Mise en marché des produits bioalimentaires québécois


 Publié le 9 janvier 2019

À la suite du renouvellement du Programme Proximité jusqu’en 2022, M. Jean-Claude Poissant, secrétaire parlementaire du ministre fédéral de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, M. Lawrence MacAulay, et M. André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, annoncent un premier appel de projets. En vertu du Partenariat canadien pour l’agriculture, ce programme, doté d’une enveloppe de huit millions de dollars sur cinq ans, vise à rapprocher les producteurs agricoles et les transformateurs artisans des consommateurs. Il permet notamment de soutenir le développement et la consolidation d’initiatives collectives de mise en marché de proximité et aussi d’appuyer les entreprises qui désirent mieux se positionner sur ces marchés.

« Le gouvernement encourage la mise en marché de proximité parce que cette approche permet de répondre à l’intérêt croissant des consommateurs qui veulent connaître l’origine des aliments qu’ils achètent et soutenir l’économie locale. Ce faisant, les initiatives en ce sens favorisent le rapprochement du consommateur et du producteur, tout en ouvrant une belle vitrine pour les produits bioalimentaires du Québec de même que pour les artisans du secteur. Cette stratégie favorise aussi le développement d’une diversité de modèles d’affaires innovants et prospères qui sont des atouts pour la vitalité des territoires. », a annoncé M. André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation.

Le Programme Proximité vient soutenir la mise en œuvre de la Politique bioalimentaire 2018-2025 ‑ Alimenter notre monde en contribuant au développement de l’attractivité des territoires. Il correspond notamment à l’une des pistes de travail mises en avant dans la Politique qui consiste à « appuyer le développement d’initiatives liées à la mise en marché de proximité et au tourisme gourmand ». De plus, la Politique bioalimentaire reconnaît les marchés de proximité comme l’un des vecteurs de croissance sur lesquels doit miser le Québec.

« Le gouvernement du Canada est fier d’encourager le développement d’initiatives favorisant un rapprochement entre les producteurs, les transformateurs et les consommateurs. Cette proximité permet de rendre accessibles et de mettre en valeur les produits québécois, tout en appuyant le développement de l’économie locale et le maintien d’emplois de qualité pour les familles de la classe moyenne dans les régions du Québec. », a souligné M. Jean-Claude Poissant, secrétaire parlementaire du ministre fédéral de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire.

Faits saillants

Le Programme Proximité comporte deux volets :

  • Le volet 1 vise à développer ou à consolider des initiatives collectives de mise en marché de proximité. L’aide accordée s’élève à 50 000 $ par projet pour la durée du programme.
  • Le volet 2 vise à développer une offre de produits et de services qui répond aux besoins des consommateurs dans la perspective d’une mise en marché de proximité. L’aide accordée s’élève à 25 000 $ par projet pour la durée du programme.
  • La première période pour le dépôt de demandes d’aide financière relatives au volet 1 « Appui aux initiatives collectives » s’étend du 8 janvier au 8 février 2019. En ce qui a trait aux demandes d’aide pour le volet 2 « Appui aux initiatives individuelles », elles peuvent être déposées en continu à compter du 8 janvier.
  • Le programme appuie autant des initiatives collectives (marchés publics, circuits agrotouristiques, etc.) que des entreprises qui désirent développer une offre de produits ou de services en vue de mieux se positionner dans les marchés de proximité.
  • Environ une entreprise agricole sur cinq est active dans les marchés de proximité. On trouve au Québec :
    plus de 175 marchés publics;
  • environ 880 producteurs agricoles qui pratiquent l’agrotourisme et plus de 1000 entreprises qui mènent des activités liées au tourisme gourmand;
  • une vingtaine de marchés virtuels sur le Web;
  • près de 300 fermes offrant des paniers de produits frais selon la formule de l’agriculture soutenue par la communauté;
  • plus de 5000 entreprises qui font de la vente à la ferme.

Bilan des cent jours du gouvernement


 Publié le 9 janvier 2019

Sylvie D’Amours, ministre responsable des Affaires autochtones et ministre responsable de la région des Laurentides, est fière de souligner qu’aujourd’hui marquera les cent premiers jours du nouveau gouvernement du Québec. Ces premiers mois ont été caractérisés par la réalisation de plusieurs engagements électoraux. Après un discours d’ouverture bien accueilli, le nouveau gouvernement a livré la marchandise et a assuré une transition dans l’ordre, au bénéfice des Québécoises et Québécois.

« Je suis fière du bilan des cent premiers jours de notre gouvernement. C’est un honneur pour moi de faire partie de l’équipe du changement. Plusieurs de nos promesses sont déjà réalisées. Notre gouvernement est près des gens, et nous nous sommes rapidement retroussé les manches pour agir concrètement. Vous m’avez fait confiance; les Québécoises et Québécois ont fait confiance à l’équipe du changement, et notre gouvernement livre la marchandise. L’année 2019 est prometteuse! », a expliqué Sylvie D’Amours, ministre responsable des Affaires autochtones.

