1 001 logements sociaux et abordables seront construits au Québec 


 Publié le 30 août 2024

Les gouvernements du Canada et du Québec participent à la création d’une voie rapide pour accélérer les mises en chantier de logements abordables, partout au Québec, dont 1 001 unités sont annoncées aujourd’hui et seront construites rapidement. Le nouveau modèle d’affaires consiste à soutenir financièrement des projets de logements abordables portés par des groupes de développeurs expérimentés et reconnus pour leur efficience par la Société d’habitation du Québec (SHQ).

Concrètement, la SHQ accordera le statut de « Développeur qualifié » à des promoteurs ou à des organismes afin qu’ils puissent procéder à la mise en chantier de leurs projets plus rapidement. Pour ce faire, la SHQ prévoit un allègement administratif important lors d’une demande d’aide financière pour la construction de logements abordables, soit écourter l’étape de la « qualification du demandeur ». Animée par la volonté d’agir rapidement, la SHQ a déjà identifié des promoteurs dont l’obtention du statut de qualification se ferait promptement.

Le statut « Développeur qualifié » est une solution complémentaire au programme d’habitation abordable Québec (PHAQ). Elle offre davantage de flexibilité à la SHQ pour que lèvent de terre des projets ayant un grand volume de logements à travers la province.

La Société de développement Angus : 1er Développeur qualifié

La Société de développement Angus (SDA) est la première à faire partie de la filière de développeurs qualifiés de la SHQ. Elle recevra une subvention de près de 193,5 M$ pour construire 1 001 logements neufs, dont 677 verront le jour à Montréal et 324 à Rimouski. Cette aide financière correspond à environ 50 % des coûts estimés pour réaliser ces logements dont l’abordabilité sera assurée pour un minimum de 35 ans.

Le financement découle en partie du 900 M$ du gouvernement fédéral versé au Québec par l’entremise de l’Entente Canada-Québec concernant le Fonds pour accélérer la construction de logements (FACL) et des nouveaux investissements de 900 M$ annoncés par le Québec lors de sa mise à jour économique de l’automne 2023. La Ville de Montréal et la Ville de Rimouski contribueront aux projets développés sur leur territoire respectif. Pour l’accompagner dans le financement de ses projets, la SDA a choisi de se tourner vers le Mouvement Desjardins, lequel fournira une somme d’environ 180 M$ sous forme de prêts.

Les projets à Montréal

Dans le secteur du Technopôle Angus, situé à Rosemont-La Petite-Patrie, c’est un ensemble résidentiel de deux bâtiments qui sera construit au cœur de l’écoquartier Angus, sur la rue Molson. Celui-ci comprendra 352 logements hors marché d’une, de deux ou de trois chambres. Les travaux débuteront d’ici la fin de l’année 2024.

Dans Ahuntsic, ce sera un immeuble de 325 logements hors marché d’une, de deux ou de trois chambres qui sera construit. Il s’agira du premier projet résidentiel pour le futur Écoquartier Louvain. À terme, l’écoquartier réunira une école primaire, un centre de la petite enfance, une bibliothèque, un centre communautaire, une salle multifonctionnelle, des commerces, des services de proximité ainsi qu’un centre d’agriculture urbaine. Le chantier débutera au plus tard à l’été 2025.

Les projets d’habitation se veulent exemplaires à l’échelle nationale en ce qu’ils visent une certification LEED en offrant des logements abordables et durables, s’appuyant sur les plus hautes normes de développement durable. L’objectif de ces projets est de valoriser le logement abordable comme un choix, une solution souhaitable et durable pour une excellente qualité de vie.

Les loyers mensuels seront tous fixés en fonction de la grille établie par la SHQ dans le Programme d’habitation abordable Québec (PHAQ). Les locataires pourraient également bénéficier du Programme de supplément au loyer Québec de la SHQ, s’ils y sont admissibles, ce qui leur permettrait de débourser 25 % de leur revenu pour se loger.

La ministre responsable de l’Habitation, Mme France-Élaine Duranceau, la ministre du Tourisme et ministre responsable de l’Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec, l’honorable Soraya Martinez Ferrada, la mairesse de la Ville de Montréal, Mme Valérie Plante, et le président et chef de la direction de la Société de développement Angus, M. Christian Yaccarini, étaient fiers de procéder à cette annonce aujourd’hui, au Locoshop Angus, à Montréal.

Citations :

« Face à la pénurie de main-d’œuvre et à l’augmentation des coûts de construction, nous devons innover. Nous devons construire des logements abordables plus intelligemment et plus rapidement pour les Canadiennes et Canadiens. Je suis fier que nous soutenions les améliorations de nouvelles façons de faire en investissant dans ce projet par le biais de l’Entente Canada-Québec concernant le Fonds pour accélérer la construction de logements, en collaboration avec le gouvernement du Québec. »

-L’honorable Sean Fraser, ministre du Logement, de l’Infrastructure et des Collectivités

