Hausse de 2,5 % des exportations internationales de marchandises du Québec en février 2025


 Publié le 17 avril 2025

Les exportations internationales de marchandises du Québec, désaisonnalisées et en dollars constants, ont augmenté de 2,5 % en février 2025 par rapport au mois précédent (+ 4,5 % en janvier). C’est ce qui ressort de l’analyse des plus récentes données sur le commerce international de marchandises du Québec, diffusées aujourd’hui par l’Institut de la statistique du Québec.

Les produits ayant le plus contribué à ce gain mensuel sont les aéronefs (+ 111,7 %), le porc frais et congelé (+ 75,1 %), les graines oléagineuses, sauf le canola (+ 196,6 %), ainsi que les moteurs d’aéronefs (+ 15,3 %).

Parmi les produits dont les exportations ont diminué en février, on trouve notamment le cuivre et les alliages de cuivre sous forme brute (- 54,2 %), les carburants diesel et biodiesel (- 48,8 %), le mazout léger (- 48,0 %), ainsi que les minerais et concentrés de fer (- 17,8 %).

Les exportations des deux premiers mois de 2025 ont progressé de 11,6 % par rapport aux mêmes mois de 2024.

Les exportations destinées aux États-Unis

Les exportations destinées aux États-Unis, non désaisonnalisées et en dollars courants, ont atteint 8,0 G$ en février 2025, une baisse de 5,0 % par rapport à janvier (- 2,1 % pour les exportations vers l’ensemble des pays). Pour plus de détails, voir le tableau des exportations vers les États-Unis .

Baisse de 4,5 % des importations internationales de marchandises du Québec en février 2025

Les importations internationales de marchandises du Québec, désaisonnalisées et en dollars constants, ont connu une baisse de 4,5 % en février 2025 par rapport à janvier (+ 2,1 % en janvier).

Les importations des deux premiers mois de 2025 ont crû de 0,9 % par rapport aux mêmes mois de 2024.

La situation au Canada

Selon les informations publiées par Statistique Canada le 3 avril 2025, les exportations canadiennes de marchandises, désaisonnalisées et en dollars constants, ont diminué de 3,4 % en février 2025 par rapport au mois précédent. Les importations se sont quant à elles repliées de 1,4 %.

Pour les deux premiers mois de 2025, les exportations et les importations de marchandises du Canada ont enregistré des hausses respectives de 6,8 % et de 1,5 % comparativement à la même période de 2024.

Exportations et importations internationales de marchandises1
(variations en pourcentage)
20242025
Variation annuelleVariation mensuelleVariation cumulative2
JanvierFévrier
Québec
Exportations2,84,52,511,6
Importations1,22,1– 4,50,9
Canada
Exportations1,13,6– 3,46,8
Importations0,01,8– 1,41,5
1. Données désaisonnalisées, en dollars constants (aux prix de 2017).
2. Les deux premiers mois de 2025 par rapport aux mêmes mois de 2024.
Sources : Institut de la statistique du Québec et Statistique Canada.

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Plus de 2 M$ pour mieux préparer nos élèves aux métiers spécialisés


 Publié le 17 avril 2025

Le ministre de l’Éducation, M. Bernard Drainville, et le député de Lac-Saint-Jean, M. Eric Girard, annoncent un investissement de plus de 2 millions de dollars au COlab innovation sociale et culture numérique à Alma et au Centre de formation professionnelle Val-d’Or (CFP) pour soutenir la formation professionnelle. Cette somme servira à développer 10 outils numériques qui pourront être utilisés à l’aide d’un casque de réalité virtuelle. Cette technologie immersive permettra aux élèves d’apprendre autrement.

Des simulations réalistes et sécuritaires

  • En charpenterie-menuiserie, les élèves pourront simuler la construction d’un bâtiment en bois, utiliser virtuellement des outils comme une scie ou un marteau et comprendre les étapes d’un chantier sans quitter la classe.
  • En conduite de machinerie lourde en voirie forestière, ils pourront observer des chantiers de construction de chemins forestiers en 360°, identifier les erreurs à éviter et appliquer les normes.
  • En production animale, ils pourront s’exercer à poser des gestes techniques comme assister une vache lors d’un vêlage.
  • En santé, pour devenir infirmiers auxiliaires, ils pourront dialoguer avec un patient virtuel et s’exercer à poser des gestes de soins de base, tout en apprenant à mieux communiquer au sein d’une équipe.
  • En électricité, un simulateur permettra aux jeunes de construire un circuit, de le modifier et de voir en direct les conséquences de leurs manipulations, sans danger.
  • Dans le programme de soutien informatique, les élèves pourront apprendre à résoudre des pannes informatiques ou à installer un poste de travail sans risquer d’endommager un vrai équipement.
  • Dans la plupart des programmes liés à la construction, les élèves pourront, à l’aide d’un casque de réalité virtuelle, s’exercer à respecter les règles de santé et de sécurité sur un chantier, comme s’ils y étaient.
  • Dans des métiers comme la vente, la coiffure ou la cuisine, des simulations relationnelles permettront aux élèves d’interagir avec des clients virtuels, et d’apprendre à poser les bonnes questions et à réagir adéquatement en fonction du contexte.
  • En soudage-montage, ils pourront s’exercer à manipuler le métal ou simuler des soudures comme s’ils étaient en atelier ou en usine.
  • Dans certains programmes mécaniques, les jeunes pourront apprendre à utiliser un système hydraulique ou pneumatique et voir en temps réel les effets de leurs manipulations, et ce, de façon sécuritaire.

