Investissement majeur possible chez Alcoa : Philippe Couillard doit s’impliquer rapidement et prendre en main le dossier


 Publié le 11 août 2016

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est ressorti inquiet d’une visite de plus de deux heures à l’usine Alcoa de Deschambault, dans le cadre de sa tournée «Debout pour le Québec». Il ne s’explique pas le peu d’intérêt du gouvernement pour le développement de l’industrie de l’aluminium au Québec.

«La multinationale attend un signal clair de ce gouvernement afin de prendre des décisions importantes sur ses investissements au Québec», affirme François Legault. Il déplore l’impasse dans laquelle se trouvent les négociations entre le gouvernement et la multinationale. «Le Premier ministre doit immédiatement saisir la balle au bond et faire preuve de leadership», a poursuivi le chef de la CAQ.

François Legault soutient que des investissements majeurs et créateurs d’emplois bien rémunérés pourraient résulter de l’implication du Premier ministre. «À condition qu’il mobilise Hydro-Québec et Investissements Québec, Alcoa envisagerait faire des investissements majeurs chez nous. Les emplois créés profiteraient à notre économie et à toute la communauté.»

Un tel investissement renforcerait inévitablement les liens entre Alcoa et le Québec. D’ailleurs, en mai dernier, le vice-président exécutif de la multinationale affirmait «réfléchir aux emplacements de ses bureaux administratifs» dans l’éventualité d’un tel renforcement. « Notre économie a un besoin criant d’attirer des sièges sociaux afin de maintenir chez nous les prises de décisions; récupérer celui d’Alcoa serait en ce sens un retour du balancier salutaire après la perte du siège social d’Alcan», dit François Legault.

Le chef de la CAQ conclut en pressant le Premier ministre Couillard de s’impliquer personnellement dans le dossier. «Il doit passer à l’action pour que les négociations débloquent; il ne doit pas laisser passer cette occasion. Il doit s’impliquer rapidement et prendre en main le dossier».

Financement d’Hydrocarbures Anticosti SEC : La CAQ dénonce une autre bourde des libéraux à l’international


 Publié le 15 juillet 2016

Alors que la ministre libérale de l’Économie, Dominique Anglade, refuse toujours de retirer ses propos sur le financement d’Hydrocarbures Anticosti SEC, la députée caquiste de Saint-Hyacinthe et porte-parole en matière d’énergie, Chantal Soucy, souligne avec consternation que le gouvernement libéral trouve toujours le moyen de se mettre les pieds dans les plats lors d’importantes missions économiques à l’étranger.

Encore une fois, c’est le projet sur l’île d’Anticosti qui est la cible de l’improvisation des libéraux. Après Philippe Couillard en décembre dernier à Paris, c’était au tour de la ministre Dominique Anglade, jeudi à Munich, de dérailler publiquement en affirmant que la société en commandite Hydrocarbures Anticosti SEC dispose de toutes les ressources financières pour effectuer ses travaux de forage prévus cet été. Or, Pétrolia est devant les tribunaux pour forcer Ressources Québec, filiale d’Investissement Québec (IQ), de respecter sa part du contrat, sans quoi elle ne pourra plus mener le projet.

« Dominique Anglade démontre encore une fois qu’elle ne connait pas ses dossiers. Elle a été immédiatement rabrouée devant l’ensemble de la classe d’affaires internationale par ni plus ni moins que par le président-directeur général d’IQ, Pierre Gabriel Côté… société d’État dont elle est la responsable! Quelle belle image du Québec les libéraux sont en train de vendre à l’international! Qui est aux commandes? Qui tient les rênes du projet au juste? » questionne Chantal Soucy.

