Résultats du nouveau contrat avec les entreprises ambulancières du Québec : des améliorations concrètes pour les patients


 Publié le 22 mai 2025

Le ministre de la Santé, Christian Dubé, présente aujourd’hui les premiers résultats du nouveau contrat de services avec les entreprises ambulancières, en vigueur depuis octobre 2023. Cette entente prévoyait des mesures de transparence, de résultats et d’imputabilité des entreprises pour s’assurer que les besoins de la population soient comblés dans toutes les régions du Québec. Comme il s’y était engagé dans le Plan santé, le gouvernement a entrepris une vaste modernisation des services préhospitaliers qui a engendré des améliorations concrètes pour les patients. 

Des services plus efficaces pour répondre aux besoins urgents 
Dans la dernière année, les ajustements apportés au contrat de services avec les entreprises ambulancières ont entre autres permis de :

  • réduire de 20 % le délai pour qu’une ambulance soit en route vers un appel urgent, permettant une intervention plus rapide auprès des patients en situation critique;
  • diminuer de plus de deux minutes le temps d’attente moyen des équipes à l’urgence permettant d’économiser 4,1 millions $ et les réinvestir dans les soins à la population.

Des résultats encore plus marqués dans les régions éloignées
Plusieurs zones en région qui étaient plus vulnérables aux bris de service ont connu des avancées particulièrement marquées. C’est une amélioration majeure pour la population de ces régions, qui se retrouvait à certains moments plus vulnérable avec des délais plus élevés pour des appels urgents. Par exemple, depuis 2022-2023 :

  • sur la Côte-Nord, le taux de bris de service est passé de 3,66 % à 1,4 %;
  • en Gaspésie, le taux est passé de 1,54 % à seulement 0,24 %.

Les résultats démontrent que les mesures mises en œuvre produisent des effets tangibles et contribuent concrètement à renforcer l’offre de services là où les besoins sont les plus criants. 

Citation :

« Les résultats le démontrent : la transformation des services préhospitaliers à laquelle nous nous sommes engagés dans le Plan santé donne des résultats concrets pour la population. En rendant les entreprises ambulancières plus imputables et en instaurant des résultats attendus liés aux sommes versées, nous obtenons des services plus rapides, mieux adaptés et une organisation plus efficace. L’accès aux soins d’urgence s’améliore partout au Québec, y compris dans les régions éloignées. Notre priorité reste claire : offrir un meilleur accès par une réponse rapide, peu importe l’heure ou la région. »

Christian Dubé, ministre de la Santé 

Faits saillants :

  • Précisons que le nouveau contrat de services, en vigueur depuis octobre 2023, agit sur plusieurs volets :
    • une portion des versements aux entreprises ambulancières est liée à des résultats attendus, dans une logique d’amélioration de l’efficacité;
    • la transparence est accrue puisque les entreprises ambulancières remettent leurs états financiers audités au ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) chaque année;
    • avec l’imposition de pénalités en cas d’heures de services non livrées, les entreprises ambulancières sont plus imputables du service pour lequel elles se sont engagées à livrer;
    • la structure de financement des entreprises est complètement revue afin d’améliorer la gestion de la main-d’œuvre.
  • Rappelons que la transformation du système préhospitalier d’urgence est un chantier prioritaire. Les mesures déployées s’inscrivent dans le cadre des orientations de la Politique gouvernementale sur le système préhospitalier d’urgence 2023-2028.
  • Mentionnons qu’entre le 1er avril 2024 et le 31 janvier 2025, le taux d’heures de services ambulanciers non livrées, c’est-à-dire en bris de service, à l’échelle provinciale, s’est établi à 0,87 %, témoignant d’une amélioration significative depuis l’entrée en vigueur du nouveau contrat de services ambulanciers.

Une gouvernance revue pour rééquilibrer les pouvoirs entre Montréal et les banlieues


 Publié le 22 mai 2025

La ministre des Affaires municipales, Mme Andrée Laforest, a déposé aujourd’hui, à l’Assemblée nationale, le projet de loi no 104, Loi modifiant diverses dispositions afin de notamment donner suite à certaines demandes du milieu municipal.

Depuis la création de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), l’agglomération de Montréal a connu une diminution de l’importance relative de ses électeurs. Pour tenir compte de cette évolution, donc mieux refléter la proportion d’électeurs, le projet de loi propose des mesures venant revoir la composition du conseil et du comité exécutif de la CMM, une première en 20 ans! 

Le projet de loi comporte également diverses mesures en lien avec la gouvernance, la fiscalité et l’urbanisme, et ce, principalement pour donner suite à des demandes du milieu municipal.

Afin de favoriser la construction résidentielle, l’exemption référendaire déjà prévue dans les zones où se situe un service de transport collectif qui est exploité sur rail ou sur une autre voie lui étant réservée sera élargie.

