175 M$ pour l’accessibilité aux activités sportives et récréatives


 Publié le 21 juin 2022
 

Dans la foulée du premier appel de projets du nouveau Programme de soutien aux installations sportives et récréatives scolaires et d’enseignement supérieur (PSISRSES), la ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine, Mme Isabelle Charest, a dévoilé aujourd’hui les projets retenus. Au total, 81 projets seront réalisés grâce à un investissement de près de 175 millions pour améliorer l’offre d’infrastructures récréatives et sportives en milieu scolaire, qui bénéficiera aussi à toute la population.

Grâce à ce nouveau programme, plusieurs établissements scolaires et d’enseignement supérieur pourront rénover ou construire des infrastructures sportives et récréatives afin d’en assurer l’accessibilité à l’ensemble de la population. En effet, l’une des conditions d’admissibilité au programme est de rendre accessibles, dans un premier temps, les infrastructures à la clientèle des réseaux de l’éducation et de l’enseignement supérieur pour ensuite les mettre à la disposition des citoyennes et citoyens pendant les plages horaires qui ne sont pas utilisées par les établissements scolaires et d’enseignement supérieur.

« Depuis mon arrivée en poste, une de mes priorités est de favoriser l’accessibilité aux activités sportives et récréatives pour toute la population, et cela passe notamment par la présence d’infrastructures de qualité, à proximité. On sait que les besoins dans les écoles secondaires et les établissements d’enseignement supérieur sont grands. Ce programme a été créé pour répondre aux défis auxquels fait face le réseau scolaire et contribuera à pourvoir aux besoins d’une clientèle en forte croissance. Depuis mon arrivée en poste, près de 800 millions de dollars ont été investis pour construire ou rénover plus de 1 000 infrastructures de sport, de loisir ou de plein air. Ces 81 nouveaux projets permettront d’étendre encore plus l’offre de service, au bénéfice de la population. »

Isabelle Charest, ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine

Faits saillants :

  • Le Programme de soutien aux infrastructures sportives et récréatives scolaires et d’enseignement supérieur relève du Fonds pour le développement du sport et de l’activité physique.
  • Ce programme est distinct du Programme de soutien aux infrastructures sportives et récréatives de petite envergure et du Programme de soutien aux installations sportives et récréatives. Il s’adresse expressément aux milieux scolaires et de l’enseignement supérieur et a pour objectif d’améliorer le réseau des infrastructures sportives scolaires.
  • Pour être admissibles, les infrastructures devaient notamment :
    • être un terrain sportif, un bâtiment ou un équipement non amovible nécessaires au déroulement d’activités physiques et sportives dans les sphères de l’initiation, de la récréation et de la compétition;
    • être destinées dans un premier temps à l’utilisation par la clientèle des réseaux de l’éducation et de l’enseignement supérieur et accessibles au public pendant certaines plages horaires.
  • Les travaux et interventions admissibles sont la rénovation, la mise aux normes, l’aménagement et la construction.
  • L’aide financière maximale pour un projet est de 5 millions de dollars.

Liens connexes :

Au Québec on bouge! :

https://www.facebook.com/auqconbouge/

Ministère de l’Éducation :

https://www.facebook.com/quebeceducation 
https://twitter.com/EducationQC 
https://www.linkedin.com/company/339645 
https://www.youtube.com/channel/UCgcPCv5VQhsAY3vNNoH6Zrw 

Secrétariat à la Condition féminine :

https://www.facebook.com/ConditionFeminineQc 
https://www.youtube.com/channel/UCoMdtXs_Fw9o_8ASqKGTNew 

Création d’un nouveau centre d’accès aux données


 Publié le 20 juin 2022
 

Le gouvernement reconnaît le grand potentiel scientifique des informations détenues par les ministères et organismes. La richesse de ces données peut être mise en valeur par les chercheurs du domaine public afin de faire avancer les connaissances scientifiques. C’est pourquoi le ministre des Finances, M. Eric Girard, et le ministre de la Santé et des Services sociaux, M. Christian Dubé, annoncent aujourd’hui deux nouveautés, soit :

  • l’implantation d’un nouveau centre d’accès aux données au CHU Sainte-Justine, qui permettra aux chercheurs d’accéder aux données de certains ministères et organismes dans un environnement hautement sécurisé;
  • l’adoption de décrets gouvernementaux qui permettront de traiter plus rapidement les demandes des chercheurs et de faciliter l’accès aux données des domaines de la santé et de l’éducation.

Depuis plusieurs années, les chercheurs se plaignaient des lourdeurs et des lenteurs administratives dans l’accès à ces données aux fins de recherche. Le gouvernement les a entendus.

En raison de sa longue expérience en matière d’accès aux données et de protection des renseignements personnels, l’Institut de la statistique du Québec a été mandaté pour mettre sur pied un service multisectoriel, efficace et sécuritaire d’accès aux données pour la recherche.

