Se rassembler pour une avancée historique


 Publié le 28 mars 2019

Le ministre de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion et leader parlementaire du gouvernement, M. Simon Jolin-Barrette, a présenté, jeudi, à l’Assemblée nationale, le projet de loi sur la laïcité de l’État. Il a souligné que le gouvernement remplissait ainsi un important engagement du discours inaugural du premier ministre et visait à obtenir l’adhésion du plus grand nombre de Québécois possible.

« C’est avec une grande fierté que j’ai déposé, ce matin, à l’Assemblée nationale, le projet de loi sur la laïcité de l’État. Ce projet de loi traduit une vision de l’État largement partagée au sein de la population québécoise, notamment le fait qu’il est plus que temps d’interdire les signes religieux au personnel de l’État en position d’autorité. En fait, ce projet de loi constitue un véritable geste d’affirmation. Il s’agit d’inscrire, pour la toute première fois dans une loi québécoise, le principe de laïcité de l’État. », a déclaré Simon Jolin-Barrette, ministre de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion et leader parlementaire du gouvernement.

Le modèle de laïcité de l’État proposé dans ce projet de loi tient compte de l’histoire, des valeurs sociales et de la spécificité du Québec. La pièce législative est une initiative rassembleuse, raisonnée et raisonnable. Ce projet de loi est le résultat d’un parcours historique, d’un processus évolutif propre au Québec.

Essentiellement, le projet de loi vise à affirmer et à définir la laïcité de l’État dans le droit québécois selon quatre grands principes :

  • La séparation de l’État et de la religion
  • La neutralité religieuse de l’État
  • L’égalité des citoyennes et des citoyens
  • La liberté de conscience et de religion
  • Il prévoit que certaines personnes en position d’autorité, comme les procureurs, les policiers, les enseignants et les directeurs des écoles primaires et secondaires publiques, ne pourront pas porter de signes religieux dans l’exercice de leurs fonctions. À cet égard, dans un souci d’obtenir l’adhésion du plus grand nombre de Québécois possible derrière cet important projet de loi, le gouvernement a prévu, dans celui-ci, que les personnes en poste au moment de la présentation du projet de loi conserveront le droit de porter un signe religieux tant qu’elles exerceront la même fonction au sein de la même organisation.

Le projet de loi précise aussi que les services publics devront être donnés à visage découvert. Il est aussi prévu que les services publics seront reçus à visage découvert lorsque la vérification de l’identité ou la sécurité l’exigera.

46 M$ pour soutenir la jeunesse


 Publié le 27 mars 2019

À l’occasion du dépôt du budget 2019-2020, le nouveau gouvernement et l’adjoint parlementaire du premier ministre pour les dossiers jeunesse, M. Samuel Poulin, sont fiers d’annoncer des investissements supplémentaires historiques de 46 millions de dollars pour soutenir la jeunesse en favorisant la persévérance scolaire, le retour aux études, l’emploi et l’entrepreneuriat.

« Sans l’ombre d’un doute, notre gouvernement comprend que la jeunesse est notre plus grande richesse naturelle. Les mesures de ce premier budget misent sur le développement du potentiel de nos jeunes par la persévérance scolaire, le retour aux études, l’emploi et l’entrepreneuriat. Les nouveaux investissements comblent des besoins évidents et contribueront à créer des conditions favorables à l’épanouissement et à la réussite de la jeunesse, partout au Québec. Je suis fier de ces investissements qui stimuleront l’économie, mais qui, par-dessus tout, démontrent que notre gouvernement a compris que la jeunesse, c’est sérieux. », a déclaré Samuel Poulin, adjoint parlementaire du premier ministre pour le volet jeunesse.

Ainsi, Place aux jeunes en région voit son financement bonifié de 17,5 millions de dollars. Cette somme servira à étendre les services de l’organisme aux 83 municipalités régionales de comté (MRC) aux prises avec un enjeu migratoire, dans le but d’aider davantage de jeunes dans leurs démarches visant à s’établir et à travailler en région.

Le budget 2019-2020 prévoit également une bonification substantielle de 10 millions de dollars du programme Créneau carrefour jeunesse. L’objectif est d’encourager les jeunes en situation de vulnérabilité à demeurer ou à retourner aux études afin d’acquérir une formation de qualité pour occuper un emploi. De plus, un budget supplémentaire de 1 million de dollars sera accordé au Carrefour jeunesse-emploi Nunavik pour l’aider à mettre en œuvre le programme Créneau carrefour jeunesse sur son territoire.