Pour la députée de Saint-Hyacinthe, Mme Anglade n’a pas d’autre choix que de se rétracter. Il en va de sa crédibilité et de son leadership au sein de son propre ministère. Si elle refuse de corriger le tir, cela ne fera que démontrer que le gouvernement tente en coulisse de mettre fin au contrat signé par le Parti québécois en 2014. « Lorsque vient le moment de bloquer ce projet, le gouvernement libéral ne manque pas d’imagination! Ce qui est certain, c’est que le PLQ n’est plus le parti de l’économie. Nous sommes au stade de l’exploration : est-ce qu’on peut aller au bout de cette étape afin de prendre une décision éclairée par la suite? Il n’est pas question de donner carte blanche à l’exploitation sans cette étape préalable, mais pourquoi le gouvernement Couillard, encore une fois, essaie de trouver une porte de sortie et alimente davantage les craintes des investisseurs étrangers? » lance Chantal Soucy.

Un autre fleuron québécois passe à des mains étrangères


 Publié le 11 juillet 2016

Nous avons appris en fin de semaine qu’un an avant de fêter son 50e anniversaire, l’entreprise beauceronne Texel a été vendue à la compagnie américaine Lydall, établie au Connecticut, pour la somme de 96 millions $ US.

Texel est une entreprise nichée dans le géotextile et le géosynthétique depuis 1967.

En plus de l’usine de Saint-Elzéar qui représente environ 200 emplois, Lydall acquiert deux autres installations de fabrication de Texel au Québec ainsi qu’un centre de distribution. Au total, la transaction touche plus 300 employés au Québec.

Pour François Legault, avec le taux de change du dollar canadien par rapport au dollar américain et avec la retraite des baby boomers propriétaires, il devient urgent que le gouvernement du Québec se dote d’un plan pour arrêter la perte de sièges sociaux québécois.

«Les sièges sociaux sont très importants pour le niveau de richesse. Ils offrent des emplois de qualité et permettent à des fournisseurs et consultants d’obtenir des contrats importants. Un mandat spécial et un fonds spécial devraient être confiés à Investissement Québec pour faire une veille sur les sièges sociaux québécois qui risquent d’être vendus au cours des prochaines années », soutient le chef de la CAQ.

Perte de 11 200 emplois en juin : Les libéraux s’éloignent de plus en plus de leur promesse électorale


 Publié le 8 juillet 2016

Malgré les beaux discours de Philippe Couillard, la performance économique du Québec reste très timide et les résultats dévoilés aujourd’hui démontrent qu’après plus de deux ans de gouvernement libéral, l’emploi est encore très volatile, déplore le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’économie, André Lamontagne, alors que Statistique Canada révèle vendredi matin que le Québec a perdu 11 200 emplois en juin, dont 27 400 à temps plein.

« Au cours de la dernière année, il ne s’est créé que 33 300 emplois au Québec, presque deux fois moins qu’en Ontario. Depuis l’arrivée en poste du gouvernement Couillard, on en compte seulement 47 100. Soyons honnêtes : nous sommes très loin des grandes promesses libérales de la dernière campagne électorale, lorsqu’ils promettaient main sur le cœur 250 000 emplois sur 5 ans! Le Québec a pourtant tout pour réussir, nous pouvons faire tellement mieux, mais pour cela, il faut une vision et de l’ambition; deux éléments qui malheureusement manquent cruellement à notre gouvernement », a déclaré André Lamontagne.

« Après 13 années de monopole libéral, les gens comprennent malheureusement que le gouvernement Couillard ne parviendra pas à relancer l’économie, à générer davantage de revenus et à créer de la richesse pour l’ensemble du Québec. Pendant ce temps, le fardeau fiscal des familles a augmenté en moyenne de 1 300 $. La classe moyenne a largement fait sa part, c’est au tour du gouvernement d’honorer ses engagements et de relancer notre économie », conclut André Lamontagne.

Un surplus budgétaire réalisé sur le dos des contribuables, dénonce la CAQ


 Publié le 6 juillet 2016

Le ministre des Finances, Carlos Leitão, aurait dû se garder une petite gêne avant de déclarer, sourire aux lèvres, que l’ensemble des surplus budgétaires générés par le gouvernement sera appliqué au remboursement de la dette, a indiqué le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de finances publiques, François Bonnardel. En effet, M. Leitão n’est pas sans savoir que c’est encore et toujours le contribuable québécois qui est passé à la caisse, par l’entremise de hausses de taxes et de tarifs démesurées.

