Révélations de Jacques Daoust : Philippe Couillard refuse de dire qui a autorisé la vente de Rona


 Publié le 11 avril 2018
 

Le premier ministre Philippe Couillard a refusé, mercredi, de faire la lumière dans le dossier entourant la vente de Rona en dévoilant qui, au sein de son gouvernement et de son entourage, à autoriser qu’Investissement Québec se départisse de son bloc d’action, menant à la vente de Rona aux Américains.

Les dernières révélations entourant la vente de Rona sont troublantes et soulèvent de nombreuses questions, a déclaré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault. Qui a autorisé la vente des actions de Rona ? Est-ce Philippe Couillard, son chef de cabinet ou qui que ce soit de son cabinet ? Est-ce que le premier ministre et son entourage ont sacrifié M. Daoust, parce qu’il a refusé de mentir sur la vente des actions de Rona ? Talonné par François Legault à l’Assemblée nationale, Philippe Couillard a refusé de répondre à ces questions.

À la suite de la parution du document-testament de l’ex-ministre Jacques Daoust, qui soutient n’avoir jamais autorisé la vente des actions de Rona, M. Couillard doit aller au fond de l’affaire et dire aux Québécois ce qui s’est réellement passé, a exigé François Legault.

Partenariat entre Bombardier et Airbus : Combien d’argent Philippe Couillard a-t-il fait perdre aux Québécois?


 Publié le 17 octobre 2017
 

En plaçant 1,3 milliard de dollars de l’argent des Québécois dans une aventure très risquée, le premier ministre Philippe Couillard a négocié en amateur et a perdu son pari. À la suite de la mainmise totale d’Airbus sur la Série C de Bombardier, il est essentiel de savoir combien les contribuables ont perdu dans cette aventure. C’est la raison pour laquelle le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a pressé Philippe Couillard d’accepter que le Vérificateur général se penche sur la valeur marchande actuelle du placement de 1,3 milliard $ dans la Série C.

Pour M. Legault, il est clair que le Québec a complètement perdu le contrôle de la Série C. Le gouvernement libéral a d’ailleurs donné l’option à Airbus, en 2023, d’acheter 100 % des actons de la Série C « à la valeur marchande », sans aucun prix plancher. Sous les libéraux, nous sommes en quelque sorte passés de propriétaire à locataire d’une technologie développée à grands frais au Québec, a regretté François Legault.

Bien que le nouveau partenariat représente une nouvelle encourageante pour les 2 000 travailleurs de Bombardier qui voient leur emploi préservé au moins à court terme. Le chef caquiste a réitéré le fait que M. Couillard aurait dû investir dans l’ensemble du groupe Bombardier, tout en négociant une garantie sur les emplois totaux de l’entreprise.

Philippe Couillard admet n’avoir aucun plan pour Bombardier


 Publié le 28 septembre 2017
 

En refusant de se doter d’un plan B concernant la commande de Bombardier pour 75 avions de Delta, Philippe Couillard agit de façon irresponsable et prouve une fois de plus qu’il est un mauvais gestionnaire, a accusé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Le chef de la CAQ a fait savoir que les 75 appareils de Delta, dont Bombardier a obtenu la commande, doivent commencer à être livrés en avril prochain. À la suite de la décision des États-Unis d’imposer des droits compensatoires à Bombardier, il y a une grande inquiétude quant à ce contrat et il y a un risque réel que ces droits soient imposés, que Philippe Couillard le veuille ou non.

François Legault a demandé à Philippe Couillard d’être franc avec les travailleurs de Bombardier, qu’il doit rencontrer jeudi après-midi à Mirabel : oui, il faut se battre et défendre nos intérêts, mais il y a de fortes chances que ce conflit devienne une longue bataille judiciaire, comme c’est le cas pour le dossier du bois d’œuvre. Il faut que M. Couillard s’impose auprès du gouvernement fédéral pour que Justin Trudeau s’engage à mettre une somme d’argent sur la table pour financer ces droits compensatoires.

Réseau électrique Métropolitain : Philippe Couillard est isolé


 Publié le 14 juin 2017
 

Lorsqu’un gouvernement injecte des milliards d’argent public dans un projet, il a le devoir de poser des conditions pour assurer la prospérité des entreprises québécoises, a souligné le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, qui a talonné une fois de plus Philippe Couillard sur la nécessité d’exiger un contenu local dans les projets de transport collectif.

