Chiffres de l’emploi : Un bilan catastrophique


 Publié le 5 août 2016

« L’hémorragie libérale se poursuit en matière d’emplois au Québec », tel est le triste constat que fait François Legault, chef de la Coalition Avenir Québec, suite aux données sur l’emploi de Statistique Canada dévoilées aujourd’hui. Depuis le début de l’année 2016, le Québec a perdu 2 800 emplois et depuis l’arrivée du gouvernement libéral de Philippe Couillard, il y a 28 mois, le Québec n’a créé que 43 100 emplois, très loin des 250 000 emplois promis sur 5 ans.

« Il se passe rarement une semaine sans qu’une entreprise n’annonce des mises à pied. Les régions du Québec souffrent grandement du manque de vision du gouvernement libéral. Philippe Couillard n’a aucun plan pour la création d’emplois et l’ensemble de notre économie en subit les conséquences. Les exportations stagnent et les investissements privés ne sont tout simplement pas là », affirme François Legault qui estime que le nouveau trio économique libéral n’est littéralement pas à la hauteur et ne livre pas plus la marchandise que le précédent. « Notre économie est en panne et elle porte la signature du Parti libéral », soutient le chef de la CAQ.

La CAQ réclame du premier ministre qu’il fasse de la croissance économique une priorité de son gouvernement. « Que va-t-il faire cet automne ? Quel secteur va-t-il prioriser ? Où sont les résultats de ses nombreuses missions à l’étranger ? Aujourd’hui, les Québécois paient pour l’incompétence du monopole libéral. Nous sommes à un point de rupture. Bien hâte à 2018 », conclut François Legault.

Arrivée de deux organisateurs d’expérience : La CAQ continue de rallier les nationalistes


 Publié le 4 août 2016

Signe que le ralliement des nationalistes sous la bannière de la Coalition Avenir Québec est bel et bien en marche, la formation de François Legault tient à souligner l’arrivée de deux organisateurs politiques d’expérience au sein de son équipe. Martin Lafrenière, ancien organisateur au Bloc québécois, et Daniel Leblond, ancien organisateur au Bloc québécois et au Parti québécois, occuperont dorénavant les postes de directeur adjoint à la mobilisation pour la Coalition Avenir Québec.

Pour le président de la CAQ, Stéphane Le Bouyonnec, ces ajouts sont considérables puisqu’il s’agit de deux responsables d’organisation politique de haut niveau ayant parcouru le Québec à la rencontre de leurs concitoyens depuis plusieurs années. « Martin Lafrenière a été attaché politique et agent de liaison au Bloc québécois pendant plus de 7 ans. Il était responsable de la supervision de sept régions représentant 35 circonscriptions. Pour nous, Martin s’occupera de l’est de Montréal ainsi que de la Montérégie. De son côté, Daniel, qui compte plus de 23 ans de carrière en politique, sera en charge de l’Est-du-Québec. Ces arrivées sont symboliques pour nous. En plus d’être de grands mobilisateurs, l’ajout de ces deux organisateurs démontre qu’il est possible de rallier les nationalistes afin de mettre un terme au monopole libéral en 2018. Il ne faut pas oublier que ces arrivées s’ajoutent à celles survenues au début de l’année 2016 », explique-t-il.

Fier nationaliste

Martin Lafrenière et Daniel Leblond ont décidé de joindre les rangs de la Coalition Avenir Québec puisque pour eux, François Legault et son équipe sont les seuls à être en mesure de rallier les nationalistes pour l’élection générale de 2018 et ainsi déloger les libéraux du pouvoir. Ils lancent ainsi un appel à tous les nationalistes, afin qu’eux aussi emboitent le pas dans ce mouvement historique.

« Martin et moi sommes convaincus de poser le bon geste. Ce qui est le plus nuisible au Québec présentement, c’est le monopole libéral. Il faut que ça cesse. La CAQ représente l’avenir. Elle compte sur un chef solide et sur une députation exceptionnelle. À tous les membres et organisateurs nationalistes, emboitez le pas et impliquez-vous avec la CAQ. Nous avons tous le même objectif, soit celui d’avoir un Québec fier et prospère. François Legault est l’homme de la situation », soutient Daniel Leblond.

« Je désire remercier mon chef, François Legault, ainsi que toute l’équipe de la Coalition Avenir Québec, pour cet accueil si chaleureux. Je suis privilégié de pouvoir poursuivre la mission de la CAQ et je tiens à assurer mon entière collaboration aux gens que j’aurai l’honneur de côtoyer », poursuit Martin Lafrenière.

Martin Lafrenière entre officiellement en poste le 8 août et Daniel Leblond, le 1er septembre prochain.

