Les députés libéraux se sont déjà permis une hausse de salaire


 Publié le 5 février 2016

Voici un des effets pervers du monopole libéral :

Député

Salaire de base

Fonction additionnelle

Prime pour fonction additionnelle

Salaire total

Philippe Couillard

90 850$

Premier ministre

95 393 $

186 243 $

Dominique Anglade

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Pierre Arcand

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Gaétan Barrette

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

François Blais

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Luc Blanchette

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Julie Boulet

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Jacques Chagnon

90 850$

Président de l’Assemblée nationale

68 138 $

158 988 $

Francine Charbonneau

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Lucie Charlebois

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Martin Coiteux

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Jean D’Amour

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Jacques Daoust

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Hélène David

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Rita De Santis

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Luc Fortin

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Jean-Marc Fournier

90 850$

Ministre (incluant leader parlementaire du gouvernement)

68 138 $

158 988 $

Sam Hamad

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

David Heurtel

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Goeffrey Kelly

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Carlos Leitao

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Laurent Lessard

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Pierre Moreau

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Pierre Paradis

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Sébastien Proulx

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Christine St-Pierre

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Lise Thériault

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Stéphanie Vallée

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Dominique Vien

90 850$

Ministre
Leader parlementaire adjointe du gouvernement

68 138 $

158 988 $

Kathleen Weil

90 850$

Ministre

68 138 $

158 988 $

Stéphane Billette

90 850$

Whip en chef du gouvernement

31 798 $

122 648 $

Maryse Gaudreault

90 850$

Vice-présidente de l’Assemblée nationale

31 798 $

122 648 $

François Ouimet

90 850$

Vice-président de l’Assemblée nationale

31 798 $

122 648 $

Pierre-Michel Auger

90 850$

Président de commission

22 713 $

113 563 $

Raymond Bernier

90 850$

Président de commission

22 713 $

113 563 $

Nicole Ménard

90 850$

Président du caucus du gouvernement

22 713 $

113 563 $

Guy Ouellette

90 850$

Président de commission

22 713 $

113 563 $

Pierre Reid

90 850$

Président de commission

22 713 $

113 563 $

Filomena Rotiroti

90 850$

Présidente de commission

22 713 $

113 563 $

Gerry Sklavounos

90 850$

Leader parlementaire adjoint du gouvernement

22 713 $

113 563 $

Marc Tanguay

90 850$

Président de commission

22 713 $

113 563 $

David Birnbaum

90 850$

Adjoint parlementaire

18 170 $

109 020 $

Ghislain Bolduc

90 850$

Adjoint parlementaire

18 170 $

109 020 $

Jean Boucher

90 850$

Adjoint parlementaire

18 170 $

109 020 $

Guy Bourgeois

90 850$

Adjoint parlementaire
Président de séance

18 170 $

109 020 $

Marc Carrière

90 850$

Adjoint parlementaire

18 170 $

109 020 $

Germain Chevarie

90 850$

Adjoint parlementaire

18 170 $

109 020 $

André Drolet

90 850$

Adjoint parlementaire

18 170 $

109 020 $

André Fortin

90 850$

Adjoint parlementaire
Président de séance
Membre du Bureau de l’Assemblée nationale

