Annonce de la candidate de la CAQ dans Jean-Lesage : Christiane Gamache fait le saut en politique avec l’équipe du changement


 Publié le 8 décembre 2017
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est heureux d’annoncer que Christiane Gamache, qui a fait carrière dans le réseau de l’éducation, portera fièrement les couleurs de sa formation politique dans la circonscription de Jean-Lesage lors des prochaines élections générales.

« Vous savez tous l’importance que la CAQ et moi-même accordons à l’éducation. Christiane Gamache a justement travaillé pour nos enfants pendant 35 ans. J’ai un énorme respect pour elle et pour tous les enseignants qui, quotidiennement, aident nos jeunes à atteindre leur plein potentiel », a indiqué François Legault.

L’éducation, une priorité

La nouvelle candidate de la CAQ, spécialiste en éducation, est une femme de terrain et d’action. Elle en fait preuve chaque jour par son implication active dans sa communauté. « Je collabore et participe à de nombreux comités locaux afin de mieux comprendre les enjeux et besoins en lien avec la famille, la santé, l’éducation et l’économie du milieu. Je souhaite résolument contribuer à apporter un vent de changement dans notre société en me lançant en politique provinciale. Ce défi répond à mon désir d’améliorer la qualité et les conditions de vie des familles en favorisant le mieux vivre ensemble dans un environnement sain et sécuritaire », annonce la nouvelle candidate de la CAQ.
« Mes nombreuses années de vie professionnelle dans le milieu de l’éducation m’ont permis d’acquérir une grande expertise dans différents domaines tels que la pédagogie, la gestion participative et proactive, l’administration, l’évaluation et le développement. La réussite éducative de tous a toujours fait partie intégrante de mes grandes préoccupations. La CAQ répond en tout point à mes convictions les plus chères, soit d’améliorer le système d’éducation et de venir en aide aux familles », poursuit Christiane Gamache.

L’équipe du changement prend forme

« On ne se le cachera pas, dans l’arrondissement Limoilou, il y a de la pauvreté et aussi de l’exclusion sociale de nos aînés. Pourtant, il y a eu des coupures de budget. Il faut s’attaquer à ces problèmes, et les résoudre. Il faut absolument du changement. À la Coalition Avenir Québec, notre but est de rassembler les Québécois pour préparer l’avenir. Et pour y parvenir, il faut doter le Québec de l’équipe du changement qu’est la CAQ », conclut-elle.

Accès à un médecin de famille : Des délais de plus de 48 h pour 2 aînés sur 3


 Publié le 8 décembre 2017
 

Les deux tiers des aînés au Québec ne parviennent pas à consulter un médecin ou une infirmière en moins de 2 jours selon une enquête internationale publique publiée par le Commissaire à la santé et au bien-être, a dénoncé vendredi le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault. Cette proportion est nettement inférieure qu’en Ontario et les 11 pays étudiés par le Commissaire, a noté le chef de la CAQ lors de la période des questions à l’Assemblée nationale.

Après 15 années de gouvernement libéral, les Québécois doivent encore se battre pour voir un médecin de famille dans des délais raisonnables. Philippe Couillard a beau se vanter d’avoir fourni un médecin de famille des milliers de Québécois, mais à quoi sert d’avoir un médecin de famille s’il n’est pas disponible quand on est malade, a lancé le chef de la CAQ.

François Legault a rappelé les mesures proposées par la CAQ afin que les patients malades ne se retrouvent plus aux urgences pour faire soigner des petits problèmes de santé alors qu’ils devraient facilement pouvoir consulter un médecin :

  • Réviser le mode de rémunération des médecins ;
  • Accepter que plus d’actes soient délégués à des infirmières ;
  • Augmenter les heures d’ouverture des Groupes de médecine familiale (GMF)

Congrès de l’UPA : Un gouvernement de la CAQ agira en agriculture pour créer de la richesse partout au Québec


 Publié le 7 décembre 2017
 

Finis les comités, les tables d’experts, les forums et les consultations : un gouvernement de la Coalition Avenir Québec dirigé par François Legault, fera du domaine agroalimentaire un des plus grands moteurs de notre économie. Voilà le message qu’a lancé le chef de la CAQ, François Legault, lors d’une allocution devant les membres de l’Union des producteurs agricoles, réunis en congrès mercredi.