Afin de soutenir le développement des compétences entrepreneuriales au Québec et d’augmenter le nombre de participations, le gouvernement prévoit le financement de deux programmes de l’École d’entrepreneurship de Beauce. À cela s’ajoute une somme de 7 millions de dollars pour soutenir la mise en place de quatre nouveaux campus de l’École des entrepreneurs du Québec.

Près de 4 millions de dollars seront versés au campus Macdonald afin que celui-ci offre le programme gestion et technologies d’entreprise agricole à la relève dans le secteur bioalimentaire anglophone du Québec.

De surcroît, 4,6 millions de dollars seront investis afin de venir en aide aux jeunes qui désirent démarrer une entreprise ou étendre leur marché à l’international. Cette somme financera plus précisément l’Initiative québécoise en matière de créativité entrepreneuriale jeunesse en Francophonie, qui a pour but d’augmenter la participation des jeunes au programme Entrepreneuriat des Offices jeunesse internationaux du Québec.

En réponse au grand succès du dernier appel à projets, le budget 2019-2020 prévoit une bonification du programme de financement des projets locaux de 1 million de dollars. Ainsi, le Secrétariat à la jeunesse aura les moyens de financer rapidement un plus grand nombre de projets ayant une portée locale en matière d’intervention jeunesse dans toutes les régions du Québec.
Le nouveau gouvernement a également annoncé des investissements importants de près de 1,3 milliard de dollars pour mettre en œuvre des mesures en faveur de la protection de l’environnement et de la lutte contre les changements climatiques. Il s’agit d’un enjeu prioritaire pour la jeunesse, qui sera dorénavant au cœur de l’action gouvernementale.

Précisions :

  • Place aux jeunes en région facilite la migration et le maintien des diplômées et diplômés de 18 à 35 ans en région. L’organisation est présente dans quinze régions du Québec et aide les jeunes dans leurs démarches visant à s’établir et à travailler dans leur nouveau milieu.
  • Le Créneau carrefour jeunesse est un programme du Secrétariat à la jeunesse mis en œuvre par les carrefours jeunesse-emploi (CJE), qui vise à favoriser la persévérance scolaire, l’autonomie personnelle et sociale, de même que la participation des jeunes à des projets d’entrepreneuriat, de bénévolat et de volontariat. Tout en s’adaptant aux besoins et aux réalités locales, le Créneau carrefour jeunesse permet de mettre en œuvre des services et une variété de projets pour les jeunes âgés de 15 à 29 ans inclusivement. Tout au long du déploiement et de l’évolution de ce programme, le SAJ et les CJE pourront compter sur la collaboration et le soutien du Réseau des carrefours jeunesse-emploi du Québec.
  • Environ 110 étudiantes et étudiants sont inscrits au programme de gestion et technologies d’entreprise agricole, au Campus Macdonald de l’Université McGill. Ce programme collégial de trois ans permet aux jeunes d’acquérir des compétences requises pour accéder au marché du travail à la fin de leurs études. Le programme de gestion et technologies d’entreprise agricole est une formation collégiale, parrainée par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.
  • L’École d’entrepreneurship de Beauce a comme mission de créer un établissement mythique, un espace où tout est réuni pour favoriser les échanges et l’entraide authentiques entre entrepreneuses et entrepreneurs et ainsi propulser la prospérité du Québec tout entier.
  • L’École des entrepreneurs du Québec a pour mission de développer les compétences entrepreneuriales des Québécoises et des Québécois en leur faisant vivre, dans un milieu entrepreneurial, une expérience accessible, flexible et associative.
  • L’Initiative québécoise en matière de créativité entrepreneuriale jeunesse en Francophonie offre des occasions d’affaires à de jeunes Québécoises et Québécois qui désirent démarrer une entreprise ou étendre leur marché à l’international.
  • LOJIQ – Les Offices jeunesse internationaux du Québec – est le regroupement d’organismes de mobilité internationale jeunesse, soit l’Office franco-québécois pour la jeunesse et l’Office Québec-monde pour la jeunesse. LOJIQ a été mis en place en 2007 pour présenter une offre de service unifiée et poursuivre les objectifs de perfectionnement professionnel et personnel des jeunes adultes québécois dans un contexte international. LOJIQ est aussi reconnu en tant qu’acteur de la mise en œuvre de la Politique internationale du Québec et de la Stratégie d’action jeunesse.

Nouveau cadre réglementaire pour renforcer la qualité des apprentissages


 Publié le 27 mars 2019

Dans le but de refermer une brèche ouverte par le gouvernement précédent en matière d’enseignement à la maison et pour favoriser la réussite éducative et la diplomation de tous les enfants du Québec, le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge, a présenté aujourd’hui devant l’Assemblée nationale des modifications envisagées par le gouvernement au Règlement sur l’enseignement à la maison.