« Je le répète sans cesse : il faut multiplier les solutions pour augmenter l’offre de logements, notamment de logements sociaux et abordables. C’est pourquoi, aujourd’hui, je suis fière d’annoncer qu’on ajoute une autre corde à notre arc, soit le statut de “Développeur qualifié”. Il s’agit d’une voie rapide pour que soient construits rapidement des logements de qualité et abordables par des promoteurs qui ont une expertise reconnue en habitation. Je suis persuadée que la première qualification du genre, qui est accordée à la Société de développement Angus, sera fructueuse. »

-France-Élaine Duranceau, ministre responsable de l’Habitation

« C’est avec grande fierté que notre gouvernement a contribué à la construction massive et rapide de 1 001 logements abordables par l’entremise de l’Entente Canada-Québec concernant le Fonds pour accélérer la construction de logements (FACL). Le gouvernement fédéral redoublera toujours d’efforts pour s’assurer que tout le monde au Québec et à travers le Canada ait un chez-soi abordable et sécuritaire. »

– L’honorable Soraya Martinez Ferrada, ministre du Tourisme, ministre responsable de l’Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec et députée d’Hochelaga

« Je me réjouis de constater que le travail que nous effectuons pour mieux loger les citoyennes et les citoyens du Bas-Saint-Laurent porte ses fruits. Je souligne la proactivité de la Société de Développement Angus, laquelle a initié un projet exemplaire pour Rimouski, des logements abordables et durables qui répondront à des besoins importants pour notre communauté. »

– Maïté Blanchette Vézina, ministre des Ressources naturelles et des Forêts, ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, et députée de Rimouski

« L’accélération de la construction de logements sociaux et abordables est essentielle pour répondre à la crise du logement et loger plus de Montréalaises et de Montréalais. La sélection de Montréal dans ce programme confirme que tout l’écosystème de la métropole est mobilisé pour construire plus, construire plus vite, et protéger plus d’unités existantes. L’annonce d’aujourd’hui est un gain concret vers notre objectif de mettre 20 % des unités à l’abri de la spéculation. Comme on l’a fait avec l’application du PL31, la norme de 120 jours pour l’octroi d’un permis et notre ambitieuse stratégie immobilière qui permet de céder des terrains pour des projets comme ceux-ci, nous continuerons d’innover pour stimuler la construction à Montréal et répondre efficacement à la crise du logement. »

– Valérie Plante, mairesse de la Ville de Montréal

« Cette annonce est une excellente nouvelle sur plusieurs volets. D’abord, la création de plus de 300 unités qui joueront un rôle de premier plan dans l’offre en logements à Rimouski et pour nous rapprocher des objectifs définis dans notre Plan de lutte contre la pénurie de logements. Ensuite, le projet de la Société de développement Angus contribuera au processus de revitalisation du centre-ville tout en permettant aux citoyennes et aux citoyens qui y habiteront de profiter d’un exceptionnel milieu de vie aux abords du fleuve et à proximité de tous les services. »

– Guy Caron, maire de Rimouski

« À la Société de développement Angus, nous sommes fiers de cette collaboration qui nous permet de bâtir des unités de logement abordable sans compromis sur la qualité. En plus d’assurer le développement de milieux de vie vibrants, complets et diversifiés, nous contribuons activement à atténuer la crise du logement et offrons des espaces durables et enrichissants pour nos communautés. »

– Christian Yaccarini, président et chef de la direction de la Société de développement Angus

Faits saillants :

  • Le statut « Développeur qualifié »
    • L’analyse des projets et des promoteurs sera réalisée par SHQ sur la base d’une grille rigoureuse d’évaluation.
    • Cette initiative de la SHQ vise à faire affaire avec des organismes possédant une expertise reconnue en habitation; contrôler le risque en s’assurant de la santé financière et de la capacité de réalisation des projets; assurer la viabilité financière des projets à long terme et à réaliser des économies d’échelle en accordant un grand nombre d’unités à un même développeur.
    • Pour obtenir plus de renseignements, consultez le site Web de la SHQ .
    • Pour poser une question précise à propos du statut « Développeur qualifié », écrivez un courriel à l’adresse developpeurs.qualifies@shq.gouv.qc.ca.
  • Lancé en mars 2023, le FACL est une initiative de 4 G$ du gouvernement du Canada, dont 900 M$ sont destinés au Québec dans le cadre de l’Entente Canada-Québec concernant le FACL. Il vise à accélérer la construction de 100 000 logements à l’échelle du pays.
  • Le Québec a également annoncé un montant de 900 M$ dans sa mise à jour économique de novembre 2023. Grâce à ces investissements combinés, 8 000 logements verront le jour au cours des prochaines années.
  • Le FACL encourage les administrations locales à mettre en œuvre des initiatives durables qui réduisent les obstacles à l’offre de logements et aux approbations des projets d’aménagement. À long terme, il vise à générer plus de logements au Canada.

À PROPOS DE LA SOCIÉTÉ D’HABITATION DU QUÉBEC

En tant que référence en habitation, la SHQ a pour mission de répondre aux besoins en habitation des citoyens du Québec par son expertise et ses services aux citoyens. Pour ce faire, elle offre des logements abordables ou à loyer modique et elle propose un éventail de programmes d’aide favorisant la construction et la rénovation résidentielles, l’adaptation de domicile et l’accession à la propriété.

