L’économiste Éric Girard est le candidat de la CAQ dans Groulx


 Publié le 14 mai 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est très fier d’annoncer que l’économiste Éric Girard portera les couleurs de sa formation politique dans la circonscription de Groulx lors de la prochaine élection générale. M. Legault se réjouit de pouvoir compter sur ce poids lourd économique, qui était jusqu’à tout récemment le premier vice-président et trésorier de la Banque Nationale, au sein de son équipe du changement.

Pour François Legault, la venue d’Éric Girard en politique provinciale est un ajout de taille pour le Québec. « Éric a une maîtrise en économie. Il est à la Banque Nationale depuis 25 ans. C’est lui qui, jusqu’à vendredi dernier, gérait les liquidités, le financement et le risque de taux d’intérêt de la Banque Nationale. Concrètement, le gouvernement du Québec ne peut pas avoir une personne plus compétente pour gérer le placement de ses obligations sur les marchés internationaux. On ne peut pas espérer une personne qui connaît mieux les agences de notation. Avec les défis économiques que le Québec a à relever, on a besoin d’un homme comme lui en politique », a déclaré le chef caquiste.

Éric Girard a décidé de faire le saut en politique pour poursuivre sa contribution, cette fois à la gestion des finances publiques et à l’économie du Québec. « Mes rencontres avec François Legault et son équipe m’ont convaincu qu’à la CAQ, il y a une réelle volonté de changement, notamment dans la gestion de nos finances publiques. L’équilibre des finances publiques est essentiel pour faire face au vieillissement de la population, mais surtout pour pouvoir investir en éducation et en innovation qui sont des clés pour la création de richesse », a expliqué le candidat caquiste.

La voix de Groulx à l’Assemblée nationale

Éric Girard a tenu à adresser quelques mots aux électeurs de Groulx qu’il ira rencontrer sur le terrain au cours des prochaines semaines. « J’aimerais vraiment pouvoir porter la voix de Groulx à l’Assemblée nationale en octobre prochain. J’irai à votre rencontre et c’est vous qui me direz ce qui est important. Vous me direz ce que votre député peut et doit faire pour vous. J’aspire à vous représenter dignement avec passion et compassion. Je sais d’ores et déjà que le transport et la qualité de nos infrastructures sont des enjeux majeurs ici. Je serai un partenaire de premier plan pour régler ces dossiers. Je crois fermement que c’est l’équipe de François Legault, dont je fais maintenant partie, qui a les meilleures idées pour faire avancer Groulx et le Québec », a conclu M. Girard.

Lock-out à l’UQTR : La CAQ réclame une loi spéciale si le dossier ne se règle pas dans les prochaines 24 heures


 Publié le 14 mai 2018

L’ultimatum lancé par la ministre de l’Enseignement supérieur Hélène David a échoué : le conseil d’administration et le recteur de l’UQTR ont ignoré l’appel de la ministre et rendent le président du syndicat responsable de lever ou non le lock-out, en acceptant la dernière proposition de l’établissement. Si la situation perdure encore 24 heures, le député de Nicolet-Bécancour pour la Coalition avenir Québec, Donald Martel, demande au gouvernement Couillard le dépôt d’un projet de loi spéciale pour forcer la levée du lock-out des professeurs de l’UQTR, qui perdure depuis le 2 mai dernier.

 

Le conseil d’administration de l’UQTR a littéralement fait fi de la demande de la ministre, dont se vantait pourtant le député de Trois-Rivières, soutient Donald Martel, porte-parole de la CAQ pour la région de la Mauricie. Celui-ci dénonce le manque de leadership et d’autorité de la ministre, qui refuse de s’impliquer concrètement depuis le début dans la gestion du conflit, prenant littéralement en otage les finissants et étudiants de l’établissement, qui ne peuvent commencer leur recherche d’emploi et qui risquent de passer à côté d’opportunités de carrière.

 

La Coalition Avenir Québec offre sa pleine collaboration et invite les autres partis d’opposition à en faire autant, afin de régler le différend par une loi spéciale qui mettra rapidement fin au conflit.

