Coupures envisagées à l’hôpital de Saint-Eustache : Benoit Charette indigné


 Publié le 14 juillet 2016

Le député de Deux-Montagnes, Benoit Charette, dénoncent les coupures envisagées par l’hôpital de Saint-Eustache pour boucler son budget.

Aucune décision officielle n’a encore été prise du côté du CISSS.

Malgré tout, Benoit Charette estime que la direction doit trouver une alternative. « Le centre hospitalier doit trouver un moyen pour poursuivre les mesures d’hygiène actuelles. La santé de nos patients le commande », a-t-il déclaré en entrevue au Nordinfo.

Benoit Charette considère que le Parti libéral manque de respect envers les contribuables, après que son ministre des Finances ait annoncé que les surplus budgétaires générés par le gouvernement seront appliqués au remboursement de la dette.

« Le fardeau fiscal des Québécois a augmenté en moyenne de 1 300 $ par famille depuis l’arrivée des libéraux au pouvoir. Le parti de Philippe Couillard manque de respect envers les contribuables en affectant entièrement ces surplus au remboursement de la dette, alors qu’un établissement de santé pourrait devoir couper dans les méthodes sécuritaires de nettoyage afin de boucler son budget », conclut-il.

François Paradis fera le grand saut pour une bonne cause


 Publié le 13 juillet 2016

Après avoir plongé sous la glace en février dernier pour la Fondation de l’Hôtel-Dieu de Lévis, le député François Paradis sautera en parachute, le 10 septembre prochain à Saint-Jean-Chrysostome, lors de l’événement «Un saut pour la vie».

Le député de Lévis relèvera ce second défi afin de soutenir la Fondation Rêve d’enfants.

Concrètement, François Paradis fera le grand saut pour Laurence, une adolescente de 15 ans, afin de lui permettre de se rendre sur la croisière Disney à la fin de ses traitements pour un sarcome d’Ewing.

«Relever des défis c’est bien, mais se surpasser pour une bonne cause c’est encore mieux. Ceux et celles qui sont confrontés à un diagnostic de cancer doivent se surpasser tous les jours. Plonger sous glace ou se jeter dans le vide, c’est faire confiance à l’équipe. C’est se sentir appuyé par nos proches. C’est un message de confiance et de solidarité», a souligné M. Paradis au Journal de Lévis.

François Paradis invite donc la population à donner. Vous n’avez qu’à cliquer ici pour le faire.

Un autre fleuron québécois passe à des mains étrangères


 Publié le 11 juillet 2016

Nous avons appris en fin de semaine qu’un an avant de fêter son 50e anniversaire, l’entreprise beauceronne Texel a été vendue à la compagnie américaine Lydall, établie au Connecticut, pour la somme de 96 millions $ US.

Texel est une entreprise nichée dans le géotextile et le géosynthétique depuis 1967.

En plus de l’usine de Saint-Elzéar qui représente environ 200 emplois, Lydall acquiert deux autres installations de fabrication de Texel au Québec ainsi qu’un centre de distribution. Au total, la transaction touche plus 300 employés au Québec.

Pour François Legault, avec le taux de change du dollar canadien par rapport au dollar américain et avec la retraite des baby boomers propriétaires, il devient urgent que le gouvernement du Québec se dote d’un plan pour arrêter la perte de sièges sociaux québécois.

«Les sièges sociaux sont très importants pour le niveau de richesse. Ils offrent des emplois de qualité et permettent à des fournisseurs et consultants d’obtenir des contrats importants. Un mandat spécial et un fonds spécial devraient être confiés à Investissement Québec pour faire une veille sur les sièges sociaux québécois qui risquent d’être vendus au cours des prochaines années », soutient le chef de la CAQ.

Perte de 11 200 emplois en juin : Les libéraux s’éloignent de plus en plus de leur promesse électorale


 Publié le 8 juillet 2016

Malgré les beaux discours de Philippe Couillard, la performance économique du Québec reste très timide et les résultats dévoilés aujourd’hui démontrent qu’après plus de deux ans de gouvernement libéral, l’emploi est encore très volatile, déplore le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’économie, André Lamontagne, alors que Statistique Canada révèle vendredi matin que le Québec a perdu 11 200 emplois en juin, dont 27 400 à temps plein.

