André Spénard déplore l’échec des programmes de réinsertion sociale


 Publié le 23 novembre 2016

Lorsqu’il est question de réinsertion sociale, le Québec est à la traîne et accuse un retard inquiétant depuis plus de 15 ans, constate le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de sécurité publique, André Spénard. Ce constat, le député de Beauce-Nord le fait à la suite du dépôt du dernier rapport de la Vérificatrice générale, qui révèle l’inefficacité des programmes de réinsertion sociale des détenus.

La situation est plus qu’inquiétante, établit la Vérificatrice générale, qui dénonce l’absence de suivi, l’absence de plan d’intervention en prison pour les délinquants, l’absence d’évaluation des programmes et un taux de récidive atteignant 55 % dans certains cas. Pour le député caquiste, le ministre de la Sécurité publique, Martin Coiteux, doit faire preuve de leadership, mener une évaluation de ses programmes d’ici la fin de l’année et assurer une réinsertion sociale réussie pour tous les détenus visés par ces programmes.

« La Vérificatrice générale revient à la charge, alors qu’il avait déjà sonné l’alarme en 1997. La seule mesure prise par les 3 derniers ministres libéraux pour assurer la réinsertion sociale de nos détenus, c’est d’envoyer Flocon et Dentelle les tourterelles, Boule et Tarzan les furets, et Mousseline et Pichounette les gentils chatons, pour des séances de zoothérapie dans les prisons du Québec. Ce matin, la Vérificatrice générale nous confirme que le ministère de la Sécurité publique n’évalue pas ses programmes. Les prisonniers suivent donc des programmes de réinsertion, mais le ministre ne sait même pas s’ils fonctionnent. Manifestement, c’est un échec. La preuve : plus d’une personne sur deux récidive. Martin Coiteux doit nous déposer une évaluation d’ici décembre. Ça fait 15 ans que les libéraux agissent aveuglément », a déploré André Spénard, citant comme exemple le programme phare du ministère, le Programme Parcours, qui n’a été appliqué que dans 8 des 16 établissements correctionnels du Québec.

Élection partielle dans Arthabaska : La CAQ réclame la création d’un fonds pour aider les agriculteurs


 Publié le 23 novembre 2016

Le candidat de la Coalition Avenir Québec dans la circonscription d’Arthabaska, Éric Lefebvre, a profité du débat organisé par le Syndicat de la relève agricole pour annoncer que son parti propose la création d’un fonds d’au moins 50 millions de dollars pour augmenter les investissements privés en agriculture.

Pour Éric Lefebvre, cette proposition appuyée par le président de l’Union des producteurs agricoles, Marcel Groleau, est une preuve de plus que la CAQ a toujours considéré les agriculteurs comme des entrepreneurs importants pour le Québec. Il a rappelé que depuis quelques années, les agriculteurs du Québec sont négligés par le gouvernement. Depuis août 2015, 2 200 emplois ont été perdus dans ce domaine névralgique. Les investissements annuels ont chuté de 111 M$ depuis 5 ans. Pendant ce temps, en Ontario, c’est le contraire. Les investissements ont augmenté de 450 M$. On constate que le Québec est en train de prendre un retard considérable. Pour le candidat caquiste, il est temps de réagir.
« Actuellement, le gouvernement accumule les surplus via la Financière agricole. Mon parti proposera d’utiliser une partie de cet argent pour créer immédiatement un fonds d’investissement de 50 M$ par année. À notre avis, ce levier permettra des investissements de plus de 1 milliard de dollars sur cinq ans », a lancé M. Lefebvre lors du débat tenu au Cégep de Victoriaville.

L’agriculture étant un fleuron de la région d’Arthabaska et de l’Érable, M. Lefebvre croit que les agriculteurs doivent être appuyés. « Les producteurs agricoles de notre région sont parmi les meilleurs dans le monde. Ils réussissent à compétitionner dans des marchés où les autres pays subventionnent de façon importante l’industrie agricole. Pour continuer à être les meilleurs, il ont besoin eux aussi d’être appuyés. Ce sont des entrepreneurs et si on les appuie, ils vont investir et créer de la richesse », a-t-il ajouté.

Éric Lefebvre a souligné en terminant que si le gouvernement refuse de bouger, en 2018, un gouvernement de la CAQ va aller de l’avant et va soutenir les producteurs agricoles.

Sécurité de l’autoroute 50 : La CAQ presse les libéraux à passer à la vitesse supérieure


 Publié le 22 novembre 2016

« Tous les signaux sont au rouge, mais les élus libéraux de l’Outaouais dorment au gaz. Ils ont tellement pris pour acquis les Québécois de la région qu’ils ne voient pas l’urgence d’agir ! » lance le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de transports, Claude Surprenant.