Certaines mesures visent également à poursuivre le travail d’allègement de la charge administrative des municipalités ainsi qu’à leur accorder plus de flexibilité dans certains domaines.

Citation :

« En mai 2018, quelques mois avant l’élection de notre gouvernement, le premier ministre avait pris l’engagement de revoir la gouvernance de la CMM pour donner aux couronnes de Montréal leur juste poids décisionnel. Aujourd’hui, je suis fière que nous proposions des mesures pour rééquilibrer la situation pour tous les secteurs. Nos couronnes méritent la représentativité qui leur revient! Avec ce projet de loi, nous démontrons encore une fois que nous n’hésitons pas à faire les réformes nécessaires. »

Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean

Des retombées concrètes pour les personnes aînées du Québec


 Publié le 22 mai 2025

En mai 2024, le gouvernement du Québec lançait La fierté de vieillir, un plan d’action gouvernemental 2024-2029 structurant, concerté et ambitieux.

Un an plus tard, la ministre déléguée à la Santé, ministre responsable des Aînés et ministre responsable de la région des Laurentides, Sonia Bélanger, dresse un bilan très positif des actions mises en œuvre pour améliorer concrètement la qualité de vie des personnes aînées du Québec.

Les actions réalisées au cours de la dernière année sont nombreuses :

  • les modifications apportées au Régime des rentes du Québec ont contribué au maintien en emploi de 12 464 personnes âgées de 65 à 69 ans supplémentaires;
  • 1 127 000 personnes aînées ont bénéficié du crédit d’impôt pour soutien aux aînés;
  • 398 000 personnes ont reçu des soins et des services à domicile et 37,5 millions d’heures ont été données en soutien à domicile;
  • 3 168 nouvelles places en maisons des aînés ou maisons alternatives auront été créées pour des personnes ayant besoin de soins de longue durée;
  • 45 000 personnes aînées supplémentaires ont été repérées grâce à des initiatives de travail de milieu et de gériatrie sociale;
  • 2 555 logements abordables destinés aux personnes aînées ont été construits ou sont en construction;
  • 61 petites infrastructures additionnelles ont été adaptées ou aménagées partout au Québec afin de favoriser l’inclusion sociale et d’améliorer la qualité de vie des personnes aînées;
  • 298 456 appels téléphoniques ont été acheminés à des personnes aînées afin d’assurer leur sécurité à domicile.

La Politique québécoise sur la maladie d’Alzheimer et les autres troubles neurocognitifs fait aussi partie des initiatives gouvernementales, démontrant ainsi une réelle volonté de répondre aux besoins des personnes aînées et de leurs proches.

La première année a également été marquée par une mobilisation remarquable sur le terrain. Le 28 avril dernier, près de 1 200 personnes étaient inscrites à l’événement virtuel La fierté de vieillir – Bilan d’une première année d’actions! Près de 900 personnes ont aussi participé à une vingtaine d’activités virtuelles organisées tout au long de l’année afin de faire rayonner le plan, mettre en valeur les réalisations concrètes et soutenir les actions mises en œuvre localement. Ces initiatives témoignent de l’intérêt croissant pour les enjeux liés au vieillissement et du dynamisme des milieux engagés.

Forts de ces premiers résultats encourageants, les partenaires travaillent déjà à poursuivre la mise en œuvre des actions prévues au plan. La deuxième année s’annonce tout aussi mobilisatrice, au bénéfice du mieux-être des personnes aînées partout au Québec.

Citation :

« Je suis vraiment très fière des actions réalisées durant cette première année. Nous avançons dans la bonne direction. Plus que jamais, la société est mobilisée afin de permettre aux personnes aînées de vivre pleinement cette période, d’être reconnues et considérées dans leur communauté. Nous sommes assurément bien en selle pour les prochaines étapes de la réalisation de notre plan d’action. Tous ensemble, faisons du Québec un lieu où l’on peut être fier de vieillir! »

Sonia Bélanger, ministre responsable des Aînés, ministre déléguée à la Santé et ministre responsable de la région des Laurentides

Faits saillants :

  • Avec un investissement majeur de près de 23,4 milliards de dollars sur cinq ans, le plan d’action 2024-2029 prévoit la mise en œuvre de 102 mesures, portées par 35 ministères et organismes gouvernementaux partenaires. Il propose 16 cibles prioritaires, permettant de traduire concrètement certains des engagements gouvernementaux envers les personnes aînées et de mesurer les résultats obtenus année après année.
  • En plus des cibles prioritaires, plusieurs autres initiatives concrètes ont vu le jour au cours de cette première année de mise en œuvre, notamment :
  • o des campagnes de communication grand public inspirantes pour valoriser la contribution des personnes aînées;
  • o du soutien concret offert aux partenaires sur le terrain afin de répondre aux besoins des milieux;
  • o l’accès à l’information avec de nouveaux outils numériques, juridiques et fiscaux.
  • Depuis le lancement du plan, 4,6 milliards de dollars ont été investis.

