Affaire Ouellette : Philippe Couillard tarde à agir, déplore la CAQ


 Publié le 1 novembre 2017
 

Face à la tempête qui frappe nos institutions, Philippe Couillard refuse de tenir le gouvernail. Une fois de plus, le premier ministre a refusé d’agir immédiatement pour rétablir la confiance des citoyens et assurer une meilleure indépendance des institutions policières et judiciaires.

Talonné par le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, Philippe Couillard a déclaré qu’il allait « probablement » mettre en place un comité de surveillance pour l’Unité permanence anticorruption (UPAC), une idée proposée par la CAQ. Bien qu’il salue cette ouverture, François Legault a pressé M. Couillard d’agir avec leadership pour répondre aux inquiétudes des Québécois.

La CAQ a aussi déploré que M. Couillard refuse d’entendre en commission parlementaire le député Guy Ouellette, l’UPAC, l’AMF et Annie Trudel. Le leader parlementaire de la CAQ, François Bonnardel, a mentionné qu’il est essentiel de faire la lumière sur les allégations graves touchant l’AMF et l’UPAC.