Accompagné de sa porte-parole en matière d’agriculture, Sylvie D’Amours, François Legault a réitéré sa promesse de mettre sur pied un fonds d’au moins 50 millions de dollars pour augmenter les investissements privés en agriculture. Après près de 15 années de règne libéral, où tous les dossiers stratégiques ont pris la poussière, il est essentiel de stimuler la production et la transformation agroalimentaire par tous les moyens. L’aide promise par la CAQ permettra aux agriculteurs qui n’en ont pas les moyens de s’acheter de nouveaux équipements et d’augmenter ainsi leur productivité.

 Pour accompagner cette transformation et percer de nouveaux marchés, il faut aider nos producteurs à innover et à saisir les opportunités d’affaires. Or, sous les libéraux, le Québec est en train de prendre un retard considérable par rapport au reste du Canada, a déploré le chef de la CAQ.

 Legault s’est également engagé à créer un département chez Investissement Québec spécialisé en agriculture, qui aidera les projets au mérite, ainsi qu’à obliger les institutions publiques qui offrent un service alimentaire de s’approvisionner d’abord auprès des producteurs locaux.

Commerce interprovincial : Philippe Couillard fait un autre flip-flop


 Publié le 7 décembre 2017
 

Le gouvernement libéral de Philippe Couillard a bloqué une motion de la Coalition Avenir Québec visant à ce que le gouvernement du Québec adhère au libre-échange interprovincial, y compris dans ses représentations judiciaires qui se déroulent actuellement devant la Cour suprême sur un cas spécifique sur le transport d’alcool.

Le leader parlementaire de la CAQ, François Bonnardel, a dénoncé la volte-face du premier ministre Couillard qui, le 21 juillet dernier, en marge du Conseil de la fédération, annonçait qu’une ouverture des frontières à l’alcool était imminente. « En même temps qu’on négocie des accords de commerce avec les autres pays du monde, on devrait être capables d’en avoir un entre nous », avait déclaré Philippe Couillard. Jeudi, on apprend toutefois que le procureur du gouvernement du Québec plaide contre un libre-échange de l’alcool et va jusqu’à affirmer qu’une telle entente irait à l’encontre de la fédération canadienne.

Une fois de plus, l’improvisation libérale nuit aux consommateurs québécois. Le député Bonnardel a fait savoir qu’une entente visant à améliorer le commerce avec les autres provinces canadiennes ne pourra être que bénéfique pour les Québécois. La motion de la CAQ se lisait comme suit : « Que l’Assemblée nationale demande au gouvernement du Québec d’adhérer et de prôner le libre-échange interprovincial pleinement et sans contraintes, y compris dans ses représentations judiciaires. »

Loterie vidéo : Carlos Leitão refuse de dévoiler le nombre d’appareils retirés


 Publié le 7 décembre 2017
 

Bien qu’il ait pris l’engagement formel de faire retirer 1100 appareils de loterie vidéo sur les 11 000 installés au Québec, le ministre des Finances, Carlos Leitão, n’entend pas dévoiler le nombre d’appareils qui ont été retirés jusqu’à maintenant.

Le leader parlementaire de la Coalition Avenir Québec, François Bonnardel, a adressé une demande d’accès à l’information à Loto-Québec dans laquelle il désirait connaître le nombre d’appareils qui ont été retirés au cours de la dernière année. La société d’État a refusé de partager ces données, ni même de préciser le nombre d’appareils de loterie vidéo retiré dans le cadre du programme de retrait volontaire et le nombre d’exploitants qui ont obtenu une compensation financière pour retirer des appareils. Le ministre Leitão, lui, s’est défendu en disant qu’il est impossible de faire un bilan du programme, puisque celui-ci s’échelonne sur 2 ans. C’est d’une absurdité totale, a réagi M. Bonnardel.