Concrètement, ce service, conjugué à l’adoption des décrets, permettra aux chercheurs :

  • d’avoir une porte d’entrée pour présenter leur demande d’accès aux données de certains ministères et organismes à l’Institut de la statistique du Québec. Auparavant, ils devaient frapper à la porte de chaque ministère et organisme et obtenir l’approbation de la Commission d’accès à l’information, ce qui pouvait entraîner des délais de deux à trois ans avant l’obtention des renseignements;
  • d’avoir accès à différentes banques de données du ministère de la Santé et des Services sociaux, de la Régie de l’assurance maladie du Québec, et des ministères de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, directement par l’entremise de l’Institut. Des banques de données d’autres ministères et organismes s’ajouteront graduellement.

La capacité de l’Institut de la statistique du Québec de permettre des liens entre les données des différents secteurs contribuera à mieux faire saisir les interactions entre, par exemple, la santé, le revenu et l’éducation, et favorisera une meilleure compréhension de différents phénomènes sociaux.

La protection des renseignements personnels et la sécurité de l’information sont au cœur de cette démarche assurant la confidentialité. De plus, les données rendues accessibles aux chercheurs sont protégées grâce à l’infrastructure hautement sécurisée de l’Institut de la statistique du Québec, et ce, à partir du dépôt de la demande jusqu’à la production des résultats.

« La recherche dans toutes les sphères d’activité est essentielle pour faire avancer la société, et c’est particulièrement vrai dans le secteur de la santé et de l’éducation. Je suis convaincu que les chercheurs sauront mettre en valeur la richesse des données gouvernementales plus accessibles afin de faire avancer nos connaissances scientifiques et de mettre en place de bonnes politiques publiques. »

Eric Girard, ministre des Finances du Québec

« Nous avons la chance au Québec de pouvoir compter sur plusieurs chercheurs de très haut niveau dans le secteur de la santé qui, en plus de mettre leur expertise au service de notre population, nous font rayonner à l’international. Nous devons tout mettre en œuvre pour leur faciliter la tâche et leur éviter d’être ralentis par la lourdeur bureaucratique. »

Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux

« L’annonce d’aujourd’hui nous permettra d’ouvrir un sixième centre d’accès aux données de recherche, le premier en milieu de recherche hospitalier, et donc de contribuer toujours plus à l’avancement des connaissances scientifiques au Québec. »

Simon Bergeron, statisticien en chef, Institut de la statistique du Québec

« Une meilleure accessibilité aux données gouvernementales et l’implantation, en nos murs, du tout premier centre d’accès aux données en centre hospitalier faciliteront et accéléreront le travail de nos équipes de recherche. L’intégration de ces données gouvernementales à celles générées par nos équipes cliniques et de recherche contribuera à développer une véritable santé de précision qui impactera non seulement le diagnostic et la prise en charge des maladies, mais aussi les trajectoires de santé dans les communautés, afin de créer un avenir en santé pour les enfants et les femmes de l’ensemble du Québec. »

Dr Jacques L. Michaud, directeur du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine

150 M$ pour moderniser les parcs routiers


 Publié le 20 juin 2022
 

Afin de bonifier l’offre de services destinée aux usagers de la route, le gouvernement du Québec dévoile son Plan de modernisation des parcs routiers. Le ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel, en a fait l’annonce aujourd’hui à Montréal. Ce plan représente un investissement total de 150 M$.

La modernisation du réseau des parcs routiers, y compris la reconnaissance de plusieurs nouveaux villages-relais, consiste à reconstruire et à rajeunir les haltes routières qui sont devenues désuètes avec le temps et qui ne répondent plus aux besoins des usagers. Cela permettra d’accroître la sécurité des conducteurs en les incitant à faire des pauses plus fréquentes afin de contrer la distraction et les effets de la fatigue au volant et ainsi de réduire les risques d’accident. Le plan prévoit entre autres :

  • de procurer aux usagers de la route des sites d’arrêt sécuritaires et accessibles 24 heures sur 24, 7 jours sur 7;
  • d’assurer la pérennité du transport interprovincial de marchandises en proposant des sites d’arrêt facilement accessibles aux conducteurs de véhicules lourds;
  • d’offrir des services de qualité adaptés aux milieux ainsi qu’aux besoins des différents usagers de la route, tant les familles, les vacanciers et les personnes à mobilité réduite que les conducteurs de véhicules lourds;
  • de doter le réseau québécois de parcs routiers d’infrastructures modernes, attrayantes et accueillantes.