Philippe Couillard est de plus en plus isolé dans ce dossier. Alors que lundi, des entrepreneurs et élus locaux de La Pocatière manifestaient contre la position du gouvernement libéral, c’est au tour mercredi du président des Manufacturiers et Exportateurs du Québec, Éric Tétrault, de dénoncer l’absence d’exigence de contenu local dans le projet de Réseau électrique Métropolitain.

Pour François Legault, il est grand temps pour le premier ministre de comprendre enfin que sans aucune obligation de fabriquer au Québec, ce sont des entreprises détenant des installations ailleurs dans le monde qui décrocheront les contrats de fabrication et d’assemblage. Un non-sens, selon le chef caquiste, alors que la compétition s’annonce féroce au cours des prochaines années dans le secteur manufacturier, en particulier avec la Chine et les États-Unis.

Projet d’Amos Daragon à Magog : La ministre Dominique Anglade se terre dans le mutisme


 Publié le 13 juin 2017
 

La ministre de l’Économie, Dominique Anglade, a refusé d’aborder le « dossier précis » de l’avancement du projet d’animation Amos Daragon à Magog, alors qu’elle était questionnée par le porte-parole caquiste pour la région de l’Estrie, François Bonnardel, à l’Assemblée nationale.

Le député de Granby tentait de savoir les raisons pour lesquelles le gouvernement Couillard refuse d’accorder la subvention de 2,7 M$ d’Investissement Québec nécessaire pour la concrétisation de ce projet, conçu autour du personnage littéraire créé par l’auteur Bryan Perro. Même le député libéral d’Orford, Pierre Reid, a critiqué publiquement la lenteur de son propre gouvernement, alors qu’une cinquantaine d’emplois sont en jeu dans la région de l’Estrie.

François Bonnardel a également déploré l’attitude des libéraux envers les régions du Québec. Alors qu’à Montréal, capitale des technologies de l’information, il est facile pour des firmes d’obtenir des subventions pour leurs projets, l’entreprise IceWorks Animation, à Magog, a toutes les misères du monde pour convaincre le gouvernement.

Emplois payants : La naïveté économique de Philippe Couillard nuit aux entreprises québécoises


 Publié le 9 juin 2017
 

Non seulement Philippe Couillard ne comprend toujours pas que son approche économique théorique a pour effet d’inciter les entreprises à déménager leurs usines aux États-Unis, le premier ministre refuse de s’engager à parler au cours des prochains jours à des dirigeants d’entreprises manufacturières pour tenter de les aider à tirer leur épingle du jeu.

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a exigé à nouveau un seuil minimal de contenu local dans les projets de transport collectif d’envergure. Les plus récents chiffres sur l’emploi, dévoilés vendredi, démontrent une fois de plus tout le rattrapage à effectuer : les familles québécoises ont un salaire moyen inférieur de 4000 $ par rapport à celles de l’Ontario.

Philippe Couillard doit comprendre que le Québec a besoin d’utiliser ses contrats publics pour attirer des emplois payants au Québec, a martelé M. Legault. Le chef de la CAQ a d’ailleurs rappelé que depuis l’arrivée au pouvoir des libéraux de Philippe Couillard, le Québec a perdu 15 000 emplois dans le secteur manufacturier.

 

Bombardier Transport : Philippe Couillard encourage la délocalisation de nos emplois


 Publié le 1 juin 2017
 

Philippe Couillard n’a aucunement l’intention d’exiger de l’Agence métropolitaine de Montréal (AMT) qu’une part importante des projets de construction des nouvelles voitures de train de la division Transports de Bombardier ait un contenu local important, a déploré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Mercredi, Bombardier Transport a indiqué qu’elle songeait à réduire ses activités au Québec devant la décision de l’AMT d’abaisser son exigence en matière de contenu local pour l’achat de matériel roulant. Malgré cet avertissement, Philippe Couillard n’entend rien faire pour sensibiliser l’AMT, ni même la Caisse de dépôt et placement du Québec, alors qu’il s’apprête à investir des milliards de dollars dans le projet du Réseau électrique métropolitain.

Pour François Legault, il est déplorable que le gouvernement libéral accepte que des emplois payants, financés par les impôts des Québécois, risquent de se retrouver à l’étranger plutôt qu’au Québec.

