200 000 $ à la Série mondiale de plongeon FINA 2019


 Publié le 26 avril 2019

Le gouvernement du Québec attribue une aide financière maximale de 200 000 $ pour l’organisation de la Série mondiale de plongeon FINA 2019, qui se déroule du 26 au 28 avril au Centre sportif du Parc olympique, à Montréal.

« Quelle compétition enlevante que celle de la Série mondiale de plongeon FINA. Cet événement d’envergure fait escale chez nous, au grand plaisir de plusieurs. Il s’agit d’une occasion privilégiée de voir à l’œuvre les athlètes de cette impressionnante discipline. En assistant aux plongeons de l’élite mondiale, la relève de ce sport sera assurément inspirée. Je souhaite que cette compétition donne le goût à la population de bouger. Bon succès aux athlètes québécois qui prendront part à cette compétition! Vous nous rendez très fiers! », a déclaré Isabelle Charest, ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine.

La ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine, Mme Isabelle Charest, en a fait l’annonce aujourd’hui.

La Série mondiale de plongeon FINA est le circuit de plongeon olympique le plus prestigieux au monde. Plus de 65 athlètes représentant une quinzaine de pays participeront à cet événement majeur, qui offre un rayonnement international. L’aide financière provient du Programme de soutien aux événements sportifs internationaux du Fonds pour le développement du sport et de l’activité physique.

Faits saillants :

La Série mondiale s’insère dans une entente à long terme entre Diving Plongeon Canada et la FINA, qui prévoit la tenue de cette compétition au Parc olympique pour les quatre prochaines années. En 2019, la Série mondiale comprend des étapes à Sagamihara au Japon, à Pékin en Chine, à Kazan en Russie, à Londres en Grande-Bretagne et à Montréal.

Lien connexe :

Fonds pour le développement du sport et de l’activité physique : http://www.education.gouv.qc.ca/organismes-a-but-non-lucratif/aide-financiere/fonds-pour-le-developpement-du-sport-et-de-lactivite-physique/

Plus de 400 000 $ pour favoriser l’exercice de la coparentalité


 Publié le 26 avril 2019

Pour favoriser un partage plus équitable des responsabilités parentales et un engagement accru des pères auprès de leurs enfants, le gouvernement du Québec annonce une aide financière de 400 135 $ dans le cadre du Programme de soutien financier aux activités favorisant l’exercice de la coparentalité.

Le ministre de la Famille, M. Mathieu Lacombe, en a fait l’annonce aujourd’hui. Cette aide financière permettra la réalisation de 13 projets dans différentes régions du Québec.

Rappelons que ce programme vise à soutenir financièrement le développement et la mise en œuvre d’activités favorisant un partage plus équitable des responsabilités parentales en ce qui concerne, notamment, la répartition des tâches et les soins donnés aux enfants. Il a aussi pour objectif de soutenir le développement et l’adaptation d’activités et de services qui contribuent à un engagement accru des pères auprès de leurs enfants.

« Vous le savez, notre gouvernement souhaite agir tôt et de manière concertée auprès des enfants. Nous voulons répondre aux besoins spécifiques de chacun d’eux pour les aider à réaliser leur plein potentiel. Pour y parvenir, l’engagement des parents, des deux parents, est fondamental. Ce programme est une mesure concrète pour soutenir les parents dans leur rôle et les aider à répartir équitablement toutes les responsabilités qui s’ajoutent lorsque nous fondons une famille. Il permet également d’offrir aux pères des moyens pour s’impliquer pleinement dans le développement de leurs enfants. Je tiens à remercier tous les organismes qui réaliseront des projets en ce sens et qui contribuent ainsi à améliorer le bien-être des familles du Québec. », a déclaré Mathieu Lacombe, ministre de la Famille.

Faits saillants

Tableau des projets retenus :

Région administrative

Nom de l’organisme

Montant

Bas-Saint-Laurent

Maison de la famille du Kamouraska

34 775,00 $

Bas-Saint-Laurent

Maison de la Famille des Basques

27 200,00 $

Mauricie

Maison des familles Chemin du Roi

40 000,00 $

Estrie

Maison de la famille de Sherbrooke

39 532,00 $

Montréal

Carrefour Familial Hochelaga

40 000,00 $

Montréal

Nourri-Source-Montréal

38 816,00 $

Montréal

La Relance-Jeunes et Famille (RJF) inc.