Nomination à la Cour Suprême : Insuffisant pour le Québec


 Publié le 3 août 2016

Pour le porte-parole caquiste en matière de Justice, Simon Jolin-Barrette, l’annonce du gouvernement fédéral sur le nouveau processus de nomination des juges à la Cour Suprême est insuffisante pour le Québec.

Justin Trudeau a déclaré mardi que dorénavant, uniquement des juges bilingues seront nommés au plus haut tribunal du pays.

Pour le député de Borduas, même si le processus devient un peu plus transparent, le gouvernement fédéral doit aller plus loin.

« Le gouvernement fédéral conserve totalement la prérogative de nommer les juges. On prévoit d’ajuster la composition du comité, mais ça demeure des individus nommés par le fédéral et ça demeure un processus entièrement fédéral. On va seulement consulter les procureurs généraux des provinces. Donc le Québec n’aura pas son mot à dire sur le choix des juges qui proviennent du Québec », insiste-t-il en entrevue à La Presse.

Rappelons que Simon Jolin-Barrette a déposé en février dernier un projet de loi pour que le Québec forme son propre comité de sélection, qui serait chargé de proposer une liste de trois candidats au poste de juge, entérinée par l’Assemblée nationale et à partir de laquelle Ottawa devrait faire un choix.

Mise en marché des petits fruits : « Le gouvernement libéral doit prioriser le Québec avant les États-Unis » – Sylvie D’Amours


 Publié le 3 août 2016

Le gouvernement libéral met en péril l’industrie québécoise des petits fruits par son inaction à trouver des solutions afin que les produits puissent se retrouver sur les tables des Québécois. La députée de Mirabel et porte-parole de la Coalition Avenir Québec, Sylvie D’Amours, dénonce ainsi l’indifférence du gouvernement libéral qui se montre incapable de protéger l’industrie des petits fruits et d’en faire la promotion au lieu de laisser toute la place aux produits importés. En pleine saison des récoltes, la porte-parole caquiste en matière d’agriculture, pêcherie et alimentation réclame des actions immédiates pour les producteurs et productrices de petits fruits.

« Que ce soit avec les fraises, les framboises ou les bleuets, l’industrie québécoise des petits fruits n’est pas en mesure d’atteindre directement les consommateurs et de vendre le fruit des récoltes. Il s’agit d’un scandale estival qui se répète et s’aggrave d’année en année. Pendant que le ministre de l’Agriculture s’occupe des produits de deuxième catégorie, que fait-il pour ceux de première catégorie? Il n’a encore posé aucun geste pour permettre aux producteurs agricoles de simplement rejoindre davantage les familles québécoises qui ne demandent pas mieux que de manger des fruits et légumes frais du Québec. Pierre Paradis est en poste depuis 2 ans et non seulement rien n’a changé, mais certains producteurs de petits fruits risquent de perdre leurs récoltes et leurs revenus faute d’une présence suffisante dans les supermarchés », souligne Madame D’Amours.

La députée caquiste de Mirabel invite le ministre de l’Agriculture, Pierre Paradis, à visiter les épiceries et supermarchés du Québec. Il y constatera que les produits du Québec se font rares et sont loin d’occuper une place de choix. « Le ministre ne défend pas les producteurs du Québec qui devraient être les grands pourvoyeurs de notre garde-manger. Les familles québécoises veulent des produits locaux sur leur table à tous les repas. Que fait le gouvernement libéral? Quand va-t-il finalement agir pour soutenir, développer et surtout stabiliser l’agriculture au Québec ? À la CAQ, nous voulons une agriculture québécoise forte pour tous les Québécois », conclut Madame D’Amours.

Déclaration de François Legault à la suite du décès de Madame Sylvie Roy


 Publié le 1 août 2016

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, désire faire la déclaration suivante après l’annonce du décès de Mme Sylvie Roy, cet après-midi, à l’hôpital Enfant-Jésus de Québec :

« Je suis sous le choc. Pour moi comme pour l’ensemble de la famille de la CAQ, c’est une surprise totale. Nous sommes tous bouleversés.
Sylvie Roy a été tout le long de son passage parmi nous une battante. C’était une passionnée, qui était proche des gens, et qui n’avait pas peur de se battre pour ses idées. Elle représentait avec fierté la circonscription d’Arthabaska.

Il faut toujours se rappeler que c’est Sylvie qui a été la première à demander la tenue d’une commission d’enquête publique sur l’industrie de la construction. Elle avait le dossier de l’intégrité tatoué sur le cœur. Elle sera fortement regrettée par tous ses collègues de l’Assemblée nationale, où elle siégeait comme indépendante depuis l’an dernier.