Un projet de loi pour mieux protéger la spécificité linguistique et culturelle du Québec


 Publié le 21 mai 2025

Le ministre de la Culture et des Communications, ministre responsable de la Jeunesse et ministre responsable de la région de l’Outaouais, M. Mathieu Lacombe, a déposé aujourd’hui à l’Assemblée nationale le projet de loi 109, Loi affirmant la souveraineté culturelle du Québec et édictant la Loi sur la découvrabilité des contenus culturels francophones dans l’environnement numérique. Le ministre propose aussi d’agir concrètement par l’introduction, dans la Charte des droits et libertés de la personne, d’un droit d’accès à des contenus culturels d’expression originale francophone.

Ces actions fortes visent à protéger de façon durable la spécificité linguistique et culturelle du Québec dans l’univers numérique, alors que les habitudes de consommation culturelle évoluent rapidement.

Introduction d’un droit à la découvrabilité et à l’accès dans la Charte des droits et libertés de la personne

Ce nouveau droit servirait à favoriser la présence, la visibilité et la recommandation des contenus culturels francophones dans l’environnement numérique et prescrirait le respect d’obligations, de la part des exploitants des entreprises concernées, qui découleraient de l’application de la Loi sur la découvrabilité des contenus culturels francophones dans l’environnement numérique.

Rendre la culture francophone plus visible sur les plateformes numériques

Cette nouvelle loi permettrait d’assujettir les plateformes de contenu audiovisuel, de musique, de balados et de livres audio à des obligations pour s’assurer que les contenus culturels francophones sont présents et visibles dans leurs catalogues. Également, les fabricants de téléviseurs et d’appareils connectés seraient soumis à des conditions et à des modalités qui les obligeraient, entre autres, à offrir l’accès à certaines plateformes de visionnement proposant majoritairement des contenus culturels d’expression originale de langue française et à mettre celles-ci en avant-plan.

Citation

« Le projet de loi s’inscrit parfaitement dans la suite des interventions du Québec en matière de découvrabilité au cours des dernières années. À la fois réaliste et très ambitieux, il a tout le potentiel de jouer un rôle déterminant pour l’avenir et la vitalité de notre identité culturelle et linguistique ainsi que pour la préservation de notre souveraineté culturelle. En tant que foyer de la langue française et de la culture francophone en Amérique, le Québec est le juge le plus légitime de l’état de sa langue et de sa culture. C’est pourquoi l’avenir de celles-ci doit se décider chez nous et par nous. »

Mathieu Lacombe, ministre de la Culture et des Communications, ministre responsable de la Jeunesse et ministre responsable de la région de l’Outaouais

Faits saillants

  • Le ministre dépose le projet de loi 109 à l’aube de la 5e Conférence des ministres de la Culture de la Francophonie, qui se tiendra à Québec du 22 au 24 mai 2025. Coorganisé par le gouvernement du Québec et l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), cet événement réunira plusieurs ministres responsables de la culture des États et gouvernements membres, membres associés et observateurs de l’OIF. Il permettra de définir un plaidoyer commun concernant la découvrabilité des contenus culturels francophones.
  • La découvrabilité d’un contenu se réfère à sa disponibilité en ligne et à sa capacité à être repéré parmi un vaste ensemble d’autres contenus, notamment par une personne qui n’en faisait pas précisément la recherche.
  • Le projet de loi est en cohérence avec les recommandations du Comité-conseil sur la découvrabilité des contenus culturels et répond explicitement aux recommandations du Commissaire à la langue française visant à freiner le recul du français au Québec et à renforcer son utilisation.
  • Une consultation aux fins d’élaboration d’un cadre législatif relatif à la découvrabilité des contenus culturels francophones a eu lieu du 27 mai au 8 juillet 2024. Les personnes et organismes qui étaient désireux de participer au chantier pouvaient le faire en déposant un mémoire sur la plateforme de consultation en ligne.

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26 000 $ pour renforcer l’impact communautaire dans L’Érable


 Publié le 21 mai 2025

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec, André Lamontagne, souligne l’attribution, par la ministre responsable de la Solidarité sociale et de l’Action communautaire, Chantal Rouleau, de 26 000 $ à la Corporation de développement communautaire de L’Érable inc. pour lui permettre de développer ses pratiques d’évaluation, de formation et de diffusion des connaissances.