9 545,00 $

Montréal

CooPère Rosemont

38 755,00 $

Outaouais

Maison de la famille de Gatineau

40 000,00 $

Côte-Nord

Comité Gendron : Projet d’animation habitat famille 72

20 740,00 $

Lanaudière

Action Famille Lavaltrie

16 172,00 $

Laurentides

La Mèreveille Centre de ressources périnatales Naissance-Renaissance des Hautes-Laurentides

38 222,00 $

Montérégie

Maison de la Famille de la Vallée du Richelieu

Lien connexe

Pour en savoir davantage sur le programme :

https://www.mfa.gouv.qc.ca/fr/Famille/CFTE/soutien-financier/PSF-coparentalite/Pages/index.aspx

Articles connexes:

Première tournée du ministre Lamontagne dans la région de la Gaspésie


 Publié le 26 avril 2019

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, M. André Lamontagne, a effectué sa première tournée en Gaspésie en vue de rencontrer les acteurs de l’industrie des pêches et de l’aquaculture commerciales de cette région. Cette visite témoigne de la volonté du ministre d’établir des liens avec les principaux acteurs de ce secteur stratégique et de discuter des orientations de développement et des préoccupations du milieu. Sa présence confirme également la grande importance que revêt cette industrie, tant pour les régions côtières que pour le gouvernement du Québec.

« Je suis heureux d’avoir effectué ma première visite officielle dans la région de la Gaspésie.  En faisant cette tournée à l’aube de la nouvelle saison, j’ai poursuivi des relations fécondes avec les acteurs clés du milieu des pêches, de l’aquaculture et de la transformation des produits marins qui m’ont permis de mieux cerner les enjeux de cette industrie vitale pour les régions côtières. En tablant sur les échanges que nous avons eus, nous pourrons déployer ensemble les meilleures stratégies pour favoriser le développement, la compétitivité et la pérennité du secteur. », a déclaré M. André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation.

En deux jours, une dizaine de rencontres avec les forces vives de l’industrie et les élus locaux ont permis au ministre de discuter du développement et des enjeux de la mariculture, des défis de l’industrie de la pêche et de la transformation, ainsi que du développement des marchés. Il a échangé avec les maires de Grande-Rivière et de Sainte-Thérèse-de-Gaspé relativement à la fermeture de l’usine Les Crustacés de Gaspé. Il a rencontré les pêcheurs de homard avec lesquels il a notamment parlé des mesures de protection de la baleine noire et du programme de relève. Cette tournée lui a aussi donné l’occasion de visiter différentes installations de pêche, de transformation et d’aquaculture.

Malheureusement, les conditions météorologiques ont entraîné l’annulation d’une partie de la tournée du ministre qui devait également l’amener aux Îles-de-la-Madeleine.

La visite du ministre suit de près l’annonce de l’entrée en vigueur du Fonds des pêches du Québec qu’il a faite en présence de la ministre du Revenu national et députée de Gaspésie−Les Îles-de-la-Madeleine, Mme Diane Lebouthillier, qui remplaçait le ministre fédéral des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne, M. Jonathan Wilkinson. Rappelons que ce fonds bilatéral est assorti d’une enveloppe de 42,8 millions de dollars, dont 70 % proviennent du gouvernement du Canada et 30 % du gouvernement du Québec. Le Fonds des pêches du Québec appuiera la réalisation des projets de l’industrie des pêches et de l’aquaculture relatifs à l’innovation et à l’amélioration de la compétitivité et de la productivité, au cours des cinq prochaines années.

Les programmes gouvernementaux d’aide financière, incluant le Fonds des pêches du Québec, permettront d’accroître les investissements dans le secteur des pêches et de l’aquaculture et de générer des retombées économiques et des emplois dans les communautés côtières du Québec. Ces mesures viennent appuyer l’orientation de la Politique bioalimentaire 2018-2025 − Alimenter notre monde qui préconise l’établissement d’entreprises prospères, durables et innovantes en soutenant l’investissement dans les entreprises et dans l’innovation et en renforçant les synergies.

