Ginette Marotte craint que le PLQ et le PQ fassent campagne avec de l’argent sale


 Publié le 28 septembre 2016

Alors qu’une fois de plus, le Parti québécois et le Parti libéral du Québec ont refusé de s’engager formellement à rembourser les sommes collectées illégalement, la candidate de la CAQ pour l’élection partielle dans Verdun, Ginette Marotte, craint que le PLQ et le PQ entendent faire les prochaines élections partielles avec de l’argent sale.

« Le coup de départ de l’élection partielle sera donné sous peu et nos adversaires libéraux et péquistes ont encore de l’argent sale qui dort dans leurs coffres. À la CAQ, nous avons été clairs dès le début : nous rembourserons toute somme réclamée relativement à des contributions illégales versées antérieurement à l’ADQ. Nous sommes les seuls à avoir tenu parole. Pourquoi les deux vieux partis refusent-ils de rembourser ces sommes considérables? Il est temps de leur donner une véritable leçon lors de l’élection partielle », soutient Mme Marotte.

Rappelons que dans les lettres de réclamations envoyées cet été, le Directeur général des élections du Québec a épinglé le PLQ pour des dons illégaux de 500 000 $, versés entre 2006 et 2011. Pour le PQ, la note s’élève à 250 000 $. « Une élection, ça doit se gagner proprement. Pas avec de l’argent sale. C’est ce que la population souhaite des partis politiques qui les représentent. Attaquons-nous au cynisme. J’invite Philippe Couillard et Sylvain Gaudreault à envoyer un message clair. Le Parti libéral et le Parti Québécois doivent rembourser l’argent ramassé illégalement avant la tenue des élections partielles. La CAQ a d’ailleurs déposé aujourd’hui une motion à l’Assemblée nationale demandant au PLQ et au PQ de prendre leur responsabilité et de rembourser les sommes dues avant les élections partielles », insiste pour sa part le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Marc Bourcier et Naömie Goyette doivent promettre qu’ils ne feront pas campagne avec de l’argent sale


 Publié le 28 septembre 2016

Alors qu’une fois de plus, le Parti québécois et le Parti libéral du Québec ont refusé de s’engager formellement à rembourser les sommes collectées illégalement, le candidat de la CAQ pour l’élection partielle dans Saint-Jérôme, Bruno Laroche, demande à ses adversaires de promettre qu’ils ne feront pas campagne avec de l’argent sale. Pour Bruno Laroche, il est clair que tant le PQ que le PLQ entendent faire les prochaines élections partielles avec de l’argent collecté illégalement.

« Le coup de départ de l’élection partielle sera donné sous peu et les libéraux et les péquistes ont encore de l’argent sale qui dort dans leurs coffres. À la CAQ, nous avons été clairs dès le début : nous rembourserons toute somme réclamée relativement à des contributions illégales versées antérieurement à l’ADQ. Nous sommes les seuls à avoir tenu parole. Marc Bourcier et Naömie Goyette doivent assurer aux citoyens de Saint-Jérôme qu’ils ne feront pas campagne avec de l’argent collecté illégalement. Pourquoi les deux vieux partis refusent-ils de rembourser ces sommes considérables? Nous avons droit à des réponses de leur part. Il est temps de donner une véritable leçon aux deux vieux partis lors de l’élection partielle », soutient M. Laroche.

Rappelons que dans les lettres de réclamations envoyées cet été, le Directeur général des élections du Québec a épinglé le PLQ pour des dons illégaux de 500 000 $, versés entre 2006 et 2011. Pour le PQ, la note s’élève à 250 000 $. « Une élection, ça doit se gagner proprement. Pas avec de l’argent sale. C’est ce que la population souhaite des partis politiques qui les représentent. Attaquons-nous au cynisme. J’invite Philippe Couillard et Sylvain Gaudreault à envoyer un message clair. Le Parti libéral et le Parti Québécois doivent rembourser l’argent ramassé illégalement avant la tenue des élections partielles. La CAQ a d’ailleurs déposé aujourd’hui une motion à l’Assemblée nationale demandant au PLQ et au PQ de prendre leur responsabilité et de rembourser les sommes dues avant les élections partielles », insiste pour sa part le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Catherine Fournier et Normand Parisien doivent promettre qu’ils ne feront pas campagne avec de l’argent sale


