Projet d’Amos Daragon à Magog : La ministre Dominique Anglade se terre dans le mutisme


 Publié le 13 juin 2017

La ministre de l’Économie, Dominique Anglade, a refusé d’aborder le « dossier précis » de l’avancement du projet d’animation Amos Daragon à Magog, alors qu’elle était questionnée par le porte-parole caquiste pour la région de l’Estrie, François Bonnardel, à l’Assemblée nationale.

Le député de Granby tentait de savoir les raisons pour lesquelles le gouvernement Couillard refuse d’accorder la subvention de 2,7 M$ d’Investissement Québec nécessaire pour la concrétisation de ce projet, conçu autour du personnage littéraire créé par l’auteur Bryan Perro. Même le député libéral d’Orford, Pierre Reid, a critiqué publiquement la lenteur de son propre gouvernement, alors qu’une cinquantaine d’emplois sont en jeu dans la région de l’Estrie.

François Bonnardel a également déploré l’attitude des libéraux envers les régions du Québec. Alors qu’à Montréal, capitale des technologies de l’information, il est facile pour des firmes d’obtenir des subventions pour leurs projets, l’entreprise IceWorks Animation, à Magog, a toutes les misères du monde pour convaincre le gouvernement.

REM : Les libéraux risquent d’investir des milliards de dollars dans un train électrique Made in China


 Publié le 13 juin 2017

Alors qu’une conférence de presse se tenait lundi à La Pocatière, au cours de laquelle des dizaines d’entrepreneurs et d’élus locaux réclamaient du gouvernement libéral qu’il impose un minimum de contenu local lors d’octroi de contrats de transport collectif, Philippe Couillard a confirmé qu’il n’avait pas l’intention de bouger pour garantir la création d’emplois payants au Québec lorsqu’il investira dans des projets majeurs, comme le train REM de la Caisse de dépôt.

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, et son porte-parole en matière d’économie régionale, Éric Lefebvre, ont porté la voix de ces entrepreneurs jusqu’à l’Assemblée nationale, mardi, mais rien à faire : Philippe Couillard a refusé de répondre à leurs inquiétudes en exigeant une part de 25 % de contenu local dans les projets de transport collectif.

Legault a pourtant indiqué que l’économie québécoise ne peut pas se permettre de lancer des appels d’offres sans garantir une part de contenu canadien. Il faut en effet miser sur des emplois de qualité, notamment dans le secteur manufacturier, pour enfin s’attaquer à l’écart toujours présent du salaire moyen entre le Québec et l’Ontario. Il est grand temps pour Philippe Couillard de s’occuper de l’économie québécoise.

Maladies rares : La CAQ réclame une stratégie québécoise


 Publié le 12 juin 2017

Le bien-être des patients atteints de maladies rares ne peut plus attendre : le Québec doit se doter d’une stratégie québécoise en la matière et rattraper son retard par rapport à d’autres pays industrialisés, comme la France.

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé, François Paradis, a critiqué le laxisme du gouvernement libéral qui, en 2010, avait pourtant confié un mandat à l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS). Ce dernier avait dressé un portrait complet de ce qui se fait à l’étranger en matière de prise en charge des maladies rares. Déposé en 2011, le rapport de l’INESS a été tabletté par les libéraux, si bien que les Québécois atteints de cancers rares, de maladies auto-immunes ou d’origine toxique, de malformations congénitales et autres, sont parfois laissés à eux-mêmes.

Pour François Paradis, cette injustice doit cesser. Appuyé par le Regroupement québécois des maladies orphelines et l’Association des patients immunodéficients du Québec et de patients atteints de maladies rares, le député de Lévis a pressé le gouvernement à agir et à se doter d’une stratégie qui mobilisera l’ensemble du réseau de la santé, afin que les meilleures pratiques en matière de diagnostic, de prise en charge, de traitement et de prévention soient instaurées en matière de maladies rares au Québec.

Emplois payants : La naïveté économique de Philippe Couillard nuit aux entreprises québécoises


 Publié le 9 juin 2017

Non seulement Philippe Couillard ne comprend toujours pas que son approche économique théorique a pour effet d’inciter les entreprises à déménager leurs usines aux États-Unis, le premier ministre refuse de s’engager à parler au cours des prochains jours à des dirigeants d’entreprises manufacturières pour tenter de les aider à tirer leur épingle du jeu.