L’autoroute 50 pose de sérieux problèmes de sécurité, convient Claude Surprenant, qui évoque six accidents mortels au cours des trois dernières années seulement. Malgré cette triste réalité, le gouvernement libéral demeure au neutre dans ce dossier. Pire : le député de Papineau, Alexandre Iracà, n’a toujours pas rempli ses engagements électoraux, déplore le caquiste.

« Combien de tragédies humaines faudra-t-il encore pour que le gouvernement libéral écoute sa population et cesse de se traîner les pieds ? Le député Iraca fait des beaux discours, dit trouver la situation inquiétante, mais il n’a ni plan ni échéancier précis à proposer alors qu’il fait partie de l’équipe gouvernementale ! Les Gatinois et tous les Québécois se souviennent parfaitement qu’il s’était engagé en campagne électorale à réaliser des études sur les investissements nécessaires pour rendre l’autoroute 50 sécuritaire, mais elles se font toujours attendre. Deux ans et demi plus tard, le Parti libéral fait du surplace et met la sécurité des gens à risque. Quel manque de leadership et d’engagement des élus libéraux envers la population de la région », souligne Claude Surprenant.

La CAQ, elle, répond aux appels de détresse des élus locaux, qui réclament des gestes concrets et immédiats afin de rendre l’autoroute 50 plus sécuritaire pour les automobilistes et éviter que d’autres drames humains ne surviennent. Le député de Groulx réclame toutes les études commandées et réalisées par le ministère des Transports ou de mandataires. La population pourra ainsi juger de l’état d’avancement et surtout de l’inaction du gouvernement libéral qui, depuis 2003, n’a pas su présenter un plan précis pour améliorer la sécurité sur l’autoroute 50.

« Il y a beaucoup de pain sur la planche. Il faut bonifier rapidement l’éclairage de certains tronçons la nuit, prévoir des espaces de répit, ajouter des séparateurs dans les virages problématiques, en plus d’envisager des travaux à long terme pour répondre à l’achalandage sur la 50, qui a grimpé en flèche au cours des dernières années pour atteindre un débit journalier de près de 10 000 véhicules par jour en 2015. La région de l’Outaouais ne doit plus être prise pour acquise. Qu’attendent les députés libéraux pour défendre leurs citoyens au gouvernement ? » conclut Claude Surprenant.

Projet d’un nouveau lien entre les routes 117 et 333 : Bruno Laroche s’engage à talonner le ministre des Transports


 Publié le 22 novembre 2016

À la suite de l’accident majeur survenu récemment à la jonction des routes 117 et 333, le candidat de la CAQ dans Saint-Jérôme, Bruno Laroche, s’est montré très préoccupé par les problèmes de congestion monstres qui perdurent depuis de nombreuses années à cet endroit et compte réanimer le projet de réalisation d’un nouveau lien au Ministère des Transports (MTQ).

Rappelons qu’en 2010, le MTQ commandait une étude confirmant le problème de capacité routière, qui était pourtant constaté depuis près 15 ans. « Les automobilistes sont pris en otage depuis beaucoup trop longtemps et en ont assez de subir le laxisme du gouvernement. Ces automobilistes sont pour la plupart des travailleurs qui, pour plusieurs, subissent déjà la congestion quotidienne sur l’autoroute 15. Le problème est reconnu par le ministère et pourtant, c’est toujours silence radio 5 ans après le dépôt du rapport. La réalisation d’un nouveau lien règlerait une portion importante du problème, puisque l’intersection est utilisée en majorité par les citoyens qui proviennent de Saint-Hippolyte! », a dénoncé le candidat.

Selon l’étude, plus de 160 collisions dans cette zone ont été recensées entre 2005-2009 seulement. « Les problèmes de congestion vont bien au-delà de la patience des automobilistes, mais affectent également la sécurité routière. Pire encore, près des deux tiers des accidents sont survenus dans une zone scolaire! C’est pour ces raisons que je m’engage à travailler de concert avec le maire de Saint-Jérôme, Stéphane Maher, pour sonner l’alarme au MTQ et talonner le ministre pour que le projet revienne sur la table en 2017 », de conclure Bruno Laroche.

Projet de loi 62 : Philippe Couillard ne s’oppose pas au port du tchador par une enseignante


 Publié le 22 novembre 2016

Le premier ministre Philippe Couillard ne voit aucun inconvénient à ce qu’une personne en position d’autorité, comme une enseignante, porte un tchador ou même un voile en classe, déplore le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, qui réclame le retrait immédiat du projet de loi 62.