Coupure de 300 millions pour les aînés de 65 ans: «Une attaque directe envers nos aînés» – Jean-François Roberge


 Publié le 16 février 2017
 

(CHAMBLY, le 15 février) – Jean-François Roberge dénonce la volonté du gouvernement libéral de repousser de cinq ans l’admissibilité au crédit d’impôt en raison de l’âge. Cette mesure controversée, qui entrait en vigueur cette année, «privera plusieurs aînés d’un montant pouvant atteindre 497$ par année», déplore le député de Chambly.

Jean-François Roberge joint sa voix au chef de la Coalition Avenir Québec François Legault, qui s’est levé à l’Assemblée nationale mercredi dernier pour tenter de convaincre Philippe Couillard de faire marche arrière dans ce dossier. Pour Monsieur Legault, « Le premier ministre fait preuve d’une insensibilité navrante envers les personnes qui vont avoir 65 ans dans les prochains mois. En repoussant l’admissibilité du crédit d’impôt en raison de l’âge, le gouvernement va priver des milliers de personnes d’une somme pouvant atteindre 497 dollars. Ça peut paraître peu, mais pour des Québécois qui arrivent à cet âge sans revenu important, ça fait une énorme différence. Le premier ministre fait le choix de sacrifier des aînés qui ont souvent travaillé dans des conditions difficiles pour des revenus modestes ».

Le député de Chambly rejette l’argumentaire du premier ministre Philippe Couillard, qui affirme vouloir favoriser le maintien en emploi des aînés. «Le premier ministre dit vouloir retarder le départ à la retraite des aînés, mais que fait-il de ceux qui n’ont juste plus l’énergie pour continuer? Que fait-il des travailleurs de la construction, des couvreurs, des serveuses, et de tous les travailleurs ayant un métier particulièrement exigeant?»

Jean-François Roberge s’interroge également sur la nécessité d’une telle mesure, à l’heure où le gouvernement du Québec se dirige vers des surplus budgétaires. «Les toutes dernières informations dont nous disposons indiquent que le Québec a réalisé des surplus budgétaires de près de 2 milliards de dollars sur 8 mois. Pourquoi donc couper cet argent supplémentaire à nos aînés? Ce sont des gens qui ont travaillé toute leur vie, qui ont bâti le Québec dans lequel nous vivons aujourd’hui. Ça n’a aucun sens de s’attaquer à leurs revenus, à leur qualité de vie ainsi».

« Où est le plan de Philippe Couillard pour faire face au protectionnisme de Donald Trump ? » – François Legault


 Publié le 23 janvier 2017
 

Profitant de l’ouverture du caucus présessionnel de ses députés à Saint-Jean-sur-Richelieu, le chef de la CAQ, François Legault, a invité le premier ministre Philippe Couillard à mettre en œuvre des mesures fortes pour faire face au vent de protectionnisme qui souffle, particulièrement depuis l’assermentation du président américain, Donald Trump, vendredi dernier. Il a de plus plaidé pour que le gouvernement s’attarde enfin à réduire l’écart de salaire entre les Québécois et les Ontariens.

« Lors de son discours d’assermentation, M. Trump a déclaré qu’à partir de maintenant, ce sera seulement “America first, America first”. Que toutes les décisions sur le commerce ou les affaires étrangères devraient être prises au profit des travailleurs américains. Qu’ils allaient protéger leurs frontières des ravages causés par les autres pays qui volent leurs entreprises et détruisent leurs emplois », a rappelé M. Legault.

« Avec de tels propos, il n’y a plus de temps à perdre. La montée du protectionnisme pourrait affecter durement l’économie québécoise et donc la qualité de vie des familles québécoises. Il faut se protéger. Les mesures protectionnistes, c’est la mauvaise façon. La bonne façon de protéger nos emplois et nos familles, ce sont des investissements, améliorer notre productivité et avoir une vision. Il faut aussi une stratégie pour convaincre nos partenaires dans les états américains voisins que de freiner le commerce avec le Québec va leur nuire », a souligné François Legault, en rappelant qu’une part importante de nos emplois de qualité reposait sur nos exportations envers les États-Unis, notamment ceux du secteur manufacturier.

