Pour la première fois, l’érable est mis de l’avant toute l’année


 Publié le 17 octobre 2024

Le député de Beauce-Sud, M. Samuel Poulin, et  parrain de la loi 498 proclamant la Journée nationale de l’érable, est heureux de  confirmer que la toute première édition de cette journée, se tiendra, partout au Québec,  le dimanche 20 octobre prochain. 

Cette journée vise à mettre de l’avant l’acériculture et les produits de l’érable sur une  période de 12 mois par année. Cette première journée se tiendra en collaboration avec  Aliments du Québec, le Conseil de l’industrie de l’érable, le Conseil de la transformation  alimentaire et les Producteurs acéricoles du Québec. De nombreux commerces et  épiceries profiteront de l’occasion pour mieux positionner les produits de l’érable pour la  clientèle. 

Un défi pour tous : « J’achète un produit de l’érable du Québec ». 

Tout comme le 12 août de chaque année avec la journée « J’achète, un livre  québécois », le député, propose que la Journée nationale de l’érable devienne une  tradition pérenne, pour se procurer un produit de l’érable du Québec. « Que ce soit du  sirop, de la crème glacée ou des noix à saveur d’érable, il s’agit d’un geste symbolique  et d’une occasion pour supporter l’acériculture et nos commerçants locaux. Je suis  convaincu qu’ensemble, nous pouvons obtenir un impact important pour cette industrie 

et ses artisans, et ce en dehors de la traditionnelle période des sucres », souligne le  député.

Une mobilisation sans précédent pour l’érable 

Alors que l’érable est davantage relié à la période des sucres, cette première journée  vise une réelle promotion annuelle du produit. « Cette Journée est l’occasion idéale de  reconnaître l’engagement et la passion de ceux qui produisent et transforment nos  produits locaux en délices que nous partageons quotidiennement. Grâce au soutien  du Programme de développement des marchés (PDMB) du MAPAQ et surtout au  leadership de Samuel Poulin, nous pouvons continuer à promouvoir nos pratiques  durables et à renforcer notre présence sur les marchés », souligne, Sylvie Cloutier,  présidente-directrice du Conseil de la transformation alimentaire du Québec. 

Un impact important pour l’économie du Québec 

Le Québec compte plus de 13 000 producteurs dans plus de 8000 entreprises  acéricoles. La région de Chaudière-Appalaches, notamment en Beauce, est l’endroit  qui compte le plus d’entreprises acéricoles au Québec. À ce jour, le Québec produit  pour 72% de la production mondiale de sirop d’érable qui est distribué dans 70 pays.  

Plus grand projet industriel de réduction de GES au Québec


 Publié le 15 octobre 2024

Grâce à l’appui du gouvernement du Québec, l’entreprise ArcelorMittal Exploitation minière Canada S.E.N.C. sera en mesure de réaliser le plus important projet industriel de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) au Québec à ce jour. Ce projet permettra à l’entreprise de réduire ses émissions de GES de plus de 200 000 tonnes de CO2 équivalent par an, ce qui représente 58 823 véhicules à essence de moins sur les routes.

C’est ce qu’annonce aujourd’hui le ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région des Laurentides, M. Benoit Charrette, en compagnie de la ministre de l’Emploi, ministre responsable de la région de la Côte-Nord et députée de Duplessis, Mme Kateri Champagne Jourdain. Cette initiative appuyée financièrement à hauteur de 50 000 000 $ s’inscrit dans une série d’actions réalisées par le gouvernement et découlant du plan de mise en œuvre du Plan pour une économie verte 2030. Celles-ci visent à accélérer la transition climatique et la décarbonation du secteur industriel québécois. 

Citations :  

« Pour que le Québec atteigne ses cibles en matière de réduction des GES, nous nous devons de collaborer avec le secteur industriel qui représente 30 % des émissions sur notre territoire. C’est pourquoi nous appuyons les projets de réduction de GES afin de stimuler la transition climatique et énergétique de nos grands émetteurs, pour transformer durablement l’industrie québécoise, tout en maintenant sa compétitivité. C’est à travers des programmes comme Défi GES et des projets comme celui annoncé aujourd’hui que nous verrons l’essor d’une économie québécoise plus verte et prospère. » 

Benoit Charette, ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région des Laurentides

« Je suis fière que notre gouvernement appuie ArcelorMittal dans ses projets de réduction des GES. Cette entreprise bien implantée chez nous est un employeur des plus importants, qui contribue à la prospérité de la Côte-Nord. On souligne aujourd’hui une annonce qui positionne la Ville de Port-Cartier comme l’un des acteurs clés de la décarbonation des aciéries dans le monde et assure la pérennité de l’usine de bouletage. De plus, quel bonheur de voir que le plus grand projet industriel de décarbonation au Québec est chez nous, sur la Côte-Nord! »

Kateri Champagne Jourdain, députée de Duplessis, ministre de l’Emploi et ministre responsable de la région de la Côte-Nord

« L’inauguration du chantier de la flottation permet de concrétiser un projet d’envergure qui témoigne de la volonté de notre entreprise de placer durablement Port-Cartier et la Côte-Nord au cœur de la décarbonation mondiale des aciéries. Je tiens à remercier le gouvernement du Québec pour la confiance et le soutien qu’il nous accorde. »

