Élection générale de 2018 : André Bachand sera le candidat de la CAQ dans Richmond


 Publié le 12 mars 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est très fier d’annoncer que l’ex-maire, député fédéral et ambassadeur, André Bachand, sera le candidat pour sa formation politique dans le comté de Richmond lors de la prochaine élection générale. Pour François Legault, la candidature d’André Bachand envoie un message fort aux gens de l’Estrie : la CAQ a l’intention de s’implanter durablement dans la région.

« André et la CAQ, c’est un mariage naturel. C’est un nationaliste québécois depuis toujours, qui souhaite bâtir avec nous un Québec fort et fier, à l’intérieur du Canada. André est aussi très attaché à sa ville de naissance, Asbestos, et à sa région, l’Estrie. Il comprend parfaitement l’importance de nos régions dans le développement économique du Québec et il vient avec une grande expérience. Avec son bagage, André va jouer un rôle important dans un éventuel gouvernement de la CAQ », a indiqué François Legault.

André Bachand est très enthousiaste face à la vision de la CAQ pour le développement économique des régions. « François Legault veut développer notre économie en s’appuyant sur les régions. Il veut un Québec plus fort et plus riche à l’intérieur du Canada. Ça me rejoint parfaitement. Après toutes les rencontres que j’ai eues avec François Legault, l’organisation, les députés et des membres de la CAQ, je peux vous affirmer que j’ai une confiance énorme en cette équipe. À mes yeux, la CAQ incarne véritablement le changement. Je suis convaincu qu’on peut réaliser de grandes choses ensemble », a-t-il expliqué.

Le développement économique régional au coeur des priorités

D’entrée de jeu, le candidat caquiste identifie trois priorités pour le comté de Richmond. « Il est certain que la diversification économique de la région d’Asbestos doit être une priorité. Le Fonds de diversification de la MRC des Sources sera vraisemblablement épuisé d’ici 2022 et il faut s’assurer qu’aucun projet ne sera pénalisé après cette échéance. Il y a également la couverture Internet haute vitesse qui doit être améliorée. Le développement économique d’une région en 2018 passe absolument par un accès convenable à Internet. Et finalement, il faut aussi parler du dossier de la route 257 qui devient carrément dangereuse », a conclu André Bachand.

Fusion du CHU Sainte-Justine avec le CHUM : Un gouvernement de la CAQ redonnera à Sainte-Justine sa pleine autonomie


 Publié le 8 mars 2018

Alors que de nombreuses personnes manifestaient dans les rues de Montréal ce jeudi, y compris l’ex-ministre de la Santé et fondateur du régime d’assurance-maladie, Claude Castonguay, ainsi que l’ancienne ministre libérale Marguerite Blais, la Coalition Avenir Québec tient à réitérer qu’elle s’engage à redonner à Sainte-Justine sa pleine et entière autonomie, si elle forme le prochain gouvernement en octobre 2018.

La fusion des C.A. et des postes de PDG de Sainte-Justine et du CHUM ne tient pas la route, a indiqué la porte-parole de la CAQ en matière de santé publique, Lise Lavallée. L’obsession de Gaétan Barrette à vouloir toujours tout centraliser doit cesser, a-t-elle ajouté. La CAQ soutient les médecins, dentistes et pharmaciens du CHU Saint-Justine, de même que les anciens libéraux M. Castonguay et Mme Blais, et exige de Philippe Couillard qu’il recule.

S’il refuse, un gouvernement de la CAQ redonnera à Saint-Justine son propre conseil d’administration et président-directeur général et préservera la qualité des services dans cette institution reconnue internationalement.

Journée internationale des femmes : La CAQ souligne la contribution extraordinaire des femmes pour le Québec


 Publié le 8 mars 2018

 À l’occasion de la Journée internationale des femmes, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, et sa porte-parole en matière de condition féminine, Lise Lavallée, ont tenu à saluer tout le chemin parcouru par les Québécoises au cours des dernières décennies.

Où qu’elles œuvrent, les femmes inspirent un changement positif dans notre société, a déclaré François Legault, qui a tenu à souligner que de plus en plus de femmes prennent leur place sur le marché du travail, notamment dans les conseils d’administration et à la direction d’entreprises, de sociétés d’État ou de ministères. Il reste tout de même des défis importants, dont celui de renforcer la place des femmes en politique. De par leurs perspectives, leurs forces, leur intelligence et leurs expériences, les Québécoises doivent prendre leur place dans les lieux de pouvoir, y compris l’Assemblée nationale, a partagé M. Legault.

