Relocalisation de l’aéroport de Mascouche : Laurent Lessard doit s’imposer face à Ottawa


 Publié le 9 novembre 2016

À la suite de l’autorisation émise par Transports Canada pour la construction d’un nouvel aéroport à Mascouche, à 2 kilomètres à peine de l’actuel site, le député de la Coalition Avenir Québec dans Masson, Mathieu Lemay, déplore vivement l’attitude cavalière du gouvernement fédéral, qui a rejeté du revers de la main l’opinion des citoyens et des élus locaux, unanimement opposés au projet. Pour la CAQ, le ministre québécois des Transports, Laurent Lessard, a fait preuve d’une passivité déconcertante dans ce dossier.

Dès son élection à titre de député, Mathieu Lemay a été très clair dans le dossier entourant dans la relocalisation de l’aéroport de Mascouche : oui, l’économie de la région peut bénéficier de l’arrivée d’un nouvel aérodrome, mais pas sans l’appui du milieu local.

« D’un point de vue environnemental, une relocalisation à cet endroit m’apparaît inacceptable. Le lieu choisi aujourd’hui pour la construction de l’aéroport n’est pas le bon, et ça, c’est unanime localement. Malgré cela, les libéraux ont laissé le fédéral négocier seul avec les promoteurs, sans dire un seul mot. Pourtant, on sait depuis des mois déjà que les terres ne sont pas propices à ce développement et que le corridor forestier sur la piste, protégé par la CMM et déclaré d’intérêt métropolitain, est une source de conflits majeure. Je suis déçu de voir le fédéral agir sans l’appui local, mais surtout gêné du laisser-aller du ministre Laurent Lessard, qui n’a pas été capable d’assurer la protection de notre environnement », déclare Mathieu Lemay, qui est également critique en matière d’environnement pour la CAQ.

M. Lemay demande à Laurent Lessard d’afficher ses couleurs rapidement, en invitant Marc Garneau à refaire ses devoirs. « Je n’accepte pas qu’on endommage nos milieux forestiers et humides protégés. Trouvons un terrain d’entente et réglons ce dossier une fois pour toutes », fait savoir Mathieu Lemay.

Terres agricoles menacées, déplore la CAQ

Pour sa part, la députée de Mirabel, Sylvie D’Amours, déplore le peu d’importance qu’accordent tant le fédéral que le provincial pour l’agriculture régionale. En effet, elle souligne que le nouvel aéroport se trouve également sur des terres agricoles parmi les meilleures au Québec.

« C’est inacceptable. Les libéraux ont été passifs dans ce dossier. Des vrais spectateurs! Rien ne justifie qu’on vienne rayer de la carte des terres agricoles de première qualité pour la construction d’un aéroport. Je ne peux pas croire qu’il n’y a pas dans la région un autre site qui ne met pas en jeu des centaines d’hectares de nos plus belles terres », a mentionné Sylvie D’Amours, ajoutant que le feu vert donné par Transports Canada va à l’encontre du Plan métropolitain d’aménagement et de développement de la CMM, qui reconnaît la zone agricole comme une composante essentielle au développement économique, social et environnemental du Grand Montréal.

Élection partielle dans Saint-Jérôme : La santé, au cœur des priorités de Bruno Laroche


 Publié le 9 novembre 2016

Le candidat de la CAQ dans la circonscription de Saint-Jérôme, M. Bruno Laroche, accompagné du député de Lévis et porte-parole de la CAQ en matière de santé et pour la condition de vie des aînés, M. François Paradis, a tenu un point de presse afin de parler de sa grande priorité s’il est élu le 5 décembre prochain, la santé.

« Vous vous en doutez sûrement, la santé demeure ma grande priorité et la grande préoccupation des Jérômiens. Trois dossiers sont très préoccupants présentement à l’Hôtel-Dieu de Saint-Jérôme. Je pense notamment, au retard de la construction du nouveau pavillon de soins en santé mentale qui a entraîné une augmentation effarante du temps d’attente à l’urgence et qui est actuellement de plus de 25 heures. C’est inacceptable! Autant les libéraux que les péquistes sont responsables de ce retard. Une fois élu, je m’engage à talonner sans relâche le gouvernement afin que le pavillon en santé mentale puisse voir le jour une fois pour toutes », a déclaré Bruno Laroche.

Un moratoire sur le projet Optilab

M. Laroche s’est dit également préoccupé par le projet Optilab et rappelle que CAQ a réclamé un moratoire sur ce projet il y a déjà quelques semaines.