Mapi Mobwano, président et chef de la direction d’ArcelorMittal Exploitation minière Canada S.E.N.C

Faits saillants :

  • Le programme Défi GES vise à encourager les grandes entreprises réglementées par le marché du carbone à réduire rapidement, durablement et significativement leurs émissions de GES. À travers ce programme, le gouvernement souhaite que ces grands émetteurs contribuent plus activement à l’atteinte de la cible de réduction des émissions du Québec à l’horizon 2030.
  • Le projet d’ArcelorMittal Exploitation minière Canada S.E.N.C. permettra de convertir toute la production de l’usine de bouletage de Port-Cartier pour fabriquer des boulettes d’oxyde de fer à réduction directe. En effet, les nouvelles boulettes d’oxyde de fer qui seront produites nécessiteront moins d’additifs, de mazout et de charbon grâce à un nouveau système de flottation.
  • Il est à noter que, pour être réalisé, le projet d’ArcelorMittal nécessitait un approvisionnement supplémentaire en énergie. La demande de raccordement de l’entreprise a été acceptée en juin dernier par le ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, ce qui a permis le lancement du projet. En effet, conformément aux exigences de la Loi visant notamment à plafonner le taux d’indexation des prix des tarifs domestiques de distribution d’Hydro-Québec et à accroître l’encadrement de l’obligation de distribuer de l’électricité, le gouvernement, en collaboration avec Hydro-Québec, sélectionne maintenant selon des critères bien définis les projets qui pourront bénéficier d’un apport additionnel en puissance (5 mégawatts et plus).

Liens connexes :

Source : Mélina Jalbert
Directrice des communications
Cabinet du ministre de l’Environnement, 
de la Lutte contre les changements climatiques,
de la Faune et des Parcs et ministre responsable
de la région des Laurentides
Tél. : 418 803-2351
Information : Relations avec les médias
Ministère de l’Environnement,
de la Lutte contre les changements climatiques,
de la Faune et des Parcs
Tél. : 418 521-3991

Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/October2024/15/c5464.html

Étudiants étrangers : Québec se donne de nouveaux pouvoirs en immigration


 Publié le 10 octobre 2024

Le ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration, Jean-François Roberge annonce le dépôt d’un projet de loi qui vise à doter le Québec de nouveaux pouvoirs en immigration et de leviers juridiques pour mieux encadrer le nombre d’étudiants étrangers.

Rappelons que les étudiants étrangers représentent désormais environ 24 % de l’ensemble des résidents non permanents. Le nombre d’étudiants étrangers qui possèdent un permis d’études valide au Québec a augmenté de 140 % entre 2014 et 2023, pour ainsi passer d’un peu plus de 50 000 à près de 120 000 personnes. Le nombre total de résidents non permanents a progressé de 300 000 à près de 600 000 personnes.

Plus précisément, le Québec souhaite disposer des leviers nécessaires afin de fixer le nombre de demandes présentées à titre d’étudiant étranger en fonction de différentes variables, en priorisant par exemple, des régions du Québec, des ordres d’enseignement (niveaux d’études), des établissements d’enseignement ou des programmes d’études.

La venue des étudiants étrangers stimule la recherche et l’innovation et contribue notamment au rayonnement des établissements d’enseignement du Québec et à la viabilité de plusieurs cohortes en région. Leur présence, comme celle des autres résidents non permanents, soulève toutefois des enjeux sur le plan de la disponibilité de logements ainsi que de services publics. Dans ce contexte, il apparaît essentiel de pouvoir mieux encadrer la croissance du nombre d’étudiants étrangers sur le territoire et de s’assurer que le gouvernement du Québec dispose des pouvoirs nécessaires pour garantir une gestion saine et durable du Programme des étudiants étrangers (PÉÉ). 

Citations :

« Notre gouvernement a décidé de se donner de nouveaux pouvoirs pour gérer sa politique migratoire d’étudiants étrangers. Nous avons la responsabilité d’utiliser tous les leviers que nous disposons pour faire notre part dans la réduction du nombre de résidents non permanents. C’est exactement ce que nous faisons avec ce projet de loi. C’est un geste qui nous permet de faire nos propres choix. »

Jean-François Roberge, ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration, ministre de la Langue française, ministre responsable des Relations canadiennes et de la Francophonie canadienne, ministre responsable des Institutions démocratiques et ministre responsable de l’Accès à l’information et de la Protection des renseignements personnels, ministre responsable de la Laïcité

« L’apport des étudiants étrangers est important, tant pour notre développement socioéconomique que pour la recherche et l’innovation. Toutefois, la croissance observée dans les dernières années entraîne des défis, notamment pour nos services publics et en matière de logement. Cette pression nous force à revoir notre modèle de recrutement. Ce projet de loi va donc nous permettre d’agir de manière plus ciblée afin de mieux répondre aux besoins du Québec. Il s’agit d’une première étape et nous allons continuer de travailler avec nos réseaux pour développer et privilégier une approche plus équilibrée. »

