Gouvernance scolaire: Top 5 des problèmes non-résolus par le PL105 (5)


 Publié le 30 novembre 2016

PRENDRE UNE DÉCISION PLUS PROCHE DE L’ÉLÈVE… OU DE TOUTE AUTRE PERSONNE

Décentraliser la prise de décision vers les écoles pour la rapprocher de l’élève est un objectif noble. Mais dans son projet de loi 105, le ministre de l’éducation vide le concept de son sens, favorisant une prise de décision plus près de l’élève, de la communauté… ou de toute autre personne. Faites attention, le téléphone pourrait sonner: toute autre personne, ça pourrait être vous!

Lutte contre l’intimidation: La CAQ réclame un Protecteur de l’élève plus efficace


 Publié le 30 novembre 2016

UN PROTECTEUR DE L’ÉLÈVE EFFICACE ET INDÉPENDANT

Kim Pettersen avait 18 ans lorsqu’elle s’est enlevée la vie suite à de l’intimidation vécue à l’école. Hier, son père, Eric Pettersen, s’est joint à nous à l’Assemblée nationale pour réclamer une réforme du Protecteur de l’élève, afin d’en faire un réel mécanisme de traitement des plaintes pour les parents et les élèves, efficace et indépendant.

En tant que députés, il est de notre devoir d’agir afin d’éviter que de telles tragédies surviennent encore. Nous devons prendre tous les moyens nécessaires pour lutter contre l’intimidation dans nos écoles.

J’invite le ministre de l’Éducation Sébastien Proulx à se saisir du dossier rapidement et lui offre notre pleine collaboration.

Délais trop longs en justice : La CAQ appelle la ministre Vallée à réinvestir au plus vite dans le système


 Publié le 30 novembre 2016

Alors que la ministre Stéphanie Vallée a confirmé que 222 dossiers en lien avec des accusations criminelles pourraient avorter en raison des délais importants, la Coalition Avenir Québec invite le gouvernement Couillard à réinvestir immédiatement dans le système de justice québécois pour s’assurer qu’aucune personne faisant l’objet d’accusation n’échappe à la justice avant d’avoir subi son procès.

La justice québécoise est confrontée à une crise sans précédent et l’inaction du gouvernement libéral ne risque que d’empirer la situation, indique le critique de la CAQ en matière de justice, Simon Jolin-Barrette. Face à une perte de confiance totale des Québécois envers leur système judiciaire, la ministre Vallée se doit de corriger au plus vite le tir en ajoutant des ressources pour épauler les juges de la Cour du Québec.

« Notre système de justice est en péril. La ministre elle-même l’a admis en déclarant que des procès avortés, “il y en a eu et il risque d’y en avoir d’autres”. La raison des récents revers, tout le monde à l’exception du gouvernement s’entend pour dire que c’est le manque criant de ressources, qui force l’allongement des délais. Les poursuites ne sont donc pas abandonnées pour faute de preuves, mais bien parce que les délais sont démesurés ! L’arrêt Jordan de la Cour suprême du Canada est venu chambouler notre système, certes, mais c’est à nous de nous y adapter. Le gouvernement libéral est responsable de l’administration de la justice, mais en ce moment, il refuse d’agir et préfère prendre le risque que de nombreux accusés dans des affaires de corruption soient libres comme l’air », déclare Simon Jolin-Barrette, qui souligne que des requêtes en arrêt de procédures pour des procès attendus ont été évoquées dans les derniers jours, notamment celles concernant 2 coaccusés de l’ancien maire de Laval, Gilles Vaillancourt.

Le député de Borduas exhorte le gouvernement Couillard à s’inspirer du rapport du Comité d’examen sur les mégaprocès, dirigé par Me Michel Bouchard, qu’il a lui-même commandé, et qui indiquait clairement que le DPCP n’a pas assez de ressources présentement pour assurer le bon suivi des dossiers. « La priorité immédiate pour la ministre Stéphanie Vallée, c’est de se mettre à la même page que tous les experts au Québec et de reconnaître la nécessité de réinvestir rapidement. La situation est inacceptable. La justice est une des institutions les plus fondamentales de toute société. Elle est à la base de notre démocratie et tout doit être mis en place pour assurer son bon fonctionnement. Qu’attend le gouvernement pour mettre fin à l’hémorragie ? » conclut le caquiste.