 Publié le 28 septembre 2016

Alors qu’une fois de plus, le Parti québécois et le Parti libéral du Québec ont refusé de s’engager formellement à rembourser les sommes collectées illégalement, la candidate de la CAQ pour l’élection partielle dans Marie-Victorin, Julie Chapdelaine, demande à ses adversaires de promettre qu’ils ne feront pas campagne avec de l’argent collecté illégalement. Pour Julie Chapdelaine, il est clair que tant le PQ que le PLQ entendent faire les prochaines élections partielles avec de l’argent sale.

« Le coup de départ de l’élection partielle sera donné sous peu et nos adversaires libéraux et péquistes ont encore de l’argent sale qui dort dans leurs coffres. À la CAQ, nous avons été clairs dès le début : nous rembourserons toute somme réclamée relativement à des contributions illégales versées antérieurement à l’ADQ. Nous sommes les seuls à avoir tenu parole. Catherine Fournier et Normand Parisien doivent assurer aux citoyens de Marie-Victorin qu’ils ne feront pas campagne avec de l’argent collecté illégalement. Pourquoi les deux vieux partis refusent-ils de rembourser ces sommes considérables? Nous avons droit à des réponses de leur part. Il est temps de donner une véritable leçon aux deux vieux partis lors de l’élection partielle », soutient Mme Chapdelaine.

Rappelons que dans les lettres de réclamations envoyées cet été, le Directeur général des élections du Québec a épinglé le PLQ pour des dons illégaux de 500 000 $, versés entre 2006 et 2011. Pour le PQ, la note s’élève à 250 000 $. « Une élection, ça doit se gagner proprement. Pas avec de l’argent sale. C’est ce que la population souhaite des partis politiques qui les représentent. Attaquons-nous au cynisme. J’invite Philippe Couillard et Sylvain Gaudreault à envoyer un message clair. Le Parti libéral et le Parti Québécois doivent rembourser l’argent ramassé illégalement avant la tenue des élections partielles. La CAQ a d’ailleurs déposé aujourd’hui une motion à l’Assemblée nationale demandant au PLQ et au PQ de prendre leur responsabilité et de rembourser les sommes dues avant les élections partielles », insiste pour sa part le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Dons illégaux : Les libéraux refusent de rembourser l’argent sale avant les élections partielles


 Publié le 28 septembre 2016

Les libéraux ont refusé d’appuyer une motion de la CAQ réclamant de leur part le remboursement des dons illégaux collectés entre 2006 et 2011, et ce, avant le déclenchement des prochaines élections partielles. Visé par le Directeur général des élections (DGE) d’un avis de réclamation de 500 000 $, le Parti libéral semble ne pas avoir de problème à faire campagne dans les prochains mois dans Saint-Jérôme, Arthabaska, Verdun et Marie-Victorin sans avoir remboursé l’argent sale recueilli illégalement, a constaté le chef de la CAQ, François Legault.

« On ne peut pas se permettre d’avoir des partis politiques qui font campagne avec de l’argent sale dans leurs coffres. C’est une question de principe! Tout comme la CAQ, le PLQ a sa part de responsabilité afin que les Québécois aient droit à une démocratie en santé. Pour cela, il doit rembourser les contributions illégales et cesser de trouver des excuses auprès du DGEQ. C’est simple : le chèque de remboursement doit être signé avant le déclenchement des élections partielles. Un des défis lors de ces élections partielles sera de surmonter le cynisme de la population à l’égard de la classe politique. Il faut que les partis politiques donnent l’exemple pour surmonter ce cynisme. Qu’attendent les libéraux pour se conformer à la loi? Se croient-ils au-dessus de celle-ci? Une élection, ça doit se gagner proprement, pas avec de l’argent sale », a tonné François Legault.

