Simon Jolin-Barrette souligne la participation d’élèves de la circonscription au Parlement des jeunes 2016


 Publié le 25 janvier 2016

Le député de Borduas, Simon Jolin-Barrette, félicite les quatre élèves de l’école d’Éducation Internationale de McMasterville qui ont participé au Parlement des jeunes 2016 les 20, 21 et 22 janvier derniers. Lors de cette simulation parlementaire, Guillaume Bédard, Ariane Desharnais, Florence Lavoie et Philippe Léonard-Dufour ont été initiés au rôle d’élu provincial.

M. Jolin-Barrette a rencontré les 4 participants quelques jours avant le début de l’événement. « C’est toujours un plaisir pour moi de rencontrer des jeunes qui s’intéressent à la politique et à la vie citoyenne. Ils m’ont d’ailleurs présenté le projet de loi sur lequel ils ont travaillé, qui vise à rendre les transports en commun gratuits pour tous les étudiants âgés entre 16 et 25 ans inscrits à temps plein dans un établissement scolaire. J’ai été grandement impressionné par leur sérieux et la qualité de leur préparation », souligne le député de Borduas, qui a d’ailleurs présidé une commission pendant cette édition du Parlement des jeunes.

Au cours de cette 14e législature, quelque 135 jeunes de 3e et 4e secondaire, provenant de 35 écoles du Québec, ont profité de ces trois jours pour se familiariser avec les rôles de représentant, de législateur et de contrôleur des actions du gouvernement qu’exercent les députés. Ils ont notamment étudié trois projets de loi portant sur :

  • la redistribution alimentaire ;
  • les critères d’obtention du permis de conduire du Code de la sécurité routière ;
  • la gratuité des transports en commun pour les étudiants.

Susciter l’intérêt des jeunes pour la politique

Simon Jolin-Barrette salue la mise en place de cet événement par l’Assemblée nationale. « Il est important de permettre aux élèves du secondaire de vivre ce type d’expérience afin qu’ils puissent se familiariser avec les réalités qui caractérisent le monde politique. Je tente d’ailleurs, lorsque je rencontre des jeunes, de susciter leur intérêt pour la démocratie afin de favoriser leur implication dans la société », affirme-t-il.

Pour en connaître davantage sur le Parlement des jeunes et les autres activités éducatives organisées par l’Assemblée nationale, visitez le www.paricilademocratie.com

L’avenir du nationalisme


 Publié le 22 janvier 2016

Le nationalisme est à l’avant-plan depuis que la Coalition Avenir Québec a dévoilé sa position au Conseil général qui s’est tenu en novembre dernier à Laval.

Les appuis en lien avec ce positionnement sont nombreux et continuent d’affluer de semaine en semaine.

Le nationalisme fait d’ailleurs l’objet de la plus récente chronique de Denise Bombardier.

« Le nationalisme québécois doit retrouver du souffle, de la vigueur et de la pertinence. Être nationaliste, c’est refuser d’attribuer aux autres la responsabilité de nos faiblesses et nos impuissances. La fierté est un sentiment légitime, à la condition qu’elle soit le résultat de nos réalisations, de nos succès, de notre courage à surmonter les obstacles et de notre capacité à assumer le présent et à rêver l’avenir », soutient-elle.

Pour lire la chronique complète, cliquez ici.

Le ministre des Finances doit enlever ses lunettes roses


 Publié le 22 janvier 2016

Le député André Lamontagne presse le gouvernement de mettre en place un plan pour stimuler l’innovation et relancer le secteur manufacturier.

Les récents chiffres dévoilés par l’Institut de la statistique du Québec concernant le dernier trimestre de 2015 et le PIB du mois d’octobre démontrent plusieurs constats inquiétants: déclin du secteur manufacturier, recul considérable des investissements privés et croissance économique anémique.

Le député Lamontagne ne comprend pas comment le ministre des Finances, Carlos Leitão, peut affirmer que tout va bien dans le meilleur des mondes pour l’économie du Québec.

« Le ministre des Finances porte ses lunettes roses et refuse de constater que depuis 2002, on observe une dégradation importante du secteur manufacturier. Le coup est tout aussi dur au niveau des investissements non résidentiels qui sont en chute libre de 8,5 %, contrairement à l’Ontario qui a enregistré une légère hausse. Pourtant, le Québec pourrait tirer grand profit du contexte actuel avec la baisse du dollar canadien qui pourrait stimuler davantage les exportations et donner à nos PME la chance de mieux concurrencer à l’étranger. Présentement, les libéraux restent les doigts croisés, à espérer que tout se fera tout seul », dénonce-t-il.

