3,8 M$ dans Rivière-du-Loup – Témiscouata (incluant Les Basques) en infrastructures municipales


 Publié le 30 avril 2025

Au nom de la ministre des Affaires municipales, Mme Andrée Laforest, la députée de Rivière-du-Loup – Témiscouata (incluant Les Basques), Amélie Dionne annonce qu’une somme de 3 859 552 M$ sera investie dans la circonscription par le biais du Programme de transfert pour les infrastructures d’eau et collectives du Québec (TECQ) 2024-2028.

Cette nouvelle découle de la bonification de 90 millions de dollars annoncée au TECQ 2024‑2028 par le gouvernement du Québec pour soutenir les municipalités de moins de 5 000 habitants afin qu’elles puissent réaliser des travaux à leurs bâtiments municipaux.

Voici les sommes qui seront octroyées aux municipalités visées dans la circonscription de Rivière-du-Loup – Témiscouata (incluant Les Basques) :

Nom de la municipalitéSommes octroyées
Auclair75 000 $
Biencourt75 000 $
Cacouna115 695 $
Dégelis138 292 $
Lac-des-Aigles75 000 $
Lejeune75 000 $
L’Isle-Verte105 505 $
Notre-Dame-des-Neiges100 291 $
Notre-Dame-des-Sept-Douleurs75 000 $
Notre-Dame-du-Portage103 398 $
Packington75 000 $
Pohénégamook128 732 $
Rivière-Bleue103 376 $
Saint-Antonin173 338 $
Saint-Arsène101 399 $
Saint-Athanase75 000 $
Saint-Clément75 000 $
Saint-Cyprien97 988 $
Sainte-Françoise75 000 $
Saint-Éloi75 000 $
Saint-Elzéar-de-Témiscouata75 000 $
Saint-Épiphane75 000 $
Sainte-Rita75 000 $
Saint-Eusèbe75 000 $
Saint-François-Xavier-de-Viger75 000 $
Saint-Guy75 000 $
Saint-Honoré-de-Témiscouata75 000 $
Saint-Hubert-de-Rivière-du-Loup107 113 $
Saint-Jean-de-Dieu111 741 $
Saint-Jean-de-la-Lande75 000 $
Saint-Juste-du-Lac75 000 $
Saint-Louis-du-Ha! Ha!104 506 $
Saint-Marc-du-Lac-Long75 000 $
Saint-Mathieu-de-Rioux75 000 $
Saint-Médard75 000 $
Saint-Michel-du-Squatec97 401 $
Saint-Modeste101 095 $
Saint-Paul-de-la-Croix75 000 $
Saint-Pierre-de-Lamy75 000 $
Saint-Simon-de-Rimouski75 000 $
Trois-Pistoles143 202 $

Ces municipalités pourront financer des projets de construction ou de rénovation de leurs infrastructures municipales à vocation culturelle, communautaire, municipale, sportive ou de loisir. Pensons, par exemple, à un hôtel de ville, à un centre communautaire, à un parc public, à un centre de loisirs ou encore à un aréna.

Citations :

« Partout au Québec, notre gouvernent contribue à développer des milieux de vie qui sont toujours plus dynamiques et où il fait bon vivre. Aujourd’hui, je suis fière que nous annoncions ce soutien aux plus petites municipalités parce qu’elles en ont particulièrement besoin. Ce coup de pouce supplémentaire permettra d’offrir des services essentiels de qualité aux citoyens ainsi que des lieux où ils pourront se réunir, se divertir ou encore bouger. J’ai déjà hâte de voir les différents projets qui verront le jour dans toutes nos régions! »

Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et ministre responsable du Saguenay–Lac-Saint-Jean

« À titre de députée, je me réjouis de l’investissement consenti par notre gouvernement dans notre circonscription, pour appuyer la réalisation de projets d’infrastructures municipales. L’amélioration et la construction de ces dernières sont essentielles pour assurer des services de qualité à la population, et c’est ce que ces sommes supplémentaires permettront de faire. »

Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup – Témiscouata (incluant Les Basques)

Faits saillants :

  • La bonification de 90 millions de dollars annoncée aujourd’hui intègre une enveloppe équivalente à celle dont était doté le Programme d’aide financière pour les bâtiments municipaux (PRABAM), qui a pris fin le 31 décembre 2024.
  • Rappelons qu’en juillet 2024, le gouvernement du Québec a annoncé un investissement total de plus de 3,2 milliards de dollars pour les infrastructures municipales dans le cadre du Programme TECQ 2024-2028. La bonification de 90 millions s’ajoute à cette enveloppe, précisément à la contribution de 1 milliard de dollars du gouvernement du Québec.
  • Pour obtenir plus de renseignements sur les nouvelles modalités du Programme, consultez le Guide disponible sur la page du TECQ 2024-2028.

Francisation Québec – Nombre record de personnes francisées en 2024-2025


 Publié le 30 avril 2025

Le ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration, M. Jean-François Roberge, est fier de souligner qu’un nombre record de personnes ont bénéficié des services de Francisation Québec au cours de l’année 2024-2025. Du 1er avril 2024 au 31 mars 2025, plus de 90 000 personnes ont bénéficié des services de Francisation Québec, soit une hausse d’environ 25 % par rapport à l’année précédente.

Concrètement, il y a eu un plus grand nombre d’élèves en classe en 2024-2025 que l’année précédente, et ce, systématiquement pour chaque mois de l’année. Cette augmentation de l’offre a eu des retombées directes sur les personnes en attente d’un cours de français. En effet, ce nombre était de 47 000 personnes en mars 2024 pour s’établir en mars 2025 à 25 000 personnes, et ce, malgré la hausse significative des dernières années, du nombre de résidents non permanents qui relève du gouvernement fédéral.