« Le projet Optilab comporte actuellement trop de risques et d’inconnus pour être déployé. Il représente aussi une multiplication des risques d’erreurs et de pertes d’échantillons qui devront parcourir de longues distances, entraînant des retards et des reprises de tests pour les patients. Et c’est sans compter les emplois qui seront abolis, soient 128 emplois dans les Laurentides. En tant que futur député caquiste de Saint-Jérôme, j’entends demander un moratoire sur ce projet puisqu’il en va de l’avenir de 128 employés et de leurs familles ainsi que de la sécurité des patients », a promis le candidat caquiste.

Baisse d’impôt pour les familles

Finalement, Bruno Laroche a tenu à rappeler que sa formation politique est la seule à réclamer une baisse d’impôt immédiate pour les Québécois.

« Depuis plusieurs mois, mon chef François Legault, est le seul à réclamer une baisse d’impôt de 1000 $ par famille. Cette mesure redonnerait aux Jérômiens une bouffée d’air et stimulerait notre économie locale et régionale. Une autre preuve indéniable que Saint-Jérôme a besoin d’un député caquiste afin de vous défendre. Tout comme mon chef, je suis déterminé à protéger le portefeuille des Jérômiens. La CAQ est le seul parti qui a l’ambition et la capacité de faire les choix qui s’imposent et de mettre en œuvre les changements dont le Québec a besoin. Je tiens à vous rappeler que le nouveau chef péquiste a rejeté du revers de la main toute baisse d’impôts et que les libéraux l’ont aussi rejeté dans leur mise à jour économique », a conclu Bruno Laroche.

Fin des opérations pour traiter le cancer des poumons à Drummondville : Un coup dur pour le Centre-du-Québec


 Publié le 9 novembre 2016

Au lieu de renverser sa décision bureaucratique, le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, maintient le cap et compte toujours envoyer les patients de Drummondville atteints d’un cancer des poumons se faire soigner à l’extérieur de la région du Centre-du-Québec, ont déploré les députés de la Coalition Avenir Québec, Sébastien Schneeberger et André Lamontagne.

Environ 40 patients atteints du cancer devront maintenant faire deux heures de voiture aller-retour pour se faire soigner à Trois-Rivières, a indiqué Sébastien Schneeberger, député deDrummond–Bois-Francs.

« Le ministre de la Santé vit vraiment dans une bulle bien loin de la réalité des patients et ce n’est pas juste dans le Centre-du-Québec. En gros, il dit à 40 patients atteints du cancer des poumons : “même si vous êtes gravement malade, vous ferez des allers-retours de 2 heures à Trois-Rivières !” Le maire de Drummondville, avec qui j’ai parlé ce matin, est inquiet. Le médecin, qui traite les patients, est lui aussi choqué par cette décision bureaucratique froide. Comment le ministre de la Santé peut-il non seulement approuver, mais justifier, la décision de couper les chirurgies du cancer des poumons à Drummondville ? C’est inacceptable », a vivement dénoncé Sébastien Schneeberger.

Pour le député de Johnson André Lamontagne, cette décision malavisée de couper les chirurgies du cancer des poumons à Drummondville est un autre exemple de la centralisation des services de santé vers les grandes villes, donc au détriment de la proximité. « Dans le Centre-du-Québec, d’autres services de santé seront bientôt coupés. En janvier prochain, on va couper 6 services à l’hôpital de Nicolet. Il y aussi le projet Optilab qui va frapper les hôpitaux de Victoriaville et de Drummondville. Pourquoi le gouvernement s’acharne-t-il à couper les soins de santé dans le Centre-du-Québec? Pourquoi traiter les gens du Centre-du-Québec comme des citoyens de seconde zone ? » a lancé André Lamontagne.

Élection de Donald Trump : Le premier ministre doit appuyer sur l’accélérateur pour stimuler l’économie


 Publié le 9 novembre 2016

« Aujourd’hui, ma principale préoccupation, c’est l’économie », a déclaré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, au lendemain de l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis. Le chef de la CAQ a interpellé de nouveau le premier ministre du Québec, Philippe Couillard, concernant sa proposition de baisser les impôts des Québécois, plus pertinente que jamais.

Face à l’incertitude, M. Legault a invité le premier ministre à rassurer rapidement les Québécois. Tous ont entendu les discours du président élu, qui a remis en question plusieurs traités d’échanges commerciaux qui contribuent présentement à l’essor de l’économie canadienne et québécoise. M. Couillard doit prouver qu’il est préparé à faire face à la montée du protectionnisme américain, en déposant notamment un plan concret pour soutenir la croissance économique, la consommation des ménages et les investissements des entreprises.