Grâce à cet investissement, la Corporation de développement communautaire de L’Érable inc. concevra des outils adaptatifs afin d’accompagner les groupes communautaires dans l’évaluation de l’effet qualitatif de la transformation sociale à laquelle ils participent.

Au total, 33 projets à travers le Québec ont été retenus à la suite d’un appel de projets lancé l’an dernier. Une enveloppe globale de plus de deux millions de dollars permet la réalisation de cette mesure faisant partie des 29 mesures du Plan d’action gouvernemental en matière d’action communautaire 2022-2027.

Citations

« Développer une culture d’évaluation est essentiel pour le secteur communautaire et l’action bénévole. Cela permet aux organismes d’ajuster leurs actions aux besoins en constante évolution, tout en favorisant l’émergence de nouvelles connaissances et méthodes d’intervention. »

Chantal Rouleau, ministre responsable de la Solidarité sociale et de l’Action communautaire

« Je suis heureux de cet appui à la Corporation de développement communautaire de L’Érable inc qui lui permettra de renforcer son rôle d’accompagnement des organismes et des entreprises d’économie sociale de la MRC. Cette démarche s’inscrit pleinement dans la mission de la Corporation, qui regroupe les acteurs communautaires et favorise leur participation active au développement socioéconomique du territoire. C’est une très bonne nouvelle pour la région du Centre-du-Québec! »

André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec

« L’appui aux pratiques d’évaluation, de formation et de diffusion des connaissances s’inscrit dans une vision à long terme partagée par les 48 organismes membres de la Corporation. Ce financement représente un levier structurant pour soutenir la vitalité du milieu communautaire et favoriser un développement cohérent du territoire. »

Caroline Moreau, directrice générale de la Corporation de développement communautaire de L’Érable inc.

Plus de 178 M$ pour le transport en Mauricie


 Publié le 16 mai 2025

Le ministre du Travail et ministre responsable de la région de la Mauricie, de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec, M. Jean Boulet, au nom de la vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable, Mme Geneviève Guilbault, a annoncé un investissement de 178 088 000 $ pour les deux prochaines années dans les réseaux de transport routiers de la région la Mauricie.

Pour l’occasion, le ministre était accompagné de la ministre responsable de l’Administration gouvernementale, présidente du Conseil du trésor et députée de Champlain, Mme Sonia LeBel, du député de Maskinongé, M. Simon Allaire, et de la députée de Laviolette-Saint-Maurice, Mme Marie-Louise Tardif.

Cette année marquera la fin de deux projets d’envergure en Mauricie, soit le remplacement de la dalle centrale du pont Laviolette et la construction du nouveau pont des Piles, à Shawinigan. De plus, les sommes octroyées permettent la réalisation de projets significatifs, tels que :

  • l’asphaltage de la route 155, sur près de 10 km, à La Tuque;
  • la réfection du pont situé sur la route Gérin, au-dessus de la rivière Maskinongé, à Sainte-Ursule et à Saint-Justin;
  • la poursuite du programme d’intervention sur les ponceaux qui permettra cette année le remplacement de 60 d’entre eux sur le territoire de la Mauricie.

Citations

« Depuis 2018, notre gouvernement fait le choix d’investir toujours plus dans nos infrastructures, notamment en transport, pour rattraper le sous-investissement des gouvernements précédents, et offrir des infrastructures de qualité aux Québécois. Dans le contexte d’imprévisibilité économique que nous vivons actuellement, ce choix s’avère particulièrement judicieux, puisque chaque chantier crée des emplois, fait vivre nos entreprises, notamment celles visées par les tarifs américains, et stimule l’économie dans toutes les régions du Québec. Qui plus est, une des meilleures façons d’aider nos industries à demeurer compétitives à travers cette transition vers de nouveaux marchés et une économie redéfinie, c’est de leur offrir des conditions logistiques optimales, soit des réseaux de transport efficaces. Investir autant est donc un choix ambitieux, mais extrêmement stratégique pour nos citoyens et notre économie! »

Geneviève Guilbault, vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable

« Les projets qui se concrétiseront grâce aux sommes annoncées aujourd’hui permettront d’assurer des déplacements sécuritaires et fluides à travers notre région. Ces différents chantiers en activité auront pour résultat d’améliorer directement la qualité de vie de nos citoyennes et citoyens, de même que la vitalité socioéconomique de la Mauricie, notamment par la création d’emplois de qualité. »

Jean Boulet, ministre du Travail et ministre responsable de la région de la Mauricie, de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec et député de Trois-Rivières

« Plusieurs projets d’asphaltage sont prévus pour l’ensemble des secteurs de la circonscription de Champlain. Les travaux de réfection annoncés pour améliorer les routes, les ponts et les ponceaux permettront de rendre les déplacements des citoyens plus sécuritaires. Je tiens à souligner la collaboration des municipalités et les remercie de leur implication dans l’organisation de ces différents chantiers. »