Le député Benoit Charette, critique caquiste en matière de réforme des institutions démocratiques, a rappelé que la CAQ est la seule formation politique à avoir officiellement remboursé, en août dernier, les 35 450 $ identifiés par le DGEQ dans un avis d’intention de réclamation, relativement à des contributions illégales versées antérieurement à l’ADQ.

« À la CAQ, nous avons été clairs dès le début : nous rembourserons toute somme réclamée relativement à des contributions illégales versées antérieurement à l’ADQ. Nous sommes les seuls à avoir tenu parole, en payant dès le mois d’août les 35 450 $ que nous a réclamés le DGEQ. Les libéraux et les péquistes : pas un seul sou. Plus le temps passe et plus leur réticence à rembourser est inquiétante. À la toute dernière minute, le PQ a accepté d’appuyer notre motion et vient donc de s’engager formellement à rembourser 250 000 $ en dons illégaux avant le début des élections partielles. Nous aurons les péquistes à l’œil, soyez-en assuré. Finis les vérifications, fini de se laver les mains des actions de son parti. Tous doivent passer à la caisse. C’est la confiance des Québécois et le bon fonctionnement de notre démocratie qui sont en jeu », a insisté Benoit Charette.

Affaire Yvon Nadeau : La CAQ dévoile de nouvelles informations


 Publié le 27 septembre 2016

« On va commencer à parler de “l’effet Nadeau” dans la circonscription du ministère des Transports! » Mardi, le député de Borduas et porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette, a révélé de nouvelles informations concernant l’implication du conseiller politique de Laurent Lessard, Yvon Nadeau, dans des dossiers délicats nécessitant l’intervention financière du gouvernement.

Ainsi, au même moment où M. Nadeau était l’attaché politique du ministre des Forêts, aujourd’hui ministre des Transports, M. Nadeau siégeait également sur le conseil d’administration de l’entreprise Innoltek. Il occupait même un poste de développement des affaires au sein de celle-ci, en 2013 et 2014. « Dans une lettre datée du 23 avril 2015, Innoltek fait une demande auprès du gouvernement libéral pour obtenir des avantages fiscaux alors que M. Nadeau est administrateur de l’entreprise et à l’emploi du ministre. Un mandat de lobbyiste a d’ailleurs été inscrit le 1er mai 2015. Pourquoi le ministre a-t-il laissé son conseiller politique devenir en mars 2015 administrateur d’une compagnie qui, quelques semaines plus tard, ferait des revendications auprès du gouvernement et donnerait un mandat de lobbyiste à ce conseiller? » a demandé Simon Jolin-Barrette.

Le député de la CAQ a tenté en vain de savoir si Laurent Lessard a au moins sollicité un avis du commissaire à l’éthique compte tenu des doubles fonctions de son conseiller politique. Il est grand temps pour lui de mettre fin aux scandales qui se multiplient, a sommé Simon Jolin-Barrette. « Il s’agit du troisième manque de jugement du ministre Lessard en quelques jours à peine. Trois histoires, toujours le même stratagème : une compagnie dans le comté du ministre veut des subventions, donc elle s’associe avec M. Nadeau. M. Lessard doit s’expliquer et le plus tôt sera le mieux », a conclu le député de Borduas.

Décote de Bombardier : Philippe Couillard ne sait toujours pas comment convaincre le fédéral d’investir


 Publié le 27 septembre 2016

À la suite de la décote de Bombardier par la firme de notation de crédit Standard and Poor’s, vendredi dernier, Philippe Couillard n’a pas jugé utile de prendre le téléphone pour discuter du dossier avec le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, et encore moins d’obtenir de sa part des garanties claires quant à un investissement dans l’entreprise québécoise, a fustigé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

L’action de Bombardier est à son plus bas, mais M. Couillard n’a toujours pas de plan de match concret pour convaincre le gouvernement fédéral d’investir à son tour dans Bombardier afin d’éviter une autre décote. Le temps presse et François Legault a invité le premier ministre à monter le ton avec Justin Trudeau plutôt qu’avec l’opposition.