Pour en savoir plus sur ses activités, consultez le www.habitation.gouv.qc.ca .

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LinkedIn : LinkedIn 

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Jean Boulet prévoit déposer un nouveau projet de loi pour moderniser l’industrie de la construction cet automne


 Publié le 29 août 2024

Le ministre du Travail et ministre responsable de la région de la Mauricie, de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec, Jean Boulet, annonce son intention de déposer un projet de loi cet automne pour accroître la protection du public et augmenter la qualité de la construction.

Logo de la RBQ (Groupe CNW/Régie du bâtiment du Québec)

Cette annonce a été faite lors d’un déjeuner-conférence organisé par la Régie du bâtiment du Québec (RBQ) et Garantie de construction résidentielle (GCR) qui réunissait l’ensemble de l’industrie de la construction résidentielle.  

Des meilleures pratiques au bénéfice des Québécois et Québécoises

En 2021, le gouvernement du Québec a mandaté la RBQ pour documenter les non-conformités et proposer une révision du modèle d’inspection des travaux de construction au Québec, en collaboration avec différents partenaires de l’industrie.

Au cours des quatre dernières années, près de la moitié des inspections de la RBQ ont permis de détecter au moins un élément de non-conformité. En moyenne, cela correspond à environ 6 350 éléments de non-conformité décelés par année en vertu du Code de construction. En 2022, la RBQ a détecté des non-conformités dans 55 % des inspections effectuées dans les immeubles d’habitation.

Les économies réalisées lorsque des non-conformités sont détectées par les inspecteurs au moment de la construction d’un bâtiment sont considérables. C’est justement pour réduire le nombre de non-conformités et pour harmoniser les pratiques de l’industrie que le ministre a l’intention d’aller de l’avant avec un projet de loi lors de la prochaine session parlementaire.

Citations

« Selon les évaluations réalisées par GCR, il serait de 8 à 15 fois plus cher de reprendre des travaux mal exécutés lors de la construction initiale d’un bâtiment que de bien les faire dès le début. Notre gouvernement croit que tous les citoyens et citoyennes sont en droit de s’attendre à des constructions de qualité. Ceci est d’autant plus important lorsque l’on parle de construction résidentielle, puisque l’achat d’une habitation est bien souvent l’investissement le plus important d’une vie. Ce projet de loi s’inscrit dans la volonté de notre gouvernement de moderniser l’industrie de la construction au Québec et devrait être déposé lors de la prochaine session parlementaire. »

Jean Boulet, ministre du Travail et ministre responsable de la région de la Mauricie, de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec

« Un excellent moyen d’action pour contrôler la qualité est d’inspecter et de surveiller les travaux pendant la construction. C’est ce qu’on cherche à renforcer avec le nouveau modèle d’inspection. Pour élaborer ces changements et les mettre en œuvre, la RBQ travaille en collaboration avec les différents intervenants concernés. » 

Michel Beaudoin, président-directeur général de la RBQ

Au sujet de la RBQ

Présente partout au Québec, la RBQ a pour mission de veiller à la qualité des travaux de construction et à la sécurité des personnes dans les domaines du bâtiment, de l’électricité, de la plomberie, du gaz, des équipements pétroliers, des installations sous pression, des ascenseurs, des remontées mécaniques, des jeux et manèges, des lieux de baignade et de l’efficacité énergétique. La RBQ surveille l’application de la Loi sur le bâtiment et de la réglementation afférente dans les différents domaines techniques de sa compétence. De plus, la RBQ a comme fonction le contrôle de la qualification des entrepreneurs de façon à s’assurer de leur probité, leur compétence et leur solvabilité.

Liens connexes

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Près de 6 M$ pour loger plus d’étudiants à Saguenay


 Publié le 28 août 2024

La ministre de l’Enseignement supérieur, Mme Pascale Déry, et la ministre des Affaires municipales et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, Mme Andrée Laforest, annoncent aujourd’hui un investissement de 5,9 millions de dollars pour la construction d’une résidence universitaire sur le campus de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC).

Située près du pavillon principal et des résidences actuelles, la nouvelle résidence comptera 72 logements, soit des 4 ½ pièces, des studios et des chambres sur corridor, avec des espaces communs.

Citations :

« L’ajout de logements étudiants est une priorité pour notre gouvernement. Le logement est crucial pour que les étudiants puissent se concentrer à 100 % sur leurs études. Le manque de logements abordables ne devrait pas être un frein à la poursuite des études ou à la mobilité interrégionale. Je remercie sincèrement tous les partenaires impliqués dans ce projet et je salue leur engagement pour la réussite. »

Pascale Déry, ministre de l’Enseignement supérieur

« Je suis très fière de ce grand projet pour notre université régionale, qui constituera un argument de plus pour l’UQAC afin d’attirer les étudiants de demain. Les logements étudiants assurent une pérennité pour tous nos programmes à l’UQAC. Je souligne le travail sans faute de tous les intervenants dans ce dossier majeur pour la région. Merci à tous, votre travail contribue vraiment à changer les choses! »

Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales, ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean et députée de Chicoutimi