Pascale Déry, ministre de l’Enseignement supérieur

« Les étudiants étrangers jouent un rôle important dans nos secteurs clés, notamment ceux de la formation professionnelle. Toutefois, l’augmentation de l’immigration temporaire exerce une pression sur nos services publics. Avec ce projet de loi, nous nous offrons les moyens de mieux encadrer le nombre d’étudiants étrangers en formation professionnelle. Dans un contexte où l’immigration temporaire est passée de 300 000 à 600 000 en deux ans, il est important que le gouvernement puisse faire des choix qui sont dans l’intérêt de la formation professionnelle et plus largement, de la société québécoise. »

Bernard Drainville, ministre de l’Éducation 

Faits saillants
Les propositions de modifications à la Loi sur l’immigration au Québec et aux autres lois concernées pour l’atteinte de ces objectifs comprennent notamment :

  • Le pouvoir de limiter ou prioriser le nombre de demandes à recevoir au PÉÉ en fonction de différentes variables comme la région du Québec, l’ordre d’enseignement, l’établissement d’enseignement ou le programme d’études, ou toute autre distinction jugée utile, par le biais d’un décret gouvernemental ;
  • L’exigence d’admission dans un établissement désigné comme condition pour venir au Québec comme étudiant étranger. Les établissements devraient être désignés par le gouvernement pour accueillir des étudiants étrangers.
  • L’exigence que l’étudiant étranger étudie au sein de l’établissement d’enseignement pour lequel le consentement du Ministre au séjour d’études a été donné ;
  • Le pouvoir des ministres de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur de recueillir auprès des établissements d’enseignement l’information nécessaire afin de soutenir la prise de décision relative à la gestion des demandes de sélection à titre d’étudiant étranger.

Lien connexe :
Lien vers la Gazette pour consulter le projet de loi :
Partie 2 – Lois et règlements – Les Publications du Québec (gouv.qc.ca) 

Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/October2024/10/c3720.html

Québec adopte son projet de loi pour couper dans la paperasse des médecins


 Publié le 9 octobre 2024

 Le ministre du Travail, Jean Boulet, et le ministre de la Santé, Christian Dubé, annoncent l’adoption du projet de loi visant principalement à réduire la charge administrative des médecins (projet de loi 68). Concrètement, ce sont environ 600 000 plages de rendez-vous de plus par année qui seront disponibles pour offrir des soins aux Québécois et Québécoises à travers les différents chantiers de réduction de la charge administrative des médecins.

Avec cette nouvelle loi, le gouvernement élimine plusieurs exigences administratives qui entraînent de la paperasse et des rendez-vous non nécessaires. Il s’agit d’un geste de plus pour faciliter le travail des médecins afin qu’ils puissent consacrer plus de temps à soigner leurs patientes et patients.

Rappelons que l’objectif de ce projet de loi est de limiter ou éliminer le recours aux services d’un médecin pour les motifs suivants :

  • Obtenir un document justificatif, tel qu’un certificat médical, dans le cas d’une absence de courte durée. Pour une même année, la limitation s’appliquerait pour les trois premières absences d’une période de trois journées consécutives ou moins.
    • Par exemple, une personne qui souffre d’un rhume n’aura pas à obtenir une attestation médicale pour justifier son absence auprès de son employeur, s’il s’agit d’une absence de trois jours ou moins, lors des trois premières absences durant une période de 12 mois.

Obtenir d’un assureur ou d’un administrateur de régime d’avantages sociaux le remboursement du coût d’une aide technique.

    • Par exemple, lorsqu’une personne a besoin d’une canne ou d’orthèses pour une douleur à la jambe, elle n’aura pas à obtenir une prescription de son médecin de famille afin d’être remboursée.
  • Obtenir d’un assureur ou d’un administrateur de régime d’avantages sociaux le remboursement du coût des services reçus d’un intervenant du domaine de la santé ou des services sociaux.
    • Par exemple, lorsqu’une personne souffre au genou et doit consulter un physiothérapeute, elle n’aura pas à obtenir une prescription d’un médecin pour se faire rembourser sa visite.
  • Maintenir le versement de prestations d’invalidité.
    • Par exemple, pour garder son indemnisation, une travailleuse qui est en congé de maladie pour un épuisement professionnel ou un bras cassé (indemnisation moyenne et long terme) et qui a une assurance privée doit consulter un médecin de famille à une fréquence parfois imposée par l’assureur. Suivant les dispositions adoptées, la fréquence de ce suivi médical serait prédéterminée uniquement par le médecin traitant cette travailleuse.

Citations :

« Les délais d’attente pour accéder à un médecin préoccupent, légitimement, les Québécoises et les Québécois. L’adoption de ce projet de loi envoie un message fort : on s’engage à améliorer l’accès à des soins médicaux, à soutenir nos médecins et à offrir à tous et toutes les meilleurs soins possibles. L’ajout principal de ce projet de loi est sans doute le formulaire unique, destiné à alléger le fardeau administratif des médecins en simplifiant et en uniformisant les documents qu’ils doivent remplir. Dorénavant, le gouvernement pourra encadrer les renseignements demandés aux médecins, permettant ainsi une meilleure gestion des informations, tout en favorisant une utilisation plus efficace des ressources médicales. Je suis fier que les réflexions et les discussions entourant ce projet de loi se soient déroulées dans un esprit de collaboration et de succès permettant ainsi une mise en œuvre rapide. »

Jean Boulet, ministre du Travail

« Actuellement, les médecins consacrent une part trop importante de leur temps à des tâches administratives, au détriment de leur mission première : soigner leurs patients. La réduction de la paperasse liée aux rendez-vous médicaux pour les assureurs privés et les employeurs est un élément important pour réussir à améliorer l’accès aux soins de santé. Aujourd’hui, nous posons un geste concret pour recentrer les services sur les besoins réels des patientes et des patients. »

Christian Dubé, ministre de la Santé

Faits saillants :

  • Le projet de loi est notamment le fruit du travail d’une équipe du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) consacrée à la réduction de la charge administrative des médecins de famille.
  • Il s’inscrit dans la foulée des mesures annoncées en février dernier  visant à accroître le temps que les médecins consacrent à leurs patients et patientes en réduisant leur charge administrative.

Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/October2024/08/c5773.html

Lancement du Guichet J’obtiens mon brevet


 Publié le 9 octobre 2024

Le ministre de l’Éducation, M. Bernard Drainville, a annoncé aujourd’hui le lancement du Guichet J’obtiens mon brevet. Ce service permettra d’aider le personnel enseignant non légalement qualifié dans son processus d’obtention du brevet d’enseignement. Concrètement, lorsque le ministère de l’Éducation octroiera une tolérance d’engagement à un membre du personnel scolaire, l’équipe du guichet communiquera avec cette personne pour la guider dans son parcours de qualification. C’est une autre mesure importante mise en place par le ministre afin de qualifier les enseignants qui sont déjà dans les écoles du Québec.

Une démarche et un accompagnement structurés

Depuis l’an dernier, plus de 1 500 personnes non légalement qualifiées se sont inscrites dans les nouvelles voies rapides afin d’obtenir un brevet en enseignement. L’annonce d’aujourd’hui facilitera davantage le processus, et ce, tant pour le personnel enseignant que pour les directions des centres de services scolaires.

En effet, ce nouveau guichet leur offrira un accompagnement à toutes les étapes de la démarche, notamment pour :

  • leur faire connaître les différents programmes universitaires;
  • leur faire connaître les modalités d’inscription et les orienter vers les universités;
  • répondre à leurs questions sur la valeur ajoutée d’un brevet (avantages, exigences, durée, conditions d’emploi, etc.);
  • recommander aux partenaires universitaires les candidatures qui répondent aux exigences.

Actuellement, toutes ces étapes sont assumées par les centres de services scolaires, les commissions scolaires crie et Kativik et les établissements d’enseignement privés, ce qui ajoute une pression administrative, considérant le nombre grandissant d’inscriptions pour les nouveaux programmes universitaires. Le ministère de l’Éducation prendra donc désormais en charge ces tâches afin de faciliter le processus.

Le personnel concerné actuellement en fonction dans le réseau scolaire sera prochainement convié à des rencontres d’information, une des premières activités d’accompagnement du Guichet J’obtiens mon brevet.

Citation :

« Ce nouveau guichet permettra d’offrir un soutien non seulement au personnel non légalement qualifié, mais aussi aux centres de services scolaire, aux commissions scolaires crie et Kativik et aux établissements d’enseignement privés. Il répond à notre volonté de qualifier plus d’enseignants qui sont déjà dans nos classes. L’expérience de ces étudiants sera facilitée grâce à l’accompagnement soutenu de l’équipe du guichet tout au long de leur parcours. C’est un autre moyen concret pour rehausser la qualité de l’enseignement de notre réseau. Je remercie encore une fois les universités qui ont levé la main pour la création des voies rapides et j’encourage celles qui ne l’ont pas fait encore à emboîter le pas. »

Bernard Drainville, ministre de l’Éducation et ministre responsable de la région de la Chaudière-Appalaches-

Liens connexes :

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Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/October2024/09/c0551.html

2,8 millions $ pour mieux soutenir les parents-étudiants


 Publié le 8 octobre 2024

La ministre de la Famille, Mme Suzanne Roy, était présente aujourd’hui à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) pour annoncer un investissement de 2,8 millions de dollars pour les activités de halte-garderie en milieu d’enseignement. Pour l’occasion, elle était accompagnée du ministre du Travail, ministre responsable de la région de la Mauricie et député de Trois-Rivières, M. Jean Boulet, du recteur de l’UQTR, M. Christian Blanchette, du président de l’Union étudiante du Québec, M. Étienne Paré, du président de la Fédération étudiante collégiale du Québec, M. Antoine Dervieux, de Mme Nadia Boudreau, de l’Association des haltes-garderies communautaires du Québec, ainsi que des représentants d’associations étudiantes locales.

Les parents-étudiants ont des besoins particuliers. Ils doivent avoir accès à des services qui sont flexibles et à proximité de leur lieu d’études. Les activités de halte-garderie présentent ces avantages en offrant entre autres des horaires atypiques qui permettent une meilleure conciliation famille-études-travail pour les parents-étudiants.

Rappelons qu’en 2022, la ministre de la Famille et la ministre de l’Enseignement supérieur annonçaient un projet pilote de haltes-garderies en milieu d’enseignement. Onze projets ont alors été lancés partout au Québec.

Le projet pilote a fait ses preuves et les activités ont montré qu’elles répondaient aux besoins des parents-étudiants. Afin de poursuivre en ce sens, le gouvernement du Québec investit 2,8 millions de dollars supplémentaires pour les trois prochaines années.

