Mettre un terme au monopole libéral


 Publié le 19 janvier 2016

En entrevue à l’émission Le 15-18 sur les ondes de Radio-Canada Première, François Legault rappelle l’importance de rallier les forces nationalistes afin de mettre un terme au monopole libéral pour les prochaines élections.

« La seule façon de mettre un terme au monopole libéral, c’est de rassembler les nationalistes. Tous les souverainistes sont nationalistes, mais tous les nationalistes ne sont pas souverainistes », soutient le chef de la CAQ.

Pour François Legault, les Québécois ont besoin d’un vrai parti de centre qui a un réel plan de relance pour l’économie du Québec. « À la CAQ, nous souhaitons réduire le fardeau fiscal des contribuables tout en gardant nos services. Pour ça, nous avons besoin d’investissements privés. Il faut créer de la richesse », explique-t-il.

Pour écouter l’entrevue complète, cliquez ici.

Le Québec au dernier rang


 Publié le 18 janvier 2016

En 2014, le Québec s’est classé, pour une deuxième année consécutive, au dernier rang parmi les provinces et territoires en ce qui concerne le revenu disponible par habitant avec une moyenne de 26 046 $.

C’est l’Alberta qui arrive en tête, grâce à un revenu disponible de 40 495 $ par habitant, alors qu’au Canada, le revenu disponible s’élève à 30 270 $ souligne Radio-Canada.

Ce retard du Québec s’explique notamment par la rémunération des salariés, principale composante du revenu disponible, qui demeure nettement plus faible que dans le reste du pays.

Déclaration de François Legault en réaction aux attentats au Burkina Faso


 Publié le 17 janvier 2016

À la suite des attentats terroristes qui ont eu lieu, hier, à Ouagadougou, au Burkina Faso, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, désire faire la déclaration suivante :

« Comme de nombreux Québécois, je suis sous le choc. Le terrorisme islamiste a encore une fois frappé. Hier, 29 personnes ont trouvé la mort dans une attaque insensée, au Burkina Faso. On apprend aujourd’hui que six Québécois figurent parmi les victimes. C’est une tragédie qui nous bouleverse tous. Jeudi encore, nous perdions un homme d’affaires, qui habitait Laval, dans un attentat terroriste à Jakarta. Au nom de ma formation politique, je tiens à présenter aux familles de toutes les victimes de ces attentats inqualifiables mes condoléances les plus sincères. Notre solidarité est totale et inconditionnelle.

Il s’agit d’une fin de semaine noire pour le Québec entier. Une fois de plus, nous devons nous rassembler dans ces moments difficiles et ne pas céder à la peur. La communauté internationale doit tout faire pour mettre fin au fléau du terrorisme islamiste. Plus que jamais, le terrorisme ne peut plus être considéré comme une vague menace, bien loin de notre réalité. Le danger est aujourd’hui réel. Nos gens sont maintenant attaqués, où qu’ils soient dans le monde. »

Pas d’avenir à court terme pour le Plan Nord


 Publié le 15 janvier 2016

Si l’on se fie à l’un des grands acteurs du développement minier au Québec et partout dans le monde au cours des dernières décennies, l’ex-PDG de Cambior, Louis Gignac, l’avenir du Plan Nord n’est pas très prometteur.

En fait, celui qui a développé et exploité plus de 20 mines dans le monde ne voit pas de réveil du Plan Nord à court terme, du moins pas avant cinq ans.

« À part Stornoway, il n’y a pas de projets miniers prévisibles au Québec. Le prochain sera dans le secteur des métaux, l’or probablement, mais pas avant cinq ans », a-t-il indiqué à La Presse.

Louis Gignac travaille maintenant au sein de la firme de niche G Services miniers.

« On réalise 80 % de nos activités à l’extérieur du Canada, principalement en Amérique latine et en Afrique de l’Ouest. On travaille sur un projet au Canada, mais on n’a rien au Québec », explique-t-il.

