Jean Boulet portera les couleurs de la Coalition Avenir Québec dans la circonscription de Trois-Rivières


 Publié le 22 mai 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est fier d’annoncer que l’avocat Jean Boulet portera les couleurs de sa formation politique dans la circonscription de Trois-Rivières pour l’élection du 1er octobre prochain. Originaire de Saint-Tite, Jean Boulet s’est dit ravi de faire le grand saut en politique dans la ville de Trois-Rivières, une ville où il évolue professionnellement depuis plusieurs années et où il a fondé sa famille.

Quant au chef de la CAQ, il s’est réjoui de pouvoir compter sur cet avocat spécialisé dans le droit du travail qui est autant impliqué et reconnu dans sa communauté. « Jean est un avocat réputé en relations de travail. Il a été associé-directeur de Heenan Blaikie, à Trois-Rivières et ensuite, associé-directeur de Lavery, à Trois-Rivières. Jean est très connu ici. Il a été président du conseil d’administration de la Chambre de commerce et d’industrie de Trois-Rivières, président du conseil d’administration de la Fondation du Centre hospitalier régional de Trois-Rivières, vice-président du conseil d’administration de l’Administration portuaire de Trois-Rivières, président du conseil d’administration de Centraide-Mauricie, administrateur de la Fondation du Centre de réadaptation Interval, administrateur du Musée de culture populaire, et j’en passe… », a énuméré François Legault.

La CAQ pour le développement économique de Trois-Rivières

À la suite de discussions avec François Legault, Jean Boulet a constaté qu’il ne faisait aucun doute que la Coalition Avenir Québec est le meilleur véhicule pour le développement économique de la ville de Trois-Rivières et de toute la région. Les défis sont d’ailleurs de taille en Mauricie, qui connaît de sérieux enjeux de main-d’œuvre, qui freinent l’essor des entreprises. « J’ai senti chez François Legault une réelle préoccupation pour les régions. À travers son intention d’utiliser les leviers du gouvernement pour rendre nos entreprises plus compétitives à l’échelle canadienne, nord-américaine et internationale, nous pourrons augmenter les investissements et la diversification de l’économie régionale », a indiqué le nouveau candidat trifluvien.

François Legault s’est par ailleurs engagé à relancer l’économie de la Mauricie et à travailler pour créer des emplois payants. « La région n’a pas réussi à remplacer les emplois payants perdus dans le secteur industriel. D’abord, le nombre d’emplois en Mauricie a reculé de 7 600 depuis 15 ans et de 3 100 depuis 4 ans. Cependant, le principal problème demeure le niveau de revenu qui est 11% plus bas en Mauricie que dans le reste du Québec. Le gouvernement du Québec doit en faire beaucoup plus pour attirer des emplois mieux payés en Mauricie », a expliqué le chef caquiste.

Un député présent, disponible et à l’écoute

À Trois-Rivières, comme sur le territoire entier de la Mauricie, Jean Boulet a notamment soulevé le criant manque d’infirmières et de préposés aux bénéficiaires comme étant un dossier qui le touche particulièrement. En s’impliquant dans la communauté, Jean Boulet s’est par ailleurs conscientisé aux dures réalités que sont la pauvreté et l’exclusion sociale. « Pour moi, la politique active sera un moyen de servir la communauté et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour améliorer le sort de mes concitoyens. Je veux contribuer à créer de la richesse au Québec, mais une richesse pour tous. À tous les trifluviens, je voudrais dire que si vous me faites confiance, vous aurez un député de la CAQ présent, disponible et à l’écoute », a déclaré le candidat caquiste.

Technologie « chaîne de blocs » : Le gouvernement libéral met un frein à l’innovation au Québec


 Publié le 18 mai 2018

La technologie chaîne de blocs révolutionne actuellement l’univers du stockage de données. Depuis quelques mois, un certain d’entreprises ont approché Hydro-Québec afin de s’approvisionner en énergie et ainsi faire profiter la province d’importants investissements, à même nos surplus d’électricité.

 

Alors que ces entreprises voudraient investir chez nous et y créer des emplois et qu’Hydro-Québec est prêt, le gouvernement libéral, lui, se traine les pieds. Plutôt que d’encadrer l’industrie comme on lui demande de le faire, d’être proactif afin que le Québec soit pionnier de cette nouvelle technologie, le gouvernement libéral met littéralement un frein à ces investissements en imposant un moratoire.