En effet, la première version du règlement, édictée en mai dernier, ne prévoyait pas l’obligation de dispenser à tous les enfants recevant l’enseignement à la maison des contenus relatifs, par exemple, à l’histoire et aux sciences. Nous sommes par ailleurs convaincus que le modèle que nous proposons préviendra plus efficacement le recours aux « écoles » dites illégales ou clandestines.

Le projet de règlement présenté aujourd’hui permettra de corriger cette situation. Il viendra notamment accroître le contenu minimal du projet d’apprentissage de l’enfant dispensé de l’obligation de fréquenter une école pour recevoir un enseignement à la maison et facilitera le suivi de ses apprentissages ainsi que son évaluation.

« Tous les enfants du Québec ont droit aux mêmes chances de réussir, et ceux recevant l’enseignement à la maison ne doivent pas faire exception. Les nouvelles exigences applicables à l’enseignement à la maison présentées aujourd’hui corrigent une brèche inacceptable ouverte par le gouvernement précédent en matière de qualité des apprentissages. Ces modifications nous permettront de remplir pleinement notre rôle en assurant l’acquisition de certains contenus minimaux et en favorisant la sanction des études. Elles s’inscrivent parfaitement dans notre volonté de mettre l’intérêt des élèves au-dessus de toute autre considération. », a affirmé Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur.

Ce nouveau cadre réglementaire respecte la souplesse que commande cette forme d’enseignement, tout en garantissant que les élèves recevant l’enseignement à la maison auront accès à une formation de qualité comparable à celle dispensée aux élèves fréquentant un établissement scolaire reconnu. Ces élèves disposeront ainsi des mêmes chances que les autres d’atteindre leur plein potentiel. Ainsi, les parents ayant fait le choix de l’enseignement à la maison pour leur enfant pourront mettre en œuvre un projet d’apprentissage personnalisé et conserveront la latitude dans le déploiement des apprentissages. Ces modifications seront applicables à compter de l’année scolaire 2019‑2020.

Faits saillants :

Contenu minimal du projet d’apprentissage
Le projet d’apprentissage de l’enfant recevant un enseignement à la maison devra intégrer, minimalement, des contenus jugés déterminants pour la réussite éducative. Ainsi, l’application des programmes d’études ministériels dans les matières obligatoires du domaine des langues, de la mathématique, de la science et de la technologie ainsi que de l’univers social sera prescrite.

Évaluation de l’enfant
Des leviers d’évaluation de la progression de l’enfant seront ajoutés, dont la passation obligatoire des épreuves ministérielles. Les commissions scolaires seront tenues de permettre à l’enfant qui reçoit un enseignement à la maison d’être évalué à des fins de sanction des études.

Présence de l’enfant lors des rencontres de suivi
La présence de l’enfant lors des rencontres de suivi sera exigée de façon à permettre un meilleur suivi de l’enseignement et un dépistage plus efficace des difficultés.

Lutte contre le phénomène des écoles religieuses illégales
Les modifications apportées permettront d’éviter que des enfants déclarés en enseignement à la maison soient assujettis à des contenus d’apprentissage minimalistes et migrent vers des établissements offrant des services éducatifs en marge de tout contrôle de l’État.

Nouveau règlement favorisant l’utilisation du gaz naturel renouvelable


 Publié le 27 mars 2019

Le gouvernement du Québec a procédé aujourd’hui à l’édiction du règlement concernant la quantité de gaz naturel renouvelable (GNR) devant être livrée par un distributeur, l’établissant à 1 % de la quantité totale de gaz naturel qu’il distribue à partir de 2020, pour atteindre graduellement 5 % à partir de 2025. Dans la foulée, il annonce la mise en place d’un comité de suivi sur la filière du GNR afin d’assurer l’application du règlement et faciliter la collaboration entre les différents acteurs.

Le nouveau règlement vise à favoriser une utilisation accrue de GNR et à soutenir le déploiement de cette filière émergente au Québec, contribuant ainsi à réduire la consommation et les importations de combustibles fossiles émetteurs de gaz à effet de serre (GES) et à l’atteinte des cibles de la Politique énergétique 2030. Il précise également la progression de la proportion minimale de GNR que les distributeurs québécois devront injecter dans leur réseau, soit de 1 % à compter de l’année 2020, à 2 % à compter de 2023, et à 5 % à compter de 2025. Son entrée en vigueur est prévue dans les 15 jours suivant sa publication dans la Gazette officielle du Québec.

Le Comité de suivi sur la filière du GNR regroupera des représentants des ministères, des associations industrielles concernées et des entreprises qui produisent, distribuent et utilisent le gaz naturel à des fins énergétiques ainsi que des acteurs institutionnels et de la recherche en énergie. Ceux-ci mettront en commun leur connaissance et élaboreront des moyens d’action afin de répondre à l’atteinte des cibles présentées dans le règlement ainsi que d’assurer une complète intégration du GNR au gaz naturel distribué au Québec.