La députée de Repentigny et porte-parole de la CAQ en matière de condition féminine, Lise Lavallée, a de son côté rappelé que l’égalité entre les femmes et les hommes est un combat qu’il faut poursuivre au Québec, encore en 2018. Encore trop de femmes gagnent moins que les hommes sur le marché du travail et beaucoup trop sont victimes d’inconduites à caractère sexuel. À ce titre, la montée en popularité du mouvement #MoiAussi est une bonne nouvelle et il faut tout mettre en œuvre pour que de plus en plus de femmes se sentent à l’aise de dénoncer les gestes inacceptables, a ajouté Mme Lavallée.

Élection générale de 2018 : Mario Asselin portera les couleurs de la CAQ dans Vanier-Les Rivières


 Publié le 7 mars 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est très fier d’annoncer que Mario Asselin, directeur d’école et entrepreneur, sera le candidat pour sa formation politique dans le comté de Vanier-Les Rivières lors de la prochaine élection générale. François Legault se réjouit de pouvoir compter sur un professionnel de sa qualité pour qui l’éducation est la grande priorité au Québec.

« Mario et moi, on a deux passions communes : l’éducation et l’entrepreneuriat. Il nous a d’ailleurs aidé à développer deux grandes mesures qui vont être implantées par un gouvernement de la CAQ : la maternelle dès quatre ans offerte à tous les enfants, sans être obligatoire, et l’ajout de cinq heures de plus par semaine dans toutes les écoles secondaires pour trois activités, soit plus de sports, plus d’arts et plus d’aide aux devoirs », a expliqué le chef de la CAQ.

Celui qui habite le comté de Vanier-Les Rivières depuis 1998 soutient être porté par une motivation particulière : « Je veux agir pour que l’éducation soit la mieux adaptée possible aux besoins des jeunes et je veux accompagner les organisations dans le nécessaire virage numérique pour qu’elles gèrent mieux la connaissance. Tous ceux qui me connaissent savent que je me suis donné cette mission dans les trois véhicules empruntés dans mon parcours professionnel : l’école, l’entreprise et la politique active », a indiqué Mario Asselin,

D’entrée de jeu, le candidat caquiste identifie quatre grandes priorités pour le comté de Vanier-Les Rivières. « Je veux favoriser l’autonomie de la vingtaine d’écoles du comté pour qu’elles répondent mieux aux besoins des jeunes. Je compte aider les familles à bénéficier des meilleurs services possibles tout en disposant de plus d’argent dans leur portefeuille. Je souhaite contribuer à régler les problèmes de circulation sur les artères principales empruntées par les citoyens de Vanier-Les Rivières, et je tiens à m’assurer que les citoyens aient accès à des emplois payants », a-t-il soutenu.

« L’équipe Québec prend forme! »

François Legault est fier de constater que l’équipe Québec de la CAQ prend forme en vue de l’élection générale de 2018. « C’est une équipe forte, qui va jouer un rôle très important dans un éventuel gouvernement de la CAQ.  Québec est très importante pour nous et le vent de changement qui est en train de s’étendre à la grandeur du Québec a commencé à souffler à Québec, dans Louis-Hébert. Dans moins de sept mois, les Québécois vont enfin pouvoir voter pour l’équipe du changement », a-t-il conclut.

Prostitution juvénile et exploitation sexuelle : Lise Lavallée dévoile une série de mesures


 Publié le 6 mars 2018

AILE PARLEMENTAIRE DE LA COALITION AVENIR QUÉBEC

À la suite de plusieurs consultations et nombreuses rencontres avec des experts, Lise Lavallée, députée de Repentigny et porte-parole de la Coalition Avenir Québec (CAQ) en matière de condition féminine et de santé publique, dévoile la série de mesures qu’un gouvernement de la CAQ entend déployer pour lutter efficacement contre la prostitution juvénile et l’exploitation sexuelle des jeunes.

Il est impératif de s’attaquer à ces fléaux sous tous ses angles, estime Lise Lavallée. Sensibilisation, prévention, lutte contre les proxénètes, réparation pour les victimes : rien ne doit être laissé de côté pour s’assurer que le Québec ne soit plus une plaque tournante de l’exploitation sexuelle. Voici les mesures mises de l’avant par la CAQ.