Citations

« Notre gouvernement a la volonté d’offrir aux usagers de la route des emplacements plus modernes et des services actualisés, comme l’accès à des bornes de recharge pour voitures électriques, des espaces de stationnement réservés aux véhicules lourds ainsi qu’une zone Wi-Fi. On va se le dire, les vieilles haltes routières sont désuètes et il est plus que temps de les moderniser. Je suis particulièrement fier de ce plan de modernisation quand je pense aux familles, aux camionneurs ainsi qu’aux personnes à mobilité réduite qui auront accès à des endroits beaucoup plus conviviaux pour effectuer des arrêts en toute sécurité. »

François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie

« Je suis très heureuse de cette annonce concernant la modernisation des parcs routiers puisqu’elle favorisera grandement le développement du tourisme dans nos régions. Les « cabanes brunes » sur nos autoroutes seront remplacées par des bâtiments modernes, sécuritaires et attrayants, au bénéfice des citoyennes et des citoyens du Québec ainsi que des touristes locaux et internationaux. Les visiteurs pourront ainsi profiter de haltes routières accueillantes offrant tous les services dont ils ont besoin. »

Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable des régions de Lanaudière et du Bas-Saint-Laurent

Faits saillants

  • Le réseau des parcs routiers est composé des haltes routières régulières et saisonnières, des aires de service, des villages-relais, des belvédères ainsi que des aires de repos pour conducteurs de véhicules lourds.
  • Les axes priorisés dans le cadre du plan de modernisation sont les suivants :
    • Frontalier (A-15 et A-55)
      Zones frontalières du Québec avec les provinces et les États-Unis.
    • Périurbain (A-20 et A-50)
      Périphérie des grandes agglomérations urbaines de Montréal, de Québec et de Gatineau.
    • Autoroutier (A-20)
      Maintien et modernisation des haltes existantes situées tous les 100 kilomètres ou après chaque heure de déplacement.
    • Rural (haltes routières saisonnières et villages-relais)
      Routes nationales ou régionales stratégiques, ou routes touristiques reconnues se caractérisant par une succession de municipalités pouvant offrir (ou offrant déjà) des services pour les usagers de la route.
    • Lieux isolés (R-117 et R-389)
      Réserves, parcs ou certains secteurs très éloignés des régions périphériques où les services sont manquants.
  • La modernisation s’échelonnera de 2022 à 2027.
  • L’investissement total pour la modernisation de l’ensemble des haltes routières est divisé selon les axes d’intervention suivants :
    • frontalier, autoroutier et périurbain : 110 M$;
    • liens uniques en milieux ruraux ou isolés : 32 M$;
    • villages-relais : 8 M$.
  • Le plan de modernisation a été élaboré à partir de consultations avec plusieurs partenaires, dont la Fédération des Villages-relais, les municipalités, les communautés autochtones locales, les associations de camionnage, le Circuit électrique d’Hydro-Québec, l’organisme Kéroul, les associations touristiques régionales, le Secrétariat aux affaires autochtones, le ministère de la Culture et des Communications, le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques ainsi que le ministère du Tourisme.
  • À ce jour, la halte routière de Villeroy ainsi que l’aire de service du Point-du-Jour, à Lavaltrie, ont été modernisées et sont maintenant accessibles aux usagers de la route.

Liens connexes

Québec 511 

Haltes routières et villages-relais 

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Achat local : Le Panier bleu transactionnel


 Publié le 20 juin 2022
 

Le ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional, M. Pierre Fitzgibbon, confirme l’attribution, par l’entremise d’Investissement Québec, d’une contribution financière totale de 12 millions de dollars sous la forme d’une souscription à des actions de la société Plateforme Agora, propriétaire du site lepanierbleu.ca. Les autres partenaires sont Desjardins, Lightspeed et le Fonds de solidarité FTQ.

Lepanierbleu.ca  fera office de place de marché numérique permettant aux entreprises de vendre leurs produits en ligne via une plateforme transactionnelle qui constituera la référence pour repérer des commerçants québécois. La plateforme, actuellement en version bêta , sera accessible au grand public cet automne. Les commerçants québécois peuvent s’inscrire dès maintenant afin d’y offrir leurs produits. Une démarche de recrutement sera aussi réalisée auprès d’eux.

Le principal objectif de ce projet? Rendre les commerçants et les détaillants québécois plus concurrentiels dans le contexte d’une économie numérique mondialisée. Le coût d’implantation et de développement de la place de marché numérique est estimé à 22 millions de dollars. Il comprend notamment l’opérationnalisation du site panierbleu.ca, l’accompagnement des détaillants québécois dans leur transformation numérique et la poursuite de la promotion de l’achat local. 

L’achat québécois constitue une pièce maîtresse d’Une vision économique ambitieuse – un Québec qui gagne, document dans lequel le gouvernement propose une vision innovante pour l’économie du Québec. Il est nécessaire de poursuivre les efforts afin de soutenir les entreprises québécoises et leurs produits.

« Avec un Panier Bleu transactionnel, on répond à la demande croissante des Québécois qui souhaitent acheter local. Depuis les deux dernières années, les équipes ont travaillé fort, et on arrive aujourd’hui à un site transactionnel qui outille tant les consommateurs que les commerçants. Avec cette nouvelle mouture, je suis convaincu que le Panier Bleu fera partie du quotidien de plus en plus de Québécois. »

Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional

Faits saillants :

  • L’annonce d’aujourd’hui s’inscrit dans la continuité des actions découlant d’une vaste consultation organisée en 2020 à travers huit chantiers de réflexion qui visaient à cerner les enjeux entourant le commerce de détail et à proposer des solutions concrètes afin de dynamiser ce secteur.
  • Parmi ces actions, rappelons le lancement, en novembre 2021, de la campagne Achetons québécois ainsi que la création, en avril 2022, de la nouvelle famille de marques de certification Les Produits du Québec, afin de faciliter le repérage et l’achat des produits québécois.