« Bombardier vient d’être décotée et depuis un mois, son action a chuté de 25 %. Pire encore, Standard and Poor’s a dit qu’elle pourrait abaisser de nouveau sa cote de crédit si ses liquidités se retrouvent dans une situation plus faible que prévu. Plus que jamais, Bombardier a besoin de l’investissement du gouvernement fédéral. Lorsque l’Ontario a eu des difficultés avec l’industrie de l’automobile, le fédéral est venu rapidement à la rescousse. Le secteur aéronautique est aussi important pour le Québec que celui de l’automobile l’est pour l’Ontario. Je demande au premier ministre d’agir. C’est son devoir d’interpeler fermement le fédéral pour qu’il investisse dans Bombardier », a déclaré François Legault.

Le chef de la CAQ a rappelé à Philippe Couillard que son gouvernement est le principal partenaire de Bombardier et comme partenaire, il est de sa responsabilité de faire les démarches nécessaires pour que le fédéral s’engage enfin à aider Bombardier. « L’investissement du gouvernement fédéral est crucial pour l’avenir de Bombardier. Les employés sont inquiets. Les fournisseurs sont inquiets. On sait tous que ça peut prendre 24 heures ou même 48 heures pour que le premier ministre retrouve son jugement politique. Il a le devoir de faire preuve de leadership. Que compte-t-il faire au cours des prochains jours? » a pressé François Legault.

3ème lien entre Québec et Lévis : La CAQ réclame un mandat d’initiative


 Publié le 26 septembre 2016

« Il faut briser la culture du secret qui règne au MTQ. Nous devons avoir toutes les études en main ». Voilà ce qu’a déclaré le porte-parole de la Coalition Avenir Québec pour la Capitale-Nationale, Éric Caire, lundi, après avoir transmis une lettre au président de la Commission des transports et de l’environnement (CTE), Pierre Reid, l’invitant à accepter un mandat d’initiative sur l’évaluation d’un troisième lien reliant les villes de Québec et de Lévis.

C’est le cafouillage complet dans le dossier entourant un troisième lien entre Québec et Lévis en marge du projet de pont de l’Île-d’Orléans, a regretté Éric Caire. En effet, les versions des fonctionnaires du MTQ et du ministre lui-même, Laurent Lessard, ne tiennent pas la route :

*   En mars 2015, le directeur du MTQ pour la Capitale-Nationale, Jean-François Saulnier, mentionne dans un échange de courriels que « plusieurs études pertinentes à l’évaluation du lien Québec-Lévis sont déjà entre nos mains, lesquelles découlent du projet pour le pont de l’Île d’Orléans »;
*   En juillet 2016, en réponse à une demande d’accès à l’information formulée par la CAQ, le MTQ confirme l’existence de ces études. Le ministère refuse toutefois de nous les transmettre;
*   Le 22 septembre dernier, Laurent Lessard répond au député Caire avoir demandé au bureau du sous-ministre s’il existe d’autres études. « On me dit : il n’y a pas de ces études-là », a déclaré M. Lessard.

« D’un côté, Laurent Lessard dit que les études n’existent pas. De l’autre, on a réussi à démontrer que de telles études existent et qu’elles ont été préparées dans le cadre du projet de pont de l’Île-d’Orléans. Voilà où nous en sommes depuis des semaines! Ces faits soulèvent de sérieuses questions sur le traitement et la diffusion de l’information au MTQ ainsi qu’au cabinet du ministre. Devant ces versions hautement contradictoires, il m’apparaît nécessaire de faire toute la lumière sur l’information actuellement disponible concernant l’évaluation d’un troisième lien et sur la nécessité de la rendre publique. Les citoyens des régions de la Capitale-Nationale et de Chaudière-Appalaches ont le droit de connaître le détail de toutes les évaluations récentes réalisées par le MTQ sur un enjeu qui les interpelle grandement », a mentionné le député de La Peltrie.