  1. Donner le mandat au ministère de la Sécurité publique de préparer une stratégie nationale comprenant une série d’actions concrètes pour lutter contre la prostitution juvénile et l’exploitation sexuelle des jeunesIl n’existe actuellement aucun portrait exhaustif de la situation de la prostitution juvénile au Québec. Il faut mobiliser les forces vives concernées autour d’une démarche commune. Un gouvernement de la CAQ lancera des consultations publiques qui serviront de point de départ pour l’élaboration d’une véritable stratégie nationale de lutte contre la prostitution juvénile et l’exploitation sexuelle des jeunes.
  2. Mise en place d’une formation pour les acteurs de l’industrie hôtelière, ainsi que d’une ligne téléphonique d’urgenceLa CAQ propose l’instauration d’une ligne téléphonique d’urgence contre la traite des personnes dont l’affichage serait obligatoire dans certains lieux ciblés (hôtels, motels, stations de métro, etc.). Cette ligne d’urgence sera un point de chute pour quiconque souhaite dénoncer une situation dont il a été témoin ou pour obtenir de l’aide. Il faut également développer une formation destinée à l’industrie hôtelière pour en faire un partenaire dans cette lutte.
  3. Ajouter les crimes de traite de personnes et d’exploitation sexuelle à la liste de ceux donnant accès au régime d’indemnisation de l’IVACActuellement, seuls certains crimes peuvent donner accès au programme québécois d’aide et d’indemnisation des victimes d’actes criminels (IVAC). Les victimes d’exploitation sexuelle et de traite de personnes doivent avoir droit à une indemnisation.
  4. Inclure les services en sexologie dans la liste des services complémentaires du Régime pédagogique de l’éducation préscolaire, de l’enseignement primaire et de l’enseignement secondaireDans l’éventualité où aucun sexologue n’est disponible, s’assurer qu’un intervenant compétent soit en charge de soutenir les enseignants dans le cadre du cours d’éducation à la sexualité
  5. S’assurer qu’une partie du programme soit consacré à prévenir l’entrée dans la prostitution et vise à contrer sa banalisationLa prévention en matière de prostitution et d’exploitation sexuelle nécessite la présence de sexologues dans nos écoles. De plus, le cours d’éducation à la sexualité doit servir à prévenir l’entrée de nos adolescent(e)s dans le monde de la prostitution. Ce cours sera un levier important de prévention et invitera nos jeunes à poser un regard critique sur la violence faite aux femmes et la banalisation de la prostitution.
  6. Mettre les organismes communautaires à contribution et déployer à l’échelle du Québec, là où il est pertinent de le faire, les initiatives qui fonctionnent 

    En matière de prévention, des organismes communautaires compétents et dévoués sont déjà à pied d’œuvre. Plusieurs initiatives ont fait leurs preuves. Malheureusement, leur capacité d’action et de déploiement est limitée. Le gouvernement du Québec doit déployer à l’échelle du Québec les programmes qui portent fruit.

  7. Doubler, sur cinq ans, les effectifs policiers de l’escouade régionale mixte antiproxénétisme et mettre sur pied des équipes d’interventions multidisciplinairesEn élargissant le mandat de l’escouade régionale mixte antiproxénétisme et en bonifiant ses effectifs, le Québec sortira gagnant. Un gouvernement de la CAQ doublera, sur cinq ans, le nombre de policiers au sein de cette équipe, de 25 à 50. Avec les ressources suffisantes, il leur sera possible de s’attaquer aux deux principales sources du problème : l’offre (les proxénètes) et la demande (les clients). C’est en déployant plus d’enquêteurs sur le terrain que l’on mènera une lutte ciblée et efficace contre la prostitution juvénile et l’exploitation sexuelle.
  8. Collaborer à l’ouverture de nouvelles maisons d’hébergement dédiées à la sortie de la prostitution pour les jeunes femmes 

    Le gouvernement du Québec tire déjà profit de l’expertise de nombreuses ressources en place, notamment celle d’organismes et des maisons de soutien dédiées entièrement à la cause. Toutefois, une analyse plus approfondie devra être menée afin d’identifier précisément les besoins réels. La CAQ est d’avis que des maisons dédiées aux survivantes de la prostitution doivent rapidement être ouvertes, pour les aider à reprendre le contrôle de leur corps et de leur vie, ainsi que de les éloigner de leurs agresseurs.

