Épidémie de feu bactérien : La CAQ s’impatiente au nom des producteurs agricoles


 Publié le 20 juillet 2016
 

La députée de Mirabel et porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’agriculture, Sylvie D’Amours, déplore le laxisme du gouvernement libéral et l’absence de gestes concrets mis en place pour mettre un frein à l’épidémie de feu bactérien qui ravage actuellement de nombreux vergers dans la région des Laurentides.

Malgré les demandes formulées par la caquiste, des actions du MAPAQ se font toujours attendre, ce qui démontre selon Sylvie D’Amours que les agriculteurs ne sont clairement pas une priorité pour le ministre Pierre Paradis.

« J’ai discuté avec le ministre Pierre Paradis le 8 juillet dernier. Plus de 10 jours sont passés et c’est silence radio. M. Paradis trouvait intéressante ma proposition d’envoyer rapidement des émondeurs du MAPAQ dans les vergers pour tenter de limiter les dégâts et couper les branches déjà contaminées, mais personne ne s’est encore présenté sur les terres de nos agriculteurs. La période estivale est courte et d’une importance cruciale pour nos agriculteurs. Pourquoi ne pas passer à l’action dès maintenant? Il faut les soutenir! » exhorte à nouveau Sylvie D’Amours.

La députée de Mirabel tient à rappeler qu’elle a notamment exigé du ministre de l’Agriculture que la facture liée au combat du feu bactérien ne soit pas refilée aux pomiculteurs. « Pierre Paradis doit trouver les sommes nécessaires pour éliminer la présence de la brûlure bactérienne et ne pas choisir l’option facile : imposer des dépenses importantes et surtout imprévues aux producteurs. Les pomiculteurs vivent des moments très difficiles et sont épuisés. J’invite le ministre à m’accompagner et à venir rencontrer ces hommes et ces femmes qui collaborent au succès de notre économie. La crainte que l’épidémie ruine les récoltes est bien vivante dans notre région », lance Sylvie D’Amours.

Bruno Laroche, authentique et accessible


 Publié le 20 juillet 2016
 

La campagne pour l’élection partielle dans Saint-Jérôme n’est toujours pas officiellement lancée. Cela n’empêche toutefois pas le candidat de la CAQ, Bruno Laroche, d’être actif sur le terrain et d’aller discuter avec les Jérômiennes et Jérômiens.

Celui qui est préfet de la MRC Rivière-du-Nord et président de la Table des préfets des Laurentides le martèle depuis l’annonce de sa candidature, la défense des intérêts des contribuables est une grande préoccupation quotidienne pour lui.

« J’ai discuté avec des centaines de personnes jusqu’à maintenant. Avec ces échanges enrichissants que j’ai eus et que j’aurai au cours des prochaines semaines, en plus des tâches qui m’ont été confiées au cours des dernières années dans le monde municipal, j’ai développé une très bonne connaissance des enjeux qui sont chers aux citoyens de la région. Je crois être la personne la mieux placée pour représenter les citoyens et les citoyennes de Saint-Jérôme. Leurs préoccupations sont les miennes. Je vais me battre à l’Assemblée nationale pour qu’elles soient entendues à Québec », explique-t-il.

Bruno Laroche a notamment discuté avec Lyne Chaloux, directrice du COFFRET, sur les enjeux communautaires et d’immigration de la circonscription.

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Le candidat caquiste a aussi eu l’occasion de saluer les gens du Manoir du Vieux Moulin lors de leur souper BBQ, de visiter le Manoir Saint-Jérôme dans le cadre du café spécial, de participer à la danse en ligne des membres du Quartier 50+ sur la Place de la Gare et de visiter une entreprise innovante, Autobus Lion, avec François Legault et Jacques Duchesneau.

D’ailleurs, celui qui a été député de Saint-Jérôme de 2012 à 2014 en a profité pour donner son appui officiel à Bruno Laroche pour cette campagne.
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