Concrètement, ce sont jusqu’à 70 000 élèves inscrits en formation professionnelle partout au Québec qui pourront utiliser ces outils numériques et s’exercer dans des environnements qui reproduisent la réalité du marché du travail. À terme, l’objectif est d’offrir aux CFP qui le souhaitent la possibilité d’utiliser ces outils technologiques.

Citations :

« En 2023, j’annonçais des investissements de 400 millions de dollars pour moderniser la formation professionnelle afin de mieux préparer nos jeunes à exercer les métiers spécialisés d’aujourd’hui et de demain. Je le dis souvent : chaque diplôme compte. Regardez autour de vous : quel serait notre quotidien sans les personnes de métiers… sans les électriciens, les mécaniciens, les cuisiniers, les soudeurs? Ces métiers sont indispensables et on doit leur donner toute la valeur qu’ils méritent. Je crois énormément au potentiel de la formation professionnelle. Celle-ci mène à des métiers stimulants, bien rémunérés et concrets qui ont une grande utilité sociale. Il faut rendre accessibles à nos élèves les technologies de pointe, comme la réalité virtuelle, afin de les préparer au marché du travail et à l’économie de plus en plus numérique qui sera la leur. L’annonce d’aujourd’hui s’inscrit dans cette volonté de donner à nos élèves les outils de pointe pour personnaliser leurs apprentissages et favoriser leur réussite scolaire. »

Bernard Drainville, ministre de l’Éducation

« J’aimerais féliciter le Centre de formation professionnelle Val-d’Or et le COlab innovation sociale et culture numérique pour cette collaboration. En implantant le COlab dans ma circonscription, nous avons déployé un outil extraordinaire pour promouvoir la culture du numérique et porter des projets innovants. Je suis convaincu que les outils immersifs aideront les élèves à suivre une formation à la hauteur de leurs attentes et permettront aux entreprises d’engager des travailleurs mieux formés à la réalité du terrain. »

Eric Girard, député de Lac-Saint-Jean

« Nous sommes ravis de collaborer avec le ministère de l’Éducation et le Centre de formation professionnelle de Val-d’Or dans ce projet novateur intégrant la réalité étendue en formation professionnelle. Cette initiative s’inscrit parfaitement dans notre mission d’accompagner les jeunes dans leur appropriation des technologies de façon collaborative. Notre démarche permettra d’identifier des pratiques porteuses pour l’implantation et le déploiement de la réalité étendue par les équipes pédagogiques. Nous souhaitons déterminer comment ces technologies immersives pourraient concrètement enrichir le développement des compétences professionnelles des élèves et offrir une valeur pédagogique ajoutée dans les situations d’apprentissage complexes. »

Josée Gauthier, directrice générale de COlab

« Nous sommes fiers que l’expertise du Centre de formation professionnelle Val-d’Or et de son studio de développement technologique, unique au Québec, soit reconnue pour la réalisation de ressources éducatives numériques qui profiteront à des programmes d’études dans l’ensemble du Québec. Créé en 2019, le studio réalise des projets innovants qui contribuent à moderniser la formation professionnelle. Grâce à notre collaboration avec le ministère de l’Éducation et COlab, nous continuons à repousser les limites de la technologie pour offrir des outils de formation de pointe et soutenir la réussite des élèves. »

Jean-François Pressé, directeur général du Centre de services scolaire de l’Or-et-des-Bois

Faits saillants:

  • La réalité étendue englobe la réalité virtuelle, la réalité augmentée et la réalité mixte. La réalité virtuelle comporte des environnements entièrement virtuels qui immergent l’utilisateur dans un monde numérique. La réalité augmentée est une superposition d’éléments numériques — visuels, sonores ou sensoriels — sur le monde réel. La réalité mixte est une fusion des mondes réel et virtuel, permettant une interaction entre les objets physiques et numériques.
  • Le studio de développement technologique du CFP Val-d’Or a pour mandat de concevoir des applications en formation professionnelle pour les élèves afin de parfaire leur compétence numérique.

Liens connexes :

Centre de formation professionnelle Val-d’Or : https://cfpvaldor.ca/entreprises-et-particuliers/dt/

COlab : https://colabnumerique.com/projets/etude-cfp/

Des investissements pour lutter contre l’érosion côtière


 Publié le 16 avril 2025

La ministre des Affaires municipales, Mme Andrée Laforest, et le ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, M. Benoit Charette, annoncent une aide financière de 1,5 million de dollars pour soutenir trois municipalités nord-côtières dans la réalisation de projets d’adaptation aux effets de l’érosion et de la submersion côtières. Les municipalités visées par cette annonce sont Longue-Pointe-de-Mingan, Natashquan et la Ville de Port-Cartier.

Chacun des projets, subventionné à hauteur de 500 000 $, prévoit la réalisation d’une étude de risques tenant compte des changements climatiques ainsi que l’évaluation de différents scénarios d’adaptation aux aléas côtiers. En considérant les risques actuels et projetés, différentes mesures seront analysées, telles que la protection des berges et des solutions basées sur la nature.