Francisation Québec s’appuie sur un réseau dynamique de 133 partenaires en francisation (46 OBNL, 20 cégeps, 4 universités et 63 centres de services scolaires et commissions scolaires). L’engagement et la mobilisation de l’ensemble de ses partenaires et de leur personnel demeurent essentiels pour offrir un service de qualité aux élèves.

119,4 M$ pour assurer la francisation auprès des partenaires du réseau de l’éducation

Le ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration, M. Jean-François Roberge ainsi que le ministre de l’Éducation, M. Bernard Drainville, sont fiers d’annoncer une nouvelle entente de 119,4 M$ pour l’année financière 2025-2026 pour les partenaires du réseau de l’éducation. Cette nouvelle entente permettra de financer, jusqu’au 30 juin 2026, 63 centres de services scolaires (CSS) et commissions scolaires (CS) et d’offrir une meilleure prévisibilité jusqu’à la fin de l’année scolaire. Notons qu’il s’agit d’une augmentation de 14,3 % du budget en comparaison avec l’année 2024-2025 (initialement 104,4 M$), auxquels se sont ajoutés 10 M$ supplémentaires.

Cette entente repose sur des mécanismes de reddition de comptes pour assurer le respect de la capacité d’accueil déclarée par les organismes scolaires, et ce, tout au long de l’année. Le travail conjoint entre les deux ministères permettra une prévisibilité pour les CSS et les CS.

Modules d’apprentissage en ligne

Enfin, Francisation Québec mettra incessamment à la disposition des adultes débutants des modules d’apprentissage en ligne, favorisant une francisation plus flexible, autonome et adaptée aux besoins de chacun. Ce service complémentaire viendra enrichir l’éventail d’outils déjà offerts par Francisation Québec.

Citations :

« On n’a jamais autant investi en francisation et francisé de nouveaux arrivants que depuis la création de Francisation Québec. Il y a de quoi être fiers ! Les résultats pour l’année 2024-2025 démontrent que Francisation Québec, qui en est toujours à ses premières années de déploiement, est un succès. Grâce à la nouvelle entente avec le MEQ, nous nous engageons à stabiliser l’offre de services en assurant un financement adapté à la capacité des centres de services scolaires tout au long de l’année, et ce, pour toutes les régions du Québec. »

Jean-François Roberge, ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration, ministre de la Langue française et de la Francophonie, ministre responsable des Institutions démocratiques, ministre responsable de l’Accès à l’information et de la Protection des renseignements personnels et ministre responsable de la Laïcité

« Le français est notre langue commune et nous devons en prendre soin. Si l’on veut que les personnes qui arrivent chez nous puissent s’intégrer pleinement à la société québécoise, il faut leur offrir les moyens d’apprendre notre langue et notre réseau de l’éducation joue un rôle déterminant. Grâce à cet investissement important, nos écoles pourront continuer de remplir leur mission essentielle. Je tiens à saluer le travail exceptionnel du personnel scolaire, dont le travail fait une différence dans la vie de nombreux nouveaux arrivants. »

Bernard Drainville, ministre de l’Éducation

Plus de 1 M$ pour stimuler la recherche et l’innovation collaboratives au Québec


 Publié le 29 avril 2025

À l’occasion du Forum plasturgie 2025, le ministre de l’Éducation et ministre responsable de la région de la Chaudière-Appalaches, M. Bernard Drainville, au nom du ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval, M. Christopher Skeete, a annoncé l’attribution d’un soutien financier de 1 058 026 $ à cinq projets1 pour stimuler la recherche et l’innovation collaboratives dans les secteurs d’activité liés aux créneaux d’excellence du Québec.

Les projets, qui représentent des investissements totaux de près de 1,4 million de dollars, ont été sélectionnés au terme d’un appel de projets lancé en octobre 2024. Celui-ci visait à mobiliser les créneaux d’excellence du Québec, les regroupements sectoriels de recherche industrielle (RSRI), les centres de recherche et les entreprises autour d’initiatives permettant d’améliorer la productivité de secteurs stratégiques grâce à la recherche et à l’innovation.

Ces projets rejoignent de près la volonté du gouvernement de favoriser le rapprochement du milieu de la recherche et des PME tout en contribuant au développement économique régional.

Citations :
« Miser sur les partenariats et la collaboration entre le milieu de la recherche et de l’innovation et nos entreprises, c’est une pratique gagnante pour le Québec. Avec ces cinq projets, on vient favoriser le maillage entre des acteurs clés dans différents secteurs stratégiques de nos économies régionales pour encourager de nouvelles solutions innovantes. C’est ainsi qu’on pourra renforcer nos créneaux d’excellence et faire en sorte que nos régions soient toujours plus innovantes et compétitives. »

Christopher Skeete, ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

« Chaque région du Québec a ses atouts, et c’est grâce à ces créneaux d’excellence qu’on construit une économie québécoise forte. Avec un investissement de plus d’un million de dollars, on soutient cinq projets porteurs qui vont permettre aux PME et aux chercheurs d’unir leurs efforts pour développer des solutions novatrices qui augmenteront la productivité de secteurs clés dans nos régions. C’est une façon concrète de stimuler notre développement économique local, notamment dans la Chaudière-Appalaches! »

Bernard Drainville, ministre de l’Éducation et ministre responsable de la région de la Chaudière-Appalaches

Faits saillants : 

  • L’appui gouvernemental est accordé dans le cadre du Programme de soutien aux organismes de recherche et d’innovation, volet 2 – Soutien aux projets, mesure A : Projets de recherche-innovation (PSOv2a).
  • À travers les créneaux d’excellence, la démarche ACCORD vise à développer davantage l’économie du Québec en favorisant le regroupement et la mobilisation de gens d’affaires, en s’appuyant sur les forces régionales et la recherche de l’excellence dans des secteurs clés et en misant sur le développement d’alliances et de réseaux industriels entre des participants d’un même secteur économique.
  • Les RSRI contribuent à mettre en place un écosystème d’innovation collaborative. Ils favorisent le transfert de connaissances et l’appropriation technologique par les entreprises dans différents secteurs stratégiques de l’économie en soutenant l’émergence de maillages entre le milieu de la recherche et l’industrie.

Ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie sur les réseaux sociaux :

ANNEXE – Liste des projets sélectionnés

RSRI, centres de recherche et entreprises partenairesCréneau d’excellenceRésumé du projetContribution gouvernementaleCoût du projet
CRIBIQ,Université Laval,Horticulture Sun Gro,Les tourbes Nirom,Les tourbières Berger,Tourbières Lambert,Premier TechTourbe et substrats(Bas-Saint-Laurent)Restauration de tourbières au Québec grâce à une approche innovante et visant l’amélioration des méthodes de suivi
hydrologique et de propagation des sphaignes, des mousses essentielles à la restauration.
242 101 $303 350 $
CRIBIQ,Centre de développement bioalimentaire du Québec,Canabec,Les cuisines gaspésiennes,Natur+L XTDAliments Santé(Capitale-Nationale et Chaudière-Appalaches)Validation de solutions qui faciliteront la conservation et la commercialisation de viandes fraîches hachées et traitées par
hautes pressions hydrostatiques en vue de développer de
nouveaux produits.
278 552 $348 452 $
PRIMA Québec,Groupe CTT,Afitex, Alkegen Texel, Armtec,Genyk, Innovex, Kamik,Logistik Unicorp,L.P. Royer,Polyval, Solmax International,Soleno, Soprema Québec,StedfastTechniTextile(Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Montérégie)Développement de protocoles, de méthodes de tests et
d’évaluation sur les contaminants textiles et polymériques pour favoriser l’inclusion de fibres recyclées et biosourcées, l’élimination de substances toxiques et la transition énergétique du secteur du textile.
350 000 $468 087 $
CQRDA,Conseil national de recherches du Canada,BRP, Laserax,ManacTransformation de l’aluminium (Saguenay-Lac-Saint-Jean)Développement et fabrication de plaques de refroidissement en aluminium pour véhicules électriques en vue de permettre l’extraction thermique générée par les cellules des batteries et de prévenir leur dégradation.83 373 $104 216 $
PRIMA Québec,Investissement Québec,Groupe Norbec,Les industries Pro-Tac,Groupe PureSphera,Soprema,Dispro,Recyc-MatelasAlliance Polymères Québec (Chaudière-Appalaches)Développement d’une solution pour la gestion du recyclage des résidus de mousse de polyuréthane des entreprises manufacturières actives dans le domaine des polymères en vue d’améliorer leur compétitivité.104 000 $150 000 $
Total1 058 026 $1 374 

Plus de 813 M$ pour le transport en Chaudière-Appalaches


 Publié le 29 avril 2025

La vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable, Mme Geneviève Guilbault, et le ministre de l’Éducation et ministre responsable de la région de la Chaudière-Appalaches, M. Bernard Drainville, annoncent un investissement de 813 471 000 $ pour les deux prochaines années dans les réseaux de transport routiers, ferroviaires et aéroportuaires de la région de la Chaudière-Appalaches.

Pour l’occasion, les ministres étaient accompagnés de la ministre des Relations internationales et de la Francophonie, ministre responsable de la Condition féminine et députée des Chutes-de-la-Chaudière, Mme Martine Biron, du député de Beauce-Nord, M. Luc Provençal, du député de Beauce-Sud, M. Samuel Poulin, de la députée de Bellechasse, Mme Stéphanie Lachance, du député de la Côte-du-Sud, M. Mathieu Rivest, et de la députée de Lotbinière-Frontenac Mme Isabelle Lecours.

Les sommes octroyées permettent la réalisation de projets significatifs, tels que :

  • la réfection de la route 216, entre la route 283 Nord, à Saint-Paul-de-Montminy, et le chemin du Lac-Carré, à Sainte-Apolline-de-Patton;
  • le parachèvement de l’élargissement de l’autoroute 20 en direction est, entre les sorties nos 318 (avenue Taniata) et 325 (route du Président-Kennedy), et la préparation des travaux d’élargissement en direction ouest, entre les sorties nos 325 (route du Président-Kennedy) et 314 (chemin du Sault), à Lévis;
  • la reconstruction de la route 275, entre la 40e Rue et la 20e Avenue, à Saint-Prosper;
  • la reconstruction de la route 112 (rue Notre-Dame), entre l’avenue Saint-Noël et la rivière des Fermes, à Tring-Jonction;
  • la reconstruction de la route 216, entre les rues de la Reine et des Cèdres, à Saint-Elzéar.
  • Ces trois derniers projets sont réalisés en collaboration avec les municipalités concernées.

