la performance des organismes et s’inscrivent dans une vision durable du développement sportif et récréatif pour le Québec. »

Chantale Coulombe, présidente et cheffe de la direction du Collège des administrateurs de sociétés

« L’enthousiasme des participants rencontrés dans le cadre des formations et des travaux menant au développement des outils témoigne du succès de l’initiative, mais aussi du fait que celle-ci répondait à un besoin bien réel. Nous sommes heureux d’avoir pu contribuer à cette action concertée par l’élaboration d’un guide portant sur les bonnes pratiques en gouvernance, un outil adapté spécifiquement à la réalité des organismes à but non lucratif du milieu du sport et du loisir au Québec, afin de les accompagner dans leur gouvernance. Cela permet de s’assurer qu’ils sont efficaces, intègres, transparents et créateurs de valeur, soit les ingrédients essentiels pour qu’ils se développent à la hauteur de leurs ambitions et de l’importance de leur rôle pour leurs membres et pour notre société. »

François Dauphin, président-directeur général de l’Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques (IGOPP)

Pour les patients et le personnel – Québec va de l’avant pour faire avancer les projets d’infrastructures en santé


 Publié le 8 mai 2025

Le ministre de la Santé, Christian Dubé, ainsi que le ministre responsable des Infrastructures, Jonatan Julien, annoncent aujourd’hui que les sommes nécessaires ont été dégagées pour permettre de compléter la planification d’une trentaine de projets à travers le Québec, de poursuivre les travaux de l’Hôpital d’Arthabaska et de lancer les travaux préparatoires pour l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont.

Investissements pour faire avancer les projets en planification et les chantiers entamés

Le gouvernement confirme que les activités de planification d’une trentaine de projets à travers le Québec, inscrits au Plan québécois des infrastructures (PQI), seront complétées jusqu’à l’étape du dossier d’affaires. Il confirme ainsi également que les travaux sont en cours à l’Hôpital d’Arthabaska.

Les travaux préparatoires de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont lancés cette année

De plus, le gouvernement confirme qu’il va de l’avant avec l’entièreté du projet. Les sommes sont provisionnées pour cette année (2025-2026) pour la poursuite du projet, de même que pour les années à venir. Comme prévu, les travaux préparatoires nécessaires pour la réalisation du projet de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont commenceront cette année. Un appel d’offres sera lancé dans les prochaines semaines, comme le gouvernement s’y était engagé.

Ces travaux consistent en la construction d’un stationnement étagé et de stationnements temporaires pour dégager l’espace occupé par le stationnement actuel et ainsi permettre la construction du nouvel hôpital. Ils sont essentiels pour assurer un nombre de places de stationnement au personnel, aux patients et à leur famille. C’est le plan que le gouvernement avait annoncé en septembre 2023 et qui se poursuit.

Citations :

« Nous investissons dans la planification de nos projets à venir dans nos régions à travers le Québec et nous allons de l’avant immédiatement avec les travaux préparatoires de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont, comme convenu. Il s’agit d’une première étape décisive qui marque le lancement d’un chantier ambitieux qui dessert les Québécois de toutes les régions. Nous sommes le gouvernement qui concrétisera ce projet d’envergure. »

Christian Dubé, ministre de la Santé

« Notre gouvernement a fait le choix responsable d’investir dans nos infrastructures pour répondre aux besoins des Québécois dans toutes les régions du Québec. Ce qu’on annonce aujourd’hui, c’est qu’on continue sur cette lancée : des investissements majeurs, planifiés avec rigueur, pour livrer des infrastructures de santé modernes et plus adaptées. »

Jonatan Julien, député de Charlesbourg, ministre responsable des Infrastructures et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale

Faits saillants :