  9. Réviser globalement la qualité des services offerts dans les centres jeunesse et les conditions de travail des intervenants 

    Les vagues de fugues que nous avons vécues récemment au Québec dans les centres jeunesse ont été un signal d’alarme. Un rapport interministériel déposé il y a quelques mois a confirmé que les centres jeunesse sont un lieu de recrutement de mineures pour l’exploitation sexuelle menée par des proxénètes. Un gouvernement de la CAQ lancera un chantier visant l’amélioration des services offerts dans ces centres, tout en offrant aux intervenants des conditions de travail améliorées afin de contrer les hauts taux d’absentéisme.

Prostitution juvénile et exploitation sexuelle : La CAQ dévoile une série de mesures


 Publié le 6 mars 2018

À la suite de plusieurs consultations et nombreuses rencontres avec des experts, la porte-parole de la Coalition Avenir Québec (CAQ) en matière de condition féminine et de santé publique et députée de Repentigny, Lise Lavallée, dévoile la série de mesures qu’un gouvernement de la CAQ entend déployer pour lutter efficacement contre la prostitution juvénile et l’exploitation sexuelle des jeunes.

 Il est impératif de s’attaquer à ces fléaux sous tous ses angles, estime Lise Lavallée. Sensibilisation, prévention, lutte contre les proxénètes, réparation pour les victimes : rien ne doit être laissé de côté pour s’assurer que le Québec ne soit plus une plaque tournante de l’exploitation sexuelle. Voici les mesures mises de l’avant par la CAQ.

  1.  Donner le mandat au ministère de la Sécurité publique de préparer une stratégie nationale comprenant une série d’actions concrètes pour lutter contre la prostitution juvénile et l’exploitation sexuelle des jeunes

    Il n’existe actuellement aucun portrait exhaustif de la situation de la prostitution juvénile au Québec. Il faut mobiliser les forces vives concernées autour d’une démarche commune. Un gouvernement de la CAQ lancera des consultations publiques qui serviront de point de départ pour l’élaboration d’une véritable stratégie nationale de lutte contre la prostitution juvénile et l’exploitation sexuelle des jeunes.

  2. Mise en place d’une formation pour les acteurs de l’industrie hôtelière, ainsi que d’une ligne téléphonique d’urgence

    La CAQ propose l’instauration d’une ligne téléphonique d’urgence contre la traite des personnes dont l’affichage serait obligatoire dans certains lieux ciblés (hôtels, motels, stations de métro, etc.). Cette ligne d’urgence sera un point de chute pour quiconque souhaite dénoncer une situation dont il a été témoin ou pour obtenir de l’aide. Il faut également développer une formation destinée à l’industrie hôtelière pour en faire un partenaire dans cette lutte.

  3. Ajouter les crimes de traite de personnes et d’exploitation sexuelle à la liste de ceux donnant accès au régime d’indemnisation de l’IVAC

    Actuellement, seuls certains crimes peuvent donner accès au programme québécois d’aide et d’indemnisation des victimes d’actes criminels (IVAC). Les victimes d’exploitation sexuelle et de traite de personnes doivent avoir droit à une indemnisation.

  4. Inclure les services en sexologie dans la liste des services complémentaires du Régime pédagogique de l’éducation préscolaire, de l’enseignement primaire et de l’enseignement secondaire

    Dans l’éventualité où aucun sexologue n’est disponible, s’assurer qu’un intervenant compétent soit en charge de soutenir les enseignants dans le cadre du cours d’éducation à la sexualité

    S’assurer qu’une partie du programme soit consacré à prévenir l’entrée dans la prostitution et vise à contrer sa banalisation

    La prévention en matière de prostitution et d’exploitation sexuelle nécessite la présence de sexologues dans nos écoles. De plus, le cours d’éducation à la sexualité doit servir à prévenir l’entrée de nos adolescent(e)s dans le monde de la prostitution. Ce cours sera un levier important de prévention et invitera nos jeunes à poser un regard critique sur la violence faite aux femmes et la banalisation de la prostitution.

  5. Mettre les organismes communautaires à contribution et déployer à l’échelle du Québec, là où il est pertinent de le faire, les initiatives qui fonctionnent

    En matière de prévention, des organismes communautaires compétents et dévoués sont déjà à pied d’œuvre. Plusieurs initiatives ont fait leurs preuves. Malheureusement, leur capacité d’action et de déploiement est limitée. Le gouvernement du Québec doit déployer à l’échelle du Québec les programmes qui portent fruit.

