Un printemps historique pour le français et la transition énergétique


 Publié le 7 juin 2023

Depuis sa réélection en octobre 2022, le gouvernement de la Coalition Avenir Québec est en action pour réaliser sa vision d’un Québec plus vert, plus prospère et plus fier. Ce printemps, le gouvernement a posé des gestes importants pour l’avenir de notre nation, qui contribueront dans les prochaines années à changer le Québec pour le mieux :

  1. Renforcer notre économie verte avec la filière batterie
  2. Exiger la connaissance du français pour faire une demande d’immigration économique au Québec
  3. Réformer les deux grands réseaux de la santé et de l’éducation

Le gouvernement de la CAQ pose les bases de l’avenir du Québec avec ces grands chantiers qui bénéficieront à tous les Québécois.

Un nouvel âge d’or pour notre économie (verte)

La transition énergétique est l’enjeu du siècle, et le Québec a la chance d’être en avance sur ses voisins grâce à l’électricité propre et ses minéraux stratégiques. Nous devons saisir cette opportunité pour enrichir nos régions tout en nous affirmant comme leader nord-américain de l’économie verte.

Le 29 mai 2023, le premier ministre François Legault a annoncé l’usine de cathodes de GM-Posco à Bécancour, qui servira à fabriquer des batteries pour des véhicules électriques, en offrant des emplois payants et passionnants pour les jeunes Québécois. Cette annonce marque le début d’une nouvelle zone d’innovation, la Vallée de la transition énergétique, qui accueillera des industries liées à la transition énergétique entre Bécancour, Trois-Rivières et Shawinigan.

À une époque, la Mauricie était la première région industrielle au Canada, avec les pâtes et papiers, l’hydroélectricité et la métallurgie. L’économie verte ouvre la porte à une renaissance industrielle dans la région, que le gouvernement va soutenir. Surtout, c’est une chance exceptionnelle pour toutes les régions du Québec, et l’électrification pourrait être le début d’un nouvel âge d’or économique et vert. Comme l’a dit Paule Vermot-Desroches, chroniqueuse au Nouvelliste, il y aura un avant et un après 29 mai 2023 pour notre économie.

Des actions historiques pour protéger le français

Depuis plus de 400 ans, le français est au cœur de l’identité québécoise, et il doit le demeurer. Malheureusement, tous les indicateurs montrent que notre langue commune est en déclin depuis plusieurs années. Depuis 2018, le gouvernement de la CAQ a posé plusieurs actions pour arrêter, puis renverser la tendance, notamment l’adoption de la loi 96, dont plusieurs clauses sont entrées en vigueur le 1er juin dernier, en autres pour lancer le signal qu’au Québec, c’est en français que ça doit se passer. Ou comme le soulignait dans une chronique Maxime Pedneault-Jobin : « Les règles que le ministre Roberge défend aujourd’hui avaient été adoptées il y a plus de 20 ans, mais l’État n’avait jamais eu le courage de les faire appliquer. Nous y voilà enfin. »

De même, le guichet unique Francisation Québec a été lancé officiellement ce mois-ci. Cette nouvelle organisation entièrement vouée à la francisation va permettre de mieux coordonner les efforts de l’État et offrir une expérience plus simple et plus efficace.

En mai, le gouvernement Legault a aussi annoncé que désormais, pour déposer une demande d’immigration économique au Québec, il faudra avoir une maîtrise suffisante du français. C’est une décision historique, qu’aucun autre gouvernement n’a eu le courage de prendre par le passé. Il est clair que la CAQ a fait plus que tous les gouvernements depuis René Lévesque pour notre langue.

Mais il reste d’autres gestes importants à poser pour renverser la tendance. L’immigration temporaire prend de plus en plus de place au Québec, et nous devons utiliser davantage les leviers que nous contrôlons pour protéger le français. La fermeture du chemin Roxham est une victoire en ce sens, et le gouvernement caquiste continue de travailler pour que l’immigration, au Québec, ça se passe en français.

Un État plus efficace

Au cœur des missions de l’État québécois, il y a la santé et l’éducation. Depuis trop longtemps, les deux grands réseaux ne fonctionnent pas comme ils devraient, et les Québécois en sortent perdants. Beaucoup des problèmes que nous voyons en ce moment en santé touchent aussi le Canada et le reste du monde, et nous devons avoir le courage de les affronter. Le statu quo n’est plus acceptable.

En santé, Christian Dubé travaille à offrir des meilleurs services aux Québécois, et un réseau plus humain qui va être plus attrayant pour les travailleurs de la santé. En éducation, Bernard Drainville prépare un réseau plus efficace, qui travaille dans la même direction pour soutenir les élèves et répondre à leurs besoins. Comme tout grand changement, ces réformes vont déranger l’ordre établi, et les habitudes de certains. Mais le gouvernement de la CAQ le fait pour les bonnes raisons, pour les Québécois.

Le changement continue

La Coalition Avenir Québec vient à peine de commencer son nouveau mandat, mais les choses bougent déjà au Québec. Ce printemps, le gouvernement Legault a jeté les bases d’une prospérité durable pour la nation québécoise, avec la naissance de nouvelles industries vertes qui feront du Québec un leader de l’économie de l’avenir. En exigeant le français pour venir au Québec en tant qu’immigrant économique, il consolide le caractère francophone de l’État québécois, qui doit demeurer pour les prochaines générations. Finalement, la CAQ prépare l’avenir avec des réformes de fond en santé et en éducation, dont tous les Québécois sortiront gagnants.

Le vent de changement qui souffle depuis 2018 continue de souffler dans la direction d’un Québec plus vert, plus fier.