« L’élection de Donald Trump a causé un choc un peu partout sur la planète et le Québec n’y échappe pas. Les États-Unis sont notre premier partenaire commercial. De nos échanges avec notre voisin, on tire un surplus commercial de 25 milliards de dollars. C’est 3 500 dollars par Québécois en moyenne. Il y a des dizaines de milliers d’emplois qui dépendent de nos relations commerciales avec les États-Unis. Or, M. Trump a remis l’ALENA en cause et pour le Québec, il y a là un risque important. Déjà que notre économie est chancelante, c’est le temps d’appuyer sur l’accélérateur », a déclaré François Legault, rappelant que le Québec détient un écart de productivité et de richesse nettement plus bas que nos voisins du Sud.

Plus tôt mercredi, au Salon bleu, le chef de la CAQ a réitéré l’importance de réduire les impôts des familles québécoises de 1 000 $ pour stimuler notre économie. Ce geste est d’autant plus nécessaire compte tenu de l’élection de Donald Trump, a-t-il fait savoir au premier ministre.

Certains devront tirer des leçons

Le député de L’Assomption a poursuivi en indiquant que plusieurs devront tirer les leçons qui s’imposent de la victoire du candidat républicain qui, à la surprise générale, est parvenu à déjouer tous les pronostics. « En politique, il ne faut jamais prendre de haut les préoccupations et les inquiétudes de la population. Il y a une certaine élite qui doit se remettre en question aujourd’hui », a conclu François Legault.

Relocalisation de l’aéroport de Mascouche : La CAQ fait bouger les libéraux


 Publié le 9 novembre 2016

La Coalition Avenir Québec est parvenue à forcer le gouvernement Couillard à prendre le dossier de la relocalisation de l’aéroport de Mascouche au sérieux après des mois de laisser-aller inacceptable, s’est réjoui le député de Masson, Mathieu Lemay.

En effet, la CAQ a fait adopter une motion, mercredi, exigeant que l’Assemblée nationale dénonce unanimement l’autorisation émise par le gouvernement fédéral pour la construction d’un nouvel aéroport à Mascouche sur des terres agricoles de première qualité. Pour Mathieu Lemay, il est évident que le ministre des Transports, Laurent Lessard, ne pouvait pas rester les bras croisés plus longtemps et accepter que le projet se fasse sans le consentement du milieu local. Cette motion n’est que la première étape d’un long processus au cours duquel le gouvernement libéral devra se faire entendre et obtenir des garanties concrètes pour les citoyens, a prévenu le caquiste.

« Enfin ! Les libéraux s’intéressent à ce dossier qui fait rage depuis des mois dans Lanaudière. Il était temps ! Depuis mon élection, je me bute à un mur chaque fois qu’il faut aborder le sujet avec le gouvernement. Les citoyens et les élus locaux ne cessent de dire : “On n’en veut pas de cet aéroport sur ces terres”, mais malgré cette opposition formelle, le ministre des Transports, Laurent Lessard, préférait se défiler de ses responsabilités. Résultat : il a laissé le fédéral négocier seul avec les promoteurs, sans imposer ses conditions ou protéger le terrain visé par la construction, qui est une des terres les plus riches du Québec. Je constate qu’aujourd’hui, le ministre se mord les doigts. C’est un début. J’attends maintenant à ce qu’il travaille de pied ferme avec tous les acteurs locaux afin de trouver un terrain d’entente pour conjuguer développement économique et développement durable », a déclaré le député de Masson.

Agrandissement de l’hôpital de Saint-Jérôme : Les libéraux reportent le projet aux calendes grecques, déplore Benoit Charette


 Publié le 8 novembre 2016

Alors que l’urgence de l’hôpital de Saint-Jérôme déborde continuellement et que les patients sur civière sont contraints d’attendre plus de 24 heures, le nouveau pavillon de santé mentale, promis par les libéraux et les péquistes, ne verra pas le jour de sitôt si l’on se fie aux réponses évasives du ministre de la Santé, Gaétan Barrette.

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec pour la région des Laurentides, Benoit Charette, dénonce que le projet ne soit pas encore commencé alors que l’ex-ministre libéral de la Santé, Yves Bolduc, avait annoncé son ouverture en 2014. En effet, rappelons que M. Bolduc avait prévu d’ouvrir les portes du pavillon dès 2014.