Avec l’éducation, l’économie et la santé comme priorités, le premier ministre, François Legault, et les 74 députées et députés de l’équipe ont l’intention de rester près des gens et d’être à l’écoute de la population afin de former un gouvernement à l’image des citoyennes et citoyens.

Promesses tenues

Le nouveau gouvernement a un bilan enviable en matière de promesses tenues. En effet, la ministre responsable de la région des Laurentides rappelle que, déjà, trois projets de loi majeurs ont été déposés à l’Assemblée nationale. Ces projets de loi permettront notamment de modifier le processus de nomination au DPCP, à la SQ et à l’UPAC, de resserrer l’encadrement sur le cannabis et de baisser les taxes scolaires. Un plan a également été déposé pour réduire les cibles d’immigration.

En seulement cent jours, de grands chantiers ont été entrepris pour le Québec. Les premiers pas vers une politique nationale des proches aidants ont été réalisés, alors qu’une grande journée de consultations a réuni des proches aidants et des organismes des quatre coins du Québec. Les travaux de revitalisation de l’Est de Montréal sont également enclenchés, dans la foulée de la signature d’une déclaration commune du Gouvernement du Québec et de la Ville de Montréal.

Venir en aide aux plus vulnérables

Le nouveau gouvernement a également annoncé des mesures pour remettre de l’argent dans les poches des contribuables, notamment à l’occasion de la mise à jour économique qui a permis la création de l’Allocation famille et d’un nouveau crédit d’impôt pour les aînés.

Un vent de changement souffle à l’Assemblée nationale

La ministre rappelle qu’après avoir réussi l’exploit de faire élire un parti qui n’avait jamais gouverné, le nouveau gouvernement se distingue par l’ouverture dont il a fait preuve en reconnaissant le Parti québécois et Québec solidaire comme groupes parlementaires. Un nombre record de femmes ont également été élues sous la bannière de la Coalition Avenir Québec.

« Notre gouvernement a bien fait les choses en peu de temps et nous comptons continuer à faire avancer nos dossiers à cette cadence. La population d’Abitibi-Est peut compter sur mon équipe et moi pour bien représenter leurs intérêts. Nous sommes fiers du bilan des cent jours et c’est avec un grand enthousiasme que j’entame cette nouvelle année. », a souligné Pierre Dufour, ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec.

Investissement de 300 000 $ pour promouvoir la région d’Eeyou Istchee Baie-James


 Publié le 8 janvier 2019

Le gouvernement du Québec est fier d’accorder une aide financière de 300 000 $ à Tourisme Baie-James pour la réalisation d’activités de promotion et de marketing visant à faire connaître la région d’Eeyou Istchee Baie-James sur les marchés touristiques hors Québec.

C’est ce qu’a annoncé aujourd’hui la ministre du Tourisme, Mme Caroline Proulx.

« L’investissement annoncé aujourd’hui contribuera sans aucun doute à vitaliser la magnifique région d’Eeyou Istchee Baie-James. La promotion de cette destination touristique à l’extérieur du Québec permettra l’accroissement du nombre de visiteurs, et ce, en harmonie avec la nature et dans le respect de son environnement. », a mentionné Caroline Proulx, ministre du Tourisme.

L’aide financière provient du Programme de soutien aux stratégies de développement touristique, volet 5 ‒ Appui à la Stratégie touristique québécoise au nord du 49e parallèle du ministère du Tourisme.

« La région d’Eeyou Istchee Baie-James gagne à être découverte, que ce soit pour ses grands espaces, ses forêts grandioses, sa faune diversifiée ou ses paysages à couper le souffle. Le soutien financier accordé par le gouvernement du Québec pour faire la promotion de la région sur une plus grande échelle permettra de mettre en valeur trois caractéristiques distinctes du territoire : la nature, la culture et le terroir. », a expliqué Pierre Dufour, ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec.

Faits saillants :

Tourisme Baie-James vise à mettre sur pied des campagnes promotionnelles ayant pour objectifs d’augmenter la notoriété d’Eeyou Istchee Baie-James et de contribuer à la reconnaissance de la région sur les marchés hors Québec, et ce, par le biais :

  • de relations de presse;
  • de promotions, de placements Web et médias, d’achat de mots-clés et réseaux sociaux;
  • de bourses;
  • de salons promotionnels et de foires;
  • d’alliances et de partenariats.
  • L’investissement du gouvernement du Québec permettra entre autres de stimuler la création d’emplois, l’augmentation du nombre de visiteurs et l’accroissement des dépenses touristiques dans la région.
  • La Stratégie touristique québécoise au nord du 49e parallèle vise à renouveler l’offre touristique québécoise en développant de nouveaux produits et attraits ainsi qu’en stimulant la croissance de petites et moyennes entreprises, permettant ainsi de diversifier l’économie des régions nordiques.

Nouveau programme d’études Intervention en gestion parasitaire


 Publié le 8 janvier 2019

Dans le but de répondre à un besoin de main-d’œuvre qualifiée en gestion parasitaire, le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge, a approuvé un nouveau programme d’études menant à une attestation d’études professionnelles. Cette formation, élaborée par la Commission scolaire des Premières-Seigneuries, pourra être offerte dès janvier 2019 par l’ensemble des commissions scolaires. Le député de Montmorency, M. Jean-François Simard, en a fait l’annonce aujourd’hui, au nom du ministre Roberge.

