Centre d’injection supervisée tout près d’une école : La CAQ réitère son opposition au projet


 Publié le 20 juin 2017

Les parents d’élèves de l’école Marguerite-Bourgeoys à Montréal ont toutes les raisons de s’inquiéter de l’ouverture imminente d’un CIS sur le corridor scolaire et à 200 mètres de l’école que fréquentent leurs enfants, a indiqué le porte-parole de la Coalition Avenir Québec, Jean-François Roberge.

Accompagné de Christelle Perrine, une mère de deux enfants qui fréquentent l’école Marguerite-Bourgeoys, M. Roberge a réitéré qu’il est impensable qu’un enfant doive passer devant un CIS d’où entrent et sortent de nombreux toxicomanes. Le député caquiste a directement interpellé le gouvernement libéral afin de le convaincre de déterminer un autre site, plus loin de l’école et à l’extérieur du corridor scolaire, afin d’ouvrir le CIS.

Rappelons qu’en plus de la Coalition Avenir Québec et de différents parents d’enfants fréquentant l’école, la commissaire scolaire Stéphanie Bellenger-Heng s’oppose à l’ouverture du CIS à proximité de l’école.

Cannabis : La CAQ présentera un cadre réglementaire restrictif


 Publié le 20 juin 2017

Face au flou persistant entourant la légalisation du cannabis et au peu d’engagements pris en matière d’éducation et de prévention par le gouvernement Couillard, la Coalition Avenir Québec annonce aujourd’hui qu’elle déposera prochainement son propre cadre réglementaire qui sera très restrictif, afin de protéger les familles québécoises des effets de cette drogue.

Les député(e)s de la CAQ, Lise Lavallée et Simon Jolin-Barrette, ont suivi avec grand intérêt les débats lors du Forum d’experts sur l’encadrement du cannabis, mais à un peu plus d’un an de l’échéance fédéral, force est de constater que le gouvernement libéral de Philippe Couillard n’est pas prêt. C’est la raison pour laquelle la CAQ présentera dans les prochains mois un cadre réglementaire pour la légalisation et la réglementation du cannabis.

Pour la porte-parole caquiste en matière de santé publique, Lisée Lavallée, beaucoup trop de questions demeurent sans réponses. Le 1er juillet 2018 arrive à grands pas et les inquiétudes dans la population sont bien présentes, particulièrement pour nos jeunes. La députée de Repentigny a rappelé que le cannabis est source de nombreux problèmes et est souvent associé au développement de maladies mentales précoces. Il est temps de fournir des réponses précises aux familles du Québec, a souligné Lisée Lavallée.

Élargissement de l’aide médicale à mourir : La CAQ continue son combat pour un débat transpartisan


 Publié le 19 juin 2017

La Coalition Avenir Québec demande des consultations publiques sur l’élargissement de l’aide médicale à mourir afin de déterminer s’il est possible d’y inclure la notion de demande anticipée. Accompagnés d’Yvon Cournoyer, un patient atteint de la sclérose latérale amyotrophique, les députés François Bonnardel et François Paradis ont appelé le gouvernement libéral à répondre à la volonté des Québécois d’être consultés.

Sachant qu’il s’agit d’une question extrêmement délicate, François Bonnardel a souligné que bien que le Québec ait été un précurseur dans le dossier des soins de fin de vie, il reste beaucoup de travail à faire et de pistes à éclaircir, notamment en ce qui concerne les cas de personnes atteintes de démence et d’Alzheimer sévère. Le député de Granby convient que ces questions ne sont pas faciles à aborder, mais elles nécessitent tout de même une action concrète.

Le député de Lévis, François Paradis, a invité le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, à répondre aux inquiétudes de M. Cournoyer et de plusieurs autres Québécois, en amenant la réflexion sur la place publique. La tenue de consultations, de façon totalement non partisane, permettrait à la société québécoise de voir concrètement jusqu’où elle souhaite aller dans l’application de l’aide médicale à mourir pour améliorer la vie de ceux qui sont aux prises avec cette souffrance dans leur famille, a estimé M. Paradis.

Bilan de la session : La CAQ est l’alternative à un gouvernement libéral usé


 Publié le 16 juin 2017

Entouré de l’ensemble de ses député(e)s, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est fier de constater que sa formation politique a été une opposition efficace, avec le cœur à la bonne place, et la seule à l’écoute des préoccupations des familles québécoises.

Face à un gouvernement qui refuse de saisir les occasions économiques qui se présentent à lui et qui est rattrapé par les scandales éthiques, la CAQ s’est attardée aux enjeux qui préoccupent réellement les Québécois, avec une équipe solide, de plus en plus aguerrie.