Faits saillants

  • Investissements du Québec dans l’industrie des pêches et de l’aquaculture commerciales durant l’année 2018-2019 :
  • En Gaspésie, le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation est intervenu dans 49 projets d’innovation et de développement, pour un montant total d’aide financière de 4,5 millions de dollars, qui ont entraîné des investissements de 14,5 millions de dollars;
    aux Îles-de-la-Madeleine, l’intervention ministérielle a été de l’ordre de 1,7 million de dollars au bénéfice de 14 projets, pour des investissements totaux de 3,3 millions de dollars.
  • Le ministre a notamment rencontré :
  • les maires de la Ville de Grande-Rivière, M. Gino Cyr, et de la Municipalité de Sainte-Thérèse-de-Gaspé, M. Roberto Blondin, ainsi que la préfète de la MRC du Rocher-Percé, Mme Nadia Minassian;
  • des mariculteurs et des pêcheurs;
  • les représentants de l’Association des capitaines-propriétaires de la Gaspésie;
  • des industriels de la région.
  • Il a aussi visité, entre autres établissements :
  • Les Pêcheries Marinard;
  • Les Produits Tapp, entreprise agricole qui se consacre à la transformation;
  • Aquaculture Gaspésie, pisciculture où l’on fait l’élevage de l’omble chevalier.

Première rencontre du comité d’experts sur l’accompagnement des victimes d’agressions sexuelles


 Publié le 25 avril 2019

C’est aujourd’hui que se sont réunis pour la première fois les 13 experts du comité sur l’accompagnement des victimes d’agressions sexuelles et de violence conjugale. La ministre de la Justice et procureure générale du Québec, Mme Sonia LeBel, était présente pour l’occasion. Elle était accompagnée de Mme Hélène David, députée de Marguerite-Bourgeoys, de Mme Christine Labrie, députée de Sherbrooke, et de Mme Véronique Hivon, députée de Joliette.

Cette première séance de travail avait pour principal objectif de présenter le parcours que suivent actuellement les personnes victimes de ces crimes dans le processus judiciaire et extrajudiciaire ainsi que les mesures existantes. Elle visait ainsi à bien évaluer les problématiques auxquelles elles doivent faire face et à les accompagner dans leurs démarches. La rencontre a été l’occasion, pour le comité d’experts, de se donner un plan de travail pour la prochaine année.

La ministre LeBel a par ailleurs annoncé que la présidence du comité sera assurée par Mmes Élizabeth Corte et Julie Desrosiers. Juge à la Cour du Québec pendant 16 ans, dont sept années à titre de juge en chef, Mme Corte est notamment reconnue pour son engagement par rapport aux questions d’éthique en matière de pratiques judiciaires et d’accès à la justice pour les citoyens.

Professeure titulaire à la Faculté de droit de l’Université Laval, Mme Desrosiers est, entre autres, l’auteure de l’ouvrage L’agression sexuelle en droit canadien, pour lequel elle s’est vu décerner le prix du Concours juridique 2011 de la Fondation du Barreau du Québec. Elle agit notamment, depuis 2015, à titre d’administratrice de la Ligue des droits et libertés, section Québec, et depuis 2017, de secrétaire générale du Comité international des pénalistes francophones.

Rappelons que le gouvernement du Québec octroiera 50 millions de dollars sur cinq ans pour la réalisation du mandat du comité d’experts sur l’accompagnement des victimes d’agressions sexuelles et de violence conjugale, comme il l’a annoncé dans le budget 2019-2020.

« Je suis heureuse, mais surtout motivée par le début des travaux du comité d’experts sur l’accompagnement des victimes d’agressions sexuelles et de violence conjugale. Cette première rencontre a été l’occasion de présenter nos attentes et d’entamer comme il se doit notre réflexion sur les problématiques auxquelles nous voulons remédier. J’ai confiance en l’expertise des membres du comité et je suis convaincue qu’ils proposeront des pistes de solution concrètes ayant un réel impact sur l’accompagnement des victimes. », a annoncé Sonia LeBel, ministre de la Justice et procureure générale du Québec.