« Je salue les investissements du gouvernement du Québec dans cet important projet de construction de résidences étudiantes. Je remercie l’équipe de la Société immobilière de l’Université du Québec et celle de l’UQAC pour leur engagement et leur travail. Les établissements de l’UQ font partie de la solution pour augmenter l’offre de logements abordables partout au Québec. Je me réjouis de voir se concrétiser ce projet, ici, à Saguenay, au bénéfice de la population étudiante et de sa réussite. »

Alexandre Cloutier, président de l’Université du Québec

« Près de 1 000 étudiants ont approché les gestionnaires de nos résidences pour y avoir une place cette année. De ce nombre, plus de 700 ont été dans l’obligation de trouver une solution ailleurs. Heureusement, et il faut le souligner, des promoteurs privés ont été au rendez-vous et nous ont soutenus par la mise en place de solutions de logement de toutes sortes. Toutefois, la construction de logements étudiants à proximité de nos installations et à moindre coût demeure nécessaire. Je tiens à saluer le gouvernement, qui, par l’annonce d’aujourd’hui, nous permet de mener à bien ce projet de résidence étudiante, pièce importante du casse-tête menant à la réussite des jeunes. »

Ghislain Samson, recteur de l’Université du Québec à Chicoutimi

Informations complémentaires :

Ce projet est élaboré en collaboration avec l’Université du Québec (siège social) et l’UQAC. Son coût est estimé à un peu plus de 13 millions de dollars. Le Ministère accorde une aide financière de 5,9 millions de dollars.

Liens connexes :

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Bâtir ensemble pour mieux se loger


 Publié le 23 août 2024

 La ministre responsable de l’Habitation, Mme France-Élaine Duranceau, a dévoilé aujourd’hui la Stratégie québécoise en habitation : bâtir ensemble pour mieux se loger, qui mobilise plusieurs ministères et organismes. La Stratégie a pour buts d’optimiser les actions en matière d’habitation et d’assurer que les investissements présents et futurs quant au logement se fassent de manière rapide, efficace et efficiente.

Les mesures de la Stratégie visent à innover dans le développement de l’offre de logements et à améliorer la performance des interventions, grâce entre autres à de nouveaux outils financiers et à des partenariats inédits, pour que l’offre en habitation réponde aux besoins des Québécoises et Québécois.

Objectifs

La Stratégie québécoise en habitation vise à rétablir l’équilibre sur le marché résidentiel le plus rapidement possible pour que chaque ménage puisse se loger selon ses besoins et ses moyens. Elle propose d’agir à la fois sur les axes économiques et sociaux, et ses principes guideront les actions du gouvernement et de ses partenaires dans les années à venir.

Axe 1. Créer un environnement propice à la croissance de l’offre de logements en :

  • soutenant la productivité dans le secteur de la construction;
  • outillant les partenaires municipaux pour favoriser le développement résidentiel;
  • exploitant le potentiel des immeubles existants;
  • préservant l’offre existante.

Axe 2. Soutenir les ménages selon leurs besoins en :

  • favorisant l’accessibilité et l’abordabilité;
  • répondant aux besoins particuliers de certains ménages;
  • préservant l’équilibre entre les droits des locataires et ceux des locateurs.

La Stratégie québécoise en habitation mise sur une approche globale, coopérative et agile, permettant une adaptation rapide aux évolutions du marché, tant à court, à moyen qu’à long terme. La souplesse et l’amélioration de nos façons de faire sont essentielles pour faire face à un contexte et à des besoins changeants en habitation.

Citation :

« Tous les jours, les conséquences de la crise du logement se font sentir chez des milliers de Québécoises et Québécois. Comme gouvernement, c’est notre responsabilité de mobiliser tous les acteurs en habitation afin d’accélérer la croissance de l’offre de logements. Nous devons repenser nos méthodes de travail pour améliorer notre productivité et adopter des techniques de construction innovantes et rapides. Les mesures proposées dans la Stratégie permettront de canaliser efficacement nos investissements présents et futurs. Les défis sont nombreux, mais je suis convaincue qu’ils peuvent être surmontés. »

France-Élaine Duranceau, ministre responsable de l’Habitation

Faits saillants

  • La Stratégie  présente plus de 25 mesures phares et une soixantaine d’initiatives réalisées, en cours ou à venir.
  • Des investissements de 6,3 milliards de dollars (dont 3,7 milliards seront déboursés au cours des 5 prochaines années) ont été consentis par notre gouvernement depuis l’automne 2018 pour rendre le logement plus abordable et aider les ménages dans le besoin. Cette somme comprend :
    • près de 4 milliards de dollars, provenant en partie de contributions du gouvernement fédéral, pour la construction de logements sociaux ou abordables;
    • près de 1 milliard de dollars destinés à aider les ménages à faible revenu à payer leur loyer;
    • plus de 1,3 milliard de dollars pour le financement d’autres initiatives, par exemple en lien avec l’adaptation ou la rénovation résidentielles.
  • En plus de ces investissements, le gouvernement du Québec a posé plusieurs gestes concrets pour favoriser et accélérer le développement résidentiel, dont :
    • l’adoption de plusieurs lois qui ont renforcé les outils à la disposition des municipalités pour agir en matière d’habitation;
    • la mise en place de mesures ambitieuses pour moderniser le secteur de la construction et soutenir la main-d’œuvre dans ce domaine névralgique;
    • l’introduction de dispositions afin de mieux protéger les locataires les plus vulnérables et de favoriser le maintien du parc de logements locatifs existant.

