Annonce du candidat dans Richelieu : Jean-Bernard Émond portera les couleurs de la CAQ


 Publié le 18 août 2017
 

C’est avec beaucoup de fierté que le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a annoncé que Jean-Bernard Émond portera les couleurs de sa formation politique pour gagner la circonscription de Richelieu, en Montérégie, lors des prochaines élections générales. Membre fondateur de la CAQ, M. Émond est un entrepreneur reconnu dans la région de Sorel-Tracy.

« Jean-Bernard et moi avons plusieurs points en commun. Il est lui aussi un entrepreneur. Il est reconnu comme un gestionnaire efficace et déterminé. Comme moi, c’est un passionné d’éducation. L’éducation c’est le socle de l’avenir du Québec et Jean-Bernard est diplômé en pédagogie. Il est impliqué dans son milieu. Il siège au sein de différents conseils d’administration d’organismes de la région de Sorel-Tracy. Il a beaucoup de qualités qui feront de lui un excellent député. Et si les électeurs nous accordent leur confiance, il représentera les gens de Richelieu au sein d’un gouvernement de la CAQ », a déclaré François Legault.

Incarner le changement

Jean-Bernard Émond est particulièrement fier d’être parmi les premiers candidats de la CAQ annoncés pour les prochaines élections générales. « Je le prends comme un signe de confiance à mon égard. Dans les prochaines semaines et prochains mois, je serai donc en mode écoute, et, comme nous avons toujours été et sommes toujours un parti politique créatif, positif et constructif, je ferai également connaître nos propositions et nos idées à mes concitoyens. J’ai aussi très hâte d’échanger avec nos entrepreneurs locaux, de parler avec eux d’entrepreneuriat et de développement économique », a soutenu le candidat.

Passer de la parole aux actes

Le pôle logistique de Contrecoeur et la zone industrialo-portuaire de Sorel-Tracy sont des projets d’envergure dans la région, mais n’avancent pas assez rapidement pour Jean-Bernard Émond. Le candidat assure qu’avec la CAQ au pouvoir en 2018, le gouvernement passera de la parole aux actes. « Le projet avance trop lentement. Il n’y a pas de fonds investis pour développer des entreprises qui vont créer des emplois de qualité. À Sorel-Tracy, on attend plusieurs autorisations gouvernementales. Le gouvernement doit accélérer la mise en place de ces structures d’accueil. Ça fait des années que Sorel-Tracy et Contrecœur attendent », a-t-il conclu.