« Je me réjouis du début des travaux du comité d’experts. Je suis convaincue qu’ils seront à même de nous aider à trouver des solutions concrètes afin de mieux accompagner les victimes de violence sexuelle et conjugale. Ensemble, nous ne ménagerons aucun effort pour mieux répondre aux besoins spécifiques des victimes. », a déclaré Hélène David, députée de Marguerite-Bourgeoys.

« Au cours de la prochaine année, le comité aura le mandat de consulter les organismes qui interviennent sur le terrain afin de mieux comprendre les besoins des victimes. Avec l’expertise des personnes qui forment le comité, je suis convaincue que les recommandations permettront de faire une réelle différence dans la vie des victimes, et j’espère qu’on pourra les mettre en œuvre rapidement. », a souligné Christine Labrie, députée de Sherbrooke.

« Je suis très enthousiaste d’entreprendre les travaux, de constater la qualité et la variété des experts réunis autour de la table et de poursuivre cette démarche transpartisane très importante pour l’évolution de notre société. Maintenant que le plan de match est sur la table, le plus important est devant nous : proposer des manières de faire ambitieuses et innovantes, dignes du 21e siècle, afin de mieux accompagner les victimes de violence sexuelle et conjugale et de rebâtir la confiance des victimes envers notre système. Avec de la bonne volonté, du travail et de l’ouverture, nous y arriverons. », a indiqué Véronique Hivon, députée de Joliette.

Lien connexe

Pour en savoir plus sur le comité d’experts sur l’accompagnement des victimes d’agressions sexuelles et de violence conjugale : www.justice.gouv.qc.ca.

73 projets pour favoriser l’accessibilité aux sentiers et aux sites de pratique d’activités de plein air


 Publié le 25 avril 2019

Dans le but d’améliorer et de mettre à niveau les sentiers et les sites de pratique d’activités de plein air sur l’ensemble du territoire québécois, 73 projets seront réalisés à la suite du premier appel de projets dans le cadre du Programme de soutien à la mise à niveau et à l’amélioration des sentiers et des sites de pratique d’activités de plein air (PSSPA). L’enveloppe totale pour la réalisation de ces projets se chiffre à 6 millions de dollars.

La ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine, Mme Isabelle Charest, en a fait l’annonce aujourd’hui. Les 73 projets retenus constituent un pas de plus vers une plus grande l’accessibilité à l’activité physique et sportive, la grande priorité de la ministre.

Rappelons que le PSSPA poursuit plusieurs objectifs, soit :

  • améliorer la pérennité, la fonctionnalité, la sécurité et la qualité des sentiers et des sites de pratique d’activités de plein air;
  • améliorer la qualité de l’expérience et accroître l’accessibilité à la pratique d’activités de plein air;
  • accroître la fréquentation des sentiers et des sites de pratique d’activités de plein air;
  • répondre aux besoins des amateurs d’activités de plein air et promouvoir les bienfaits de celles-ci auprès de la population québécoise.

La ministre a aussi profité de sa présence à Bromont pour annoncer, en compagnie du maire de Bromont, M. Louis Villeneuve, l’attribution d’une aide financière de près de 120 000 $ à la Ville de Bromont pour la mise à niveau de sentiers récréatifs. Le projet, retenu à la suite du premier appel de projets qui s’est terminé en novembre dernier, consiste principalement à mettre à niveau les sentiers, à améliorer l’accessibilité aux sentiers, à faire la mise à niveau durable, à accroître la sécurité et à améliorer l’offre d’activités quatre saisons.

« La majorité des régions du Québec verront la réalisation d’au moins un projet sur leur territoire, comme c’est le cas de la Ville de Bromont. Ces projets permettront non seulement de contribuer à l’accessibilité des activités récréatives, physiques et sportives, mais également à enrichir l’offre récréotouristique de l’ensemble des régions du Québec. L’annonce d’aujourd’hui confirme que notre gouvernement agit pour le développement des régions et pour l’accessibilité aux infrastructures pour l’ensemble de la population québécoise. », a indiqué Isabelle Charest, ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine.