Citations

« Depuis 2018, notre gouvernement fait le choix d’investir toujours plus dans nos infrastructures, notamment en transport, pour rattraper le sous-investissement des gouvernements précédents, et offrir des infrastructures de qualité aux Québécois. Dans le contexte d’imprévisibilité économique que nous vivons actuellement, ce choix s’avère particulièrement judicieux, puisque chaque chantier crée des emplois, fait vivre nos entreprises, notamment celles visées par les tarifs américains, et stimule l’économie dans toutes les régions du Québec. Qui plus est, une des meilleures façons d’aider nos industries à demeurer compétitives à travers cette transition vers de nouveaux marchés et une économie redéfinie, c’est de leur offrir des conditions logistiques optimales, soit des réseaux de transport efficaces. Investir autant est donc un choix ambitieux, mais extrêmement stratégique pour nos citoyens et notre économie! »

Geneviève Guilbault, vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable

« On continue d’investir chez nous, dans Chaudière-Appalaches, pour maintenir un réseau de transport efficace et sécuritaire, mais surtout, pour améliorer la qualité de vie de nos gens! On sait que le contexte économique est difficile. C’est pourquoi le gouvernement garde le cap et lance ces chantiers : pour créer de bons emplois, donner un solide coup de pouce à l’économie locale de plusieurs municipalités, et rendre nos déplacements dans la région plus faciles et sécuritaires. »

Bernard Drainville, ministre de l’Éducation et ministre responsable de la région de la ChaudièreAppalaches

Faits saillants

  • Les sommes investies dans la région de la Chaudière-Appalaches se répartissent comme suit :
    • 154 549 000 $ pour améliorer l’état des chaussées;
    • 119 613 000 $ pour améliorer l’état des structures;
    • 49 574 000 $ pour rendre le réseau efficace et sécuritaire, notamment pour donner suite à des recommandations du Bureau du coroner;
    • 475 098 000 $ pour mener à terme un projet ferroviaire;
    • 2 414 000 $ pour concrétiser des projets aéroportuaires;
    • 12 223 000 $ pour assurer le maintien en bon état de structures et de ponceaux situés sur des emprises ferroviaires abandonnées.
  • En 2024, plusieurs projets ont été terminés, dont :
    • l’installation de feux de circulation au carrefour de la route 175 et des bretelles d’entrée et de sortie de l’autoroute 20 en direction est (échangeur 314), à Lévis;
    • la reconstruction de la chaussée en béton sur l’autoroute 20, entre Laurier-Station et Saint-Apollinaire, sur une distance de 4 kilomètres vers l’est;
    • la réfection de la route 273, entre les rues des Lilas et Laurier, et de la rue Laurier, entre la route 273 et les bretelles de l’autoroute 20 en direction ouest, à Saint-Apollinaire.

Liens connexes

Investissements routiers, maritimes, ferroviaires et aéroportuaires 2025-2027
Liste des projets terminés en 2024

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Plus de 207 M$ pour le transport en Estrie


 Publié le 28 avril 2025

Le ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel, au nom de la vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable, Mme Geneviève Guilbault, a annoncé un investissement de 207 006 000 $ pour les deux prochaines années dans les réseaux de transport routiers de la région de l’Estrie.

Pour l’occasion, le ministre était accompagné du député de Richmond et président de la Commission des institutions, M. André Bachand, ainsi que de la députée de Saint-François et Whip adjointe du gouvernement, Mme Geneviève Hébert.

Les sommes octroyées permettent la réalisation de projets significatifs, tels que :

  • l’asphaltage de l’autoroute 10, en direction est, entre Magog et Sherbrooke, ainsi que de l’autoroute 55, en direction nord, entre Saint-François-Xavier-de-Brompton et Windsor;
  • l’asphaltage des routes 141, 147 et 206 dans le noyau urbain de Coaticook et de la route 139 et de la rue Maple, au cœur de Sutton;
  • la réfection du pont Jacques-Cartier, au-dessus de la rivière Magog, à Sherbrooke.

Citations

« Depuis 2018, notre gouvernement a fait le choix d’investir toujours plus dans nos infrastructures, notamment en transport, pour rattraper le sous-investissement des gouvernements précédents, et offrir des infrastructures de qualité aux Québécois. Dans le contexte d’imprévisibilité économique que nous vivons actuellement, ce choix s’avère particulièrement judicieux, puisque chaque chantier crée des emplois, fait vivre nos entreprises, notamment celles visées par les tarifs américains, et stimule l’économie dans toutes les régions du Québec. Qui plus est, une des meilleures façons d’aider nos industries à demeurer compétitives à travers cette transition vers de nouveaux marchés et une économie redéfinie, c’est de leur offrir des conditions logistiques optimales, soit des réseaux de transport efficaces. Investir autant est donc un choix ambitieux, mais extrêmement stratégique pour nos citoyens et notre économie! »

Geneviève Guilbault, vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable

« Les projets qui se concrétiseront grâce aux sommes annoncées aujourd’hui permettront d’assurer des déplacements sécuritaires et fluides à travers notre région. Ces différents chantiers en activité auront pour résultat d’améliorer directement la qualité de vie de nos citoyens de même que la vitalité socioéconomique de l’Estrie, notamment par la création d’emplois de qualité. »

François Bonnardel, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de l’Estrie

Faits saillants

  • Les sommes investies dans la région de l’Estrie se répartissent comme suit :
    • 114 111 000 $ pour améliorer l’état des chaussées;
    • 70 545 000 $ pour améliorer l’état des structures;
    • 22 350 000 $ pour rendre le réseau efficace et sécuritaire, notamment pour donner suite à des recommandations du Bureau du coroner.
  • En 2024, plusieurs projets ont été terminés, dont :
    • l’asphaltage de l’autoroute 10, en direction est, entre la route 112 et le chemin
      Saint-Roch Nord, à Sherbrooke;
    • la réfection des routes 143 et 249, au cœur du centre-ville de Windsor;
    • l’asphaltage de la route Pierre-Laporte, entre la route 241 et l’autoroute 10, à Bromont.