Sonia LeBel, ministre responsable de l’Administration gouvernementale, présidente du Conseil du trésor et députée de Champlain

« La réfection du pont Gérin et le rehaussement de la route 349 sont des exemples concrets des projets qui, grâce aux investissements de notre gouvernement, amélioreront la sécurité des usagers. Ces travaux soutiennent activement la vitalité économique et sociale de nos municipalités rurales. »

Simon Allaire, député de Maskinongé

« L’été 2025 marquera la fin d’un chantier important dans ma circonscription, soit celui de la reconstruction du pont des Piles, à Shawinigan. De plus, les opérations de pavage sont toujours appréciées sur la route 155, en raison de la circulation de nombreux véhicules lourds. Des travaux sont prévus entre les kilomètres 85 et 95 au cours de la prochaine année. Merci à la direction régionale du ministère des Transports et de la Mobilité durable pour cette programmation dynamique qui rehaussera la sécurité de nos routes et de nos autoroutes ! »

Marie-Louise Tardif, députée de Laviolette-Saint-Maurice

Faits saillants

  • Les sommes investies dans la région de la Mauricie se répartissent comme suit :
    • 39 287 000 $ pour améliorer l’état des chaussées;
    • 126 368 000 $ pour améliorer l’état des structures;
    • 12 433 000 $ pour rendre le réseau efficace et sécuritaire.
  • En 2024, plusieurs projets ont été terminés, dont :
    • l’asphaltage des autoroutes 40 et 55 sur près de 19 km, à Trois-Rivières, à Sainte-Étienne-des-Grès, à Champlain, à Saint-Luc-de-Vincennes et à Saint-Maurice;
    • la reconstruction du pont situé sur la rue Saint-Jean-Baptiste Nord, au-dessus de la rivière Yamachiche, à Charrette;
    • la stabilisation du talus du chemin de la rivière Croche, à La Tuque, au kilomètre 13.

Plus de 6,2 M$ pour de nouveaux équipements de recherche au Centre collaboratif sur l’énergie et sa transition


 Publié le 16 mai 2025

Le ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval, M. Christopher Skeete, annonce un soutien de 6 246 566 $ à l’Université Concordia afin d’acquérir des équipements de recherche et de réaliser des travaux d’aménagement au Centre collaboratif sur l’énergie et sa transition (C²ET).  

Avec son projet de plus de 7,8 millions de dollars, le C²ET sera en mesure de poursuivre ses recherches dans le domaine des batteries, un secteur stratégique pour le Québec. Ses équipements à la fine pointe lui permettront également de développer encore plus de partenariats et de recruter des étudiants-chercheurs.

En favorisant la compétitivité des chercheurs et en attirant les meilleurs talents dans le domaine de la transition énergétique, notre gouvernement réaffirme son engagement envers les objectifs de la Stratégie québécoise de recherche et d’investissement en innovation (SQRI2), tout en contribuant au développement économique du Québec.

Citations :

« Les entreprises québécoises travaillant à la transition énergétique ont besoin d’une main-d’œuvre qualifiée, et c’est avec des centres comme le C2ET qu’on pourra former une relève compétente. La mission de ce centre rejoint d’ailleurs la volonté de notre gouvernement de décarboner notre économie d’ici 2050 pour bâtir un avenir plus durable. »

Christopher Skeete, ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

« Grâce au soutien du gouvernement du Québec, le C2ET mettra à la disposition de tous les étudiants et les chercheurs de Concordia des instruments d’exception, afin de favoriser leur engagement dans l’électrification de la société. Cette initiative s’inscrit notamment dans le cadre de notre programme de recherche Volt-Age, dont le C²ET est une composante essentielle. »

Karim Zaghib, professeur de chimie des matériaux, directeur du C²ET et président-directeur général de Volt-Age

« L’acquisition de ces équipements de pointe renforce la capacité de Concordia à mener des recherches de haut niveau sur l’électrification et les batteries de nouvelle génération. En offrant ces outils à nos chercheuses, nos chercheurs et nos étudiants, nous accélérons les découvertes, enrichissons la formation et favorisons des avancées concrètes pour la transition énergétique. »

Tim Evans, vice-recteur à la recherche, à l’innovation et au rayonnement, Université Concordia

Faits saillants :