  6. Doubler, sur cinq ans, les effectifs policiers de l’escouade régionale mixte antiproxénétisme et mettre sur pied des équipes d’interventions multidisciplinaires

    En élargissant le mandat de l’escouade régionale mixte antiproxénétisme et en bonifiant ses effectifs, le Québec sortira gagnant. Un gouvernement de la CAQ doublera, sur cinq ans, le nombre de policiers au sein de cette équipe, de 25 à 50. Avec les ressources suffisantes, il leur sera possible de s’attaquer aux deux principales sources du problème : l’offre (les proxénètes) et la demande (les clients). C’est en déployant plus d’enquêteurs sur le terrain que l’on mènera une lutte ciblée et efficace contre la prostitution juvénile et l’exploitation sexuelle.

  7. Collaborer à l’ouverture de nouvelles maisons d’hébergement dédiées à la sortie de la prostitution pour les jeunes femmes

    Le gouvernement du Québec tire déjà profit de l’expertise de nombreuses ressources en place, notamment celle d’organismes et des maisons de soutien dédiées entièrement à la cause. Toutefois, une analyse plus approfondie devra être menée afin d’identifier précisément les besoins réels. La CAQ est d’avis que des maisons dédiées aux survivantes de la prostitution doivent rapidement être ouvertes, pour les aider à reprendre le contrôle de leur corps et de leur vie, ainsi que de les éloigner de leurs agresseurs.

  8. Réviser globalement la qualité des services offerts dans les centres jeunesse et les conditions de travail des intervenants

 Les vagues de fugues que nous avons vécues récemment au Québec dans les centres jeunesse ont été un signal d’alarme. Un rapport interministériel déposé il y a quelques mois a confirmé que les centres jeunesse sont un lieu de recrutement de mineures pour l’exploitation sexuelle menée par des proxénètes. Un gouvernement de la CAQ lancera un chantier visant l’amélioration des services offerts dans ces centres, tout en offrant aux intervenants des conditions de travail améliorées afin de contrer les hauts taux d’absentéisme.

 

Reportage d’Enquête sur Gaétan Barrette : La CAQ réclame trois enquêtes


 Publié le 2 mars 2018

 À la suite du reportage de l’émission Enquête dépeignant certains agissements troublants du ministre de la Santé, Gaétan Barrette, le député de Lévis pour la Coalition Avenir Québec, François Paradis, a annoncé vendredi qu’il réclame le déclenchement de trois enquêtes distinctes :

  • Une enquête du Vérificateur général sur le retard inexpliqué dans le dossier de la clinique de pédiatrie en Montérégie et dans l’attribution du nouveau permis de radiologie à Saint-Jérôme ;
  • Une enquête du Commissaire à l’éthique concernant le projet de pédiatrie, qui aurait été retardé pour des raisons politiques ;
  • Une enquête du Commissaire au lobbyisme sur les démarches d’Éric Rousseau auprès de Gaétan Barrette.

François Paradis a indiqué que les révélations sont trop sérieuses pour que la lumière ne soit pas faite. Comment le ministre Barrette a-t-il pu accorder un permis à un radiologiste de Saint-Jérôme malgré un avis contraire et unanime d’un comité d’experts ?

Un autre dossier qui soulève des doutes : celui de la clinique de pédiatrie en Montérégie, qui aurait été retardée simplement parce que la clinique se situe dans un comté péquiste ? Le simple fait de se poser la question est troublant, a souligné François Paradis.

Au bout du compte, ce sont les patients des Laurentides et de la Montérégie qui sont perdants, a déploré M. Paradis, qui souhaite que tous les Québécois aient l’heure juste.

Intersection dangereuse à La Présentation : la députée Chantal Soucy lance un appel à tous


 Publié le 2 mars 2018

La dangerosité de l’intersection du Grand Rang et de la bretelle de la sortie 123 de l’autoroute 20, à La Présentation, n’est plus un secret pour personne. Sensibles à la situation, la députée de Saint-Hyacinthe et la municipalité exercent, depuis 2015, des pressions sur le Ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports, afin que la vitesse maximale permise sur le Grand Rang soit réduite et qu’un panneau d’arrêt ou un feu de ralentissement soient installés à l’intersection critique, afin de réduire les risques d’accidents.