« C’est simple : ce sont les Québécois qui ont payé le retour à l’équilibre budgétaire des libéraux. Au cours des deux dernières années, Philippe Couillard et son soi-disant trio économique ont été incapables de remplir les coffres de l’État en relançant l’économie. Le gouvernement libéral est déconnecté, usé, fatigué. Encore ce matin, à l’entrée au Conseil des ministres, Carlos Leitão a dit qu’“habituellement”, les surplus budgétaires sont affectés au remboursement de la dette. Une fois de plus, il a été vite en affaires et a manqué de respect envers les Québécois. Le ministre devrait savoir qu’habituellement, un gouvernement responsable n’étouffe pas les contribuables comme les libéraux l’ont fait. Les Québécois ne sont pas dupes des manœuvres libérales douteuses et purement électoralistes et ils savent très bien que les surplus ont été directement puisés dans leurs poches », a déclaré François Bonnardel.

Le député de Granby a tenu à rappeler que le fardeau fiscal des Québécois a augmenté en moyenne de 1 300 $ par famille depuis l’arrivée des libéraux de Philippe Couillard au pouvoir. Hausse des tarifs de garderies et d’électricité, taxe sur l’essence, taxes municipales et scolaires : toutes les raisons ont été bonnes pour saigner les contribuables, a regretté François Bonnardel. « Il faut donner de l’oxygène aux contribuables québécois, mais on ne peut plus faire confiance du tout aux libéraux. Après 13 années au pouvoir, les Québécois savent qu’ils ne peuvent pas compter sur eux pour réduire leur compte de taxes. La CAQ, contrairement au Parti libéral, a toujours été opposée à toute hausse de taxes et de tarifs au-dessus de l’inflation. On a même réclamé l’hiver dernier une baisse d’impôts de 1000 $ par famille pour relancer la consommation des ménages, mais le gouvernement n’a rien voulu savoir. Les Québécois s’en souviendront en 2018 », a conclu le leader de la CAQ.

Vente de RONA : Philippe Couillard n’a même pas questionné Jacques Daoust


 Publié le 7 juin 2016

Non seulement Philippe Couillard estime qu’il est normal qu’Investissement Québec ait vendu ses actions dans RONA sans avoir eu l’autorisation du gouvernement, mais il ne juge pas nécessaire de questionner son ministre des Transports, Jacques Daoust, à la suite des révélations-chocs de l’ancien président de RONA, Robert Dutton. Pour le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, voici la preuve concrète que le premier ministre est totalement indifférent quant à l’avenir des sièges sociaux québécois. Or, cette indifférence libérale a causé la vente de RONA, une grande entreprise québécoise.

« Le premier ministre donne l’exemple de tout ce qu’il ne faut pas faire en économie. Il a même inventé une nouvelle théorie économique en disant qu’“acheter, c’est prendre un risque et vendre, c’est se libérer d’un risque”. On peut apprécier à quel point le premier ministre ne comprend pas l’économie, mais le rôle du gouvernement c’est de favoriser le développement économique. Tout cela prouve à quel point Raymond Bachand avait raison : avec Philippe Couillard comme chef du Parti libéral, le nouveau parti de l’économie, c’est la CAQ. Mais le comble, c’est que malgré le témoignage de l’ex-président de RONA, M. Dutton, le premier ministre n’a même pas questionné le ministre des Transports sur sa version des faits! » a vivement dénoncé François Legault, ajoutant que M. Couillard n’a même pas voulu condamner les propos de son ministre.

Le député de L’Assomption a rappelé que les allégations sont graves : selon l’ex-président de RONA, Jacques Daoust a dit qu’il ne voulait « rien savoir » de l’entreprise. Avec la tâche de premier ministre vient la responsabilité de protéger les fleurons de l’économie du Québec. « Le premier ministre doit questionner son ministre des Transports. Si ces révélations sont vraies, il doit le démettre de ses fonctions », a réitéré François Legault.