  • Les sommes d’environ 200 M$ requises pour mettre en œuvre la solution seront financées à même le 19 G$ d’investissements prévus cette année au PQI. Ces sommes seront dégagées de projets pour lesquels l’investissement réalisé cette année sera moindre que prévu. En parallèle, Santé Québec a effectué une analyse rigoureuse de l’enveloppe de 3,6 milliards octroyée à la santé. Précisons que ce réaménagement se fait sans impacts sur l’échéancier des projets en cours.
  • Rappelons que 1 milliard $ est prévu cette année pour entretenir les bâtiments actuels, comme l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont. Ces investissements pour des travaux urgents doivent être réalisés dès maintenant.
  • Soulignons que le projet de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont bonifiera grandement l’offre de soins donnés aux patients. Il inclut, à terme, la construction et l’aménagement des unités suivantes :
    • l’ensemble des unités de soins et de soins intensifs pour une portée totale de 720 lits en chambres individuelles, en plus de 26 bassinettes pour les bébés;
    • un bloc opératoire, la chirurgie d’un jour et une unité de retraitement des dispositifs médicaux;
    • l’imagerie médicale;
    • une pharmacie;
    • des laboratoires;
    • l’animalerie du secteur de recherche;
    • tous les services de soutien.

Les projets inscrits au PQI dont la poursuite de la planification a été confirmée sont :

  1. Hôpital de Mont-Laurier, unité de soins de courte durée et pharmacie – Laurentides – Agrandissement et réaménagement;
  2. Hôtel-Dieu de Lévis – Blocs endoscopique et opératoire et services logistiques – Agrandissement et réaménagement;
  3. Hôpital Charles-Le Moyne, bloc opératoire et chirurgie d’un jour – Longueuil – Agrandissement et réaménagement;
  4. Hôpital de Sept-Îles, urgence et bloc opératoire – Agrandissement et réaménagement;
  5. Hôpital de La Malbaie, complexe hospitalier – Agrandissement et réaménagement;
  6. Maison des aînés (ancien CHSLD) – Montmagny – Construction.
  7. Centre hospitalier affilié universitaire de l’Outaouais, complexe hospitalier - Gatineau – Construction;
  8. Hôpital régional de Saint-Jérôme, plateau technique chirurgical – Construction, agrandissement et réaménagement;
  9. Hôpital d’Amos, urgence et soins intensifs – Agrandissement et réaménagement;
  10. Hôpital Saint-François d’Assise, centre de service en psychiatrie et urgence – Québec – Construction, agrandissement et réaménagement;
  11. Maison des aînés (ancien CHSLD Georges-Phaneuf) – Saint-Jean-sur-Richelieu – Reconstruction;
  12. Maison des aînés (ancien CHSLD) – Labelle – Construction;
  13. Maison des aînés (ancien CHSLD Argenteuil) – Lachute – Construction;
  14. Hôpital de Saint-Eustache, urgence – Agrandissement et réaménagement;
  15. Hôpital Pierre-Boucher, urgence et unités d’hospitalisation brève – Longueuil – Agrandissement;
  16. Hôpital général du Lakeshore, urgence – Pointe-Claire – Agrandissement;
  17. Hôpital Notre-Dame, services de santé mentale et de dépendance – Montréal – Réaménagement;
  18. Centres de la jeunesse et de la famille Batshaw, campus Beaconsfield – Construction;
  19. Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel – Montréal – Construction, agrandissement et réaménagement;
  20. Hôpital de Chicoutimi, bloc opératoire – Saguenay – Agrandissement;
  21. Hôpital et centre de réadaptation de Jonquière, urgence – Agrandissement et réaménagement;
  22. Centre d’hébergement et de soins de longue durée des Collines – La Pêche – Agrandissement et réaménagement;
  23. Centre hospitalier de St. Mary, unités de soins – Montréal – Reconstruction et réaménagement;
  24. Maison des aînés (ancien CHSLD LaSalle) – Montréal – Construction;
  25. Maison des aînés (ancien CHSLD Saint-Augustin) – Québec – Reconstruction.

Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/May2025/07/c0386.html

Sites de consommation supervisée : une distance minimale de 150 mètres avec les écoles et les garderies


 Publié le 7 mai 2025

Le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, a déposé aujourd’hui un projet de loi pour mieux encadrer l’implantation des sites de consommation supervisée (SCS). L’objectif est de renforcer le sentiment de sécurité et la confiance des citoyens et citoyennes lorsqu’ils confient leurs enfants aux établissements comme les écoles et les garderies.