« Un immense merci au gouvernement du Québec de nous permettre de faire la mise à niveau de certains sentiers. Ces travaux favoriseront l’accessibilité pour tous les niveaux et tous les utilisateurs. Ils contribueront également à l’augmentation des activités de plein air, qui sont à l’image du mode de vie des citoyens de Bromont. Ces infrastructures sont également importantes pour l’attractivité qu’elles exercent auprès des touristes. », a souligné Louis Villeneuve, maire de Bromont.

Faits saillants :

  • Les projets ont été sélectionnés en fonction de critères d’admissibilité et d’évaluation établis dans les règles et les normes du PSSPA.
  • Les clientèles visées par le PSSPA sont les organismes nationaux de loisir reconnus, les organismes à but non lucratif membres en règle d’un organisme national de loisir reconnu, les entreprises d’économie sociale (dont les coopératives) membres en règle d’un organisme national de loisir reconnu ainsi que les municipalités et les municipalités régionales de comté (MRC) de 100 000 habitants et moins.
  • Le PSSPA est géré par le Fonds pour le développement du sport et de l’activité physique et par la Direction du sport, du loisir et de l’activité physique.
  • Le premier appel de projets dans le cadre du PSSPA a été lancé le 29 août 2018. Les organismes admissibles au Programme avaient jusqu’au 12 novembre 2018 pour soumettre une demande. Pendant cette période, le Fonds a reçu 250 demandes.

Liens connexes :

http://www.education.gouv.qc.ca/municipalites/aide-financiere/programme-de-soutien-a-la-mise-a-niveau-et-a-lamelioration-des-sentiers-et-des-sites-de-pratique-dactivites-de-plein-air/

Lancement du Cadre de référence de la compétence numérique


 Publié le 25 avril 2019

Pour améliorer la compréhension de la compétence numérique et favoriser son développement par tous les élèves, étudiants et étudiantes, le gouvernement du Québec déploie le Cadre de référence de la compétence numérique.

Le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge, en a fait l’annonce aujourd’hui, lors de son passage au 7e Sommet du numérique en éducation.

« Le Cadre de référence de la compétence numérique était très attendu dans le milieu de l’éducation, et ce, avec raison. Je suis heureux de le dévoiler à l’occasion du 7e Sommet du numérique en éducation, qui rassemble des chercheurs, enseignants et autres acteurs importants de l’éducation. Ce cadre permettra assurément une meilleure compréhension de la compétence numérique et favorisera son développement par tous les élèves, étudiants et étudiantes du Québec. Il contribuera notamment à la formation de citoyens avertis et responsables à l’ère du numérique. », a déclaré Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur.

Fruit d’une collaboration entre le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, le Groupe de recherche interuniversitaire sur l’intégration pédagogique des technologies et les réseaux de l’éducation et de l’enseignement supérieur, ce cadre fait état des grandes tendances dans l’utilisation du numérique en contexte pédagogique. Il a également fait l’objet d’une consultation de plusieurs acteurs des milieux de l’éducation et de l’enseignement supérieur.

Ce faisant, le gouvernement donne suite au premier volet de la mesure no 1 du Plan d’action numérique (PAN), soit l’établissement d’un cadre de référence de la compétence numérique transversal à tous les ordres d’enseignement.

« Les jeunes sont nés dans un monde numérique. Il est essentiel qu’ils puissent apprendre autant à maîtriser les technologies qu’à devenir des utilisateurs avertis pour en tirer le meilleur et pour éviter les pièges. Je souhaite d’autant plus que les filles puissent être initiées aux métiers du numérique afin qu’elles soient mieux représentées dans cet univers. Le réseau de l’éducation doit être un acteur important pour accompagner les élèves dans cette initiation à la citoyenneté à l’ère du numérique. C’est pourquoi le cadre de référence est un outil incontournable qui devient un guide pour mieux préparer les jeunes à prendre leur place dans une société en constante transformation. », indiqué Éric Caire, ministre délégué à la Transformation numérique gouvernementale.

Liens connexes :

502 000 $ au Festival de montgolfières de Gatineau


 Publié le 25 avril 2019

Le gouvernement du Québec est heureux d’annoncer son appui au FMG – Festival de montgolfières de Gatineau, qui se déroulera du 29 août au 2 septembre prochains.