Vente des actions de RONA: François Legault dénonce l’indifférence de Philippe Couillard


 Publié le 3 juin 2016

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, ainsi que son leader parlementaire, François Bonnardel, ont talonné les libéraux pour une deuxième journée consécutive au sujet du rôle joué par Jacques Daoust dans la vente des actions de RONA par Investissement Québec. Lors de la période des questions à l’Assemblée nationale, le chef caquiste a notamment dénoncé l’indifférence et la nonchalance de premier ministre Couillard dans un dossier aussi important que la vente d’une grande entreprise québécoise.

En chambre, le premier ministre a déclaré ne pas juger important que son gouvernement soit consulté dans des transactions importantes comme la vente des actions de RONA. « On a perdu une grande entreprise québécoise et encore une fois, le premier ministre montre son indifférence. Moins il en sait, mieux il se porte. Comme son ministre des Transports! Le premier ministre doit s’intéresser à la propriété des entreprises québécoises! », a lancé le chef caquiste.

« Avec ses trous de mémoire, le ministre des Transports aurait certes fait un excellent témoin à la commission Charbonneau. Ce ministre doit démissionner! », a pour sa part lancé le leader parlementaire de la CAQ. Il a de plus réclamé que comparaissent en commission parlementaire l’ancien et le nouveau PDG d’Investissement Québec, la porte-parole de l’organisme, ainsi que l’ex-chef de cabinet de Jacques Daoust, Pierre Ouellet.

Exploration pétrolière et gazière au Québec : Le virage vert de Philippe Couillard nuit à l’industrie


 Publié le 1 juin 2016

Il est temps pour Philippe Couillard de réaliser que ses paroles ont beaucoup plus de poids qu’il ne le pense. Alors que l’entreprise Squatex évalue que le sous-sol de la Mitis contiendrait plus de 52 millions de barils de pétrole, ce n’est pas demain la veille que les travaux d’exploration débuteront. Pour principale cause : les déclarations et l’ingérence du premier ministre qui, depuis décembre dernier, font fuir les investisseurs potentiels, locaux comme étrangers.

La porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’énergie, Chantal Soucy, a accueilli mercredi à l’Assemblée nationale le directeur de développement de Squatex, Mario Lévesque, qui a partagé avec la députée la difficulté pour son entreprise de trouver un seul partenaire financier, puisque la grande majorité du milieu pétrolier et gazier estime qu’investir au Québec est une aventure trop risquée.

« Selon les résultats d’études menées par l’entreprise au cours des dernières années, le sous-sol de la Mitis pourrait contenir jusqu’à 10 millions de barils de pétrole par kilomètre carré. C’est deux fois le potentiel évalué sur l’île d’Anticosti! La compagnie parle d’une des découvertes les plus importantes faites à ce jour. Elle est à l’étape de trouver du financement, mais elle se fait revirer de bord parce qu’elle est située au Québec, sous un gouvernement libéral, avec un premier ministre qui a la réputation d’être contre toute exploitation de pétrole sur le territoire. On voit les conséquences des gestes et des paroles du premier ministre : on nous fuit comme la peste », a regretté Chantal Soucy, lors de la période des questions.

Nonobstant le contexte mondial et le prix de l’énergie sur les marchés, la députée de Saint-Hyacinthe a demandé au ministre de l’Énergie de rassurer l’industrie, en déclarant haut et fort que le Québec est intéressé aux investissements pétroliers et gaziers. Pierre Arcand a refusé de le faire. « Ce n’est plus un secret pour personne que l’économie, ce n’est pas la passion de ce gouvernement. Il est contre Anticosti, contre Old Harry. À force de tourner en rond, les libéraux étourdissent le milieu des affaires. M. Arcand : vous êtes ministre des Ressources naturelles, pas un ministre délégué à l’Environnement. Il est temps pour vous de reprendre les commandes de votre ministère. Les entreprises cherchent du financement à l’international. Quand allez-vous enfin leur ouvrir les portes de notre économie? » a lancé Chantal Soucy.