 

Selon son PDG, la société d’État serait en mesure de vendre 5TWh de ses surplus d’électricité aux entreprises actives dans la chaîne de blocs d’ici quatre ans, mais le ministre l’en empêche. La Coalition Avenir Québec soutient que le gouvernement libéral doit saisir cette opportunité économique que représente cette technologie, puisque le Québec a des atouts importants pour se tailler une place de choix dans ce marché naissant : de l’électricité verte et un climat favorable. La CAQ propose de réserver un bloc d’énergie à ces entreprises, qui souhaitent développer un écosystème relié à la chaine de blocs.

La crise du recyclage menace la Montérégie, Jean-François Roberge et la CAQ réclament une intervention de la ministre de l’Environnement


 Publié le 17 mai 2018

(CHAMBLY, le 17 mai 2018) – Il n’y a pas que la Ville de Montréal qui soit frappée de plein fouet par la crise du recyclage : plusieurs municipalités de la Montérégie, dont Chambly et Saint-Basile-le-Grand, pourraient voir leur centre de tri des matières recyclables fermer au cours des prochains mois si rien n’est fait. Le député Jean-François Roberge et la CAQ pressent le gouvernement du Québec d’intervenir rapidement pour garantir la pérennité du bac vert et éviter que les matières recyclables prennent le chemin du dépotoir.

Rappelons qu’au début de l’année, la Chine, le principal importateur des matières recyclables du Québec, a resserré drastiquement ses critères d’importation, fermant de fait son marché à l’immense majorité des matières recyclées de la province. Devant l’absence de débouchés et devant composer avec une baisse phénoménale des prix sur les marchés, de nombreux centres de tri et leurs opérateurs se retrouvent aujourd’hui sur la corde raide.

Dans une lettre qu’elle a fait parvenir aux élus de la région, la société Services Ricova Inc., qui s’occupe notamment de la collecte et de la valorisation des matières recyclables à Chambly et à Saint-Basile-le-Grand, sonne l’alarme. La situation est si grave, affirme-t-elle,  qu’ «il ne s’agit que d’une question de quelques mois avant que certains centres de tri et opérateurs de centres de tri, incluant nous, mettent la clé sous la porte faute de liquidités».

Devant cette situation, Mathieu Lemay, collègue du député Roberge et porte-parole de la CAQ en matière d’Environnement, s’est levé à l’Assemblée nationale pour exiger une intervention rapide de la ministre de l’Environnement Isabelle Melançon. «Les centres de tri enregistrent de lourdes pertes […] Les municipalités et les centres de tri demandent l’aide du gouvernement. Il est minuit moins une. Que compte faire la ministre? »

Mais les réponses de la ministre n’ont pas satisfait le député de Chambly : «les sommes annoncées par le gouvernement libéral pour accompagner les centres de tri dans leur modernisation, auxquelles la ministre a fait référence, sont largement insuffisantes pour régler la présente situation. La Ville de Montréal, à elle seule, a octroyé 29,2 millions de dollars pour soutenir son centre de tri. Et on voudrait nous faire croire que 3 millions sont suffisants pour les centres de tri de l’ensemble du Québec?»

Jean-François Roberge rencontrera les responsables de Services Ricova Inc. ainsi que la Ville de Chambly dans les prochains jours pour faire le point sur la situation. Son collègue Mathieu Lemay travaille de son côté sur une proposition visant à régler la situation. «Nous ne comptons certainement pas en rester là. Si les centres de tri ferment, nos matières recyclables prendront le chemin du dépotoir. On risque de perdre la confiance de la population envers le recyclage. Il faut éviter de jeter 37 ans de bonnes habitudes à la poubelle».

Centres de tri : Les municipalités risquent de payer pour l’inaction libérale


 Publié le 17 mai 2018

À la période de questions, ce jeudi, le député de Masson et porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’environnement, Mathieu Lemay, a imploré la ministre Melançon de prendre action dans le dossier des centres de tri. Ceux-ci lancent un réel cri d’alarme, car ils subissent les conséquences de la fermeture quasi totale des marchés avec la Chine, qui était jusqu’à tout récemment notre principal partenaire d’affaires pour nos exportations de matières recyclables. 