Citations :

« Les changements climatiques posent des défis importants d’aménagement du territoire, en particulier dans les zones côtières, où l’érosion et la submersion menacent directement la sécurité et la vitalité des communautés. Face à ces enjeux, notre gouvernement s’engage résolument pour accompagner les communautés les plus à risque. Grâce à une coordination renforcée entre les ministères et par les actions du Bureau de projets, notre gouvernement est là pour soutenir les municipalités dans leur compréhension des risques et dans l’élaboration de solutions adaptées, durables et structurantes. »

Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean

« Ces investissements démontrent la volonté de notre gouvernement d’agir de façon proactive face aux impacts grandissants des changements climatiques. Grâce à notre Plan pour une économie verte, nous appuyons les communautés afin qu’elles puissent mieux planifier leur avenir et s’adapter aux réalités côtières, tout en assurant la résilience de leurs milieux de vie. C’est une étape essentielle pour protéger nos territoires, aujourd’hui et pour les générations à venir. »

Benoit Charette, ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs

« De nombreuses communautés de la Côte-Nord nécessitent des stratégies d’adaptation plus efficaces et diversifiées pour faire face aux risques côtiers croissants. Aujourd’hui, je suis fière que notre gouvernement annonce une aide de 1,5 million pour permettre à trois municipalités de Duplessis d’agir de manière proactive et d’être mieux outillées dans leur gestion des risques. C’est important de soutenir celles qui souhaitent mettre en place des mesures concrètes pour atténuer les impacts de l’érosion. »

Kateri Champagne Jourdain, ministre responsable de la région de la Côte-Nord et députée de Duplessis

« Établi face au golfe du Saint-Laurent et construit sur une fragile pointe de sable, notre village subit les aléas de dame Nature depuis des décennies déjà. Avec l’accélération du réchauffement climatique, les abords côtiers de notre localité s’affaiblissent. Cette importante aide gouvernementale tombe à point. Ainsi, une grande partie des résidences, la plupart de nos entreprises locales et l’usine de transformation des crustacés et poissons se verront rassurées pour les temps à venir. La pérennité et la sécurité de notre cher petit village seront assurées dans ce contexte nord-côtier de plus en plus fragile. »

Ginette Paquet, mairesse de Longue-Pointe-de-Mingan

« C’est avec un immense plaisir que la Municipalité de Natashquan accueille la nouvelle de cet investissement pour le projet d’étude qui permettra d’identifier les risques climatiques et les solutions d’aménagement en vue de résoudre la problématique d’érosion qui touche le noyau villageois de Natashquan. Cela nous permettra de sauvegarder la vitalité socioéconomique de notre municipalité et de protéger les citoyens et leur patrimoine. »

Stéphanie Landry, mairesse suppléante de Natashquan

« Face à l’érosion qui touche le secteur de Pointe-aux-Anglais et son tronçon de la route 138, il est primordial d’agir pour garantir la sécurité des citoyens. Cette étude va nous donner les outils pour trouver une solution durable, en veillant à la sécurité des usagers et à la protection des milieux naturels. La Ville prend ses responsabilités et collabore activement avec ses partenaires pour définir la meilleure approche possible. »

Alain Thibault, maire de Port-Cartier

Faits saillants :

  • Les projets retenus résultent de besoins identifiés par le ministère de la Sécurité publique, le ministère des Transports et de la Mobilité durable, le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs et certains organismes municipaux dans le cadre de demandes formulées au Bureau de projets en érosion et submersion côtières, coordonné par le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation.
  • Le Bureau de projets en érosion et submersion côtières joue un rôle clé en renforçant le soutien aux organismes municipaux. Il offre un accompagnement complémentaire aux programmes gouvernementaux existants.

Liens connexes :

Plan de mise en œuvre 2024-2029 du Plan pour une économie verte 2030

Bureau de projets en érosion et submersion côtières

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Le gouvernement du Québec accorde plus de 2,3 M$ à Saint-Simon-de-Rimouski


 Publié le 16 avril 2025

Au nom de la ministre des Affaires municipales, Mme Andrée Laforest, la députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata (incluant Les Basques), Mme Amélie Dionne, est fière d’annoncer qu’une somme de 2 358 860 $ est accordée à la Municipalité de Saint-Simon-de-Rimouski pour la construction d’un édifice abritant les bureaux municipaux et la caserne de pompiers.

Le nouveau bâtiment, situé sur la route 132, aura une superficie au sol d’environ 345 mètres carrés, et sera aménagé sur deux niveaux. Le projet vise notamment à offrir au Service de sécurité incendie un emplacement conforme aux normes pour les véhicules, et prévoit l’aménagement d’espaces adéquats pour la décontamination et le séchage des équipements. En ce qui concerne les bureaux municipaux, ceux-ci fourniront suffisamment d’espace pour les postes de travail et l’archivage, en plus d’être adaptés pour les personnes à mobilité réduite.