Le député de Nicolet-Bécancour, Donald Martel, abonde dans le même sens. « J’espère que les chiffres de l’ISQ ont eu l’effet d’une onde de choc pour le ministre. Il ne peut pas prétendre la veille que tout va bien dans le meilleur des mondes, mais refuser de prendre acte des signaux inquiétants qui sont lancés aujourd’hui. Le Parti libéral doit cesser d’être en mode spectateur et montrer qu’il pourra tirer profit des occasions qui s’offrent à lui. »

L’Institut de la statistique du Québec nous apprend aussi que le revenu disponible des travailleurs québécois demeure le plus faible parmi les 13 provinces et territoires canadiens pour une deuxième année consécutive.

«C’est triste : à l’arrivée au pouvoir des libéraux en 2003, le Québec occupait le 7e rang pour son revenu disponible par habitant, tandis qu’aujourd’hui nous sommes bons derniers. Cette réalité afflige particulièrement nos familles de la classe moyenne. C’est d’autant plus inacceptable que le gouvernement s’y résigne en faisant porter le fardeau de son inaction sur le contexte économique mondial», dénonce le porte-parole de la CAQ en matière d’économie », s’est exprimé André Lamontagne au journal L’Express.

Baisser les impôts et augmenter les investissements privés


 Publié le 21 janvier 2016

Il est urgent que le gouvernement Couillard présente un plan économique viable et crédible aux Québécois selon François Legault.

Le chef de la Coalition Avenir Québec mentionne que la relance économique passe par une baisse immédiate des impôts.

«Ça prend un plan car actuellement il n’y en a pas. Il faut redonner de la confiance et surtout de l’oxygène aux ménages québécois qui sont très endettés. Et pour cela, il faut baisser les impôts des contribuables», a-t-il souligné en entrevue au Journal de Québec.

La Coalition Avenir Québec croit aussi que le gouvernement libéral doit stimuler davantage les investissements privés au Québec. Actuellement, ils se situent à 30 milliards $ alors qu’il devraient atteindre les 50 milliards $ par année.

Rappelons que pour une deuxième année de suite, le Québec traîne au dernier rang des provinces canadiennes quant au revenu disponible par habitant, une « une véritable honte» selon François Legault.

Semaine fructueuse pour François Legault


 Publié le 21 janvier 2016

L’importante présence médiatique du chef de la Coalition Avenir Québec cette semaine n’est pas passée inaperçue auprès des différents chroniqueurs politiques.

François Legault en a profité pour mettre de l’avant les enjeux qui seront priorisés par sa formation politique au cours des prochains mois.

Il souhaite notamment une baisse d’impôts pour les contribuables, inciter le gouvernement à aller chercher des investissements privés et faire valoir la position nationaliste de la CAQ.

La chroniqueuse au Journal de Montréal, Josée Legault, souligne dans son plus récent billet qu’«il ne faudrait surtout pas sous-estimer la nouvelle offensive du chef caquiste ».

Dans les coulisses de la vie politique


 Publié le 20 janvier 2016

Isabelle Brais, l’épouse du chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, s’est ouverte sur la réalité des coulisses de la vie politique en entrevue avec Paul Arcand mardi matin.

Voici quelques passages qui ont été remarqués par le Journal de Montréal:

«C’est un battant. C’est mon Rocky Balboa. Je ne le vois pas faire autre chose. Il veut vraiment. Il sait qu’il est capable de faire quelque chose d’important pour le Québec », dit-elle, parlant de son mari, François Legault.

«Si mon mari n’était pas en politique, j’aimerais m’occuper des jeunes. Si j’avais la possibilité, j’aiderais tous ceux qui sont dans la rue et j’essaierais d’ouvrir une école spécialisée pour eux.»

«Je suis une nationaliste économique. J’ai des bottes faites au Québec, des jeans faits au Québec. J’essaie toujours d’acheter d’abord au Québec quand c’est possible.»

Sortir le Québec de sa torpeur économique


 Publié le 20 janvier 2016

En entrevue au micro de Sylvain Bouchard au FM93 mercredi matin, François Legault a rappelé que la première priorité de sa formation politique est la relance économique du Québec.