Moisson Rive-Sud inaugure officiellement ses nouveaux locaux à Saint-Hubert


 Publié le 25 avril 2025

C’est avec beaucoup d’émotion et de fierté que Moisson Rive-Sud a procédé le 24 avril dernier, à l’inauguration officielle de son nouveau centre de distribution alimentaire, situé au 5600, rue L’ÉNA à Saint-Hubert. Cet événement marque une étape déterminante dans l’histoire de l’organisme, qui œuvre depuis plus de 30 ans à assurer la sécurité alimentaire en Montérégie.

Ce projet structurant, amorcé en 2022 et complété en un temps record de moins de neuf mois, a permis à Moisson Rive-Sud de se doter d’installations modernes, plus vastes et mieux adaptées aux besoins grandissants de la population. Réalisé sans interruption de service, le déménagement a été rendu possible grâce à l’engagement exceptionnel de l’équipe, des donateurs et des partenaires de la campagne majeure de financement Ensemble, Alimentons la vie. C’est 13 millions de dollars qui ont été investi dans ce projet, ne laissant aucune dette à l’organisme.

L’inauguration a été ponctuée de discours émouvants de la part de Louis Dubé, président du conseil d’administration, et de Dany Hétu, directeur général, qui ont salué la mobilisation régionale et l’élan de solidarité ayant mené à la concrétisation de cette nouvelle ère pour Moisson Rive-Sud.

« Ce bâtiment est bien plus qu’un entrepôt. C’est un symbole fort de notre engagement envers une Montérégie plus solidaire et plus humaine », a affirmé Dany Hétu. L’organisme rappelle que la demande en aide alimentaire est en constante progression et que personne n’est à l’abri.

« Ce nouveau centre témoigne de l’engagement de toute une communauté à nourrir les plus vulnérables. À travers notre Plan de lutte contre la pauvreté et ses 141 M$ en sécurité alimentaire, nous soutenons ce même objectif que personne ne soit laissé sur sa faim,» a fait valoir Chantal Rouleau, ministre responsable de l’Action communautaire et de la Solidarité sociale. 

« Alors que les besoins en sécurité alimentaire ne cessent de croître en Montérégie, c’est avec un immense bonheur que nous célébrons aujourd’hui l’inauguration de ce tout nouvel entrepôt de Moisson Rive-Sud, situé au cœur de la zone d’innovation de l’arrondissement de Saint-Hubert. Cet espace permettra d’accueillir un plus grand nombre de dons, tout en ouvrant la voie à de nouveaux partenariats afin de mieux soutenir les organismes de notre territoire et ainsi enrichir les services offerts dans nos quartiers. Je tiens à remercier toutes les parties impliquées dans la réalisation de ce projet. Grâce à cette belle collaboration, encore plus de personnes pourront bénéficier de l’aide de Moisson Rive-Sud », Catherine Fournier, mairesse de Longueuil.

Québec reconnaît l’« Acerum du Québec » comme une indication géographique protégée


 Publié le 25 avril 2025

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec, M. André Lamontagne, annonce une toute nouvelle indication géographique protégée (IGP) : Acerum du Québec.

L’Acerum du Québec est une eau-de-vie d’érable obtenue exclusivement par la distillation de l’alcool issu de la fermentation de la sève d’érable ou des produits qui en découlent provenant du Québec.

Cette nouvelle appellation permet non seulement de mettre en valeur le travail de nos distillateurs, mais elle facilite également l’identification d’un produit d’ici par les consommateurs dont l’engouement pour l’achat local ne cesse de croître.

Le ministre a dévoilé les détails de cette initiative à la Distillerie Shefford située dans la région de l’Estrie. L’entreprise est le premier distillateur de cette eau-de-vie au Québec.

Soulignons que seuls les produits certifiés conformes au cahier des charges seront désignés par l’appellation réservée IGP Acerum du Québec. Les consommateurs auront ainsi la garantie de consommer des produits aux caractéristiques distinctives qui attestent une authenticité propre au Québec.

Les distillateurs qui souhaitent utiliser l’appellation réservée devront s’engager auprès d’Ecocert Canada, l’organisme de certification accrédité par le Conseil des appellations réservées et des termes valorisants (CARTV).

Citations 

« Je suis heureux de cette nouvelle reconnaissance pour l’Acerum du Québec, un produit ancré dans notre terroir qui reflète le savoir-faire de nos artisans. Elle contribuera à faire rayonner encore davantage les produits de l’érable, que ce soit ici ou à l’international. Je vous invite à faire le choix de cette eau-de-vie bien de chez nous, c’est la meilleure façon de soutenir nos entreprises, nos travailleurs et notre secteur agricole. »

André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec

« L’IGP Acerum du Québec, c’est l’incarnation de la passion et de la ténacité des microdistilleries d’ici, qui travaillent à valoriser le produit le plus identitaire du Québec, le sirop d’érable. Cette appellation, c’est le fruit de plusieurs années de travail collaboratif et le développement d’une vision commune. Nous avons mis au monde une expertise qui n’existe nulle part ailleurs sur la planète. Grâce à celle-ci, on peut réellement positionner le Québec comme un terroir de spiritueux uniques et valoriser l’érable à travers des produits d’une grande noblesse. Les Écossais ont le scotch, les Français le cognac, les Mexicains le mezcal, les Américains le bourbon et les Québécois ont maintenant l’Acerum du Québec. »

Hugo Bourassa, président de l’Union des distillateurs de spiritueux d’érable (UDSE) et propriétaire de la Distillerie Shefford