Le Parti libéral ne défend plus les valeurs communes québécoises, constate M. Legault, qui souligne l’appui de plusieurs députés libéraux à cette affirmation. Pour la CAQ, il est clair que le tchador envoie un signal de soumission, contraire au principe fondamental d’égalité entre les hommes et les femmes. Philippe Couillard n’a plus qu’une chose à faire : retirer son projet de loi du tchador, exige le chef caquiste.

« Les Québécois veulent qu’on encadre les demandes d’accommodements religieux, en interdisant le port de signes religieux par les employés de l’État en position d’autorité. Or, le projet de loi 62 sur la neutralité religieuse fait exactement le contraire. Il permet, par exemple, qu’une enseignante porte un tchador ou un voile face à une élève de 5 ans. L’enseignante est un modèle et on ne peut accepter qu’elle porte un voile ou un tchador. C’est une question de principe fondamental. Le premier ministre devrait au moins écouter ses propres députés ! Si ça continue ainsi, il ne restera que la ministre de la Justice, le premier ministre et le chef du PQ qui voudront de ce projet de loi ! Je demande à Philippe Couillard de retirer le projet de loi 62 et de repenser à son affaire », déclare François Legault.

Règlement sur les normes de sécurité des véhicules : Les libéraux barrent la route aux camionneurs, dénonce la CAQ


 Publié le 22 novembre 2016

« L’industrie du camionnage se voit imposer des règles sans même avoir été consultée. Ça ne tient pas la route ! Le gouvernement libéral doit faire son bout de chemin », exige le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de transports,Claude Surprenant, après que le ministre Laurent Lessard ait confirmé qu’il va de l’avant avec l’application de son règlement sur les normes de sécurité des véhicules.

Pourtant, des centaines de camionneurs indépendants n’ont pas été informés des modifications à apporter depuis dimanche à leur poids lourd, indique Claude Surprenant, qui a rencontré plusieurs d’entre eux samedi dernier lors d’une imposante manifestation devant l’Assemblée nationale. Rappelons que la CAQ demande un sursis de de 3 à 6 mois supplémentaires avant l’application du règlement afin de donner à l’industrie du camionnage le temps de s’adapter aux nombreuses restrictions imposées.

« Plus de 500 camionneurs de partout au Québec se sont rassemblés devant l’Assemblée nationale pour qu’on les entende. Ce sont des entrepreneurs qui travaillent tous les jours, bien souvent 80 heures par semaine, avec leur camion, leur principal gagne-pain. Le gouvernement a choisi de les pénaliser. La sécurité sur nos routes, c’est important pour la CAQ. Nous sommes donc d’accord avec l’uniformisation des règles de contrôle et de vérification à travers le Canada, mais le gouvernement appuie trop vite sur l’accélérateur pour les appliquer. La SAAQ n’a prévu aucune période transitoire pour accommoder les camionneurs. Le ministre doit faire marche arrière », exige Claude Surprenant, qui rappelle que l’industrie québécoise du camionnage représente plus de 41 000 emplois.

Le député de Groulx est catégorique : il n’est pas question de faire de compromis sur la sécurité des automobilistes, mais force est de constater que le gouvernement Couillard refuse d’accompagner convenablement les camionneurs dans cette transition qui nécessite des ajustements de taille, notamment en ce qui concerne la vérification, l’entretien et l’aspect physique des véhicules. « Les camionneurs veulent s’adapter. Tout ce qu’ils demandent, c’est un peu plus de temps et une meilleure communication avec la SAAQ. Un représentant d’une compagnie m’a dit que pour son entreprise, les coûts pour se conformer du jour au lendemain seraient d’environ 70 000 $. Il faut parler à ces gens-là, les écouter et leur accorder ce qu’ils réclament. Le gouvernement libéral doit cesser de regarder les camionneurs de haut et leur accorder un répit de 3 à 6 mois ! » conclut Claude Surprenant.

Élection partielle dans Marie-Victorin : La francisation des immigrants, une préoccupation pour les citoyens de Marie-Victorin


 Publié le 21 novembre 2016

La candidate de la CAQ pour la circonscription de Marie-Victorin, Julie Chapdelaine, a profité du passage de Claire Samson, la députée d’Iberville et porte-parole de la CAQ pour la protection et la promotion de la langue française, pour rappeler que sa formation politique est la seule à avoir un plan solide pour la défense de notre langue.