Liens connexes 

Pour connaître les faits saillants de la Stratégie, consultez le feuillet Bâtir ensemble pour mieux se loger .

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Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/August2024/22/c9793.html

Québec limite l’augmentation du nombre de résidents non permanents


 Publié le 20 août 2024

Le premier ministre, François Legault, et la ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration, Christine Fréchette, annoncent des mesures pour freiner la croissance du nombre de résidents non permanents à Montréal.

Ainsi, à partir du 3 septembre prochain, et ce, pour une période de six mois, la réception de demandes du Programme des travailleurs étrangers temporaires sera suspendue pour des emplois dans la région de Montréal dont le salaire offert est inférieur au salaire médian du Québec, soit 57 000 $. Des exemptions sont prévues pour les demandes liées à certains secteurs stratégiques d’activité économique comme la santé, l’éducation, la construction, l’agriculture et la transformation alimentaire.

Le gouvernement entend également se doter de leviers juridiques pour mieux encadrer la venue d’étudiants étrangers sur son territoire. Il est nécessaire de pouvoir limiter le nombre de demandes faites par les étudiants étrangers en fonction de plusieurs facteurs comme le type d’établissement, le nombre d’étudiants étrangers par établissement, la région, le niveau d’études, etc. Un projet de loi sera déposé cet automne à cet effet et visera également à permettre un meilleur suivi de la situation des étudiants étrangers sur le territoire afin d’appuyer la mise en application de limitations et d’encadrement ciblés.

Rappelons que le nombre de résidents non permanents présents au Québec, principalement des demandeurs d’asile, des travailleurs étrangers temporaires et des étudiants étrangers, a presque doublé entre 2021 et 2024, passant d’environ 300 000 à 600 000 au 1er avril 2024. Le gouvernement du Québec agit donc pour réduire le nombre d’immigrants à Montréal afin de protéger le français et limiter les impacts sur la disponibilité de logements ainsi que sur nos services publics.

Le premier ministre a également réitéré les attentes du Québec envers Ottawa afin de réduire de 50 % le nombre de demandeurs d’asile et de travailleurs étrangers temporaires. Un système de répartition des demandeurs d’asile devrait être mis sur pied en collaboration avec le fédéral et l’ensemble des états fédérés d’ici la fin du mois de septembre.

Citations :

« On doit absolument réduire le nombre d’immigrants temporaires à Montréal pour protéger le français. On doit aussi protéger nos services publics et réduire la pression sur le logement. Le gouvernement fédéral est le grand responsable de l’explosion du nombre d’immigrants temporaires au Québec. On a décidé d’agir dans nos champs de compétence. L’annonce faite aujourd’hui est un premier pas et l’on n’exclut pas d’aller plus loin. On s’attend aussi à ce que le gouvernement fédéral agisse rapidement pour freiner l’arrivée importante d’immigrants temporaires, dont une bonne partie est sous sa responsabilité. »

François Legault, premier ministre du Québec

« L’immigration temporaire pèse lourd sur le Québec – tant sur le français, que sur nos services publics et le logement. En effet, le Québec fait face à une pénurie de main-d’œuvre dans certaines régions, mais avec la hausse du taux de chômage et la présence en grand nombre de demandeurs d’asile sans emploi à Montréal, les entreprises de la métropole doivent faire un effort afin de recruter les gens qui sont déjà ici avant de faire venir de la main-d’œuvre étrangère. Le Québec pose aujourd’hui un geste fort pour réduire l’immigration temporaire avec les leviers dont il dispose et entend se doter prochainement d’un plus grand nombre d’entre eux pour mieux encadrer l’arrivée d’étudiants étrangers. »

Christine Fréchette, ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration

Faits saillants :

  • L’île de Montréal a accueilli près du quart (23,5 %) des travailleurs non agricoles du Programme de travailleurs étrangers temporaires au 31 décembre 2023. De plus, 81 % des personnes ayant présenté une demande d’asile depuis le Québec en 2022 et en 2023 résident sur l’île de Montréal.
  • Chez les résidents non permanents, le taux de chômage dans la région métropolitaine de recensement (RMR) était de 13 %, comparativement à 6,1 % pour l’ensemble de la population en juin 2024.
  • À compter du 3 septembre prochain, la réception de toute nouvelle demande d’EIMT pour les offres d’emplois du PTET situées dans l’île de Montréal dont le salaire offert est inférieur au salaire médian du Québec, qui s’élève actuellement à 27,47 $/h (soit 57 137 $ par année), sera suspendue pour une période de six mois. Cette suspension inclut les demandes présentées dans le cadre du traitement simplifié et celles visant à prolonger l’emploi d’un travailleur étranger occupant déjà un emploi au Québec. 