Au cours des derniers mois, la CAQ a persisté en multipliant les propositions et en talonnant le gouvernement Couillard, notamment en économie (baisses d’impôts, aide au secteur manufacturier, contenu local pour le REM, remboursement des trop-perçus d’Hydro-Québec), en éducation (maternelle 4 ans universelle, droit pour les parents de choisir l’école de leurs enfants) et en santé (dénonciation de la maltraitance envers les aînés, attente dans les urgences, aide pour les parents d’enfants lourdement handicapés).

Plus que jamais, les Québécois sont mûrs pour un changement positif, est convaincu François Legault. Pour toutes les familles québécoises qui éprouvent de la difficulté à payer leurs factures ou qui souffrent du manque de vision libéral, pour tous ceux et celles qui ne veulent plus d’un gouvernement embourbé dans des scandales d’intégrité, il y a l’équipe de la CAQ. François Legault a réaffirmé son ambition : former, dès octobre 2018, le prochain gouvernement.

Réseau électrique Métropolitain (REM) : Laurent Lessard contredit Philippe Couillard


 Publié le 15 juin 2017

Le ministre des Transports, Laurent Lessard, a fait un aveu lourd de sens, jeudi à l’Assemblée nationale, en réponse à une question du chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault : il souhaite lui aussi que la Caisse de dépôt et placement exige du contenu local dans le cadre du projet de train électrique.

Laurent Lessard contredit ainsi son chef et premier ministre Philippe Couillard qui, depuis deux semaines, s’attaque à cette idée en disant que cela revient à être « sur la défensive ». Lorsqu’un gouvernement décide d’investir des milliards de dollars d’argent public, il a le devoir de garantir des retombées concrètes pour ses entrepreneurs et travailleurs, a réitéré François Legault.

Bien qu’il salue l’investissement du gouvernement fédéral de 1,3 milliard dans le projet de Réseau électrique Métropolitain, M. Legault a réclamé à nouveau 25 % de contenu local lors de la fabrication du train. Ce seuil est indispensable si l’on souhaite relancer le secteur manufacturier québécois.

Dépôt d’un projet de loi : La CAQ veut garantir la liberté de choix des parents dans le choix de l’école de leurs enfants


 Publié le 15 juin 2017

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, a déposé jeudi à l’Assemblée nationale le projet de loi 898, qui vise à donner aux parents plus de liberté pour choisir l’école de leurs enfants.

Selon le député caquiste, il ne fait aucun doute que les parents sont les seuls à pouvoir déterminer l’école la mieux adaptée aux besoins de leurs enfants. Pourvu qu’il y ait de la place dans l’école souhaité et que les parents assument le transport scolaire, il n’y a aucune raison qui justifie l’interdiction à des parents d’envoyer leur enfant à l’école de leur choix.

Jusqu’à maintenant, le gouvernement libéral a refusé d’écouter les parents d’élèves, puisqu’aux yeux du ministre Sébastien Proulx, ce sont les commissions scolaires et uniquement elles qui doivent assurer la répartition des élèves. Jeudi matin, au Salon bleu, Sébastien Proulx a refusé de se prononcer et préféré une fois de plus défendre de vieilles règles bureaucratiques. La CAQ, elle, met plutôt ses énergies au bénéfice des parents.

Pour mettre de la pression sur le gouvernement, la CAQ a mis en ligne une pétition pour inviter les parents à appuyer le projet de loi 898 : www.monecolemonchoix.com

Le député Lamontagne souligne le 35e du Centre communautaire St-Pierre


 Publié le 15 juin 2017

En soulignant les 35 ans du Centre communautaire Saint-Pierre à l’Assemblée nationale, le député de Johnson, André Lamontagne, a voulu reconnaître la contribution de tous ceux et celles qui y donnent le meilleur d’eux-mêmes pour le mieux-être de leur quartier. Il en a profité pour remercier tous ses bénévoles et ses employés.

« Le Centre communautaire Saint-Pierre (CCSP) favorise la croissance personnelle et collective des gens, quels que soient leur âge, leur statut et leur condition, a déclaré M. Lamontagne. Leader de la mobilisation bénévole dans son milieu, il travaille pour la communauté et surtout avec elle. Il a 23 comités et compte près de 500 bénévoles qui investissent plus de 4000 heures par année. »

« En complémentarité, en partenariat ou en concertation avec les organismes environnants, a ajouté le député, le CCSP offre une grande variété d’activités auxquelles environ 1000 personnes s’inscrivent annuellement. En plus, des milliers de citoyennes et citoyens participent aux fêtes de quartier et aux activités communautaires qu’il organise. Ses actions développent la qualité de vie dans les sphères de la famille, de l’éducation populaire, du travail, des loisirs, des sports et de la vie sociale. »

Le Centre devient un milieu de vie pour les personnes qui le fréquentent. On y trouve, entre autres, un jardin éducatif, un club photo, une ligue de cartes, des ateliers de formation, un service de location de locaux et des cours d’informatique, de danse, de karaté ou de conditionnement physique.

