Aide au développement des enfants d’âge préscolaire


 Publié le 2 mai 2019

Pour favoriser la littératie et la numératie chez les enfants d’âge préscolaire, le gouvernement du Québec annonce une aide financière de 400 012 $ dans le cadre du Programme de soutien financier aux initiatives soutenant l’éveil à la lecture, à l’écriture et aux mathématiques.

« Au moment d’entrer à la maternelle, certains enfants n’ont malheureusement pas développé suffisamment d’habiletés en écriture, en lecture et en mathématiques, ce qui les rend plus susceptibles de rencontrer des difficultés durant leur parcours scolaire. Ces activités d’éveil sont donc essentielles pour offrir à tous les enfants la même chance d’acquérir les compétences nécessaires à leur réussite scolaire. Ces projets permettront d’initier les tout-petits à la langue et aux mathématiques dès leur plus jeune âge. Il s’agit d’initiatives concrètes qui contribuent grandement à la réalisation du plein potentiel des enfants du Québec. », a déclaré Mathieu Lacombe, ministre de la Famille.

Le ministre de la Famille, M. Mathieu Lacombe, en a fait l’annonce aujourd’hui. L’aide financière accordée permettra la réalisation de 19 projets dans différentes régions du Québec.

Rappelons que ce programme vise à soutenir financièrement les organismes qui développent de nouveaux projets qui s’adressent aux enfants âgés de 0 à 5 ans et à leurs parents dans le but de les préparer à l’entrée à l’école. Ces projets contribuent ainsi à la réussite éducative des tout-petits.

Fait saillant

  • Le soutien financier accordé ne pouvait excéder 25 000 $ par projet.

Lien connexe

Pour en savoir davantage sur le programme et les projets retenus :

https://www.mfa.gouv.qc.ca/fr/Famille/aide-partenaires/organismes-communautaires/eveil-lecture-ecriture/Pages/index.aspx

Autres liens:

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2705025404

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2705027315

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2705022047

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2705021345

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2705028422

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2705028628

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2705026725

http://www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?aiguillage=ajd&type=1&idArticle=2705025618

Des gestes pour la vitalité économique de la métropole


 Publié le 2 mai 2019

Le gouvernement du Québec a l’intention de maintenir la cadence afin que la région métropolitaine de Montréal puisse continuer à jouer pleinement son rôle de métropole de façon à soutenir la prospérité du Québec.

À l’occasion de l’étude des crédits budgétaires réservés à la région de Montréal, la ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Chantal Rouleau, a rappelé que le budget 2019-2020 comporte une série de mesures structurantes. Des investissements permettront de répondre aux défis dont certains, comme la mobilité et la revitalisation urbaine dans la métropole, sont en lien avec des priorités de notre gouvernement.

« Il y a présentement des enjeux importants dans la région de Montréal qui interpellent notre gouvernement et cela sur tous les plans. Nous devons garder en tête que les gestes que nous posons pour appuyer le développement de la métropole se font et se feront toujours dans l’intérêt du Québec, avec comme dénominateur commun l’amélioration de la qualité de vie de la population. », a déclaré Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal.