Lien connexe :

https://www.quebec.ca/entreprises-et-travailleurs-autonomes/administrer-gerer/embauche-gestion-personnel/recruter/embaucher-immigrant/embaucher-travailleur-etranger-temporaire/comprendre-autorisations#c285696

Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/August2024/20/c5879.html

Le ministre Drainville présente un premier état de la situation


 Publié le 16 août 2024

Le ministre de l’Éducation, M. Bernard Drainville, a présenté aujourd’hui un premier portrait obtenu à la suite de changements apportés au processus d’affectation. Concrètement, le nombre de poste à combler pour la prochaine rentrée scolaire a diminué de 33 % par rapport à la même période l’an dernier.

Rappelons que depuis la signature des nouvelles des conventions collectives pour le personnel enseignant, les postes doivent être attribués au plus tard le 8 août afin de garantir une plus grande stabilité lors de la rentrée ainsi que plus de temps aux enseignants pour se préparer. Auparavant, des séances d’affectation pouvaient être tenues quelques jours avant la rentrée. Cette nouveauté permet, entre autres, à un plus grand nombre de jeunes et à leurs parents de connaître l’enseignant qui les accompagnera dès le début de l’année scolaire. De plus, aucun mouvement de personnel n’est possible après le 8 août une fois le processus d’affectation terminé. Cette nouvelle mesure empêche un effet domino. Il permet également aux centres de services scolaires et aux commissions scolaires de mieux anticiper les besoins afin de pourvoir les postes vacants en date du 8 août.

Ces changements nous permettront de poursuivre nos efforts afin de retenir et d’attirer le personnel scolaire. L’objectif est d’offrir à nos enfants, à leurs parents et à notre personnel scolaire une rentrée moins stressante, plus ordonnée et agréable, bref, plus humaine.

Une diminution de 33 % du nombre de postes à combler par rapport à l’année dernière

À la lumière des dernières séances d’affectation, en date du 15 août en fin de journée, 5 704 postes sont à pourvoir dans le réseau scolaire public québécois, dont 1 406 postes réguliers à temps plein d’enseignants et 4 298 postes à temps partiel. Il s’agit d’une diminution de 33 % par rapport à l’année dernière pour la même période.

Il importe de mentionner qu’il s’agit du portrait actuel. Ce dernier évoluera toutefois rapidement au cours des prochains jours puisque les CSS/CS ont déjà entrepris des opérations de recrutement pour pourvoir les postes vacants. Ces données seront mises à jour chaque mercredi d’ici le début des classes.

Comme s’y est engagé le ministre lors de la mise en ligne du nouveau tableau de bord, les données sur les postes à pourvoir seront publiées hebdomadairement jusqu’à la fin de septembre et mensuellement ensuite pour le reste de l’année scolaire. Ces publications permettront à la population de suivre l’évolution de la situation. Par ailleurs, les données seront plus justes puisqu’elles proviendront directement des systèmes des centres de services scolaires et commissions scolaires, contrairement aux années antérieures, alors que des collectes de données manuelles étaient nécessaires.

Hausse des besoins dans le réseau

Selon les projections du Ministère, 20 000 élèves vivront leur première année dans une école primaire ou secondaire au Québec cette année. Pour l’année scolaire 2023-2024, une proportion de 80 % de la hausse de l’effectif scolaire était liée à l’immigration.

Cette croissance du nombre d’élèves à scolariser explique notamment l’augmentation de près de 3 700 du nombre de postes à pourvoir en enseignement. Malgré ces besoins additionnels et grâce au devancement de l’affectation des enseignants, le gouvernement a réussi à améliorer la situation en ayant diminué le nombre de postes à pourvoir par comparaison avec la même date l’an passé.

Citation :

« Les changements apportés pour la présente rentrée scolaire font partie de l’opération de redressement qu’on réalise depuis notre arrivée. Ça demande à tout le monde de revoir leurs façons de faire, j’en suis conscient. Cela dit, je suis convaincu que ces changements contribueront à améliorer la situation dans les prochaines années. L’objectif est d’avoir une rentrée scolaire plus stable et surtout plus humaine pour les enfants, les parents et l’ensemble de notre personnel. Le portrait qu’on a aujourd’hui démontre qu’il y a toujours des défis. Toutefois, il reste encore quelques semaines avant la prochaine rentrée et je suis convaincu qu’en travaillant ensemble, on pourra trouver les solutions nécessaires. La priorité qui doit tous nous guider est la réussite de nos enfants! Je tiens également à remercier toutes les personnes impliquées dans ce nouveau processus, dont les directions d’école. Leur contribution est essentielle. »

Bernard Drainville, ministre de l’Éducation

Faits saillants :

  • Le gouvernement continue ses efforts de recrutement et de rétention de main-d’œuvre pour faire face à la pénurie. La prochaine rentrée scolaire sera marquée par le changement, avec la mise en place des différentes avancées obtenues lors du renouvellement des conventions collectives :
    • augmentation majeure du salaire des enseignants, qui débutera désormais à 65 352 $ et pourra atteindre 109 121 $ après 13 ans;
    • des ressources en soutien à la classe dans 14 000 classes, soit dans près d’une classe du primaire sur deux;
    • des incitatifs financiers prévus pour les enseignants retraités, avec une rémunération qui peut dépasser 500 $ par jour.
  • D’autres mesures seront annoncées au cours de l’automne, dont une grande campagne de communication pour attirer de nouveaux enseignants