Ministère de l’Économie et de l’Innovation sur les réseaux sociaux :

De nouvelles aires protégées dans le sud du Québec


 Publié le 17 juin 2022
 

Le gouvernement du Québec entend ajouter près de 2 000 km2 au réseau d’aires protégées québécois, en grande majorité dans le sud du Québec, ce qui équivaudrait à plus de quatre fois la superficie de l’île de Montréal, en annonçant son intention de mettre en réserve 11 nouveaux territoires. Ces territoires ont été choisis à l’issue de travaux de concertation régionale et autochtone réalisés par le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques.

C’est ce qu’a tenu à souligner, ce vendredi, le ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval, M. Benoit Charette.

Depuis janvier 2022, c’est un gain de plus de 2 500 km2 pour le réseau d’aires protégées qui a été annoncé par le ministre Charette. En effet, le gouvernement du Québec a récemment mis en réserve, officiellement, des territoires dont il avait annoncé la mise en réserve plus tôt cette année, dont Rivière-Péribonka.

Rappelons que le ministre Charette a indiqué, le 3 juin dernier, qu’il comptait mettre en réserve un vaste territoire dans le secteur de la rivière Péribonka, près de la municipalité de Lamarche, au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Sa proposition a été entérinée par le Conseil des ministres il y a deux jours. Afin de préciser certaines modalités, dont la délimitation fine du territoire, le statut de protection qui y sera appliqué, les aspects entourant la gestion et la mise en valeur du territoire ainsi que les principaux objectifs du plan de conservation, le ministre a aussi mis sur pied un comité composé des principaux acteurs régionaux concernés.

Par ailleurs, le Québec s’est déclaré lié aux objectifs internationaux qui devraient être fixés prochainement par les parties à la Convention mondiale sur la diversité biologique des Nations Unies à l’égard de la décennie 2020-2030. Le Québec se dotera de nouvelles cibles à la lumière de ces objectifs.

Nouveaux territoires que le gouvernement a l’intention de mettre en réserveRégion Gain en superficie protégée (approx.)
1.    Agrandissement de la réserve de biodiversité projetée des Basses-Collines-du-Ruisseau-SerpentAbitibi-Témiscamingue 73 km2
2.    Agrandissement de la réserve de biodiversité projetée de la Rivière-DumoineAbitibi-Témiscamingue/Outaouais313 km2
3.    Rivières-Noire-et-CoulongeOutaouais822 km2
4.    Rivière-CausapscalBas-Saint-Laurent 74 km2
5.    Duchénier90 km2
6.    Rivière-CascapédiaBas-Saint-Laurent/Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine347 km2
7.    Mont-Saint-PierreGaspésie-Îles-de-la-Madeleine5 km2
8.    Seigneurie-de-JolyChaudière-Appalaches 11 km2
9.    Notre-Dame4 km2
10.  Agrandissement de la réserve de biodiversité projetée de la Vallée-de-la-Rivière-GodboutCôte-Nord 209 km2
11.   Agrandissement de la réserve de biodiversité projetée du Brûlis-du-Lac-Frégate18 km2
Territoires officiellement mis en réserve 
(annonce du 17 février 2022)
Région 
1.      Archipel-des-Sept-Îles Côte-Nord 
2.      Sept-Chutes Lanaudière 
3.      Basilières-Kaël 
4.      Raimbault-Piton 
5.      Agrandissement de la réserve de biodiversité projetée de la Montagne-du-Diable Laurentides  
6.      Agrandissement de la réserve de biodiversité projetée des Buttes-du-Lac-Montjoie 
7.      Agrandissement de la réserve de biodiversité projetée du Mont-Sainte-Marie Laurentides-Outaouais 
8.      Agrandissement de la réserve de biodiversité projetée du Mont-O’Brien Outaouais 
9.      Agrandissement de la réserve de biodiversité projetée du Domaine-La-Vérendrye + Secteur lac Byrd

« La création d’aires protégées est encore l’un des meilleurs outils pour favoriser la conservation de la nature à long terme ainsi que l’adaptation des espèces et des écosystèmes aux changements climatiques. L’atteinte de la cible de 17 % d’aires protégées en milieu terrestre et d’eau douce en décembre 2020 ne constituait pas la fin de nos efforts en ce sens. Je suis fier des mises en réserve annoncées récemment, qui nous permettent de bien positionner le Québec à l’égard des futures cibles internationales d’aires protégées, qui seront définies plus tard cette année, et grâce auxquelles, plus généralement, nous pourrons limiter la perte de biodiversité. »  

Benoit Charette, ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval  

« Je tiens à souligner tout le travail et l’implication des différentes parties prenantes afin d’en arriver à ces projets d’aires protégées. Nous sommes à même de constater que lorsqu’il s’agit de la protection de la biodiversité, il est possible de trouver des consensus. »