Le ministre Jonatan Julien en a profité pour souligner l’octroi de 18 M $ en soutien aux projets de démonstration de bioénergies. Une mesure annoncée par le gouvernement dans le budget déposé le jeudi 21 mars dernier qui vient bonifier le Plan d’action 2013-2020 sur les changements climatiques.

« Le Québec s’est engagé sur la voie de la transition énergétique et pour atteindre les cibles que nous nous sommes données, le gaz naturel renouvelable constitue une filière d’avenir. Avec ce nouveau règlement, le Québec deviendra un véritable chef de file mondial en devenant la première administration à encadrer la quantité minimale de gaz naturel renouvelable devant être livrée par un distributeur. J’ai confiance que le comité de suivi permettra de proposer une vision commune et d’apporter des actions concrètes afin de favoriser l’émergence de cette nouvelle filière énergétique verte 100 % locale qui diversifiera le portefeuille énergétique du Québec. », a délcaré M. Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles, ministre responsable de la région de la Côte-Nord.

Rappelons aussi que, dans le cadre de la Politique énergétique 2030 (PE 2030), le gouvernement s’est donné comme objectif d’augmenter de 25 % la production d’énergies renouvelables, notamment par une hausse de 50 % de la production de bioénergie comme le GNR.

Faits saillants :

  • Le gaz naturel renouvelable est issu de la décomposition de matières organiques en l’absence d’oxygène (biométhanisation). Il possède les mêmes propriétés chimiques que le gaz naturel fossile. Il est parfaitement interchangeable avec le gaz naturel distribué au Québec. Il peut donc être distribué dans les réseaux de distribution actuels du gaz naturel.
  • Au Québec, plus d’une soixantaine de sites différents produisent déjà du biogaz qui peut être épuré pour produire du GNR, y compris des sites d’enfouissement.
  • Il est estimé que l’injection en réseau de 1 % de GNR évite l’émission de près de 114 000 t de GES et de 5 % de GNR de quelque 570 000 t de GES. À titre illustratif, l’injection de 5 % de GNR équivaut au retrait de plus de 140 000 voitures.
  • Le gaz naturel renouvelable connaît une demande en forte croissance au Québec. Plusieurs entreprises soucieuses de devenir carboneutres utilisent cette énergie verte pour accéder à certains marchés internationaux ou pour satisfaire une clientèle écoresponsable.
  • Dans le cadre de la transition énergétique, il est démontré qu’un mélange de 50 % de gaz naturel et de 50 % de GNR reste économiquement compétitif par rapport au tarif hydroélectrique.

Liens connexes :

Création d’un comité de travail pour le traitement de l’épilepsie au Québec


 Publié le 27 mars 2019

À l’occasion de la Journée Lavande, qui vise à rappeler l’importance de sensibiliser la population à la situation des gens souffrant d’épilepsie, le ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux, monsieur Lionel Carmant, annonce la création d’un comité de travail qui se penchera sur le traitement de cette maladie neurologique.

« En cette journée, j’ai une pensée bien spéciale pour tous les enfants et les adultes qui vivent avec l’épilepsie. Nous avons le souci de leur offrir les meilleurs soins et services possible et d’améliorer leur qualité de vie, au quotidien. Il s’agit d’un enjeu prioritaire pour moi, et je suis donc très heureux d’annoncer la mise en place de ce comité de travail. Je remercie à l’avance les membres du comité, dont l’expertise et les connaissances nous seront très précieuses. », a déclaré Lionel Carmant, ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux.

Au Québec, on estime qu’environ 70 000 personnes souffrent d’épilepsie, qui est la maladie neurologique la plus répandue après les maux de tête. La plupart des personnes atteintes peuvent être traitées par des médicaments antiépileptiques. Toutefois, environ 30% des personnes atteintes sont réfractaires aux médicaments.

Le Québec dispose de peu d’informations actuellement concernant le portrait de la clientèle et l’organisation des soins et services offerts aux personnes souffrant de cette maladie. Les travaux du comité de travail permettront d’optimiser les ressources disponibles dans la prise en charge et le traitement de l’épilepsie chez les adultes et les enfants, et de contribuer à améliorer l’accessibilité tout au long du parcours de soins et de services.