Scandale à la Société immobilière du Québec : Le gouvernement Couillard a caché un rapport accablant pour les libéraux


 Publié le 29 novembre 2016

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a dévoilé mardi matin que le gouvernement de Philippe Couillard a caché un rapport accablant pour les libéraux dans le scandale entourant la Société immobilière du Québec (SIQ). « Les libéraux de Philippe Couillard ont voulu protéger l’image du Parti libéral du Québec », a tonné François Legault lors d’un point de presse où il a dévoilé le rapport en question.

Reçu en 2013 par le gouvernement, le rapport révèle notamment que les acheteurs des trois immeubles vendus par la SIQ en 2008 étaient en défaut de respecter leurs obligations dans les premiers mois suivant la transaction. Face à cette situation déplorable pour les contribuables, la ministre des Finances et le ministère du Conseil exécutif ont été consultés par la SIQ au sujet d’un avis juridique lui suggérant de reprendre les immeubles et récupérer des dépôts d’environ 53 M$. Or, le gouvernement a fait fi de cet avis juridique et n’a pas récupéré un seul sou. Selon les vérificateurs qui ont rédigé le rapport, il aurait pourtant été financièrement avantageux de suivre la recommandation de cette opinion légale et ce sont des considérations politiques qui expliqueraient qu’elle soit restée lettre morte.

Par ailleurs, le rapport confirme que les immeubles vendus par le gouvernement à M. George Gantcheff l’ont été à une valeur bien en dessous de la valeur marchande de l’époque. Les vérificateurs indépendants citent trois évaluations différentes qui situaient la valeur marchande des deux immeubles entre 227 M$ et 262 M$. Le gouvernement libéral les a finalement vendus 220 M$.

« Selon le rapport, M. Gantcheff a acheté les immeubles 42 M$ moins cher que ce qu’il pensait lui-même devoir débourser. Malgré cela, il était incapable de payer dans les premiers mois et un avis juridique a donc recommandé au gouvernement de reprendre les immeubles. Le gouvernement libéral n’a pourtant rien fait. Avec les révélations du reportage d’Enquête, selon lesquelles des collecteurs de fonds libéraux étaient en voie de recevoir des commissions en lien avec la vente de ces immeubles, les Québécois ont toutes les raisons d’être très inquiets », a exposé M. Legault, en se basant sur le rapport rédigé par la firme Accuracy en 2013, rapport qui a suivi celui de 2012 déjà paru dans les médias.

« Aujourd’hui, M. Couillard doit rendre des comptes à la population. On est face à un scandale immense qui implique des collecteurs de fonds libéraux. Son gouvernement a en main un rapport accablant pour les libéraux, et il le garde caché malgré toutes les révélations des derniers jours. Lui qui prétend agir de manière irréprochable depuis qu’il est premier ministre peut-il nous expliquer pourquoi il a caché ce rapport ? Qui voulait-il épargner ? », a conclu François Legault, entouré de sa porte-parole en matière d’intégrité, Nathalie Roy, et de son porte-parole pour le Conseil du trésor, Éric Caire.

Lutte contre l’intimidation : La CAQ réclame un Protecteur de l’élève plus efficace


 Publié le 29 novembre 2016

« Le système actuel ne favorise pas la protection de l’élève. Les parents et les élèves qui veulent dénoncer des actes d’intimidation devraient pouvoir le faire sans complication, sans aucun risque de représailles. Il est temps qu’on fasse de la lutte contre l’intimidation une réelle priorité dans nos écoles », ont déclaré les députés de la Coalition Avenir Québec, Jean-François Roberge et Lise Lavallée.

Pour assurer une meilleure protection des élèves et un traitement plus équitable des plaintes, la CAQ a fait part de trois propositions qu’elle estime essentielles pour mettre fin au fléau social qu’est devenue l’intimidation :

  1. Remplacer les différents postes de Protecteur de l’élève dans les commissions scolaires par un seul bureau de Protecteur de l’élève, entièrement indépendant des commissions scolaires et relevant uniquement du ministère de l’Éducation ;
  2. Réutiliser les ressources actuellement en place pour permettre le déploiement d’équipes régionales, afin que l’ensemble du territoire du Québec soit couvert par le Protecteur de l’élève ;
  3. Accorder à ce Protecteur de l’élève plus de pouvoirs, afin qu’il assure une meilleure impartialité et cohérence dans le traitement des plaintes.