Pierre Dufour, ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs, ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec

Faits saillants :

  • Le choix des 11 nouveaux territoires visés par une mise en réserve est le fruit de plusieurs années de concertation entre les différents acteurs régionaux impliqués dans ces projets et avec les autres ministères concernés.
  • Cependant, la délimitation et la superficie totale des nouveaux territoires annoncés sont encore approximatives et elles pourraient être modifiées. 
  • Avec l’ajout des territoires visés par cette annonce, le réseau d’aires protégées au Québec totaliserait environ 260 893 km2 en milieux terrestre et d’eau douce, ce qui correspond à 17,25 %. En date du 31 décembre 2020, ce pourcentage s’élevait à 17,08 %, en tenant compte de l’engagement gouvernemental de protéger l’entièreté de l’île d’Anticosti.
  • Le pouvoir de mise en réserve de territoires a été introduit le 19 mars 2021 dans la Loi sur la conservation du patrimoine naturel (LCPN). De façon générale, il permet au gouvernement d’assurer la protection légale de territoires par leur soustraction à de nouvelles activités industrielles de recherche, d’exploitation et de transport des ressources naturelles, et ce, jusqu’à l’octroi d’un statut de protection. En ce qui a trait aux territoires visés par l’annonce d’aujourd’hui, il est prévu que toute nouvelle activité d’exploitation des ressources naturelles y sera interdite.
  • Concernant les autres projets d’aires protégées, ils continuent d’être évalués par le gouvernement du Québec. Ils pourraient s’inscrire dans la poursuite des futures cibles dont se dotera le Québec à la lumière des objectifs internationaux 2021-2030, qui devraient être adoptés cette année. Les nouveaux outils de protection issus des modifications apportées à la LCPN pourraient alors être mis à contribution.  

Lien connexe :

Pour en savoir davantage sur les aires protégées au Québec : www.environnement.gouv.qc.ca/biodiversite/aires_protegees .

Modernisation de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont


 Publié le 16 juin 2022
 

La ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Chantal Rouleau, annonce, au nom du ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, plusieurs projets entourant la modernisation de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont, notamment en cancérologie et en médecine nucléaire. Avec ces projets, le gouvernement du Québec pose un geste supplémentaire en vue de faire de l’est de Montréal un pôle de santé majeur au bénéfice de la population et du rayonnement de la métropole.

Parmi les projets annoncés, mentionnons l’agrandissement du centre de soins ambulatoires en cancérologie, qui permettra de consolider l’offre de services ambulatoires en cancérologie concentrée au Centre de services ambulatoires (CSA) de l’hôpital. Le service de médecine nucléaire bénéficiera également d’une modernisation en vue de s’assurer qu’il demeure une référence et un allié de l’axe d’excellence en cancérologie.

La ministre a également profité de l’occasion pour annoncer que le gouvernement du Québec a confirmé sa participation à la stratégie Urgence d’agir en octroyant une enveloppe exceptionnelle de 24,5 millions $ pour combler le manque à gagner par le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de l’Est-de-l’Île-de-Montréal (CIUSSS). Cette stratégie a été développée pour moderniser les infrastructures vétustes devenues inadéquates et assurer une transition sécuritaire des soins et services dans l’attente de l’ouverture de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont, dont la réfection et l’agrandissement ont été annoncés par le gouvernement du Québec au mois d’août 2021.

« En cancérologie comme dans d’autres secteurs de soins, les besoins sont nombreux et la modernisation des infrastructures est cruciale pour offrir de meilleurs services. Nous nous attaquons à ces projets avec un grand enthousiasme, convaincus qu’ils vont contribuer à faire entrer l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont dans le 21e siècle. C’est le pari que nous faisons, et nous le faisons à grande échelle, en procédant à un renouvellement cohérent des infrastructures de notre réseau, là où sont les besoins les plus criants, de manière adaptée aux besoins concrets de chaque communauté. »

Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux

« Avec l’annonce d’aujourd’hui, c’est un grand pas en avant que nous faisons vers la modernisation de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont. Cet hôpital a tout le potentiel de devenir un pôle de santé majeur pour l’est de Montréal et nous sommes en train de le concrétiser. Les importants projets que nous annonçons vont permettre aux citoyens d’avoir enfin accès à des services de santé modernes qui répondront adéquatement à leurs besoins. C’est là une excellente nouvelle qui nous permet de prendre de l’avance dans le grand chantier de la réfection et de l’agrandissement de cet hôpital. »

Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal

Faits saillants :

Il est à noter qu’Urgence d’agir comporte des projets qui permettront de répondre aux normes dans leur domaine respectif, diminuant ainsi grandement les risques de rupture de services. Parmi les projets qui concernent l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont, notons :

  • la relocalisation de la médecine nucléaire, qui sera réalisée à l’automne 2023;
  • la mise aux normes de l’animalerie, qui sera terminée d’ici le printemps 2023;
  • la transition du secteur mère-enfant, dont les travaux se termineront au printemps prochain;
  • la mise à niveau de l’unité de retraitement des dispositifs médicaux (URDM), qui vient de s’achever;
  • la mise aux normes des laboratoires, qui sera terminée d’ici l’automne 2023;
  • l’ajout de lits de soins critiques, attendu d’ici le début de 2023.