Pour le député de Granby, il est primordial d’avoir un portrait de la situation compte tenu de la sensibilité du dossier. Alors que le jeu pathologique ruine carrément des vies et brise des familles, le gouvernement libéral tolère que ces chiffres soient gardés dans le plus grand secret.

UPAC : Philippe Couillard refuse toujours un vote aux deux tiers


 Publié le 6 décembre 2017
 

Philippe Couillard ne voit toujours aucun intérêt à ce que le commissaire de l’UPAC soit nommé aux deux tiers de l’Assemblée nationale. Son entêtement ne fait que fragiliser davantage la confiance des Québécois envers nos institutions, a dénoncé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

L’UPAC a un gros travail de crédibilité à faire au cours des prochains mois, a souligné M. Legault. Une des manières concrètes de rétablir la confiance des Québécois en l’UPAC, c’est que ce soit l’Assemblée nationale, et non le gouvernement en place, qui désigne son commissaire. En refusant cette simple proposition, Philippe Couillard donne toutes les raisons aux Québécois de croire que son gouvernement souhaite conserver un levier d’influence sur le patron de l’UPAC.

Le chef de la CAQ a également dénoncé le manque de courage de Philippe Couillard, qui refuse d’imposer à l’UPAC une transparence irréprochable. En effet, pas plus tard que mardi, le gouvernement libéral a voté une fois de plus contre une motion de la CAQ exigeant que l’UPAC remette ses rapports sur son climat de travail. Pour le chef caquiste, il est impératif que les problèmes internes de l’UPAC ne retardent pas l’enquête sur le financement illégal du Parti libéral.

Agriculture : Le cannabis vendu par Québec devrait provenir des producteurs québécois, estime la CAQ


 Publié le 6 décembre 2017
 

Si le cannabis est pour être considéré comme un produit agricole, comme le laisse entendre le fédéral, il faut que les producteurs du Québec reçoivent un message clair du gouvernement de Philippe Couillard à l’effet que le cannabis vendu au Québec sera produit au Québec, a déclaré la porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’agriculture, Sylvie D’Amours.

Les autres provinces canadiennes n’ont pas l’intention de manquer le train, a souligné la caquiste. Pour preuve : l’Ontario compte déjà 38 producteurs de cannabis, alors que le Québec n’en a que 2 pour le moment. Il est clair que si on ne donne pas la priorité aux agriculteurs et producteurs québécois, d’autres provinces combleront les besoins du Québec, a prédit Sylvie D’Amours.

La députée de Mirabel a convenu que la décision de légaliser le cannabis n’est pas idéale. Toutefois, face à cette décision d’Ottawa, il est de la responsabilité du gouvernement du Québec d’appuyer nos producteurs agricoles et de leur offrir de nouvelles opportunités d’affaires. Mais pour cela, ça prend un signal clair du ministre Laurent Lessard, sans quoi peu oseront investir dans le développement d’une production de cannabis. D’ailleurs, mercredi, des producteurs en commission parlement ont confirmé que Laurent Lessard ne les avait toujours pas interpellés à ce sujet.

La victoire des Lauréats soulignée à l’Assemblée nationale


 Publié le 6 décembre 2017
 

À la suite de la victoire des Lauréats du Cégep de Saint-Hyacinthe au championnat provincial de football, la députée Chantal Soucy a tenu à féliciter l’équipe, ce matin, dans une déclaration prononcée à l’Assemblée nationale.

« Par le passé, je me suis souvent levée en chambre pour vanter le Cégep de Saint-Hyacinthe, qui fait la fierté de notre région », a débuté Chantal Soucy. « Cette fois-ci, j’ai le plaisir de souligner les prouesses de son équipe de football, qui a récemment remporté le prestigieux Bol d’Or. Après seulement quatre années d’existence, l’équipe des Lauréats a réussi à se démarquer parmi toutes les autres équipes collégiales à travers le Québec », a-t-elle poursuivi. « C’est grâce à la détermination des joueurs, à la compétence de leurs entraîneurs et au soutien de la direction du Cégep de Saint-Hyacinthe que nous pouvons nous joindre à eux, aujourd’hui, pour célébrer cette grande victoire », a souligné Chantal Soucy.