Dossier santé Québec: Il est temps d’avoir l’heure juste


 Publié le 14 janvier 2016

Le député Éric Caire réclame que les contribuables aient l’heure juste sur les véritables coûts du projet informatique Dossier santé Québec.

Hier, le Journal de Québec révélait que des frais «connexes» de 450 M$ s’ajoutent à la facture du projet, ce qui fait en sorte que le DSQ coûtera plus de 1 milliard de dollars.

Si l’on ajoute tous les autres projets informatiques en santé, la facture pour l’informatisation de tout le réseau atteindra 1,8 milliard de dollars, soit le triple de ce qui était anticipé.

Éric Caire réclame que le projet soit vérifié par une firme externe ou par la Vérificatrice générale et que les coûts de 450 millions de dollars soient présentés par le gouvernement.

«On nous ment, on vient nous éclater les frais du DSQ dans différentes colonnes budgétaires pour qu’on ne sache pas ce que ça coûte vraiment. Dans le privé, quand tu vends un projet à ton patron, tu lui parles du coût total du projet. Ce que les contribuables veulent savoir, c’est ce qu’ils paieront pour tout le projet», dénonce-t-il.

Fonds vert: Évaluation indépendante et destitution réclamées


 Publié le 14 janvier 2016

Le député Mathieu Lemay ne mâche pas ses mots à l’endroit du gouvernement libéral et du ministre de l’Environnement, David Heurtel.

Le Journal de Québec révélait jeudi matin que les millions destinés à lutter contre les changements climatiques, payés en grande partie par les automobilistes québécois, servent notamment à subventionner une multitude de programmes dépareillés.

Par exemple, Air Canada a profité d’un cadeau de 800 000 $ pour installer des ailettes sur des Boeing-767. «Le manque de transparence, ça nuit à l’objectif du Fonds vert. Ça crée un phénomène où tous les ministères pigent dedans, ça reste en quelque sorte un bar ouvert pour tout le monde», souligne au Journal de Québec Pierre-Olivier Pinault, expert en politique énergétique aux HEC.

Ces pluies de subventions, aucunement liées aux objectifs environnementaux du Québec, font en sorte que le député caquiste réclame la tenue d’une évaluation indépendante du programme ainsi que la destitution du ministre de l’Environnement.

« Après près de deux ans en poste, le ministre Heurtel a été incapable de remettre le ministère de l’Environnement sur les rails. Il est indéniable que la crédibilité du ministère de l’Environnement est dans un pire état aujourd’hui qu’il ne l’était auparavant. David Heurtel ne fait plus partie de la solution. Pour réparer les dommages, pour assurer qu’un suivi rigoureux soit fait, il doit laisser son siège », soutient Mathieu Lemay.

La CAQ, véritable parti des régions selon François Bonnardel


 Publié le 13 janvier 2016

Le leader parlementaire de la Coalition Avenir Québec, François Bonnardel, est en tournée au Saguenay depuis hier afin d’y rencontrer différents acteurs économiques de la région.

Le député de Granby en profite aussi pour discuter avec d’éventuels candidats en vue de l’élection partielle qui aura lieu dans Chicoutimi.

«On vient mesurer le pouls de la région. Les gens ont été déçus de voir la façon dont Stéphane Bédard a été traité par le Parti québécois. Ils sont déçus de voir que même s’il y a un premier ministre au Lac-Saint-Jean, les efforts de relance ne sont pas là», explique-t-il au Journal de Québec.

En entrevue au journal Le Quotidien, François Bonnardel ajoute qu’«il y a une série de statistiques qui illustrent très bien l’incapacité du gouvernement libéral de provoquer une relance. C’est un mythe que le Parti libéral est la formation politique qui possède la compétence en matière de développement économique. C’est loin de la réalité et nous allons le démontrer».

Le député caquiste utilise plusieurs données pour expliquer ses dires. Notamment, en 2015, 115 familles ont remis les clés de leur maison à la banque, ce qui représente la pire année depuis 15 ans. En 2015, la région métropolitaine de Saguenay comptait 3100 emplois de moins qu’en 2014.