Élection générale de 2018 – L’équipe du changement prend forme à Montréal


 Publié le 12 mai 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a profité de la tenue d’un événement militant de sa formation politique, samedi à Montréal, pour présenter sept nouveaux candidats pour l’élection générale de 2018 : Julie Séide (Bourassa-Sauvé), Simon Langelier (Laurier-Dorion), Vicky Michaud (Marguerite-Bourgeoys), Marc Hétu (Marquette), Sonya Cormier (Rosemont), Janny Gaspard (Viau) et Michelle Morin (Westmount–Saint-Louis).

Pour François Legault, ces nouveaux candidats sur l’île de Montréal démontrent que l’équipe du changement prend forme en vue de la prochaine élection générale. « Le parcours de vie de nos candidats est extraordinaire. La diversité de leurs intérêts m’inspire. Ils sont à l’image de la métropole », s’est réjoui le chef de la CAQ.

François Legault souhaite faire de Montréal une source d’inspiration pour le Québec. « Vous savez, il y a deux Montréal : celui des festivals, des restaurants, du tourisme, des start-ups, des universités, mais il y a aussi un autre Montréal dont on ne parle pas assez : le Montréal de tous les jours, celui des familles. Nous avons besoin de répondre aux besoins des deux Montréal. Un moteur économique, un incubateur d’entreprises, mais aussi un lieu où on peut élever une famille, une ville où il fait bon vivre », a-t-il expliqué.

Montréal appartient à tous les Montréalais

Le chef de la CAQ soutient que depuis trop longtemps, le Parti libéral tient Montréal pour acquis. « L’une des preuves, c’est l’état des écoles à Montréal. Les écoles de la Commission scolaire de Montréal sont parmi les pires au Québec. Elles tombent en ruines. Les libéraux ont laissé les écoles se dégrader pendant trop longtemps. De plus en plus de familles pensent s’installer en banlieue. Après 15 ans, c’est le temps que ces familles disent ce qu’elles pensent du gouvernement libéral. Nous avons rassemblé pour elles l’équipe du changement, en vue du 1er octobre. L’île de Montréal n’appartient pas au Parti libéral. Elle appartient à tous les Montréalais et à tout le Québec », a conclu François Legault.

Marguerite Blais est la candidate de la CAQ dans Prévost


 Publié le 11 mai 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est très fier d’annoncer que Marguerite Blais portera les couleurs de sa formation politique dans la circonscription de Prévost lors de la prochaine élection générale. M. Legault se réjouit de pouvoir compter sur cette figure respectée de la politique québécoise et qui fait de l’amélioration de la qualité de vie et des soins des aînés et des aidants naturels la cause de sa vie.

La nouvelle candidate caquiste a déjà soumis plusieurs propositions très intéressantes à François Legault qui s’engage à les ajouter à la plateforme électorale de la CAQ en vue de la prochaine élection. « Il est plus que temps que le Québec se dote d’une véritable politique nationale pour les proches aidants.  Le travail que ces gens font auprès de leurs proches qui sont malades est trop important pour notre société pour qu’on ne les reconnaisse pas à leur juste valeur.  On doit leur donner les outils et le support nécessaire pour mener à bien leur mission. La CAQ s’assurera aussi de la création d’une série de maisons Gilles-Carle au cours des prochaines années. Je souhaite que les proches aidants de toutes les régions du Québec puissent profiter de ces maisons. Il faut également mettre sur pied plus d’initiatives en gériatrie sociale au Québec comme le Dr. Julien le fait avec la pédiatrie sociale. Il faut des équipes volantes qui pourront donner des services à nos aînés. Nous devons aussi lutter contre l’isolement social des aînés. Le Québec fait piètre figure en la matière actuellement et il faut briser l’isolement de trop de nos aînés. Il faut aussi améliorer la qualité de vie dans nos CHSLD et en faire des milieux de vie attrayants. Il faut aussi valoriser davantage la profession de préposés aux bénéficiaires », a déclaré François Legault.

Le meilleur véhicule pour la cause des aînés

Marguerite Blais soutient avoir écouté son cœur en se joignant à l’équipe de la CAQ. « Pour moi, il est évident que la CAQ est le meilleur véhicule pour faire avancer la cause des aînés et des proches aidants. On est la deuxième société au monde à vieillir le plus rapidement. Il y a trop d’aidants naturels au Québec pour que rien ne soit fait pour améliorer leurs conditions de vie. Il faut qu’il y ait des politiques mises en place, il faut que ça devienne de véritables enjeux de société et qu’on en débatte publiquement. Je suis enchantée de l’écoute attentive que j’ai eue en discutant avec M. Legault et son équipe. Je suis très fière de me joindre à eux », a expliqué la candidate caquiste.