18 170 $

109 020 $

Patrick Huot

90 850$

Whip adjoint du gouvernement

18 170 $

109 020 $

Michel Matte

90 850$

Vice-président de commission
Président de séance

18 170 $

109 020 $

Richard Merlini

90 850$

Vice-président de commission
Adjoint parlementaire

18 170 $

109 020 $

Marie Montpetit

90 850$

Adjointe parlementaire
Présidente de séance

18 170 $

109 020 $

Norbert Morin

90 850$

Vice-président de commission
Adjoint parlementaire

18 170 $

109 020 $

Marc H. Plante

90 850$

Adjoint parlementaire

18 170 $

109 020 $

Saul Polo

90 850$

Adjoint parlementaire

18 170 $

109 020 $

Jean Rousselle

90 850$

Adjoint parlementaire

18 170 $

109 020 $

Monique Sauvé

90 850$

Adjointe parlementaire

18 170 $

109 020 $

Caroline Simard

90 850$

Adjointe parlementaire

18 170 $

109 020 $

Serge Simard

90 850$

Adjoint parlementaire

18 170 $

109 020 $

Yves St-Denis

90 850$

Vice-président de commission
Adjoint parlementaire

18 170 $

109 020 $

Véronyque Tremblay

90 850$

Adjointe parlementaire

18 170 $

109 020 $

Karine Vallières

90 850$

Whip adjointe du gouvernement
Adjointe parlementaire

18 170 $

109 020 $

Pierre Giguère

90 850$

Président de séance

13 628 $

104 478 $

Jean Habel

90 850$

Président de séance
Membre du Bureau de l’Assemblée nationale

13 628 $

104 478 $

Guy Hardy

90 850$

Président de séance
Membre du Bureau de l’Assemblée nationale

13 628 $

104 478 $

Marie-Claude Nichols

90 850$

Présidente de séance
Membre du Bureau de l’Assemblée nationale

13 628 $

104 478 $

Paul Busque

90 850$

En attente de nouveaux défis

Aucune, pour l’instant

90 850$

Alexandre Iracà

90 850$

En attente de nouveaux défis

Aucune, pour l’instant

90 850$

Jean-Denis Girard

90 850$

Ministre dégommé

Aucune, pour l’instant

90 850$

Robert Poëti

90 850$

Ministre dégommé

Aucune, pour l’instant

90 850$

 

 

 

 

 

TOTAL

                                                                                           80 fonctions additionnelles… pour 71 députés!

2 284 897 $

9 253 095 $

Le Parti libéral du Québec : mort de rire, depuis 2003.

Perte de 3 200 emplois en janvier : Philippe Couillard n’a même pas atteint la moitié de son objectif


 Publié le 5 février 2016

À la suite du dévoilement des chiffres de l’emploi pour le mois de janvier par Statistique Canada, soulignant la perte de 3 200 emplois pour le mois de janvier, le premier ministre Philippe Couillard ne peut plus continuer à défendre l’indéfendable : son bilan économique est toujours aussi mauvais et il doit au plus vite donner un grand coup de barre pour remettre le Québec sur le chemin de la prospérité, a déclaré le chef de la Coalition Avenir Québec et député de L’Assomption, François Legault.

À cette vitesse, le chef libéral est en voie de briser l’une de ses promesses-phares pendant la campagne électorale, soit celle de créer 250 000 emplois d’ici la fin de son mandat. Il n’y a plus un seul Québécois, aujourd’hui, qui croit réellement que Philippe Couillard tiendra parole, a indiqué M. Legault. « Il arrive à mi-parcours et pour preuve, il ne s’est créé que 42 700 emplois depuis leur élection, il y a 22 mois. Il faut se le dire, la promesse de créer 250 000 emplois que nous a faite Philippe Couillard est morte et enterrée. Il suffit maintenant que Philippe Couillard ait le courage de dire la vérité aux Québécois », a lancé le chef caquiste.

Les récentes données de l’emploi, dévoilées vendredi par Statistiques Canada, ne font que confirmer le manque de vision et d’ambition en matière d’économie du gouvernement libéral. Pourtant, s’il se dotait d’une véritable politique manufacturière ainsi que d’un plan de relance économique robuste, le Québec pourrait tirer profit du contexte actuel, a souligné François Legault, notamment en raison de la baisse du prix du pétrole, de la faiblesse du dollar canadien et de la croissance de l’économie des États-Unis. « Philippe Couillard a beau nous dire que les chiffres ne sont pas importants dans la vie, mais derrière les chiffres, il y a des travailleurs et des familles qui vivent de l’incertitude », a-t-il mentionné.

Le chef caquiste a poursuivi en rappelant que de son côté, la CAQ s’est engagée à créer un Fonds de relance pour le secteur manufacturier de 5 milliards de dollars échelonnés sur 5 ans afin d’inciter nos entreprises manufacturières à investir davantage pour être plus compétitives à l’international. Le parti a également demandé une baisse d’impôt de 500 $ dès cette année pour tous les Québécois gagnant moins de 150 000 $ par année pour stimuler la consommation des ménages dans toutes les régions du Québec. « Depuis le début de l’année, j’ai proposé deux mesures fortes pour donner de l’oxygène à notre économie. Il faut agir maintenant pour relancer et bâtir notre économie. Voilà deux idées constructives de la CAQ qui j’espère inspireront le gouvernement au bénéfice de tous les Québécois », a conclu François Legault.

Les régions au coeur des préoccupations


 Publié le 5 février 2016

Dans le cadre de sa tournée en Mauricie et au Centre-du-Québec, François Legault a fait part de son plan pour créer de la richesse dans toutes les régions du Québec, en misant notamment sur la relance du manufacturier et des baisses d’impôts.

En 2018, le chef de la CAQ se dit très optimiste que sa formation politique brisera le monopole libéral et assurera la prospérité de nos régions, ce qui n’est pas le cas depuis l’arrivée au pouvoir du PLQ en 2003.