Transparence des organismes publics : La CAQ veut que les contribuables québécois soient mieux renseignés


 Publié le 15 juin 2017

Dans le but de renforcer l’imputabilité et la transparence des organismes financés par des fonds publics, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de finances, François Bonnardel, a déposé à l’Assemblée nationale le projet de loi 892, afin que les quelques 280 organismes publics et parapublics rendent disponibles leurs états financiers officiels, vérifiés par une firme comptable indépendante, sur leur site internet.

Le caquiste François Bonnardel estime qu’il n’est pas normal que les contribuables québécois ne soient pas en mesure de consulter facilement ces documents, qui concernent plusieurs sociétés d’État, commissions scolaires et les centres intégrés de santé et de services sociaux. Financés partiellement ou en totalité par des fonds publics, ces organismes gèrent plusieurs centaines de millions de dollars, souligne-t-il.

La CAQ souhaite aussi, tel que le recommande l’Ordre des comptables agréés du Québec, que les documents dévoilés soient accompagnés de leurs notes explicatives, souvent en annexe, afin que les Québécois aient réellement l’heure juste. Le projet de loi de M. Bonnardel prévoit également que la présentation des états financiers soit standardisée.

La transparence ne devrait plus être un idéal à atteindre en 2017, souligne le député de Granby. Philippe Couillard déçoit en la matière, lui qui avait promis de diriger le gouvernement le plus transparent de l’histoire. Le projet de loi de la CAQ assurera ainsi aux Québécois de mieux comprendre où va leur argent et, surtout, s’il est utilisé à bon escient par le gouvernement du Québec.

Réseau électrique Métropolitain : Philippe Couillard est isolé


 Publié le 14 juin 2017

Lorsqu’un gouvernement injecte des milliards d’argent public dans un projet, il a le devoir de poser des conditions pour assurer la prospérité des entreprises québécoises, a souligné le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, qui a talonné une fois de plus Philippe Couillard sur la nécessité d’exiger un contenu local dans les projets de transport collectif.

Philippe Couillard est de plus en plus isolé dans ce dossier. Alors que lundi, des entrepreneurs et élus locaux de La Pocatière manifestaient contre la position du gouvernement libéral, c’est au tour mercredi du président des Manufacturiers et Exportateurs du Québec, Éric Tétrault, de dénoncer l’absence d’exigence de contenu local dans le projet de Réseau électrique Métropolitain.

Pour François Legault, il est grand temps pour le premier ministre de comprendre enfin que sans aucune obligation de fabriquer au Québec, ce sont des entreprises détenant des installations ailleurs dans le monde qui décrocheront les contrats de fabrication et d’assemblage. Un non-sens, selon le chef caquiste, alors que la compétition s’annonce féroce au cours des prochaines années dans le secteur manufacturier, en particulier avec la Chine et les États-Unis.

Tarifs de garderie : La taxe libérale afflige des milliers de familles québécoises


 Publié le 14 juin 2017

Les familles du Québec ont toutes les raisons d’être en colère, a affirmé la députée de Mirabel pour la Coalition Avenir Québec, Sylvie D’Amours, alors qu’elles apprennent aujourd’hui que le gouvernement de Philippe Couillard a pigé près de 130 millions de dollars dans leurs poches en 2016, suite à la modulation des tarifs dans les garderies. Pire : ce montant, qui est déjà supérieur de 22 millions par rapport à 2015, risque d’augmenter, puisque ce ne sont pas tous les Québécois qui ont terminé de soumettre leur rapport d’impôt.

Pour Sylvie D’Amours, les familles québécoises ont été la cible d’une attaque vicieuse du gouvernement libéral, puisque c’est Philippe Couillard lui-même qui a imposé un choc tarifaire dès son élection aux parents dont les enfants fréquentent un service de garde subventionné. La situation est d’autant plus aberrante, puisqu’en campagne électorale, il avait promis de ne pas augmenter les tarifs de garderie au-delà de l’inflation.

Cette taxe libérale cachée fait rager les Québécois, qui n’hésiteront pas à montrer leur insatisfaction et leur ras-le-bol face au gouvernement libéral lors des prochaines élections, a soutenu le caquiste.

Mme D’Amours a rappelé qu’à cause de Philippe Couillard, en plus de la contribution de base de 7,75 $ par jour, les familles à moyens et hauts revenus doivent ajouter une contribution additionnelle pouvant aller jusqu’à 20 $ par jour.