Des services adéquats pour la région

Résidant à Saint-Hippolyte depuis de nombreuses années, Marguerite Blais est bien consciente des enjeux de la nouvelle circonscription de Prévost. « Le comté a été créé parce que la croissance démographique dans la région a été très grande au cours des dernières années. Ça a ces avantages, car ça ajoute du dynamisme à la région, mais ça crée aussi de nouveaux besoins en termes de services aux citoyens. Il faut que les services suivent les besoins. Le système de santé dans les Laurentides a trop longtemps été sous-financé par rapport aux autres régions et les conséquences ont été très graves, notamment à cause du vieillissement de la population. Également, les citoyens de Prévost se mobilisent depuis longtemps pour la création d’une école secondaire dans cette partie du comté. Ils ont raison de faire cette demande. Vous pourrez compter sur moi pour étudier attentivement ce projet et y donner suite. Finalement, dans Ste-Sophie, je veux aider la municipalité à régler le problème des terrains contaminés. Il faut décontaminer pour rendre possible la vente de ces terrains », a-t-elle conclu.

Stationnements des hôpitaux : Les libéraux remplissent les coffres de l’État sur le dos des patients


 Publié le 11 mai 2018

Alors que les libéraux affirment que la santé est au cœur de leurs préoccupations, on apprend que les hôpitaux et CHSLD ont fait 70 millions de dollars de profits avec les stationnements, l’an dernier, sur le dos des patients qui peinent à joindre les deux bouts.

Pour la Coalition avenir Québec, il est tout simplement inacceptable et inconcevable que le gouvernement encaisse d’imposants profits et remplisse ses coffres aux dépens des gens qui nécessitent des consultations ou des traitements en raison de leur condition de santé.

Depuis maintenant plus de deux ans, la CAQ propose la gratuité pour les deux premières heures de stationnement dans tous les hôpitaux, CHSLD et autres installations de santé, de même qu’un tarif maximal entre 7 $ et 10 $ quotidiennement, alors que certains établissements ont actuellement des tarifs allant jusqu’à 25$ par jour. Il s’agit là d’une mesure concrète visant à soulager l’impact important des coûts associés à une maladie ou à une condition particulière sur le portefeuille des patients.

Rémunération des chirurgiens : Les résultats d’un premier ministre qui gouverne pour les médecins


 Publié le 10 mai 2018

Le rapport de la Vérificatrice générale déposé mercredi démontre clairement l’inefficacité du système de santé québécois, malgré les réformes et les miracles que promettait le gouvernement libéral. Alors qu’on y rapporte que la rémunération des chirurgiens a bondi de près de 35 %, les actes médicaux, eux, ont haussé d’un maigre 5 %.

Si on compare avec le salaire des chirurgiens en Ontario, qui ont un salaire annuel de 360 000 $, et compte tenu du coût de la vie plus faible au Québec, nos médecins devraient être rémunérés 320 000 $. Or, le gouvernement leur octroie un large 400 000 $ annuellement, soit 80 000 $ de trop par médecin, par année. Cela représente un milliard de dollars qui auraient pu être investis dans les services aux Québécois.

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, s’est vigoureusement offusqué de ces statistiques, jeudi lors de la période de questions, qui démontrent l’énorme manque de productivité de réseau de santé et l’absence de cohérence entre la rémunération des médecins et le nombre de chirurgies effectuées.

Loi sur la neutralité religieuse : Une mauvaise loi qui accouche de mauvaises lignes directrices


 Publié le 10 mai 2018

La ministre de la Justice, Stéphanie Vallée, a dévoilé les lignes directrices de sa loi sur la neutralité religieuse, attendues depuis son adoption il y a sept mois. Celles-ci laissent place à l’interprétation, à la subjectivité la plus totale lorsque viendra le temps de déterminer ce qui distingue une « croyance sincère » de ce qui ne l’est pas. Rien n’est clair et le gouvernement libéral s’est assuré de faire entrer plus de religion dans l’État, a dénoncé la porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de laïcité, Nathalie Roy.