Yves Montigny candidat dans René-Lévesque


 Publié le 15 juin 2022
 

Baie-Comeau, le 15 juin 2022 – Le chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec, François Legault, ainsi que Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, sont fiers d’annoncer aujourd’hui qu’Yves Montigny sera le candidat qui représentera la Coalition Avenir Québec dans la circonscription de René-Lévesque, en vue des élections générales à venir. 

Yves Montigny est né à Baie-Comeau et y gravite depuis toujours. Profondément dédié à cette ville, il en est devenu le maire en 2017 et a été réélu par acclamation en 2021. Reconnu pour avoir su créer un fort lien de proximité avec les gens de la région, il contribue depuis de nombreuses années à l’amélioration de la qualité de vie des citoyens et au développement économique de la circonscription de René-Lévesque. Détenteur d’un baccalauréat en enseignement secondaire / formation de la personne, il s’est consacré au milieu de l’éducation pendant 22 ans, principalement à titre de conseiller pédagogique, avant d’être nommé conseiller municipal de Baie-Comeau et puis maire de la MRC de Manicouagan. 

Très engagé au sein de l’Union des municipalités du Québec, où il agit comme président du comité sur la forêt, il est également vice-président d’Innovation et Développement Manicouagan et président de la Société d’expansion de Baie-Comeau. Il travaille sans relâche au développement de projets porteurs pour la Côte-Nord. Père de famille, il prône des valeurs d’entraide et d’intégrité, et fait de l’implication sociale une priorité. Ainsi, depuis de nombreuses années, Yves Montigny s’investit bénévolement auprès de plusieurs comités et organisations, notamment sur le plan social et culturel. 

« Je tenais à avoir un candidat à votre hauteur pour les prochaines élections. On a trouvé la personne parfaite. Je ne peux pas imaginer un meilleur candidat. Yves, c’est d’abord un gars de la place, un gars de Baie-Comeau. Il est né ici, il a fait toute sa vie ici, et il a beaucoup redonné à sa communauté. Les gens de René-Lévesque peuvent compter sur lui pour continuer de défendre leurs intérêts. J’ai besoin d’Yves à Québec.

J’ai besoin de lui pour porter la voix de la Côte-Nord pour créer plus de richesse chez vous. Je suis convaincu qu’il ferait tout un député.» 

–       François Legault

         Premier ministre et chef de la Coalition Avenir Québec

« C’est avec une grande fierté que je rejoins aujourd’hui les rangs de la Coalition Avenir Québec, avec le désir de pousser encore plus loin mon engagement à servir ma communauté et à propulser le développement de la région. » 

–       Yves Montigny

           Candidat de la Coalition Avenir Québec dans René-Lévesque

Limitation de la hausse de la taxe scolaire


 Publié le 15 juin 2022
 

Afin de contrer l’augmentation du coût de la vie, le gouvernement agit en limitant la hausse de la taxe scolaire en 2022. Le ministre des Finances, M. Eric Girard, annonce que le taux sera diminué de 0,1054 $ à 0,1024 $ par tranche de 100 dollars d’évaluation, ce qui limitera l’augmentation du compte de taxe à un niveau de 2 % à 3 % en moyenne. Le manque à gagner sera comblé par une aide financière annuelle additionnelle de 173 millions de dollars aux centres de services scolaires.

Rappelons que le gouvernement verse déjà chaque année aux centres de services scolaires une subvention de l’ordre de 1,5 milliard de dollars afin de réduire le compte de taxe scolaire des Québécois et de maintenir un taux de taxe unique à travers le Québec.

Sans cette diminution, certains contribuables auraient subi une augmentation moyenne de 17 % de leur compte de taxe scolaire, en raison notamment de la hausse importante des besoins dans le milieu de l’éducation à la suite de la pandémie. 

En place depuis juillet 2020, ce taux unique fluctue chaque année selon le coût des besoins locaux de l’ensemble des centres de services scolaires et la variation de l’assiette des valeurs foncières. L’aide additionnelle de 173 millions de dollars annoncée aujourd’hui portera l’aide gouvernementale pour le financement des besoins locaux à près de 1,7 milliard de dollars.

« Dans le contexte actuel où l’inflation et la hausse des taux d’intérêt touchent déjà durement les familles, nous avons décidé de limiter la hausse de la taxe scolaire afin d’éviter de leur faire assumer un fardeau supplémentaire. Ce geste s’ajoute à nos autres actions pour aider les Québécois à mieux faire face à l’augmentation du coût de la vie. »
Eric Girard, ministre des Finances

Actions majeures pour améliorer les services préhospitaliers d’urgence


 Publié le 14 juin 2022
 

Le ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, accompagné du député de Nicolet-Bécancour, Donald Martel, et du député de Mégantic, François Jacques, annonce aujourd’hui des actions destinées à transformer en profondeur les services préhospitaliers d’urgence (SPU) offerts aux Québécoises et aux Québécois pour les années à venir. Cette transformation majeure passe par l’adoption d’une politique gouvernementale sur les SPU et s’accompagne d’une amélioration notable de la couverture ambulancière, particulièrement en région, cette dernière représentant un investissement supplémentaire de 28,4 millions $.