« La réalité, c’est qu’on manque d’investissements privés au Québec et que les impôts sont trop élevés. Ces deux obstacles affectent particulièrement le développement économique en Mauricie et dans le Centre-du-Québec, alors que ces deux régions ont pourtant tous les atouts pour réussir », souligne-t-il, en rappelant qu’il s’est engagé à créer un Fonds de relance pour le secteur manufacturier de 5 milliards de dollars échelonnés sur 5 ans.

François Legault réclame aussi une baisse d’impôts de 500 $ dès cette année pour les contribuables touchant 150 000 $ et moins afin de stimuler la consommation des ménages dans toutes les régions du Québec.

« Ma priorité est claire : je veux que les citoyens de la Mauricie et du Centre-du-Québec soient plus riches, dans un Québec plus riche. Il n’est pas normal que le revenu disponible par habitant dans ces deux régions soit de 2 400 $ inférieurs à celui de l’ensemble du Québec. Je suis très optimiste, je sens qu’en proposant des idées concrètes en économie, le message de la CAQ commence à passer », a-t-il conclu.

Le Parti libéral du Québec : ni fierté, ni prospérité


 Publié le 4 février 2016

La déclaration de Philippe Couillard sur le projet d’exploration des hydrocarbures sur Anticosti a déjà coûté 18 millions de dollars aux Québécois.

Le Journal de Québec rapporte que Québec a dépensé 13 millions de dollars pour les travaux préparatoires. Mais depuis la déclaration du premier ministre à la conférence de Paris au début décembre, le gouvernement a subi des pertes à la bourse d’environs quatre millions de dollars dans les titres de Junex et Pétrolia.

Pour le chef de la CAQ, François Legault, Philippe Couillard coûte cher aux Québécois. «Quand les paroles d’un premier ministre sont si maladroites qu’elles font perdre des millions au gouvernement en capitalisation boursière, on a un problème. »

D’ailleurs, Le Devoir nous apprenait récemment que des gens du ministère de l’Environnement auraient manœuvré pour que des opposants environnementaux donnent leur appui à la position de Philippe Couillard. Par contre, en vertu de l’entente qu’elle a signée avec Québec, le gouvernement ne peut pas mettre fin à l’exploration pétrolière sur Anticosti.

«On parle ici d’un projet qui, s’il est aussi payant que certains l’avancent, pourrait permettre au Québec tout entier de s’enrichir. Vouloir bloquer ce projet, c’est ni plus ni moins que scier une des branches sur lesquelles on s’accroche. Le Parti libéral continue sur sa lancée depuis la conférence de Paris : un virage irréfléchi et improvisé au détriment de la prospérité du Québec. Ce changement de cap du gouvernement n’empêchera pas le Québec d’importer pour 10 milliards de dollars annuellement en hydrocarbures », ajoute le chef de la CAQ sur sa page Facebook.

Rona: Une vente qui ne laisse personne indifférent


 Publié le 4 février 2016

L’annonce de la prise de contrôle de Rona par l’américaine Lowe’s ne laisse personne indifférent auprès des chroniqueurs économiques et politiques.

Michel Hébert du Journal de Québec partage notamment ses inquiétudes sur le fait que le Québec devienne une économie de succursales. « Rona est inscrit dans l’ADN industriel du Québec. Mais le gouvernement Couillard prend la pose du bonsaï comme avec UberX. Pourtant, le dollar est faible et le danger persiste: après Rona, ce sera quoi? Bombardier? On risque l’établissement définitif d’une économie de succursales! », soutient-il.

Le chroniqueur économique au Journal de Montréal, Michel Girard, ne comprend pas de son côté l’optimisme face à cette nouvelle de la nouvelle ministre de l’Économie, Dominique Anglade. « Quand c’en est rendu que les hauts dirigeants du bas de laine des Québécois donnent, sans la moindre réticence, leur aval à la mainmise des Américains sur un tel joyau québécois, il serait temps de leur rappeler qu’ils gèrent l’argent des Québécois dans l’intérêt du Québec et non des étrangers. Et dire que le gouvernement Couillard les appuie haut la main dans cette transaction. Une chance qu’on peut compter sur les partis d’opposition pour protéger le Québec contre l’envahisseur étranger », souligne-t-il.

Jean-Robert Sansfaçon du Devoir croit lui aussi qu’il s’agit d’une perte importante pour le Québec. « En somme, si la transaction est une bonne nouvelle pour les actionnaires qui voient leur investissement doubler de valeur du jour au lendemain, y compris la Caisse de dépôt, qui encaissera un profit de plus de 200 millions de dollars, elle constitue une perte pour le Québec », explique-t-il.