Pour M. Legault, cette montée du protectionnisme fait en sorte qu’il est encore plus important pour le Québec de préserver ses emplois de qualité, déjà trop peu nombreux. Il a dévoilé que depuis près de 15 ans, l’écart entre le Québec et l’Ontario pour le salaire moyen n’a cessé de s’accentuer. En avril 2003, à l’arrivée au pouvoir des libéraux, un travailleur québécois gagnait en moyenne 4 395 $ en moins qu’un travailleur ontarien chaque année. Le mois dernier, cet écart s’est creusé davantage pour s’établir à 4 552 $. La situation n’est plus tolérable, a tonné M. Legault.

« Voilà une conséquence navrante pour les familles québécoises de presque 15 ans de monopole libéral. Il n’y a eu aucune progression, le salaire des Québécois continue à traîner derrière celui de nos voisins. Pendant ce temps-là, le même gouvernement libéral a imposé un fardeau fiscal supplémentaire de 1 300 $ par famille. Ce n’est pas la voie à suivre si l’on veut augmenter les moyens des familles québécoises, écrasées sous les charges fiscales et l’endettement. L’obsession de Philippe Couillard doit être de créer des emplois plus payants pour enrichir nos familles, particulièrement depuis l’arrivée de Donald Trump », a conclu François Legault.

Vision économique : François Legault jette les bases d’une «Baie-James du 21 ème siècle»


 Publié le 13 novembre 2016
 

François Legault a dévoilé aujourd’hui les paramètres d’un grand projet économique qu’il entend soumettre aux Québécois dès 2017. Dans un discours livré aux membres de son parti, réunis en conseil national à Drummondville, le chef caquiste a clairement exprimé sa volonté de mettre Hydro-Québec au cœur de son projet de développement économique pour enrichir les Québécois et rehausser notre niveau de richesse collective.

François Legault présentera donc prochainement son plan d’affaires ambitieux, à l’image de son parti, qui s’appuie sur des ententes de partenariat avec nos voisins canadiens et américains sur l’exportation de notre électricité propre. Hydro-Québec déborde de possibilités exceptionnelles de développement économique, il est temps de les développer et d’avoir de l’ambition pour le Québec, a plaidé François Legault.

« Depuis ses débuts, la CAQ propose une vision de notre développement économique pour l’enrichissement de tous les Québécois. C’est ainsi que je présenterai bientôt un plan de match pour qu’Hydro-Québec exporte davantage d’électricité. Il faut voir grand, voir loin. Comme premier ministre, je vais me donner la mission de forger des partenariats avec l’Ontario, avec Terre-Neuve, avec le Nouveau-Brunswick, avec les nations autochtones. Mon objectif va être de faire exploser les exportations d’électricité en Ontario, en Nouvelle-Angleterre, à New York. Tout le monde va y gagner ! Un gouvernement de la CAQ va donc lancer un grand chantier qui va créer des milliers d’emplois payants. Je parle de lancer une Baie-James du 21 e siècle ! » a lancé le chef caquiste, chaudement applaudi par plus de 500 de ses militants, réunis à Drummondville.

Un gouvernement libéral usé

François Legault a également exprimé sa fierté de diriger une équipe solide d’hommes et de femmes intègres, fin prête à prendre le pouvoir en 2018 pour relancer le Québec.

Sa vision de notre avenir collectif se décline en deux volets distincts, mais plus que jamais indissociables. « Fierté et prospérité : voilà ce qu’offrira un gouvernement de la CAQ comme solution de rechange à un parti libéral usé. L’usure, c’est malsain pour la démocratie. On a un gouvernement qui en vient à mélanger le portefeuille de ses amis avec le portefeuille des Québécois. Il faut passer à autre chose. Il faut recommencer à travailler ensemble. On est rendus là, le Québec est rendu là », a-t- il enchaîné.

« Quand on s’unit au lieu de se diviser, quand les nationalistes québécois travaillent ensemble, il n’y a absolument aucune limite à ce qu’on peut accomplir. Quand on travaille ensemble, le Québec gagne ! Tenons-nous debout avec fierté pour défendre nos intérêts, notre langue, nos valeurs, notre culture et travaillons à la prospérité de la nation québécoise à l’intérieur du Canada ! » a conclu M. Legault.

Pour écouter l’intégralité du discours de François Legault, cliquez sur le lien suivant : http://caq.la/2fNreHQ