Le projet de loi permettra désormais au ministre d’autoriser ou non l’implantation d’un site fixe, en fonction de critères clairs. Une distance minimale de 150 mètres devra être respectée entre les SCS et certains endroits fréquentés par les enfants, comme les écoles et les garderies.

Le gouvernement du Québec a le devoir d’offrir des lieux sécuritaires pour tout un chacun. Le projet de loi propose des mesures qui viendront favoriser une cohabitation plus sécuritaire avec la population qui réside aux alentours de ces sites, tout en s’assurant que les personnes à risque puissent recevoir de l’aide rapidement et être accompagnées vers des services adaptés à leurs besoins.

Le projet de loi donne également la possibilité au ministère de la Santé et des Services sociaux de se doter de critères de cohabitation pour les ressources en itinérance, en cas d’enjeux importants. Par exemple :

  • Mener des consultations auprès de la communauté avant l’ouverture du local;
  • Se doter d’un plan de collaboration intersectorielle qui définit les rôles et les responsabilités de chaque partie prenante (services policiers, municipalités, SQ, etc.).

Citation :

« Je partage les préoccupations des citoyens et citoyennes en ce qui concerne la proximité des sites supervisés avec les endroits fréquentés par nos enfants. La crise de surdoses qui sévit est également au cœur de nos inquiétudes. Elle constitue un enjeu tant pour les personnes qui en sont victimes que pour celles qui les côtoient. L’offre de service des sites de consommation supervisée est essentielle. Elle fait partie des actions concrètes pour diminuer les décès, rejoindre les personnes là où elles se trouvent et leur offrir des soins et des services en temps opportun. Mais nous avons également la responsabilité de nous assurer que ces lieux soient sécuritaires pour toutes et tous. »

Lionel Carmant, ministre responsable des Services sociaux

Faits saillants :

  • Rappelons que le gouvernement reconnaît l’importance des sites de consommation supervisée (SCS). Sous la supervision de personnel qualifié, ces sites constituent une réponse pragmatique à la crise des surdoses en s’appuyant sur l’approche de réduction des méfaits. Ils contribuent également à donner l’accès aux services de santé et sociaux essentiels, notamment le traitement de différentes dépendances. Le projet de loi vient réaffirmer la volonté ministérielle de mettre en place une trajectoire de soins et services forte et coordonnée depuis les services de consommation supervisés vers les acteurs concernés du réseau territorial.
  • Au cours des dernières années, certaines situations ont été rapportées et ont soulevé des préoccupations chez des citoyens et citoyennes, notamment les parents d’enfants fréquentant les secteurs avoisinants des SCS.
  • Au cours des dernières années, le nombre de SCS a considérablement augmenté au Québec, passant de quatre en 2020 à quatorze en 2024. Plusieurs facteurs accentuent la circulation aux alentours de certains organismes qui offrent ces services, notamment l’augmentation du nombre de personnes en situation d’itinérance, le manque de logements et de ressources d’hébergement, les risques de surdoses mortelles et la dépendance.
  • Selon les données de l’Institut national de santé publique du Québec, entre janvier et septembre 2024, la province a enregistré 485 décès liés à une intoxication suspectée aux opioïdes ou autres drogues.
  • Les SCS sont dans bien des cas la porte d’entrée vers le traitement de dépendances et de maladies chroniques. Ils constituent un champ d’action phare de la Stratégie nationale de prévention des surdoses et s’inscrivent en cohérence avec les orientations du ministère de la Santé et des Services sociaux.

Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/May2025/06/c2520.html

Amélie Dionne dépose un projet de loi pour changer le nom de la circonscription


 Publié le 7 mai 2025

 La députée de la circonscription de Rivière-du-Loup–Témiscouata, Amélie Dionne, a déposé aujourd’hui à l’Assemblée nationale le projet de loi no 797, Loi remplaçant le nom de la circonscription électorale de Rivière-du-Loup–Témiscouata par Rivière-du-Loup-Témiscouata-Les Basques. Ce projet de loi demande que la Commission de la représentation électorale modifie le nom de la circonscription.