Le député de Chapleau, M. Mathieu Lévesque, a annoncé aujourd’hui, au nom de la ministre du Tourisme, Mme Caroline Proulx, l’attribution d’une aide financière de 502 000 $, qui servira à soutenir l’organisation de l’événement. Cet appui est versé par l’entremise du Programme d’aide financière aux festivals et aux événements touristiques du ministère du Tourisme.

Ce programme permet de soutenir des initiatives qui encouragent le développement d’une offre touristique diversifiée et attrayante partout au Québec. En attirant d’année en année des milliers de visiteurs, les festivals et événements génèrent des recettes touristiques importantes, en plus de favoriser le maintien et la création d’emplois.

« Le FMG – Festival de montgolfières de Gatineau est bien implanté dans la région depuis de nombreuses années. Je me souviens très bien de l’émerveillement que suscitaient chez moi les montgolfières lorsque j’étais enfant et que mes parents m’y emmenaient. Au fil des ans, ce dernier a su devenir un événement emblématique de l’Outaouais. Je souhaite saluer le travail remarquable de toutes les personnes qui font de ce rendez-vous attrayant pour les touristes un vif succès! Le gouvernement du Québec est heureux de lui offrir son appui. », a déclaré Mathieu Lévesque, député de Chapleau.

« Je me réjouis du soutien accordé au FMG – Festival de montgolfières de Gatineau, un événement d’envergure qui ne manque pas de mettre en valeur cette si belle région qu’est l’Outaouais! Ce grand rendez-vous festif et familial accueille en effet des milliers de visiteurs venus admirer ces géants du ciel. J’invite d’ailleurs les festivaliers à sillonner les routes environnantes pour découvrir les attraits qui leur sont méconnus. », a souligné Caroline Proulx, ministre du Tourisme.

Faits saillants :

  • Les objectifs généraux du Programme d’aide financière aux festivals et aux événements touristiques sont les suivants :
    permettre à la destination québécoise de s’illustrer sur les scènes nationale et internationale en favorisant le développement des festivals et événements touristiques;
  • stimuler l’économie des régions par l’augmentation du nombre de visiteurs et l’accroissement des recettes touristiques.
  • De plus, le programme contribue :
  • à soutenir de façon plus marquée la performance touristique et à encourager les initiatives hors saison et en région, à l’extérieur des grands centres;
  • à privilégier la signature d’ententes pluriannuelles pour les festivals et événements performants afin d’assurer la stabilité nécessaire à leur développement;
  • à appuyer financièrement les études de provenance des clientèles et d’achalandage touristique relatives aux festivals et aux événements soutenus dans le cadre du volet 2 du programme, compte tenu des frais associés à la réalisation de celles-ci.

Lien connexe :

www.tourisme.gouv.qc.ca/qcfierpartenaire

Ministère du Tourisme sur les médias sociaux :

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https://www.facebook.com/TourismeQc/
https://www.linkedin.com/company/tourismequ%C3%A9bec/
https://www.youtube.com/channel/UC3ASu9yRbDiJH6pErSzeLrw

Soutien à 21 projets d’évaluation d’innovations en situation réelle de soins


 Publié le 25 avril 2019

Le gouvernement du Québec attribue 4 663 583 $ pour soutenir la réalisation de 21 projets1 sélectionnés dans le cadre du deuxième appel de projets du Fonds de soutien à l’innovation en santé et en services sociaux (FSISSS). Ces initiatives visent l’évaluation d’innovations en situation réelle de soins.

Le ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable de la région de Lanaudière, M. Pierre Fitzgibbon, et la ministre de la Santé et des Services sociaux, Mme Danielle McCann, en ont fait l’annonce.

En tout, 65 projets ont été soumis et évalués par trois experts indépendants : un chercheur, un membre de l’industrie des technologies médicales et un professionnel du réseau de la santé. Les projets ont été priorisés selon leur capacité à démontrer le potentiel de l’innovation proposée de même que les gains en matière d’efficience ou d’amélioration des soins, et ce, afin de déterminer la valeur clinique et économique de l’innovation.

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1. La liste des projets sélectionnés est présentée en annexe.