Faits saillants

  • Montréal a connu la plus forte croissance économique parmi les villes canadiennes en 2017 et 2018, avec la création de plus de 41 000 emplois dans la région métropolitaine de recensement de Montréal (RMR) et la baisse du taux de chômage, de 8,2 % en 2017 à 7,2 % en 2018 dans la région administrative de Montréal.
  • Dans la foulée de l’Entente-cadre Réflexe Montréal, le gouvernement poursuit ses actions pour soutenir la Ville de Montréal dans son rôle de métropole. Plusieurs ententes sectorielles, assorties de sommes importantes, découlent du Réflexe Montréal.
  • Une des priorités du gouvernement concerne la revitalisation de l’Est de Montréal. Des investissements sont prévus pour améliorer des situations problématiques qui constituent des freins au développement économique. La décontamination des sols permettra la mise en valeur de sites stratégiques à fort potentiel de redéveloppement qui mèneront à la création d’une zone d’innovation dans cette partie de l’île. En matière de transports, la transformation de la rue Notre-Dame en boulevard urbain et la rationalisation des activités de camionnage dans le secteur sont prévues, en plus d’y implanter un système de transport collectif structurant.
  • Le gouvernement du Québec poursuivra ses efforts afin d’assurer des transports efficaces et fluides dans l’ensemble de la région métropolitaine, notamment en soutenant le développement du transport collectif.
  • Ainsi, les travaux entourant le Réseau express métropolitain, le prolongement de la ligne bleue et la mise en place du SRB sur le boulevard Pie IX se poursuivront.
  • Le Plan québécois des infrastructures prévoit notamment la mise à l’étude de deux projets, soit l’implantation d’un mode structurant de transport collectif sur le boulevard Taschereau ainsi que l’implantation d’un mode structurant de transport collectif dans l’axe du prolongement de la ligne jaune du métro.
  • Pour améliorer les milieux de vie, le gouvernement interviendra en matière d’habitation, d’éducation et de main-d’œuvre, des enjeux qui touchent de façon importante la métropole. À titre d’exemple, il injecte des sommes additionnelles dans le programme Accès Logis, dans les infrastructures scolaires et pour favoriser l’intégration des personnes immigrantes au sein des communautés et au marché du travail.
  • Le budget reconduit une enveloppe de 17 M$ pour assurer le fonctionnement du Fonds d’initiative et de rayonnement de la métropole, l’un des principaux outils d’intervention pour soutenir la vitalité économique, sociale et culturelle de la métropole.

10 M$ par année pour le rayonnement de la région de la Capitale-Nationale


 Publié le 2 mai 2019

La vice-première ministre, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, Mme Geneviève Guilbault, est heureuse d’annoncer la mise en œuvre du Programme d’appui aux actions régionales (PAAR), un nouvel outil de développement économique conçu spécialement pour la région de la Capitale-Nationale.

« Il m’apparait incontournable de préciser que ces fonds dédiés au développement économique de notre région n’ont jamais été indexés depuis les 15 dernières années. Avec ce nouveau programme, notre gouvernement démontre une fois de plus que le développement de la grande région de la Capitale-Nationale, qui s’étend de Portneuf à Charlevoix, est une priorité pour nous. Enfin, nous aurons tous les outils en main pour répondre efficacement aux multiples enjeux de la région sur les plans économique, touristique, culturel et social. C’est l’occasion de voir plus loin et d’innover ! », a déclaré Geneviève Guilbault, vice-première ministre, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale.

Ce nouveau programme, géré par le Secrétariat à la Capitale-Nationale, vient remplacer le Fonds de développement économique de la région de la Capitale-Nationale. Il disposera d’une enveloppe de 21 M$ additionnels sur 5 ans, soit une augmentation annuelle considérable de 4,3 M$, près du double du budget consacré lors des années antérieures.

Le PAAR veut faciliter la réalisation de projets qui favoriseront l’attractivité, la vitalité des communautés ainsi que le rayonnement de la région de la Capitale-Nationale, tout en contribuant à son positionnement concurrentiel. Il s’adresse, entre autres, aux organismes à but non lucratif, aux municipalités et municipalités régionales de comté, à la Communauté métropolitaine de Québec et aux conseils de bande de communautés autochtones.

Faits saillants :

  • Le programme s’articule autour de trois axes :
  • Soutenir les événements culturels, touristiques et sportifs;
  • Dynamiser les territoires tout en favorisant la vitalité des communautés dans une perspective de développement durable;
  • Cibler les enjeux spécifiques de la région de la Capitale-Nationale et y répondre.
  • Contribuer au positionnement concurrentiel de la Capitale-Nationale, favoriser la tenue d’événements d’envergure, inciter les gens à s’y établir, ou encore d’y séjourner à des fins touristiques sont parmi les objectifs du PAAR.
  • Le Secrétariat à la Capitale-Nationale assure le lien entre les partenaires locaux, régionaux et gouvernementaux en agissant en concertation avec ceux-ci dans le but de contribuer à l’essor de la région.

Lien connexe :

http://www.scn.gouv.qc.ca/

Journée internationale des travailleuses et travailleurs


 Publié le 2 mai 2019

En cette Journée internationale des travailleuses et travailleurs, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie, M. Jean Boulet, souligne l’importante contribution des travailleuses et travailleurs au développement social et économique du Québec.