La modification du nom de la circonscription est un projet qui anime la députée depuis son élection. Elle a effectué de nombreuses démarches en ce sens avec, notamment, un dépôt aux audiences publiques de la Commission de la représentation électorale et une présentation de son mémoire à la Commission de l’Assemblée nationale.

Ce changement a pour objectif de mieux représenter la réalité géographique du territoire et la population qui y réside. Ce projet mené par la députée depuis 2022 est appuyé par de nombreux citoyens et acteurs de la circonscription, dont les conseils des maires de la MRC de Rivière-du-Loup, la MRC de Témiscouata et la MRC des Basques, ainsi que des conseils des municipalités concernées.

« À titre de députée de la circonscription, je considère que l’appellation « Rivière-du-Loup–Témiscouata–Les Basques » est plus représentative du territoire couvert par la circonscription électorale et qu’il y a lieu de favoriser le sentiment d’appartenance de l’ensemble des citoyens de la circonscription. Aujourd’hui, nous venons de franchir une étape majeure vers cet objectif qui me tient à cœur. »

Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata (incluant Les Basques)

Faits saillants

  • Le toponyme Rivière-du-Loup–Témiscouata a été attribué à la circonscription en 2011, à la suite de la fusion des anciennes circonscriptions de Rivière-du-Loup et de Témiscouata, créées en 1930 et en 1853.
  • Le territoire de la circonscription comprend 42 municipalités dont 10 font partie de la municipalité régionale de comté des Basques (ci-après, la « MRC des Basques »).
  • Les municipalités de la MRC des Basques sont : la ville de Trois-Pistoles, les municipalités de Notre-Dame-des-Neiges, Saint-Clément, Saint-Éloi, Saint-Jean-de-Dieu, Saint-Médard, Sainte-Rita, les paroisses de Sainte-Françoise, Saint-Mathieu-de-Rioux, Saint-Simon et comprend également le territoire non organisé de Lac-Boisbouscache.
  • Un projet de loi avait d’ailleurs été présenté en 2014 afin de faire cette modification dans le nom de la circonscription.

1,5 M$ en recherche pour l’aménagement durable des forêts


 Publié le 7 mai 2025

La ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie−Îles-de-la-Madeleine, Mme Maïté Blanchette Vézina, annonce qu’une somme totale de 1 499 971 $ est accordée pour cinq projets de recherche retenus à la suite de l’appel de projets 2024-2025 en recherche sur l’aménagement durable des forêts.

Ouvert à l’ensemble des chercheuses et chercheurs des universités et des centres collégiaux de transfert de technologies ou de collèges affiliés du Québec, cet appel de projets, lancé en août 2024 par la ministre Blanchette Vézina, avait pour but d’augmenter la capacité de recherche en aménagement durable des forêts ainsi que de favoriser l’acquisition de nouvelles connaissances.

Les cinq projets de recherche sélectionnés sont les suivants :

Titre du projetTitulaireÉtablissementMontant
Développement d’outils pour la gestion intégrée des chemins multi-usages :
équilibre entre les besoins socioéconomiques, l’accès aux territoires et
l’adaptation aux changements climatiques
Shuva GautamUniversité Laval300 000 $
Effet de la sévérité des feux sur la régénération naturelle et le carbone du
sol dans des plantations de pin gris et d’épinette noire de la région du
Nord-du-Québec
Patrick FaubertUniversité du Québec
à Chicoutimi
300 000 $
Effets interactifs de la coupe partielle et des perturbations naturelles en
sapinière mélangée : quelle influence sur le thuya occidental?
Olivier
Villemaire-Côté
Université Laval299 971 $
Développement et mise en application des inventaires forestiers
dynamiques au Québec
Alexis AchimUniversité Laval300 000 $
Le pin blanc comme assise pour la restauration des pessières envahies
par les éricacées
Boris DufourCentre d’expérimentation et de
développement en forêt boréale
300 000 $
TOTAL :1 499 971 $