 

Cette décision politique a gravement affecté à la baisse le prix des ballots de papier et les centres de tri sont aux prises avec d’énormes quantités de matières recyclables qu’ils ne peuvent pas vendre. Fait à noter : certaines permissions spéciales ont même été accordées afin que des matières destinées à la récupération soient acheminées dans les sites d’enfouissement. Si le gouvernement provincial ne fait rien, on craint que la population ne croit plus en l’importance de recycler et que 37 ans de bonnes habitudes soient jetées à la poubelle.

 

Faute de solution du gouvernement, les répercussions les plus importantes seront pour les municipalités, qui devront compenser pour l’inaction libérale et éponger la facture à même leurs comptes de taxes.

Tordeuse des bourgeons de l’épinette : Le ministre n’a pas fait les représentations nécessaires pour obtenir l’argent du fédéral


 Publié le 16 mai 2018

À la lueur des résultats dans le dossier de la tordeuse des bourgeons de l’épinette, il y a lieu de se questionner sur le travail du ministre des Forêts, Luc Blanchette.

 

À la suite de 31 rencontres entre des lobbyistes du Nouveau-Brunswick et le cabinet du ministre fédéral, 75 M$ ont été annoncés par le gouvernement fédéral pour lutter contre cet insecte ravageur au Nouveau-Brunswick. Du côté du Québec, le ministre Blanchette n’a transmis que deux lettres à son homologue fédéral, sans aucun résultat.

 

Au Québec, de nouvelles zones sont affectées, chaque année, par la tordeuse des bourgeons de l’épinette. Ces zones auraient dû faire partie des projets pilotes du gouvernement fédéral. Malheureusement, le Québec n’y figure pas puisque le ministre n’a pas fait les représentations nécessaires afin que la province obtienne elle aussi de l’aide de la part du gouvernement fédéral pour la protection de nos forêts.

Projet de loi 173 : Le ministre a renié sa parole et abandonné 8 000 familles


 Publié le 16 mai 2018

Le ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, François Blais, s’est engagé, mardi dernier lors de la période de questions, à proposer une solution pour corriger l’injustice dans le calcul d’aide sociale. Dans le cadre de l’étude du projet de loi 173, la CAQ avait effectivement demandé au gouvernement libéral d’exclure complètement les pensions alimentaires pour enfants du calcul des prestations d’aide sociale. Hier, le ministre a failli à son engagement, n’a pas tenu parole, et a de ce fait laissé tomber 8 000 familles bénéficiaires de l’aide sociale, majoritairement des mères monoparentales.

 

Aujourd’hui en chambre, le porte-parole de la Coalition avenir Québec en matière d’Emploi et de Solidarité sociale, Sébastien Schneeberger, a dénoncé que le gouvernement libéral ait laissé miroiter une solution pour ces familles, sans toutefois y donner suite. Voyant le refus du ministre Blais d’exempter les pensions alimentaires pour enfants dans le calcul de l’aide sociale, le député de Drummond – Bois-Francs a soumis la proposition, comme il l’avait déjà fait lors de l’étude détaillée du projet de loi, de faire un premier pas pour dispenser, dans un premier temps, les personnes qui ont des contraintes sévères ou jugées inaptes à l’emploi et qui sont prestataires de la solidarité sociale.

Pénurie de médecins de famille : Philippe Couillard a éteint l’intérêt des étudiants pour la médecine familiale


 Publié le 16 mai 2018

Une triste réalité a été portée à notre attention ce matin : 19 postes en médecine familiale sont inoccupés, seulement en Abitibi-Témiscamingue. Ce phénomène, qui n’existe pourtant pas ailleurs au Canada, affecte les régions et, à raison, inquiète considérablement les citoyens.

 

La faute revient en grande partie à la généreuse entente entre le gouvernement de Philippe Couillard et les médecins spécialistes et sa clause cadenas, effective jusqu’en 2023, qui rend la médecine familiale beaucoup moins attrayante que la médecine spécialisée. Les réformes imposées par le ministre Barrette ont aussi démobilisé les jeunes médecins à choisir la médecine de famille.

 

En effet, on souligne que de nombreux étudiants en médecine font le choix de prendre une année sabbatique, dans l’espoir d’être ultérieurement acceptés dans une spécialité. Le résultat de cette entente qui profite aux amis du premier ministre et de son ministre de la Santé se fait concrètement sentir en région, par un désintérêt considérable de la médecine familiale, a dénoncé François Legault, lors de la période de questions.