« L’homologation de l’appellation réservée IGP Acerum du Québec témoigne de la rigueur des producteurs et du haut niveau de qualité associé à ce spiritueux unique. Cette reconnaissance officielle contribue à la création de valeur pour l’ensemble de la filière acéricole, tout en assurant aux consommateurs une authenticité et une traçabilité exemplaires. Elle vient renforcer la crédibilité de nos produits d’érable sur les marchés. Le Conseil est fier de cette reconnaissance officielle, qui valorise notre terroir et notre expertise collective. »

Marie-Josée Gouin, présidente-directrice générale du Conseil des appellations réservées et des termes valorisants (CARTV)

« Près de vingt ans de découvertes et d’innovations ont transformé radicalement notre compréhension de l’érable et ont dévoilé progressivement le potentiel extraordinaire de ce produit emblématique de notre patrimoine alimentaire et culturel. L’octroi d’une nouvelle indication géographique protégée à l’Acerum du Québec est une étape de plus dans la reconnaissance de l’extraordinaire polyvalence de l’érable et du savoir-faire des producteurs et productrices acéricoles d’ici. L’Acerum est un produit de qualité créé par des gens passionnés qui fera sans aucun doute la fierté des Québécoises et des Québécois. »

Isabelle Lapointe, directrice générale des Producteurs et productrices acéricoles du Québec (PPAQ)

Faits saillants

  • La recommandation favorable pour l’utilisation de l’appellation réservée Acerum du Québec fait suite à la démarche de reconnaissance que l’UDSE a entreprise auprès du CARTV.
  • L’Acerum du Québec se distingue des spiritueux aromatisés ou édulcorés avec du sirop ou du sucre d’érable. Il est exclusivement composé de sève d’érable (ou des produits qui en découlent) fermentée et distillée.
  • On compte actuellement plus de 75 microdistilleries établies dans 17 régions du Québec, alors qu’en 1999, il n’y en avait qu’une.
  • En 2024, neuf distilleries produisaient de l’Acerum. Ces distilleries sont réparties partout sur le territoire québécois et travaillent uniquement à partir de sève d’érable québécoise.
  • Le Québec assure en moyenne 72 % de la production mondiale de sirop d’érable et 90 % de la production canadienne. Environ 85 % du sirop d’érable produit au Québec est exporté dans plus de 60 pays. La production annuelle moyenne est d’environ 150 millions de livres, mais varie d’une année à l’autre en fonction des conditions climatiques.
  • Au-delà des aspects économiques, le sirop d’érable s’inscrit dans les pratiques culturelles et patrimoniales du territoire québécois.

Un quatrième bilan présenté aux familles à la recherche de réponses


 Publié le 25 avril 2025
Source : Pat Lachance

Le ministre responsable des Relations avec les Premières Nations et les Inuit, M. Ian Lafrenière, a déposé hier à l’Assemblée nationale le quatrième rapport annuel de l’application de la Loi autorisant la communication de renseignements personnels aux familles d’enfants autochtones disparus ou décédés à la suite d’une admission en établissement. Ce quatrième rapport présente un bilan de l’application de la Loi pour la période du 1er mars 2024 au 28 février 2025. Le ministre s’est également rendu à Mistissini aujourd’hui pour présenter le rapport aux familles concernées et leur faire part des travaux réalisés depuis le dépôt de la version précédente.

Entrée en vigueur le 1er septembre 2021, la Loi vise à soutenir les familles autochtones dans leurs recherches afin d’obtenir des réponses sur la disparition ou le décès de leurs enfants à la suite d’une admission dans un établissement de santé et de services sociaux avant le 31 décembre 1992. Par cette loi, le gouvernement du Québec soutient les familles et leurs communautés pour leur permettre de lever le voile sur le sort de leurs enfants. Toutes et tous espèrent ainsi comprendre les circonstances de la disparition ou du décès des enfants, savoir où ils se trouvent, s’ils sont toujours vivants, ou connaître leur lieu de sépulture.

Le ministre a dévoilé qu’en date du 28 février 2025, soit trois ans et demi après l’entrée en vigueur de la Loi, 121 familles avaient fait appel à la Direction de soutien aux familles et à son partenaire, l’organisation Awacak – petits êtres de lumière. Ces recherches concernaient alors 209 enfants disparus ou décédés à la suite d’une admission en établissement. Sans la Loi, ce sont seulement 13 % de ces familles qui auraient eu accès aux renseignements disponibles.

Le gouvernement du Québec est déterminé à tout mettre en œuvre pour accompagner les familles dans leur quête de vérité. En collaboration avec le ministère de la Santé et des Services sociaux et les institutions visées par la Loi, la Direction de soutien aux familles du Secrétariat aux relations avec les Premières Nations et les Inuit poursuivra son accompagnement des familles, dans le respect de leur dignité, de leurs besoins et à leur rythme, vers le chemin de la guérison.