  • Initiative de l’Université Concordia, le Centre collaboratif sur l’énergie et sa transition (C²ET) rassemble chercheuses et chercheurs, installations et partenaires industriels de calibre mondial afin de permettre l’électrification de la société pour un avenir plus durable. Le C2ET contribue à ancrer le Québec sur l’échiquier international en tant que pionnier de l’industrie de la batterie aux ions de lithium, de l’extraction minière à la fabrication des batteries. Il fait partie du programme de recherche sur l’électrification de la société Volt-Age.
  • En avril 2023, l’Université Concordia a obtenu un soutien de 123 millions de dollars du Fonds Apogée pour le projet Électrifier la société : pour des collectivités décarbonées et résilientes. Elle a alors créé l’initiative Volt-Age afin de concevoir des solutions et des technologies novatrices pour répondre aux changements climatiques et stimuler la recherche sur le développement durable.
  • L’aide financière provient du Programme de soutien aux organismes de recherche et d’innovation, volet Soutien au financement d’infrastructures de recherche et d’innovation publiques, qui vise à appuyer la mise aux normes, l’agrandissement, l’amélioration et la construction d’infrastructures, l’acquisition d’un bâtiment existant ainsi que l’acquisition d’équipements structurants nécessaires aux activités publiques de recherche et d’innovation.
  • La SQRI2 propose la vision d’un Québec qui mise sur la recherche et l’innovation durable et inclusive pour exceller à l’échelle mondiale et créer plus de richesses économiques et sociales. Rappelons que la SQRI2, prenant effet en 2022, prévoit des investissements de 7,5 milliards de dollars d’ici 2027 afin de doter le Québec d’une base solide en recherche et en innovation.

42 M$ supplémentaires pour soutenir la productivité et la croissance des entreprises agricoles


 Publié le 16 mai 2025

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec, M. André Lamontagne, annonce une somme de 42 millions de dollars afin de soutenir les investissements des entreprises agricoles. Cette bonification annoncée dans le dernier budget porte le montant consacré au Programme Investissement Croissance Durable (PICD) à 92 millions de dollars pour soutenir la relève agricole et accroître la productivité et la croissance des entreprises agricoles.

Cette annonce s’inscrit dans le cadre d’une tournée d’entreprises agricoles du ministre Lamontagne en Montérégie, en compagnie du ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration, ministre de la Langue française, ministre responsable de la Francophonie canadienne, ministre responsable de la Laïcité, ministre responsable des Institutions démocratiques et ministre responsable de l’Accès à l’information et de la Protection des renseignements, M. Jean-François Roberge, et de la ministre de la Famille et ministre responsable de la région de la Montérégie, Mme Suzanne Roy. Cette visite dans la région est l’occasion de constater les retombées concrètes que ce soutien peut avoir sur les entreprises et sur l’établissement de la relève agricole.

Grâce à l’ajout de cette nouvelle somme, l’ensemble des volets du PICD, administré par La Financière agricole du Québec, sont reconduits. Plus particulièrement, cela permettra de maintenir le taux d’aide avantageux du volet « Appui Croissance Plus Durable », qui agit en soutien à des projets liés aux productions bovine, ovine ou caprine. À ce jour, il a permis de financer 500 projets et a généré près de 160 millions de dollars en investissements. Ces projets présentent un fort potentiel pour l’accroissement de notre autonomie alimentaire.

Le volet « Fonds de roulement » sera aussi prolongé jusqu’au 31 mars 2027 ou jusqu’à l’épuisement des sommes, selon la première éventualité.

Rappelons que le PICD a vu le jour en marge de l’annonce du Fonds d’investissement agricole par le premier ministre François Legault en juin 2020. Depuis sa création, le PICD a permis d’accompagner plus de 13 300 projets agricoles se chiffrant à plus de 4,7 milliards de dollars. Pour cette même période, l’aide financière engagée auprès des entreprises est de l’ordre de 191 millions de dollars.

Citations

« Nos entreprises agricoles travaillent dans un environnement compétitif et sont mobilisées pour nourrir le monde le plus durablement possible. Avec cette aide, votre gouvernement réaffirme son engagement à soutenir la croissance et la productivité de nos entreprises. »

André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec

« Notre organisation met tout en œuvre pour soutenir la création, la productivité et la croissance des entreprises agricoles. La Financière agricole du Québec est fière de maintenir son rôle stratégique dans la gestion des activités des entreprises agricoles du Québec. »

Ernest Desrosiers, président-directeur général de La Financière agricole du Québec