Faits saillants :

Plus spécifiquement, le comité de travail aura pour mandat :

  • de prendre connaissance de l’offre des soins et services offerts aux épileptiques au Québec et des données probantes les plus pertinentes;
  • d’analyser les expériences pertinentes ailleurs et d’en adapter leur contenu à la réalité du Québec;
  • de proposer au ministère de la Santé et des Services sociaux des lignes directrices provinciales pour le traitement de l’épilepsie chez les adultes et les enfants en tenant compte des meilleures pratiques reconnues.
  • Le comité de travail regroupe 14 membres possédant une expertise multidisciplinaire complémentaire, soit des neurologues, un psychiatre, des médecins de famille, des infirmières praticiennes, une nutritionniste, un neuropsychologue, un pharmacien ainsi que deux patients partenaires ou leurs proches. La durée du mandat du comité est d’un an.

625 300 $ pour la réhabilitation de conduites d’eaux usées à la Ville de Sainte-Julie


 Publié le 26 mars 2019

Le gouvernement du Québec est fier de contribuer à l’amélioration des infrastructures municipales de Sainte‑Julie en octroyant 625 300 $ destinés à la réhabilitation de conduites d’eaux usées.

« Notre gouvernement est fier d’agir concrètement sur le milieu de vie des citoyens dans toutes les régions du Québec. C’est grâce à une étroite collaboration avec les acteurs municipaux que nous sommes en mesure d’assurer la qualité des services publics offerts à la population. », a annoncé Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean.

La ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, Mme Andrée Laforest, annonce cette aide financière provenant du Programme d’infrastructures municipales d’eau (PRIMEAU).

« Je me réjouis de cette annonce qui est une excellente nouvelle pour la Ville de Sainte‑Julie. Cet investissement démontre que le gouvernement du Québec est à l’écoute des besoins des municipalités. En tant que députée, j’entends jouer un rôle proactif pour faire avancer les projets des villes et des municipalités de la circonscription de Verchères. », a déclaré Suzanne Dansereau, députée de Verchères.

« Nous sommes heureux de pouvoir compter sur des partenaires comme le gouvernement du Québec pour réaliser des travaux d’envergure. L’amélioration de nos infrastructures et de la qualité de vie de nos citoyens est une priorité pour le conseil municipal. Cette aide financière nous permettra de poursuivre notre travail en gestion des infrastructures. », a souligné Suzanne Roy, mairesse de Sainte-Julie.

Faits saillants :

  • Les travaux seront effectués sur les rues Roger, Pépin et Brassard ainsi que sur les places Gaudette et Villeneuve.
  • Le Plan québécois des infrastructures 2018-2028 prévoit des investissements de près de 7,3 milliards de dollars dans le secteur des infrastructures municipales, sous la responsabilité du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH). En y ajoutant les contributions du gouvernement du Canada et des municipalités, ce sont plus de 14,3 milliards de dollars qui seront investis dans les infrastructures municipales au Québec au cours de cette période.

Liens connexes :

Pour en savoir plus sur les activités du MAMH, suivez-nous dans les médias sociaux :
https://www.facebook.com/AffairesMunicipalesHabitation
https://twitter.com/MAMhQC/

Une nouvelle maison Gilles-Carle à Boucherville


 Publié le 25 mars 2019

La ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, madame Marguerite Blais, accompagnée de la ministre de la Culture et des Communications, ministre responsable de la Langue française et députée de Montarville, madame Nathalie Roy, a souligné aujourd’hui l’ouverture prochaine de la Maison Gilles-Carle de Boucherville afin d’offrir davantage de soutien aux proches aidants de la communauté.

« Il s’agit d’un formidable projet qui prend vie ici à Boucherville, mis sur pied par des gens de la communauté qui ont à cœur de répondre aux besoins des proches aidants. Nous nous sommes engagés à offrir davantage de soutien à ces personnes qui font le choix courageux de s’occuper d’un proche à autonomie restreinte. Cette deuxième Maison Gilles-Carle est à l’image du réseau de maisons de répit que nous allons déployer au cours des prochaines années : un endroit où les proches aidants trouveront des services de soutien et de répit et où les personnes aidées trouveront des soins et des services sécuritaires et de grande qualité. », a annoncé Marguerite Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants.

Les locaux de la Maison Gilles-Carle de Boucherville seront aménagés dans la résidence Havre Providence appartenant aux Sœurs de la Providence. Lors de son ouverture, prévue en septembre prochain, la Maison accueillera 24 personnes atteintes de dégénérescence cognitive, d’incapacité physique, de maladie neurologique ou autre. Des services de halte-répit, de répit‑hébergement et de soutien psychosocial y seront offerts.

Rappelons que les services de répit répondent aux besoins exprimés par les proches aidants. Le gouvernement actuel s’était engagé, en campagne électorale, à intensifier et à diversifier l’offre des services de répit au Québec, notamment en soutenant l’ouverture de 20 maisons Gilles-Carle sur une période de 10 ans. Cette seconde maison Gilles-Carle fait la démonstration du respect de cet engagement de la part du gouvernement et de l’action rapide de ce dernier.