Julie Chapdelaine soutient que la francisation et l’intégration des immigrants est une réelle préoccupation chez les citoyens de Longueuil qu’elle rencontre quotidiennement depuis le début de sa campagne. « La francisation réussie de nos immigrants est l’un des plus grands défis des prochaines années. C’est normal de s’en préoccuper. Ce n’est pas être intolérant. La CAQ est la seule formation à réclamer d’abaisser le seuil d’immigration et de mettre en place des mesures pour mieux intégrer les immigrants. Pour consolider et renforcer la présence du français au Québec, il faut en faciliter l’apprentissage à ceux et celles qui choisissent de venir vivre ici », soutient la candidate.

La députée d’Iberville, Claire Samson, a révélé cette semaine qu’au cours des cinq dernières années, 105 000 immigrants sont arrivés au Québec sans parler français. Mme Samson rappelle qu’elle a déposé un rapport, pas plus tard que la semaine dernière, contenant une série de 9 propositions et 22 mesures ambitieuses et concrètes visant à assurer la pérennité de notre langue, le français. « Compte tenu de la volonté du gouvernement de Philippe Couillard de hausser significativement les seuils d’immigration, sans pour autant augmenter les ressources financières liées à la francisation des nouveaux arrivants, il est de notre responsabilité de mettre des solutions sur la table », a conclu Claire Samson.

Élection partielle dans Arthabaska : La CAQ dénonce les hausses de taxes imposées aux agriculteurs


 Publié le 21 novembre 2016

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a profité de son passage à Victoriaville pour appuyer le candidat de sa formation politique à l’élection partielle dans Arthabaska, Éric Lefebvre, et pour se porter à la défense des agriculteurs qui ont vu leur compte de taxes municipales exploser en raison des modifications apportées par le gouvernement Couillard au programme de crédits de taxes foncières agricoles.

Le chef caquiste et le candidat Éric Lefebvre en ont contre la condescendance du premier ministre dans ce dossier, lui qui demandait la semaine dernière à voir des preuves de ces hausses de taxes. « Le gouvernement libéral de Philippe Couillard a décidé de modifier le programme de crédits de taxes foncières agricoles. C’est ni plus ni moins qu’une autre augmentation de taxes qui va toucher 83 % des producteurs agricoles.On a reçu des  lettres d’agriculteurs qui nous font part d’augmentations de 75 % et même de 120 % de leurs taxes. Malgré ça, Philippe Couillard refuse d’admettre l’évidence et il laisse entendre que ce n’est pas vrai. C’est vraiment condescendant de la part du chef libéral », affirme François Legault.

Dans la belle région d’Arthabaska-L’Érable, nombreuses sont les familles qui vivent de l’agriculture. La CAQ se donne le mandat de les aider et de les protéger contre les hausses de taxes des libéraux. « On sait que le métier de producteur agricole est difficile. La concurrence des pays qui subventionnent l’agriculture, les exigences environnementales, les prix qui sont parfois trop bas rendent la vie dure à nos agriculteurs. C’est déjà difficile, mais quand en plus notre propre gouvernement leur met des bâtons dans les roues, là c’est carrément frustrant! », s’exclame le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Le candidat de la CAQ dans Arthabaska, Éric Lefebvre, travaillera d’arrache-pied une foi élu pour aider les agriculteurs de son comté. Il dénonce l’attitude des libéraux dans ce dossier, et rappelle que les producteurs agricoles constituent l’une des plus grandes richesses du Québec. « J’ai rencontré des dizaines d’agriculteurs depuis le début de la campagne et ils me parlent de l’augmentation de leur compte de taxes municipales. C’est une grande préoccupation pour eux et je les comprends. L’attitude du gouvernement dans ce dossier est inacceptable! De mon côté, je m’engage à tout mettre en oeuvre pour les aider une fois que je serai élu », s’est exprimé Éric Lefebvre.

Élection partielle dans Marie-Victorin : «Jean-François Lisée et le PQ ont trahi l’héritage de Bernard Drainville» – François Legault


 Publié le 21 novembre 2016

De passage dans la circonscription de Marie-Victorin lundi, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a soutenu  que sa formation politique est la seule qui se tient encore debout pour défendre les valeurs québécoises. Selon lui, les déclarations du nouveau chef péquiste, Jean-François Lisée, qui a avoué délaisser la question identitaire, renie les positions défendues par l’ancien député de Marie-Victorin, Bernard Drainville.