Stratégie aérospatiale : Aucun emploi créé depuis 10 ans


 Publié le 31 mai 2016

Le gouvernement libéral n’a pas créé un seul emploi en aérospatiale depuis la présentation de sa première stratégie en 2006, a dévoilé mardi François Legault à l’Assemblée nationale. Malgré ce constat, le premier ministre Philippe Couillard a refusé de chiffrer sa cible de création d’emplois au cours des deux prochaines années dans la foulée du dépôt d’un nouveau plan d’action.

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a rappelé qu’en 2006, au moment où le ministre libéral Raymond Bachand a présenté sa stratégie, le Québec comptait 40 000 emplois dans le secteur aérospatial. Dix ans plus tard, le portrait n’a pas bougé d’un pouce. « Pendant ce temps-là, le gouvernement multiplie les discours et la ministre de l’Économie présente un nouveau plan stratégique pour l’aérospatial jusqu’en 2026, sans aucun objectif de création d’emplois. Or savez-vous combien il s’est créé d’emplois dans le secteur aérospatial depuis 10 ans? Aucun en 10 ans. Zéro! L’économie, ce n’est pas théorique. Pour créer des emplois, il faut aller chercher des investissements des entreprises un par un. Au cours des 12 derniers mois, il s’est perdu 9 500 emplois! On est loin de la promesse libérale. La tendance est très mauvaise », a déclaré François Legault, lors de la période des questions.

Le député de L’Assomption a dénoncé la nonchalance de Philippe Couillard dès qu’il est question d’économie. Après deux années de mandat, il n’a aucune ambition pour la création de richesse. La stratégie aérospatiale présentée lundi, sans cible de création d’emplois, est un autre aveu d’échec, a regretté François Legault. « Le premier ministre peut bien faire de beaux discours en économie et imprimer du papier, les résultats ne sont pas plus là. Est-il un acteur ou un spectateur en économie? La réalité, c’est que depuis 10 ans, les libéraux tournent en rond », a conclu le chef caquiste.

9 500 emplois perdus en un an : Philippe Couillard est dans le déni


 Publié le 10 mai 2016

Il ne fait plus aucun doute : les principales faiblesses de Philippe Couillard sont l’économie et la création d’emplois, a constaté le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, à la suite de la période des questions.

Le bilan économique libéral est désastreux. En un an, le Québec a perdu 9 500 emplois, alors qu’il s’en est créé 95 000 en Ontario pour la même période. Au pouvoir depuis deux ans, Philippe Couillard continue de défendre un vieux modèle qui, depuis près de 12 ans, ne donne pas les résultats escomptés. Malgré les chiffres indéniables qui lui sont présentés, le premier ministre a refusé de reconnaître que le Québec a un problème de création d’emplois.

« Mois après mois, on peut constater une chose : l’échec continu du gouvernement libéral à créer des emplois. Le constat est brutal pour le gouvernement libéral : durant la dernière année, le Québec a perdu 9 500 emplois. Le premier ministre parle, parle, jase, jase, mais les faits sont têtus : l’économie du Québec ne va pas bien! Pourtant, le premier ministre a promis en campagne électorale de créer 250 000 emplois sur 5 ans. Il peut bien continuer à dire qu’il va atteindre son objectif, mais la réalité est que sa théorie ne fonctionne pas. Les résultats ne sont pas là », a souligné François Legault.

Contrairement aux libéraux, la CAQ a fait plusieurs propositions ambitieuses afin de relancer l’économie du Québec, notamment :
– Remplacer des crédits d’impôt aux entreprises par de l’aide directe en échange de garanties d’emplois;
– Créer des zones d’innovation en mettant à contribution nos universités;
– Demander à Investissement Québec de protéger nos sièges sociaux.

« Pendant ce temps, le premier ministre se réjouit des chiffres sur l’emploi. Je comprends que l’économie, ce n’est pas sa force ni sa passion, mais je refuse de voir le Québec perdre 9 500 emplois en une année. Le premier ministre est résigné. Quel manque d’ambition! » a déploré le député de L’Assomption.