« Par son appui aux projets annoncés aujourd’hui, le gouvernement du Québec reconnaît l’importance des collaborations en recherche. La réalisation de ces initiatives porteuses permettra d’intégrer davantage d’innovations au sein du réseau de la santé et des services sociaux du Québec et de stimuler l’essor du secteur québécois des sciences de la vie. Je tiens à souligner la contribution de MEDTEQ dans la mise en œuvre du Fonds de soutien à l’innovation en santé et en services sociaux ainsi que son rôle important dans le développement de technologies médicales et d’innovations qui améliorent la santé des communautés. », a déclaré Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable de la région de Lanaudière.

« Le Québec a un immense potentiel d’innovation : sa créativité est remarquable, et c’est ce que nous souhaitons mettre à profit dans nos efforts collectifs pour améliorer notre système de santé et de services sociaux. Ces projets nous aideront à relever les défis des prochaines décennies en contribuant à bonifier l’accessibilité des services pour les patients, à faciliter le travail de nos professionnels et à assurer la meilleure pertinence possible des services, actions qui sont d’ailleurs au cœur des priorités de notre gouvernement. », a souligné Danielle McCann, ministre de la Santé et des Services sociaux.

« MEDTEQ se réjouit de l’enthousiasme généré par ce deuxième appel de projets du Fonds de soutien à l’innovation en santé et services sociaux. Cela démontre bien que le secteur a su de nouveau saisir l’occasion que représente cet outil pour la production de données probantes, permettant ainsi une meilleure intégration des innovations dans le réseau de la santé et des services sociaux. Notre consortium continue ainsi de soutenir l’écosystème dans ces étapes stratégiques en misant sur l’excellence et sur la collaboration. », a indiqué Diane Côté, présidente-directrice générale de MEDTEQ.

Faits saillants :

  • Le FSISSS s’inscrit dans la Stratégie québécoise des sciences de la vie 2017‑2027 – L’innovation prend vie.
  • Doté d’une enveloppe de 18 millions de dollars sur cinq ans, ce fonds comporte deux volets :
  • le premier vise à soutenir des projets de PME québécoises se déroulant à l’intérieur d’établissements du réseau de la santé et des services sociaux;
  • le second concerne des projets d’innovations conçues par des établissements du réseau.
  • En tout, 34 projets ont été sélectionnés lors du premier appel de projets du FSISSS en 2018.
  • MEDTEQ agit à titre de partenaire du ministère de l’Économie et de l’Innovation en ce qui a trait à la gestion du fonds.
  • Grâce à son réseau de 170 membres, le consortium pancanadien MEDTEQ vise à accélérer le développement de solutions innovantes, leur validation et leur intégration dans le réseau de la santé et des services sociaux. En faisant valoir l’excellence de l’écosystème médical canadien à l’échelle mondiale, les soins aux patients s’en trouveront améliorés.

Lien connexe :
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Annexe – Liste de projets sélectionnés dans le cadre du deuxième appel de projets du FSISSS

 

Hausse du soutien financier offert aux Tables régionales de concertation des aînés du Québec


 Publié le 25 avril 2019

La ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, madame Marguerite Blais, est heureuse d’annoncer une hausse de l’aide financière versée aux Tables régionales de concertation des aînés (TRCA) du Québec et à la Conférence des Tables régionales de concertation des aînés (CTRCAQ). Celle-ci atteindra 7, 7 M$ d’ici 2023.

« Je suis ravie d’annoncer cette hausse du soutien financier offert aux Tables régionales de concertation des aînés du Québec et d’ainsi consolider leur rôle important dans chacune des régions du Québec. Leur dynamisme et leur engagement profond favorisent le maintien et l’amélioration de la qualité de vie des aînés. », a déclaré Marguerite Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants.

Ainsi, le soutien financier offert à chacune des TRCA sera porté à près de 400 000 $ d’ici 5 ans, ce qui correspond à une hausse de 20 % de leur budget. Cette hausse permettra aux TRCA de déployer leurs efforts pour offrir aux personnes âgées un lieu régional d’échanges, de concertation et de partenariat afin de faire connaître leurs besoins et de repérer les enjeux qui les concernent et qui touchent particulièrement leur territoire. Les aînés pourront donc concrètement bénéficier de cette décision du gouvernement, dès cette année.