La semaine dernière, au terme d’une rencontre tenue au bureau de la députée, le MTQ a finalement tranché : il avancera de 5 mètres le panneau d’arrêt de la bretelle, afin d’améliorer la visibilité des automobilistes et examinera également la possibilité d’élaguer les arbres qui obstruent la vue à cette intersection. Or, les demandes formulées par la municipalité se sont toutefois vues rejetées par le ministère, qui considère que le ratio entre le nombre d’accidents répertoriés et le nombre de véhicules recensés circulant sur cette voie (1.1 accident par million de véhicules) ne justifie pas une intervention, puisqu’il se situe en deçà de la moyenne québécoise (1.31). Une réponse qui ne satisfait pas la députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy. « Ce qu’il faut comprendre, c’est que pour établir ses ratios, le ministère utilise les données de la Sûreté du Québec. Or, ce ne sont pas tous les accrochages qui font l’objet d’une intervention de la SQ. Si tous les accidents étaient recensés, je suis convaincue que les chiffres donneraient une toute autre version des faits. Il ne faut pas attendre que des accidents graves se produisent pour agir. Un nombre élevé d’accrochages, aussi mineurs soient-il, est suffisant pour démontrer qu’il y a un problème. Or, ça ne semble pas être la vision du ministère », a-t-elle déploré.

La députée de Saint-Hyacinthe invite donc les citoyens à compléter un rapport d’accident dès qu’un accrochage se produit, même si une entente à l’amiable est conclue. « L’idée derrière cette démarche, c’est de laisser une trace, de dresser un réel portrait de la situation à cette intersection. En tant que citoyens, nous savons, par expérience, que cette intersection est dangereuse. Mais pour que le ministère accepte d’agir, il doit en avoir la preuve. Alors j’invite les citoyens à déclarer tous les accrochages à la Sûreté du Québec, afin que le nombre d’accidents répertoriés reflète bien la réalité », a déclaré Chantal Soucy. « La sécurité des citoyens de mon comté est une priorité. Un accident mortel, c’est un accident de trop et il faut agir immédiatement avant qu’une autre tragédie ne se reproduise », a-t-elle conclu.

Demandes du Barreau du Québec : Une démonstration de l’échec libéral à bien gérer le système de justice


 Publié le 1 mars 2018

Rien ne justifie qu’en 2018, le système de justice québécois croule sous le papier, alors que d’autres provinces canadiennes ont déjà emboité le pas vers une numérisation et informatisation complète de leur système, a dénoncé le député de Borduas et porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette.

 Jolin-Barrette est d’avis que la sortie effectuée jeudi matin par le Barreau du Québec, qui appelle à une modernisation complètede l’administration de la justice au Québec, démontre que les libéraux ont échoué à bien gérer le système de justice après 15 ans au pouvoir. Pour le caquiste, il est évident que les lenteurs actuelles portent la signature du Parti libéral. Les libéraux ont été incapables d’entamer la révolution numérique et s’assurer qu’elle se rende jusqu’à dans nos palais de justice.

Plan d’action sur les inondations : Rien pour réduire la bureaucratie libérale


 Publié le 1 mars 2018

Bien qu’elle salue la présentation d’un plan d’action relatif aux inondations, la députée de Mirabel pour la Coalition Avenir Québec, Sylvie D’Amours, estime que celui-ci arrive bien tard et ne vient pas régler le cœur du problème : la gestion catastrophique menée par le ministre de la Sécurité publique, Martin Coiteux.

Ce dont les sinistrés sur le terrain ont besoin, c’est d’un vrai leadership au gouvernement lorsque surviennent des catastrophes, pas d’autres rencontres préparatoires, déplore Sylvie D’Amours. La députée caquiste persiste et signe : c’est la bureaucratie libérale qui ralentit toutes les procédures, manque d’écoute et peine à fermer les dossiers, empêchant ainsi des milliers de familles à tourner la page près d’un an après cette tragédie.

Mme D’Amours est d’accord avec l’objectif de doter les municipalités d’un plan d’urgence, mais le ministre Martin Coiteux aurait mieux fait de regarder dans sa propre cour en expliquant comment il mobiliserait plus d’effectifs de son propre ministère lors d’un désastre. En effet, l’incapacité du ministère de la Sécurité publique à venir en aide rapidement aux citoyens touchés le printemps dernier a été largement démontrée par des sinistrés.

Rappelons que la CAQ a révélé en février qu’en date du 18 janvier 2018, un peu moins de 8 % des dossiers de sinistrés étaient entièrement fermés, laissant donc toujours des milliers de familles en attente d’un dédommagement complet.