À 51 ans, Sylvie était beaucoup trop jeune pour partir. Mère de deux enfants, elle laisse dans le deuil de nombreux proches et amis, dont sa propre mère, Monique Jacob. C’est à eux que je pense aujourd’hui. En mon nom et en celui de la CAQ, je veux leur adresser mes plus sincères condoléances. »

Épidémie de feu bactérien : La CAQ s’impatiente au nom des producteurs agricoles


 Publié le 20 juillet 2016

La députée de Mirabel et porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’agriculture, Sylvie D’Amours, déplore le laxisme du gouvernement libéral et l’absence de gestes concrets mis en place pour mettre un frein à l’épidémie de feu bactérien qui ravage actuellement de nombreux vergers dans la région des Laurentides.

Malgré les demandes formulées par la caquiste, des actions du MAPAQ se font toujours attendre, ce qui démontre selon Sylvie D’Amours que les agriculteurs ne sont clairement pas une priorité pour le ministre Pierre Paradis.

« J’ai discuté avec le ministre Pierre Paradis le 8 juillet dernier. Plus de 10 jours sont passés et c’est silence radio. M. Paradis trouvait intéressante ma proposition d’envoyer rapidement des émondeurs du MAPAQ dans les vergers pour tenter de limiter les dégâts et couper les branches déjà contaminées, mais personne ne s’est encore présenté sur les terres de nos agriculteurs. La période estivale est courte et d’une importance cruciale pour nos agriculteurs. Pourquoi ne pas passer à l’action dès maintenant? Il faut les soutenir! » exhorte à nouveau Sylvie D’Amours.

La députée de Mirabel tient à rappeler qu’elle a notamment exigé du ministre de l’Agriculture que la facture liée au combat du feu bactérien ne soit pas refilée aux pomiculteurs. « Pierre Paradis doit trouver les sommes nécessaires pour éliminer la présence de la brûlure bactérienne et ne pas choisir l’option facile : imposer des dépenses importantes et surtout imprévues aux producteurs. Les pomiculteurs vivent des moments très difficiles et sont épuisés. J’invite le ministre à m’accompagner et à venir rencontrer ces hommes et ces femmes qui collaborent au succès de notre économie. La crainte que l’épidémie ruine les récoltes est bien vivante dans notre région », lance Sylvie D’Amours.

Bruno Laroche, authentique et accessible


 Publié le 20 juillet 2016

La campagne pour l’élection partielle dans Saint-Jérôme n’est toujours pas officiellement lancée. Cela n’empêche toutefois pas le candidat de la CAQ, Bruno Laroche, d’être actif sur le terrain et d’aller discuter avec les Jérômiennes et Jérômiens.

Celui qui est préfet de la MRC Rivière-du-Nord et président de la Table des préfets des Laurentides le martèle depuis l’annonce de sa candidature, la défense des intérêts des contribuables est une grande préoccupation quotidienne pour lui.

« J’ai discuté avec des centaines de personnes jusqu’à maintenant. Avec ces échanges enrichissants que j’ai eus et que j’aurai au cours des prochaines semaines, en plus des tâches qui m’ont été confiées au cours des dernières années dans le monde municipal, j’ai développé une très bonne connaissance des enjeux qui sont chers aux citoyens de la région. Je crois être la personne la mieux placée pour représenter les citoyens et les citoyennes de Saint-Jérôme. Leurs préoccupations sont les miennes. Je vais me battre à l’Assemblée nationale pour qu’elles soient entendues à Québec », explique-t-il.

Bruno Laroche a notamment discuté avec Lyne Chaloux, directrice du COFFRET, sur les enjeux communautaires et d’immigration de la circonscription.

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Le candidat caquiste a aussi eu l’occasion de saluer les gens du Manoir du Vieux Moulin lors de leur souper BBQ, de visiter le Manoir Saint-Jérôme dans le cadre du café spécial, de participer à la danse en ligne des membres du Quartier 50+ sur la Place de la Gare et de visiter une entreprise innovante, Autobus Lion, avec François Legault et Jacques Duchesneau.

D’ailleurs, celui qui a été député de Saint-Jérôme de 2012 à 2014 en a profité pour donner son appui officiel à Bruno Laroche pour cette campagne.
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Aide médicale à mourir : Ne pas prolonger la souffrance


 Publié le 19 juillet 2016

Le député François Paradis invite les gouvernements fédéral et provincial à trouver une solution pour arrimer leurs lois sur l’aide médicale à mourir et ainsi «respecter l’esprit et le consensus exprimé par les Québécois».

TVA Nouvelles nous apprenait hier que le sous-ministre en matière de Santé, Michel Fontaine, a envoyé une lettre envoyée aux directeurs d’établissement de santé précisant les nouvelles modalités de l’administration de l’aide médicale à mourir.