« Au cours de la dernière année, il ne s’est créé que 33 300 emplois au Québec, presque deux fois moins qu’en Ontario. Depuis l’arrivée en poste du gouvernement Couillard, on en compte seulement 47 100. Soyons honnêtes : nous sommes très loin des grandes promesses libérales de la dernière campagne électorale, lorsqu’ils promettaient main sur le cœur 250 000 emplois sur 5 ans! Le Québec a pourtant tout pour réussir, nous pouvons faire tellement mieux, mais pour cela, il faut une vision et de l’ambition; deux éléments qui malheureusement manquent cruellement à notre gouvernement », a déclaré André Lamontagne.

« Après 13 années de monopole libéral, les gens comprennent malheureusement que le gouvernement Couillard ne parviendra pas à relancer l’économie, à générer davantage de revenus et à créer de la richesse pour l’ensemble du Québec. Pendant ce temps, le fardeau fiscal des familles a augmenté en moyenne de 1 300 $. La classe moyenne a largement fait sa part, c’est au tour du gouvernement d’honorer ses engagements et de relancer notre économie », conclut André Lamontagne.

Épidémie de feu bactérien : La CAQ déjà en mode solution


 Publié le 8 juillet 2016

Inquiète pour les agriculteurs de la région des Laurentides aux prises avec une épidémie de feu bactérien, la porte-parole de la CAQ en agriculture et députée de Mirabel, Sylvie D’Amours, a déjà contacté vendredi matin le ministre Pierre Paradis en lui formulant une piste de solution concrète et efficace : envoyer des émondeurs du MAPAQ dans les vergers des Laurentides pour tenter de limiter l’étendue des dégâts et couper au plus vite les branches déjà contaminées. Surtout, Sylvie D’Amours a exigé du ministre que la facture ne soit pas refilée aux pomiculteurs, qui en ont déjà plein leur assiette.

« Les pomiculteurs des Laurentides sont complètement désemparés et épuisés ces jours-ci. Ils ont du mal à combattre l’épidémie tout en accomplissant leurs tâches quotidiennes, qui, on le sait, sont très nombreuses. Lorsqu’un pomiculteur doit passer la moitié de sa journée à couper les branches contaminées par le feu bactérien, c’est du temps qu’il ne passe pas à s’occuper du reste de son verger. Le ministre Paradis doit mettre à leur disposition toutes les ressources nécessaires du MAPAQ dans les plus brefs délais », a demandé Sylvie D’Amours, soulignant que Pierre Paradis semblait ouvert à sa proposition.

Les mois de juin, juillet et août sont des mois difficiles pour les producteurs de pommes puisqu’ils ont essentiellement des lourdes dépenses et pratiquement aucun revenu. Selon la députée de Mirabel, les dépenses liées au combat du feu bactérien sont trop significatives et imprévues pour les producteurs et peu pourront en assumer les frais. « Si les producteurs sont devant le choix de survivre financièrement ou d’engager des employés supplémentaires pour éliminer la présence de la brûlure bactérienne, ils vont privilégier leur entreprise. Or, la maladie ne sera pas enrayée et la crise s’aggravera pour eux, mais également pour leurs voisins » a prévenu la députée.

La caquiste a dit craindre que l’épidémie ruine les récoltes de plusieurs producteurs si aucune ressource supplémentaire n’est mise à la disposition des pomiculteurs. « Le métier d’agriculteur est très risqué, parce qu’un rien peut faire déraper une récolte et ruiner une saison complète. Il faut donc aller au-devant des problèmes et les régler avant qu’ils ne fassent trop de dégâts. Le ministre de l’Agriculture doit comprendre cette problématique et se mettre au boulot sans plus attendre », conclut-elle.

La CAQ réagit à l’abolition de l’ASRA


 Publié le 7 juillet 2016

Sylvie D’Amours, députée de Mirabel et porte-parole de la Coalition Avenir Québec pour les dossiers d’agriculture, de pêcheries et d’alimentation, dénonce la décision du ministre Paradis d’abolir le programme d’Assurance stabilisation des revenus agricoles (ASRA) au profit des programmes AGRI.

Le ministre de l’Agriculture se base sur un rapport d’un comité de travail où l’Union des producteurs agricoles et la Financière agricole étaient autour de la table, dont une des recommandations fut la transformation des programmes de sécurité du revenu, notamment par l’abolition de l’ASRA. Pour Sylvie D’Amours, c’est un détournement du travail effectué de bonne foi par les producteurs agricoles. « Alors que les producteurs y voyaient une façon de réformer les programmes de sécurité du revenu afin de se doter d’une vue d’ensemble au bénéfice de l’agriculture, le ministre a plutôt sauté sur l’occasion pour piger à la pièce les mesures qui lui permettait de démanteler encore un peu plus le soutien de l’État à notre garde-manger québécois. »

D’ailleurs, le 27 juin dernier, la députée de Mirabel a fait parvenir une correspondance à M. Paradis dans l’objectif de le sensibiliser aux inquiétudes des producteurs face à l’abolition du programme et pour lui demander d’intervenir en faveur de son rétablissement, à défaut de mettre en œuvre l’intégralité du rapport. « Devant les défis et les incertitudes que comporte l’avenir de notre agriculture québécoise, je considère que les producteurs n’ont pas besoin de la difficulté supplémentaire que constituerait la question des meilleurs programmes gouvernementaux pour assurer la stabilité et la pérennité de leurs entreprises », écrivait la députée.