Présentation de la Politique gouvernementale sur le système préhospitalier d’urgence

La Politique gouvernementale sur le système préhospitalier d’urgence répond à la nécessité d’implanter une culture, une structure et une gouvernance qui placent la personne en détresse au centre des préoccupations, en cohérence avec les principes énoncés dans le cadre du Plan santé présenté il y a quelques semaines . Elle prend appui sur les recommandations de nombreux rapports experts rédigés depuis l’adoption de la Loi sur les services préhospitaliers d’urgence, ainsi que des consultations élargies auprès des partenaires du secteur préhospitalier entre 2019 et 2021.

Soulignons que la politique sera suivie d’un plan d’action gouvernemental qui visera à mettre en place les éléments structurants pour permettre l’atteinte de trois cibles :

  • l’amélioration des services offerts à la population en intégrant un volet parahospitalier au SPU;
  • le développement de l’offre de service du SPU et son intégration au sein du réseau de la santé et des services sociaux;
  • une meilleure utilisation des ressources disponibles dans le SPU afin de contrôler les coûts.

Couverture ambulancière régionale

Le ministre confirme la conversion ou la bonification de 46 horaires de faction dans 11 régions du Québec, pour un montant de 25,9 millions $. Ces améliorations, élaborées pour la première fois en collaboration avec les centres intégrés de santé et de services sociaux (CISSS) et les centres intégrés universitaires de santé et de services sociaux (CIUSSS), permettront d’assurer une meilleure qualité de service à la population, notamment par des délais d’intervention réduits et un déploiement dynamique régional pour optimiser la couverture du territoire.

Pour refléter ces changements annoncés à la desserte ambulancière en zone rurale et de façon à répondre aux préoccupations des communautés locales, un nouveau cadre de gestion sera appliqué pour les services ambulanciers en région. Cette nouvelle orientation ministérielle s’appuie sur une vision décentralisatrice et constitue une première étape pour permettre aux régions d’être pleinement responsables de la couverture ambulancière de leur territoire, en fonction de leur réalité et des besoins de leur population respective.

Le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) s’apprête également à investir un montant de 2,5 millions $ pour offrir 17 000 heures de couverture supplémentaire dans les régions permettant des ajouts de ressources ponctuels selon la demande.

Paramédecine de régulation et mise en place de projets-pilotes de paramédecine communautaire

En vue d’utiliser l’ensemble des compétences des techniciens ambulanciers paramédics (TAP), notamment ceux convertis en horaire à l’heure, le MSSS autorisera, en cohérence avec la vision du Plan santé, la mise en place de la paramédecine de régulation qui vise à permettre, en étroite collaboration avec d’autres professionnels, d’orienter le patient vers le bon soin et le bon professionnel au lieu de systématiquement effectuer un transport aux urgences. De plus, des projets pilotes de paramédecine communautaire seront mis sur pied en respect des limites législatives actuelles. Ces projets permettront aux TAP d’intervenir à domicile auprès des patients pour éviter certaines visites à l’urgence. Parmi les services que pourront fournir les TAP dans ce contexte, mentionnons, entre autres :

  • la vérification des signes vitaux;
  • le suivi de l’adhésion au traitement et à la prise de médication;
  • l’évaluation des besoins, de l’état psychologique, du domicile et des risques de chute, du soutien social, de la nutrition et du suivi de diètes;
  • la prévention et la détection de maladies chroniques chez des clients non connus des services de soutien à domicile ;
  • des prélèvements;
  • du soutien à la prise en charge de sa santé par l’individu.

« Grâce à cette politique, nous venons concrétiser l’engagement pris dans notre Plan santé de moderniser les services préhospitaliers et effectuer un changement de culture en profondeur. Les actions que nous posons aujourd’hui nous permettront d’élargir le champ de pratique des techniciens ambulanciers paramédics en leur donnant plus d’autonomie, en respect de leurs compétences et de l’interdisciplinarité avec les autres intervenants en santé. »

Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux

« Je me réjouis de l’annonce de cet éventail impressionnant de mesures en vue de mieux utiliser les ressources ambulancières, tant sur le plan de la disponibilité que de l’expertise partagée. La taille du territoire québécois constitue un enjeu important en matière de services préhospitaliers d’urgence. Nous pouvons être fiers de transformer ce défi en force pour offrir aux citoyens de meilleurs services, en temps opportun, partout au Québec. »