Citations :

« Notre gouvernement est fier d’investir dans la réalisation de projets importants qui contribuent à améliorer les services offerts aux citoyens. Ces aides financières démontrent que nous sommes en action pour appuyer les municipalités dans leurs initiatives. Nous sommes très heureux de soutenir la Municipalité de Saint-Simon-de-Rimouski dans ses efforts visant à consolider ses infrastructures. »

Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales

« La construction de ce nouveau bâtiment permettra de regrouper la caserne et les bureaux municipaux. De cette manière, la Municipalité aura une infrastructure fonctionnelle, sécuritaire et optimale. Avec le soutien annoncé, on contribue aussi à créer un environnement de travail plus agréable pour beaucoup de gens. Cette nouvelle infrastructure sera bâtie au bénéfice de tous les citoyens et citoyennes de la municipalité. »

Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata (incluant Les Basques)

« Depuis plusieurs années maintenant, ce projet de nouvelle caserne pour le Service de sécurité incendie est en marche. Notre service s’est enrichi de plusieurs pompiers, au cours de cette période. Nous sommes soulagés et heureux de leur offrir ainsi des outils à la mesure de leur dévouement à notre égard : une caserne moderne aux normes d’aujourd’hui, assortie d’espaces où les pompiers pourront parfaire leur formation autant qu’effectuer la décontamination de leurs équipements. Nous remercions les ministères qui nous accompagnent dans l’atteinte de cet objectif si important pour notre communauté. »

Denis Marcoux, maire de Saint-Simon-de-Rimouski

Faits saillants :

Liens connexes :

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Le gouvernement du Québec investit dans nos régions : près de 1,3 G$ pour le transport en Montérégie


 Publié le 16 avril 2025

La vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable, Mme Geneviève Guilbault, et la ministre de la Famille et ministre responsable de la région de la Montérégie, Mme Suzanne Roy, ont annoncé un investissement de 1 291 534 000 $ pour les deux prochaines années dans les réseaux de transport routiers et maritimes de la région de la Montérégie.

Les sommes octroyées permettent la réalisation de projets significatifs, tels que :

  • l’aménagement d’une voie réservée sur l’autoroute 20, en direction est, entre Sainte-Julie et Belœil;
  • le réaménagement de l’intersection de la route 116 et du chemin du Grand-Rang, à Sainte-Marie-Madeleine;
  • le réaménagement de la route 340, à Vaudreuil-Dorion et à Saint-Lazare;
  • l’asphaltage de la route 116, en direction ouest, du boulevard Seigneurial Ouest, à Saint-Bruno-de-Montarville, jusqu’à la route 112, à Longueuil;
  • la réfection du pont Turcotte sur la route 132, au-dessus de la rivière Richelieu, à Sorel-Tracy;
  • l’installation de glissières de sécurité sur l’autoroute 35, à Saint-Jean-sur-Richelieu.

Citations

« Depuis 2018, notre gouvernement a fait le choix d’investir toujours plus dans nos infrastructures, notamment en transport, pour rattraper le sous-investissement des gouvernements précédents, et offrir des infrastructures de qualité aux Québécois. Dans le contexte d’imprévisibilité économique que nous vivons actuellement, ce choix s’avère particulièrement judicieux, puisque chaque chantier crée des emplois, fait vivre nos entreprises, notamment celles visées par les tarifs américains, et stimule l’économie dans toutes les régions du Québec. Qui plus est, une des meilleures façons d’aider nos industries à demeurer compétitives à travers cette transition vers de nouveaux marchés et une économie redéfinie, c’est en leur offrant des conditions logistiques optimales, soit des réseaux de transport efficaces. Investir autant est donc un choix ambitieux, mais extrêmement stratégique pour nos citoyens et notre économie! »

Geneviève Guilbault, vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable

« Ces investissements témoignent de notre volonté d’offrir aux Montérégiens des infrastructures modernes, sécuritaires et durables. Grâce à cette programmation, plusieurs projets d’envergure verront le jour et auront des retombées concrètes dans nos municipalités. C’est toute la région qui en ressortira gagnante, avec des déplacements mieux adaptés aux réalités d’aujourd’hui. Assortie d’une bonification de plus de 77 M$ par rapport à l’exercice précédent, cette nouvelle enveloppe démontre clairement notre engagement pour la mobilité durable en Montérégie. »

Suzanne Roy, ministre de la Famille et ministre responsable de la région de la Montérégie

Faits saillants

  • Les sommes investies dans la région de la Montérégie se répartissent comme suit :
    • 164 156 000 $ pour améliorer l’état des chaussées;
    • 954 447 000 $ pour améliorer l’état des structures;
    • 167 389 000 $ pour rendre le réseau efficace et sécuritaire, notamment pour donner suite à des recommandations du Bureau du coroner;
    • 2 015 000 $ pour réaliser un projet maritime;
    • 3 526 000 $ pour assurer le maintien en bon état de structures et de ponceaux situés sur des emprises ferroviaires abandonnées.
  • En 2024, plusieurs projets ont été terminés, dont :
    • la reconstruction du pont d’étagement de la descente de la Côte-Double, au-dessus de l’autoroute 10, à Sainte-Angèle-de-Monnoir;
    • la correction de l’inclinaison de la courbe de la route 138, à Sainte-Martine;
    • l’asphaltage de la route 134 (boulevard Taschereau), à Longueuil, entre l’autoroute 20/route 132 et le pont Jacques-Cartier, incluant des bretelles dans l’échangeur.

Liens connexes

Investissements routiers, maritimes, ferroviaires et aéroportuaires 2025-2027 

Liste des projets terminés en 2024 

Plus de 386 M$ pour le transport dans les Laurentides


 Publié le 16 avril 2025

La vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable, Mme Geneviève Guilbault, et la ministre responsable des Aînés, ministre déléguée à la Santé et ministre responsable de la région des Laurentides, Mme Sonia Bélanger, annoncent un investissement de 386 160 000 $ pour les deux prochaines années dans les réseaux de transport routiers de la région des Laurentides.