Éric Caire souhaite entendre entre autres le sous-ministre aux Transports en titre, ainsi que Jean-François Saulnier le directeur du ministère pour la Capitale-Nationale. « Il est temps d’obtenir les réponses à nos questions. Il est temps d’avoir tous les scénarios en main afin d’évaluer ce projet économique et social de façon sérieuse et responsable. C’est ainsi qu’on mettra fin à la congestion routière dans la grande région de Québec », a conclu le caquiste.

Agrandissement de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska : Le premier ministre Couillard doit respecter ses engagements


 Publié le 26 septembre 2016

Le candidat de la Coalition Avenir Québec pour l’élection partielle dans Arthabaska, Éric Lefebvre, exige que le premier ministre Couillard pose enfin des gestes concrets pour l’agrandissement de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska. Pour M. Lefebvre, le Parti libéral cherche à gagner des votes en promettant depuis 2009 ce projet majeur pour la région, sans le concrétiser.

« C’est un projet de 30 millions de dollars qui doit servir à l’agrandissement de l’urgence, ainsi qu’à l’ajout de salles de soins intensifs. C’est impératif pour la région. Le dossier est évoqué depuis 2009. Avant son élection en 2014, Philippe Couillard a pris l’engagement formel que le projet se concrétiserait sous son mandat. Deux ans plus tard, toujours rien. Nous avons fait nos recherches, et le projet d’agrandissement de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska ne figure même pas dans le Plan québécois des infrastructures 2016-2026. C’est de la poudre aux yeux », se désole Éric Lefebvre.

Le candidat de la CAQ y va d’ailleurs d’une prédiction pour les prochaines semaines. « J’ai une révélation à vous faire : le ministre Barrette va se pointer d’ici peu avec le candidat libéral pour promettre l’agrandissement de l’hôpital. Mais les gens d’Arthabaska ne sont pas dupes, ils ne se laisseront pas acheter ainsi. Les gens d’ici votent selon leurs convictions, pour avoir une voix forte à Québec, pas pour des promesses que l’on nous répète d’élection en élection. Car on l’a vu en 2014, les libéraux ne tiennent pas leurs promesses. Je dis donc à la population : ne vous laissez pas berner. Pour que ça bouge enfin dans ce dossier, il faut envoyer un message fort au gouvernement. Moi, Éric Lefebvre, je m’engage à porter ce message! », soutient-il.

Un parcours qui fait foi de tout

Éric Lefebvre assure que cet agrandissement de l’hôpital est le combat de sa vie qu’il a entrepris il y a de nombreuses années et qu’il poursuivra en tant que futur député de la CAQ dans Arthabaska. « Vous savez, je suis quelqu’un qui fait de l’engagement collectif sa priorité numéro un. Je vous rappelle qu’avec la fondation que j’ai mise sur pied, la Fondation Christian-Larochelle, en 10 ans, nous avons recueilli des dizaines de milliers de dollars pour les enfants malades et l’aile pédiatrique de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska. C’est cet engagement que je veux poursuivre, et c’est en travaillant à Québec que je compte le réaliser. Moi, je veux poser des gestes concrets », conclut-il.

Délais dans le système de justice : Les libéraux refusent d’agir, déplore la CAQ


 Publié le 22 septembre 2016

« Il est inacceptable que la ministre de la Justice, Stéphanie Vallée, n’ait aucun plan de match pour réduire les délais interminables du système de justice criminelle québécois. » C’est ce qu’a déclaré le député de la Coalition Avenir Québec, Simon Jolin-Barrette, en réaction à la décision de la Cour supérieure du Québec qui a décrété jeudi un arrêt des procédures contre Savaltore Cazzetta, l’un des plus influents Hells Angel.