« C’est inacceptable que 32 mois après son élection, le gouvernement n’ait toujours pas annoncé que le projet sera enfin réalisé. Ça n’excuse pas non plus le Parti québécois qui a annoncé la construction du pavillon en santé mentale en 2014 sans même déposer de crédits budgétaires. Résultat : ce projet est au stade de planification depuis 2013 dans le Plan québécois des infrastructures. Les Québécois de Saint-Jérôme et des Laurentides attendent depuis des années la construction d’un nouveau pavillon, qui doit comprendre 96 lits d’hospitalisation. Aujourd’hui, ils ne connaissent même pas la date de la première pelletée de terre et encore moins le moment de son ouverture », peste Benoit Charette.

Le député de Deux-Montagnes souligne que la construction du pavillon en santé mentale est plus que justifiée, vu la situation alarmante à l’urgence de Saint-Jérôme. « Il y a des lits occupés à l’urgence de Saint-Jérôme par des gens qui ne devraient pas s’y retrouver. Le nouveau pavillon pourra réduire la pression sur l’urgence. Ça doit être une priorité pour le gouvernement. Les citoyens de Saint-Jérôme méritent plus que d’attendre plus de 24 heures, l’une des pires performances au Québec », déplore Benoit Charette.

Scandale à la SIQ : Philippe Couillard refuse de dire combien les ex-collecteurs de fonds ont amassé pour le PLQ


 Publié le 8 novembre 2016

Philippe Couillard doit non seulement ordonner au Parti libéral de faire l’inventaire des sommes récoltées par les trois collecteurs libéraux William Bartlett, Charles Rondeau et Franco Fava, il doit mettre cet argent dans un fonds en fidéicommis et le rembourser immédiatement, a exigé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault. Le chef caquiste va plus loin : d’ici le remboursement de ces millions de dollars fraudés à l’État et aux Québécois, le financement public que reçoit le parti de Philippe Couillard doit être coupé.

Depuis que le scandale a éclaté au grand jour, la réaction du premier ministre est profondément décevante. Mardi, à l’Assemblée nationale. M. Couillard a récidivé en se limitant à dire que l’affaire est entre les mains des policiers. Pourtant, les Québécois ont le droit de savoir combien Bartlett, Rondeau et Fava ont collecté d’argent pour le Parti libéral.

Le député de L’Assomption a mentionné que pendant que le premier ministre ne voit pas l’urgence de faire enquête sur les comptes de son parti, il accepte que le PLQ ait de l’argent sale dans ses coffres. « Le premier ministre a réagi en disant que “le Parti libéral est largement irréprochable”. Quelles actions a-t-il posées avant de faire cette affirmation ? Pourquoi ces personnages ramassaient-ils des millions pour le Parti libéral ? Parce qu’ils croyaient aux valeurs libérales ? Il est temps qu’un député libéral se lève pour demander à son chef de rembourser l’argent collecté par ces faux bénévoles du Parti libéral », a conclu M. Legault.

Les Québécois veulent revoir la couleur de leur argent

Le député de La Peltrie, Éric Caire, a pour sa part appris que le ministre de la Sécurité publique, Martin Coiteux, n’a même pas déclenché une démarche administrative pour que les Québécois récupèrent l’argent que leur ont dérobé les trois collecteurs de fonds libéraux.

« On parle possiblement de la fraude immobilière la plus importante de l’histoire du Canada. Et le résultat, c’est que les contribuables québécois se sont fait rouler dans farine, pour une fraude de 45 millions de dollars. Pendant ce temps-là, on augmente le fardeau fiscal des Québécois et on coupe dans les services directs offerts à la population. Pourtant, rien n’empêche le ministre de prendre des mesures administratives pour s’assurer que le contribuable obtienne justice ! », a souligné Éric Caire.

Des tablettes électroniques pour les aînés et les proches aidants : un projet inclusif proposé par la députée Chantal Soucy au Centre de Bénévolat de St-Hyacinthe


 Publié le 8 novembre 2016

Les aînés et les proches aidants de la grande région de Saint-Hyacinthe pourront désormais se familiariser avec la nouvelle technologie, grâce à une initiative de la députée Chantal Soucy, en collaboration avec le Centre de Bénévolat de St-Hyacinthe. Huit iPads seront ainsi mis à la disposition de cette clientèle, qui pourra également bénéficier d’ateliers d’initiation aux tablettes électroniques, le tout gratuitement.