Les sommes octroyées permettent la réalisation de projets significatifs, tels que :

  • l’amélioration de la courbe sur la route 117 et la reconstruction de la structure au-dessus de la rivière Saguay, près du chemin du Lac-Nominingue, à Lac-Saguay;
  • la réfection de la chaussée de l’autoroute 15 (des Laurentides) à Val-David, à Sainte-Agathe-des-Monts, à Prévost et à Saint-Jérôme;
  • la poursuite de l’aménagement d’une voie réservée sur l’autoroute 15, en direction nord, entre Boisbriand et Mirabel.

Citations

« Depuis 2018, notre gouvernement a fait le choix d’investir toujours plus dans nos infrastructures, notamment en transport, pour rattraper le sous-investissement des gouvernements précédents, et offrir des infrastructures de qualité aux Québécois. Dans le contexte d’imprévisibilité économique que nous vivons actuellement, ce choix s’avère particulièrement judicieux, puisque chaque chantier crée des emplois, fait vivre nos entreprises, notamment celles visées par les tarifs américains, et stimule l’économie dans toutes les régions du Québec. Qui plus est, une des meilleures façons d’aider nos industries à demeurer compétitives à travers cette transition vers de nouveaux marchés et une économie redéfinie, c’est en leur offrant des conditions logistiques optimales, soit des réseaux de transport efficaces. Investir autant est un donc un choix ambitieux, mais extrêmement stratégique pour nos citoyens et notre économie! »

Geneviève Guilbault, vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable

« Les projets qui se concrétiseront grâce aux sommes annoncées aujourd’hui par ma collègue permettront d’assurer des déplacements sécuritaires et fluides à travers notre région. La qualité de vie des citoyens de même que la vitalité socioéconomique des Laurentides bénéficieront grandement des différents chantiers en activité, notamment par la création d’emplois de qualité. Je suis très heureuse de constater que malgré les incertitudes économiques actuelles, nous misons sur l’avenir en continuant le travail amorcé sur nos routes. Je le dis haut et fort depuis mon entrée en fonction comme ministre responsable des Laurentides : notre région déborde d’attraits touristiques, de lieux enchanteurs, de trésors cachés qui méritent d’être découverts et c’est notamment avec ces investissements routiers que nous pourrons accentuer l’incroyable potentiel de nos Laurentides pour le bien non seulement de nos communautés, mais de tout le Québec! »

Sonia Bélanger, ministre responsable des Aînés, ministre déléguée à la Santé et ministre responsable de la région des Laurentides

Faits saillants

le réaménagement de l’intersection de la montée Sainte-Marianne et du chemin de la Côte Nord à Mirabel. la justice, consulter la page Web du Programme : Faciliter l’accès à la justice | Gouvernement du Québec.

Les sommes investies dans la région des Laurentides se répartissent comme suit :

  • 79 175 000 $ pour améliorer l’état des chaussées;
  • 90 242 000 $ pour améliorer l’état des structures;
  • 215 844 000 $ pour rendre le réseau efficace et sécuritaire, notamment pour donner suite à des recommandations du Bureau du coroner;
  • 900 000 $ pour assurer le maintien en bon état de structures et de ponceaux situés sur des emprises ferroviaires abandonnées.

En 2024, plusieurs projets ont été terminés, dont :

  • les travaux de renforcement du pont du Lac-des-Sables sur la route 309, au-dessus de la rivière du Lièvre, à Notre-Dame-de-Pontmain et Notre-Dame-du-Laus;
  • la réfection de la chaussée de la route 364, entre Saint-Sauveur et Morin-Heights;
  • le réaménagement de l’intersection de la montée Sainte-Marianne et du chemin de la Côte Nord à Mirabel.

Liens connexes

Investissements routiers, maritimes, ferroviaires et aéroportuaires 2025-2027 

Liste des projets terminés en 2024 

Le ministère des Transports et de la Mobilité durable sur les médias sociaux :

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Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/April2025/15/c7127.html 

Entente historique – 80 millions de dollars pour favoriser l’accès à la justice


 Publié le 15 avril 2025

Le ministre de la Justice, procureur général du Québec et notaire général du Québec, M. Simon Jolin-Barrette, le président de la Chambre des notaires du Québec, Me Bruno Larivière, et la bâtonnière du Québec, Me Catherine Claveau, annoncent une entente historique prévoyant un investissement de 80 millions de dollars jusqu’en 2029 afin de soutenir de nouveaux projets pour améliorer l’accès à la justice.

Le ministre de la Justice, la Chambre des notaires du Québec et le Barreau du Québec concluent une entente historique (Groupe CNW/Cabinet du ministre de la Justice et procureur général du Québec)

Cette entente vise notamment à offrir aux Québécoises et Québécois un accès plus rapide et plus facile à l’accompagnement juridique dont ils ont besoin, y compris aux services d’un avocat ou d’un notaire.

Dans le cadre de cette entente, la Chambre des notaires du Québec s’engage à contribuer à hauteur de 50 millions de dollars provenant du Fonds d’études notariales. De son côté, le Barreau du Québec investit une somme minimale de 30 millions de dollars, laquelle pourrait être bonifiée d’une somme additionnelle de 10 millions provenant du Fonds d’études juridiques. Ces sommes s’ajoutent aux investissements annuels de plus de 21 millions de dollars du ministère de la Justice via le Fonds Accès Justice.