Les projets de haltes-garderies en milieu d’enseignement sont souvent portés par la communauté étudiante. Dans le cas de l’UQTR, c’est l’Association générale des étudiants qui a fait en sorte de concrétiser l’idée d’une halte-garderie. Il est à noter que des activités similaires seront également offertes à Val-D’Or, à Montréal, dans Lanaudière, à Victoriaville, à Charlevoix et à Québec.

Citation : 

« Un parent ne devrait jamais avoir à choisir entre ses études et ses enfants. Quand nous offrons des activités de halte-garderie en milieu d’enseignement, c’est tout le Québec qui y gagne. Les parents-étudiants peuvent se concentrer sur leur réussite scolaire pour contribuer à la société de demain, pendant que de leur côté les enfants peuvent se développer dans un lieu chaleureux. La poursuite du financement des haltes-garderies en milieu d’enseignement montre la volonté du gouvernement de soutenir les parents-étudiants et de leur donner les outils nécessaires pour la réussite. »

Suzanne Roy, ministre de la Famille, ministre responsable de la Montérégie et députée de Verchères 

« Soutenir les parents-étudiants, c’est essentiel pour leur réussite. Notre gouvernement montre encore une fois son soutien en finançant des activités de haltes-garderies en milieu d’enseignement. Ces parents pourront étudier la tête tranquille et développer leur plein potentiel tout en sachant que ce leurs enfants sont en sécurité. Je tiens à remercier ma collègue pour la poursuite de ce projet important pour nos communautés étudiantes. »

Pascale Déry, ministre de l’Enseignement supérieur et députée de Repentigny

« L’Union étudiante du Québec est ravie de l’annonce d’aujourd’hui. Les activités de haltes-garderies sur nos campus sont un service essentiel pour la population étudiante parentale et ses besoins spécifiques. Nous profitons de l’occasion pour souligner l’implication de toutes les parties prenantes du projet et les résultats obtenus. »

Étienne Paré, président de l’Union étudiante du Québec 

« Les parents étudiants ont de grandes responsabilités à assumer. Ce financement pour les haltes-garderies sur les campus permettra ainsi à bon nombre d’entre eux de mieux concilier études et vie de famille. En leur offrant un appui de proximité, on leur donne les moyens de poursuivre leur parcours pédagogique sans devoir sacrifier leur rôle de parent. Ce geste reconnaît l’importance de soutenir ceux qui jonglent avec des défis uniques, et il marque un pas vers un environnement d’apprentissage plus inclusif et adaptable à tous. »

Antoine Dervieux, président de la Fédération étudiante collégiale du Québec

Faits saillants :  

  • Les projets retenus sont les suivants :
    • La Procure étudiante de Val d’Or, au Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue, campus Val-d’Or;
    • Le Comité de soutien aux parents étudiants de l’UQAM, Université du Québec à Montréal;
    • L’Association des étudiants hors campus de l’UQTR de Lanaudière, Université du Québec à Trois-Rivières, campus de L’Assomption;
    • La Fédération des associations étudiantes du campus de l’Université de Montréal, Université de Montréal;
    • Le Syndicat des étudiants et étudiantes de Concordia, Université Concordia;
    • L’Association des étudiantes et des étudiants de Laval inscrits aux études supérieures, Université Laval;
    • L’Association générale des étudiantes et étudiants du Cégep de Victoriaville, Cégep de Victoriaville;
    • Le Marchand de livres, Centre d’études collégiales en Charlevoix;
    • L’Association générale des étudiants de l’UQTR, Université du Québec à Trois-Rivières.
  • Un récent appel d’intentions pour permettre la mise en place de nouvelles activités de haltes-garderies en milieux d’enseignement s’est terminé ce vendredi 4 octobre 2024. Le cas échéant, les projets retenus ainsi que le financement accordé seront annoncés dans les prochaines semaines.

Lien connexe :  

Programme de soutien financier aux activités de halte-garderie en milieux d’enseignement

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Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/October2024/07/c8592.html

922 M$ pour la protection de la biodiversité et l’accès à la nature


 Publié le 8 octobre 2024

Le gouvernement du Québec lance aujourd’hui le Plan nature 2030, doté d’un budget record de 922 millions de dollars, afin de protéger la nature et la biodiversité du Québec. C’est ce qu’ont annoncé aujourd’hui le ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région des Laurentides, M. Benoit Charette, en compagnie de la ministre responsable du Sport, du Loisir et du Plein air, Mme Isabelle Charest, et l’adjointe parlementaire (volets protection de l’eau et biodiversité) du ministre Charette et députée d’Argenteuil, Mme Agnès Grondin.

La protection de la nature doit être une responsabilité collective et individuelle. La contribution de tout le Québec est donc essentielle. Ces investissements historiques permettront de concrétiser les engagements en matière de protection de la nature et d’accès à celle-ci qui ont été pris par le gouvernement à l’automne.