Citation :

« C’est avec beaucoup d’humilité que je me présente aujourd’hui devant les familles afin de présenter ce quatrième rapport d’application de la Loi. Depuis maintenant près de quatre ans, nos efforts portent fruit pour permettre à des familles qui attendent depuis trop longtemps d’enfin avoir des réponses à leurs questions. Je salue leur courage, leur résilience, ainsi que la confiance qu’elles nous témoignent afin de nous permettre de les accompagner dans leurs recherches. J’ai espoir que ces réponses leur apporteront un peu de paix et de réconfort. Nous continuerons de tout faire en notre pouvoir pour leur permettre de cheminer, avec l’appui précieux de nos partenaires que je remercie sincèrement pour leur dévouement. »

Ian Lafrenière, ministre responsable des Relations avec les Premières Nations et les Inuit

Faits saillants :

  • Entre 1940 et 1980, les enfants autochtones évacués de leurs communautés, vers un établissement de santé ou de services sociaux, étaient rarement accompagnés d’un parent ou d’un proche. Ils arrivaient alors seuls pour recevoir des soins. À la suite de ces admissions, certaines familles ont reçu la nouvelle du décès de leur enfant. D’autres en ont perdu la trace et ignorent ce qu’il est advenu.
  • La Loi autorisant la communication de renseignements personnels aux familles d’enfants autochtones disparus ou décédés à la suite d’une admission en établissement a été adoptée en réponse à l’appel à la justice no 20 du rapport complémentaire pour le Québec de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées.
  • Elle propose des mesures culturellement sécurisantes pour soutenir les familles dans leurs recherches de renseignements auprès d’un établissement de santé ou de services sociaux, d’un organisme ou d’une congrégation religieuse sur les circonstances qui ont entouré le décès ou la disparition d’un enfant à la suite d’une admission en établissement de santé et de services sociaux.
  • Une Direction de soutien aux familles a été mise sur pied pour offrir des services directs d’accompagnement aux familles et à leurs proches dans leurs recherches de renseignements.
  • L’organisation Awacak – petits êtres de lumière collabore, quant à elle, avec la Direction de soutien aux familles pour que les proches des enfants disparus soient traités avec dignité, dans le respect de leur culture, et ce, tout au long du processus.

6 M$ pour soutenir la formation en alternance travail-études dans le secteur de la construction


 Publié le 25 avril 2025

Afin d’augmenter le nombre de travailleuses et de travailleurs, diplômés sur les chantiers, la ministre de l’Emploi et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, Kateri Champagne Jourdain, annonce un investissement de 6 millions de dollars pour soutenir la formation en alternance travail-études dans le secteur de la construction.

Sortir des sentiers battus pour soutenir l’industrie de la construction

Pour la première fois depuis la création du Programme de formations de courte durée privilégiant les stages dans les professions priorisées par la Commission des partenaires du marché du travail, la Commission de la construction du Québec est autorisée à utiliser ce programme. Pour une durée de deux ans, cette dernière pourra bénéficier du soutien du gouvernement du Québec en déposant des projets de formation de courte durée, réalisés en alternance travail-études, visant l’obtention de diplômes d’études professionnelles pour augmenter le bassin de main-d’œuvre formée dans l’industrie de la construction. Les métiers qui feront l’objet des formations seront déterminés, en fonction des besoins, par la Commission de la construction du Québec et les partenaires de l’industrie.

L’alternance travail-études, une formule gagnante

L’alternance travail-études dans l’industrie de la construction permettra d’augmenter la part de main-d’œuvre de la construction diplômée au Québec. Le fait que les travailleuses et travailleurs soient formés en alternance travail-études, en partie sur les chantiers, favorisera une meilleure intégration et une meilleure rétention de la main-d’œuvre. Les participants devront être en emploi au premier jour de la formation.

Lors de cette annonce, qui s’est déroulée au sein de l’entreprise Comco Construction inc., la ministre était accompagnée du député de Richmond, André Bachand, du président de la Commission des partenaires du marché du travail, Jean Lortie, et de la présidente-directrice générale de la Commission de la construction du Québec, Audrey Murray.

Citations

« Aujourd’hui, c’est un investissement de 6 millions de dollars que j’annonce pour permettre, pour la toute première fois, à la Commission de la construction du Québec, de bénéficier du soutien du gouvernement pour former des travailleurs qui pourront travailler sur les chantiers tout en réalisant leurs études. C’est une autre façon de répondre aux besoins des entreprises d’ici et d’augmenter la main-d’œuvre qualifiée qui sera plus productive sur les chantiers. Je salue le travail de la Commission des partenaires du marché du travail et de la Commission de la construction du Québec! »

Kateri Champagne Jourdain, ministre de l’Emploi et ministre responsable de la région de la Côte-Nord

« L’essor de l’industrie de la construction, essentielle pour l’économie québécoise, passe par l’augmentation de sa productivité et par l’accroissement du nombre de diplômés et de diplômées qui intégreront nos chantiers de construction. Je me réjouis donc de la présentation de projets de formation qui contribueront à augmenter le nombre de travailleuses et travailleurs qualifiés dans une industrie névralgique du Québec. »

Jean Boulet, ministre du Travail et ministre responsable de la région de la Mauricie, de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec

« Je suis très heureux que cette grande annonce, d’envergure nationale et porteuse pour plusieurs régions du Québec, dont l’Estrie, ait été faite ici, chez nous, dans une entreprise florissante comme Comco Construction inc. À titre de député, je suis bien placé pour constater les besoins sur le terrain en matière de construction et de main-d’œuvre, et c’est pourquoi je suis convaincu que cette nouvelle initiative aura des retombées positives et concrètes. »

André Bachand, député de Richmond

« Augmenter la main-d’œuvre diplômée sur les chantiers du Québec et favoriser sa rétention représentent de grands enjeux auxquels est confronté le domaine de la construction. Des efforts pour solutionner ces enjeux doivent être faits dès maintenant et nous sommes fiers d’y contribuer avec une formule adaptée du Programme de formations de courte durée qui permettra de s’ajuster à l’évolution des besoins de divers sous-secteurs d’activité et des métiers en forte demande de l’industrie. »