Interpellé en chambre par la CAQ, le ministre libéral de l’Éducation, Sébastien Proulx, a accepté de réfléchir aux propositions de la CAQ, mais a refusé de prendre un engagement ferme, ce qu’ont déploré M. Roberge et Mme Lavallée. « L’heure n’est plus à la réflexion, l’heure est à l’action », lui a lancé la députée de Repentigny.

« Il n’est pas normal que malgré un plan d’action concerté, de nombreuses campagnes de sensibilisation et des protecteurs dans toutes les commissions scolaires, les enfants qui subissent de l’intimidation soient toujours aussi mal protégés. Actuellement, les Protecteurs de l’élève sont à la merci des commissions scolaires. Ils n’ont qu’un mince pouvoir de recommandation auprès de leur Conseil des commissaires respectif et rien ne garantit qu’on suive leurs propositions. Il faut un Protecteur pour l’ensemble du Québec, qui aura plus de mordant et toute la latitude pour analyser les cas qui lui sont soumis avec sérieux, pour ensuite imposer les correctifs qu’il juge appropriés », a déclaré Jean-François Roberge, critique en matière d’éducation.

Appuyée par Éric Pettersen, un père de famille qui fait de la lutte contre l’intimidation un combat personnel depuis le suicide de sa fille en mars 2014, la CAQ souhaite réformer le processus existant dans les écoles afin de le rendre plus réactif et efficace. En plaçant dans les mains d’un seul Protecteur de l’élève le mécanisme de plainte et de résolution de conflit, Jean-François Roberge et Lise Lavallée sont convaincus qu’on parviendra à mettre un baume sur les plaies de nombreux parents et enfants. « Les commissions scolaires ne sont pas les instances les plus aptes à véritablement réduire les souffrances vécues par les jeunes victimes. Des enfants ont vécu des situations traumatisantes et n’ont eu aucune aide de leur Protecteur. La paperasse est souvent sans fin, ce qui fait que les dossiers ne trouvent pas de sortie de crise. Les parents sont donc découragés et les enfants perdent tout espoir. On ne peut plus tolérer une telle situation », a déploré Lise Lavallée, porte-parole caquiste en matière de famille et de lutte contre l’intimidation.

Afin d’assurer que tous les cas dénoncés soient traités adéquatement, la CAQ propose, par exemple, que lorsque les conseils des commissaires décident de ne pas suivre les recommandations formulées par le Protecteur de l’élève, une justification par écrit soit transmise au ministère de l’Éducation. Ce dernier devra ensuite trancher. « Tous souhaitent combattre l’intimidation au Québec, mais il ne faut pas simplement la reconnaître, il faut agir. À la CAQ, nous sommes en mode solution afin qu’il n’y ait plus un seul enfant au Québec qui vit de l’intimidation », ont conclu Jean-François Roberge et Lise Lavallée.

Élection partielle dans Arthabaska : Éric Lefebvre reçoit des appuis massifs de tous les horizons


 Publié le 28 novembre 2016

Vingt-neuf personnalités du milieu des affaires, de la politique municipale, des organismes sociaux et communautaires, de la santé et du secteur culturel prennent position publiquement pour appuyer Éric Lefebvre, le candidat de la Coalition Avenir Québec dans Arthabaska-L’Érable.