  1. Conserver la nature (466,9 M$) : en favorisant un aménagement durable du territoire, en augmentant la superficie des aires protégées dans le sud du Québec, en assurant la restauration et la conservation de milieux naturels, en protégeant les espèces menacées ou vulnérables et en luttant contre les espèces exotiques envahissantes.
  2. Améliorer l’accès à la nature (360 M$) : en adaptant les activités sportives et récréatives pratiquées en nature, tout en améliorant l’accès aux milieux naturels pour l’ensemble de la population.
  3. Se mobiliser pour la nature (95,7 M$) : en visant à ce que toutes les personnes et les organisations contribuent à la protection du riche patrimoine naturel du Québec.

Rappelons que le Plan nature 2030 contribuera à l’atteinte des cibles mondiales au Québec, dont celle visant la conservation de 30 % du territoire. Le Québec respecte par le fait même les engagements du Cadre mondial de la biodiversité de Kunming-Montréal adopté lors de la CdP-15.

Citations :

« Avec ce budget record de près d’un milliard de dollars annoncé aujourd’hui par notre gouvernement, je suis certain que nous serons capables de concrétiser la vision ambitieuse qui est au cœur du Plan nature 2030. Celle d’un Québec où l’on protège, restaure et utilise durablement le patrimoine naturel, de façon à préserver la biodiversité et ses fonctions écologiques, tout en améliorant la qualité de vie de la population en lui offrant un meilleur accès à la nature. C’est une mission de grande envergure. J’invite donc l’ensemble des Québécoises et des Québécois à agir, dès maintenant, afin de préserver notre belle nature, si essentielle à la vie. »

Benoit Charette, ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région des Laurentides

« Le Plan nature 2030 est la réponse du gouvernement du Québec au Cadre mondial de la biodiversité Kunming-Montréal, adopté lors de la CdP-15 au Québec en 2022. Ce plan vise à mobiliser l’ensemble des parties prenantes autour des enjeux de conservation de la nature, en soutenant notamment plusieurs initiatives internationales. Alors que la communauté internationale se réunira prochainement à Cali, en Colombie, dans le cadre de la CdP-16, le Québec peut être fier d’être l’un des premiers gouvernements infranationaux à avoir lancé son plan d’action permettant d’appuyer la mise en œuvre des cibles internationales de la Convention sur la diversité biologique. »

Martine Biron, ministre des Relations internationales et de la Francophonie et ministre responsable de la Condition féminine

« Le Plan nature 2030 est la plus ambitieuse politique-cadre portée par le Québec, à ce jour, en matière de conservation de la biodiversité. C’est aussi un important levier pour améliorer l’accès à la nature, qui est un lieu privilégié pour la pratique de plusieurs activités récréatives. Je suis ravie des mesures et des actions qui seront déployées dans les prochaines années, grâce au budget colossal de près d’un milliard de dollars investi par mon gouvernement. Cet investissement permettra de favoriser un accès plus durable, juste et équitable à notre belle et riche nature. Par exemple, nous souhaitons que l’ensemble des Québécoises et des Québécois puisse davantage profiter de ses bienfaits par l’entremise de sites d’exception comme nos parcs nationaux, qui sont des outils uniques pour la protéger, la faire connaître et la mettre en valeur. »

Isabelle Charest, ministre responsable du Sport, du Loisir et du Plein air

 « Avec la collaboration du Regroupement national des conseils régionaux de l’environnement du Québec et de son réseau, le gouvernement du Québec dépose un Plan Nature 2030 vivifiant. La contribution de la société civile à l’élaboration de ce plan, dans les 17 régions du Québec, a été éloquente. Je salue sincèrement cette mobilisation. En plus de viser à conserver plus activement la biodiversité sur notre territoire et à atteindre la majorité des cibles mondiales d’ici 2030, c’est aussi une occasion de reconnaître pleinement la contribution des Premières Nations et des Inuit à la préservation de la nature. J’invite l’ensemble des Québécoises et des Québécois à se mobiliser pour la nature et à contribuer à la réussite de ce plan. »

Agnès Grondin, adjointe parlementaire du ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (volets protection de l’eau et biodiversité), présidente du Forum d’action sur l’eau et députée d’Argenteuil 

Faits saillants :

  • Le Plan nature 2030 est le résultat d’un vaste chantier de réflexion auquel l’ensemble des Québécoises et des Québécois a été invité à participer dans la dernière année et demie.
  • Organisées avec le soutien du Regroupement national des conseils régionaux de l’environnement du Québec et de son réseau, les consultations de la société civile ont pris la forme d’un rendez-vous national, suivi de rencontres régionales auxquelles ont pris part plus de 1 100 personnes et organisations provenant de différents secteurs (agricole, municipal, finances et économie, recherche, sports et loisirs, etc.), partout à travers le Québec.
  • Reconnaissant le rôle essentiel et particulier des Premières Nations et Inuit dans la conservation de la biodiversité, le gouvernement du Québec les a également consultés à quatre reprises dans la dernière année et demie, la plus récente consultation ayant eu lieu en juin 2024.

Lien connexe :

Pour en finir avec le fléau du partage d’images intimes sans consentement


 Publié le 4 octobre 2024

e ministre de la Justice et procureur général du Québec, M. Simon Jolin-Barrette, annonce le dépôt du projet de loi no 73, Loi visant à contrer le partage sans consentement d’images intimes et à améliorer la protection et le soutien en matière civile des personnes victimes de violence.