« Cette initiative permettra aux proches aidants de la communauté de bénéficier de services de répit dont ils ont grandement besoin. La cause des proches aidants me touche particulièrement et les besoins sont grands dans notre région. Je suis fière que notre gouvernement place la reconnaissance et la valorisation de leur rôle au cœur de ses engagements. Merci à tous les partenaires qui se sont mobilisés pour ce beau projet qui verra le jour sous peu, tel que je l’ai toujours souhaité. », a souligné Nathalie Roy, députée de Montarville.

Faits saillants :

Rappelons que le gouvernement du Québec s’est engagé à soutenir l’ouverture de vingt maisons au cours des dix prochaines années. L’octroi d’un montant de 200 000 $ à la Fondation Maison Gilles-Carle a été annoncé en janvier dernier et contribuera au déploiement de ces maisons de répit afin de répondre aux besoins des proches aidants.

La première Politique nationale pour les proches aidants est en rédaction et permettra de consolider la reconnaissance des proches aidants de même que leur rôle. Un plan d’action proposant des mesures concrètes pour répondre aux besoins des proches aidants est ensuite prévu.

Rencontre les partenaires du marché du travail de la région de l’Abitibi-Témiscamingue


 Publié le 25 mars 2019

Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie, M. Jean Boulet, a poursuivi sa tournée du Québec, réalisée dans le cadre de la Grande corvée, en faisant un arrêt dans la région de l’Abitibi-Témiscamingue pour y rencontrer des partenaires et intervenants du marché du travail.

Cette tournée vise à les mobiliser pour contrer les problématiques régionales liées à la rareté de la main-d’œuvre. Lors des échanges, M. Boulet a dévoilé un portrait exhaustif du marché du travail de la région de l’Abitibi-Témiscamingue. Ce document d’information permet notamment de renseigner les intervenants du milieu, leur permettant ainsi d’obtenir un état de la situation pour cette région.

Pendant ce septième arrêt de sa tournée du Québec, M. Boulet a fait connaître le bilan de la Grande corvée, qui vise à joindre, à écouter et à outiller les entreprises qui vivent des difficultés de recrutement. Cette action se déroule en continu et s’inscrit désormais comme une nouvelle façon de communiquer et d’échanger avec les entreprises du Québec.

En ce moment, près de 3 882 entreprises ont été appelées à travers le Québec. Pour l’Abitibi-Témiscamingue, le personnel du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MTESS) a contacté jusqu’à présent 126 entreprises et il a pu échanger avec 84 d’entre elles au sujet de leurs besoins de main-d’œuvre. Des conseillers aux entreprises rencontreront par la suite plusieurs de ces entreprises. Ces activités s’ajoutent aux interventions déjà en cours dans les entreprises de la région.

« Toutes les régions du Québec, dont celle de l’Abitibi-Témiscamingue, doivent relever des défis liés à la main-d’œuvre, et mon gouvernement est déterminé à appuyer les entreprises touchées par cette situation. Chaque région a des besoins spécifiques et ma tournée du Québec me permet d’être à l’écoute de toutes les régions pour ensuite pouvoir les aider efficacement. Le soutien annoncé aujourd’hui permettra à des régions ayant des besoins importants en main-d’œuvre d’attirer des personnes à la recherche d’un emploi dans une autre région et d’optimiser ainsi le fonctionnement du marché du travail. », a annoncé Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie.

Soutien pour la mobilité de la main-d’œuvre

  • Le ministre a profité de son passage à Val-d’Or pour annoncer des investissements de 3 M$ pour l’attraction de nouveaux travailleurs en région. Cette mesure, qui sera en vigueur dès le 1er mai 2019, a pour objectif de compenser une partie des frais de recrutement et d’installation de travailleurs qui s’installent dans une autre région.
  • Elle propose le remboursement de 50 % des frais de déplacement engagés pour une activité de recrutement réalisée à plus de 50 kilomètres de l’entreprise visée, et ce, jusqu’à concurrence de 500 $ par jour, par employé qui y participe.
  • Également, les entreprises qui remboursent des coûts de transport et de déménagement d’une personne qui accepte un emploi qu’elles offrent dans leur région pourraient bénéficier d’un remboursement de 50 % des frais assumés jusqu’à concurrence de 1 000 $ par nouvel employé.
  • Selon les projections du MTESS, près de 400 entreprises pourraient se prévaloir chaque année de la mesure de recrutement et 300 personnes pourraient bénéficier du soutien au déménagement.
  • Cette mesure contribuera à l’équilibre du marché du travail des régions en permettant d’arrimer davantage les besoins des entreprises situées dans des régions où le marché du travail connaît un fort taux d’emploi et un faible taux de chômage aux profils des personnes qualifiées qui sont en situation de chômage dans d’autres régions.