Éric Lefebvre se réjouit de l’appui officiel des personnes suivantes : Harold Poisson, maire de Saint-Rosaire; Alexandre Côté, conseiller municipal de Victoriaville; Ricardo Dorcal; Gabriel Viens, ex-directeur de la Fondation HDA; Michel Larochelle, maire de Saint-Christophe-d’Arthabaska; Daniel Fleury, ancien professeur de Cégep; Georges Boucher, homme d’affaires; Clermont Paquet, homme d’affaires; Jocelyn Bédard, maire de Notre-Dame-de-Lourdes; Jean Marcotte, comptable CPA; Simon Arsenault, conseiller municipal de Saint-Christophe-d’Arthabaska; Jacques Gagnon, ex-conseiller municipal de Victoriaville; Donald Dumont, ex-conseiller municipal de Victoriaville; Bertrand Lambert, ex-conseiller municipal de Victoriaville; Francine Rainville, ex-conseillère municipale de Saint-Christophe-d’Arthabaska; Alain François; Yannick Fréchette, conseiller pédagogique; Philippe Rancourt, ex-dg de CHSLD; Jacques Leahey; Stéphane Bilodeau; Jean-Claude Laroche, ex-directeur de la Sécurité publique de Victoriaville; René Laprise, ingénieur; Michel Vigneault et Normand Vigneault, hommes d’affaires de Saint-Ferdinand; Robert Carrier; Jaïda Provencher; Bianca Hamel; Jean-François Dubois, homme d’affaires de Plessisville; Andrée-Anne Rochefort, présidente régionale de l’APCHQ Bois-Francs ; Robert Jutras, directeur général régional de l’APCHQ Bois-Francs.

Ces personnes se reconnaissent dans les thèmes et engagements d’Éric Lefebvre :

•       Une baisse d’impôt de 1000 $ par famille.

•       La reconnaissance régionale, notamment dans le système de santé où le gouvernement libéral a fermé la porte à un Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) pour le Centre-du-Québec.

•       L’importance de talonner le gouvernement pour accélérer la réalisation de l’agrandissement de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska, alors que le gouvernement parle d’une première pelletée de terre dans cinq à sept ans.

•       Des investissements de 50 M$ par année dans l’industrie agricole du Québec, un engagement appuyé par le président de l’Union des producteurs agricoles, Marcel Groleau. Le montant, qui pourrait être plus important, proviendra des surplus annuels de la Financière agricole et sera donc sans impact sur le budget du Québec.

•       La restauration du réservoir Beaudet, l’une des principales sources d’eau potable de la Ville de Victoriaville.

•       L’amélioration des soins aux personnes aînées dans les CHSLD où la nourriture doit être de meilleure qualité et l’hygiène plus adéquate avec plus d’une douche par semaine.

Une campagne sous le signe du respect et de l’écoute : « J’ai la conviction que nous réaliserons de grandes choses ensemble » – Ginette Marotte


 Publié le 28 novembre 2016

C’est accompagnée du chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, que Ginette Marotte a dressé un bilan très positif de sa campagne électorale qui se terminera le 5 décembre prochain. La candidate caquiste est convaincue que les citoyens de Verdun se sentent directement interpellés par les priorités de la CAQ et sont prêts pour le changement.

Baisse d’impôt pour les familles, qualité des soins aux aînés, lutte au décrochage scolaire, protection du patrimoine religieux et établissement d’un lien additionnel entre l’Île-des-Sœurs et la terre ferme, ce sont toutes des positions qui rejoignent la population de Verdun selon la candidate caquiste.

« Il ne faut pas oublier que depuis deux ans, les citoyens doivent payer 1 300$ de plus de leurs poches en raison des hausses de taxes et de tarifs de toutes sortes. Je l’ai bien senti sur le terrain, Verdun veut être entendu, respecté et représenté par quelqu’un qui leur ressemble. Dès le 5 décembre, je serai la députée de tous les Verdunois et je me ferai un devoir de les représenter dignement, avec transparence et éthique », a indiqué madame Marotte.

Deux ans après sa retraite de la politique municipale pour s’occuper de sa mère, Ginette Marotte a repris le travail avec la même énergie et les mêmes convictions qu’autrefois. « J’ai retrouvé des Verdunois toujours aussi engagés envers la communauté, intéressés par son développement et soucieux de son avenir. Tout au long de mes rencontres et lors du porte-à-porte, j’ai écouté et compris ce que les Verdunois voulaient d’une députée et je suis prête à leur offrir mon temps et mon expertise », a mentionné la candidate qui a été la première mairesse de Verdun.

Pour sa part, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault s’est dit « fier de pouvoir compter sur une candidate d’expérience qui connaît Verdun comme pas un et qui sera en mesure de mettre sur pied des projets répondant à leurs besoins. Verdun passera à l’histoire en élisant la première députée caquiste sur l’île de Montréal. Nous avons la meilleure députée pour représenter les citoyens de Verdun. Ce n’est pas pour rien qu’on la surnomme Madame Verdun! », a-t-il lancé.