Faits saillants

  • L’aide offerte dans le volet « Appui Croissance Plus Durable » est de 25 % du financement admissible et peut représenter jusqu’à 150 000 $ par entreprise, pour un financement maximal admissible de 600 000 $.
  • Depuis le 1er avril 2023, le volet « Fonds de roulement » a appuyé 1 746 entreprises, ce qui représente une aide financière de 33,4 millions de dollars. Les producteurs agricoles affectés par la hausse des taux d’intérêt et du coût des intrants, peu importe leur type de production, peuvent bénéficier d’une aide financière dont le montant varie selon le chiffre d’affaires de l’entreprise, mais ne peut excéder 75 000 $. De plus, ce volet permet aux producteurs ayant des enjeux de liquidités d’avoir accès au Prêt de fonds de roulement de La Financière agricole du Québec. Ce dernier peut atteindre jusqu’à 300 000 $ pour une durée maximale de 10 ans et offre jusqu’à trois années de congé de paiement de capital.
Programme Investissement Croissance Durable au 31 mars 2025Données cumulatives
Du 1er avril 2020au 31 mars 2025Nombre
de
projets acceptés
Montant
autorisé (M$)*
Montant
admissible à
une aide
financière (M$)
Montant
engagé
(M$)
Volet Appui Croissance5 0042 621,2538,353,8
Volet Appui Croissance
Plus
3 2221 678,9487,648,8
Volet Appui Croissance
Plus Durable
502156,358,814,7
Volet Valorisation
agroenvironnementale
des terres en culture
1 533933,2101,410,1
Volet Jeunes
entrepreneurs
1 298593,7201,530,2
Volet Fonds de roulement1 746369,4133,433,4
Ensemble des projets13 3054 781,51 521,0191,0
* La somme peut différer du total puisqu’une demande peut s’inscrire dans plus d’un volet.

Admissibilité élargie en RPA : la ministre Bélanger annonce des changements


 Publié le 15 mai 2025

La ministre responsable des Aînés, ministre déléguée à la Santé et ministre responsable de la région des Laurentides, Sonia Bélanger, annonce aujourd’hui un élargissement des critères d’admissibilité du programme d’allocation personnalisée pour les personnes hébergées en résidences privées pour aînés (RPA). Cette bonification vise à améliorer l’accès aux services d’assistance personnelle, à soutenir davantage les petites résidences et à favoriser le maintien à domicile des personnes aînées au Québec.

Le programme d’allocation personnalisée complète les services de soutien à domicile déjà disponibles. Il formalise également la structure de partenariat avec les RPA pour l’utilisation du budget additionnel de 42,6 millions $ au bénéfice des personnes aînées pour la prochaine année. Le programme uniformise ainsi les taux horaires, simplifie les démarches administratives et renforce les services de proximité pour les résidents et résidentes. Il s’inscrit également dans le grand virage du soutien à domicile (SAD) déjà amorcé.

Ainsi, parmi les bonifications apportées, on note :

  • l’ajout des profils Iso-SMAF des résidents et résidentes admissibles, incluant maintenant les profils entre 6 et 14. Les profils Iso-SMAF proviennent d’un système de classification des besoins des usagers et usagères pour leur autonomie fonctionnelle. Le profil 6 correspond au début des besoins pour la réalisation des activités de la vie quotidienne (se laver, se mouvoir, se nourrir);
  • l’élargissement de l’accessibilité aux RPA de plus de 30 unités locatives certifiées de catégorie 3 et 4;
  • le maintien de l’allocation personnalisée durant les périodes d’hospitalisation, jusqu’à un maximum de 15 jours, afin de réduire les démarches administratives et assurer une continuité des services et une rétention du personnel de la RPA;
  • la continuité des services lors d’un déménagement vers une autre RPA pour éviter les interruptions et faciliter l’adaptation des usagers et usagères.

Citations :

« Je suis heureuse de cette évolution des critères du programme d’allocation personnalisée pour mieux refléter la réalité des personnes hébergées et des résidences privées pour aînés qui les accueillent. Nous réaffirmons ainsi l’engagement de notre gouvernement à être à l’écoute des besoins de nos partenaires, mais aussi à soutenir davantage les milieux de vie. C’est une mesure concrète qui vient renforcer notre volonté d’offrir aux personnes aînées la possibilité de demeurer chez elles, dans un environnement adapté, humain et sécuritaire. »

Sonia Bélanger, ministre responsable des Aînés, ministre déléguée à la Santé et ministre responsable de la région des Laurentides 

Faits saillants :