Trois projets phares seront initialement mis en œuvre grâce à l’entente :

1)  Bonification du Programme d’aide financière pour favoriser l’accès à la justice et lancement de l’appel de projets (10 millions de dollars)

L’enveloppe du Programme d’aide financière pour favoriser l’accès à la justice passera de 650 000 à 2 millions de dollars par année. L’offre de financement se décline en deux volets :

Volet 1 InitiativeVolet 2 Développement (nouveau)
Financement jusqu’à 50 000 $ pour
des projets d’une durée d’un an.
Financement jusqu’à 300 000 $ pour
des projets d’une durée d’un à trois ans.
(Maximum 100 000 $/an)

Un premier appel de projets est lancé aujourd’hui. Les personnes et les organismes intéressés ont jusqu’au 16 juin 2025 à 17 h pour soumettre leur demande. Les modalités du Programme et de ses deux volets de financement sont accessibles sur la page Web du Programme : Faciliter l’accès à la justice | Gouvernement du Québec.

2)  Juristes en palais : services d’accompagnement pour les citoyens dans les palais de justice du Québec (21 millions de dollars)

Dans le contexte où de plus en plus de personnes se représentent seules devant les tribunaux, l’accès rapide aux conseils d’un avocat ou d’un notaire et à de l’information juridique devient primordial. Des équipes de juristes venant des centres de justice de proximité seront ainsi déployées dans plusieurs palais de justice au Québec afin d’aider et d’accompagner les citoyennes et citoyens au moment et à l’endroit où ils en ont besoin.

Le service sera d’abord offert pour les matières familiales, civiles et de protection de la jeunesse, soit les domaines où le phénomène d’autoreprésentation est le plus présent.

3)  Juristes communautaires : renforcement des services d’accès à la justice en milieu communautaire (17,3 millions de dollars)

Des avocats et des notaires pourront être déployés au sein d’organismes communautaires qui en font la demande afin de bonifier l’offre de services de première ligne. Pensons par exemple à des organismes de défense des droits des consommateurs ou des locataires, ou encore des organismes soutenant les victimes ou offrant des services aux familles et aux enfants.

D’autres projets sont en cours d’élaboration et pourront être financés grâce à cette entente.

Citations

« Au cours des dernières années, nous avons entrepris tous ensemble un véritable changement de culture au sein du système de justice. L’écosystème judiciaire québécois est en pleine mouvance et il est particulièrement encourageant de voir les différents partenaires du milieu unir leurs forces autour d’un objectif commun : offrir aux Québécoises et aux Québécois une justice moderne, abordable, accessible et humaine. En soutenant divers projets, cette entente contribuera à fournir aux citoyennes et citoyens des services judiciaires plus adaptés à leurs réalités et plus en phase avec leurs besoins. »

Simon Jolin-Barrette, ministre de la Justice, procureur général du Québec et notaire général du Québec

« La Chambre des notaires est fière aujourd’hui de participer à un meilleur accès à la justice en annonçant cette importante initiative concertée avec le ministère de la Justice et le Barreau du Québec. Cette entente permettra aux citoyennes et citoyens de bénéficier de nouveaux services de proximité de qualité et de participer de manière concrète à leur réussite. Elle place ainsi véritablement les besoins de la population à l’avant-plan. Pour la Chambre, cette action s’inscrit dans le prolongement de ses efforts pour rendre justice aux droits de tous en soutenant des initiatives innovantes et les acteurs du milieu juridique qui rendent ces services indispensables aux citoyens. »

Me Bruno Larivière, président de la Chambre des notaires du Québec

« Le Barreau du Québec se réjouit de contribuer à cette mise en commun d’une vision et de ressources pour offrir à la population québécoise des solutions concrètes favorisant un meilleur accès à la justice. Nous sommes fiers de collaborer à ce partenariat historique qui servira au développement de nouveaux services de justice de première ligne. Au cours des prochaines années, le Barreau travaillera avec ces deux partenaires au développement d’actions innovantes pour améliorer la justice au Québec. En agissant ensemble, nous irons plus loin et nous réussirons à mettre en place des services juridiques et judiciaires toujours plus humains et proches des gens. »

Me Catherine Claveau, bâtonnière du Québec

Liens connexes

Pour en savoir plus sur l’entente : 80 millions de dollars pour favoriser l’accès à la justice .

Pour en savoir plus sur les partenaires, consulter leur page respective : le Barreau du Québec  et la Chambre des notaires du Québec .

Pour soumettre un projet au Programme d’aide financière pour favoriser l’accès à la justice, consulter la page Web du Programme : Faciliter l’accès à la justice | Gouvernement du Québec.

Une première pelletée de terre pour le projet d’habitation abordable Maison sur le Lac 


 Publié le 15 avril 2025

Le gouvernement du Québec, de concert avec le Fonds de solidarité FTQ, la Ville de Lac-des-Aigles et Habitations économiques Lac-des-Aigles, a annoncé aujourd’hui la mise en chantier du projet d’habitation Maison sur le Lac, sur la rue Principale, à Lac-des-Aigles. L’immeuble comprendra 18 logements abordables pour aînés, personnes seules ou couples à revenu modeste. L’arrivée des premiers locataires est prévue dès la fin de l’année en cours.