Ce projet de loi se décline en trois mesures phares :

– Une meilleure protection des personnes victimes en cas de partage d’images intimes sans consentement

Un processus simple sera créé pour empêcher ou faire cesser rapidement le partage d’une image intime sans consentement. Toute personne ou toute compagnie, notamment un intermédiaire Internet, qui ne respecterait pas une ordonnance visant le retrait d’une image intime s’exposerait à des amendes pouvant aller de 500 $ à 50 000 $ par jour.

– Une ordonnance civile de protection renforcée

La demande d’ordonnance civile de protection sera facilitée, notamment pour les personnes victimes de violence familiale, conjugale ou sexuelle. Par ailleurs, le non-respect de l’ordonnance deviendra une infraction criminelle. Ainsi, si le contrevenant ne respecte pas l’ordonnance, la personne victime pourra désormais porter plainte à la police qui assurera le suivi nécessaire plutôt que de devoir entreprendre un recours en outrage au tribunal, qui peut s’avérer long et coûteux.

– Un meilleur accompagnement des personnes victimes de violence sexuelle ou conjugale en matière civile (y compris en matière familiale)

Les personnes victimes en matière civile pourront bénéficier d’un meilleur soutien. À l’instar des mesures en vigueur dans le cadre du tribunal spécialisé, le témoignage à distance et l’accompagnement en salle de cour par une personne de confiance ou un chien de soutien seront facilités. L’offre de formation sur les réalités de la violence sexuelle, familiale ou conjugale sera également élargie aux intervenants qui agissent auprès des personnes victimes en matière civile. L’adresse du domicile de la personne victime n’apparaîtra plus sur les documents du dossier judiciaire auxquels l’auteur de violence pourra accéder.

Citation

« Le système de justice ne doit jamais être un fardeau pour les personnes victimes. Il doit être un outil. Le partage d’images intimes sans consentement est un fléau. Il suffit d’un texto pour briser quelqu’un. Dans ce type de dossiers, c’est une course contre la montre. Le processus que nous créons permettra d’intervenir beaucoup plus rapidement. Par ce projet de loi, nous visons également à mieux protéger les personnes victimes et à nous assurer qu’elles sont les premières considérées, que ce soit en matière criminelle ou en matière civile. Aujourd’hui, nous franchissons une nouvelle étape vers un système de justice plus efficace, plus accessible et par-dessous tout plus humain. »

Simon Jolin-Barrette, ministre de la Justice et procureur général du Québec

Liens connexes

Pour consulter les détails sur le projet de loi:

Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/October2024/03/c8630.html

Jean Boulet veut améliorer la qualité des constructions


 Publié le 2 octobre 2024

Le ministre du Travail et ministre responsable de la région de la Mauricie, de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec, Jean Boulet, a déposé aujourd’hui à l’Assemblée nationale le projet de loi no 76, Loi visant principalement à accroître la qualité de la construction et la sécurité du public

Ce projet de loi comprend quatre grands objectifs qui augmenteront la qualité des constructions, la protection du public, la qualification des entrepreneurs et la productivité.

Pour y parvenir, le projet de loi propose d’introduire des inspections obligatoires pour les nouveaux bâtiments. Les entrepreneurs devront faire inspecter leurs travaux à au moins trois étapes clés de la construction, selon un plan de surveillance de chantier. Ils devront aussi obtenir une attestation de conformité au Code de construction ou aux normes de construction adoptées par une municipalité.

Le projet de loi propose également d’ajouter une formation initiale obligatoire comme condition préalable à l’obtention d’une licence d’entrepreneur.

De plus, un régime de sanctions administratives pécuniaires serait mis en place pour favoriser un retour plus rapide à la conformité en lien avec des manquements à la Loi sur le bâtiment et à ses règlements.

Ce faisant, le gouvernement souhaite augmenter la productivité dans l’industrie de la construction et ainsi accroître la qualité de notre patrimoine bâti.

Citations

« La construction, c’est une activité énorme qui est au service de notre société. C’est plus de 66 milliards de dollars d’investissements en 2023. Cela représente 53 000 détenteurs de licence au Québec. Depuis 2022, notre gouvernement s’est donné l’objectif ambitieux de moderniser l’industrie de la construction. Ce projet de loi s’inscrit dans cette volonté. Avec la réforme de la loi R-20, nous visions à construire plus. Avec ce nouveau projet de loi, on veut se donner les outils pour construire mieux. Il est indéniable qu’en améliorant la qualité de la construction au Québec, nous éviterons de nombreux drames humains tout en favorisant la durabilité de notre patrimoine bâti. »

Jean Boulet, ministre du Travail et ministre responsable de la région de la Mauricie, de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec

Faits saillants

  • En 2019-2020, 42 % des inspections effectuées par la Régie du bâtiment du Québec avaient permis de déceler au moins une non-conformité. L’an dernier, ce nombre a augmenté à 59 %. Il s’agit d’une hausse de 40,5 %.
  • Selon Garantie de construction résidentielle, qui est l’administrateur du Plan de garantie des bâtiments résidentiels neufs, il est de huit à quinze fois plus coûteux de reprendre des travaux mal exécutés lors de la construction initiale d’un bâtiment que de bien les faire dès le début.