Pour sa part, Denis Lessard de La Presse ajoute que cette annonce s’ajoute une liste déjà bien longue de fleurons québécois qui passent à des mains étrangères. « Depuis 10 ans, les ventes d’entreprises québécoises à l’étranger se sont multipliées, accélérées souvent par la faiblesse du huard. Sico, Cambior, Van Houtte, les Aliments Carrière et Domtar sont dirigées depuis Toronto, quand ce n’est pas carrément des États-Unis. Jusqu’aux petits gâteaux Vachon, le fleuron de la Beauce, qui font désormais partie d’un consortium mexicain. L’achat de Rona par l’américaine Lowe’s n’est qu’un nouveau chapitre dans la longue liste d’achats d’entreprises québécoises par des firmes étrangères ou de l’extérieur du Québec.»

Dans son plus récent billet, Claude Villeneuve du Journal de Québec indique que « les nouvelles positives se font attendre sous la gouverne du soi-disant parti de l’économie. L’effet libéral ne survient pas. Alors que le remaniement devait permettre de recadrer le message, celui-ci est déjà plombé par ce coup dur. Le tout à six jours de la rentrée parlementaire. »

Le Québec perd un de ses fleurons et le gouvernement Couillard applaudit, déplore la CAQ


 Publié le 3 février 2016

Le chef de la Coalition Avenir Québec et député de L’Assomption, François Legault, s’est dit très inquiet de voir le Québec se transformer en une économie de succursales sous le régime libéral, à la suite de l’annonce de l’acquisition de Rona par l’américaine Lowe’s pour 3,2 milliards de dollars. M. Legault est d’autant plus stupéfait de la réaction de la nouvelle ministre libérale de l’Économie, qui a applaudi la transaction, mercredi matin. Il s’agit pourtant d’une très mauvaise nouvelle pour le développement économique du Québec.

« Aujourd’hui, nous sommes placés devant un fait accompli et c’est un triste jour pour le Québec. C’est toujours trop peu, trop tard avec le gouvernement libéral. Un des gains de la Révolution tranquille, un des gains des nationalistes québécois, tous partis politiques confondus, a été de faire du Québec une économie de propriétaires. Maintenant, les libéraux acceptent que nous soyons une économie de succursales. Jamais les Américains, les Allemands, les Japonais n’accepteraient ça. Philippe Couillard et le Parti libéral sont résignés! », a déclaré François Legault, en réaction à cette première sortie publique consternante de la ministre de l’Économie.

Des questions qui demeurent en suspens

M. Legault a poursuivi en indiquant qu’il faut avoir l’honnêteté de dire la vérité aux Québécois : il est trop tard pour empêcher la vente de Rona. Des questions importantes restent cependant en suspens et les libéraux ont le devoir de donner l’heure juste. « Pourquoi Investissement Québec a vendu son bloc d’actions dans Rona en 2015? Est-ce parce que Philippe Couillard a dit que c’était une erreur d’intervenir en 2012? Il a envoyé ce signal en contestant les actions de Raymond Bachand pour empêcher la vente de Rona en 2012. C’était malheureusement le premier clou dans le cercueil de Rona comme entreprise québécoise », a regretté le chef caquiste.

La fuite d’une autre réussite québécoise vers l’étranger, après Provigo, Alcan, Astral et le Cirque du Soleil pour ne nommer que ceux-là, est un signe de plus prouvant que notre économie ne donne aucun indice apparent de reprise, a ajouté M. Legault. « On sacrifie des emplois payants au siège social, on sacrifie les professionnels qui gravitent autour des sièges sociaux, on sacrifie les fournisseurs québécois. Aujourd’hui, le gouvernement libéral accepte la vente en baissant la tête, mais je ne peux pas croire que le premier ministre ne se battra pas minimalement pour conserver la totalité des emplois et pour protéger les fournisseurs québécois de Rona », a tonné M. Legault.

Le chef de la CAQ a terminé en indiquant que le manque de sensibilité nationaliste du gouvernement Couillard atteint de nouveaux sommets. « Même l’ex-ministre des Finances, Raymond Bachand, avait réagi vivement en 2012 pour protéger Rona d’une vente à Lowe’s. Raymond Bachand considérait que Rona était un actif stratégique pour le Québec, mais aujourd’hui, Philippe Couillard n’a tout simplement aucun intérêt à la défense de nos sièges sociaux », a conclu François Legault.

Écoles en ruine, terrains contaminés


 Publié le 3 février 2016

Après avoir exposé mardi que 478 bâtiments scolaires au Québec sont dans un état «préoccupant», TVA révèle maintenant, grâce au travail de recherche de la Coalition Avenir Québec, que 437 écoles sont situées sur des terrains contaminés.