Fidèle à elle-même, Ginette Marotte a tenu à remercier son groupe de bénévoles qui l’accompagne sur le terrain et au local électoral depuis plusieurs semaines. Elle tient aussi à remercier toutes celles et tous ceux qui ont pris le temps de la contacter, de l’accoster sur la rue ou qui lui ont ouvert leur porte afin d’échanger sur les défis et les opportunités qui touchent le comté de Verdun. Elle invite tous ses sympathisants à concrétiser leur engagement en votant pour elle le 5 décembre.

Élection partielle dans Saint-Jérôme : Seule la CAQ propose des baisses d’impôt de 1 000 $ par famille


 Publié le 28 novembre 2016

Accompagné du chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, le candidat pour l’élection partielle dans Saint-Jérôme, Bruno Laroche, dresse un bilan positif de sa campagne. Il se dit convaincu d’être le seul candidat qui pourra redonner un « souffle » au portefeuille des familles, rétablir les services en santé, relancer l’économie, et protéger la langue française et les valeurs de la société québécoise.

Bruno Laroche a rappelé que la CAQ est le seul parti qui se préoccupe de la qualité de vie des familles. « Je suis sur le terrain depuis maintenant 5 mois à rencontrer les Jérômiens. Je suis le seul candidat qui se soucie réellement de la qualité de vie des citoyens et qui propose une baisse d’impôt de 1 000 $ par famille. Cette idée a été rejetée du revers de la main par le PQ et le Parti libéral », a-t-il insisté.

Pour le candidat caquiste, Saint-Jérôme a depuis trop longtemps souffert des coupures et du sous-financement en santé et rappelle que c’est possible de baisser les impôts tout en améliorant les services. « Saint-Jérôme attend depuis trop longtemps la construction du pavillon de santé mentale, promis à tour de rôle par le PQ et l’actuel gouvernement libéral. Je ne peux tolérer ce statu quo lamentable et je m’engage à travailler de pair avec mon collègue François Paradis et le maire Stephane Maher pour que Saint-Jérôme récupère sa juste part », a promis Bruno Laroche. Le candidat caquiste souhaite également prendre le parti des aînés, qui font les frais depuis trop longtemps du laxisme des deux vieux partis.

Agrandissement du pavillon de l’UQO

Bruno Laroche s’est également engagé à faire pression afin d’obtenir le financement pour l’agrandissement du pavillon de Saint-Jérôme de l’Université du Québec en Outaouais. « Le pavillon lutte contre l’exode des jeunes. Ils sont notre plus grande richesse collective. Il est donc vital que la planification de l’agrandissement de l’UQO soit étudiée en fonction des besoins de la région et de Saint-Jérôme sur une plus longue période », a-t-il affirmé.

Position claire sur l’identité

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a pour sa part rappelé que seule la CAQ a une position claire sur la question identitaire. « Pendant que Jean-François Lisée et sa troupe ont consenti au projet de loi 62, qui ouvre toute grande la porte au tchador dans nos écoles, tous les députés de la CAQ se sont levés pour défendre nos valeurs fondamentales, comme l’égalité entre les hommes et les femmes. Quand ça compte, le PQ vote pour le tchador, mais quand les sondages sont mauvais, il change de position », a-t-il déploré.

Ordre professionnel des enseignants: débat avec le Syndicat Champlain


 Publié le 25 novembre 2016

La Coalition Avenir Québec et moi sommes en faveur de la création d’un ordre professionnel enseignant. Le 31 octobre dernier, j’ai participé à un débat sur la question avec Éric Gingras, président du syndicat de l’enseignement de Champlain, qui est opposé à une telle mesure.

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Et si on réinventait l’école? Le Webinaire! Partie 2: élèves HDAA et valorisation de l’Éducation


 Publié le 25 novembre 2016

Deuxième Webinaire sur mon essai sur l’éducation, Et si on réinventait l’école?

Sujets: Les élèves handicapés ou avec des difficultés d’apprentissage ou d’adaptation (EHDAA) et la valorisation de l’éducation.

Bon visionnement!