Faits saillants :

  • La mesure annoncée, qui vise à compenser une partie des frais de recrutement et d’installation des travailleuses et travailleurs qui s’installent dans une nouvelle région, s’adresse aux entreprises ayant des postes à pourvoir et des difficultés de recrutement, malgré des démarches de recrutement jugées efficaces à la suite de l’analyse d’un conseiller aux entreprises du MTESS. Elle vise notamment les entreprises invitées par un organisme en régionalisation à se déplacer pour rencontrer des personnes immigrantes à la recherche d’un emploi.
  • Pour le soutien à une activité de recrutement, le remboursement de 50 % des coûts, jusqu’à un maximum de 500 $ par jour, par employé de l’entreprise qui se déplace, peut couvrir notamment les frais de déplacement, de repas et d’hébergement.
  • Concernant le soutien à l’embauche, jusqu’à 50 % des coûts de déménagement que l’entreprise rembourse au candidat qui accepte de déménager, si son lieu de résidence est à plus de 50 kilomètres de l’entreprise, peuvent être couverts, jusqu’à concurrence de 1 000 $ par travailleur. Par exemple, une partie des frais payés à la compagnie de déménagement, pour la location d’un camion de déménagement ou pour le transport de la personne pourraient être couverts.
  • Il est estimé que près de 400 entreprises par année pourraient bénéficier du soutien au recrutement et que le soutien à l’embauche pourrait être offert pour près de 300 personnes.
  • M. Boulet se rendra dans toutes les régions du Québec afin de rencontrer les partenaires du marché du travail pour, notamment, leur présenter sa vision des actions à poser afin de soutenir les entreprises devant conjuguer leurs besoins avec la rareté de la main-d’œuvre et leur faire connaître les programmes, mesures et services du MTESS. Il a commencé sa tournée du Québec le 4 février à Trois-Rivières.
  • Rappelons que M. Boulet a fait savoir que l’intervention du Ministère sur la main-d’œuvre se déploie sur quatre fronts, soit :
  • Intégrer le plus grand nombre de personnes au marché du travail, entre autres les personnes handicapées, les travailleurs expérimentés, les Autochtones et les immigrants.
  • Adapter la main-d’œuvre actuelle pour soutenir les travailleurs afin d’actualiser leurs compétences pour répondre aux transformations de l’économie en leur offrant de la formation continue.
  • Préparer la future main-d’œuvre en offrant des formations adaptées à l’évolution des besoins du marché et en orientant les jeunes vers ces domaines.
  • Accroître la productivité des entreprises en les accompagnant dans la mise en place de solutions pour compenser la rareté de la main-d’œuvre, soit par la réorganisation du travail, l’acquisition d’équipement, la numérisation, la robotisation, les technologies de l’information, la recherche et le développement.
    La Grande corvée, réalisée par près de 200 conseillers du MTESS, a été annoncée le 17 janvier dernier.
  • Les entreprises qui souhaitent obtenir de l’information peuvent en tout temps joindre un conseiller aux entreprises du Ministère au bureau de Services Québec ou au centre local d’emploi le plus près.

Deuxième appel à projets de Climat municipalités


 Publié le 25 mars 2019

Québec lance aujourd’hui le deuxième appel à projets du programme Climat municipalités – Phase 2 (CM-2). Ce programme, doté d’un budget total de 40 M$ en provenance du Fonds vert, soutient les organismes municipaux du Québec dans leurs efforts de lutte contre les changements climatiques.

C’est ce qu’a fait savoir aujourd’hui le ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, M. Benoit Charette. L’appel à projets se tient dans le cadre du volet 2 de ce programme. Il offre du financement pour la réalisation de projets pilotes permettant aux organismes municipaux de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) ou d’augmenter leur résilience face aux impacts des changements climatiques. Le gouvernement souhaite ainsi favoriser l’émergence de nouvelles solutions qui pourront ensuite être reprises par d’autres collectivités afin de faire progresser la lutte contre les changements climatiques à travers le Québec.

Les municipalités intéressées ont jusqu’au 20 septembre 2019 pour soumettre leur demande de financement.

« Les municipalités sont au cœur de l’action environnementale. Elles sont parmi les premières à subir les conséquences des changements climatiques, mais elles détiennent aussi le pouvoir d’en amoindrir les impacts et d’atténuer les émissions de GES. Je suis persuadé que c’est dans nos milieux de vie, au sein de nos communautés et avec le soutien du gouvernement, que naîtront les solutions les plus innovantes pour relever les défis liés au bouleversement de notre climat. C’est pourquoi je suis très heureux de soutenir le passage à l’action de nos municipalités à travers le programme Climat municipalités. Ensemble, nous réussirons à transformer le Québec. », a annoncé Benoit Charette, ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques.