« Jean-François Lisée s’est fait élire en promettant de porter le flambeau de l’identité, le flambeau de la charte des valeurs. Le nouveau chef du PQ a promis de défendre nos valeurs, de défendre l’égalité homme-femme face aux intégristes religieux. Depuis qu’il a été élu, il a décidé d’oublier ces engagements pour séduire la gauche, pour faire des mamours à Québec Solidaire. Comme si l’égalité homme-femme c’était négociable! », dénonce François Legault.

Le chef de la CAQ rappelle que le Parti québécois a voté avec les libéraux en faveur du projet de loi 62. « Ce n’est pas rien! Ce projet de loi permet le port de la Burqa pour passer un permis de conduire et même pour enseigner. C’est rendu que le PQ vote avec les libéraux contre la laïcité! », dénonce-t-il.

François Legault est clair : c’est la CAQ qui a repris le flambeau de la protection de nos valeurs que défendait Bernard Drainville. « La CAQ est maintenant le seul parti qui se tient debout contre les accommodements religieux déraisonnables. Ceux qui se battent pour défendre nos valeurs contre les intégristes religieux, ce sont les hommes et les femmes de la CAQ comme Nathalie Roy et notre candidate dans Marie-Victorin, Julie Chapdelaine », explique M. Legault.

La candidate caquiste, Julie Chapdelaine, dit ressentir l’amertume des électeurs envers le Parti québécois. « Le PQ est en train de trahir ce pour quoi il s’est battu. Les péquistes qui ont voté pour Jean-François Lisée doivent se sentir trahis aujourd’hui. Le 5 décembre, j’invite les électeurs de Marie-Victorin qui veulent défendre nos valeurs et se tenir debout pour nos valeurs à voter pour moi », conclut-elle.

Jeu libre dans les rues : La CAQ invite les municipalités à se mettre au jeu


 Publié le 20 novembre 2016

Pour encourager les jeunes à adopter de saines habitudes de vie, assurer le bien-être des familles et freiner la progression de l’embonpoint et de l’obésité juvénile, le député de Borduas pour la Coalition Avenir Québec, Simon Jolin-Barrette, a fait part de son intention d’encourager les municipalités à adopter une réglementation qui encadre de façon sécuritaire le jeu libre dans toutes les rues du Québec.

À l’occasion de la Journée internationale des droits de l’enfant, Simon Jolin-Barrette a souligné qu’enfants et parents devraient pouvoir jouer à l’extérieur en toute légalité. Il n’est pas normal qu’en 2016, des avertissements, pouvant mener à des contraventions et des constats d’infraction, soient encore émis par la police parce que nos jeunes veulent bouger, a indiqué le député de Borduas, qui déposera la semaine prochaine à l’Assemblée nationale un projet de loi pour favoriser le jeu à l’extérieur en proposant aux municipalités qui le désirent un cadre réglementaire.

« Jouer, c’est le seul moment où un enfant est totalement libre. C’est par le jeu qu’il apprend à vivre en société, qu’il teste ses propres limites. Malheureusement, aujourd’hui, le jeu libre est très restreint. Trop restreint. Si bien que l’embonpoint et l’obésité chez les jeunes sont devenus des fléaux de société. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le quart des jeunes âgés de 6 à 17 ans étaient en situation de surplus de poids entre 2009 et 2013 et seulement 13 % des garçons et 6 % des filles atteignent présentement les recommandations de 60 minutes d’activité physique par jour. On ne peut pas rester les bras croisés. C’est par un accès facilité à nos rues que nous serons en mesure de renverser cette tendance », a déclaré le député de la CAQ Simon Jolin-Barrette, qui reçoit l’appui d’une quinzaine d’organismes et de regroupements, dont la Coalition québécoise sur la problématique du poids, l’Association pour la santé publique du Québec et la Ville de Belœil.

Le caquiste s’est grandement inspiré de Belœil qui, en avril dernier, est devenue la première ville au Québec à permettre le jeu dans l’espace public dans le cadre d’un projet pilote. « La Ville de Belœil a jeté les bases d’un vrai projet de société. Si elle a su établir des balises claires et sécuritaires pour faire de l’activité physique une partie intégrante du mode de vie des jeunes enfants, pourquoi le reste du Québec ne pourrait pas le faire ? Il y a des leçons à en tirer. Il est temps de leur dire qu’ils sont en droit d’être des enfants. Dans nos rues, faut que ça bouge ! » a conclu Simon Jolin-Barrette, qui entend sensibiliser personnellement les ministres Gaétan Barrette (Santé), Lucie Charlebois (Saines habitudes de vie) et Martin Coiteux (Affaires municipales) à cet enjeu touchant la vie de nombreuses familles québécoises.