Liens connexes: 

Pour consulter les données relatives aux postes à pourvoir du personnel enseignant et des autres catégories de personnel visées par la collecte d’information pour le réseau scolaire public : http://www.education.gouv.qc.ca/references/indicateurs-et-statistiques/indicateurs/collecte-dinformations-concernant-les-donnees-de-la-main-doeuvre-du-reseau-scolaire/ 

Pour en savoir plus sur les activités du ministère de l’Éducation, suivez-le sur les médias sociaux :

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Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/August2024/16/c1393.html

Inauguration du nouveau Centre de justice de proximité de l’Estrie


 Publié le 16 août 2024

Le ministre de la Justice et procureur général du Québec, M. Simon Jolin-Barrette, la députée de Saint-François, Mme Geneviève Hébert, et le député de Richmond, M. André Bachand, inaugurent aujourd’hui le nouveau Centre de justice de proximité (CJP) de l’Estrie à Sherbrooke.

L’ouverture de ce nouveau centre, situé au 455, rue King Ouest, bureau 490, à Sherbrooke, est possible grâce à un investissement de plus de 645 000 $. Ainsi, les citoyennes et citoyens de l’Estrie auront un meilleur accès à des services de justice. Depuis le début des activités du CJP en janvier dernier, plus de 850 personnes ont pu bénéficier du soutien du CJP offert par l’entremise de plus de 1 000 rencontres d’information juridique déjà tenues.

Le nouveau CJP a engendré la création de cinq postes, soit trois juristes, un directeur et un adjoint à la direction. Ces emplois ont par ailleurs déjà été pourvus.

Soulignons qu’avec l’adoption de la Loi visant à améliorer l’accès à la justice en bonifiant l’offre de services juridiques gratuits ou à coût modique, les CJP peuvent jouer un rôle accru en proposant des services d’avis et de conseils juridiques, en plus de continuer à fournir de l’information juridique.

Citations

« L’implantation de ce nouveau centre de justice de proximité ici, en Estrie, contribue concrètement à rendre la justice plus accessible, plus efficace et surtout, plus humaine. Cette annonce ne serait pas possible sans la précieuse collaboration des intervenantes et intervenants qui, chaque jour, informent et outillent la population sur divers domaines du droit. Les CJP permettent aux citoyennes et aux citoyens de se sentir plus en contrôle lorsqu’ils sont confrontés à un enjeu d’ordre juridique. »

Simon Jolin-Barrette, ministre de la Justice et procureur général du Québec

« Il est primordial que les Estriennes et les Estriens puissent avoir un point de repère lorsqu’ils sont aux prises avec un questionnement d’ordre juridique. Ce nouveau centre de justice de proximité devient cette référence. Dès maintenant, la population peut avoir recours à des intervenantes et des intervenants qui sauront les accompagner et les orienter tout au long de leur parcours à travers le système de justice. »

Geneviève Hébert, députée de Saint-François et whip adjointe du gouvernement

« Avec ce nouveau centre de justice de proximité, les gens de l’Estrie ont désormais une porte à laquelle cogner lorsqu’ils se retrouvent devant une situation d’ordre juridique. Cette annonce témoigne de l’importance qu’accorde le gouvernement à offrir une justice accessible qui répond aux besoins des citoyennes et citoyens. »

André Bachand, député de Richmond et président de la Commission des institutions

« L’instauration du Centre de justice de proximité de l’Estrie est attendue depuis plusieurs années par les Estriennes et les Estriens ainsi que par les organismes partenaires de la région. L’ouverture de notre centre permettra enfin de combler un besoin essentiel pour ces derniers et de bonifier l’offre de services dans la région en complémentarité avec les ressources existantes. C’est un honneur pour nous de pouvoir contribuer à favoriser l’accès à la justice des habitantes et habitants de notre région en les accompagnant et en les orientant dans leur situation juridique, et ce, en toute proximité et accessibilité. »

Me Maxime-Olivier Breton, directeur du Centre de justice de proximité de l’Estrie

Information complémentaire

Les centres de justice de proximité offrent des services d’information juridique gratuits et confidentiels à l’ensemble des citoyennes et citoyens, et ce, sans égard à leurs revenus ou à la nature juridique du problème rencontré.

Présentement, les régions qui bénéficient des services d’information juridique sont les suivantes : Bas-Saint-Laurent, Québec, Chaudière-Appalaches, Montréal, Saguenay-Lac-Saint-Jean, Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Outaouais, Montérégie, Nunavik, Mauricie, Côte-Nord, Centre-du-Québec, Estrie et Laval-Laurentides-Lanaudière.

Liens connexes

Pour en savoir plus à propos des services juridiques, visitez ce site Web :
Justice et état civil | Gouvernement du Québec (quebec.ca)

Pour obtenir plus de renseignements concernant les centres de justice de proximité, consultez ce site Internet : https://www.justicedeproximite.qc.ca.