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a exigé à nouveau un seuil minimal de contenu local dans les projets de transport collectif d’envergure. Les plus récents chiffres sur l’emploi, dévoilés vendredi, démontrent une fois de plus tout le rattrapage à effectuer : les familles québécoises ont un salaire moyen inférieur de 4000 $ par rapport à celles de l’Ontario.

Philippe Couillard doit comprendre que le Québec a besoin d’utiliser ses contrats publics pour attirer des emplois payants au Québec, a martelé M. Legault. Le chef de la CAQ a d’ailleurs rappelé que depuis l’arrivée au pouvoir des libéraux de Philippe Couillard, le Québec a perdu 15 000 emplois dans le secteur manufacturier.

 

Centre d’injection supervisé proche d’une école : Les vieux partis bloquent une motion de la CAQ


 Publié le 9 juin 2017

Jean-François Roberge et Lise Lavallée de la Coalition Avenir Québec s’inquiètent gravement de l’implantation prochaine d’un centre d’injection supervisé à moins de 200 mètres d’une école primaire à Montréal. Qu’un enfant puisse se rendre à l’école à pied en croisant sur son chemin des toxicomanes est inacceptable, ont soutenu les députés caquistes.

Le Parti libéral et le Parti québécois ont bloqué une motion de la CAQ, déposée à l’Assemblée nationale, réclamant du gouvernement Couillard qu’il fixe une distance minimale acceptable afin d’empêcher qu’un tel centre ait le droit de s’établir aux abords d’une école, d’un centre de la petite enfance ou d’un service de garde.

Il faut combattre la toxicomanie, mais cette lutte doit se tenir loin de nos enfants, a souligné Jean-François Roberge, porte-parole caquiste en matière d’éducation. Selon lui, on ne peut pas d’un côté faire des pieds et des mains pour sortir la drogue de nos cours d’école, mais de l’autre tolérer que de tels centres soient installés à proximité de celles-ci. Pour sa collègue Lise Lavallée, porte-parole en matière de santé publique, il est important pour les familles qui s’établissent proches des écoles puissent voir leurs enfants grandir dans un environnement sécuritaire et paisible.

Arthabaska-L’Érable : Éric Lefebvre dépose un projet de loi pour changer le nom de sa circonscription


 Publié le 9 juin 2017

Le député d’Arthabaska pour la Coalition Avenir Québec, Éric Lefebvre, met à exécution sa promesse de faire pression auprès du gouvernement libéral pour remplacer le nom de sa circonscription électorale, pour Arthabaska-L’Érable. Éric Lefebvre a déposé à cet effet, vendredi à l’Assemblée nationale, le projet de loi 896.

Le caquiste est à pied d’œuvre depuis son élection, en décembre dernier. Tout au long de sa campagne, le député avait fait de la reconnaissance régionale son thème de prédilection, en s’engageant à tout faire en son possible pour modifier le nom de la circonscription. Selon M. Lefebvre, il est impératif de favoriser la reconnaissance régionale et le sentiment d’appartenance des citoyens d’Arthabaska-L’Érable.

Le caquiste rappelle que sa circonscription regroupe l’entièreté des 11 municipalités de la MRC de l’Érable et des 6 municipalités de la MRC d’Arthabaska. Il est donc logique, à ses yeux, que la circonscription porte le nom des deux MRC.

Éric Lefebvre espère bien obtenir le consentement du gouvernement libéral pour l’étude de son projet de loi, d’autant plus qu’il a reçu l’appui de plusieurs entités régionales, notamment du conseil des maires de la MRC de l’Érable, de la MRC d’Arthabaska et des municipalités de Plessisville, Saint-Christophe-d’Arthabaska, Saint-Rosaire, Lyster, Saint-Ferdinand, Sainte-Sophie-d’Halifax, Saint-Louis-de-Blandford, Saint-Pierre-Baptiste et Saint-Valère.