Selon la porte-parole de la Coalition Avenir Québec, il est temps d’envoyer un message fort à l’univers agroalimentaire. « Nous devons leur montrer que nous les considérons comme partie prenante de la relance économique du Québec. Pour le moment, le gouvernement semble planifier que les Québécois de demain mangeront des ailes d’avion avec du coulis de ciment. »

Déversement à Saint-Hyacinthe : Chantal Soucy suit la situation de près


 Publié le 6 juillet 2016

La députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, suit attentivement l’évolution du dossier entourant la mort de milliers de poissons dans la Rivière Yamaska.

Durant des travaux de la station d’épuration, environ 8500 mètres cubes d’eaux usées ont été relâchées dans la rivière, alors que son débit était particulièrement faible.

Chantal Soucy s’est entretenue à plusieurs reprises avec des représentants du ministre de l’Environnement et le maire de Saint-Hyacinthe, Claude Corbeil, au cours des derniers jours.

« D’entrée de jeu, je tiens à saluer l’effort de transparence et les gestes posés par le maire Corbeil. La Ville de Saint-Hyacinthe a rapidement reconnu ses torts et a lancé une enquête interne. Je suis persuadée que l’administration municipale apprendra de ses erreurs et qu’un tel incident aura peu de chances de se reproduire », a-t-elle indiqué sur sa page Facebook.

Toutefois, la députée caquiste considère que le ministère de l’Environnement a d’importantes leçons à tirer de cet événement.

«Soyons honnêtes : les détails entourant le Règlement sur les ouvrages municipaux d’assainissement des eaux usées sont peu connus des acteurs locaux. Je lance donc un appel à l’action au ministère du Développement durable et de l’Environnement : il doit s’engager à contacter toutes les municipalités longeant la Rivière Yamaska afin de les informer de la situation et des dispositions prévues lorsqu’il est question de déversement d’eaux usées. Le ministère doit être proactif et communiquer aux villes et municipalités un processus clair et précis », conclut-elle.

Un surplus budgétaire réalisé sur le dos des contribuables, dénonce la CAQ


 Publié le 6 juillet 2016

Le ministre des Finances, Carlos Leitão, aurait dû se garder une petite gêne avant de déclarer, sourire aux lèvres, que l’ensemble des surplus budgétaires générés par le gouvernement sera appliqué au remboursement de la dette, a indiqué le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de finances publiques, François Bonnardel. En effet, M. Leitão n’est pas sans savoir que c’est encore et toujours le contribuable québécois qui est passé à la caisse, par l’entremise de hausses de taxes et de tarifs démesurées.

« C’est simple : ce sont les Québécois qui ont payé le retour à l’équilibre budgétaire des libéraux. Au cours des deux dernières années, Philippe Couillard et son soi-disant trio économique ont été incapables de remplir les coffres de l’État en relançant l’économie. Le gouvernement libéral est déconnecté, usé, fatigué. Encore ce matin, à l’entrée au Conseil des ministres, Carlos Leitão a dit qu’“habituellement”, les surplus budgétaires sont affectés au remboursement de la dette. Une fois de plus, il a été vite en affaires et a manqué de respect envers les Québécois. Le ministre devrait savoir qu’habituellement, un gouvernement responsable n’étouffe pas les contribuables comme les libéraux l’ont fait. Les Québécois ne sont pas dupes des manœuvres libérales douteuses et purement électoralistes et ils savent très bien que les surplus ont été directement puisés dans leurs poches », a déclaré François Bonnardel.