Encore une fois, aucune région n’est épargnée selon un bilan du ministère de l’Éducation.

La toxicologue à la Direction de la santé publique de Montréal, Monique Beausoleil, indique qu’on retrouve parfois des métaux lourds et des hydrocarbures comme le mazout dans le sol des cours d’école.

Le porte-parole de la CAQ en Éducation, Jean-François Roberge, presse le gouvernement d’agir, puisqu’éventuellement l’État devra défrayer des dizaines de millions de dollars pour décontaminer le sol des écoles.

«Le gouvernement doit agir. L’inaction démontre clairement que l’éducation est loin des priorités de monsieur Couillard», déplore-t-il.

Pour voir le reportage complet, cliquez ici.

Carlos Leitao doit s’excuser auprès des Québécois


 Publié le 3 février 2016

Le député François Bonnardel réclame des excuses de la part du ministre des Finances, Carlos Leitao, « pour avoir menti aux Québécois » concernant la présence d’un système de quotas à Revenu Québec.

TVA nous apprenait cette semaine que trois ex-vérificateurs de Revenu Québec disent avoir été soumis à des quotas de cotisation.

Pour François Bonnardel, il s’agit d’une preuve de plus qui démontre que des objectifs de récupération fiscale extrêmement agressifs ont mené à des abus de la part de vérificateurs.

Le député de Granby réclame que Revenu Québec cesse immédiatement le versement de bonis liés à des quotas.

Le patrimoine scolaire en péril


 Publié le 3 février 2016

Des données alarmantes du ministère de l’Éducation obtenues par la CAQ révèlent que 478 écoles au Québec sont dans un état «préoccupant».

De ce nombre, 55 bâtiments sont dans un état où il s’avère plus rentable de les démolir et de les reconstruire.

Bien que 273 de ces établissements scolaires qui sont considérés « en mauvais état » sont situés à Montréal, aucune région n’est épargnée par ce problème.

3,5 milliards de dollars devront être investis par le gouvernement, alors qu’actuellement, 500 millions de dollars sont dédiés à la réfection des écoles.

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en Éducation, Jean-François Roberge, interpelle le gouvernement puisque selon lui, le patrimoine scolaire est en péril. «On veut un plan et de la vision, car il y a urgence d’agir. On doit protéger la santé et la sécurité des élèves et des enseignants », soutient-il.

Pour voir le reportage complet de TVA à ce sujet, cliquez ici.

« Gaétan Barrette n’est pas l’homme des résultats qu’il prétend être » – François Paradis


 Publié le 2 février 2016

Le porte-parole de la CAQ en matière de Santé, François Paradis, a révélé mardi que la hausse des délais d’attente pour chirurgies et échographies se poursuit depuis l’arrivée de Gaétan Barrette comme ministre de la Santé.

Depuis le retour des libéraux au pouvoir, le nombre de patients en attente d’une chirurgie ne diminue pas, bien au contraire. Selon les plus récentes données disponibles, on parle d’une augmentation de près de 1000 personnes qui attendent depuis plus de six mois. Du côté des échographies, les données de l’an dernier, soit les plus récentes disponibles, démontrent que le portrait s’assombrit. Au cours des huit premiers mois de M. Barrette comme ministre, on parle d’une hausse de 56 % pour les échographies mammaires, soit 3 300 femmes de plus qui vivent l’incertitude face à un diagnostic.

« Gaétan Barrette n’est pas l’homme des résultats qu’il prétend être. Les données, issues de son propre ministère, confirment qu’il est incapable de tenir parole, mais surtout de renverser la tendance à la hausse qu’on observe depuis l’arrivée au pouvoir des libéraux en 2003. Malheureusement pour lui, Gaétan Barrette doit porter le fardeau du triste bilan libéral », a déclaré François Paradis.

Le député de la CAQ rappelle que lors de la dernière campagne électorale, Gaétan Barrette a promis l’accès gratuit aux examens de scan, d’échographie et de résonance magnétique, effectués dans une clinique privée. Pour faire la lumière sur cette promesse en voie d’être brisée, François Paradis réclame la divulgation de l’entente signée avec les médecins spécialistes en lien avec la loi 20.

« Il y a actuellement plus de 21 000 patients qui attendent depuis plus de 6 mois pour se faire opérer. Combien y en aura-t-il en 2018? Quelle est la cible du ministre? Ceux qui souffrent et qui croupissent sur une liste d’attente ne peuvent plus endurer les effets pervers du monopole libéral sur le réseau de la santé », a conclu François Paradis.