Faits saillants :

Le programme CM-2 comporte deux volets :

  • Le volet 1, doté d’un budget total de 5 M$, soutient la préparation de projets par la réalisation d’études de faisabilité ou d’analyses coûts-avantages. L’aide financière allouée est d’un maximum de 50 000 $ par projet.
  • Les organismes municipaux peuvent soumettre leur dossier en tout temps.
  • À ce jour, six projets d’études et d’analyses coûts-avantages ont été retenus dans le cadre du volet 1. La MRC de Papineau et les villes de Candiac, Gatineau, Joliette, Laval et Sainte-Anne-des-Plaines se voient accorder un soutien financier qui leur permettra de mieux planifier et d’évaluer la faisabilité de leurs projets de lutte contre les changements climatiques.
  • Le volet 2, doté d’un budget total de 35 M$, soutient la réalisation de projets pilotes visant à expérimenter des solutions techniques (infrastructures vertes, aménagements résilients ou technologies vertes) ou sociales (incluant les acteurs du milieu dans la recherche de solutions). L’aide financière allouée est d’un maximum de 1 M$ par projet. Les organismes municipaux doivent soumettre leur demande financière au cours d’appels à projets.
  • Huit organismes municipaux ont été sélectionnés dans le cadre du premier appel à projets du volet 2, qui s’est déroulé du 19 juin au 5 octobre 2018. Ainsi, la Communauté maritime des Îles-de-la-Madeleine, la Municipalité d’Ascot Corner, les MRC de Brome-Missisquoi et de Montmagny, de même que les villes de Laval, Lévis, New Richmond et Victoriaville, recevront une aide financière pour mettre sur pied leurs projets pilotes de lutte contre les changements climatiques.
  • Un troisième et dernier appel à projets sera lancé au printemps 2020.
  • Le programme se terminera le 31 décembre 2020.
  • Climat municipalités – Phase 2 est financé par le Fonds vert dans le cadre de la priorité 2 du Plan d’action 2013-2020 sur les changements climatiques (PACC 2013-2020), qui vise à soutenir les municipalités et les collectivités dans leurs initiatives de réduction des émissions de GES, d’adaptation aux changements climatiques et d’aménagement durable du territoire.

Liens connexes :

Pour obtenir plus d’information sur le programme Climat municipalités – Phase 2 et sur les projets sélectionnés : www.environnement.gouv.qc.ca/programmes/climat-municipalites2/index.htm.

Pour en savoir plus sur le Plan d’action 2013-2020 sur les changements climatiques : www.environnement.gouv.qc.ca/changementsclimatiques/plan-action-fonds-vert.asp.

Investissements majeurs pour contrer l’érosion des berges


 Publié le 25 mars 2019

Le gouvernement du Québec investira cet été de 10 à 25 millions de dollars pour la protection contre l’érosion des berges de la route 199, aux Îles-de-la-Madeleine. Les travaux consisteront principalement à consolider les emprises routières.

La ministre déléguée au Développement économique régional, ministre responsable de la région de la Chaudière-Appalaches, de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Mme Marie-Eve Proulx, en a fait l’annonce aujourd’hui au nom du ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel.

« Une fois de plus, votre gouvernement démontre qu’il est à l’écoute de la population et qu’il accorde une grande importance au développement économique et touristique des Îles-de-la-Madeleine. Nous voulons que les insulaires des Îles-de-la-Madeleine puissent se déplacer sur la route 199 en toute quiétude. », a annoncé Marie-Eve Proulx, ministre déléguée au Développement économique régional, ministre responsable de la région de la Chaudière-Appalaches, de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine.

« L’investissement majeur annoncé aujourd’hui confirme la volonté du gouvernement du Québec de sécuriser le lien routier de l’archipel. Nous sommes présents pour répondre aux préoccupations des Madelinotes et des Madelinots en améliorant leur sécurité sur ce lien routier névralgique. », a souligné François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie.

Faits saillants :

  • Rappelons que le ministère des Transports travaille de concert avec le milieu, notamment dans le cadre du Comité Érosion, qui regroupe des représentants de la communauté maritime, d’Hydro-Québec et de différents ministères, afin de statuer sur des solutions durables et envisageables à long terme et de mettre en œuvre des projets d’adaptation et de réduction de la vulnérabilité des infrastructures.
  • Suivez-nous sur Twitter et sur Facebook.