  • L’élargissement des nouveaux critères devrait permettre de rejoindre 1 126 RPA, soit 693 de plus qu’avec les critères initiaux.
  • Notons que le programme d’allocation personnalisée est l’une des mesures du plan d’action La fierté de vieillir, dans la réalisation de l’axe 6 — Poursuivre le virage vers les services de soutien à domicile. Il s’inscrit également dans les grandes priorités du soutien à domicile, soit d’améliorer l’accès et l’intensité aux services en temps opportun et consolider un partenariat fort avec les partenaires de la communauté. Après une année de mise en œuvre, les ajustements apportés témoignent de l’agilité du gouvernement à adapter ses mesures aux réalités du terrain et aux souhaits des personnes aînées de demeurer à domicile le plus longtemps possible, dans la dignité.
  • Mis en place en hiver 2024, ce programme est ainsi ajusté pour mieux refléter les besoins évolutifs des usagers et usagères, en s’adressant désormais à un éventail plus large de perte d’autonomie. Les personnes vivant dans des RPA offrant des soins et des services d’assistance personnelle, peu importe leur taille, sont désormais admissibles. Cette évolution des critères vient également renforcer le partenariat avec le réseau des RPA à titre d’acteur clé dans l’offre de soins et de services aux personnes aînées du Québec dans le continuum résidentiel et d’hébergement.
  • Programmes d’aide financière déjà en cours pour les RPA :
    • Programme d’aide financière pour l’installation d’un système de gicleurs (259 M$), bonification de 10 M$ en 2025-2026, 2026-2027 et 2027-2028;
    • Programme d’aide aux RPA et autres entités privées apparentées (PARPA-EPA) pour couvrir la hausse des primes d’assurance;
    • Programme de transition salariale pour le personnel soignant en RPA (490,5 M$) depuis 2021-2022.

Vers une politique nationale – Journée de concertation pour accélérer la transformation en cours en soutien à domicile au Québec


 Publié le 14 mai 2025

Le virage vers les soins et les services de soutien à domicile est une grande priorité pour le gouvernement du Québec. Dans ce sillage, des travaux menant à l’élaboration de la nouvelle politique nationale de soutien à domicile ont été annoncés en décembre 2024 par la ministre responsable des Aînés, ministre déléguée à la Santé et ministre responsable de la région des Laurentides, Sonia Bélanger.

Suivant la consultation d’une centaine d’acteurs et d’organismes venant de toutes les sphères de la société (réseau public, organismes communautaires, organisme sans but lucratif, syndicats, secteur privé, associations et ordres professionnels, usagers, usagères et personnes proches aidantes), la ministre prend part à la Journée de consultation qui se tient aujourd’hui, à Québec.

En soutien à domicile, la vision du gouvernement est de répondre aux besoins des personnes les plus vulnérables de la société ayant des incapacités, dont l’état requiert des soins de longue durée, dans une perspective de maintien et de développement de l’autonomie à domicile.

La Journée de concertation – Vers une politique nationale de soutien à domicile, qui se tient sur invitation, rassemble près de 400 participantes et participants, en formule hybride. En plus des intervenants, intervenantes et partenaires de l’écosystème en soutien à domicile, des usagères, des usagers et des personnes proches aidantes prennent également part à ce grand rendez-vous.

Cette journée est l’occasion de réfléchir collectivement aux orientations à prendre pour effectuer ce virage. De même, elle permettra de présenter une synthèse des consultations et de poursuivre les échanges sur les priorités de la politique nationale, dont le dévoilement est prévu l’automne prochain. La politique vise à établir une vision claire pour répondre aux besoins des citoyens et citoyennes du Québec en matière de soutien à domicile. Elle s’appuiera sur quatre grandes orientations :

Orientation 1 : Accès aux services et à l’information : optimiser et simplifier le parcours en SAD de l’usager et l’usagère et de ses proches

Orientation 2 : Financement : optimisation et durabilité

Orientation 3 : Engagement et collaboration

Orientation 4 : Gouvernance et organisation clinique des services SAD

Citation :

« Toutes et tous ensemble, avec cœur et conviction, nous devons réussir le grand virage du soutien à domicile. Notre gouvernement s’est engagé à répondre au souhait de la population québécoise : celui de demeurer chez elle, le plus longtemps possible. Je suis très heureuse de voir la mobilisation autour de ce grand chantier afin d’améliorer l’offre de soins et de services de soutien à domicile, la satisfaction et la qualité de vie des usagers et usagères et de leurs proches. »

Sonia Bélanger, ministre responsable des Aînés, ministre déléguée à la Santé et ministre responsable de la région des Laurentides

Faits saillants :

  • Rappelons que cette politique nationale à venir s’inscrit dans une grande démarche du gouvernement du Québec afin d’accélérer le virage vers le soutien à domicile. La poursuite de ce virage est d’ailleurs l’un des axes du plan d’action gouvernement La fierté de vieillir, lancé il y a un an.
  • Des consultations particulières ont eu lieu de janvier à avril 2025 où les équipes ministérielles ont rencontré plus d’une centaine de groupes de différentes sphères de la société. Des rencontres avec des usagers, des usagères et des personnes proches aidantes ont aussi été tenues dans cinq régions du Québec.
  • Au cours des six dernières années, le financement accordé en soutien à domicile a été augmenté de 85 %, passant d’un investissement de 1,4 milliard $ en 2019-2020 à 2,6 milliards $ en 2025-2026.