« Moi, je veux un Québec riche. Je veux que les Québécois soient plus riches. C’est ma priorité, et de loin, devant les autres priorités. On a besoin d’un État efficace qui crée de la richesse. Notre nouveau slogan à la CAQ, c’est “Un Québec ambitieux”. On veut réduire les impôts des contribuables et attirer des investisseurs privés. C’est de cette manière qu’on va pouvoir relancer l’économie du Québec », explique-t-il.

François Legault souligne que le gouvernement actuel n’a aucune vision en ce sens.

« Le problème qu’on a au Québec, ce n’est pas seulement le nombre d’emplois. C’est la qualité des emplois. Pourquoi sommes-nous derniers au pays pour le revenu disponible par habitant? C’est parce que nous avons beaucoup d’emplois à 10-15$ de l’heure et pas beaucoup à 25-30-35$ de l’heure. Ça serait naïf de croire que le gouvernement n’a pas de rôle à jouer, mais actuellement il le fait mal », ajoute-t-il.

Questionné sur le positionnement nationaliste de la Coalition Avenir Québec, François Legault rappelle que c’est l’arrivée de Pierre Karl Péladeau à la tête du Parti québécois qui a ramené la question identitaire à l’avant-plan.

« À la CAQ, nous avons un projet qui est à l’intérieur du Canada. Si vous n’êtes pas pour la souveraineté, vous pouvez voter pour la Coalition Avenir Québec. Par contre, contrairement aux libéraux, nous demandons des pouvoirs additionnels, notamment sur la question de la langue et de l’immigration. Si on est capable de regrouper les Québécois autour d’un projet nationaliste et que nous demandons ces pouvoirs à Justin Trudeau, je pense qu’il ne pourrait pas résister », conclut-il.

Pour écouter l’entrevue complète, cliquez ici.

«On est une équipe» – Isabelle Brais


 Publié le 19 janvier 2016

La conjointe de François Legault, Isabelle Brais, a accordé une entrevue ce matin à Paul Arcand, au 98,5.

Il a été notamment question de son implication politique auprès de son mari.

«Mon mari est un battant. C’est mon Rocky Balboa. Il sait qu’il est capable de faire quelque chose pour le Québec d’important. Il veut le faire. Et moi je l’appuie à 150%. On est une équipe », souligne-t-elle.

Pour écouter l’entrevue complète, cliquez ici.

« Ça suffit les beaux discours » -François Legault


 Publié le 19 janvier 2016

François Legault s’est entretenu avec Mario Dumont à LCN mardi, où il a été question, entre autres, de relance économique.

« Il faut réduire le fardeau fiscal, créer des emplois de qualité et investir en éducation », soutient-il.

Appelé à commenter la présence de Philippe Couillard au Forum économique mondial de Davos, qui débutera demain, le chef de la CAQ soutient que le premier ministre doit passer de la parole aux actes.

« Au Québec, il nous manque 20 milliards de dollars d’investissements privés. Ça suffit les beaux discours, ça prend des deals », clame-t-il.

Concernant la position nationaliste, François Legault indique qu’«il y en a plusieurs, au Parti québécois, qui sont en réflexion».

Il estime que son option est un juste milieu entre «le rêve imaginaire» que propose le PQ avec la souveraineté, et le «monopole» exercé par le Parti libéral, qui ne «défend pas notre identité» et qui «n’a pas de plan ambitieux en économie».

Un Québec plus riche, le but ultime de la CAQ


 Publié le 19 janvier 2016

En entrevue au micro de Benoit Dutrizac au 98,5 mardi, François Legault réclame que Philippe Couillard passe de la parole aux actes concernant la relance économique du Québec.

«Il faut être capable d’aller chercher des gros investisseurs. Combien de deals Philippe Couillard va aller chercher à Davos?», s’interroge-t-il sur la présence du premier ministre au Forum économique mondial qui débutera demain.

Questionné sur la position identitaire de la CAQ, François Legault est très clair: « La CAQ est nationaliste, ce qui veut dire qu’on souhaite aller chercher plus de pouvoirs pour le Québec, à l’intérieur du Canada. Nous sommes convaincus, notamment, qu’il est possible de négocier avec le gouvernement fédéral pour aller avoir tous les pouvoirs en matière de langue et d’immigration », explique-t-il.

Le chef de la CAQ se dit confiant de rallier une grande partie des nationalistes avec ce positionnement, afin de mettre un terme au monopole libéral.

Au terme de l’entrevue, Benoît Dutrizac a souligné à François Legault que selon lui, « vous êtes la vraie opposition, la CAQ. Sincèrement, on se rend compte que vous en avez plus à dire que le PQ ».

Pour écouter l’entrevue complète, cliquez ici.