Session bien remplie pour le député Schneeberger


 Publié le 17 décembre 2016
 

Le député de Drummond-Bois-Francs, Sébastien Schneeberger, a connu une session bien remplie, en participant activement à la commission parlementaire de l’économie et du travail, et à celle de la santé et des services sociaux.

Porte-parole en emploi et solidarité sociale, il a agi de façon constructive dans l’étude et l’adoption du projet de loi 70 visant à mieux arrimer la formation et l’emploi ainsi qu’à favoriser l’intégration en emploi. Sa contribution a permis notamment de créer un parcours de « développement des habilités sociales », afin que tous les jeunes, peu importe ce qu’ils ont vécu et où ils sont rendus dans leur cheminement, puissent être épaulés et aspirer à jouer un rôle actif dans la société.

Il a aussi pris part aux consultations sur le projet de loi 99 visant à réviser la Loi sur la protection de la jeunesse, en sa qualité de porte-parole en cette matière. « Nous voulons que tous les jeunes profitent de la même égalité des chances, dit-il. Nous voulons que les familles d’accueil fassent partie du processus judiciaire. Lorsqu’il est question de protéger la jeunesse, on parle de l’avenir du Québec que nous devons tout mettre en place pour faire prospérer. »

Sur le plan régional, le député a lutté contre la centralisation des échantillons du projet Optilab et des chirurgies oncologiques du poumon. Il a talonné le ministre de la Santé durant la session et ne baissera pas les bras en 2017. « La centralisation des services à Trois-Rivières n’aidera en rien les gens de Drummond-Bois-Francs, au contraire! »

Comme porte-parole du Centre-du-Québec, M. Schneeberger s’est réjoui de l’élection décisive d’Éric Lefebvre dans Arthabaska. « Avec son intelligence d’affaires et son esprit de collectivité, nous serons encore plus forts pour défendre la région et la faire reconnaître pleinement à Québec. Il peut compter sur mon entière collaboration. »

La CAQ représente le changement

« La dernière session a montré deux partis déphasés et un parti en contact. Face à l’usure du pouvoir et à l’enfermement dans une option, de plus en plus de Québécois réalisent que la CAQ représente le changement », note M. Schneeberger.

Le Parti libéral a refusé de baisser les impôts, d’interdire les signes religieux pour les personnes en autorité, de reconnaître ses torts dans les magouilles et d’écouter la population dans le dossier des hydrocarbures. « Quand les libéraux au pouvoir depuis 2003 tentent de faire miroiter un nouveau départ, les Québécois ne sont pas dupes », tranche le député.

Aussi déconnecté que le Parti libéral, le Parti québécois s’est montré insensible aux angoisses financières des familles. « Les premiers gestes de son chef, après son élection, ont été de s’opposer à des baisses d’impôts et de faire des avances à Québec solidaire. Le contraste avec la CAQ est saisissant. Nous avons pressé les ministres, tout en leur proposant des solutions. »