Le joueur Émile Grenier a assisté à la déclaration, accompagné de ses deux entraîneurs, Sébastien Deschamps et Sébastien Blanchette, ainsi que du directeur des études et de la vie étudiante du Cégep de Saint-Hyacinthe, Pierre Leblanc. Ils ont ensuite pu rencontrer leur députée et échanger avec elle, à la suite de la période de questions et réponses orales.

 

Congrès de l’UPA : Un gouvernement de la CAQ agira en agriculture pour créer de la richesse partout au Québec


 Publié le 6 décembre 2017
 

Finis les comités, les tables d’experts, les forums et les consultations : un gouvernement de la Coalition Avenir Québec dirigé par François Legault, fera du domaine agroalimentaire un des plus grands moteurs de notre économie. Voilà le message qu’a lancé le chef de la CAQ, François Legault, lors d’une allocution devant les membres de l’Union des producteurs agricoles, réunis en congrès mercredi.

Accompagné de sa porte-parole en matière d’agriculture, Sylvie D’Amours, François Legault a réitéré sa promesse de mettre sur pied un fonds d’au moins 50 millions de dollars pour augmenter les investissements privés en agriculture. Après près de 15 années de règne libéral, où tous les dossiers stratégiques ont pris la poussière, il est essentiel de stimuler la production et la transformation agroalimentaire par tous les moyens. L’aide promise par la CAQ permettra aux agriculteurs qui n’en ont pas les moyens de s’acheter de nouveaux équipements et d’augmenter ainsi leur productivité.

Pour accompagner cette transformation et percer de nouveaux marchés, il faut aider nos producteurs à innover et à saisir les opportunités d’affaires. Or, sous les libéraux, le Québec est en train de prendre un retard considérable par rapport au reste du Canada, a déploré le chef de la CAQ.

M. Legault s’est également engagé à créer un département chez Investissement Québec spécialisé en agriculture, qui aidera les projets au mérite, ainsi qu’à obliger les institutions publiques qui offrent un service alimentaire de s’approvisionner d’abord auprès des producteurs locaux.

Lutte contre l’intimidation : La CAQ veut un Protecteur de l’élève national, accessible et indépendant


 Publié le 5 décembre 2017
 

 Alors que des histoires d’intimidation dans nos écoles refont malheureusement surface, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, demande au ministre Sébastien Proulx de donner enfin suite à une de ses propositions, soit celle d’instaurer un Protecteur de l’élève national, doté de bureaux régionaux accessibles et indépendants des commissions scolaires, dans le but d’assurer un traitement plus rapide, juste et équitable des plaintes.

Les parents du Québec doivent savoir qu’ils ont quelqu’un sur qui s’appuyer. Actuellement, les parents et leurs enfants victimes d’intimidation sont trop souvent laissés à eux-mêmes.

Le député caquiste a fait cette annonce en compagnie de trois mères de famille, dont les enfants ont été victimes d’intimidation. Selon elles, l’un des problèmes réside dans le fait que le ministère de l’Éducation n’a comme mandat que de vérifier si les écoles privées possèdent bel et bien un plan d’action, sans toutefois juger ni évaluer sa mise en œuvre, ni intervenir quand c’est nécessaire.

Compte tenu des réalités d’aujourd’hui, Jean-François Roberge affirme que cette manière de gérer les cas d’intimidation dans nos écoles est dépassée. La CAQ propose de remplacer les Protecteurs de l’élève des commissions scolaires par des bureaux régionaux, afin de renforcer le mécanisme de plainte et de résolution de conflit. Si on veut véritablement lutter contre l’intimidation au Québec, il faut poser des gestes concrets. Si l’on maintient des Protecteurs de l’élève soumis aux commissions scolaires d’un côté et absent des écoles privées de l’autre, nous n’atteindrons jamais cet objectif, avertit le député de Chambly.