Jean Lortie, président de la Commission des partenaires du marché du travail

« Devant un carnet de commandes historique, nous devons pouvoir compter sur une main-d’œuvre compétente, en nombre suffisant pour bâtir le Québec. L’appui de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale à la Commission de la construction du Québec pour mener ce projet pilote permettra l’obtention de diplômes d’études professionnelles par des personnes de métier qui ont pu obtenir un certificat de compétence sans détenir de diplôme. Au cours des dernières années, les besoins de main-d’œuvre étant élevés, nous avons accueilli un nombre important de personnes non diplômées; les projets de formation de courte durée nous offrent une nouvelle stratégie afin de mettre à niveau leur compétence. »

Audrey Murray, présidente-directrice générale de la Commission de la construction du Québec

Faits saillants

  • Les personnes et les entreprises intéressées à participer aux projets de formation peuvent s’adresser à la Commission de la construction du Québec.
  • Les premiers projets de formation seront annoncés au printemps 2025.
  • Le Programme de formations de courte durée a été créé il y a 10 ans.

Pour en savoir plus sur les activités du ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale, suivez-le sur les médias sociaux :

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Les travaux sont commencés pour le complexe multifonctionnel à Victoriaville


 Publié le 25 avril 2025
Source : Marika Allaire

Les travaux de réaménagement du parc Terre-des-Jeunes et de construction d’un complexe multifonctionnel ont débuté. L’objectif est d’accueillir les premiers patineurs sur la surface réfrigérée et les amateurs de glisse dès l’hiver à venir et quelques travaux seront terminés au printemps 2026.

Ces investissements sont inscrits au plan quinquennal d’immobilisations et la somme de 6 millions de dollars du Programme de soutien aux infrastructures pour les Jeux du Québec du ministère de l’Éducation permettra à la Ville de financer une bonne partie du projet.

« Notre gouvernement est heureux de financer à hauteur de 6 millions de dollars cette nouvelle infrastructure qui servira aux sports de glace lors des Jeux du Québec de Victoriaville à l’hiver 2028. C’est une excellente nouvelle pour les sportifs des environs et pour les athlètes qui prendront part à cet événement majeur. Je le répète souvent, l’accès à des infrastructures sportives modernes et de qualité est une priorité de notre gouvernement et les patinoires couvertes sont de loin mes préférées, car elles sont polyvalentes pour la pratique sportive et répondent aux besoins de la communauté en toutes saisons. Je félicite toutes les personnes impliquées dans la réalisation de cette infrastructure, qui sera assurément très utile aux Victoriavillois », a souligné Mme Isabelle Charest, ministre responsable du Sport, du Loisir et du Plein air.

« Enfin, Victoriaville aura sa patinoire réfrigérée! Nous avons redoublé d’efforts pour amorcer rapidement le chantier afin d’ouvrir dès l’hiver 2025-2026. En plus de prolonger la saison de nos patineurs, ce nouvel équipement servira à toute la population et encouragera l’adoption de saines habitudes de vie. Le parc Terre-des-Jeunes, à quelques pas du centre-ville de Victoriaville, est un grand parc populaire pour les amateurs de plein air, de sport et de loisir et on y retrouvera dorénavant une infrastructure à la hauteur des besoins », a indiqué le maire de Victoriaville, M. Antoine Tardif. 

« Les familles du quartier profiteront de nouvelles installations de grande qualité pour bouger en toute saison, que ce soit avec la patinoire réfrigérée, les installations de basketball, les jeux d’eau ou le réaménagement de l’aire de glisse. Je me réjouis également pour les bénévoles de la Corporation Terre-des-Jeunes qui profiteront d’installations à la hauteur de leur dévouement exceptionnel envers leur parc » explique Yanick Poisson, conseiller municipal du district Parc-Terre-des-Jeunes.

« Victoriaville s’active pour accueillir les jeunes athlètes dans le cadre de la 62e Finale des Jeux du Québec, qui sera présentée à Victoriaville en mars 2028. En plus de servir à toute la population, ce nouveau complexe multifonctionnel, doté d’une patinoire réfrigérée couverte, nécessaire à la réalisation des jeux, accueillera des compétitions de hockey masculin et féminin. Nous avons très hâte de voir les jeunes découvrir ce nouvel équipement! », ont expliqué les coprésidents du comité organisateur des Jeux du Québec, MM. Claude Charland et Guy Désilets.

La collaboration entre organisations continue de bien servir la population 

Les travaux se déroulent sur l’ancien terrain de baseball du parc Terre-des-Jeunes. Grâce à une entente de prêt de service réalisée avec l’établissement scolaire, le terrain de baseball du Collège Clarétain sera mis à niveau et s’ajoutera à la liste des terrains disponibles pour les organismes de baseball mineur pour la saison 2025. 

Pendant le chantier

Le parc Terre-des-Jeunes demeure ouvert pendant la durée des travaux. Seul lestationnement en bordure de la rue des Nations est fermé. Les travaux sont réalisés en semaine, du lundi au vendredi, et en journée entre 7 et 17 heures. Des mesures de sécurité ont été mises en place pour permettre d’assurer la sécurité de tous pendant les travaux. 

Les travaux visent également l’ajout d’un bâtiment de services et de jeux d’eau, l’aménagement d’une place publique et le réaménagement de l’aire de glisse actuelle. En hiver, la patinoire réfrigérée couverte pourra prolonger la saison de plusieurs semaines. En été, le site permettra aux joueurs de pickleball et de basketball de profiter d’installations de qualité. De plus, un grand nombre d’activités culturelles et communautaires pourront avoir lieu à l’abri des intempéries.

Pour en savoir davantage sur le projet, il suffit de visiter le vic.to/projet/terredesjeunes