3e lien Québec-Lévis : Les familles de Québec ne veulent pas d’un bureau fantôme


 Publié le 9 juin 2017

Un bureau de projet fantôme : c’est tout ce que les libéraux ont su accomplir au cours des trois dernières années pour le 3e lien, le dossier le plus réclamé de la région de Québec, ont indiqué les députés de la Coalition Avenir Québec, François Paradis et Éric Caire. Ils ont pressé une fois de plus le gouvernement Couillard à instaurer un véritable bureau de projet pour la réalisation d’un 3e lien.

Le ministre Laurent Lessard ne tient pas ses engagements, a dénoncé le député de Lévis. Promis avant le dépôt du dernier budget libéral en mars dernier, le bureau de projet n’existe toujours pas. Pendant ce temps, l’appui pour un 3lien s’intensifie, comme le démontre une étude récente de la firme Raymond Chabot Thornton, qui confirme que 85 % des citoyens et des gens d’affaires de la Capitale-Nationale réclament le projet.

Pour Éric Caire, l’incompétence de Laurent Lessard atteint de nouveaux sommets. Vendredi, il s’entêtait à défendre un bureau de projet qui n’existe même pas et pour lequel aucune ressource et aucun échéancier précis n’ont été annoncés. Au lieu de rassurer les automobilistes, il s’est livré à des attaques minables à l’endroit de la CAQ, le seul parti qui s’est engagé à lancer les travaux d’un 3e lien dans un premier mandat.

Jeu libre dans les rues : La CAQ remporte une manche


 Publié le 9 juin 2017

Victoire pour les familles du Québec : le gouvernement libéral a finalement accepté la proposition de la Coalition Avenir Québec visant à autoriser de façon sécuritaire le jeu libre dans les rues. Le député de Borduas, Simon Jolin-Borduas, en avait fait un combat personnel, notamment en déposant un projet de loi à l’Assemblée nationale en novembre dernier.

Dans le cadre de l’étude du projet de loi 122 sur l’autonomie des municipalités, le caquiste a déposé un amendement, accepté par le ministre Martin Coiteux, qui permet à une municipalité d’encadrer le jeu libre dans ses rues, afin d’encourager les jeunes à adopter de saines habitudes de vie et à promouvoir l’activité physique.

L’amendement permet, par exemple, les parties de hockey, et ce, en toute sécurité pour les enfants.

Dossier Aleris : Personne ne se lève pour la Mauricie au sein du caucus libéral


 Publié le 8 juin 2017

Le gouvernement libéral achète du temps dans le dossier de l’usine Aleris à Trois-Rivières, a dénoncé le député de la Coalition Avenir Québec, Donald Martel, qui constate plus que jamais que personne ne se lève pour la Mauricie au sein du caucus libéral.

Le ministre de l’Environnement, David Heurtel, doit changer la stratégie des 10 dernières années de son gouvernement, perdante sur toute la ligne. Au lieu de chercher des coupables, il doit s’engager au plus vite à décontaminer le site de l’usine et cesser d’envoyer la facture aux familles québécoises, qui ont déjà assumé 10 millions de dollars en 10 ans à cause de l’inertie de son gouvernement.

Donald Martel est surtout déçu du peu d’influence du député de Champlain, Pierre-Michel Auger, au sein de son propre gouvernement. Alors qu’il faisait part de ses frustrations il y a quelques jours à peine, il s’est rangé derrière l’annonce vide de son collègue David Heurtel, mercredi.

Qualité des emplois : Philippe Couillard manque d’ambition


 Publié le 8 juin 2017

La naïveté économique de Philippe Couillard est inquiétante, a déclaré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, alors que le premier ministre refuse de simplement reconnaître que le Québec a un problème économique important compte tenu de son salaire moyen plus bas que le reste de ses voisins.

Le nerf de la guerre tourne autour de la création d’emplois payants, a souligné François Legault. Or, Philippe Couillard a une opportunité exceptionnelle de créer des emplois de qualité : l’investissement de plusieurs milliards de dollars dans le projet de Réseau électrique métropolitain. Malheureusement, les libéraux refusent catégoriquement d’exiger un contenu local, comme le font pourtant les Américains et les Ontariens.

De son côté, le député de Johnson et porte-parole caquiste en matière d’économie, André Lamontagne, s’est inquiété de voir le gouvernement libéral exporter sciemment nos emplois payants vers l’étranger. Il a déploré l’absence de réponses des ministres libéraux en Chambre.