Pour sa part, la CTRCAQ bénéficiera d’une subvention qui atteindra plus de 910 000 $ d’ici 2023. L’ajustement à la hausse contribuera à renforcer son rôle d’organisme national de référence auprès des différentes instances, tant gouvernementales que municipales.

Faits saillants :

Rappelons qu’il y a une TRCA dans chacune des 18 régions administratives du Québec. La CTRCAQ assure la coordination du réseau des tables régionales.

Réhabilitation du chemin de fer de la Gaspésie


 Publié le 25 avril 2019

Le premier ministre du Québec, M. François Legault, et le ministre des Transports, M. François Bonnardel, étaient de passage à New Richmond aujourd’hui afin de marquer une nouvelle étape du projet majeur de réhabilitation du chemin de fer de la Gaspésie, un projet de 100 millions de dollars. Ils ont annoncé le début des travaux pour le tronçon situé entre Matapédia et Caplan.

« Le chemin de fer de la Gaspésie joue un rôle essentiel dans le développement de l’économie régionale. Des entrepreneurs majeurs de la Gaspésie misent sur le transport ferroviaire pour atteindre leurs objectifs de croissance et maximiser leur expansion vers les marchés extérieurs. La population souhaite tout autant la reprise du service de transport ferroviaire. Aujourd’hui, je vous confirme que le projet de réhabilitation ne fait que commencer et que tout sera déployé pour atteindre une pleine exploitation du réseau ferroviaire dans les années à venir. Je suis fier de ce projet qui, en plus d’avoir des retombées significatives à long terme, favorisera la création d’emplois payants dans la région, tout au long de sa réalisation. », a annoncé François Legault, premier ministre du Québec.

Les appels d’offres pour la réalisation des travaux sont en cours et la reconstruction des structures ferroviaires surplombant la rivière Cascapédia pourront commencer dès cet été.

Durant la phase de construction, des retombées économiques totales d’environ 40 millions de dollars et la création d’environ 170 emplois, en bonne partie dans le secteur de la construction, sont prévus.

Le projet vient répondre à des objectifs de sécurité, tout en facilitant une plus grande exploitation du réseau. De plus, le premier ministre a souligné que la réhabilitation de ce chemin de fer engendrera également des retombées économiques importantes pour la région, en permettant à différentes entreprises d’améliorer leur accès aux marchés extérieurs.

« En commençant dès que possible le remplacement des structures ferroviaires qui limitent le transport des marchandises entre Matapédia et Caplan, notre gouvernement souhaite répondre aux besoins des entreprises utilisatrices du chemin de fer dans les meilleurs délais. Il s’agit des premiers travaux qui auront un impact direct et concret sur les activités de ces entreprises vers un service de transport ferroviaire efficace et sécuritaire sur tout le réseau, de Matapédia à Gaspé. », a déclaré François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie.

« La réhabilitation du Chemin de fer de la Gaspésie est un projet qui me tient à cœur et dont je suis contente de voir la réalisation débuter dans les prochains mois. Je sais l’importance que ce service de transport revêt pour la population gaspésienne. Plusieurs municipalités et des organismes à vocation touristique souhaitent pouvoir offrir, un jour, un nouveau service ferroviaire de passagers sur la péninsule gaspésienne. Je suivrai de près l’avancement de ce projet très attendu en Gaspésie. », a indiqué Marie-Eve Proulx, ministre déléguée au Développement économique régional et ministre responsable de la région de la Gaspésie-Îles-de-Madeleine.

Faits saillants :

  • Le projet de réhabilitation du chemin de fer de la Gaspésie se réalise sur les trois tronçons suivants :
  • De Matapédia à Caplan (126 km) – En réalisation
  • De Caplan à Port-Daniel-Gascons (72 km) – En planification
  • De Port-Daniel-Gascons à Gaspé (127 km) – À l’étude
  • Le gouvernement du Québec est propriétaire des infrastructures ferroviaires et de l’emprise ferroviaire entre Matapédia et Gaspé depuis le 15 mai 2015.