Le ministre profite de l’occasion pour rappeler qu’à compter d’aujourd’hui, le taux général du salaire minimum est porté à 12,50 $ l’heure, ce qui représente une hausse de 0,50 $. Cette augmentation de 4,17 % fait passer le ratio entre le salaire minimum et le salaire horaire moyen à 0,50 dès 2019-2020 et profitera à 288 200 salariés, dont 167 700 femmes.

« Les efforts menés par les travailleuses et travailleurs au fil des ans ont permis d’améliorer la qualité de vie ainsi que la santé et la sécurité au travail de millions de personnes partout au Québec. Mon gouvernement s’est engagé à façonner un marché du travail toujours plus inclusif, plus sécuritaire et plus solidaire. Puisque la main-d’œuvre est au cœur de notre économie et que les défis que nous devons actuellement relever sont grands, la hausse du salaire minimum est un exemple concret de cet engagement. », a déclaré Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie.

Faits saillants :

  • Le 1er mai 2019, le taux général du salaire minimum passe à 12,50 $ l’heure (+0,50 $), le salaire minimum payable aux salariés rémunérés au pourboire s’établit à 10,05 $ l’heure (+0,25 $) et celui des cueilleurs de framboises ou de fraises passe respectivement à 3,71 $ (+0,15 $) et à 0,99 $ (+0,04 $) du kilogramme.
  • En augmentant le salaire minimum à 12,50 $ l’heure, le gouvernement du Québec relève ainsi le ratio entre le salaire minimum et le salaire horaire moyen à 0,50, et ce, pour la période 2019-2020. Le pouvoir d’achat des salariés à faible revenu ainsi que leur participation à l’enrichissement collectif sont donc accrus, et l’équilibre qui doit être maintenu pour que les entreprises demeurent compétitives est préservé.

Valorisation des aliments biologiques québécois


 Publié le 2 mai 2019

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, M. André Lamontagne, annonce l’octroi d’une aide financière de 2,7 millions de dollars à la Filière biologique du Québec pour la mise en œuvre de la Stratégie de valorisation des aliments biologiques québécois de 2019 à 2021. Il a fait cette annonce en marge de l’assemblée générale annuelle de cette organisation. Cette stratégie vise à faire augmenter la demande pour les aliments biologiques québécois et à développer les marchés en faisant valoir leurs bienfaits sur les plans de l’environnement, de la santé et de l’économie. Elle se traduit, notamment, par la réalisation d’activités qui mettent en valeur auprès des consommateurs les aliments biologiques québécois ainsi que les entreprises qui les produisent et les transforment.

« La Filière biologique du Québec est un partenaire privilégié du Ministère. Le secteur qu’elle représente occupe une place de choix dans la Politique bioalimentaire 2018-2025 ‑ Alimenter notre monde. Les aliments biologiques sont un vecteur de croissance pour l’ensemble du secteur bioalimentaire. Ils répondent aux préoccupations des consommateurs en matière de santé, de protection de l’environnement, de bien-être animal, de lutte contre les changements climatiques, d’emploi et d’économie locale. », a déclaré M. André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation.

Faits saillants

  • Le nombre d’entreprises qui produisent et transforment des aliments biologiques a presque doublé en 5 ans, passant de 1 409 en 2014 à 2 727 en 2018. Le Québec est maintenant le chef de file au Canada.
  • La Stratégie de valorisation des aliments biologiques québécois cadre avec l’un des objectifs de la Politique bioalimentaire 2018-2025 – Alimenter notre monde du gouvernement, qui consiste à doubler les superficies consacrées à la production biologique.
  • Le Ministère a mis en place un ensemble de mesures visant à appuyer le développement de l’agriculture biologique, dont le Programme d’appui pour la conversion à l’agriculture biologique qui a pour objet d’accroître l’offre de produits biologiques québécois.

Liens connexes

Filière biologique du Québec
Le Bio d’ici : ça vaut le coût!
Politique bioalimentaire 2018-2025 – Alimenter notre monde
Soutien au secteur biologique