Citation :

« L’acquisition et le partage de connaissances sont des outils essentiels pour appuyer et améliorer nos pratiques en aménagement durable des forêts. Elles permettent de prendre les meilleures décisions au bénéfice des communautés et des générations à venir, particulièrement en ces temps où l’adaptation des forêts aux perturbations naturelles et la productivité des écosystèmes forestiers sont essentielles. Je salue la précieuse contribution des équipes de recherche et je souhaite un bon succès aux chercheuses et chercheurs dont les propositions ont été retenues! »

Maïté Blanchette Vézina, ministre des Ressources naturelles et des Forêts, ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie−Îles-de-la-Madeleine

Faits saillants :

  • Depuis 2019, le Ministère a consacré plus de 18,63 M$ au financement de projets d’acquisition de connaissances menés par des partenaires externes. De cette somme, plus du tiers est en lien avec l’adaptation des forêts et la contribution du secteur forestier à l’atténuation des effets des changements climatiques.

Liens connexes :

Plus de 1,3 M$ pour appuyer les entreprises qui souhaitent embaucher des Québécoises et des Québécois de 55 ans ou plus


 Publié le 7 mai 2025

La ministre de l’Emploi et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, Kateri Champagne Jourdain, annonce un nouvel investissement de 1 355 728 $ pour la poursuite du service d’accompagnement sur mesure offert gratuitement aux entreprises qui veulent devenir des milieux de travail attractifs pour les Québécoises et les Québécois de 55 ans ou plus qui souhaitent prolonger leur carrière ou retourner sur le marché du travail.  

Un service gratuit et sur mesure

Dès maintenant, les entreprises de toutes les régions du Québec peuvent contacter le Conseil du patronat du Québec pour obtenir ce service personnalisé. Avec ce nouvel investissement, ce sont une centaine de PME supplémentaires qui seront soutenues. Des spécialistes en ressources humaines les accompagneront pendant quelques semaines pour les aider à brosser un portrait de leur situation et établir un plan de travail incluant notamment des ateliers de sensibilisation, d’encadrement ou de formation. Les entreprises participantes pourront également améliorer leurs connaissances des meilleures pratiques pour recruter et retenir le personnel de 55 ans ou plus (ex. : allègement de la charge de travail, environnement plus accueillant, horaire flexible, etc.).

Des résultats concrets

Rappelons qu’il y a un an, la ministre lançait une première phase de cette initiative. Au total, ce sont 95 entreprises qui ont été accompagnées jusqu’à maintenant. Grâce à l’accompagnement sur mesure offert, ce sont plus de 650 personnes qui sont retournées en emploi ou qui ont prolongé leur carrière.

Citations

« Les résultats de la première phase du projet ont été très concluants. On a vu que ça répondait à un réel besoin et que ça a permis à des travailleurs de prolonger leur carrière ou de revenir sur le marché du travail. C’est ce qu’on souhaitait! Aujourd’hui, c’est donc une nouvelle phase que je lance pour permettre à un plus grand nombre de PME de bénéficier de ce service d’accompagnement sur mesure, efficace et gratuit! Il faut miser sur nos forces et les travailleurs expérimentés sont une richesse pour le Québec. J’invite les entreprises de toutes les régions à s’inscrire dès maintenant! »

Kateri Champagne Jourdain, ministre de l’Emploi et ministre responsable de la région de la Côte-Nord

« Pour réussir à attirer et à retenir cette main-d’œuvre précieuse, il faut adapter les pratiques organisationnelles à sa réalité particulière. Nous nous réjouissons de la continuité de ce projet qui permet d’apporter une aide concrète aux organisations pour le faire. »

Marie-Claude Perreault, présidente et cheffe de la direction par intérim du Conseil du patronat du Québec 

Faits saillants

  • Il est à noter que certains secteurs d’activité aux prises avec des enjeux de main-d’œuvre sont priorisés dans le cadre de ce nouveau déploiement, notamment la construction, la fabrication, le commerce de détail ainsi que les services d’hébergement et de restauration.
  • Le coffre à outils élaboré par le Conseil du patronat du Québec lors de la première phase est disponible à https://retravail.com/category/ressources-humaines/personnel-experimente/.
  • Pour plus de détails, les entreprises intéressées peuvent communiquer avec le Conseil du patronat du Québec.