Le leader parlementaire de la CAQ est convaincu que le gouvernement doit donner aux régions les leviers nécessaires pour décider de leur développement économique.

Les vignerons québécois abandonnés par le gouvernement


 Publié le 13 janvier 2016

Le gouvernement Couillard risque ni plus ni moins de signer l’arrêt de mort des vignerons québécois en sabrant une importante subvention qui leur était accordée.

C’est du moins l’opinion qu’a exprimée le leader parlementaire de la CAQ, François Bonnardel, à La vie agricole. Le député de Granby rappelle que la CAQ a déposé un projet de loi en novembre dernier afin d’aider les producteurs québécois à entrer à la SAQ et il ne comprend pas cette trahison du ministre des finances et du ministre de l’agriculture.

« On met en danger la pérennité des vignobles. On risque des rappels de marges de crédit par des banques car certaines entreprises attendaient des remboursements de 200 000 à 300 000 $. Je ne comprends pas que l’on sacrifie cette industrie dans le jeu de l’équilibre budgétaire », dénonce-t-il.

François Bonnardel dénonce que le Parti libéral a pris cette décision juste avant les fêtes et sans aucune consultation. « La parole d’un ministre, dans mon livre, ce n’est pas rien. C’est simple : un contrat est un contrat. En rompant leur engagement, Pierre Paradis et Carlos Leitão laissent carrément tomber les vignerons québécois. Le gouvernement se doit de payer ce qu’il doit à ces producteurs et mettre immédiatement un terme à ce préjudice grave », déclare M. Bonnardel.

Le programme d’aide aux vignobles québécois, prévu jusqu’en 2017, offrait une compensation d’environ 3 $ la bouteille pour les vins certifiés québécois pour les aider à fournir à la SAQ du vin à des prix compétitifs. Le budget de ce programme a été réduit de 2,3 millions dollars à 1 million par le ministère des Finances le 16 décembre dernier.

Aucun plan pour soutenir l’agriculture


 Publié le 13 janvier 2016

La députée de Mirabel, Sylvie D’Amours, est très critique à l’endroit du ministre de l’Agriculture, Pierre Paradis.

C’est que l’élue caquiste se dit très préoccupée par l’article de La Presse qui relate que la province a perdu plus de 250 fermes laitières l’année dernière.

«On est en train de voir disparaître des fermes familiales au profit de plus grandes entreprises agricoles. Je suis estomaquée de voir la lenteur dans tous les dossiers agricoles. On aurait dû s’attaquer à l’importation des protéines laitières depuis longtemps. Les agriculteurs sont des entrepreneurs. Le gouvernement soutient Bombardier et plein d’autres entreprises, mais jamais l’agriculture », dénonce-t-elle.

Rappelons que l’importation d’un nouveau type de protéines laitières des États-Unis a grimpé en flèche et cette augmentation a contribué à la chute des prix du lait payés aux agriculteurs québécois. Dans ce contexte économique défavorable, plusieurs producteurs ont vendu leurs fermes.

Frais de garderie: facture salée à prévoir pour plusieurs parents


 Publié le 12 janvier 2016

La Coalition Avenir Québec dénonce le choc tarifaire imposé aux parents qui ont des enfants fréquentant une garderie subventionnée.

En vigueur depuis avril 2015, l’augmentation des tarifs de garde du gouvernement Couillard est payable lors de la déclaration de revenus.

«C’est comme dire: Servez-vous du réseau tout de suite, mais payer plus tard. C’est sûr que ça va faire mal», dénonce au Journal de Québec la députée Lise Lavallée.

La députée de Repentigny rappelle que Philippe Couillard avait pourtant promis d’indexer les tarifs de garde au coût de la vie.

Pour la députée caquiste, il est évident qu’il sera de plus en plus difficile pour les parents québécois de mettre de l’argent de côté pour la garderie lorsque le panier d’épicerie et les tarifs d’électricité ne cessent d’augmenter.