Cision Consulter le contenu original : https://www.newswire.ca/fr/news-releases/modernisation-de-l-industrie-de-la-construction-jean-boulet-veut-ameliorer-la-qualite-des-constructions-815621639.html

Le ministre Drainville annonce plus d’aide en français pour les élèves du Québec


 Publié le 30 septembre 2024

Le ministre de l’Éducation, M. Bernard Drainville, a annoncé aujourd’hui la création de nouveaux services pour soutenir les élèves dans l’apprentissage du français. Concrètement, une aide financière de plus de 54 millions de dollars est accordée à Alloprof pour la période de 2024-2025 à 2026-2027, aux fins de la mise en place de la nouvelle plateforme Allofrançais. Cette plateforme sera complémentaire au travail réalisé en classe par le personnel enseignant auprès de nos élèves.

La plateforme est accessible dès aujourd’hui à partir du lien allofrancais.ca pour répondre aux besoins immédiats des élèves, des parents et du personnel scolaire. Des contenus sont donc déjà disponibles, mais le projet vise à en développer et en créer de nouveaux en continu jusqu’en 2027. Il s’agit notamment de fiches, de vidéos et de jeux éducatifs qui seront accessibles à tous les élèves du primaire et du secondaire sur Allofrançais. Par la suite, au cours de l’année scolaire 2025-2026, la plateforme offrira de nouveaux services pour un soutien plus efficace. En effet, des parcours intelligents, personnalisés et adaptés aux difficultés des élèves seront déployés. Ils comprendront, entre autres, des activités et des jeux vidéo, et s’adapteront en temps réel à la progression des jeunes. Du soutien individualisé sera également offert par l’intermédiaire de services de tutorat donnés par des enseignants. Les élèves auront droit à des rendez-vous de suivi pour permettre un meilleur encadrement.

Ces nouveaux services visent à offrir plus de soutien aux élèves en dehors des heures de classe. Comme la maîtrise du français est à la base des apprentissages, le gouvernement s’est engagé à bonifier l’offre de services d’aide aux élèves afin qu’ils atteignent la réussite éducative. Cette annonce est ainsi un geste de plus que nous posons pour eux, mais aussi pour leurs parents afin de les soutenir dans la réussite éducative.

Citations :

« Il est essentiel de fournir tous les outils à nos jeunes pour qu’ils maîtrisent bien le français. Je suis donc très content de l’annonce d’aujourd’hui qui va permettre de leur offrir plus de services pour compléter leurs apprentissages en classe. Cette mesure s’ajoute aux autres déjà en place, notamment la révision du programme de français. L’organisme Alloprof permettra aux élèves, à leurs parents et au personnel enseignant d’accéder à une solution supplémentaire en matière d’apprentissage du français. Je tiens à le remercier pour sa collaboration et son travail. Il joue un rôle important dans la réussite éducative de nos élèves. »

Bernard Drainville, ministre de l’Éducation

« Avec Allofrançais, nous nous donnons les moyens d’offrir un soutien scolaire encore plus efficace et plus personnalisé à tous les élèves du Québec pour favoriser leur réussite en français. Grâce à l’élaboration d’outils technologiques inédits, à notre expertise pédagogique et à l’appui de notre équipe de professeurs, nous renforçons le filet de sécurité autour de l’élève en lui donnant l’aide supplémentaire dont il a besoin pour surmonter ses difficultés en français et lui permettre de réussir son parcours scolaire. »

Sandrine Faust, cofondatrice et directrice générale d’Alloprof

Faits saillants :

  • Cette nouvelle initiative fait partie de mesures contribuant à valoriser l’enseignement du français dans nos écoles. En avril 2023, le gouvernement a fait de la lecture une priorité en annonçant l’attribution d’une somme annuelle de 300 $ par enseignante et enseignant pour garnir les bibliothèques de classes de livres québécois. Au total, 55,6 millions de dollars seront investis dans la mesure Rehausser le niveau de littératie et de numératie dans nos écoles — Soutenir l’accès aux livres québécois d’ici l’année 2027-2028, pour l’achat d’environ 18 livres de plus par classe, par année.
  • Rappelons également que le 9 janvier dernier, le ministre de l’Éducation annonçait un plan de rattrapage scolaire dans le but de donner aux élèves tous les moyens nécessaires pour favoriser leur réussite éducative. Les différentes mesures, telles que le tutorat, permettront d’aider les élèves qui en ont besoin et particulièrement ceux qui sont en difficulté, en français notamment.
  • Le ministre de l’Éducation s’est aussi engagé à actualiser le programme de français, langue d’enseignement, au primaire et au secondaire. Le programme d’études sera implanté comme projet-pilote lors de la rentrée scolaire 2025-2026 et sera ensuite mis en œuvre dès septembre 2026 dans toutes les écoles.
  • Le Budget 2023-2024 accorde plus de 400 millions de dollars sur cinq ans pour notamment rehausser le niveau de littératie des jeunes grâce à différentes actions visant à renforcer leurs compétences en français.

Liens connexes :

Pour découvrir la nouvelle plateforme et accéder aux ressources offertes :
https://allofrancais.ca/ 
https://www.alloprof.qc.ca/  

Pour en savoir plus sur les activités du ministère de l’Éducation, suivez-le sur les médias sociaux :
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