Le gouvernement du Québec accorde 350 000 $ au Festival LASSO


 Publié le 15 août 2024

Le gouvernement du Québec est heureux d’octroyer une aide financière de 350 000 $ au Festival LASSO , qui se déroule à Montréal jusqu’au 17 août 2024.

La ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière, Mme Caroline Proulx, et le ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, ministre responsable du Développement économique régional et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, M. Pierre Fitzgibbon, en ont fait l’annonce aujourd’hui.

Le Festival LASSO réunit une trentaine d’artistes country au parc Jean-Drapeau pour sa troisième édition. Cet événement attire des centaines de festivaliers et festivalières dans la métropole. Grâce à ses différents kiosques alimentaires, aux multiples activités proposées et à sa programmation exaltante, le festival fera vivre une expérience inoubliable aux milliers de visiteurs et visiteuses.

Citations 

« C’est une fierté pour le gouvernement du Québec de soutenir le Festival LASSO, cet événement culturel unique en son genre à Montréal. Chaque année, de plus en plus de visiteurs et visiteuses séjournent dans la métropole pour assister à ce grand festival country. J’invite les personnes participantes à profiter de cette occasion pour découvrir les multiples attraits de la ville et les activités qui l’animent au courant de la saison estivale. »  

Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière

« Le festival LASSO se taille une place de choix dans le cœur des amateurs de musique country. Après seulement trois éditions, LASSO est devenu un événement estival incontournable pour les Montréalais et Montréalaises, et des milliers de touristes. »

Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, ministre responsable du Développement économique régional et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal

Faits saillants

Lien connexe

Québec.ca 

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Ministère des Affaires municipales et de l’Habitation

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De nouveaux services offerts aux personnes en situation d’itinérance au Lac-Saint-Jean


 Publié le 8 août 2024

Le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, était de passage dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, en compagnie de la députée de Roberval, Nancy Guillemette, afin de faire l’annonce du premier refuge permanent pour personnes en situation d’itinérance à Dolbeau-Mistassini. Le financement associé au projet est de 463 591 $ par année.

Comme plusieurs communautés au Québec, la Ville de Dolbeau-Mistassini connaît une progression du nombre de personnes en situation d’itinérance dans son milieu. Afin de répondre aux besoins croissants, un refuge temporaire a été ouvert de décembre 2023 à avril 2024. Ce projet, une première expérience dans le secteur, était le fruit de la mobilisation de l’ensemble des partenaires de la communauté. Le besoin demeurait, cependant, pour une ressource permanente.

La somme annoncée est destinée exclusivement au projet d’hébergement permanent à haut seuil d’acceptabilité dans la Ville de Dolbeau-Mistassini, qui permettra d’accroître considérablement les services offerts aux personnes en situation d’itinérance dans la région.

Citations :

« La hausse du phénomène de l’itinérance ne se limite plus qu’à Montréal. Elle est observée dans toutes les régions du Québec et est une conséquence directe d’une crise simultanée du logement, des opioïdes et du coût de la vie. Il est de notre responsabilité de travailler tous ensemble afin de développer plus de services dans ces régions où il s’agit d’un phénomène assez récent. Nous l’avons fait à plusieurs endroits, comme à Alma et Roberval, et voilà que Dolbeau-Mistassini aura désormais son refuge. Cette ressource deviendra une porte d’entrée permettant de tisser des liens de confiance avec les personnes vulnérables de la région afin de les guider vers le rétablissement. »

Lionel Carmant, ministre responsable des Services sociaux

« Ce financement est une excellente nouvelle. Le montant annoncé contribuera à offrir un lieu sécuritaire, de jour, comme de nuit, aux personnes en situation d’itinérance. Je suis très heureuse de constater la mobilisation et la solidarité pour trouver des solutions durables et répondre à leurs besoins. Merci à toutes les équipes et les partenaires qui unissent leurs efforts pour aider concrètement ces personnes vulnérables. »

Nancy Guillemette, députée de Roberval et whip adjointe du gouvernement

« L’ouverture de ce refuge permanent pour personnes en situation d’itinérance à Dolbeau-Mistassini est une avancée majeure pour notre ville et une réponse directe à des besoins grandissants en matière de vulnérabilité. Nous sommes fiers de collaborer avec le gouvernement pour offrir des services essentiels à nos citoyens les plus vulnérables et de travailler ensemble pour bâtir une communauté plus solidaire et inclusive. »

André Guy, maire de Dolbeau-Mistassini

Faits saillants :

  • Un appel de projets sera lancé prochainement afin d’identifier un organisme responsable du refuge de nuit et des activités de jour.
  • La décision quant au choix de l’emplacement sera prise ultérieurement, de concert avec l’ensemble des partenaires, afin de répondre aux besoins de la communauté.
  • Notons que ce financement non récurrent s’inscrit en complément des investissements déjà octroyés dans la région dans le cadre du Plan d’action interministériel en itinérance 2021-2026 (PAII), ainsi du rehaussement financier en itinérance annoncé lors du budget et de la mise à jour économique 2023-2024.
  • Le PAII propose des mesures concrètes pour offrir des services d’accompagnement qui répondent véritablement aux besoins des personnes en situation d’itinérance ou à risque de le devenir, notamment en matière de logement.