« Notre gouvernement est à l’écoute des besoins du marché du travail. L’approbation du nouveau programme d’études Intervention en gestion parasitaire, élaboré par la Commission scolaire des Premières-Seigneuries, en est d’ailleurs un excellent exemple. Je suis heureux pour les élèves qui pourront le suivre, mais également pour les entreprises de la région, qui pourront bénéficier d’une main-d’œuvre qualifiée. », a annoncé Jean-François Simard, député de Montmorency.

Depuis quelques années, certaines problématiques relatives à la présence d’animaux et d’insectes nuisibles, notamment les punaises de lit, sont en croissance. Ce nouveau programme d’études permettra de former davantage de techniciennes et techniciens en gestion parasitaire.

« Avec ce nouveau programme d’études, le réseau des commissions scolaires, notamment la Commission scolaire des Premières-Seigneuries, élargit son offre de services, au plus grand bénéfice des élèves, qui pourront assurément y trouver leur compte. C’est en posant des gestes concrets comme celui-ci que nous pourrons répondre aux besoins grandissants de main‑d’œuvre dans ce secteur d’activité. », a expliqué Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur.

Faits saillants

Au Québec, près de 800 personnes occupent un emploi de fumigateur ou fumigatrice ou de préposé ou préposée au contrôle de la vermine. Avec un taux de roulement de 6,6 %, le besoin en main-d’œuvre est d’une cinquantaine de personnes à former par année pour cette classe d’emploi.

Des cliniques d’hiver pour désengorger les urgences


 Publié le 8 janvier 2019

Tous les ministres de la Santé doivent réfléchir durant leur mandat à des solutions pour désengorger les urgences. Danielle McCann a dû rapidement se pencher sur cet enjeu et elle croit que l’implantation de cliniques d’hiver pourrait contribuer à désengorger le système.

La suite de l’article, ici.

Mission économique à Las Vegas


 Publié le 7 janvier 2019

À l’occasion d’une mission économique qui se déroulera du 8 au 11 janvier prochains à Las Vegas, le ministre de l’Économie et de l’Innovation, M. Pierre Fitzgibbon, participera à l’événement international Consumer Electronics Show (CES) afin de faire connaître et de mettre en valeur l’expertise du Québec dans des secteurs innovants, notamment celui des technologies de l’information et des communications.

Le ministre Fitzgibbon accompagnera la délégation du Québec, composée de plus de 75 participants, dont une cinquantaine d’entreprises et d’organismes. Ces organisations proviennent de différents domaines d’activité, tels que la réalité virtuelle, l’Internet des objets, les technologies de l’information et des communications, le transport et la culture.

« Dans une économie aussi ouverte que celle du Québec, la croissance des exportations et l’internationalisation des activités commerciales sont essentielles pour assurer notre prospérité et la création d’emplois. En organisant des missions économiques, le gouvernement confirme un soutien continu aux entreprises québécoises dans leur développement sur les marchés extérieurs en leur offrant la possibilité de mieux les connaître et d’y renforcer leur présence. Reconnu comme un chef de file en technologies innovantes, le Québec a beaucoup à offrir aux entreprises étrangères : une main-d’œuvre hautement qualifiée; des infrastructures de recherche privées et publiques importantes; divers centres de recherche et de transfert spécialisés; des universités de premier plan dans divers créneaux de pointe; un régime fiscal compétitif; et des sources de financement diversifiées. Sans contredit, la participation des entreprises québécoises au Consumer Electronics Show est une occasion incontournable de maillage international. », a souligné Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation.

Organisée par Export Québec, la mission au CES vise à soutenir les efforts déployés par les entreprises québécoises pour accéder aux marchés américains et internationaux des produits innovants en leur permettant de rencontrer les acheteurs sur place. Elle est réalisée en collaboration avec :

Les missions commerciales ont principalement pour objectif de favoriser les ventes et l’établissement de partenariats commerciaux, industriels et technologiques. Elles permettent également de renforcer les chaînes de valeur en liant les fournisseurs québécois aux grandes entreprises, en accélérant la commercialisation des idées et en élargissant l’accès aux marchés.

Faits saillants :

  • Le salon CES, qui se déroulera cette année du 8 au 11 janvier à Las Vegas, est l’un des événements les plus prisés au monde en matière d’innovation et de nouvelles technologies. Il ouvre la porte à de nombreuses occasions d’affaires pour les entreprises qui y participent.
  • Plus de 5 000 entreprises exposent annuellement leurs nouvelles technologies au salon CES. En 2018, il a accueilli quelque 180 000 personnes, parmi lesquelles se trouvaient près de 25 000 acheteurs. Cet événement, lors duquel se tiennent des kiosques d’exposition et plus de 300 conférences, représente sans contredit un incontournable pour les intervenants des secteurs de l’innovation technologique.