Ce projet de 7,4 M$ est rendu possible grâce à l’apport financier de plus de 3,4 M$ du fonds Capital Social d’Investissement Immobilier (CSII). Il est aussi soutenu par le gouvernement du Québec avec une somme de près de 3 M$ dans le cadre de l’Entente Fonds de solidarité FTQ-Québec. La Ville de Lac-des-Aigles, quant à elle, y investit 500 000 $. Les contributions d’autres partenaires et donateurs complètent le montage financier.

Citations : 

« Je l’ai dit souvent : il faut innover pour construire davantage et plus rapidement, surtout en contexte de crise du logement. Cette collaboration avec le Fonds de solidarité FTQ nous mène aujourd’hui à lancer les travaux d’un projet important pour la communauté de Lac-des-Aigles. C’est encore une preuve que notre gouvernement agit concrètement, de pair avec les municipalités et les organismes d’habitation, pour mieux loger les Québécoises et les Québécois. »

France-Élaine Duranceau, ministre responsable de l’Habitation

« Je suis fière de constater que nous utilisons toutes les ressources à notre portée pour améliorer la qualité de vie des ménages à faible revenu dans la région de Témiscouata. La contribution des gouvernements, de la Ville de Lac-des-Aigles et de l’ensemble des partenaires montre que nous pouvons être agiles et joindre nos forces pour bâtir des milieux de vie de qualité. »

Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata (incluant les Basques)

« La Maison sur le lac est un projet structurant pour notre communauté. Ce projet était très attendu dans notre ville et nous sommes heureux de faire partie des nombreux partenaires qui y ont cru. Nous sommes ravis d’accueillir ce nouveau bâtiment. »

Pierre Bossé, maire de Lac-des-Aigles

« Notre appui au projet d’Habitations économiques Lac-des-Aigles s’inscrit dans notre objectif de répondre aux besoins des intervenants en immobilier social et abordable qui travaillent pour que tous les types de ménages aient accès à un toit décent. Au fil des ans, nous avons financé la construction ou la rénovation de plus de 10 000 logements abordables au Québec, un bilan dont nous sommes fiers et qui continuera de croître notamment grâce à notre partenariat avec le gouvernement du Québec. »

Martin Raymond, président-directeur général du Fonds immobilier de solidarité FTQ

« L’Association des groupes de ressources techniques du Québec (AGRTQ), mandataire des partenaires du Fonds Capital Social d’Investissement immobilier (CSII), est fière d’avoir contribué à la mise en œuvre du projet en habitation communautaire propulsé par Les Habitations économiques de Lac-des-Aigles. Cet accomplissement est un magnifique témoignage des efforts de concertation de nombreux partenaires financiers et publics. L’innovation, la créativité et l’ouverture de chacun a permis d’arriver à un résultat remarquable. Un coup de chapeau au GRT Les Habitations populaires de l’Est qui a accompagné le groupe dans l’atteinte de ses objectifs. »

Tommy Théberge, directeur général de l’AGRTQ

« Nous avons trouvé des partenaires privilégiés pour réaliser le projet de la Maison sur le Lac qui, encore plus qu’un toit de qualité à prix abordable pour les aînés, les familles ou les personnes seules, représente surtout un milieu de vie et de rencontres à proximité des services essentiels de notre centre-ville. Ce projet important pour notre municipalité a commandé une énorme force collective et je tiens à saluer la résilience de l’ensemble de mes pairs impliqués depuis les débuts. Je suis particulièrement fier de procéder à la pelletée de terre officielle de ce projet qui générera des retombées positives sur notre économie locale. »

André Bossé, président d’Habitations économiques Lac-des-Aigles

Faits saillants :

  • Le fonds CSII est un outil financier totalisant 151 M$ grâce à l’apport de la Société canadienne d’hypothèques et de logement, de la Société d’habitation du Québec, du Fonds immobilier de solidarité FTQ, d’Ivanhoé Cambridge, de la Fondation Lucie et André Chagnon, de Fondaction, de la Fondation Mirella et Lino Saputo et de la Fondation J. Armand Bombardier. Chaque projet nécessite une contribution du milieu. Ce fonds offre des prêts à des coopératives d’habitation, des organismes à but non lucratif d’habitation et des offices d’habitation dans le but de financer quelque 1 500 logements abordables au Québec. Il est géré par l’Association des groupes de ressources techniques du Québec.
  • Dans le cadre du partenariat innovant convenu entre le gouvernement du Québec et le Fonds de solidarité FTQ, 2 250 nouveaux logements sociaux ou abordables sont prévus d’ici 2027. Les projets seront majoritairement des nouvelles constructions, auxquelles s’ajouteront, dans une moindre proportion, des acquisitions d’immeubles existants dans le but de les rénover et de pérenniser l’abordabilité des loyers.

À PROPOS DE LA SOCIÉTÉ D’HABITATION DU QUÉBEC

En tant que référence en habitation, la SHQ a pour mission de répondre aux besoins en habitation des citoyens du Québec par son expertise et ses services aux citoyens. Pour ce faire, elle offre des logements abordables ou à loyer modique et elle propose un éventail de programmes d’aide favorisant la construction et la rénovation résidentielles, l’adaptation de domicile et l’accession à la propriété.

Pour en savoir plus sur ses activités, consultez le www.habitation.gouv.qc.ca.