Donald Martel, député de Nicolet-Bécancour

« Avec une telle restructuration des services ambulanciers à l’échelle du Québec, c’est non seulement un gain en matière d’accessibilité et d’efficacité que nous réalisons, mais aussi en matière d’équité, car les enjeux étaient jusqu’à maintenant tout à fait différents selon la région où l’on réside. Cette amélioration de la couverture ambulancière vient donc combler un besoin réel, tout en incluant une nouvelle organisation de services qui, en plus d’être novatrice, sera bénéfique à l’ensemble des communautés du Québec. »

François Jacques, député de Mégantic

Faits saillants :

  • Avec les 4 millions $ annoncés le 27 mai dernier pour la mise en place d’équipes spécialisées pour les transferts pédiatriques, c’est 32,4 millions $ qui auront été investis pour améliorer les services préhospitaliers d’urgence en région.
  • Plusieurs raisons appuient la nécessité de la mise en place d’une politique gouvernementale structurante, notamment la complexité du système préhospitalier, l’introduction de modifications législatives importantes liées à l’autonomisation et à la professionnalisation des TAP ainsi que la participation populationnelle lors de situations d’urgence.
  • D’autres défis actuels s’ajoutent aux enjeux à considérer, tels que le changement du portrait de la démographie québécoise, l’encombrement des salles d’urgence, le manque de défibrillateurs externes automatisés disponibles sur le territoire, le manque de formation en secourisme au sein de la population et l’augmentation importante des coûts en SPU.
  • Afin de favoriser l’appropriation de la politique par l’ensemble des parties prenantes du préhospitalier, celle-ci sera suivie d’un plan d’action gouvernemental visant à préciser les différents chantiers de sa mise en œuvre et la contribution attendue de chacun des acteurs. Soulignons notamment le rôle que doivent jouer les municipalités en implantant des services de premiers répondants, de même que celui de la population : il est important qu’un maximum de citoyens soient formés en RCR et puissent avoir accès aux défibrillateurs externes automatisés à tout moment.
  • Rappelons d’ailleurs que le ministre Dubé a présenté hier une Stratégie globale de déploiement de 1000 défibrillateurs cardiaques (DEA) pour la population québécoise .
  • Rappelons aussi que les ministres Dubé et Carmant ont annoncé le 27 mai dernier  la mise en place d’équipes spécialisées en transport pédiatrique dans chacun des réseaux universitaires intégrés de santé du Québec. Cette initiative de 4 millions $ permettra de soutenir les équipes des centres hospitaliers référents et d’améliorer la qualité des soins lors de transferts d’enfants gravement malades vers les centres hospitaliers pédiatriques.

Liens connexes :

Pour en savoir davantage sur la Politique gouvernementale sur le système préhospitalier d’urgence , il est possible de consulter la salle de presse du ministère de la Santé et des Services sociaux .

Karine Boivin Roy candidate dans Anjou–Louis-Riel


 Publié le 13 juin 2022
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec, François Legault, ainsi que Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, sont très fiers d’annoncer aujourd’hui que Karine Boivin Roy sera la candidate qui représentera la Coalition Avenir Québec dans la circonscription d’Anjou–Louis-Riel, en vue des élections générales à venir. 

Avocate de formation, Karine Boivin Roy se distingue pour son engagement politique et sa passion à l’égard du service public. Élue conseillère du district Louis-Riel pour l’arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve en 2013, elle a représenté les citoyennes et citoyens du quartier au Conseil de la Ville de Montréal pendant huit ans. Son parcours académique, jumelé à ses nombreuses expériences juridiques et communautaires, lui assurent des compétences inégalées pour servir les électeurs d’Anjou–Louis-Riel, circonscription où elle habite depuis plus de 12 ans. 

Diplômée en droit à l’Université Laval et en anthropologie à l’Université McGill, Karine Boivin Roy a également complété une formation en gérontologie à l’Université de Montréal. Les diverses fonctions qu’elle a occupées en politique municipale dans la circonscription, notamment comme leader parlementaire de l’opposition et comme conseillère associée à l’habitation, lui ont permis d’aiguiser ses connaissances sur les réalités vécues par les résidents du secteur et lui ont permis de développer une grande compréhension des enjeux présents dans Anjou–Louis-Riel. 

« Karine connaît très bien Montréal et encore plus Anjou–Louis-Riel. Elle s’est toujours impliquée dans sa communauté. Elle l’aime d’amour et la connaît comme le fond de sa poche. Je ne peux pas imaginer quelqu’un de mieux placé qu’elle pour défendre à Québec les besoins des citoyens, des familles, des personnes âgées, des gens d’affaires, des organismes et des travailleurs d’Anjou–Louis-Riel. »

–       François Legault

 Premier ministre et chef de la Coalition Avenir Québec

« Gens d’Anjou–Louis-Riel, je tiens à ce que vous sachiez que j’ai l’intention de défendre vos intérêts avec vigueur à l’Assemblée nationale. Je vais continuer d’être la femme de terrain et d’action que j’ai toujours été.» 

–       Karine Boivin Roy

                      Candidate de la Coalition Avenir Québec dans Anjou–LouisRiel