Pour en savoir plus sur les activités du ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale, suivez-le sur les médias sociaux :

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twitter.com/messqc

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Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/May2025/07/c2343.html

Des pourboires calculés avant les taxes et des prix plus clairs à l’épicerie


 Publié le 7 mai 2025

Le ministre de la Justice, procureur général du Québec et ministre responsable de la protection des consommateurs, M. Simon Jolin-Barrette, annonce l’entrée en vigueur des nouvelles règles encadrant les suggestions de pourboire et de celles concernant l’affichage du prix des aliments à l’épicerie. Le montant prévu à la Politique d’exactitude des prix passe également de 10 $ à 15 $ dès aujourd’hui.

1)  Calcul du pourboire avant les taxes

Les suggestions de pourboire doivent être calculées sur le montant de la facture avant les taxes. Elles doivent apparaître de manière neutre et uniforme, pour que les options offertes soient toutes aussi visibles les unes que les autres sur le terminal de paiement. L’option permettant au client de déterminer lui-même le montant du pourboire qu’il souhaite laisser doit aussi être offerte et visible.

2)  Prix des aliments plus visibles et plus clairs

Le prix courant, le prix à l’unité, le prix par unité de mesure ainsi que le prix « non-membre » doivent être visibles et clairs en tout temps sur les étiquettes des produits. Lorsqu’un aliment est taxable, cette information doit également être indiquée à proximité du prix annoncé. La mesure s’applique aux épiceries, aux dépanneurs et à tout commerce qui vend des produits alimentaires.

Ces informations sont essentielles pour que les familles québécoises puissent faire les meilleurs choix en fonction de leurs besoins et de leur budget.

3)  Passage à 15 $ du montant prévu par la Politique d’exactitude des prix

Le rabais prévu à la Politique d’exactitude des prix passe de 10 $ à 15 $. Ainsi, dans les commerces qui utilisent la technologie du lecteur optique, les articles annoncés à 15 $ ou moins devront désormais être remis gratuitement lorsque le prix lu à la caisse est supérieur au prix annoncé. Pour les articles d’une valeur de plus de 15 $, c’est un rabais de 15 $ qui devra être offert.

Citation :

« Dans le contexte économique actuel, nous savons à quel point chaque dollar compte pour les familles québécoises. Les nouvelles règles sur l’affichage des prix et l’encadrement des suggestions du pourboire vont leur simplifier la vie en éliminant des irritants du quotidien. Il est essentiel que les familles aient accès à toute l’information nécessaire pour faire les meilleurs choix en fonction de leurs besoins et de leur budget. Notre gouvernement agit pour protéger le portefeuille des Québécois. »

M. Simon Jolin-Barrette, ministre de la Justice, procureur général du Québec et ministre responsable de la protection des consommateurs

Faits saillants :

  • Les changements ont été introduits par l’adoption, en novembre 2024, de la Loi protégeant les consommateurs contre les pratiques commerciales abusives et offrant une meilleure transparence en matière de prix et de crédit.
  • L’Office de la protection du consommateur informe les consommateurs sur leurs nouvelles protections et sensibilise les commerçants à leurs obligations. Il diffuse notamment des outils pratiques sur son site Web, dont la capsule éducative La Politique d’exactitude des prix, il faut la connaître!
  • De nouvelles affiches sur la Politique d’exactitude des prix font leur apparition dans les commerces. Attrayantes et faciles à comprendre, elles comprennent plusieurs exemples courants où la Politique ne s’applique pas, pour éviter des mésententes entre consommateurs et commerçants.

Liens connexes :

Pour les consommateurs :

Pour les commerçants :