La députée de Montarville a par ailleurs déploré le fait que le gouvernement libéral de Philippe Couillard ouvre grande la porte de l’État au port de la burqa et du niqab, deux symboles d’oppression, d’asservissement d’instrumentalisation de la femme. Pourtant, avant qu’il ne devienne premier ministre, Philippe Couillard s’était prononcé ouvertement contre ces tenues, a rappelé Mme Roy.

Mercredi, la ministre Vallée a également admis que chaque organisme pourra prendre une décision différente, d’un répondant à l’autre, pour une même demande d’accommodement religieux. C’est le festival de la subjectivité, a lancé Nathalie Roy, qui dénonce ce manque flagrant d’équité. Un gouvernement de la CAQ annulera la loi 62 du gouvernement libéral, pour la remplacer par une loi qui décrétera l’État québécois comme étant laïc.

Prime des cadres dans le réseau de la santé : La CAQ exige que les libéraux corrigent leur erreur de 200M$


 Publié le 9 mai 2018

À près d’un mois de la fin de la session parlementaire et plus de 6 mois après le dépôt du projet de loi 160, le gouvernement Couillard n’a toujours pas bougé pour éliminer la double indemnité de départ des cadres du réseau de la santé. La CAQ insiste pour que le ministre Gaétan Barrette accélère le dossier et fasse adopter ce projet de loi d’ici le 15 juin 2018, sans quoi une facture estimée à 200 millions de dollars en trop sera refilée aux contribuables.

 

L’indemnité de départ des cadres du réseau de la santé est nettement exagérée et pourrait aisément être réduite de moitié, selon la CAQ. Questionné par le chef de la Coalition Avenir Québec, le premier ministre a invoqué le calendrier législatif chargé pour ne pas s’engager à sanctionner le projet de loi d’ici le 15 juin et fait diversion sur les nombreux projets de loi à adopter d’ici la fin de la session parlementaire. Pourtant, ce projet de loi tient sur une page et pourrait être adopté rapidement.

 

François Legault a par ailleurs déploré le fait que ces 200M$ devraient être investis dans les services de santé pour l’ensemble des citoyens, qui espèrent, depuis trop longtemps déjà, pouvoir compter sur un système de santé efficace et accessible.

Réforme du mode de scrutin : Un gouvernement caquiste proposera un mode de scrutin proportionnel mixte compensatoire


 Publié le 9 mai 2018

À l’occasion d’un point de presse en compagnie des chefs de Québec solidaire, du Parti québécois et du Parti vert, le chef de la Coalition Avenir Québec s’est engagé, dans les douze premiers mois suivant son élection, à déposer un projet de loi instaurant un mode de scrutin proportionnel mixte compensatoire au Québec.

 

La Coalition Avenir Québec soutient qu’une telle réforme permettra une meilleure représentation de la diversité d’opinion et d’idées des Québécois au sein de l’Assemblée nationale. Ce mode de scrutin permettra aussi l’établissement d’un lien significatif entre les électeurs et les élus et contribuera à une meilleure représentation des femmes, des jeunes et des communautés ethnoculturelles.

 

Le chef de la CAQ est confiant que ce mode de scrutin sera en place lors des élections provinciales de 2022M Legault a par ailleurs affirmé que le nombre de députés, malgré cette réforme, devra demeurer à 125, tout au plus.

Accès à Internet haute vitesse en région : Le nouvel appel d’offres se fait toujours attendre par des dizaines de municipalités


 Publié le 9 mai 2018

Des dizaines de municipalités au Québec attendent toujours le second appel d’offres qu’il leur permettra d’être branchées à Internet, un an après la fin du premier appel de propositions au programme Québec branché et cinq mois après que la CAQ en ait fait la demande formelle. La ministre de l’Économie n’a en effet toujours pas présenté son plan de match pour donner accès à ce service au sein des communautés qui ne sont pas encore branchées, malgré les beaux discours et les promesses du gouvernement libéral à cet égard.

 

Le porte-parole de la Coalition avenir Québec en matière de développement économique, Éric Lefebvre, a dénoncé ce matin lors de la période de questions, le statu quo qui perdure depuis des mois dans le dossier et a rappelé que l’accès à Internet est essentiel pour le développement économique de nos régions. Toujours selon le député d’Arthabaska, il est clair que le gouvernement ne fait pas de cet enjeu une priorité et qu’il nuit, par le fait même, au développement de nombreuses entreprises au Québec.