À l’Assemblée nationale, le critique en matière de justice a rappelé que ce même individu avait été accusé dans le dossier SharQc et avait bénéficié d’un arrêt des procédures en 2011 pour le même motif, soit la longueur des délais. Or, le gouvernement libéral doit réaliser que par son inaction, de nombreux criminels ont été libérés et d’autres risquent de l’être encore, prévient M. Jolin-Barrette.

« La bâtonnière du Québec a affirmé que l’arrêt des procédures décrété hier sonne la fin de la récréation et qu’il est grandement temps qu’on redresse la barre dans le système de justice. Le juge James L. Brunton avait déjà sonné une cloche au gouvernement en 2011 pour l’avertir de la problématique des délais du système de justice. L’année dernière, on apprenait l’arrêt des procédures du procès SharQc et la situation se reproduit aujourd’hui. Si la ministre n’agit pas, cela risque de se reproduire fréquemment, particulièrement avec l’arrêt Jordan qui limite la durée des procédures judiciaires. Il est navrant de voir le gouvernement ne prendre aucune action pour s’assurer qu’aucun autre criminel n’échappe à la justice. Quand la justice va-t-elle devenir une priorité pour les libéraux? » lance Simon Jolin-Barrette.

Le député de Borduas indique que ce ne sont pas seulement les délais de justice qui s’allongent, mais également la publication du rapport que Stéphanie Vallée a commandé en 2015 pour traiter de cette question spécifique. « La ministre doit agir, proposer des pistes de solution et envoyer un message clair aux policiers, aux enquêteurs et aux procureurs que leur travail sert à quelque chose et qu’il va aboutir par des procès. Le statu quo n’est plus tolérable et il mine la confiance des citoyens envers le système de justice », conclut Simon Jolin-Barrette.

Bombardier : Philippe Couillard ignore si le fédéral va investir dans Bombardier, critique François Legault


 Publié le 22 septembre 2016

Alors que l’investissement du gouvernement fédéral dans l’entreprise Bombardier se fait toujours attendre, Philippe Couillard est incapable de dire où en sont les discussions avec son homologue, Justin Trudeau, déplore le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

La CAQ souhaite que le gouvernement fédéral aide Bombardier à son tour, afin de soutenir véritablement l’industrie aéronautique, essentielle à l’économie du Québec et du Canada. « Lorsque Bombardier a demandé l’aide du gouvernement, la direction a dit qu’elle avait besoin de 2 milliards de dollars US. Le gouvernement du Québec a offert 1 milliard US et a demandé au gouvernement fédéral d’investir l’autre milliard. Or, malgré les engagements de l’ex-ministre Jacques Daoust que le milliard de dollars du gouvernement du Québec ne serait pas déboursé avant que le montage financier de 2 milliards ne soit complété, Québec a déjà versé son milliard avant que le fédéral embarque. Le gouvernement libéral a donc perdu son pouvoir de négociation avec le gouvernement fédéral. Le premier ministre doit prendre le téléphone et parler au premier ministre du Canada pour le convaincre. Bombardier a besoin de l’investissement du gouvernement fédéral. Au cours des 3 dernières semaines, le prix de l’action de Bombardier a chuté de 23 %. Des employés et des fournisseurs sont inquiets et le premier ministre ne fait rien pour convaincre le gouvernement fédéral d’intervenir! » critique le chef de la CAQ.

M. Legault persiste et signe : Philippe Couillard a géré ce dossier avec amateurisme et ce sont les Québécois qui risquent d’en payer le prix. Dès le départ, il aurait dû investir dans toutes les divisions de Bombardier afin d’obtenir des garanties solides et concrètes sur les actifs et les emplois. « Le PM n’est pas un maître dans l’art de négocier, c’est le moins que l’on puisse dire. En déboursant le milliard de dollars des Québécois, le premier ministre a perdu son principal argument de négociation avec Ottawa. Il n’a aucune idée comment il compte obtenir l’aide d’Ottawa. Le premier ministre doit enfin faire preuve de leadership et régler au plus vite le dossier avec Ottawa » exige François Legault.