2,2 M$ pour améliorer la mobilité et l’accessibilité en loisir et en sport


 Publié le 15 avril 2025

La ministre responsable du Sport, du Loisir et du Plein air, Mme Isabelle Charest, a annoncé aujourd’hui le versement d’une aide financière supplémentaire de 2,2 millions de dollars, partagée entre les 17 unités régionales de loisir et de sport (URLS).

L’enjeu des frais liés au transport en loisir et sport est décrié tant par les partenaires régionaux et locaux que par les parents, qui doivent composer avec une charge financière énorme. La mesure annoncée aujourd’hui permettra aux URLS de continuer à développer ce projet, qui vise à soutenir financièrement les organismes admissibles de chaque région pour leurs déplacements à des activités sportives ou récréatives. En assurant un service de qualité et accessible, cette initiative aura pour effet de réduire les coûts liés au transport pour les activités de loisir et de sport. 

Les règles du programme ont été assouplies pour permettre de répondre aux enjeux soulevés par les organismes. Les déplacements admissibles passeront de 400 kilomètres pour un aller seulement à 200 kilomètres pour l’aller-retour. Les déplacements à l’intérieur d’une même région seront également admissibles.

Citations :

« Les coûts liés au transport pour des activités sportives ou récréatives peuvent être élevés et représenter un frein à l’accessibilité, surtout pour les personnes en région éloignée. La mise en place de la mesure d’aide au transport du MEQ a certainement eu un effet positif sur les jeunes des régions. Le prolongement de cette mesure et l’assouplissement des règles permettront à plus de jeunes et de concitoyens de pratiquer leurs activités favorites, où qu’ils se trouvent sur notre territoire. »

Isabelle Charest, ministre responsable du Sport, du Loisir et du Plein air

Renseignements complémentaires :

  • Le ministère de l’Éducation a lancé, au cours de l’exercice financier 2020-2021, une mesure permettant de soutenir le transport en loisir et en sport pour une période de 10 ans, soit jusqu’en 2031. Une somme de 5,8 millions de dollars a donc été répartie entre les différentes régions du Québec.
  • Cinq ans plus tard, les sommes consenties ne répondent qu’en partie aux besoins en transport, d’où cette aide supplémentaire.
  • Les URLS ont été identifiées comme bénéficiaires des sommes destinées à répondre aux différents besoins liés au transport en loisir et en sport. Elles ont été mises en place en 1997 en vertu du Cadre d’intervention gouvernementale en matière de loisir et de sport, afin de permettre aux acteurs de chaque région de définir leurs priorités d’action en fonction de leurs problématiques régionales et de favoriser une meilleure cohésion des actions régionales.

Liens connexes :

Pour en apprendre davantage sur le Fonds en transport en vue de la participation à des activités de loisir et de sport, vous pouvez accéder au site Web des 17 URLS par celui du Réseau des unités régionales de loisir et de sport du Québec : https://reseau-urls.quebec/ .

Québec dévoile son premier plan pour une économie circulaire


 Publié le 15 avril 2025

Afin d’assurer la transition vers une économie verte, le gouvernement du Québec dévoile son premier Plan de mise en œuvre de la Feuille de route gouvernementale en économie circulaire (FREC). Ce plan vise à accroître le taux de circularité de l’économie, améliorer la productivité des matières et réduire significativement le gaspillage alimentaire au Québec d’ici 2028. C’est ce qu’a annoncé aujourd’hui le ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, M. Benoit Charette.

Le plan s’accompagne d’actions qui ciblent notamment les secteurs d’activité présentant le meilleur potentiel de circularité comme l’industrie bioalimentaire, la construction, le secteur manufacturier (textiles et produits électroniques ou électroménagers), les mines et l’énergie. L’objectif de ce premier plan est de soutenir des actions en amont, comme l’approvisionnement responsable, l’optimisation des opérations et l’écoconception des produits.  

Citation :
« Aujourd’hui, nous franchisons une étape majeure vers un Québec plus innovant et résilient face aux défis environnementaux, économiques et sociaux. L’économie circulaire est un moteur essentiel de la transition vers une économie verte. En repensant nos modes de production et de consommation et en valorisant les ressources en circulation, nous réduisons la pression sur nos écosystèmes, préservons nos ressources et diminuons nos émissions de gaz à effet de serre. »

Benoit Charette, ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs 

Faits saillants :

  • La FREC 2024-2028, lancée en avril 2024, est la première feuille de route en Amérique du Nord consacrée à l’économie circulaire.
  • Cette feuille de route établit un cadre de gouvernance mobilisant tous les leviers gouvernementaux pour accélérer le développement de l’économie circulaire et faire du Québec un leader mondial dans ce domaine.
  • Ce premier Plan de mise en œuvre regroupe 132 actions concrètes portées par 21 ministères et organismes, ce qui représente un potentiel financier de plus de 758 millions de dollars en faveur de l’économie circulaire.
  • En 2021, l’indice de circularité de l’économie du Québec était de 3,5 %, soit la moitié de la moyenne mondiale, qui était de 8,6 %. Cet indice reflète la proportion de ressources qui circulent en boucle dans l’économie pour produire les biens qui nous sont nécessaires.
  • Le PMO 2025-2028, coordonné par le MELCCFP, sera révisé et bonifié annuellement pour tenir compte des enjeux émergents et des ressources disponibles.

Liens connexes :