Le député de Granby a tenu à rappeler que le fardeau fiscal des Québécois a augmenté en moyenne de 1 300 $ par famille depuis l’arrivée des libéraux de Philippe Couillard au pouvoir. Hausse des tarifs de garderies et d’électricité, taxe sur l’essence, taxes municipales et scolaires : toutes les raisons ont été bonnes pour saigner les contribuables, a regretté François Bonnardel. « Il faut donner de l’oxygène aux contribuables québécois, mais on ne peut plus faire confiance du tout aux libéraux. Après 13 années au pouvoir, les Québécois savent qu’ils ne peuvent pas compter sur eux pour réduire leur compte de taxes. La CAQ, contrairement au Parti libéral, a toujours été opposée à toute hausse de taxes et de tarifs au-dessus de l’inflation. On a même réclamé l’hiver dernier une baisse d’impôts de 1000 $ par famille pour relancer la consommation des ménages, mais le gouvernement n’a rien voulu savoir. Les Québécois s’en souviendront en 2018 », a conclu le leader de la CAQ.

Les députés Lamontagne et Schneeberger soutiennent le Centre Normand-Léveillé


 Publié le 4 juillet 2016

Ouvert en 1996, le Centre Normand-Léveillé est devenu rapidement indispensable. La raison en est qu’il fournit à l’année des services aux personnes présentant une ou des incapacités. Il se distingue aussi par le nombre et la variété de ses plateaux tels que piscine, gymnase, mini-ferme, arbre conteur, piste d’hébertisme, parc et jeux d’eau, chapiteau, cafétéria, théâtre d’été et salle multi-sensorielle. Plus de 3000 participants et participantes y séjournent annuellement.

Les députés de Johnson et de Drummond-Bois-Francs, André Lamontagne et Sébastien Schneeberger, s’intéressent de près aux réalisations et aux défis du Centre Normand-Léveillé. Celui-ci peut compter sur eux pour soutenir ses projets au bénéfice des personnes handicapées et de leurs familles.

Le Centre est l’un des rares organismes de la région à offrir des installations et des activités conçues pour maintenir ou développer les capacités des gens ayant des besoins particuliers. Pour actualiser ses infrastructures et créer un fonds de soutien aux familles, sa Fondation a réussi une campagne de souscription de deux millions de dollars, sous la présidence de Laurent Lemaire. Les démarches se poursuivent pour obtenir trois millions supplémentaires auprès de programmes gouvernementaux.

La rénovation des bâtiments est évaluée à 1 680 000 $ et la construction d’un pavillon d’hébergement à 1 905 000 $. Pour son fonctionnement, le Centre a fait une demande au ministère de la Santé et des Services sociaux dans le cadre du Programme de soutien aux organismes communautaires (PSOC). Cette demande vise à maintenir la tarification actuelle, à offrir les services à plus de familles et à développer une nouvelle offre de répit encore plus adaptée.

« La contribution du Centre Normand-Léveillé au bien-être des personnes handicapées et de leurs familles est digne de mention, affirme André Lamontagne. Sa renommée s’étend à la grandeur du Québec, comme en témoigne sa clientèle qui provient à près de 50 % de l’extérieur du Centre-du-Québec, notamment de l’Estrie, de Montréal et de la Montérégie. »

« Que ce soit en termes de fonctionnement ou d’investissement, le Centre met tout en œuvre pour assurer la pérennité de sa mission, explique Sébastien Schneeberger. Nous invitons le gouvernement du Québec à contribuer au fonctionnement de l’organisme, ainsi qu’à la rénovation des bâtiments existants, à l’aménagement denouveaux plateaux d’activités et à l’érection d’un pavillon d’hébergement entièrement adapté. »

Des détenus auraient écouté des discussions entre gardiens : André Spénard interpelle le ministre Coiteux


 Publié le 30 juin 2016

Le député caquiste André Spénard demande l’intervention du ministre de la Sécurité publique, Martin Coiteux, après que des radios personnelles de détenus auraient permis de capter les ondes des appareils de type walkie-talkie utilisés par des gardiens et des cadres de l’établissement carcéral de Rivière-des-Prairies.

La Presse nous apprend que les radios problématiques ont été achetées légalement par les détenus, par le biais de «la cantine».

Sur les 600 détenus ou prévenus à la prison de Rivière-des-Prairies, environ 50% des pensionnaires à long terme de l’établissement auraient pu posséder la controversée radio. Et parmi ces pensionnaires, on retrouve plusieurs membres influents du crime organisé.

André Spénard demande au ministre Coiteux d’intervenir rapidement dans le dossier.

«C’est une situation extrêmement inquiétante sur laquelle le ministre Martin Coiteux doit se pencher rapidement. Après les drones, les mauvaises empreintes digitales et les évasions, on vient ajouter le risque que les détenus soient au courant du travail des agents carcéraux. Il est temps de revoir la sécurité de notre système carcéral en profondeur et arrêter d’agir à la pièce comme le fait le gouvernement libéral.»