Inondations printanières 2017 : La mauvaise gestion de crise se poursuit… un an plus tard


 Publié le 16 mai 2018

La Coalition Avenir Québec a déposé, ce mercredi, une motion déplorant que de nombreux dossiers ne soient toujours pas fermés, un an après que des centaines de résidences aient subis de sérieux dommages, à la suite de l’importante crue printanière en 2017.

 

La vie normale n’a toujours pas repris son cours habituel pour plusieurs victimes de ces inondations. Un an plus tard, certains n’ont toujours pas réintégré leur résidence et la lenteur administrative du traitement des dossiers ne fait qu’empirer leur situation, déjà insupportable. Cette motion demande formellement au ministre d’accélérer le traitement des requêtes afin de mettre un baume sur la douleur toujours vive des victimes de ces inondations.

Projet de loi 1193 : La CAQ souhaite mettre fin aux publicités partisanes payées à même les fonds publics


 Publié le 15 mai 2018

Le député de La Peltrie et porte-parole de la Coalition Avenir Québec pour le Conseil du trésor, Éric Caire, a déposé aujourd’hui un projet de loi encadrant les communications des organismes publics. Si adopté, ce projet de loi aurait comme principal objectif d’empêcher l’utilisation des fonds publics à des fins partisanes, ou encore pour promouvoir les intérêts du gouvernement au pouvoir.

 

Depuis leur entrée en poste en 2014, ce sont plus de 12,4M$ qui ont été dépensés par les libéraux de Philippe Couillard à même les fonds publics, pour des fins partisanes. À titre d’exemple, un montant démesuré de 5 millions de dollars a été décaissé entre avril et décembre, l’an dernier, afin de faire la promotion du Plan économique 2017 des libéraux. Pour la Coalition Avenir Québec, c’est tout à fait inacceptable que les deniers publics soient utilisés uniquement dans l’objectif mettre en valeur le parti au pouvoir et cette pratique doit cesser, par respect pour l’argent des contribuables.

 

Avec ce projet de loi déposé par la CAQ, il serait désormais interdit de promouvoir le parti politique au pouvoir, de critiquer directement ou indirectement un parti politique ou un membre de l’Assemblée nationale, et il est prévu que le vérificateur général puisse vérifier la conformité d’une communication avec les normes prescrites. Les fonds publics serviront donc directement au citoyen, à des fins d’information ou de prévention.

Harmoniser l’offre de divertissement à l’offre touristique – La CAQ déménagera le Salon de jeux de Québec


 Publié le 15 mai 2018

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de Finances publiques et député de Granby, François Bonnardel, la porte-parole en matière de Famille et députée de Louis-Hébert, Geneviève Guilbault, ainsi que le candidat dans la circonscription de Vanier-Les Rivières, Mario Asselin, ont annoncé ce matin qu’un gouvernement de la CAQ déménagera le Salon de jeux de Québec vers un secteur touristique et étudiera l’opportunité de renouveler l’offre de divertissement en le transformant en casino.

Situé aux limites des circonscriptions de Vanier-Les Rivières et Jean-Lesage, où on retrouve le plus bas revenu moyen des ménages au Québec, le Salon de jeux a des impacts importants sur la santé publique de l’aveu même de la Direction de la santé publique (DSP) de Québec, qui plaide depuis plusieurs années pour le déménagement de l’établissement. De plus, selon la DSP, les joueurs évoluant sur les appareils de loterie vidéo, comme c’est le cas dans la presque totalité du Salon de jeux, sont les plus susceptibles de développer des problèmes de dépendance aux jeux de hasard. Jusqu’à 20 % d’entre eux seraient à risque de devenir des joueurs pathologiques. D’un autre côté, la région de la Capitale-Nationale a la chance d’accueillir des centaines de milliers de touristes annuellement, et leur nombre est en constante augmentation. Les entrées des touristes internationaux au Québec ont crû de 8,4 % entre 2016 et 2017, dans une proportion de 5,4 % pour les Américains et de 13,3 % pour les touristes en provenance des autres pays. De notre point de vue, il paraît idéal de viser une clientèle touristique plus fortunée et de plus en plus nombreuse, qui vient dépenser de l’argent neuf au Québec, plutôt que la clientèle locale présentement ciblée.