Ce programme vise à favoriser l’inclusion numérique des aînés et des proches aidants, à stimuler leurs capacités cognitives, ainsi qu’à briser l’isolement que vivent certains d’entre eux. « Je voulais créer un projet qui unirait les générations » a déclaré Chantal Soucy. « On vit à une époque où la technologie évolue tellement rapidement que le fossé des connaissances se creuse de plus en plus entre les grands-parents et leurs petits-enfants. Notre projet a pour but de réduire cet écart-là. Nous avons tout à gagner à nous entraider et je suis convaincue que cette initiative bénéficiera autant aux aînés qu’aux jeunes de la région », a affirmé l’élue caquiste, qui a su user de détermination et d’ardeur pour obtenir du Ministre de la Santé le budget nécessaire à la mise en œuvre de son idée.

Pour Benoît Bellavance, directeur général du Centre de Bénévolat de St-Hyacinthe, ce projet répond à un besoin manifesté depuis longtemps par sa clientèle : « Depuis quelques années, les utilisateurs de nos services nous demandaient un accès à des tablettes électroniques. Aujourd’hui, grâce à l’excellent travail de Chantal Soucy et de son équipe, nous sommes heureux de leur offrir ce beau cadeau », a-t-il expliqué. « Je remercie aussi Stéphany DeCarufel, du Bureau en Gros de Saint-Hyacinthe, qui a accepté de fournir gratuitement les pochettes protectrices des iPads ».

Les tablettes électroniques sont disponibles dès maintenant à l’Espace Entre-Aidants du Centre de Bénévolat de St-Hyacinthe, au 2270, rue Mailhot.

Les ateliers d’initiation, quant à eux, ont débuté depuis le 4 novembre, à l’Espace Entre-Aidant. Pour plus d’informations ou pour s’inscrire, les intéressés peuvent communiquer avec Mélanie Gagnon, au 450 250-2874, poste 201.

Chronique de Donald Martel à la radio de CKBN, le vendredi 4 novembre 2016


 Publié le 5 novembre 2016

Élection partielle dans Arthabaska : « Le Centre-du-Québec et Arthabaska-L’Érable doivent être pleinement reconnus » – Éric Lefebvre


 Publié le 4 novembre 2016

La reconnaissance régionale sera au coeur de la campagne électorale d’Éric Lefebvre, candidat de la CAQ pour l’élection partielle dans Arthabaska.
« Le gouvernement libéral ne reconnaît pas notre région. Il a fermé la porte à un Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) pour le Centre-du-Québec. Alors que notre région était l’une des plus performantes, particulièrement ici dans Arthabaska-L’Érable, le gouvernement Couillard a plutôt opté pour la centralisation en Mauricie. Le transfert d’expertise, comme celui prévu par la centralisation de toutes les analyses par Optilab à Trois-Rivières, entraînera une diminution des services de proximité et pourrait avoir des conséquences graves sur la santé de nos concitoyens », a expliqué M. Lefebvre.

Le Centre-du-Québec, étant une région à part entière, doit également être une région socio-sanitaire. Selon les plus récentes statistiques disponibles, le Centre-du-Québec compte plus de 240 000 habitants, soit seulement environ 26 000 de moins que la Mauricie. De plus, la rapidité de croissance de la région ces cinq dernières années surpasse celle de la Mauricie. «Il est essentiel que notre région soit reconnue à sa juste valeur. Le Centre-du-Québec n’est pas une succursale d’une autre région », a déclaré M. Lefebvre.

La reconnaissance de l’Érable

Pour cette première conférence de presse depuis le déclenchement de l’élection complémentaire, le candidat caquiste a choisi de la faire à Plessisville pour bien marquer son intention d’ouvrir un bureau de circonscription dans cette ville. Le but est de bien servir les citoyens de la MRC de L’Érable, de renforcer l’esprit d’appartenance et de resserrer davantage les liens serrés entre les deux pôles. Après consultation avec les élus des deux MRC, M. Lefebvre propose que dans le futur le nom de la circonscription soit Arthabaska-L’Érable. « C’est la moindre des choses que de reconnaître la particularité régionale de L’Érable dans le nom du comté », a-t-il soutenu.

L’agriculture, l’économie et l’Hôtel-Dieu

Plusieurs autres enjeux tels une baisse d’impôt de 1000 $ par famille, les services offerts à nos aînés et la relève agricole seront mis de l’avant durant la campagne. Bien entendu, Éric Lefebvre a rappelé qu’il talonnera le gouvernement pour s’assurer que sa troisième promesse d’agrandissement de l’Hôtel-Dieu ne soit pas qu’une annonce électoraliste pour acheter des votes.