Il précise notamment que dorénavant, il devra s’écouler une période de dix jours entre le moment où un patient demande l’aide médicale à mourir et celui où elle est administrée, afin de se conformer à la nouvelle loi fédérale.

Pour François Paradis, les nouvelles directives risquent de mettre les patients dans des situations difficiles et délicates : celles de prolonger une souffrance.

« 10 jours est un délai beaucoup trop long lorsqu’on souffre. Ce n’est pas une situation idéale, tant pour les patients que pour leurs proches. Il faut que les deux gouvernements trouvent une solution pour arrimer les deux lois, afin de respecter l’esprit et le consensus exprimé par les Québécois », soutient le député de Lévis.

Déclaration de François Legault sur l’attentat terroriste à Nice


 Publié le 15 juillet 2016

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a tenu à faire la déclaration suivante à la suite de l’attentat terroriste commis à Nice, en France :

« L’attaque terroriste commise à Nice dans la nuit du 14 juillet est absolument horrible. Au moment même où les Français et de nombreux étrangers s’étaient réunis pour célébrer la Fête nationale des Français, la haine a de nouveau frappé. Plusieurs dizaines de personnes ont trouvé la mort et une centaine de personnes ont été blessées, alors qu’un terroriste a ciblé un lieu hautement touristique.

La fête du 14 juillet célèbre l’unité de la nation. C’est un symbole important. C’est donc une attaque contre toute la France et contre toutes les démocraties qui partagent avec elle sa défense des valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité.

Je tiens aujourd’hui à envoyer un message fort. L’intégrisme islamiste est notre principal ennemi, l’ennemi commun le plus important que les démocraties ont connu depuis des décennies. La menace est à la fois intérieure et extérieure. Nous ne devons ménager aucun effort pour la combattre et pour l’éliminer.

À la suite de cet horrible attentat, mes pensées les plus chaleureuses vont au peuple français. Je veux aujourd’hui lui témoigner ma solidarité, ainsi qu’adresser mes condoléances les plus sincères aux proches de toutes les victimes. Ce soir, je veux dire aux Niçois et aux Niçoises qu’ils ne sont pas seuls. Nous sommes à vos côtés dans ce combat qui est aussi le nôtre. »

Financement d’Hydrocarbures Anticosti SEC : La CAQ dénonce une autre bourde des libéraux à l’international


 Publié le 15 juillet 2016

Alors que la ministre libérale de l’Économie, Dominique Anglade, refuse toujours de retirer ses propos sur le financement d’Hydrocarbures Anticosti SEC, la députée caquiste de Saint-Hyacinthe et porte-parole en matière d’énergie, Chantal Soucy, souligne avec consternation que le gouvernement libéral trouve toujours le moyen de se mettre les pieds dans les plats lors d’importantes missions économiques à l’étranger.

Encore une fois, c’est le projet sur l’île d’Anticosti qui est la cible de l’improvisation des libéraux. Après Philippe Couillard en décembre dernier à Paris, c’était au tour de la ministre Dominique Anglade, jeudi à Munich, de dérailler publiquement en affirmant que la société en commandite Hydrocarbures Anticosti SEC dispose de toutes les ressources financières pour effectuer ses travaux de forage prévus cet été. Or, Pétrolia est devant les tribunaux pour forcer Ressources Québec, filiale d’Investissement Québec (IQ), de respecter sa part du contrat, sans quoi elle ne pourra plus mener le projet.

« Dominique Anglade démontre encore une fois qu’elle ne connait pas ses dossiers. Elle a été immédiatement rabrouée devant l’ensemble de la classe d’affaires internationale par ni plus ni moins que par le président-directeur général d’IQ, Pierre Gabriel Côté… société d’État dont elle est la responsable! Quelle belle image du Québec les libéraux sont en train de vendre à l’international! Qui est aux commandes? Qui tient les rênes du projet au juste? » questionne Chantal Soucy.

Pour la députée de Saint-Hyacinthe, Mme Anglade n’a pas d’autre choix que de se rétracter. Il en va de sa crédibilité et de son leadership au sein de son propre ministère. Si elle refuse de corriger le tir, cela ne fera que démontrer que le gouvernement tente en coulisse de mettre fin au contrat signé par le Parti québécois en 2014. « Lorsque vient le moment de bloquer ce projet, le gouvernement libéral ne manque pas d’imagination! Ce qui est certain, c’est que le PLQ n’est plus le parti de l’économie. Nous sommes au stade de l’exploration : est-ce qu’on peut aller au bout de cette étape afin de prendre une décision éclairée par la suite? Il n’est pas question de donner carte blanche à l’exploitation sans cette étape préalable, mais pourquoi le gouvernement Couillard, encore une fois, essaie de trouver une porte de sortie et alimente davantage les craintes des investisseurs étrangers? » lance Chantal Soucy.